press book pharmagora plus - 2015

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PRESS-BOOK PharmagoraPlus 2015 Contact presse : Patricia Bénitah - P.B Communication 7 villa des Sablons – 92200 Neuilly sur Seine Tel : 01 47 31 11 06 / E-Mail : [email protected]

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Health & Medicine


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PRESS-BOOKPharmagoraPlus 2015

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SOMMAIREAgences de presse

23 Mars 2015APM International- Les services à l’officine coût-efficaces dans le diabète- Près de trois Français sur quatre prêts à acheter des médicamentssur le site internet d’une officine (étude Ipsos pour Doctipharma.fr)

Hebdomadaires

28 mars 2015Moniteur des pharmacies - Pourquoi y aller?

11 Avril 2015Moniteur des pharmaciesDossier PharmagoraPlus :- Vous avez la parole- Les médicaments - Nouveaux produits - Les astuces pour mieux piloter son entreprise - Force à l’innovation- Quoi de neuf pour votre point de vente - Achetez, c’est le moment !

18 Avril 2015Moniteur des pharmacies- Pourquoi les yeux brillent-ils lorsqu’on a bu de l’alcool ?

Bi-Hebdomadaires

26 Mars 2015Le Quotidien du Pharmacien- Une renaissance toute en douceur- La loi de santé en débat

2 avril 2015Le Quotidien du PharmacienS’installer en 2015, c’est possible

6 avril 2015Le Quotidien du PharmacienAutomatisation de l’officine

9 avril 2015Le Quotidien du PharmacienTandem médecin - pharmacien : le patient en profite-t-il vraiment?

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Sites internet

23 Mars 2015Quotidiendupharmacien.frInstallation : de nouvelles opportunités pour les jeunes

23 Mars 2015Lemoniteurdespharmacies.frVaccination en officine : une évolution très mal engagée

23 Mars 2015Beautypress.frPharmagoraPlus 2015 : le futur de la pharmacie

25 Mars 2015Quotidiendupharmacien.frLe dictionnaire de l’académie de Pharmacie

26 Mars 2015Quotidiendupharmacien.frLa loi de santé en débat

28 Mars 2015Lemoniteurdespharmacies.frPourquoi y aller ?

Mensuels

Avril 2015Pharmacien manager2 questions à F. de Mortillet, directrice de Beauty Success

Avril 2015Pharma Beauté MagBilan de Pharmagora par Sophie Bouhier

Avril 2015Profession PharmacienGrand Angle - Pharmagora Plus 2015, évolution sans révolution

Mai 2015Pharmacien ManagerNews tous azimuts

Bi-Hebdomadaires

13 avril 2015Le Quotidien du Pharmacien- Pour une surveillance plus fluide- Etes-vous bien assuré?- La borne tactile, symbole de modernité

SOMMAIRE

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Sites internet

SOMMAIRE

3 Avril 2015ticdesante.comPrès de 3 français sur 4 prêts à acheter des médicaments surle site internet d’une officine (étude Ipsos pour Doctipharma.fr)

7 Avril 2015Quotidiendupharmacien.fr Automatisation de l’officine

9 Avril 2015Quotidiendupharmacien.fr Tandem médecin - pharmacien : Le patient en profite-t-il vraiment ?

11 Avril 2015Lemoniteurdespharmacies.fr- Force à l’innovation- God save la pharmacie- Intervenir à l’officine- Une trousse pour l’été- Quoi de neuf en 2014?- Une étude à l’officine- Quelle prise en charge au comptoir ?- Un domaine d’intervention pour l’officine- Les astuces pour mieux piloter son officine- Nouveaux produits

13 Avril 2015Quotidiendupharmacien.fr -Pour une surveillance plus fluide-Etes-vous bien assuré?-la borne tactile, symbole de modernité.

18 Avril 2015Lemoniteurdespharmacies.fr- Pourquoi les yeux brillent-ils lorsqu’on a bu de l’alcool ?

23 Avril 2015CeltipharmPharmagora I presume?

Blogs

2 Avril 2015Trucdebienetre.frMa pharmacie me veut du bien !

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AGENCES DE PRESSE

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Lundi 23 mars 2015 - 09:30

Les services à l’officine coût-efficaces dans le diabète(Par Guillaume BIETRY, à PharmagoraPlus)

PARIS, 23 mars 2015 (APM) - L’accompagnement pharmaceutique des patients et les services santé à l’officine se sont montrés coût-efficaces dans une étude du cabinet Kamedis Conseils menée chez des diabétiques, dont les principaux résultats ont été présentés samedi à PharmagoraPlus.Les pharmaciens proposent de plus en plus de services au sein de leur officine, notamment en matière de dépistage (diabète, hypertension artérielle, asthme...), mesures de diverses variables, consultation de diététique, coaching santé et observance, etc.La loi «Hôpital, patients, santé et territoires» (HPST) de 2009 et la convention pharmaceutique de 2012 ont par ailleurs confié de nouvelles missions aux pharmaciens, ce qui s’est notamment concrétisé par la mise en place d’entretiens pharmaceutiques pour les patients sous antivitamines K (AVK) et chez les asthmatiques (40 euros par patient par an pour deux entretiens).Mais il y a peu de données médico-économiques sur l’impact de ces services sur le système de soins, a indiqué l’économiste et directeur associé de Kamedis Conseils, Stéphane Billon.Au sein du cabinet d’études, il a développé un observatoire pharmaco-économique sur l’impact des services santé (OPHELIS), en partant du postulat que «l’accompagnement pharmaceutique du patient et les services santé à l’officine sont facteur d’efficience», tant en termes de santé publique que de d’économies.L’étude a porté sur 32 officines françaises et a inclus 128 patients souffrant de diabète de type 1 et 2. Elle a comparé un groupe OPHELIS composé de diabétiques bénéficiant de services spécialisés et un groupe témoin, avec des personnes n’en bénéficiant pas.A un an de suivi après l’inclusion, l’accompagnement pharmaceutique a permis de réduire de 16,3% les hospitalisations liées au diabète et de 27% les consultations chez le médecin traitant dans le premier groupe.L’observance a été améliorée de 21,8 points, avec 76,4% de patients observants à l’inclusion et 98,2% au bout d’un an.Kamedis Conseils a estimé que les services étaient coût-efficaces dans 99,2% des cas et permettaient d’économiser 261 euros annuellement par patient diabétique.«Le surcoût initial lié à l’instauration du programme, associé à une hausse de la consommation médicamenteuse, est ressorti à 167 euros par an par patient. Mais il est compensé par les économies générées, c’est-à-dire 427 euros de consultations et d’hospitalisations évitées», a expliqué Stéphane Billon.L’économiste a évoqué les résultats de l’étude belge PHARMACOP, qui a montré que l’accompagnement par les officinaux de patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) étaient coût-efficace dans 99,4% des cas.L’étude a été menée dans 170 officines avec 734 patients. Elle a montré que l’accompagnement entraînait une diminution des coûts de 227 euros par an et par patient ainsi qu’une baisse du taux

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Les services à l’officine coût-efficaces dans le diabète (suite)

d’exacerbation par patient conduisant à une hospitalisation.En extrapolant ces données à 10% des patients français atteints de BPCO (3 millions à 3,5 millions au total pour un coût direct de 3,5 milliards d’euros par an), Stéphane Billon a évalué que le suivi à l’officine de cette maladie chronique pourrait chaque année dégager entre 60 millions et 80 millions d’euros d’économies et éviter 700 hospitalisations pour exacerbation.

«Les services à l’officine, c’est une amélioration de la prise en charge globale des patients et de leur état de santé. C’est bon pour l’observance. C’est aussi synonyme de baisse des coûts liés à une mauvaise prise en charge», a-t-il déclaré.«Maintenant, on dispose de chiffres, ce qui va permettre aux pharmaciens de discuter avec les payeurs», a-t-il ajouté, tout en considérant que les services à l’officine restaient «balbutiants», comme en témoigne le bilan mitigé des entretiens pharmaceutiques (cf APM PM5NKOX5).Il a appelé les officinaux à s’investir davantage dans ces activités: «Il y a des leviers de croissance, réveillez-vous, produisez, prenez ce qu’il y a à prendre plutôt que d’aller dans une nouvelle rémunération complexe», a-t-il dit en référence à l’introduction d’honoraires à la boîte depuis le 1er janvier.«UN CHANGEMENT DE MODELE ECONOMIQUE»Présent dans la salle, le président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (Uspo), Gilles Bonnefond, a plaidé en faveur de nouveaux services pour répondre aux enjeux et besoins des patients (vieillissement de la population, vieillissement à domicile et sortie rapide de l’hôpital)«Il faut accepter un changement du modèle économique. La question, c’est ‘comment j’accompagne au-delà de la dispensation de médicaments’, avec un mode de rémunération qui n’est pas lié à cet acte de dispensation», a-t-il poursuivi.«On a fait les entretiens pharmaceutiques pour les AVK et l’asthme […] Il faut aller vers autre chose, vers la personne âgée», a-t-il ajouté, indiquant que les syndicats d’officinaux rencontreraient mi-avril l’assurance maladie au sujet de l’accompagnement des patients suivant un traitement substitutif aux opiacés (TSO).Gilles Bonnefond a aussi évoqué la possibilité de se tourner vers d’autres interlocuteurs que l’assurance maladie pour développer les services et de renforcer la collaboration avec les complémentaires, à l’image de l’expérimentation de la BPCO en officine menée début 2014 avec la Mutualité française et dont les résultats n’ont pas encore été diffusés (cf APM ABQKK004).Les députés de la commission des affaires sociales ont supprimé jeudi l’article du projet de loi de santé qui autorisait les pharmaciens à pratiquer la vaccination, une mesure très critiquée par les médecins et les infirmiers et qui ne fait pas l’unanimité chez les officinaux (cf APM MH4NLI5P). Face aux critiques, le gouvernement a proposé d’avoir recours à des expérimentations (cf APM GB5NKYH5P).gb/nc/APM polsan [email protected] 23/03/2015 09:30 ACTU PHARMA©1989-2015 APM International.

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Lundi 23 mars 2015 - 18:49

Près de trois Français sur quatre prêts à acheter des médicaments sur le site internet d’une officine (étude Ipsos pour Doctipharma.fr)PARIS, 23 mars 2015 (APM) -

Selon une enquête réalisée par Ipsos pour le site internet Doctipharma, 70% des Français interrogés seraient prêts à acheter des médicaments sans ordonnance sur le site internet d’une officine, parmi lesquels 60% le feraient sur celui d’une pharmacie quelconque et 10% spécifiquement sur celui d’une pharmacie qu’ils côtoient.

Une étude Harris Interactive menée pour la plateforme internet de vente de produits parapharmaceutiques 1001 pharmacies.com publiée en février avait estimé cette proportion à 44%, rappelle-t-on (cf APM PM3NK9UWJ).

La nouvelle réglementation en vigueur depuis 2013 prévoit que la création et l’exploitation d’un site internet de vente de médicaments sont réservées aux pharmaciens, et que le site internet doit être adossé à une officine de pharmacie physique. Toutefois, le Conseil d’Etat a annulé la semaine dernière l’arrêté relatif aux bonnes pratiques de dispensation des médicaments sur internet, note-t-on (cf APM GB7NLB733).

Réalisée sur un «échantillon représentatif» de 1.000 personnes âgées de 18 ans et plus, l’enquête a été présentée ce week-end à Paris à l’occasion du salon annuel PharmagoraPlus. Elle s’est déroulée du 11 au 20 février et a été menée par internet. La méthode des quotas de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a été appliquée au sexe, à l’âge, à la profession, à la région et à la catégorie d’agglomération, rapporte Doctipharma dans un communiqué diffusé vendredi.

«Au moment où le gouvernement doit se repencher sur les conditions d’exercice de la vente en ligne de médicaments, [cette] enquête montre que les Français sont prêts acheter leurs médicaments sur internet, mais seulement s’ils ont la garantie que leur pharmacien est là à chaque étape de la dispensation», commente le site internet, qui sert d’intermédiaire entre les officines et leur clients, dans un communiqué diffusé vendredi.Il rapporte que 86% des personnes interrogées ont spontanément indiqué ne pas avoir confiance dans l’achat en ligne de médicaments. Parmi les répondants n’ayant jamais acheté de médicament en ligne, 78% ont déclaré n’être «pas prêts» pour cette pratique.Sur la totalité de l’échantillon, 80% ont exprimé le besoin d’être rassurés sur l’authenticité de la pharmacie associée au site internet, 64% sur les incompatibilités de leurs achats avec d’autres médicaments, 62% sur les effets secondaires et 61% sur la posologie.

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Près de trois Français sur quatre prêts à acheter des médicaments sur le site internet d’une officine (suite)Un label des autorités de santé inciterait 79% des Français à acheter sur le site internet de leur pharmacie. Parmi les critères déclarés comme convaincants apparaissent également la possibilité d’un paiement sécurisé (79%) et des prix moins élevés qu’à l’officine (76%).Seuls 6% des répondants indiquent avoir déjà acheté des médicaments en ligne, loin derrière les produits d’hygiène et de beauté (32%) ou les compléments alimentaires (16%).La première raison citée pour l’achat en ligne est la constitution d’une «armoire à pharmacie pour les bobos du quotidien» (77%). Cette pratique est en revanche moins plébiscitée en cas de baisse de forme et de stress (29%), de problèmes de santé saisonniers (28%), pour les produits de gynécologie et sexualité (20%) ou dans le traitement des maladies chroniques (16%).Selon Doctipharma, «de nombreux Français sont encore mal informés». Le site rapporte que 64% des interrogés pensent que la vente de médicaments sur internet n’est pas du tout contrôlée en France, quand 69% estiment que la plupart des produits vendus en ligne sont des contrefaçons.Un peu plus de la moitié (54%) des répondants approuvent l’idée que la vente de médicament en ligne est «un phénomène de mode» et que «les patients continueront dans les prochaines années à aller acheter leurs médicaments» à l’officine. D’ici cinq ans, 66% estiment qu’ils réaliseront la totalité leurs achats de médicaments en pharmacie, 23% pensent en réaliser une partie sur internet et 11% «une grande majorité» ou la totalité.

pm/eh/APM [email protected] 23/03/2015 18:49 PHARMA©1989-2015 APM International.

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HEBDOMADAIRES

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Médical Textile Ariégeois (MTA) complète son offre de compression veineusede 3 gammes de bas et mi-bas « fantaisie » de classe 2 et pour femme.Harmonie arbore un motif « losange », Désir un motif « vague » et Attraitun motif « rayure ». La gamme de chaussettes mixtes City 3 (classe 3), grâceà un chausson breveté, améliore le retour veineux depuis la plante du piedjusqu’aux muscles du mollet.

Alere propose aux pharmaciens le test rapided’orientation diagnostique (TROD) SD Strep A.Il recherche la présence de streptocoque A surun prélèvement de gorge en cas d’angine. SD LIpidocare est un appareil qui, grâce auxdifférentes bandelettes réactives disponibles,peut analyser sur sang capillaire plusieurs typesde paramètres : cholestérol total, cholestérolHDL, triglycérides, profil lipidique, glucose. Le résultat s’affiche en 5 secondes pour leglucose, 3 minutes pour les lipides. L’appareilpeut être utilisé à l’officine ou à domicile.

Naturactive lance une formuleDetox. Ce complémentalimentaire à diluer dans unverre d’eau associe des extraitsde bouleau, pissenlit et queuede cerise pour aider l’organismeà éliminer les toxines. A prendreen cure pendant 10 à 15 joursaux changements de saison, ouponctuellement durant 4 à 6 jours après des repas copieuxou un épisode de stress.

Estipharm enrichit sa gammede douceurs « Le pastillageofficinal », issue d’unefabrication artisanale de troisréférences sans sucre et sansgluten : Tendres lingots fruités,Fondants aux fruits et PastillesVichy, en sachet de 100 g.

Choc and co arrive en pharmacie avec la gamme dechocolats Bel Arte, adaptée aux diabétiques et auxpersonnes souffrant de problèmes de poids. Cechocolat, moins calorique qu’un chocolattraditionnel, contient des extraits de stevia,édulcorant naturel. Plusieurs parfums sontdisponibles : noir, lait, lait praliné et riz soufflé, noir etgianduja, noir et orange, lait et fèves de cacao…

DISPOSITIF MÉDICAL

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Au gré des allées de PharmagoraPlus, nous vous avonsconcocté un petit panier de nouveautés parmi celles quiont piqué notre curiosité. Au menu : compression fantaisie,eaux luxueuses et cosmétiques originaux.Pages réalisées par Yolande Gauthier avec Anne Drouadaine, Anne-Hélène Collin et Alexandra Blanc.

26 Le Moniteur des pharmacies | N° 3075 | Cahier 1 | 11 avril 2015

Norvège, Islande, Ecosse, Italie, Espagne… Le Comptoir des eauxinvite à un voyage aquatique en proposant des eaux minéralesvenues de toute l’Europe. Présentées dans des flacons en verre audesign élégant, ces eaux extrêmement pures se remarquaient dans lesgrands restaurants et boutiques de luxe. Elles vont faire leur effet dansles linéaires. Sans aucun doute.

DIÉTÉTIQUE

Toujours chez Alere mais uniquement à destinationdes patients cette fois, cinq home-tests sontdisponibles. H-pylori est un test immunologiquequi détecte les anticorps anti-Helicobacter pylori.Le test Lyme s’effectue 2 à 4semaines après unemorsure supposée de tique pour rechercher lesanticorps spécifiques à une infection par Borrelia.Allergie permet d’évaluer la concentration desanticorps IgE dans le sang. Tétanos est un testd’immunochromatographie rapide pourcaractériser des anticorps antitoxine tétaniquedans le sang. Et Fer indique si la concentration enferritine sérique est inférieure à 20 ng/ml, signed’une éventuelle carence en fer.

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www.lemoniteurdespharmacies.fr

Originaire de la Réunion,Mascareigne Diffusionpropose Neokiz, unesolution antimoustiquepour textiles. D’originenaturelle, elle estcomposée d’extraitd’Eucalyptus citronné(citriodiol) et d’huileessentielle de lavande.Neokiz est un additif pourlessive prêt à l’emploi. Les microcapsules sefixent aux fibres textilesdurant le lavage puis elleslibèrent les substancesactives par frottement dutissu contre la peau. La protection contre lesmoustiques serait effectivependant au moins 6 jours.

Les Petits bains de Provence, c’est une gamme desavons liquides de Marseille et de gels douche sans savoncréée par Ageti, en format 500 ml ou 1 l. Les savonsliquides, naturellement glycérinés, sont cuits au chaudron(en Provence !) et se déclinent en 8 fragrances et uneformule neutre. Les gels douche pour corps et cheveuxsont enrichis en glycérine végétale. De pH neutre, ils sontdisponibles en 5 parfums.

AudiOplastie Technologies présente unegamme de produits destinés à l’hygiène etl’entretien des appareils auditifs. Lingettesou comprimés effervescents permettent un nettoyage complet de l’appareil, ducontour à la partie intra-auriculaire. Des capsules déshydratantes préserventl’appareil de l’humidité. Enfin, un gel facilitel’insertion et permet notamment unemeilleure tolérance.

HYGIÈNE

Ducray enrichit saligne antitachesMelascreen d’un soinprotecteur solaire SPF50 +, doté d’un nouvelactif qui inhibe lasynthèse et l’oxydationde la mélanine : leRonacare AP.Melascreen UV,disponible en versioncrème riche ou crèmelégère, offre ainsi unesolution pour atténuerles taches brunes et le photovieillissementtout en protégeant la peau.

Hérôme lance sept de ses soins phares pour les ongles en format mini de 4 ml : durcisseurdoux, fort ou extra-fort, huile nourrissante, gel gommant cuticules, base lissante et fixateurvernis. 18 couleurs de vernis seront proposées au même format cet été. Pratique à avoir sursoi ou tout simplement pour découvrir la marque !

Les ongles sont aussi à l’honneur chez EyeCare Cosmetics. Le vernis Soin activateurde croissance, à appliquer le soir, est enrichien silicium et calcium. Le vernis Soin anti-dédoublement au silicium rend l’ongle plusrésistant et brillant. Il peut s’utiliser en topcoat. Pour les plus pressées, le vernisSéchage express s’applique une minuteaprès le vernis couleur, auquel il confèrebrillance et résistance aux chocs.

DERMOCOSMÉTIQUE

PharmagoraPlus

ET AUSSIMela’Aura s’adresse aux cheveux

secs, frisés et crépus avec unegamme capillaire comprenant unshampooing douceur, une crèmedémêlante et un baume gainant.

Les cosmétiques Josiane Laures’implantent en pharmacie avec dessoins aux actifs naturels pour levisage, le corps et les cheveux, dontune gamme bio. Pour une actionrenforcée sur mesure, 5 formulessynergiques aux huiles essentielles à mélanger aux différents produitssont également disponibles.

Les sucettes pour bébé Difrax sedéclinent en version animale (zèbre,girafe, léopard, panthère) ouphosphorescente ornée de moutons,en édition limitée.

Estipharm adopte un air de vacancesavec la collection Marina quicomprend pinces à épiler, limes àongles et coupe-ongles à rayuresmarines.

Le Moniteur des pharmacies | N° 3075 | Cahier 1 | 11 avril 2015 27

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Le laboratoire Elysées Cosmétiques a développéune gamme de soins anti-âge à base d’Aloe vera,chardon marie, kombucha, collagène marin, acidehyaluronique, allantoïne… Composée d’une eaumicellaire impériale, de deux crèmes de modelageantirides (Cléopâtra nutri-cellulaire pour le jour etCrème de nuit lift and sleep), d’une crème de jourau collagène (Collagene fill & pulp) et d’un sérumtenseur liftant (Sérum réparateur lift & fill). La gamme est adaptée à tous les types de peau.

Comodynes lance deux nouvelleslingettes nettoyantes : Make upremover creamy milk imbibée delait et d’huile démaquillante pourles peaux très sèches, et Purifyingcleanser pour les peaux grasses àtendance acnéique. La marque lance également unelingette pour les jambes, Instanttanning, qui permet un effetbronzage sans autobronzant grâceà l’application d’un film teintant la peau. Léger, il s’enlève à l’eau.

La gamme de podologie Podopharmde Médical Textile Ariégeois reposesur la Tarsiline 44. Ce gel polymèrebreveté, hydratant et absorbeur dechoc, permet de répartir les pressionsexercées sur le pied et d’atténuer lesfrottements. Tous les produits(capuchons d’orteil, protecteur halluxvalgus, séparateur d’orteils, coussinet,bandage tubulaire, pansement talon…)sont lavables et réutilisables.

DERMOCOSMÉTIQUE

Les bâtonnets Clic & Go accueillent 4 nouvelles références :Premières dents au goût caramel renferme de lacamomille, de la guimauve et du safran pour soulager lespoussées dentaires ; Verrues contient de l’acide formiquequi s’attaque aux verrues naissantes ; Pied d’athlèteassocie des huiles essentielles (Cannelle de Ceylan, niaouli,cymbopogon et syzygium) et Colle de suture n’est pasune colle mais un pansement filmogène à appliquer sur lespetites égratignures, coupures et plaies.

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28 Le Moniteur des pharmacies | N° 3075 | Cahier 1 | 11 avril 2015

De fabrication 100 % française, les lunettes modulables de La Fée des yeux adoptent un looksauvage avec des branchesimprimées à motif zèbre, léopard,tigre, serpent, girafe… Et pensentaux presbytes avec des verresblancs ou solaires (teintés, dégradésou miroir), disponibles en 5 corrections de + 1 à + 3,5 dioptries.

La lampe Biostop anti-insectes, distribuée parAgeti, est sans agentchimique ni odeur. Elleattire les insectes grâce à salumière UV. Un ventilateurplacé à l’intérieur de lalampe les aspire lorsqu’ilss’approchent et les retientprisonniers au fond de lacuve, où ils meurent pardéshydratation. Ce systèmetotalement inoffensif peutêtre installé dans lachambre des nouveau-nés.

La marque de textiles amincissantsBeautyLine ajoute deux références à sagamme Soin minceur, qui encapsule dela caféine, de la vitamine E et de l’huile depépin de raisin pour lutter contre lacellulite : un corsaire taille haute et uncycliste taille haute (coloris noir, 3 tailles),dont l’efficacité se maintient pendant aumoins 30 lavages. Du fait de la présencede caféine, ces produits ne doivent pasêtre portés la nuit.

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• AVRIL 201521

Créée par une pharmacienne mère de deux enfantsallergiques, la gamme AllergN propose des supportsd’avertissement pour signaler à l’entourage les allergiesdes enfants. La gamme «Doc», vendue exclusivementen pharmacie, comprend des pin’s, des braceletscaoutchouc et des étiquettes proclamant « N’oubliezpas son allergie ». Des badges à personnaliser avec letype d’allergie et le numéro de téléphone d’urgencesont également disponibles.

www.lemoniteurdespharmacies.fr

Mosquitno, marque néerlandaise distribuéepar Diacosmo, comprend de multiplesréférences répulsives à l’IR3535, au citriodiolou à l’essence de citronnelle : stickers,bracelets, sprays pour textile, lingettes,nappes et polos imprégnés… Cette annéel’accent est mis sur le pot de fleurantimoustiques à placer à l’extérieur ou àl’intérieur de l’habitation. Rechargeable, il abrite une gomme au citriodiol 30 % quiassure 2 mois d’efficacité.

La ceinture dorsale Smartechlab distribuée par H2O Conseilrepose sur un textile aux cristauxbio-actifs qui émettent del’énergie infrarouge et stimulentla microcirculation sanguine. Del’arnica et du camphreencapsulés dans les fibres aidentà soulager les contracturesmusculaires. La ceinture est àporter 4 à 8 heures par jour. Ellesupporte 30 lavages.

ACCESSOIRES

La société Kristo propose quant à elle lagamme de textiles aux actifs microencapsulésAlgieCare : chevillère, genouillère, tour depoignet ou de cou, T-shirt… Renfermant desextraits d’arnica et de l’huile essentielle degaulthérie en forte concentration (7 millions demicrocapsules par cm2), les produits ont uneffet antalgique et anti-inflammatoire pendant720 heures de port ou 20 lavages. Leur fibretrès douce est également chargée ennanoparticules d’oxyde de zirconium pourajouter une sensation thermique.

PharmagoraPlus

ET AUSSILes bracelets ZenBoa offrent un

service d’accès aux informationsutiles pour les secours (allergies,pathologies, traitements en cours…) :un code unique inscrit sur le bracelet,permet aux professionnels de santéd’accéder en ligne à un messagepersonnalisé.

Son Expert (ex-Son Haut) étoffe sonoffre d’aides auditives prérégléesprêtes à l’emploi. La marque proposemaintenant 4 amplificateurs de son,dont un rechargeable et deuxminiaturisés à piles.

Chez FJO, les lunettes Kid Rider auxmontures extrasouples (2 modèles,7coloris) ciblent les enfants de 6moisà 4 ans.

Le Moniteur des pharmacies | N° 3075 | Cahier 1 | 11 avril 2015 29

DR

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• AVRIL 201522

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• AVRIL 201523

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• AVRIL 201524

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• AVRIL 201525

La présence à Pharmagora-Plus d’une dizaine de four-

nisseurs de solutions pour lapréparation des doses à admi-nistrer reflète l’intérêt crois-sant des pharmaciens pourcette activité. Ces fournisseursne parlent d’ailleurs plus seu-lement de PDA, mais du circuitsécurisé du médicament del’officine à l’établissementd’hébergement pour per-sonnes âgées dépendantes(EHPAD). Car le processus detraçabilité se prolonge désor-mais, en bout de chaîne, parla validation de l’administra-tion des médicaments par lepersonnel infirmier. Une dé-marche qui se généralise. C’est notamment ce que meten avant HD Medi. Distribuéejusqu’en septembre dernierpar Euraf, cette large gammede machines d’emballage faitintervenir un scanner code-barre au moment de la dis-pensation et une tablette àl’usage du personnel de l’EH-PAD. L’information est trans-mise de manière sécurisée à

un serveur auquel le pharma-cien a accès. La continuité dusuivi lors de la distribution dumédicament est également as-surée par Mdose, nouvelle dé-nomination de MulTiroir, etchez DAMSI, comprenant latraçabilité des prises, des nonprises et en mentionnant lesraisons.

Un élargissement de l’offreAutre évolution, les fournis-seurs de matériel élargissentencore leur offre. RobotikTechnology veut ainsi propo-ser des solutions pour toutesles typologies d’officine, enpermettant l’adaptation desautomates à la desserte demoins de 20 patients par jour.Ceci afin d’assurer une pré-paration des piluliers destinésau domicile, une démarchequi prend actuellement sonessor. Aussi, Oreus étend sa paletteavec un pilulier pour le do-micile, renfermant un typede médicament par alvéole.

Jusqu’ici tournée vers lapréparation manuelle,

cette marque doitproposer d’ici à

la fin de l’an-née un robotdont le fonc-t i o n n e m e n t

sera assuré parun système àair comprimé.

Cet élargissementde l’offre n’em-

pêche pas certainesparticularités de po-

sitionnement. ObjectifPDA développe son offre

de préparation manuelle. Pra-

ticdose propose une offre ma-nuelle à destination du domi-cile et de l’EHPAD, revendi-quant comme une sécuritésupplémentaire le maintiendu médicament dans son blis-ter. La taille du pilulier le per-met en effet. Un plan de po-sologie est édité en parallèle,de manière journalière ou heb-domadaire. Pour sa part, le concept Distri-medic repose sur un semainiercompact en cartes alvéoléesde 7 jours glissants et multi-doses. Le scellement des al-véoles s’effectue avec une collerepositionnable ou définitive.

Des services spécialiséspour les objets connectésOutre la PDA, de nombreusessociétés se sont orientées versdes services spécialisés aux of-ficines. Robotik Technologypropose des formations enligne sur le patient asthma-tique, sous AVK ou diabétique,en appui au recours à la plate-forme Eureka Care, compre-nant le dossier du patient oùses données sont analysées etarchivées. Le carnet de vacci-nation électronique (mesvac-cins.net) est désormais intégréà cette plate-forme.

Les piluliers connectés sont éga-lement un point fort de l’offreactuelle. Toujours chez RobotikTechnology, le pilulier connectédéjà présenté lors de précé-dentes éditions du salon avertitle patient de sa prise de médi-caments et distribue de ma-nière automatique les dosesaux heures programmées audomicile. Le pilulier de Mdosecomprend une application pourgérer ses alertes et accéder àl’historique au domicile. Ducôté de Medissimo, qui met enavant l’obtention d’une certifi-cation ISO 9001 pour ses bonnespratiques de préparation, on seprépare au lancement d’ici à lafin de l’année du pilulierconnecté iMedipac. Muni d’uneconnectivité GPRS, il comprenddes capteurs optiques pour dé-tecter le percement de la dose.Quant à Pharmagest, son pilu-lier Do-Pill propose un systèmeautonome sans nécessité d’uneconnexion Internet. Un systèmed’alerte sonore et un voyant lu-mineux sont activés à l’heureprévue pour l’administration.Ce dispositif a été éprouvé au-près de personnes âgées, de pa-tients épileptiques et de han-dicapés mentaux.| Matthieu Vandendriessche

42 Le Moniteur des pharmacies | N° 3075 | Cahier 1 | 11 avril 2015

ENTREPRISE

PDA ET OBJETS CONNECTÉS

Force à l’innovationUne dizaine de fournisseurs de solutions pourla préparation des doses à administrer (PDA)ont présenté leurs évolutions lors du salonPharmagoraPlus, notamment en faveur de latraçabilité des médicaments.

RO

BO

TIK

TE

CH

NO

LOG

Y/M

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/DA

MS

I

PharmagoraPlus

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• AVRIL 201527

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• AVRIL 201528

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• AVRIL 201529

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• AVRIL 201530

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• AVRIL 201531

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• AVRIL 201532

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• AVRIL 201533

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• AVRIL 201534

BI-HEBDOMADAIRES

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• AVRIL 201535

PHARMAGORAPLUS 2015

Unerenaissance,

toutendouceurTANDISquePharmagoraPlus2015a fermésesportesdimanchesoir

,

l

' heureestdéjàaupremier bilan .

La30eéditiondugrandsalondespharmaciensétaitcetteannéeparticulièrement attendue

. Désormaisdétenupar le groupebritanniqueCloserStill

,

l

' événementduprintemps a eneffetsubiunemueaussinécessairequesalutaire . Voulue plusinteractive et

pluspratique parsesorganisateurs

,

l

' édition2015aura-t-ellegagnésonpari?À savoir

,

fairerevenir lespharmaciens , jeuneset moins jeunes ,

étudiants,

adjoints et titulaires,

etmême

,

avecl

' aidedela francophonie ,

ceuxexerçantau-delàdesfrontièreshexagonales . Quoiqu' il

ensoit,

avecprèsde10000visiteurs

(

alorsqueCloserStillenespérait 9 000

) ,

PharmagoraPlus assumepleinement leschoixstratégiques desaréno

Undébatdu« Quotidien » trèssuivi

TRÈSCONTESTÉ parlesmédecins

,

le projetloidesantéprésente

,

à l

' inverse, quelques

avancéespourlespharmaciens.Maissurtout

,

il représente l

'

alternativeà la

loiMacronquienvisageaitunerefontecomplète dumodèleofficinalfrançais ,

comme le souhaitaitégalementsonprédécesseur à Bercy ,

ArnaudMontebourg . Eneffet,

à l

' été2014,

le planpourrelancer la croissance et le

pouvoir d

' achatdel

' ex-ministre del

' Économieprévoyaitni plusni

moinsquede« fairesauterle

capital,

le maillage et d

'

autoriser leschaînesdepharmacies »

, rappelleAlainDelgutte ,

présidentduConseilcentralA

(

titulaires)

del

' Ordre,

à l

'

occasiond

' uneconférenceorganiséepar« le Quotidien » dansle cadredusalonPharmagoraPlus.

Changement decap ,

doncavecceprojetdeloiqueMarisolTourainedéfendra à

partirdemardiprochain à l

'

Assemblée nationale . Parmilesmesuressurlesquelles lesdéputésserontamenés à

s'ex

vation : dessallesdeconférences placéessurl

' espacemêmed

' exposition (

sansdoutela meilleureidéedesorganisateurs

) ,

desstandspluspetitsoffrantunegrande diversitéderencontres et desconférencesessentiellementcibléessurlespréoccupationsprofessionnellesdespharmaciens . Unregrettoutdemême

, quele débatsyndical , pourtantrichecetteannée et animéparl

' arrivéedela nouvelle rémunération

,

n' aitputrouverdelieupours'

exprimer...

À noterenfin,

la présencerenforcée - et remarquée - du

« QuotidienduPharmacien »

,

sursonstandd

' abord,

maisaussi à l

' occasiondedeuxtablesrondestrèsattractives« Devenirtitulaireen2015 »

et

« Nouvellesmissions : êtes-vousbienassurés ? ».

LaloidesantéendébatUnserviceclientcertifiéAFNOR

primer,

cellesupprimant l

'

obligationdedétenir5 %%despartsdefaçondirecteparlespharmaciensexerçants ,

remplacée par« unefractionducapital ».

Égalementauprogrammedesdiscussions

,

la

suppression dudélaide5 ansavant la

reventeaprèsuntransfertouunregroupement,

maisaussil

' entréedesjeunesdiplômésdans le capitaldesofficines.Unamendement offreeneffetla possibilitéauxadjointsdeprendredesparticipationsdirectesdanslespharmaciesenSELjusqu' à 10%%

,

toutengardant leurstatutdesalarié.

Lesrèglesdebonnespratiquesdedispensationdesmédicamentsenligne ,

récemmentannuléespar le Conseil d

' État,

pourraientparailleursfaireleurréapparitionviaunamendement

, indiqueGillesBonnefond

,présidentdel

' Uniondessyndicatsdepharmaciens d

'

officine(

USPO).

Enrevanche,

la vaccinationparlespharmaciens a étésupprimée parla commission des

>D

.D

. Leshabitués dusalonontcôtoyédenouverauxvisiteurs

Affairessociales . Leprincipefigureencoredansle projetdeloi

,

maissous la forme d

' unedélégationdetâcheparlesmédecins . Cequifaitdire

à

PhilippeGaertner, présidentdela

Fédérationdessyndicatspharmaceutiques deFrance

(

FSPF) ,

quel

' idéedevaccinerà l

'

officineneverrajamaisle jour.« Onestentrainderemédico-centrer la santé »

,

déploret-il, craignantmêmeque ,

aufinal

,

la loidesanténepermettepasà la

ministred

' atteindresesobjectifsdéfinisdansla

stratégienationaledesanté.Enfin

,

encequiconcerne le

maillageetla simplification des

règlesd

' installation,

desmesuresserontprisesparordonnance . Celles-cidoiventencorefairel

' objetdediscussions.Quoiqu' il

ensoit,

ellesviserontà

« adapterlesconditions decréation

,

detransfert ,

deregroupementoudecessionsdesofficines ,

notammentauseind

' unecommuneoud

' unecommuneavoisinante »

, préciseAlainDelgutte.

4 - LEQUOTIDIEN DUPHARMACIEN -N'

3165 - JEUDI26MARS2015- www.Iequotidiendupharmacien.fr

> C . M.

s

PHARMAGEST a obtenule

3 marsla certificationNF345délivréeparl

' AFNORpourla

qualitéduservicedédiéà la

clientèle . Dévoiléeofficiellement à Pharmagora ,

cettecertification concerne plusspécifiquement la maintenancelogiciellecentralisée et permet

àl

' éditeurdeprésenterdésormaisunservicesoumis à desexigencesderigueurformaliséesparl

'

organismedenormalisation et decertification.Pharmagestfaitcoupdouble

,

il estle premieréditeurdela

sphèreofficinaleà obtenirunetellecertificationet entreainsideplain-pieddansl

' èreduservice

,

selonlessouhaitsdesondirecteurgénéralDominiquePautrat.

Unengagement dansle temps.Lanorme

n' estpasuntitrehonorifique ,

ellesanctionnela qualitéd

' unserviceselondescritèresdefiabilitéet desérieuxmesurésdemanièreprécise : comment lesclients

Unecertification célébréesurle standdePharmagest

pharmacienssontreçusparla plateformedeservicesdel

' éditeur,

l

' évaluationdesdélaisderappel ,

la qualitéduservice fourni

,

desenquêtesdesatisfaction régulières.. . Maissurtout

,

c' estunengagementdurablecarla normeNF345estremiseenquestionchaqueannée

,

l

' AFNORréaliseeneffetunauditannuelpourvéri

fier la qualitédesprestationsdeservicesdans la durée

,

identifielespointsforts,

maisaussiceuxqu' il estnécessaired

' améliorer . « Lacertificationn' estpasunacquitdéfinitif,

expliqueChristianLeDiouron,

délégué régionalIledeFranceet ChampagneArdennedel

'

organisme . À partirdumomentoùl

' entreprises' estengagée à

mettre le clientaucentredesadémarche qualité,

il estimportant demaintenircequi a

étémisenplace ; parfois ,

celaretombeunpeu ,

d

' oùla

nécessité demettreenévidencedemanièrerégulièrecequ'il

fautaméliorer.

» Cettenormedequalitéconcerne touslessecteursdela vieéconomiqueet

,

même si celaestrare,

il estdéjàarrivéqu'elleaitétéretirée à desentreprises n' ayantpasrespectélesengagementsdequalitédansla durée.

PourPharmagest ,

l

'

obtention decettecertificationa

représentéuntravaildequinzemois

,

avecunfortengagementdela directiongénérale .

« Unetelledémarchereposetoujourssurla volonté »

,

rappelleChristianLeDiouron . Lesassistantslogiciels ,

unecentaineenviron

,

ontétébiensûrfortementmobilisés

,

ils continuerontdebénéficierd

' uneformationcontinuepouraméliorer lesqualitésdeservice et

d

' accueil.Répartissurdeuxsites

,

l

' unenBretagne ,

le

secondenLorraine,

cesassistantsonttravaillé

surla complémentaritédesfonctionnements desdeuxplateformes téléphoniques.

L

' organisationglobaleseveutainsimieuxharmoniséeet plusefficace . Pharmagest a sollicité

l

' aided

' unconsultantexternepourmener

à bienla miseenoeuvredecenouveauprocessdequalité.

> HAKIMREMILI

N° et date de parution : 150326 - 26/03/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

Site Web : http://www.quotipharm.com/

Page : 4Taille : 60 %1065 cm2

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• AVRIL 201536

PRIXDECESSIONENRECUL,

TAUXD

' EMPRUNTSBAS

S' installeren2015,

c' estpossibleTandisquela professiontraversedesturbulenceséconomiquessansprécédent ,

denombreux jeunesdiplômésseposentla questiondes' installer. Et beaucouphésitentà selancer

. Pourtant,

desopportunitésexistent,

assurent lesexpertscomptables ,

enparticuliergrâceaureculdesprixdecessionet à destauxd

' emprunthistoriquement bas.LEMORALdespharmaciens n' estpasaubeaufixeactuellement . Lesbaissesdeprix

et demargecontrarient lestitulaires . Lesattaques répétées contre le monopole oule

maillagedesofficines nesontpasnonplusfaitspourrassurer lesconfrères . Alors, queconseillerauxjeunesdiplômés ? D

' allervoirailleursou

,

aucontraire,

desaisir leurchancepourépouseruneprofessionqui

a encoreunavenir?II existeaujourd ' hui

« desleviersoffrantdebellesopportunitéspour s' installer »

, répondJérômeCapon ,directeurrégional?le-de-France d

'

Interfimo,

à l

' occasiond

' uneconférenceorganiséepar« le Quotidien » dans

le cadreduderniersalonPharmagoraPlus.

Denombreuxindicateurssonteneffetactuellementauvert . Lestaux d

'

empruntssonthistoriquement bas(

environ 2 %%horsassurance

) ,

etlesprixdecession des

pharmacies sontenrecul . Selonl

' étudestatistique annuelle d

' Interfimo,

le prixdeventemoyenen2014baissedenouveauparrapport à 2013

,

detroispoints , pours' établirdésormais à 80%%duchiffre d

' affaireshorstaxes

le Quotidien » du26mars)

. Mêmeconstatsi

l

' onexprimele prixdeventemoyenenmultipledel

' excédentbrutd

'

exploitation(

EBE)

. Celui-cireprésentedésormais

6

,5

foisl

' EBE,

aulieude6

,9

foisen2013 . « Lesvendeursontprisconsciencequ'ils nepouvaient plusvendreleurofficineauniveauauquel ils l

' avaientacheté »

, analyseJérômeCapon . Ducoup ,

lesvaleursdesfondssontdevenuesplusraisonnables

,

et lesendettements aussi.efIl s' agit d

' unmarchéenmutationquiafficheencoredebellesqualités »

,

assurele directeurrégional ne-de-France d

'

Interfimo.

«

Si lesprixcontinuent às' assagir,

le

marchévaprobablement offrirdevraiesopportunités »

,

estimeégalementPhilippeBecker

,

directeurdudépartementPharmaciedeFiducial . Toutefois

,

à sesyeux,

lesfacteursclésde

la réussiteresteront,

bienentendu

,

l

' emplacement de l

' officineet une

taillesuffisante . Quoiqu' il ensoit,

« l

'

installationrestepossible, malgrélesnuages

qui s' amoncellentsurla profession »

,affirmePhilippeBecker.

II ajoute :« Les

professions libéralesviventdepuisplu

Pourlescandidatsà l

' installation,

denombreux indicateurssontactuellementauvert

sieursannéesunepériodedifficile,

carle mondeévolue

,

etil leur fauts' adapter.

Personnen' échappera à

l

' accélération desmutationstechnologiques et

à l

'

affaiblissementdesprotectionsmonopolistiques .»

L

' associationprivilégiée . Lesjeunesdiplômés

,

eux,

semblentprêtsà franchirle pas.Ainsi

,

selonJérômeCapon,

la moitiédesdossiers

d

' acquisitionqu'il traiteactuellementconcernedesprimo-accédants . Lesdeuxcaslesplusfréquemment rencontréssontceluidel

' associationd

' unjeunepharmacienavecunplusanciendéjàinstallé

,maisaussidedeuxjeunesquidésirents' associer pourtravailler .

«Lagrandema

L

' entréedesadjointsdansle capitalbientôtfacilitée

Au-delàdumarchédescessionsdepharmaciesquioffredenouvellesperspectivesauxjeunesdiplômés ,

le projet deloidesantédiscutéactuellement à

l

' Assembléenationaleproposedeleurfaciliter

l

' entréedans le capital desofficines.Le

textedéfenduparMarisolTouraineprévoiteneffetuneparticipationdirectedesadjointsdans

lespharmaciesenSEL(

sociétéd

' exercice libéral)

jusqu' à10%%ducapital ,

toutengardantleurstatutdesalarié .

«Ilscontinueront d

' exercerdansle

cadred

' uncontratdetravail »

, préciseAlainDelgutte , présidentduConseilcentral

A

(

titulaires)

del

' Ordredespharmaciens ,quirappelleque ,

depuis2013,lesadjoints pouvaientdéjàentrerdans

le capitaldesofficinesvialesSPFPL,

ouholding.Maisjusqu' alorspasdansuneSEL

. Unemesuredontsefélicitentlesétudiantsenpharmaciequiappelaient récemment

le gouvernementà

éclaircirsesvolontésenmatièred

' insertion desjeunes,77: pharmaciensadjoints dansle capitaldesSEL .

« Onnepeutqueseréjouirdecertaines avancéesproposéesparla loidesanté »

, soulignePierre-Emmanuel Chator .Levice-présidentdel

' Associationnationaledes étudiants enpharmaciedeFrance(

ANEPF) regrette toutefoisquecertaines

nouvellescompétences accordées auxofficinaux,

tellela vaccination

,

aientétéfinalement écartéesduprojetdeloi.

joritédesfutursdiplômésnesouhaitentplusexercerseuls

,

maisenassociation »

,

confirmePierre-EmmanuelChator,

vice-présidentdel

' Association nationaledesétudiantsenpharmacie deFrance(

ANEPF) chargédesrelations

professionnelles . Unpeupourdesraisons financières,

maisaussipourpouvoir travaillerencollaborationavecd

' autresprofessionnelles.L

' installationdanslescampagnesneleurfaitpasnonpluspeur. Aucontraire .

« Noussommesconscientsqu'exercer enmilieururalapporte uneplusvalue

à notreprofession , expliquePierre-Emmanuel Chaton.Celacorrespond à notrevisiondumétiertournéeverslesnouvellesmissions et

l

'

intepprofessionnalité . »

Cependant ,

la belleambition desjeunespharmacienssefracasseparfoissurlescontraintes financièresnécessairesauprojet d

' installation . « Si aujourd ' huilesexigencesbancairessontfortes et parfois ,

il

fautbienle dire,

dissuasives,

c' estaussiparcequedésormaislesprêteursregardentdeprès la rentabilité et

la soliditéfinancièredesprojets ,

relativisePhilippeBecker. C' esttantmieux

,

caril

y

auramoinsdepharmacies «

autapis » danslesprochainesannées .

» JérômeCaponseveutluiaussirassurant

et expliqueque l

' onpeutacheteruneofficinesansavoirobligatoirementunapportconséquent. Laqualitéduprojetcompteégalement pourbeaucoup ,

insiste le directeurrégional?le-deFrance

d

' Interflmo . « C' estaufuturacquéreur denousconvaincre personnellementdecequ'il souhaiteentreprendreavecla

pharmaciequ'il envisage d

' acheter,

desastratégie »

, indique-t-il .L

' avenir n' estpeutêtre pasaussinoirqu'onle pense.

> CHRISTOPHE MICAS

GÉNÉRIQUEÀ L

' HÔPITAL

Objectif39%%UNARR?TÉparu le 31mars2015au

« Journalofficiel »

fixeà 39%%le tauxprévisionneldeprescriptionhospitalière demédicaments inscritsaurépertoiredesgroupesgénériques . Cetextevientpréciser l

' objectifannoncéparunrécentdécretvisant

à régulerlesdépensesdemédicamentsinscritsaurépertoiregénériques résultantdeprescriptions médicalesétabliespardesprofessionnels desantéexerçantdanslesétablissementsdesantéet

rembourséessurl

' enveloppe desoinsdeville. Cetobjectifdeprescription s' impose à cesprescripteurspour la périodedulezavrilau31décembre2015.

MÉDICAMENTVÉTÉRINAIREL

' APRsonne l

' alerteFACEaunon-respecttropsouventconstatéde

l

'

obligationdeprescriptiondesvétérinaires

,

l

' Association depharmacierurale

(

APR)

a décidéd

' enappeler à la Directiongénéraledela santé

(

DGS)

. Afinderemédier

à cetteabsencedeprescriptionquiprive le

pharmacien d

' unepossibledélivrance

,

l

' APRdemandeà

la DGSla révisiondel

'

arrêtédu24avril2012. Cela

permettrait auxpharmaciens dedispenser des«

anticonceptionnels hormonaux et lesanti-inflammatoiresdestinés

à l

' animal decompagnie ».

II?PRestimequ' il est«

incompréhensible et nonfondémédicalement

(

...

)

d

' exclurecesclassesthérapeutiquesde la délivrancepar le

pharmacien »

. Celaa poureffetd

' incitercertainspropriétaires d

' animauxdecompagnie à userdemédicamentshumains lorsqu' ils sont

, parexemple ,

dansl

' attented

' uneconsultationvétérinaire

,

avecparfoisdes

« conséquencesdramatiques »

. L

' APRrappelleaussi «

l

' importance dusiègeréservé

à unmembredel

' associationauseindescommissionsvétérinaires régionales desARS » pourfaireentendresavoixet

«

dénoncer lesfaux-semblantsde

la politiquesanitairedansle domaine vétérinaire ».

PERDE

COMPTOIRLapharmacie LeRoy,

à Viredansle Calvados,

nousenvoie :

« JevoudraisuneboîtedeBiprofane ,

SVP »

( pourBi-Profénid

,

biensûr).

NDLR : « DouxJésus !

»

Faites-nouspartager les « mots»

devosclients,

nous lespublierons.Envoyez vos « Perlesdecomptoir »

à Didier Doukhan :

«

le QuotidienduPharmacien »

1,rueAugustine-Variot ,

92245 Malakoff,

[email protected] ,

fax: 01.73.28.14.41 ousur le site

le quotidiendupharmacien.frenprécisantvos nom et adresse.

N° et date de parution : 150402 - 02/04/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

Site Web : http://www.quotipharm.com/

Page : 2Taille : 60 %1064 cm2

Copyright (Le Quotidien du Pharmacien) Reproduction interdite sans autorisation1 / 1

Page 37: Press Book Pharmagora Plus - 2015

Contact presse : Patricia Bénitah - P.B Communication7 villa des Sablons – 92200 Neuilly sur Seine Tel : 01 47 31 11 06 / E-Mail : [email protected]

• AVRIL 201537

Automatisation de l’officine Un bras manipulateur qui favorise l’économie de mouvement

Hakim Remili| 07.04.2015

Le nouveau bras manipulateur Euclid 3D, dévoilé à PharmagoraPlus par Pharmathek, dispose d’une capacité intégrée de stockage qui permet de traiter une ordonnance moyenne en un seul trajet. Il évite ainsi des déplacements inutiles et optimise l’usage des robots.

PHARMATHEK a dévoilé en grande pompe lors de la dernière édition de PharmagoraPlus un nouvel « appendice » pour ses automates, le bras manipulateur Euclid 3D. Le fabricant l’a en effet exposé comme un produit innovant d’automatisation, comparé aux technologies de bras manipulateur actuelles. Il se présente comme un bras robotisé avec une capacité de stockage (d’où la notion de 3D contenue dans son nom), ce qui lui permet d’éviter plusieurs voyages et d’optimiser ainsi le prélèvement des boîtes. Un seul trajet suffit pour une ordonnance moyenne de quatre boîtes environ. « Dans le cas de bras traditionnels, il faut au moins trois voyages, voire cinq, d’autant que souvent les boîtes recherchées ne sont pas en première position dans la file du robot »,explique Alexander von Liechtenstein, Président de Pharmathek. Le gain de performance est fonction de la structure et de la taille de l’ordonnance : plus l’ordonnance est importante, plus le gain en performance sera important. Ce gain en rapidité peut atteindre 50 % et libérer ainsi du temps au pharmacien.

Alexander von Liechtenstein compare volontiers l’Euclid 3D aux systèmes robotisés à deux bras, dont il estime « qu’ils se gênent mutuellement et finissent par être contre productifs sur la vitesse ». Le fabricant insiste sur le besoin du pharmacien, qui veut à la fois de la vitesse et de la compacité. D’où l’importance accordée à ce nouveau bras manipulateur censé atténuer les faibles vitesses des robots (comparées à celles des automates) tout en en conservant leur souplesse d’utilisation et leur plus faible encombrement. Le fabricant garantit que ce nouveau bras manipulateur convient aussi bien aux produits de faible et de forte rotation, ainsi qu’à tous les types de conditionnements, notamment les formes cylindriques. Le bras Euclid 3D est en option, disponible au prix de 9 900 euros environ, il est adaptable au parc déjà installé des robots Sintesi de Pharmathek.D’après une présentation réalisée à l’occasion de PharmagoraPlus 2015

PRIXDECESSIONENRECUL,

TAUXD

' EMPRUNTSBAS

S' installeren2015,

c' estpossibleTandisquela professiontraversedesturbulenceséconomiquessansprécédent ,

denombreux jeunesdiplômésseposentla questiondes' installer. Et beaucouphésitentà selancer

. Pourtant,

desopportunitésexistent,

assurent lesexpertscomptables ,

enparticuliergrâceaureculdesprixdecessionet à destauxd

' emprunthistoriquement bas.LEMORALdespharmaciens n' estpasaubeaufixeactuellement . Lesbaissesdeprix

et demargecontrarient lestitulaires . Lesattaques répétées contre le monopole oule

maillagedesofficines nesontpasnonplusfaitspourrassurer lesconfrères . Alors, queconseillerauxjeunesdiplômés ? D

' allervoirailleursou

,

aucontraire,

desaisir leurchancepourépouseruneprofessionqui

a encoreunavenir?II existeaujourd ' hui

« desleviersoffrantdebellesopportunitéspour s' installer »

, répondJérômeCapon ,directeurrégional?le-de-France d

'

Interfimo,

à l

' occasiond

' uneconférenceorganiséepar« le Quotidien » dans

le cadreduderniersalonPharmagoraPlus.

Denombreuxindicateurssonteneffetactuellementauvert . Lestaux d

'

empruntssonthistoriquement bas(

environ 2 %%horsassurance

) ,

etlesprixdecession des

pharmacies sontenrecul . Selonl

' étudestatistique annuelle d

' Interfimo,

le prixdeventemoyenen2014baissedenouveauparrapport à 2013

,

detroispoints , pours' établirdésormais à 80%%duchiffre d

' affaireshorstaxes

le Quotidien » du26mars)

. Mêmeconstatsi

l

' onexprimele prixdeventemoyenenmultipledel

' excédentbrutd

'

exploitation(

EBE)

. Celui-cireprésentedésormais

6

,5

foisl

' EBE,

aulieude6

,9

foisen2013 . « Lesvendeursontprisconsciencequ'ils nepouvaient plusvendreleurofficineauniveauauquel ils l

' avaientacheté »

, analyseJérômeCapon . Ducoup ,

lesvaleursdesfondssontdevenuesplusraisonnables

,

et lesendettements aussi.efIl s' agit d

' unmarchéenmutationquiafficheencoredebellesqualités »

,

assurele directeurrégional ne-de-France d

'

Interfimo.

«

Si lesprixcontinuent às' assagir,

le

marchévaprobablement offrirdevraiesopportunités »

,

estimeégalementPhilippeBecker

,

directeurdudépartementPharmaciedeFiducial . Toutefois

,

à sesyeux,

lesfacteursclésde

la réussiteresteront,

bienentendu

,

l

' emplacement de l

' officineet une

taillesuffisante . Quoiqu' il ensoit,

« l

'

installationrestepossible, malgrélesnuages

qui s' amoncellentsurla profession »

,affirmePhilippeBecker.

II ajoute :« Les

professions libéralesviventdepuisplu

Pourlescandidatsà l

' installation,

denombreux indicateurssontactuellementauvert

sieursannéesunepériodedifficile,

carle mondeévolue

,

etil leur fauts' adapter.

Personnen' échappera à

l

' accélération desmutationstechnologiques et

à l

'

affaiblissementdesprotectionsmonopolistiques .»

L

' associationprivilégiée . Lesjeunesdiplômés

,

eux,

semblentprêtsà franchirle pas.Ainsi

,

selonJérômeCapon,

la moitiédesdossiers

d

' acquisitionqu'il traiteactuellementconcernedesprimo-accédants . Lesdeuxcaslesplusfréquemment rencontréssontceluidel

' associationd

' unjeunepharmacienavecunplusanciendéjàinstallé

,maisaussidedeuxjeunesquidésirents' associer pourtravailler .

«Lagrandema

L

' entréedesadjointsdansle capitalbientôtfacilitée

Au-delàdumarchédescessionsdepharmaciesquioffredenouvellesperspectivesauxjeunesdiplômés ,

le projet deloidesantédiscutéactuellement à

l

' Assembléenationaleproposedeleurfaciliter

l

' entréedans le capital desofficines.Le

textedéfenduparMarisolTouraineprévoiteneffetuneparticipationdirectedesadjointsdans

lespharmaciesenSEL(

sociétéd

' exercice libéral)

jusqu' à10%%ducapital ,

toutengardantleurstatutdesalarié .

«Ilscontinueront d

' exercerdansle

cadred

' uncontratdetravail »

, préciseAlainDelgutte , présidentduConseilcentral

A

(

titulaires)

del

' Ordredespharmaciens ,quirappelleque ,

depuis2013,lesadjoints pouvaientdéjàentrerdans

le capitaldesofficinesvialesSPFPL,

ouholding.Maisjusqu' alorspasdansuneSEL

. Unemesuredontsefélicitentlesétudiantsenpharmaciequiappelaient récemment

le gouvernementà

éclaircirsesvolontésenmatièred

' insertion desjeunes,77: pharmaciensadjoints dansle capitaldesSEL .

« Onnepeutqueseréjouirdecertaines avancéesproposéesparla loidesanté »

, soulignePierre-Emmanuel Chator .Levice-présidentdel

' Associationnationaledes étudiants enpharmaciedeFrance(

ANEPF) regrette toutefoisquecertaines

nouvellescompétences accordées auxofficinaux,

tellela vaccination

,

aientétéfinalement écartéesduprojetdeloi.

joritédesfutursdiplômésnesouhaitentplusexercerseuls

,

maisenassociation »

,

confirmePierre-EmmanuelChator,

vice-présidentdel

' Association nationaledesétudiantsenpharmacie deFrance(

ANEPF) chargédesrelations

professionnelles . Unpeupourdesraisons financières,

maisaussipourpouvoir travaillerencollaborationavecd

' autresprofessionnelles.L

' installationdanslescampagnesneleurfaitpasnonpluspeur. Aucontraire .

« Noussommesconscientsqu'exercer enmilieururalapporte uneplusvalue

à notreprofession , expliquePierre-Emmanuel Chaton.Celacorrespond à notrevisiondumétiertournéeverslesnouvellesmissions et

l

'

intepprofessionnalité . »

Cependant ,

la belleambition desjeunespharmacienssefracasseparfoissurlescontraintes financièresnécessairesauprojet d

' installation . « Si aujourd ' huilesexigencesbancairessontfortes et parfois ,

il

fautbienle dire,

dissuasives,

c' estaussiparcequedésormaislesprêteursregardentdeprès la rentabilité et

la soliditéfinancièredesprojets ,

relativisePhilippeBecker. C' esttantmieux

,

caril

y

auramoinsdepharmacies «

autapis » danslesprochainesannées .

» JérômeCaponseveutluiaussirassurant

et expliqueque l

' onpeutacheteruneofficinesansavoirobligatoirementunapportconséquent. Laqualitéduprojetcompteégalement pourbeaucoup ,

insiste le directeurrégional?le-deFrance

d

' Interflmo . « C' estaufuturacquéreur denousconvaincre personnellementdecequ'il souhaiteentreprendreavecla

pharmaciequ'il envisage d

' acheter,

desastratégie »

, indique-t-il .L

' avenir n' estpeutêtre pasaussinoirqu'onle pense.

> CHRISTOPHE MICAS

GÉNÉRIQUEÀ L

' HÔPITAL

Objectif39%%UNARR?TÉparu le 31mars2015au

« Journalofficiel »

fixeà 39%%le tauxprévisionneldeprescriptionhospitalière demédicaments inscritsaurépertoiredesgroupesgénériques . Cetextevientpréciser l

' objectifannoncéparunrécentdécretvisant

à régulerlesdépensesdemédicamentsinscritsaurépertoiregénériques résultantdeprescriptions médicalesétabliespardesprofessionnels desantéexerçantdanslesétablissementsdesantéet

rembourséessurl

' enveloppe desoinsdeville. Cetobjectifdeprescription s' impose à cesprescripteurspour la périodedulezavrilau31décembre2015.

MÉDICAMENTVÉTÉRINAIREL

' APRsonne l

' alerteFACEaunon-respecttropsouventconstatéde

l

'

obligationdeprescriptiondesvétérinaires

,

l

' Association depharmacierurale

(

APR)

a décidéd

' enappeler à la Directiongénéraledela santé

(

DGS)

. Afinderemédier

à cetteabsencedeprescriptionquiprive le

pharmacien d

' unepossibledélivrance

,

l

' APRdemandeà

la DGSla révisiondel

'

arrêtédu24avril2012. Cela

permettrait auxpharmaciens dedispenser des«

anticonceptionnels hormonaux et lesanti-inflammatoiresdestinés

à l

' animal decompagnie ».

II?PRestimequ' il est«

incompréhensible et nonfondémédicalement

(

...

)

d

' exclurecesclassesthérapeutiquesde la délivrancepar le

pharmacien »

. Celaa poureffetd

' incitercertainspropriétaires d

' animauxdecompagnie à userdemédicamentshumains lorsqu' ils sont

, parexemple ,

dansl

' attented

' uneconsultationvétérinaire

,

avecparfoisdes

« conséquencesdramatiques »

. L

' APRrappelleaussi «

l

' importance dusiègeréservé

à unmembredel

' associationauseindescommissionsvétérinaires régionales desARS » pourfaireentendresavoixet

«

dénoncer lesfaux-semblantsde

la politiquesanitairedansle domaine vétérinaire ».

PERDE

COMPTOIRLapharmacie LeRoy,

à Viredansle Calvados,

nousenvoie :

« JevoudraisuneboîtedeBiprofane ,

SVP »

( pourBi-Profénid

,

biensûr).

NDLR : « DouxJésus !

»

Faites-nouspartager les « mots»

devosclients,

nous lespublierons.Envoyez vos « Perlesdecomptoir »

à Didier Doukhan :

«

le QuotidienduPharmacien »

1,rueAugustine-Variot ,

92245 Malakoff,

[email protected] ,

fax: 01.73.28.14.41 ousur le site

le quotidiendupharmacien.frenprécisantvos nom et adresse.

N° et date de parution : 150402 - 02/04/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

Site Web : http://www.quotipharm.com/

Page : 2Taille : 60 %1064 cm2

Copyright (Le Quotidien du Pharmacien) Reproduction interdite sans autorisation1 / 1

N° et date de parution : 3168 - 06/04/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

Site Web : http://www.quotdipharm.com/

Page 38: Press Book Pharmagora Plus - 2015

Contact presse : Patricia Bénitah - P.B Communication7 villa des Sablons – 92200 Neuilly sur Seine Tel : 01 47 31 11 06 / E-Mail : [email protected]

• AVRIL 201538

Tandem médecin – pharmacienLe patient en profite-t-il vraiment ?09.04.2015

Tel fut le sujet de la table ronde organisée par l’Association française des pharmaciens catholiques lors du salon Pharmagora Plus. Thème récurent, surtout en milieu libéral. Valérie Marianne, pharmacienne d’officine et membre du Pôle Santé Essonne Ensemble, et Patrick Hindlet, praticien hospitalier et maître de conférences en pharmacie clinique, ont donné quelques exemples de situations, certaines illustrant les difficultés relationnelles entre nos professions, d’autres démontrant les bénéfices d’une réelle coopération.Pierre Langlois, médecin généraliste et membre du même pôle, a fait un inventaire des occasions de contact avec les pharmaciens les plus proches de son cabinet. Outre les questions liées à la délivrance des génériques et celles de doses à confirmer, il retient notamment les occasions qui ont valorisé cette coopération : journées de dépistage du diabète, initiation de traitements substitutifs aux opiacés, prise en charge de patients porteurs de VIH. Mais pour lui, ces occasions demeurent trop rares : « nos professions devraient davantage en appeler à la complémentarité des savoirs, et cela pour le bien des patients ». Il s’étonne encore que ses « prescriptions soient si facilement acceptées, car chaque ordonnance relève un peu d’une certaine alchimie ». À noter aussi que des formations communes devraient être plus nombreuses afin de favoriser connaissance mutuelle et dialogue. Enfin, pour ce médecin, l’espoir se trouve certainement du côté des nouveaux modes de rémunération qui vont pousser médecins, pharmaciens et infirmières à travailler ensemble en vue d’une prise en charge concertée des patients polypathologiques et/ou fragilisés.Reste le patient : quels sont ses constats face à ces difficultés de dialogue ? Francis Depernet, directeur des ressources humaines, nous a livré son analyse. D’abord « la logique d’exécution dans laquelle semble s’enfermer une bonne partie des pharmaciens d’officine doit être transformée pour devenir logique de complémentarité ; car l’expertise des pharmaciens est à valoriser ». Second point : « Quand on regarde ce qui se passe dans le monde de l’entreprise, on constate qu’aucun projet n’est prévu à l’avance ; imaginé par les concepteurs, chaque projet est nécessairement repris plusieurs fois par les équipes chargées de sa réalisation ; au monde de la santé à imaginer le développement de tels échanges pour une plus grande pertinence des propositions thérapeutiques. » Dernier point : « même si la bonne volonté permet de mieux travailler ensemble, l’intervention d’un tiers qui vient arbitrer ne peut être que bénéfique ; sur ce point, une plus grande implication des patients dans le fonctionnement de notre système de santé risque de venir «mettre de l’ordre» tôt ou tard dans les relations entre les différents protagonistes intervenant dans notre système de soins ».Le débat avec la salle a permis aussi de faire mieux connaître certaines initiatives, comme les formations communes à Angers pour les étudiants de médecine et de pharmacie en fin d’études, de rappeler l’urgence de développer le dossier pharmaceutique en ville et à l’hôpital, de diffuser la carte de coordination des soins réalisée par l’URPS Ile-de-France, ou d’imaginer la participation des étudiants de 5e année pour une meilleure communication hôpital-ville au moment de la sortie des patients…Conclusion : on insiste beaucoup aujourd’hui sur les compétences relationnelles des soignants envers les patients, et c’est tant mieux ! À nous de ne pas oublier de mieux communiquer entre nous car les patients nous attendent à ce niveau-là aussi !

PRIXDECESSIONENRECUL,

TAUXD

' EMPRUNTSBAS

S' installeren2015,

c' estpossibleTandisquela professiontraversedesturbulenceséconomiquessansprécédent ,

denombreux jeunesdiplômésseposentla questiondes' installer. Et beaucouphésitentà selancer

. Pourtant,

desopportunitésexistent,

assurent lesexpertscomptables ,

enparticuliergrâceaureculdesprixdecessionet à destauxd

' emprunthistoriquement bas.LEMORALdespharmaciens n' estpasaubeaufixeactuellement . Lesbaissesdeprix

et demargecontrarient lestitulaires . Lesattaques répétées contre le monopole oule

maillagedesofficines nesontpasnonplusfaitspourrassurer lesconfrères . Alors, queconseillerauxjeunesdiplômés ? D

' allervoirailleursou

,

aucontraire,

desaisir leurchancepourépouseruneprofessionqui

a encoreunavenir?II existeaujourd ' hui

« desleviersoffrantdebellesopportunitéspour s' installer »

, répondJérômeCapon ,directeurrégional?le-de-France d

'

Interfimo,

à l

' occasiond

' uneconférenceorganiséepar« le Quotidien » dans

le cadreduderniersalonPharmagoraPlus.

Denombreuxindicateurssonteneffetactuellementauvert . Lestaux d

'

empruntssonthistoriquement bas(

environ 2 %%horsassurance

) ,

etlesprixdecession des

pharmacies sontenrecul . Selonl

' étudestatistique annuelle d

' Interfimo,

le prixdeventemoyenen2014baissedenouveauparrapport à 2013

,

detroispoints , pours' établirdésormais à 80%%duchiffre d

' affaireshorstaxes

le Quotidien » du26mars)

. Mêmeconstatsi

l

' onexprimele prixdeventemoyenenmultipledel

' excédentbrutd

'

exploitation(

EBE)

. Celui-cireprésentedésormais

6

,5

foisl

' EBE,

aulieude6

,9

foisen2013 . « Lesvendeursontprisconsciencequ'ils nepouvaient plusvendreleurofficineauniveauauquel ils l

' avaientacheté »

, analyseJérômeCapon . Ducoup ,

lesvaleursdesfondssontdevenuesplusraisonnables

,

et lesendettements aussi.efIl s' agit d

' unmarchéenmutationquiafficheencoredebellesqualités »

,

assurele directeurrégional ne-de-France d

'

Interfimo.

«

Si lesprixcontinuent às' assagir,

le

marchévaprobablement offrirdevraiesopportunités »

,

estimeégalementPhilippeBecker

,

directeurdudépartementPharmaciedeFiducial . Toutefois

,

à sesyeux,

lesfacteursclésde

la réussiteresteront,

bienentendu

,

l

' emplacement de l

' officineet une

taillesuffisante . Quoiqu' il ensoit,

« l

'

installationrestepossible, malgrélesnuages

qui s' amoncellentsurla profession »

,affirmePhilippeBecker.

II ajoute :« Les

professions libéralesviventdepuisplu

Pourlescandidatsà l

' installation,

denombreux indicateurssontactuellementauvert

sieursannéesunepériodedifficile,

carle mondeévolue

,

etil leur fauts' adapter.

Personnen' échappera à

l

' accélération desmutationstechnologiques et

à l

'

affaiblissementdesprotectionsmonopolistiques .»

L

' associationprivilégiée . Lesjeunesdiplômés

,

eux,

semblentprêtsà franchirle pas.Ainsi

,

selonJérômeCapon,

la moitiédesdossiers

d

' acquisitionqu'il traiteactuellementconcernedesprimo-accédants . Lesdeuxcaslesplusfréquemment rencontréssontceluidel

' associationd

' unjeunepharmacienavecunplusanciendéjàinstallé

,maisaussidedeuxjeunesquidésirents' associer pourtravailler .

«Lagrandema

L

' entréedesadjointsdansle capitalbientôtfacilitée

Au-delàdumarchédescessionsdepharmaciesquioffredenouvellesperspectivesauxjeunesdiplômés ,

le projet deloidesantédiscutéactuellement à

l

' Assembléenationaleproposedeleurfaciliter

l

' entréedans le capital desofficines.Le

textedéfenduparMarisolTouraineprévoiteneffetuneparticipationdirectedesadjointsdans

lespharmaciesenSEL(

sociétéd

' exercice libéral)

jusqu' à10%%ducapital ,

toutengardantleurstatutdesalarié .

«Ilscontinueront d

' exercerdansle

cadred

' uncontratdetravail »

, préciseAlainDelgutte , présidentduConseilcentral

A

(

titulaires)

del

' Ordredespharmaciens ,quirappelleque ,

depuis2013,lesadjoints pouvaientdéjàentrerdans

le capitaldesofficinesvialesSPFPL,

ouholding.Maisjusqu' alorspasdansuneSEL

. Unemesuredontsefélicitentlesétudiantsenpharmaciequiappelaient récemment

le gouvernementà

éclaircirsesvolontésenmatièred

' insertion desjeunes,77: pharmaciensadjoints dansle capitaldesSEL .

« Onnepeutqueseréjouirdecertaines avancéesproposéesparla loidesanté »

, soulignePierre-Emmanuel Chator .Levice-présidentdel

' Associationnationaledes étudiants enpharmaciedeFrance(

ANEPF) regrette toutefoisquecertaines

nouvellescompétences accordées auxofficinaux,

tellela vaccination

,

aientétéfinalement écartéesduprojetdeloi.

joritédesfutursdiplômésnesouhaitentplusexercerseuls

,

maisenassociation »

,

confirmePierre-EmmanuelChator,

vice-présidentdel

' Association nationaledesétudiantsenpharmacie deFrance(

ANEPF) chargédesrelations

professionnelles . Unpeupourdesraisons financières,

maisaussipourpouvoir travaillerencollaborationavecd

' autresprofessionnelles.L

' installationdanslescampagnesneleurfaitpasnonpluspeur. Aucontraire .

« Noussommesconscientsqu'exercer enmilieururalapporte uneplusvalue

à notreprofession , expliquePierre-Emmanuel Chaton.Celacorrespond à notrevisiondumétiertournéeverslesnouvellesmissions et

l

'

intepprofessionnalité . »

Cependant ,

la belleambition desjeunespharmacienssefracasseparfoissurlescontraintes financièresnécessairesauprojet d

' installation . « Si aujourd ' huilesexigencesbancairessontfortes et parfois ,

il

fautbienle dire,

dissuasives,

c' estaussiparcequedésormaislesprêteursregardentdeprès la rentabilité et

la soliditéfinancièredesprojets ,

relativisePhilippeBecker. C' esttantmieux

,

caril

y

auramoinsdepharmacies «

autapis » danslesprochainesannées .

» JérômeCaponseveutluiaussirassurant

et expliqueque l

' onpeutacheteruneofficinesansavoirobligatoirementunapportconséquent. Laqualitéduprojetcompteégalement pourbeaucoup ,

insiste le directeurrégional?le-deFrance

d

' Interflmo . « C' estaufuturacquéreur denousconvaincre personnellementdecequ'il souhaiteentreprendreavecla

pharmaciequ'il envisage d

' acheter,

desastratégie »

, indique-t-il .L

' avenir n' estpeutêtre pasaussinoirqu'onle pense.

> CHRISTOPHE MICAS

GÉNÉRIQUEÀ L

' HÔPITAL

Objectif39%%UNARR?TÉparu le 31mars2015au

« Journalofficiel »

fixeà 39%%le tauxprévisionneldeprescriptionhospitalière demédicaments inscritsaurépertoiredesgroupesgénériques . Cetextevientpréciser l

' objectifannoncéparunrécentdécretvisant

à régulerlesdépensesdemédicamentsinscritsaurépertoiregénériques résultantdeprescriptions médicalesétabliespardesprofessionnels desantéexerçantdanslesétablissementsdesantéet

rembourséessurl

' enveloppe desoinsdeville. Cetobjectifdeprescription s' impose à cesprescripteurspour la périodedulezavrilau31décembre2015.

MÉDICAMENTVÉTÉRINAIREL

' APRsonne l

' alerteFACEaunon-respecttropsouventconstatéde

l

'

obligationdeprescriptiondesvétérinaires

,

l

' Association depharmacierurale

(

APR)

a décidéd

' enappeler à la Directiongénéraledela santé

(

DGS)

. Afinderemédier

à cetteabsencedeprescriptionquiprive le

pharmacien d

' unepossibledélivrance

,

l

' APRdemandeà

la DGSla révisiondel

'

arrêtédu24avril2012. Cela

permettrait auxpharmaciens dedispenser des«

anticonceptionnels hormonaux et lesanti-inflammatoiresdestinés

à l

' animal decompagnie ».

II?PRestimequ' il est«

incompréhensible et nonfondémédicalement

(

...

)

d

' exclurecesclassesthérapeutiquesde la délivrancepar le

pharmacien »

. Celaa poureffetd

' incitercertainspropriétaires d

' animauxdecompagnie à userdemédicamentshumains lorsqu' ils sont

, parexemple ,

dansl

' attented

' uneconsultationvétérinaire

,

avecparfoisdes

« conséquencesdramatiques »

. L

' APRrappelleaussi «

l

' importance dusiègeréservé

à unmembredel

' associationauseindescommissionsvétérinaires régionales desARS » pourfaireentendresavoixet

«

dénoncer lesfaux-semblantsde

la politiquesanitairedansle domaine vétérinaire ».

PERDE

COMPTOIRLapharmacie LeRoy,

à Viredansle Calvados,

nousenvoie :

« JevoudraisuneboîtedeBiprofane ,

SVP »

( pourBi-Profénid

,

biensûr).

NDLR : « DouxJésus !

»

Faites-nouspartager les « mots»

devosclients,

nous lespublierons.Envoyez vos « Perlesdecomptoir »

à Didier Doukhan :

«

le QuotidienduPharmacien »

1,rueAugustine-Variot ,

92245 Malakoff,

[email protected] ,

fax: 01.73.28.14.41 ousur le site

le quotidiendupharmacien.frenprécisantvos nom et adresse.

N° et date de parution : 150402 - 02/04/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

Site Web : http://www.quotipharm.com/

Page : 2Taille : 60 %1064 cm2

Copyright (Le Quotidien du Pharmacien) Reproduction interdite sans autorisation1 / 1

N° et date de parution : 3169 - 09/04/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

Site Web : http://www.quotdipharm.com/

Page 39: Press Book Pharmagora Plus - 2015

Contact presse : Patricia Bénitah - P.B Communication7 villa des Sablons – 92200 Neuilly sur Seine Tel : 01 47 31 11 06 / E-Mail : [email protected]

• AVRIL 201539

PourunesurveillanceplusfluideLanouvelleversiondulogicield

' exploitationdela solutionVidéoConsult a étédévoiléeà PharmagoraPlus . Cettequatrièmeversionaméliorel

' exploitationdesimagesgrâceà miformatdefichiercompresséquipermetavecle mêmematériel

d

' enregistrerplusdeséquenceset dedisposerd

' imagesplusfluides.Lelogicielpermetainsidesélectionnerpardéfautle

momentoùunproduita étésubtilisésansquele pharmaciennesoitobligéderemontertoutela

séquence d

' images . Lepharmacienpeutégalementconsultertouteslescamérasenmêmetemps , grâceaufractionnementdel

' image , quiexistaitdansla versionprécédente

,

maisaété

amélioréedanscelle-ci . Cesimagespeuventaussi s' affichersurlespostesdetravaildel

' équipeofficinale

,

l

' applicationVidéoConsultesteneffetcompatibleavecla plupartdesLGO . VidéoConsulttravailleaveclescamérasdufabricantAxis.

LEPLUSDELASOLUTION . Lasouplesse d

' utilisationdusystèmepermetdefairefaceauxnombreusesproblématiquesdesécuritédela pharmacie ,

démarqueinconnuedesclients, manipulationdesespèces ,

livraisonsdegrossistes ,

volsdenuit( grâceà descamérasinfrarouge)...

PRIX . Enmoyenne ,

4 500Europourla solutionavec4 caméras etuneannée

demaintenance.NOMDUPRESTATAIRE . VidéoConsult.TÉL . 06.84.70.24.05.E-MAIL . [email protected]

N° et date de parution : 150413 - 13/04/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

Site Web : http://www.quotipharm.com/

Page : 13Taille : 100 %162 cm2

Copyright (Le Quotidien du Pharmacien) Reproduction interdite sans autorisation1 / 1

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Contact presse : Patricia Bénitah - P.B Communication7 villa des Sablons – 92200 Neuilly sur Seine Tel : 01 47 31 11 06 / E-Mail : [email protected]

• AVRIL 201540

Nouvelles missions

Êtes-vous bien assuré ?13.04.2015

Toute nouvelle mission réalisée à l’officine doit être déclarée à son assureur. Sans cela, le pharmacien risque d’être mal (ou de n’être pas) couvert en cas de litige avec un patient

« TESTS DE DÉPISTAGES de la grippe, de la glycémie, des angines à streptocoque, entretiens AVK, entretiens asthme… Ces nouvelles missions du pharmacien peuvent indubitablement générer des mises en cause de responsabilité », avance Nicholas Gombault, directeur du Sou Medical-MACSF, lors d’une conférence à Pharmagora Plus. Et même si aucune action en justice n’a été menée à ce jour contre un pharmacien en ce qui concerne ces nouvelles missions, ce n’est pas pour autant qu’il faut omettre l’important détail de la responsabilité pharmaceutique dans ce cadre.Surtout que, en pratique, la démarche est simple : il suffit juste de prévenir son assureur que l’on effectue désormais une nouvelle mission. « On doit d’ailleurs en faire de même lorsque la pharmacie s’agrandit, lorsque l’on embauche un nouveau collaborateur, etc. », rappelle Nicholas Gombault, en précisant « qu’en cours de contrat, toute modification de l’exercice doit être signalée à son assureur par lettre recommandée avec AR, dans un délai de 15 jours à partir du moment ou l’assuré - c’est-à-dire le pharmacien - est informé de ces nouvelles compétences ».La non-déclaration et ses répercussions.Si rien de tel n’est entrepris, et sans présence de sinistre, l’assureur peut plaider la nullité du contrat d’assurance, ou demander un complément de versement de cotisation.Les répercussions peuvent être plus graves en présence de sinistre : l’assureur peut alors obtenir une réduction de l’indemnité à verser pour le sinistre, et même, s’il arrive à prouver la mauvaise foi du pharmacien, plaider la nullité du contrat d’assurance. « En général, on n’en arrive pas à cet extrême, car il s’agit d’un oubli du pharmacien à déclarer ses nouvelles activités à son assureur », rassure Nicholas Gombault.De plus, le pharmacien a tout intérêt à déclarer ces nouvelles missions à l’assureur, étant donné que dans la majorité des cas elles n’entraînent pas d’augmentation des cotisations. En effet, « les contrats d’assurance en officine sont essentiellement des « package responsabilité professionnelle ». Il s’agit d’une approche globale qui n’implique pas d’augmentation de tarif par rapport à ces nouvelles missions », commente le directeur du Sou Médical.David Thierry, pharmacien titulaire à Pont-de-Cheruy (Isère), qui s’est investi dans les Streptotests depuis janvier 2015, a pu vérifier ce fait. « En me renseignant auprès de mon assureur, j’ai été agréablement surpris d’apprendre que je bénéficiais en effet d’une assurance globale, qui garantissait donc ce risque supplémentaire engendré par toute nouvelle mission », témoigne-t-il. Toutefois, qu’en sera-t-il si le pharmacien est - un jour - amené à vacciner, ou à préparer des doses à administrer (PDA) ? Dans ces cas, la déclaration à l’assureur pourrait bien fait l’objet d’une augmentation de tarif, étant donné que la responsabilité du pharmacien est bien plus engagée.D’après une conférence à Pharmagora Plus.CHARLOTTE DEMARTI

Source : Le Quotidien du Pharmacien n°3170

PRIXDECESSIONENRECUL,

TAUXD

' EMPRUNTSBAS

S' installeren2015,

c' estpossibleTandisquela professiontraversedesturbulenceséconomiquessansprécédent ,

denombreux jeunesdiplômésseposentla questiondes' installer. Et beaucouphésitentà selancer

. Pourtant,

desopportunitésexistent,

assurent lesexpertscomptables ,

enparticuliergrâceaureculdesprixdecessionet à destauxd

' emprunthistoriquement bas.LEMORALdespharmaciens n' estpasaubeaufixeactuellement . Lesbaissesdeprix

et demargecontrarient lestitulaires . Lesattaques répétées contre le monopole oule

maillagedesofficines nesontpasnonplusfaitspourrassurer lesconfrères . Alors, queconseillerauxjeunesdiplômés ? D

' allervoirailleursou

,

aucontraire,

desaisir leurchancepourépouseruneprofessionqui

a encoreunavenir?II existeaujourd ' hui

« desleviersoffrantdebellesopportunitéspour s' installer »

, répondJérômeCapon ,directeurrégional?le-de-France d

'

Interfimo,

à l

' occasiond

' uneconférenceorganiséepar« le Quotidien » dans

le cadreduderniersalonPharmagoraPlus.

Denombreuxindicateurssonteneffetactuellementauvert . Lestaux d

'

empruntssonthistoriquement bas(

environ 2 %%horsassurance

) ,

etlesprixdecession des

pharmacies sontenrecul . Selonl

' étudestatistique annuelle d

' Interfimo,

le prixdeventemoyenen2014baissedenouveauparrapport à 2013

,

detroispoints , pours' établirdésormais à 80%%duchiffre d

' affaireshorstaxes

le Quotidien » du26mars)

. Mêmeconstatsi

l

' onexprimele prixdeventemoyenenmultipledel

' excédentbrutd

'

exploitation(

EBE)

. Celui-cireprésentedésormais

6

,5

foisl

' EBE,

aulieude6

,9

foisen2013 . « Lesvendeursontprisconsciencequ'ils nepouvaient plusvendreleurofficineauniveauauquel ils l

' avaientacheté »

, analyseJérômeCapon . Ducoup ,

lesvaleursdesfondssontdevenuesplusraisonnables

,

et lesendettements aussi.efIl s' agit d

' unmarchéenmutationquiafficheencoredebellesqualités »

,

assurele directeurrégional ne-de-France d

'

Interfimo.

«

Si lesprixcontinuent às' assagir,

le

marchévaprobablement offrirdevraiesopportunités »

,

estimeégalementPhilippeBecker

,

directeurdudépartementPharmaciedeFiducial . Toutefois

,

à sesyeux,

lesfacteursclésde

la réussiteresteront,

bienentendu

,

l

' emplacement de l

' officineet une

taillesuffisante . Quoiqu' il ensoit,

« l

'

installationrestepossible, malgrélesnuages

qui s' amoncellentsurla profession »

,affirmePhilippeBecker.

II ajoute :« Les

professions libéralesviventdepuisplu

Pourlescandidatsà l

' installation,

denombreux indicateurssontactuellementauvert

sieursannéesunepériodedifficile,

carle mondeévolue

,

etil leur fauts' adapter.

Personnen' échappera à

l

' accélération desmutationstechnologiques et

à l

'

affaiblissementdesprotectionsmonopolistiques .»

L

' associationprivilégiée . Lesjeunesdiplômés

,

eux,

semblentprêtsà franchirle pas.Ainsi

,

selonJérômeCapon,

la moitiédesdossiers

d

' acquisitionqu'il traiteactuellementconcernedesprimo-accédants . Lesdeuxcaslesplusfréquemment rencontréssontceluidel

' associationd

' unjeunepharmacienavecunplusanciendéjàinstallé

,maisaussidedeuxjeunesquidésirents' associer pourtravailler .

«Lagrandema

L

' entréedesadjointsdansle capitalbientôtfacilitée

Au-delàdumarchédescessionsdepharmaciesquioffredenouvellesperspectivesauxjeunesdiplômés ,

le projet deloidesantédiscutéactuellement à

l

' Assembléenationaleproposedeleurfaciliter

l

' entréedans le capital desofficines.Le

textedéfenduparMarisolTouraineprévoiteneffetuneparticipationdirectedesadjointsdans

lespharmaciesenSEL(

sociétéd

' exercice libéral)

jusqu' à10%%ducapital ,

toutengardantleurstatutdesalarié .

«Ilscontinueront d

' exercerdansle

cadred

' uncontratdetravail »

, préciseAlainDelgutte , présidentduConseilcentral

A

(

titulaires)

del

' Ordredespharmaciens ,quirappelleque ,

depuis2013,lesadjoints pouvaientdéjàentrerdans

le capitaldesofficinesvialesSPFPL,

ouholding.Maisjusqu' alorspasdansuneSEL

. Unemesuredontsefélicitentlesétudiantsenpharmaciequiappelaient récemment

le gouvernementà

éclaircirsesvolontésenmatièred

' insertion desjeunes,77: pharmaciensadjoints dansle capitaldesSEL .

« Onnepeutqueseréjouirdecertaines avancéesproposéesparla loidesanté »

, soulignePierre-Emmanuel Chator .Levice-présidentdel

' Associationnationaledes étudiants enpharmaciedeFrance(

ANEPF) regrette toutefoisquecertaines

nouvellescompétences accordées auxofficinaux,

tellela vaccination

,

aientétéfinalement écartéesduprojetdeloi.

joritédesfutursdiplômésnesouhaitentplusexercerseuls

,

maisenassociation »

,

confirmePierre-EmmanuelChator,

vice-présidentdel

' Association nationaledesétudiantsenpharmacie deFrance(

ANEPF) chargédesrelations

professionnelles . Unpeupourdesraisons financières,

maisaussipourpouvoir travaillerencollaborationavecd

' autresprofessionnelles.L

' installationdanslescampagnesneleurfaitpasnonpluspeur. Aucontraire .

« Noussommesconscientsqu'exercer enmilieururalapporte uneplusvalue

à notreprofession , expliquePierre-Emmanuel Chaton.Celacorrespond à notrevisiondumétiertournéeverslesnouvellesmissions et

l

'

intepprofessionnalité . »

Cependant ,

la belleambition desjeunespharmacienssefracasseparfoissurlescontraintes financièresnécessairesauprojet d

' installation . « Si aujourd ' huilesexigencesbancairessontfortes et parfois ,

il

fautbienle dire,

dissuasives,

c' estaussiparcequedésormaislesprêteursregardentdeprès la rentabilité et

la soliditéfinancièredesprojets ,

relativisePhilippeBecker. C' esttantmieux

,

caril

y

auramoinsdepharmacies «

autapis » danslesprochainesannées .

» JérômeCaponseveutluiaussirassurant

et expliqueque l

' onpeutacheteruneofficinesansavoirobligatoirementunapportconséquent. Laqualitéduprojetcompteégalement pourbeaucoup ,

insiste le directeurrégional?le-deFrance

d

' Interflmo . « C' estaufuturacquéreur denousconvaincre personnellementdecequ'il souhaiteentreprendreavecla

pharmaciequ'il envisage d

' acheter,

desastratégie »

, indique-t-il .L

' avenir n' estpeutêtre pasaussinoirqu'onle pense.

> CHRISTOPHE MICAS

GÉNÉRIQUEÀ L

' HÔPITAL

Objectif39%%UNARR?TÉparu le 31mars2015au

« Journalofficiel »

fixeà 39%%le tauxprévisionneldeprescriptionhospitalière demédicaments inscritsaurépertoiredesgroupesgénériques . Cetextevientpréciser l

' objectifannoncéparunrécentdécretvisant

à régulerlesdépensesdemédicamentsinscritsaurépertoiregénériques résultantdeprescriptions médicalesétabliespardesprofessionnels desantéexerçantdanslesétablissementsdesantéet

rembourséessurl

' enveloppe desoinsdeville. Cetobjectifdeprescription s' impose à cesprescripteurspour la périodedulezavrilau31décembre2015.

MÉDICAMENTVÉTÉRINAIREL

' APRsonne l

' alerteFACEaunon-respecttropsouventconstatéde

l

'

obligationdeprescriptiondesvétérinaires

,

l

' Association depharmacierurale

(

APR)

a décidéd

' enappeler à la Directiongénéraledela santé

(

DGS)

. Afinderemédier

à cetteabsencedeprescriptionquiprive le

pharmacien d

' unepossibledélivrance

,

l

' APRdemandeà

la DGSla révisiondel

'

arrêtédu24avril2012. Cela

permettrait auxpharmaciens dedispenser des«

anticonceptionnels hormonaux et lesanti-inflammatoiresdestinés

à l

' animal decompagnie ».

II?PRestimequ' il est«

incompréhensible et nonfondémédicalement

(

...

)

d

' exclurecesclassesthérapeutiquesde la délivrancepar le

pharmacien »

. Celaa poureffetd

' incitercertainspropriétaires d

' animauxdecompagnie à userdemédicamentshumains lorsqu' ils sont

, parexemple ,

dansl

' attented

' uneconsultationvétérinaire

,

avecparfoisdes

« conséquencesdramatiques »

. L

' APRrappelleaussi «

l

' importance dusiègeréservé

à unmembredel

' associationauseindescommissionsvétérinaires régionales desARS » pourfaireentendresavoixet

«

dénoncer lesfaux-semblantsde

la politiquesanitairedansle domaine vétérinaire ».

PERDE

COMPTOIRLapharmacie LeRoy,

à Viredansle Calvados,

nousenvoie :

« JevoudraisuneboîtedeBiprofane ,

SVP »

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le QuotidienduPharmacien »

1,rueAugustine-Variot ,

92245 Malakoff,

[email protected] ,

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le quotidiendupharmacien.frenprécisantvos nom et adresse.

N° et date de parution : 150402 - 02/04/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

Site Web : http://www.quotipharm.com/

Page : 2Taille : 60 %1064 cm2

Copyright (Le Quotidien du Pharmacien) Reproduction interdite sans autorisation1 / 1

N° et date de parution : 3170 - 13/04/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

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Contact presse : Patricia Bénitah - P.B Communication7 villa des Sablons – 92200 Neuilly sur Seine Tel : 01 47 31 11 06 / E-Mail : [email protected]

• AVRIL 201541

La borne tactile, symbole de modernité13.04.2015

Installer une borne tactile à l’officine, tel est le pari que s’est lancé Michel Gicquel, titulaire près de Rennes. Un pari réussi, puisque les clients sont séduits par cet outil ludique et moderne, et que le panier moyen des ventes de parapharmacie a augmenté.

DEPUIS JUIN 2014, Michel Gicquel, titulaire à l’Hermitage (Ille-et-Vilaine) teste une borne tactile dans son officine. En pratique, il s’agit d’une tablette tactile greffée sur un support, qui dispose d’une interface avec la pharmacie. Pour Michel Gicquel, « cette borne est un moyen de se différencier de la concurrence, et de rendre sa pharmacie unique et moderne », évoque-t-il lors d’une conférence à Pharmagora Plus. En pratique, la borne tactile propose quatre thématiques d’actualité saisonnière par mois (jambes lourdes, minceur, etc.), qui sont liées à des remises immédiates sur certains produits ou gammes de produits de parapharmacie.

Inscription préalable.Mais attention : les clients qui veulent bénéficier de ces offres promotionnelles doivent au préalable s’inscrire. « Via un questionnaire à remplir sur la borne, nous recueillons son nom, son adresse, son e-mail, ses habitudes de vie : s’il pratique du sport, s’il utilise de l’homéopathie, s’il a des enfants, des animaux de compagnie, etc., rapporte le titulaire. Une fois enregistrés, les clients reçoivent chaque mois, par SMS et par mail, des offres promotionnelles sur des produits de parapharmacie. »Le recueil des données client est primordial. Car grâce à ces informations le pharmacien peut constituer une base de données, et ensuite adapter les offres à chacun. Ainsi, le message envoyé aux clients ne sera pas forcément les mêmes selon leur profil. « C’est ce que l’on appelle la notion de CRM, ou Customer relationship management. En d’autres termes il s’agit de mieux connaître ses clients, leurs besoins, afin d’y répondre de façon adéquate », explique Béatrice Boussard, directeur associé chez Sens’O (cabinet conseil en marketing réseaux).

Aujourd’hui, Michel Gicquel n’utilise pas encore à 100 % les données clients : « Nous éditons seulement deux profils en fonction des informations renseignées : le profil « maman et enfant de 0 à 3 ans » qui reçoit les offres promotionnelles sur les laits infantiles, les crèmes de change, etc. ; et le profil « senior avec un animal de compagnie » qui reçoit les offres sur les produits contre l’arthrose, les produits canins, par exemple », détaille le pharmacien.

PRIXDECESSIONENRECUL,

TAUXD

' EMPRUNTSBAS

S' installeren2015,

c' estpossibleTandisquela professiontraversedesturbulenceséconomiquessansprécédent ,

denombreux jeunesdiplômésseposentla questiondes' installer. Et beaucouphésitentà selancer

. Pourtant,

desopportunitésexistent,

assurent lesexpertscomptables ,

enparticuliergrâceaureculdesprixdecessionet à destauxd

' emprunthistoriquement bas.LEMORALdespharmaciens n' estpasaubeaufixeactuellement . Lesbaissesdeprix

et demargecontrarient lestitulaires . Lesattaques répétées contre le monopole oule

maillagedesofficines nesontpasnonplusfaitspourrassurer lesconfrères . Alors, queconseillerauxjeunesdiplômés ? D

' allervoirailleursou

,

aucontraire,

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« desleviersoffrantdebellesopportunitéspour s' installer »

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' uneconférenceorganiséepar« le Quotidien » dans

le cadreduderniersalonPharmagoraPlus.

Denombreuxindicateurssonteneffetactuellementauvert . Lestaux d

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empruntssonthistoriquement bas(

environ 2 %%horsassurance

) ,

etlesprixdecession des

pharmacies sontenrecul . Selonl

' étudestatistique annuelle d

' Interfimo,

le prixdeventemoyenen2014baissedenouveauparrapport à 2013

,

detroispoints , pours' établirdésormais à 80%%duchiffre d

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le Quotidien » du26mars)

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' excédentbrutd

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exploitation(

EBE)

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foisl

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lesvaleursdesfondssontdevenuesplusraisonnables

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' unmarchéenmutationquiafficheencoredebellesqualités »

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Interfimo.

«

Si lesprixcontinuent às' assagir,

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marchévaprobablement offrirdevraiesopportunités »

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directeurdudépartementPharmaciedeFiducial . Toutefois

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bienentendu

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' emplacement de l

' officineet une

taillesuffisante . Quoiqu' il ensoit,

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,affirmePhilippeBecker.

II ajoute :« Les

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denombreux indicateurssontactuellementauvert

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carle mondeévolue

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etil leur fauts' adapter.

Personnen' échappera à

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' accélération desmutationstechnologiques et

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«Lagrandema

L

' entréedesadjointsdansle capitalbientôtfacilitée

Au-delàdumarchédescessionsdepharmaciesquioffredenouvellesperspectivesauxjeunesdiplômés ,

le projet deloidesantédiscutéactuellement à

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' Assembléenationaleproposedeleurfaciliter

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' entréedans le capital desofficines.Le

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' exercice libéral)

jusqu' à10%%ducapital ,

toutengardantleurstatutdesalarié .

«Ilscontinueront d

' exercerdansle

cadred

' uncontratdetravail »

, préciseAlainDelgutte , présidentduConseilcentral

A

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titulaires)

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' Ordredespharmaciens ,quirappelleque ,

depuis2013,lesadjoints pouvaientdéjàentrerdans

le capitaldesofficinesvialesSPFPL,

ouholding.Maisjusqu' alorspasdansuneSEL

. Unemesuredontsefélicitentlesétudiantsenpharmaciequiappelaient récemment

le gouvernementà

éclaircirsesvolontésenmatièred

' insertion desjeunes,77: pharmaciensadjoints dansle capitaldesSEL .

« Onnepeutqueseréjouirdecertaines avancéesproposéesparla loidesanté »

, soulignePierre-Emmanuel Chator .Levice-présidentdel

' Associationnationaledes étudiants enpharmaciedeFrance(

ANEPF) regrette toutefoisquecertaines

nouvellescompétences accordées auxofficinaux,

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aientétéfinalement écartéesduprojetdeloi.

joritédesfutursdiplômésnesouhaitentplusexercerseuls

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,

confirmePierre-EmmanuelChator,

vice-présidentdel

' Association nationaledesétudiantsenpharmacie deFrance(

ANEPF) chargédesrelations

professionnelles . Unpeupourdesraisons financières,

maisaussipourpouvoir travaillerencollaborationavecd

' autresprofessionnelles.L

' installationdanslescampagnesneleurfaitpasnonpluspeur. Aucontraire .

« Noussommesconscientsqu'exercer enmilieururalapporte uneplusvalue

à notreprofession , expliquePierre-Emmanuel Chaton.Celacorrespond à notrevisiondumétiertournéeverslesnouvellesmissions et

l

'

intepprofessionnalité . »

Cependant ,

la belleambition desjeunespharmacienssefracasseparfoissurlescontraintes financièresnécessairesauprojet d

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il

fautbienle dire,

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la soliditéfinancièredesprojets ,

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y

auramoinsdepharmacies «

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» JérômeCaponseveutluiaussirassurant

et expliqueque l

' onpeutacheteruneofficinesansavoirobligatoirementunapportconséquent. Laqualitéduprojetcompteégalement pourbeaucoup ,

insiste le directeurrégional?le-deFrance

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' Interflmo . « C' estaufuturacquéreur denousconvaincre personnellementdecequ'il souhaiteentreprendreavecla

pharmaciequ'il envisage d

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, indique-t-il .L

' avenir n' estpeutêtre pasaussinoirqu'onle pense.

> CHRISTOPHE MICAS

GÉNÉRIQUEÀ L

' HÔPITAL

Objectif39%%UNARR?TÉparu le 31mars2015au

« Journalofficiel »

fixeà 39%%le tauxprévisionneldeprescriptionhospitalière demédicaments inscritsaurépertoiredesgroupesgénériques . Cetextevientpréciser l

' objectifannoncéparunrécentdécretvisant

à régulerlesdépensesdemédicamentsinscritsaurépertoiregénériques résultantdeprescriptions médicalesétabliespardesprofessionnels desantéexerçantdanslesétablissementsdesantéet

rembourséessurl

' enveloppe desoinsdeville. Cetobjectifdeprescription s' impose à cesprescripteurspour la périodedulezavrilau31décembre2015.

MÉDICAMENTVÉTÉRINAIREL

' APRsonne l

' alerteFACEaunon-respecttropsouventconstatéde

l

'

obligationdeprescriptiondesvétérinaires

,

l

' Association depharmacierurale

(

APR)

a décidéd

' enappeler à la Directiongénéraledela santé

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DGS)

. Afinderemédier

à cetteabsencedeprescriptionquiprive le

pharmacien d

' unepossibledélivrance

,

l

' APRdemandeà

la DGSla révisiondel

'

arrêtédu24avril2012. Cela

permettrait auxpharmaciens dedispenser des«

anticonceptionnels hormonaux et lesanti-inflammatoiresdestinés

à l

' animal decompagnie ».

II?PRestimequ' il est«

incompréhensible et nonfondémédicalement

(

...

)

d

' exclurecesclassesthérapeutiquesde la délivrancepar le

pharmacien »

. Celaa poureffetd

' incitercertainspropriétaires d

' animauxdecompagnie à userdemédicamentshumains lorsqu' ils sont

, parexemple ,

dansl

' attented

' uneconsultationvétérinaire

,

avecparfoisdes

« conséquencesdramatiques »

. L

' APRrappelleaussi «

l

' importance dusiègeréservé

à unmembredel

' associationauseindescommissionsvétérinaires régionales desARS » pourfaireentendresavoixet

«

dénoncer lesfaux-semblantsde

la politiquesanitairedansle domaine vétérinaire ».

PERDE

COMPTOIRLapharmacie LeRoy,

à Viredansle Calvados,

nousenvoie :

« JevoudraisuneboîtedeBiprofane ,

SVP »

( pourBi-Profénid

,

biensûr).

NDLR : « DouxJésus !

»

Faites-nouspartager les « mots»

devosclients,

nous lespublierons.Envoyez vos « Perlesdecomptoir »

à Didier Doukhan :

«

le QuotidienduPharmacien »

1,rueAugustine-Variot ,

92245 Malakoff,

[email protected] ,

fax: 01.73.28.14.41 ousur le site

le quotidiendupharmacien.frenprécisantvos nom et adresse.

N° et date de parution : 150402 - 02/04/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

Site Web : http://www.quotipharm.com/

Page : 2Taille : 60 %1064 cm2

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N° et date de parution : 3170 - 13/04/2015Diffusion : 22000Périodicité : Bi-hebdomadaire

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Contact presse : Patricia Bénitah - P.B Communication7 villa des Sablons – 92200 Neuilly sur Seine Tel : 01 47 31 11 06 / E-Mail : [email protected]

• AVRIL 201542

Mais à terme, l’objectif est d’exploiter plus en profondeur les données clients pour adapter les offres à chaque personne. Toutefois le bilan de ce premier screening est positif : « il a permis d’augmenter les ventes de parapharmacie à l’officine : le panier moyen est passé de 12-13 euros à 25 euros », se félicite Michel Gicquel.Par ailleurs, l’objectif n’est pas uniquement commercial. La borne propose aussi du contenu informatif : des fiches pathologies, la présentation de campagnes de santé publique, d’associations de patients, des différents services proposés à la pharmacie…Un concept bien accueilli.Côté patient, le concept a été bien accueilli. « Cette offre digitale captive par son côté ludique, son originalité, mais aussi par l’information diffusée (campagne, prévention), et par l’image (avec des vidéos pour des produits OTC). Enfin, les clients considèrent que la borne donne une image dynamique de la pharmacie », avance Michel Gicquel. Ensuite, l’envoi des mails a été un succès, puisqu’environ 25 à 30 % d’entre eux sont ouverts, ce qui est une belle performance dans ce domaine.Le projet du pharmacien a également séduit les commerçants de l’agglomération rennaise : La borne interactive a obtenu le premier prix, dans la catégorie Développement Commercial, lors des Trophées du commerce du Pays de Rennes, en décembre 2014, qui a réuni quelque 650 commerçants.Enfin, au niveau réglementaire, le projet de borne interactive a été validé par l’Ordre des pharmaciens. « Il n’y a pas de sollicitation de la clientèle hors de la pharmacie et seuls les clients qui ont accepté de remplir le formulaire reçoivent les offres promotionnelles qui ne concernent que la parapharmacie », souligne le titulaire.

PRIXDECESSIONENRECUL,

TAUXD

' EMPRUNTSBAS

S' installeren2015,

c' estpossibleTandisquela professiontraversedesturbulenceséconomiquessansprécédent ,

denombreux jeunesdiplômésseposentla questiondes' installer. Et beaucouphésitentà selancer

. Pourtant,

desopportunitésexistent,

assurent lesexpertscomptables ,

enparticuliergrâceaureculdesprixdecessionet à destauxd

' emprunthistoriquement bas.LEMORALdespharmaciens n' estpasaubeaufixeactuellement . Lesbaissesdeprix

et demargecontrarient lestitulaires . Lesattaques répétées contre le monopole oule

maillagedesofficines nesontpasnonplusfaitspourrassurer lesconfrères . Alors, queconseillerauxjeunesdiplômés ? D

' allervoirailleursou

,

aucontraire,

desaisir leurchancepourépouseruneprofessionqui

a encoreunavenir?II existeaujourd ' hui

« desleviersoffrantdebellesopportunitéspour s' installer »

, répondJérômeCapon ,directeurrégional?le-de-France d

'

Interfimo,

à l

' occasiond

' uneconférenceorganiséepar« le Quotidien » dans

le cadreduderniersalonPharmagoraPlus.

Denombreuxindicateurssonteneffetactuellementauvert . Lestaux d

'

empruntssonthistoriquement bas(

environ 2 %%horsassurance

) ,

etlesprixdecession des

pharmacies sontenrecul . Selonl

' étudestatistique annuelle d

' Interfimo,

le prixdeventemoyenen2014baissedenouveauparrapport à 2013

,

detroispoints , pours' établirdésormais à 80%%duchiffre d

' affaireshorstaxes

le Quotidien » du26mars)

. Mêmeconstatsi

l

' onexprimele prixdeventemoyenenmultipledel

' excédentbrutd

'

exploitation(

EBE)

. Celui-cireprésentedésormais

6

,5

foisl

' EBE,

aulieude6

,9

foisen2013 . « Lesvendeursontprisconsciencequ'ils nepouvaient plusvendreleurofficineauniveauauquel ils l

' avaientacheté »

, analyseJérômeCapon . Ducoup ,

lesvaleursdesfondssontdevenuesplusraisonnables

,

et lesendettements aussi.efIl s' agit d

' unmarchéenmutationquiafficheencoredebellesqualités »

,

assurele directeurrégional ne-de-France d

'

Interfimo.

«

Si lesprixcontinuent às' assagir,

le

marchévaprobablement offrirdevraiesopportunités »

,

estimeégalementPhilippeBecker

,

directeurdudépartementPharmaciedeFiducial . Toutefois

,

à sesyeux,

lesfacteursclésde

la réussiteresteront,

bienentendu

,

l

' emplacement de l

' officineet une

taillesuffisante . Quoiqu' il ensoit,

« l

'

installationrestepossible, malgrélesnuages

qui s' amoncellentsurla profession »

,affirmePhilippeBecker.

II ajoute :« Les

professions libéralesviventdepuisplu

Pourlescandidatsà l

' installation,

denombreux indicateurssontactuellementauvert

sieursannéesunepériodedifficile,

carle mondeévolue

,

etil leur fauts' adapter.

Personnen' échappera à

l

' accélération desmutationstechnologiques et

à l

'

affaiblissementdesprotectionsmonopolistiques .»

L

' associationprivilégiée . Lesjeunesdiplômés

,

eux,

semblentprêtsà franchirle pas.Ainsi

,

selonJérômeCapon,

la moitiédesdossiers

d

' acquisitionqu'il traiteactuellementconcernedesprimo-accédants . Lesdeuxcaslesplusfréquemment rencontréssontceluidel

' associationd

' unjeunepharmacienavecunplusanciendéjàinstallé

,maisaussidedeuxjeunesquidésirents' associer pourtravailler .

«Lagrandema

L

' entréedesadjointsdansle capitalbientôtfacilitée

Au-delàdumarchédescessionsdepharmaciesquioffredenouvellesperspectivesauxjeunesdiplômés ,

le projet deloidesantédiscutéactuellement à

l

' Assembléenationaleproposedeleurfaciliter

l

' entréedans le capital desofficines.Le

textedéfenduparMarisolTouraineprévoiteneffetuneparticipationdirectedesadjointsdans

lespharmaciesenSEL(

sociétéd

' exercice libéral)

jusqu' à10%%ducapital ,

toutengardantleurstatutdesalarié .

«Ilscontinueront d

' exercerdansle

cadred

' uncontratdetravail »

, préciseAlainDelgutte , présidentduConseilcentral

A

(

titulaires)

del

' Ordredespharmaciens ,quirappelleque ,

depuis2013,lesadjoints pouvaientdéjàentrerdans

le capitaldesofficinesvialesSPFPL,

ouholding.Maisjusqu' alorspasdansuneSEL

. Unemesuredontsefélicitentlesétudiantsenpharmaciequiappelaient récemment

le gouvernementà

éclaircirsesvolontésenmatièred

' insertion desjeunes,77: pharmaciensadjoints dansle capitaldesSEL .

« Onnepeutqueseréjouirdecertaines avancéesproposéesparla loidesanté »

, soulignePierre-Emmanuel Chator .Levice-présidentdel

' Associationnationaledes étudiants enpharmaciedeFrance(

ANEPF) regrette toutefoisquecertaines

nouvellescompétences accordées auxofficinaux,

tellela vaccination

,

aientétéfinalement écartéesduprojetdeloi.

joritédesfutursdiplômésnesouhaitentplusexercerseuls

,

maisenassociation »

,

confirmePierre-EmmanuelChator,

vice-présidentdel

' Association nationaledesétudiantsenpharmacie deFrance(

ANEPF) chargédesrelations

professionnelles . Unpeupourdesraisons financières,

maisaussipourpouvoir travaillerencollaborationavecd

' autresprofessionnelles.L

' installationdanslescampagnesneleurfaitpasnonpluspeur. Aucontraire .

« Noussommesconscientsqu'exercer enmilieururalapporte uneplusvalue

à notreprofession , expliquePierre-Emmanuel Chaton.Celacorrespond à notrevisiondumétiertournéeverslesnouvellesmissions et

l

'

intepprofessionnalité . »

Cependant ,

la belleambition desjeunespharmacienssefracasseparfoissurlescontraintes financièresnécessairesauprojet d

' installation . « Si aujourd ' huilesexigencesbancairessontfortes et parfois ,

il

fautbienle dire,

dissuasives,

c' estaussiparcequedésormaislesprêteursregardentdeprès la rentabilité et

la soliditéfinancièredesprojets ,

relativisePhilippeBecker. C' esttantmieux

,

caril

y

auramoinsdepharmacies «

autapis » danslesprochainesannées .

» JérômeCaponseveutluiaussirassurant

et expliqueque l

' onpeutacheteruneofficinesansavoirobligatoirementunapportconséquent. Laqualitéduprojetcompteégalement pourbeaucoup ,

insiste le directeurrégional?le-deFrance

d

' Interflmo . « C' estaufuturacquéreur denousconvaincre personnellementdecequ'il souhaiteentreprendreavecla

pharmaciequ'il envisage d

' acheter,

desastratégie »

, indique-t-il .L

' avenir n' estpeutêtre pasaussinoirqu'onle pense.

> CHRISTOPHE MICAS

GÉNÉRIQUEÀ L

' HÔPITAL

Objectif39%%UNARR?TÉparu le 31mars2015au

« Journalofficiel »

fixeà 39%%le tauxprévisionneldeprescriptionhospitalière demédicaments inscritsaurépertoiredesgroupesgénériques . Cetextevientpréciser l

' objectifannoncéparunrécentdécretvisant

à régulerlesdépensesdemédicamentsinscritsaurépertoiregénériques résultantdeprescriptions médicalesétabliespardesprofessionnels desantéexerçantdanslesétablissementsdesantéet

rembourséessurl

' enveloppe desoinsdeville. Cetobjectifdeprescription s' impose à cesprescripteurspour la périodedulezavrilau31décembre2015.

MÉDICAMENTVÉTÉRINAIREL

' APRsonne l

' alerteFACEaunon-respecttropsouventconstatéde

l

'

obligationdeprescriptiondesvétérinaires

,

l

' Association depharmacierurale

(

APR)

a décidéd

' enappeler à la Directiongénéraledela santé

(

DGS)

. Afinderemédier

à cetteabsencedeprescriptionquiprive le

pharmacien d

' unepossibledélivrance

,

l

' APRdemandeà

la DGSla révisiondel

'

arrêtédu24avril2012. Cela

permettrait auxpharmaciens dedispenser des«

anticonceptionnels hormonaux et lesanti-inflammatoiresdestinés

à l

' animal decompagnie ».

II?PRestimequ' il est«

incompréhensible et nonfondémédicalement

(

...

)

d

' exclurecesclassesthérapeutiquesde la délivrancepar le

pharmacien »

. Celaa poureffetd

' incitercertainspropriétaires d

' animauxdecompagnie à userdemédicamentshumains lorsqu' ils sont

, parexemple ,

dansl

' attented

' uneconsultationvétérinaire

,

avecparfoisdes

« conséquencesdramatiques »

. L

' APRrappelleaussi «

l

' importance dusiègeréservé

à unmembredel

' associationauseindescommissionsvétérinaires régionales desARS » pourfaireentendresavoixet

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dénoncer lesfaux-semblantsde

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PERDE

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à Viredansle Calvados,

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»

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le QuotidienduPharmacien »

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• AVRIL 201543

MENSUELS

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• AVRIL 201544

Pharmacien Manager N° 150401

PharmacienManager . BeautySuccessexposepourla premièrefoisà PharmagoraPlus . Pourquellesraisons

?

FlorencedeMortillet . EtreexposantsurPharmagoraPlus nouspermetdeprésenterà unpublicdepharmaciensnotrefranchisedeparapharmacie ,

la

seuleprésentantunconceptéprouvésurcemarché . Nousavonslancécettefranchiseet nousavonscapitalisésurl

'

expérienceBeautySuccessenparfumerie et institutsdebeauté . Enparapharmacie ,

l

'

accompagnement estle

mêmequepourla parfumerie : desplansd

' animationsenseigneet marque ,

uneplate-formelogistique ,

deséquipessurle

terrain,

desservicessupports...

QUESTIONSÀ

FlorencedeMortillet

DIRECTRICEDEL

' ENSEIGNEBEAUTYSUCCESS

P.M . Quelssontvosobjectifsdedéveloppementpourvosparapharmacies ?

F.d.M. Nousavonsmisplusdetempsqueprévuà démarrerl

'

implantation duconcept.Pourl

'

instant,

deuxprojetsdeparapharmaciesontdéjàsignés.

L

'

objectifestd

' atteindre5oparapharmaciesd

'

ici à quatreans . Parailleurs,

nousavonsplusieursprojetsensignatureconcernantdesconceptstotauxparfumerie/

institutdebeauté

/ parapharmacie ,

c' est-à-diredesmodèlesproposantuneoffresanté

/

beautécomplèteavecunedynamiqueentrelesmétierspourassureruneactivitédifférenciante et lucrative.

ProposrecueillisparPeggyCardin

N° et date de parution : 150401 - 01/04/2015Diffusion : 8000Périodicité : Mensuel

Site Web : http://www.wk-pharma.fr

Page : 12Taille : 100 %147 cm2

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• AVRIL 201545

News Avril 2015

Bilan de Pharmagora par Sophie BouhierPharmagoraPlus : un salon mieux ciblé

Plus pertinente, revitalisée et plus ciblée que jamais, la nouvelle formule de PharmagoraPlus a séduit tant les visiteurs que les exposants à la Porte de Versaille es 21 et 22 mars derniers. Rapide bilan d’un salon leader dédié au secteur de la pharmacie en France.Suite à l’acquisition de Pharmagora par la société CloserStill l’année dernière, le défi consistait à repositionner le salon afin de lui donner une croissance durable dans un secteur en changement constant. Pari réussi puisque 11 710 professionnels du secteur se sont rendus au Hall 7.3 de la Porte de Versailles à Paris.Avec une croissance de 20 % du nombre de participants, PharmagoraPlus a été le lieu de rencontre plébiscité par les pharmaciens de France mais également de 90 pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique et d’Asie. Les 240 exposants, présents sur le salon pour faire découvrir aux visiteurs les dernières innovations et produits indispensables pour développer une pharmacie ont ainsi pu être en contact avec leur cœur de cible grâce à une politique de sélection plus rigoureuse que les années passées.Résultats : 87 % des visiteurs étaient des pharmaciens (titulaires / adjoints). Une belle augmentation de près de 30 points par rapport à l’année dernière qui comptait 55 % de pharmaciens. De nombreux exposants ont exprimé leur satisfaction et la richesse des contacts établis au cours de ces deux journées intenses en échanges.

La formation professionnelle mise en avant

Pour cette nouvelle version, PharmagoraPlus a proposé la formation professionnelle comme fil conducteur du salon. L’ambition de l’événement était d’apporter des solutions et des réponses concrètes applicables aux officines dès la sortie de conférences des pharmaciens. Six programmes de formation complets et ciblés étaient proposés en parallèle : aires thérapeutiques, gestion de l’officine, cliniques de l’innovation, académie OTC et forum de la profession auxquels se rajoutaient de nombreux ateliers organisés par des partenaires du secteur. L’affluence sur ces espaces de conférences n’a cessé de croître jusqu’à la dernière présentation dimanche à 17h30. Ces 70 heures de sessions de formation ont ainsi enregistré près de 6 000 visites au total. Une nouvelle formule validée et promise à un bel avenir Souhaitant valider et consolider cette formule, CloserStill donne rendez-vous aux professionnels du secteur l’année prochaine les 2 et 3 avril 2016 pour une édition avec encore plus de nouveautés au Hall 3 de la Porte de Versailles.

Vu à Pharmagora par Anne Julien...

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• AVRIL 201546

Tolériane soulage les yeux irrités Il est à la fois hydratant, anti-poches et anti -irritations. Le Laboratoire La Roche Posay (L’Oréal Cosmétique Active) complète sa ligne pour peaux ultra sensibles et allergiques avec Tolériane Ultra Contour Yeux. C’est la première fois que la marque signe un soin des yeux dans cette gamme depuis sa création en 1994. Sa mission ? Soulager les signes d’inconfort de cette zone particulièrement exposée grâce à l’association de deux actifs anti-irritations, la neurosensine et la niacinamide, à l’eau thermale de La Roche-Posay. Sa formule minimaliste se loge dans un packaging hermétique breveté. Disponible à partir d’avril aux environs de 18 € le flacon-pompe 20 ml.

Une huile sèche bio MagnificaSanoflore étoffe sa ligne pour les peaux grasses et mixtes avec la sortie, début avril, d’un sérum purifiant, hydratant et nourrissant. Baptisée Essence magnifica, cette huile sèche associe squalane végétal hydratant et huiles de jojoba et d’olive bio. Il se compose également du complexe breveté des 9 huiles essentielles bio (sarriette des montagnes, thym thymol, origan vert, mélisse officinale, romarin à cinéol, clou de girofle...) déjà présent dans la lotion Aqua magnifica et dont la concentration a été multipliée par 5. Augmentation de la production de sébum, bactéries indésirables (Propionibacterium Acnes), accumulation des cellules mortes, réactions inflammatoires : ce soin certifié combat tous les facteurs responsables des imperfections.Autour de 35 € le flacon-pipette 30 ml.

Les Fleurs de Bach mettent l’ambiance Six parfums d’ambiance aux fleurs de Bach et aux huiles essentielles bio pour retrouver l’équilibre émotionnel. La société créée par Gérard Wolf, Elixirs & co, lance fin avril une ligne de six fragrances conditionnées dans des flacons en aluminium inspirés de l’estagnon. Cette gamme certifiée bio se compose de deux références existantes (Réconfortant Urgences, Relaxant Stress), qui ont été simplement repackagées, et de quatre nouveautés : Enfant Calme, Tonifiant Energie, Calmant Conflits pour alléger les atmosphères sujettes aux affrontements et Apaisant Sommeil.Les six références sont disponibles en 100 ml (19,50€ environ) et en 30 ml (9,95€), présentoirs, PLV de comptoir et brochures à l’appui.

Actuellement, la marque est implantée dans un millier de pharmacies en France. Une directrice des ventes, Nati Dominguez, vient d’être recrutée pour accélérer son développement dans l’Hexagone et à l’étranger.

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• AVRIL 201547

Carine GonzalezPharmacien cotitulaire, Kremlin-Bicêtre

Je suis venue pour valider mon DPC. J’ai suivi la formation « Quels pansements

pour quelles plaies ? », avec une session en présentiel sur le salon et une seconde partie en e-learning. Cela m’a beaucoup plu en raison de l’expertise et de l’humour du formateur. J’ai profité de mon passage sur le salon pour identifier les nouvelles tendances et orientations. J’ai aussi rendu visite à mes contacts labos habituels sur leurs stands.

ils

tém

oig

nen

t…

SSanté connectée, e-santé, propositions nu-mériques, applications mobiles, nouvelles technologies, télémédecine, digitalisation… Les termes les plus en vogue sur le dévelop-pement des nouvelles technologies ont fait l’objet de nombreuses conférences et dis-cussions sur les stands. « Le numérique est déjà partout, souligne Michel Gicquel, phar-macien, et la pharmacie doit accompagner cette évolution. » « L’explosion de la santé connectée dans tous les domaines est due

à trois éléments moteurs : l’énorme augmentation du volume de données, l’ac-quisition galopante d’objets connectés par les Français (tous domaines confondus, dont la santé, les Français possèdent chacun 3 objets connectés, ils en auront 7 d’ici à 2020), l’apport du numérique pour l’accom-pagnement de la prise en charge à domicile », dé-taille Benjamin Sarda, di-recteur marketing produit chez Orange Healthcare. Ce dernier point recoupe

l’évolution sociétale car 80 % des personnes de plus de 60 ans souhaitent rester chez elles quand elles vieillissent et la tendance est aux soins ambulatoires. « Un quart des Français utilisent un objet connecté, dont 73% pensent que cela favorisera un meil-leur échange avec les professionnels de santé », explique Catherine Argillier, créa-trice de la société Itwell.Des garde-fous doivent toutefois être mis en place. « Il est primordial de garantir le respect de la confidentialité des données personnelles », insiste Alexandre Plé, fon-dateur de Umanlife. « Attention aussi à ce que “objet connec-té” ne soit pas synonyme de “gadget”, met en garde Lionel Reichardt, créateur de Pharmageek, il faut qu’il s’intègre dans un programme global de prise en charge du patient. » Ces solutions connectées doivent être évaluées et validées pour pou-voir, à terme, être conseillées, prescrites, voire remboursées. « Pour parler de san-té connectée, toutes les données doivent pouvoir être croisées. Le futur de la santé reliera toutes les mesures relevées par dif-férents objets sur une même plate-forme collaborative entre patient, pharmacien,

La révolution numérique prend d’assaut la pharmacie

30 • N°105 • avril 2015

Évolution sans rÉvolution 2 Votre métier change aVec le déVeloPPement de la cooPération interProfessionnelle, l’arriVée de solutions numériques…

aPerçu au traVers de la dizaine de conférences que nous aVons suiVi Pour Vous. À Picorer au gré de Vos centres d’intérêt.

PharmagoraPlus 2015

Par Alain NOËL et Juliette SCHENCKÉRY

Avril 2015

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• AVRIL 201548

Caroline MazetPharmacienne titulaire,

saint-Pantaléon-de-larche

Je suis venue spécialement pour

dénicher des nouveautés dans l’objectif de

dynamiser l’officine dans le cadre de la commission à laquelle je

participe au sein de mon groupement. J’ai trouvé des idées. Par exemple, il est possible

d’intégrer des outils de sondage de la clientèle autour de la qualité de notre service, tout

simplement dans le terminal bancaire ou grâce à une tablette numérique. J’ai aussi découvert

des innovations en matière d’agencement.

ils

tém

oig

nen

t…

Mar

c-A

ndré

Tiro

uet

médecin… », prédit Uwe Diegel, président d’iHealth. Même si certaines technologies ne sont pas encore prêtes à intégrer le quotidien de chacun, un certain nombre d’actes de santé connectée sont matures comme la télémédecine, les appareils d’automesure, les applications de suivi de l’observance…Si la télémédecine se développe dans des pôles de santé, pour des téléconsultations avec l’hôpital, sa mise en œuvre est éga-lement possible à l’officine. Pour preuve l ’expérimentation réussie de Sophie Touffin-Rioli, pharmacienne en Vendée, seule officine française à avoir installé une pièce pour la télémédecine dans son officine. « La mise en place de la télémé-decine et des outils nécessaires me coûte environ 450 euros/mois », précise-t-elle. Dans une région manquant de médecins spécialistes, son installation en lien avec le centre hospitalier voisin permet des téléconsultations avec un diabétologue, un dermatologue, un ophtalmologue… « Nous gagnons tous en efficacité et les échanges interprofessionnels sont accrus. La télémédecine en pharmacie ouvre une nouvelle possibilité au patient d’accéder aux soins dans les zones de désertifica-tion médicale où le recours à certaines spécialités médicales est difficile d’accès. J’accueille environ 3 patients par semaine pour l’instant et l’Ehpad voisin procède à 15 téléconsultations hebdomadaires », dénombre-t-elle.

Quels moyens technologiques pour la coordination du parcours de soins ?

La coordination du parcours de soins est favorisée par le recours à de nouveaux moyens technologiques, en particulier informatiques. C’est ce qu’explique Fabrice Mambrini, vice-président de Cegedim Healthcare Software, qui propose des solutions informatiques aux médecins, pharmaciens, pa-ramédicaux, ainsi qu’une base de données médica-menteuse. Les enjeux ma-jeurs sont nombreux : « l’interopérabilité des différents systèmes, l’harmonisation des normes et référentiels (dispositifs mé-dicaux, médicaments, terminologies médi-cales), les échanges entre professionnels

2en chiffres

11 710 professionnels du secteur médical sont venus à la première édition de PharmagoraPlus, organisée par CloserStill Media, qui annonce une croissance de 20 % du nombre de participants.

240 exposants

70 h de sessions de formation ont enregistré près de 6 000 visites.

En 2016, les 2 et 3 avril 2016 PharmagoraPlus se tiendra dans le Hall 3 à Paris, porte de Versailles.

31 N°105 • avril 2015 •

Avril 2015

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• AVRIL 201549

Marielle DieudonnéAdjointe, PAris

Je n’étais pas venue depuis longtemps à ce grand rassemblement annuel de la profession.

Je lis la presse professionnelle mais je voulais me faire une idée plus large sur les évolutions de notre profession et les perspectives. Malgré le long temps d’attente pour entrer et le petit nombre de stands, j’ai beaucoup apprécié les nombreuses conférences. La possibilité de faire une formation validante est une bonne idée. Et c’est toujours un lieu de rencontre avec des confrères que l’on a du mal à voir en dehors de nos horaires de travail. C’est bon pour le moral !

Philippe ComtetitulAire, digne-les-BAins

Le nouveau nom, PharmagoraPlus, avait suscité de nouvelles attentes et je n’ai malheureusement pas perçu de grands

changements. Il manque des lieux de rencontres informelles en dehors des stands. Je ne comprends pas la validation de formations DPC dans les conditions d’un salon. De plus, les conférences sont, pour une grande part, trop visiblement sponsorisées. J’ai apprécié de voir de nouveaux exposants et de nombreux stands mais une seule journée de visite aurait suffi.

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de santé et objets connec-tés, les homologations et labellisations des systèmes de gestion ; le référentiel d’agrément des hébergeurs de données santé ; le futur DMP, le DP, l’e-prescription, l’open data… » La société travaille aussi sur la déma-térialisation et la simplifi-cation administrative, et le décloisonnement entre les acteurs pour l’échange et le partage des informations, ou encore sur la protocoli-sation des prises en charge, en direction des maisons de santé pluridisciplinaires et des pôles de santé. Il s’agit

de promouvoir « un système mutualisé utili-sable par tous les professionnels concernés, mais qui leur laisse la possibilité de conti-

nuer à utiliser leur propre système. » Sa filiale, Allia-dis a lancé l’application en ligne Mon Suivi Patient, ac-cessible de tous les postes de l’officine, qui contribue au suivi du patient et à la coordination des soins  : historique de la pathologie, échange entre profession-nels de santé, possibilité d’inclusion dans tout proto-cole pluridisciplinaire…

Construire la coopération avec les maisons de santé

Différents accès sont pos-sibles pour entrer de plain-pied dans l’in-terprofessionnalité. Les maisons et pôles de santé en sont un, dans lequel les phar-maciens peuvent s’intégrer. « Un des objec-tifs de la Stratégie nationale de santé est de maintenir le plus longtemps possible les gens dans leur milieu de vie, souligne Phi-lippe Gaertner, président du CNPS et de la FSPF, lors d’une conférence intitulée “Mai-sons et pôles de santé, une porte d’entrée

dans l’interprofessionnalité”. Pour y parve-nir, il faut réussir à faire travailler ensemble des professionnels de santé libéraux, et mettre en face des moyens techniques et économiques. » Les nouveaux modes de rémunérations, rendus pérennes pour les cinq prochaines années depuis février der-nier par le règlement arbitral, attribuent 50 000 euros par an aux maisons de san-té. « Un coût largement compensé par les économies engendrées, selon une récente étude de l’Irdes » rappelle Brigitte Bouzige, première vice-présidente de la Fédération française des maisons et pôles de santé. Les maisons de santé apportent des solutions face à la désertification médicale et aux at-tentes des professionnels de santé concer-nant leur confort d’exercice. « Les pharma-ciens peuvent être catalyseurs d’un projet de santé, même s’il est souvent compliqué pour les professionnels de santé libéraux de monter les dossiers. Il faut encore simplifier les procédures », réclame Philippe Gaertner.

L’interprofessionnalité, une chance

« La demande de soins augmente au sein de la population, note Stéphane Billon économiste et directeur associé de Ka-medis Conseils, le pharmacien y trouvera des leviers de croissance et la pénurie de médecins fait que l’interprofessionnalité progressera inéluctablement. » Il observe déjà (dans l’Observatoire de l’interprofes-sionnalité qu’il anime) une augmentation de la demande de conseils pour la créa-tion de Sisa, sociétés interprofessionnelles de soins ambulatoires. Les pharmaciens s’interrogent sur les possibilités de finan-cement des actions interprofessionnelles. C’est pourquoi « le pharmacien doit d’abord favoriser l’observance. Et l’interprofession-nalité accompagne cette démarche grâce à des échanges d’informations et à des ac-tions synergiques et coordonnées ». « La réponse à l’objectif de continuité des soins est améliorée via les innovations tech-nologiques et la première démarche inter-professionnelle, c’est de partager des infor-mations patients, avant même de créer une MSP (maison de santé pluridiscipinaire)»,

PHARMAGORAPLUS 2015

34 • N°105 • avril 2015

Avril 2015

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• AVRIL 201550

Sandie Lagoanere

PhArmAcienne remPlAçAnte, cAstres

Après 10 ans dans l’industrie

pharmaceutique, je reviens à l’officine. Je me suis formée à

l’éducation thérapeutique et je suis venue chercher comment mettre à profit cette

nouvelle compétence. J’ai assisté à plusieurs conférences pour identifier l’émergence de

nouveaux métiers avec l’arrivée des nouvelles missions pour les pharmaciens. Les sessions

de formation que j’ai suivies n’étaient souvent pas assez concrètes pour l’exercice officinal. Les stands s’adressent surtout aux titulaires.

Sophie Ropiteaux

PhArmAcienne titulAire,dijon

Je n’étais pas venue depuis plus de cinq

ans. Je souhaitais découvrir les nouveautés, en particulier

dans le domaine des objets connectés mais aussi de l’agencement et du matériel. Et je

suis satisfaite car j’ai vu beaucoup de choses intéressantes : des tensiomètres, des lecteurs

de glycémie connectés…

ils

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ent…

souligne-t-il. Les professionnels de santé peuvent s’organiser au niveau local, dans des Sisa par exemple, ce qui permet d’obte-nir des financements, donc des rémunéra-tions, par l’agence régionale de santé (ARS) concernée. Cela ouvre la possibilité de nou-veaux parcours de soins, coordonnés pour compenser notamment la pénurie médi-cale, et « l’hospitalo-centrisme. »

Prouver l’impact du conseil officinal sur le coût des soins

Les études médico-économiques menées en officines témoignent de la baisse du nombre de consultations et d’hospitalisa-tions suite à l’action des officinaux. Profes-seur d’économie et fondateur directeur de Kamedis Conseils, Stéphane Billon a créé l’Observatoire pharmaco-économique de l’officine (Ophelis), pour évaluer le rapport coût/efficacité de l’accompagnement phar-maceutique des patients. Il entend donner au pharmacien, qui « fait actuellement des choses pour lesquelles il sera peut-être payé un jour », des arguments face à ses tutelles, en démontrant que le service de soins à l’officine est efficace cliniquement, et réduit les coûts pour l’Assurance mala-die. Une étude portant sur 128 diabétiques dans 32 officines françaises pendant un an a montré que l’accompagnement pharma-ceutique a permis de réduire de 16% les hospitalisations liées au diabète et de 27% les consultations chez le médecin traitant, avec une très nette amélioration de l’obser-vance. L’économie annuelle est estimée à 261 euros par patient diabétique.Pour Gilles Bonnefond, président de l’US-PO, il faut « un modèle médico-économique d’évaluation des nouvelles missions offici-nales », « élargir l’action officinale auprès des personnes âgées » et une réflexion « pour in-clure de nouveaux interlocuteurs, comme les complémentaires, dans le débat. »

Le suivi de la vaccination, une nouvelle mission pour l’officine

Les pharmaciens ne vaccineront pas, du moins pour le moment, ainsi en a décidé l’Assemblée nationale. Mais les données

concernant les vaccins figureront désor-mais dans le dossier pharmaceutique (DP)pendant 21 ans. L’officinal peut de ce fait jouer un rôle de conseil, avec le concours des nouvelles technologies comme le site mesvaccins.net (destiné au patient et au pharmacien) ou la plate-forme Eureka Care, proposée par Robotik Technology. Officinale, Marianne Le Bruchec y voit un nouveau défi pour les pharmaciens dont les enjeux sont l’information sur les cam-pagnes de vaccination et le calendrier, l’ac-croissement de la couverture vaccinale, le suivi des patients vaccinés… » Quels patients seraient concernés  ? Non pas les nourrissons – dont la cou-verture vaccinale est très bonne – ni la primo-vacci-nation grippale, mais les vaccins de l’adulte, les rap-pels DTCP, les vaccins du voyageur. Notre consœur est prête à se lancer dans l’expérimen-tation si les ARS la confient aux pharmaciens. Pas ques-tion de remplacer méde-cin ou infirmière, mais de « venir en complément, pour accroître la couverture ». Le pharmacien est disposé à se former. Deux de ses atouts sont la proxi-mité et la disponibilité, sans oublier « le DP, pour assurer un suivi maximal ». Le docteur Magar, forma-teur, rappelle la nécessité d’une « démarche éduca-tive comme lors des entre-tiens pharmaceutiques », ce qui implique de passer d’une « approche injonctive à une attitude bidirection-nelle, d’écoute et de prise en compte du patient, de ses connaissances et de ses attentes ». Meilleur moyen de surmonter les éventuels préjugés et résistances à la vaccination. n

35 N°105 • avril 2015 •

Avril 2015

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• AVRIL 201551

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Lelow-pooaulieudushampooing

71INCONTINENCELefitnessdupérinée

NOUVELLERÉMUNÉRATION

10PharmacienManager n° 147 - mai2015

Renoncer aushampooingauprofitdesolutionsplusnaturelles?AuxEtats-Unis

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anglaisno-shampoo ,

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àselaverlescheveuxunefoisparsemaineavec

unaprès-shampooing sanssilicone,

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' avoiruneactionnéfaste surla

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'

électrodes.Çachangedel

' universdescouchespourfuitesurinaires .

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le dispositifmédicalFemifreesepositionnesurle créneaudel

'

incontinence(

enpréventionouenrééducation)

. Lancéparle

groupeirlandaisBMR,quicommercialiseaussiSlendertone,

le conceptdu« fitnessdupérinée » fonctionneparélectrostimulationdesmusclespelviens.Femifree

s' utilise à domicile(

30minutesparjour)

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ru

ci)

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la

rémunérationsurle2

,1

%%estiméeparIMS-Pharmastaten2015est

, pourunepharmaciemoyenne ,

de245214Euro

(

contre242508Eurodemargeréelleavantréforme)

. F.P.

70SYNAPSPHARMALegrandjeu !

L

' année2015marquera la viedugroupement SynapsPharma

,

réunienséminaire le 31marsdernierautourdel

' ancienrugbyman SébastienChabal

(

en

photoauxcôtésdeJean-YvesThierry,

fondateurduGIE)

.Nédébut2013

, SynapsPharmaregroupe13officines et vientderecruteruneresponsableadministrative.Cette année

,

l

' ensembledesadhérentsvainstalleruneenseigne SynapsPharmaenvitrine . Chaqueofficinebénéficieraparailleursd

' unsitewebsousla marqueombrelle.

Côtépartenariat , après le LouRugbyet le LyonBasketFéminin,

c' estautourdel

' ASVEL,

le clubdebasketprésidéparTonyParker.SynapsPharmafonctionnelui-mêmetelleuneéquipesportive ,

dansunegrandediscipline.Touslesadhérentsréférencentles30laboratoires et prestatairespartenairesparmilesquelsDistrinep ,l

'

OCBPileje et Biogaran.« Nousn' ensouhaitonspasdavantagecarnousvoulonsrespecternosobjectifs »

, expliqueJean-Yves Thierry, quiannoncequeSynapscomptes' ouvriraunational à partirdeseptembreprochain ! F.C.

Arrêtezdefairedeschallengeslaboratoires

,

vousêtesd

' abordlà poursatisfairele client !

GuillaumeAntonietti,

fondateurdeCôtéClients,

à la conférence« Lesclésdela satisfactionclient »

organiséepar« Pharmacien Manager » lorsdePharmagoraPlus.

71POPMYDAYLe«

Uber » de la

beautéiIII

Al

' instar d

' Uberquinousenvoieunchauffeurquandnousenavonsbesoin

, Morgane L

' Hostiset CharlesBerenguer ,

deuxdiplômés d

' HEC,

ontcrééPopmyday,uneapplicationmobilequipermetdes' offriruneprestationbeauté

(

manucure,

brushing , chignonminute, épilation ,

séancedemaquillage )

oudebien-être( massages,

sessiondeyogaoudefitness

)

à la demande . Pourfairesaréservationprochedulieuoùl

' onsetrouve,il

suffitdeseconnecter sur

lesiteInternetPopmyday oudetélécharger l

'

applicationmobile . Popmydayenvoiealorsunprofessionnel , baptisé

Popartiste ».Lestarifsévoluentde34à 59euroset sontdégressifs

si l

' onpartageson« Popartiste' avecdesamies...P.C.-C.

N° et date de parution : 150501 - 01/05/2015Diffusion : 8000Périodicité : Mensuel

Site Web : http://www.wk-pharma.fr

Page : 10Taille : 80 %1148 cm2

Copyright (Pharmacien Manager) Reproduction interdite sans autorisation1 / 2

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• AVRIL 201552

SITES INTERNET

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• AVRIL 201553

Installation : de nouvelles opportunités pour les jeunes23.03.2015

Il existe aujourd’hui « des leviers offrant de belles opportunités pour s’installer », affirme Jérôme Capon, directeur régional Ile-de-France d’Interfimo, à l’occasion d’une conférence organisée par « le Quotidien » dans le cadre du salon PharmagoraPlus, qui s’est tenu ce week-end à la Porte de Versailles, à Paris. La raison de cet optimisme ? Des taux d’emprunts historiquement bas (environ 2 % hors assurance), corrélés à une baisse des prix de cession des pharmacies.La future loi de santé prévoit également des dispositions pour favoriser l’entrée des jeunes dans la profession. Depuis 2013, les adjoints pouvaient entrer dans le capital des officines via les SPFPL ou holding, avec pour objectif une transmission progressive de la pharmacie. Le projet de loi défendu par Marisol Touraine va plus loin. Un amendement prévoit en effet une participation directe des adjoints dans les officines en SEL jusqu’à 10 % du capital, tout en gardant leur statut de salarié.

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• AVRIL 201554

23/03/2015 | Le Moniteur des pharmacies.fr

Vaccination en officine : une évolution très mal engagée

L’article 32 du projet de loi santé instaurant la vaccination à l’officine a été supprimé par un amendement adopté la semaine dernière en commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale.

Dans la foulée, le syndicat de médecins généralistes, MG-France, très actif pour empêcher la vaccination en pharmacie, se félicite de ce retrait, dans un communiqué diffusé jeudi 19 mars.

« La ministre de la Santé montre ainsi qu’elle peut entendre les demandes légitimes des professionnels », commente ironiquement le syndicat.

Côté pharmaciens, Philippe Gaertner, président de la FSPF, confiait samedi 21 mars sur le salon PharmagoraPlus que la disposition n’a désormais plus de chance d’intégrer le projet de loi santé.

Selon le Collectif national des groupements de pharmaciens d’officine (CNGPO), le débat sur la vaccination à l’officine« peut mettre en péril les opérations misant sur l’interprofessionnalité développées ces derniers temps. Par ailleurs, il laisse en suspens la question récurrente de l’amélioration de la couverture vaccinale en France ».

« Il est indispensable que médecins, infirmiers et pharmaciens se rencontrent afin de proposer au gouvernement une solution efficace et bénéfique pour les patients ainsi que pour chaque acteur de santé concerné », estime le CNGPO dans un communiqué diffusé le lundi 23 mars.

Matthieu Vandendriessche

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• AVRIL 201555

PharmagoraPlus 2015 - Le futur de la Pharmacie Pour sa 30ème édition Pharmagora change de nom et devient PharmagoraPlus. Cette année le salon de la pharmacie et parapharmacie a rassemblé pas moins de 260 exposants et partenaires d’échanger sur leurs nouveautés en produits et services. Chaque année Pharmagora permet de découvrir les dernières tendances de l’officine pour anticiper sur les développements futurs.

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• AVRIL 201556

En tant que salon incontournable pour les acteurs de l’officine, PharmagoraPlus proposait en plus de la possibilité de tester et de comparer les nouveaux produits :• Plus de 6 programmes de formation, spécialement conçus pour les pharmaciens et préparateurs en pharmacie :o aires thérapeutiqueso gestion de l’officineo cliniques de l’innovationo académie OTCo Forum de la profession• Les ateliers Pierre Fabre : une dizaine de workshop autour du patient et du traitement des pathologies.• Le GUIDE DES PRESTATAIRES ET DES FOURNISSEURS DE L’OFFICINE incluant: le programme des conférences, le plan général du salon, la liste des exposants et leurs fiches descriptives, l’index des annonceurs par activité.beautypress vous dévoile les nouveautés d’une vingtaine d’entreprises présentes au salon mondial de l’officine :• AGETI France, distributeur et fabricant, a mis en avant Celluflex Technology une gamme de textile minceur révolutionnaire ainsi que Les Petits Bains de Provence : des savons fabriqués à l’ancienne selon la méthode de Marseille.• Château Rouge a présenté sa gamme de soins dermatologiques aux actifs d’origine végétale et marine pour les peaux noires et métissées.• Pierre Fabre a surtout attiré l’attention au travers des ateliers qu’elle a animés et a mis en avant les nouveautés de ses marques Galénic, René Furterer, Avène, A-Derma.• Josiane Laure a mis en avant ses produits bio pour le visage et le corps et les rituels associés.• Beauty Success, enseigne n°1 de la parfumerie- institut de beauté en franchise a proposé son concept de parapharmacie.• MAVALA Switzerland a exposé sa vaste gamme de vernis à ongle de haute qualité.• MELA’AURA a étonné avec sa crème ethnique clarifiante anti-tâches vendue en pharmacies et parapharmacies.• Contacpharm s’est fait remarquer avec ses marques Eye Care Cosmetics, Natorigin, Pharmasouples dédiée à la beauté des yeux, des yeux et solutions pour lentilles de contact.• IXXI Cosmetics a présenté ses produits anti-âge 100% d’origine naturelle issu de la forêt des Landes et disponibles en pharmacies et parapharmacies.• Les Fleurs de Bach a surpris avec ses parfums d’ambiance aux fleurs de Bach et aux huiles essentielles qui aident à combattre les tracas du quotidien.• La société espagnole Casmara n’est pas passé inaperçue avec ses masques de visage anti-oxydant aux couleurs flashy.• HT 26 Paris a montré ses produits capillaires et compléments capillaires à destination des peaux noires et métissées• Laboratoire Free Sens a exposé ses savons de Marseille « anti-crise » au rapport qualité/prix exceptionnel.• ABH Drink a fait l’unanimité avec ses compléments alimentaires BIO rassemblant en une bouteille les 12 trésors de la nature.

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• AVRIL 201557

• Instants de Voyages, créée par un pharmacien pour les pharmaciens, a visé dans le mille avec ses Eaux de parfums et bougies parfumés qui transportent au bord de la Méditerranée.• IN’OYA a mis en avant MEL’OYA® une innovation technologique «anti-tâches» à destination des femmes noires et mates, distribuée en France et en Afrique.• Sucre Gloss Cosmetics, avec sa marque Supreme Make-up a présenté sa gamme d’ombres à paupières qui se déclinent dans un large panel de couleurs.• Pharmaltitude SAS, avec sa marque 8882 a fait découvrir ses produits solaires adaptés aux conditions extrêmes d’utilisation : haute montage, haute mer...• Noria Distribution, avec sa marque Solaray a montré ses produits pour redonner de l’énergie, riches en lycopène, co-q10. acide hyaluponique...• Altesse, fabricant de brosses à cheveux depuis 1875, a présenté ses solutions pour un cheveu bien brossé et sans douleurs.• Diacosmo France, distributeur de Mosquitno et Herome, a présenté ses produits pour le soin des yeux, des mains et des pieds.• Womake by S&M Cosmetic a fait découvrir son « Crayon Magic » se déclinant dans une large gamme de coloris.• Savon & Tradition du Laboratoire TLM Dermato, maître savonnier, a exposé ses savons made in France fabriqué à chaud et à petit prix.• Puressentiel qui fête ses 10 ans, s’est fait remarquer avec sa gamme innovante de produits d’aromathérapie et de cosmétique Bio ou naturelle 100% française.• Laboratoire Lisandra Paris a séduit avec ses vernis à ongles et sa gamme de soins pour les ongles hypoallergéniques. Encore une fois le salon PharmagoraPlus a été l’occasion de faire de nouvelles rencontres, de faire le plein d’inspiration et de découvrir de nouvelles innovations en matière de produits pharmaceutiques et parapharmaceutiques. Source texte et visuels : beautypress.fr Mention obligatoire de la source en cas d’utilisation du texte et des visuels Contact presse :Patricia Benitah P.B Communication +33 (0)1 47 31 11 06 +33 (0)6 29 44 83 09 [email protected]

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• AVRIL 201558

Le dictionnaire de l’Académie de Pharmacie désormais en ligneDidier Doukhan25.03.2015

Officiellement lancée dimanche dernier sur le stand du « Quotidien » à l’occasion de PharmagoraPlus, la toute nouvelle version électronique du Dictionnaire de l’Académie de Pharmacie fait ses premiers pas sur le Web. La refonte complète de l’édition papier, dont la première remonte à 1997 (Éditions Pariente), a été entreprise en 2010 sous la coordination du Pr Francis Puisieux, Président de la Commission du langage de l’Académie. Plus d’une centaine de rédacteurs représentant toutes les disciplines scientifiques et professionnelles, membres de l’Académie ou non, y ont collaboré. Cette nouvelle édition en ligne accueillera quelque 22 000 définitions en permanence revisitées et, au besoin, réactualisées. Pour faciliter l’accès au plus grand nombre et limiter l’impact sur l’environnement, l’Académie nationale de Pharmacie a décidé de publier cette nouvelle édition sous forme électronique… et gratuite.Le dictionnaire rassemble l’ensemble des connaissances touchant le médicament et les autres pro-duits de santé, les sciences physico-chimiques en rapport avec ces domaines, la biologie, la santé publique, l’environnement et la santé, la diététique, la nutrition, la cosmétologie et les symptômes majeurs des principales pathologies, bref, tout ce qui fait la richesse et la diversité du savoir phar-maceutique.« Chaque entrée du dictionnaire correspond à un mot ou à un groupe de mots associés. Elle peut comporter, selon les disciplines concernées, plusieurs définitions. Parfois, des commentaires peuvent être ajoutés en italique », expliquent les auteurs qui ont souhaité valider l’intérêt de leur démarche en interrogeant les étudiants en pharmacie (ANEPF) au travers d’une grande enquête dont les résultats sont rendus publiques aujourd’hui.

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• AVRIL 201559

La loi de santé en débatChristophe Micas26.03.2015

Changement de cap, donc avec ce projet de loi que Marisol Touraine défendra à partir de mardi prochain à l’Assemblée nationale. Parmi les mesures sur lesquelles les députés seront amenés à s’exprimer, celle supprimant l’obligation de détenir 5 % des parts de façon directe par les pharmaciens exerçants, remplacée par « une fraction du capital ». Également au programme des discussions, la suppression du délai de 5 ans avant la revente après un transfert ou un regroupement, mais aussi l’entrée des jeunes diplômés dans le capital des officines. Un amendement offre en effet la possibilité aux adjoints de prendre des participations directes dans les pharmacies en SEL jusqu’à 10 %, tout en gardant leur statut de salarié.

Les règles de bonnes pratiques de dispensation des médicaments en ligne, récemment annulées par le Conseil d’État, pourraient par ailleurs faire leur réapparition via un amendement, indique Gilles Bonnefond, président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO).En revanche, la vaccination par les pharmaciens a été supprimée par la commission des Affaires sociales. Le principe figure encore dans le projet de loi, mais sous la forme d’une délégation de tâche par les médecins. Ce qui fait dire à Philippe Gaertner, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF), que l’idée de vacciner à l’officine ne verra jamais le jour. « On est en train de remédico-centrer la santé », déplore-t-il, craignant même que, au final, la loi de santé ne permette pas à la ministre d’atteindre ses objectifs définis dans la stratégie nationale de santé.

Enfin, en ce qui concerne le maillage et la simplification des règles d’installation, des mesures seront prises par ordonnance. Celles-ci doivent encore faire l’objet de discussions. Quoi qu’il en soit, elles viseront à« adapter les conditions de création, de transfert, de regroupement ou de cessions des officines, notamment au sein d’une commune ou d’une commune avoisinante », précise Alain Delgutte.

Très contesté par les médecins, le projet loi de santé présente, à l’inverse, quelques avancées pour les pharmaciens. Mais surtout, il représente l’alternative à la loi Macron qui envisageait une refonte complète du modèle officinal français, comme le souhaitait également son prédécesseur à Bercy, Arnaud Montebourg. En effet, à l’été 2014, le plan pour relancer la croissance et le pouvoir d’achat de l’ex-ministre de l’Économie prévoyait ni plus ni moins que de « faire sauter le capital, le maillage et d’autoriser les chaînes de pharmacies », rappelle Alain Delgutte, président du Conseil central A (titulaires) de l’Ordre, à l’occasion d’une conférence organisée par « le Quotidien » dans le cadre du salon PharmagoraPlus.

Les habitués du salon ont côtoyé de nouveraux visiteurs S. TOUBON

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• AVRIL 201560

Pourquoi y aller ?MAISONS ET PÔLES DE SANTÉ

L’événementAuteur(s) : Loan TranthimyInterprofessionnalité, efficacité de l’accompagnement pharmaceutique, sport à l’officine… Voici les premiers échos du salon PharmagoraPlus 2015. La suite le 11 avril dans le n° 3075 du « Moniteur des pharmacies ».D’ici 2017, plus de 1 000 structures hébergeant les équipes pluriprofessionnelles de proximité sont attendues. Au-delà de la coordination des soins, les professionnels de santé qui y travaillent font émerger de nouvelles pratiques professionnelles en matière d’éducation thérapeutique par exemple. Une pratique qui concerne en premier lieu les pharmaciens. Peuvent-ils y trouver leur compte ?Invités par Le Moniteur à répondre à cette question lors du salon PharmagoraPlus, Philippe Gaertner, au titre de président du Centre national des professions libérales de santé, Brigitte Bouzige, première vice-présidente de la Fédération française des maisons et pôles de santé, et Corinne Daver, avocate associée chez Fidal, sont unanimes : les pharmaciens sont un acteur clé de l’interprofessionnalité.

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• AVRIL 201561

03/04/2015

Près de trois Français sur quatre prêts à acheter des médicaments sur le site internet d’une officine (étude Ipsos pour Doctipharma.fr)PARIS, 3 avril 2015 (TICsanté) - Selon une enquête réalisée par Ipsos pour le site internet Doctipharma et publiée le 23 mars, 70% des Français interrogés seraient prêts à acheter des médicaments sans ordonnance sur le site internet d’une officine, parmi lesquels 60% le feraient sur celui d’une pharmacie quelconque et 10% spécifiquement sur celui d’une pharmacie qu’ils côtoient.Une étude Harris Interactive menée pour la plateforme internet de vente de produits parapharmaceutiques 1001pharmacies.com publiée en février avait estimé cette proportion à 44%, rappelle-t-on (voir brève du 20 mars).

La nouvelle réglementation en vigueur depuis 2013 prévoit que la création et l’exploitation d’un site internet de vente de médicaments sont réservées aux pharmaciens, et que le site internet doit être adossé à une officine de pharmacie physique. Toutefois, le Conseil d’Etat a annulé la semaine dernière l’arrêté relatif aux bonnes pratiques de dispensation des médicaments sur internet, note-t-on.

Réalisée sur un «échantillon représentatif» de 1.000 personnes âgées de 18 ans et plus, l’enquête a été présentée ce week-end à Paris à l’occasion du salon annuel PharmagoraPlus. Elle s’est déroulée du 11 au 20 février et a été menée sur internet. La méthode des quotas de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a été appliquée au sexe, à l’âge, à la profession, à la région et à la catégorie d’agglomération, rapporte Doctipharma dans un communiqué diffusé vendredi.

«Au moment où le gouvernement doit se repencher sur les conditions d’exercice de la vente en ligne de médicaments, [cette] enquête montre que les Français sont prêts acheter leurs médicaments sur internet, mais seulement s’ils ont la garantie que leur pharmacien est là à chaque étape de la dispensation», commente le site internet, qui sert d’intermédiaire entre les officines et leur clients, dans un communiqué diffusé vendredi.

Il rapporte que 86% des personnes interrogées ont spontanément indiqué ne pas avoir confiance dans l’achat en ligne de médicaments. Parmi les répondants n’ayant jamais acheté de médicament en ligne, 78% ont déclaré n’être «pas prêts» pour cette pratique.

Sur la totalité de l’échantillon, 80% ont exprimé le besoin d’être rassurés sur l’authenticité de la pharmacie associée au site internet, 64% sur les incompatibilités de leurs achats avec d’autres

médicaments, 62% sur les effets secondaires et 61% sur la posologie. (...)

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• AVRIL 201562

Près de trois Français sur quatre prêts à acheter des médicaments sur le site internet d’une officine (suite)Un label des autorités de santé inciterait 79% des Français à acheter sur le site internet de leur pharmacie. Parmi les critères déclarés comme convaincants apparaissent également la possibilité d’un paiement sécurisé (79%) et des prix moins élevés qu’à l’officine (76%).

Seuls 6% des répondants indiquent avoir déjà acheté des médicaments en ligne, loin derrière les produits d’hygiène et de beauté (32%) ou les compléments alimentaires (16%).

La première raison citée pour l’achat en ligne est la constitution d’une «armoire à pharmacie pour les bobos du quotidien» (77%). Cette pratique est en revanche moins plébiscitée en cas de baisse de forme et de stress (29%), de problèmes de santé saisonniers (28%), pour les produits de gynécologie et sexualité (20%) ou dans le traitement des maladies chroniques (16%).

Selon Doctipharma, «de nombreux Français sont encore mal informés». Le site rapporte que 64% des interrogés pensent que la vente de médicaments sur internet n’est pas du tout contrôlée en France, quand 69% estiment que la plupart des produits vendus en ligne sont des contrefaçons.

Un peu plus de la moitié (54%) des répondants approuvent l’idée que la vente de médicament en ligne est «un phénomène de mode» et que «les patients continueront dans les prochaines années à aller acheter leurs médicaments» à l’officine. D’ici cinq ans, 66% estiment qu’ils réaliseront la totalité de leurs achats de médicaments en pharmacie, 23% pensent en réaliser une partie sur internet et 11% «une grande majorité» ou la totalité.

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• AVRIL 201563

Automatisation de l’officine Un bras manipulateur qui favorise l’économie de mouvement

| 07.04.2015

Le nouveau bras manipulateur Euclid 3D, dévoilé à PharmagoraPlus par Pharmathek, dispose d’une capacité intégrée de stockage qui permet de traiter une ordonnance moyenne en un seul trajet. Il évite ainsi des déplacements inutiles et optimise l’usage des robots.

Un seul trajet suffit pour une ordonnance moyenne de quatre boîtes environ. « Dans le cas de bras traditionnels, il faut au moins trois voyages, voire cinq, d’autant que souvent les boîtes recherchées ne sont pas en première position dans la file du robot »,explique Alexander von Liechtenstein, Président de Pharmathek. Le gain de performance est fonction de la structure et de la taille de l’ordonnance : plus l’ordonnance est importante, plus le gain en performance sera important. Ce gain en rapidité peut atteindre 50 % et libérer ainsi du temps au pharmacien.Alexander von Liechtenstein compare volontiers l’Euclid 3D aux systèmes robotisés à deux bras, dont il estime « qu’ils se gênent mutuellement et finissent par être contre productifs sur la vitesse ». Le fabricant insiste sur le besoin du pharmacien, qui veut à la fois de la vitesse et de la compacité. D’où l’importance accordée à ce nouveau bras manipulateur censé atténuer les faibles vitesses des robots (comparées à celles des automates) tout en en conservant leur souplesse d’utilisation et leur plus faible encombrement. Le fabricant garantit que ce nouveau bras manipulateur convient aussi bien aux produits de faible et de forte rotation, ainsi qu’à tous les types de conditionnements, notamment les formes cylindriques. Le bras Euclid 3D est en option, disponible au prix de 9 900 euros environ, il est adaptable au parc déjà installé des robots Sintesi de Pharmathek.D’après une présentation réalisée à l’occasion de PharmagoraPlus 2015

Source : Le Quotidien du Pharmacien n°3168

PHARMATHEK a dévoilé en grande pompe lors de la dernière édition de PharmagoraPlus un nouvel « appendice » pour ses automates, le bras manipulateur Euclid 3D. Le fabricant l’a en effet exposé comme un produit innovant d’automatisation, comparé aux technologies de bras manipulateur actuelles. Il se présente comme un bras robotisé avec une capacité de stockage (d’où la notion de 3D contenue dans son nom), ce qui lui permet d’éviter plusieurs voyages et d’optimiser ainsi le prélèvement des boîtes.

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• AVRIL 201564

Tandem médecin – pharmacienLe patient en profite-t-il vraiment ?09.04.2015

TEL FUT le sujet de la table ronde organisée par l’Association française des pharmaciens catholiques lors du salon Pharmagora Plus. Thème récurent, surtout en milieu libéral. Valérie Marianne, pharmacienne d’officine et membre du Pôle Santé Essonne Ensemble, et Patrick Hindlet, praticien hospitalier et maître de conférences en pharmacie clinique, ont donné quelques exemples de situations, certaines illustrant les difficultés relationnelles entre nos professions, d’autres démontrant les bénéfices d’une réelle coopération.Pierre Langlois, médecin généraliste et membre du même pôle, a fait un inventaire des occasions de contact avec les pharmaciens les plus proches de son cabinet. Outre les questions liées à la délivrance des génériques et celles de doses à confirmer, il retient notamment les occasions qui ont valorisé cette coopération : journées de dépistage du diabète, initiation de traitements substitutifs aux opiacés, prise en charge de patients porteurs de VIH. Mais pour lui, ces occasions demeurent trop rares : « nos professions devraient davantage en appeler à la complémentarité des savoirs, et cela pour le bien des patients ». Il s’étonne encore que ses « prescriptions soient si facilement acceptées, car chaque ordonnance relève un peu d’une certaine alchimie ». À noter aussi que des formations communes devraient être plus nombreuses afin de favoriser connaissance mutuelle et dialogue. Enfin, pour ce médecin, l’espoir se trouve certainement du côté des nouveaux modes de rémunération qui vont pousser médecins, pharmaciens et infirmières à travailler ensemble en vue d’une prise en charge concertée des patients polypathologiques et/ou fragilisés.Reste le patient : quels sont ses constats face à ces difficultés de dialogue ? Francis Depernet, directeur des ressources humaines, nous a livré son analyse. D’abord « la logique d’exécution dans laquelle semble s’enfermer une bonne partie des pharmaciens d’officine doit être transformée pour devenir logique de complémentarité ; car l’expertise des pharmaciens est à valoriser ». Second point : « Quand on regarde ce qui se passe dans le monde de l’entreprise, on constate qu’aucun projet n’est prévu à l’avance ; imaginé par les concepteurs, chaque projet est nécessairement repris plusieurs fois par les équipes chargées de sa réalisation ; au monde de la santé à imaginer le développement de tels échanges pour une plus grande pertinence des propositions thérapeutiques. » Dernier point : « même si la bonne volonté permet de mieux travailler ensemble, l’intervention d’un tiers qui vient arbitrer ne peut être que bénéfique ; sur ce point, une plus grande implication des patients dans le fonctionnement de notre système de santé risque de venir «mettre de l’ordre» tôt ou tard dans les relations entre les différents protagonistes intervenant dans notre système de soins ».Le débat avec la salle a permis aussi de faire mieux connaître certaines initiatives, comme les formations communes à Angers pour les étudiants de médecine et de pharmacie en fin d’études, de rappeler l’urgence de développer le dossier pharmaceutique en ville et à l’hôpital, de diffuser la carte de coordination des soins réalisée par l’URPS Ile-de-France, ou d’imaginer la participation des étudiants de 5e année pour une meilleure communication hôpital-ville au moment de la sortie des patients…Conclusion : on insiste beaucoup aujourd’hui sur les compétences relationnelles des soignants envers les patients, et c’est tant mieux ! À nous de ne pas oublier de mieux communiquer entre nous car les patients nous attendent à ce niveau-là aussi !

LE CONSEIL DE L’ASSOCIATION FRANÇAISE DES PHARMACIENS CATHOLIQUES

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• AVRIL 201565

Force à l’innovationPDA ET OBJETS CONNECTÉSEntrepriseAuteur(s) : Matthieu VandendriesscheUne dizaine de fournisseurs de solutions pour la préparation des doses à administrer (PDA) ont présenté leurs évolutions lors du salon PharmagoraPlus, notamment en faveur de la traçabilité des médicaments.

La présence à PharmagoraPlus d’une dizaine de fournisseurs de solutions pour la préparation des doses à administrer reflète l’intérêt croissant des pharmaciens pour cette activité. Ces fournisseurs ne parlent d’ailleurs plus seulement de PDA, mais du circuit sécurisé du médicament de l’officine à l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Car le processus de traçabilité se prolonge désormais, en bout de chaîne, par la validation de l’administration des médicaments par le personnel infirmier. Une démarche qui se généralise.C’est notamment ce que met en avant HD Medi. Distribuée jusqu’en septembre dernier par Euraf, cette large gamme de machines d’emballage fait intervenir un scanner code-barre au moment de la dispensation et une tablette à l’usage du personnel de l’EHPAD. L’information est transmise de manière sécurisée à un serveur auquel le pharmacien a ...

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• AVRIL 201566

God save la pharmacieROYAUME-UNIMédicamentsAuteur(s) : Matthieu VandendriesscheLa formation était au cœur des conférences organisées par PharmagoraPlus. Pour vous faire une idée du cru 2015, en voici un compte rendu sélectif, de la transformation de la pharmacie britannique à l’aromathérapie, en passant par la prise en charge des personnes âgées à l’officine.Les exigences et préoccupations des pharmaciens britanniques ressemblent à s’y méprendre à celles de leurs confrères français. « Nous ne savons pas mettre en avant les services que nous prodiguons », a estimé Fin McCaul, président de l’Independant Pharmacy Federation. L’exercice indépendant concerne 1 150 officines outre-Manche, soit 1/5 du réseau. Là-bas aussi, les pharmaciens sont en forte demande d’interprofessionnalité. Les entretiens pharmaceutiques se développent au bénéfice de l’observance. « Neuf patients sur dix atteints de BPCO ne savent pas utiliser un inhalateur correctement », rapporte Fin McCaul. Le gouvernement, garant des dépenses publiques, va plus loin en exigeant des normes de qualité des professionnels de santé. Et sur le recours au numérique, le Royaume-Uni a une longueur d’avance. Plus de la moitié des médecins transmettent aujourd’hui leurs ordonnances par voie électronique et la quasi-totalité ...

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• AVRIL 201567

Intervenir à l’officinePRISE EN CHARGE DU PATIENT HYPERTENDUMédicamentsAuteur(s) : Alexandra Blanc

La formation était au cœur des conférences organisées par PharmagoraPlus. Pour vous faire une idée du cru 2015, en voici un compte rendu sélectif, de la transformation de la pharmacie britannique à l’aromathérapie, en passant par la prise en charge des personnes âgées à l’officine.L’intervention du pharmacien auprès des patients hypertendus (éducation thérapeutique, aide à la prise des traitements…) permet de faire baisser de 7,6 mmHg la pression artérielle systolique et de 3,9 mmHg la diastolique », a indiqué le Dr Le Jeune, spécialiste de l’hypertension artérielle (HTA), encourageant les officinaux à s’investir dans ce domaine. Comment ? En interrogeant régulièrement les patients (« La semaine dernière, combien de fois avez-vous pris votre traitement ? »…) et en identifiant les obstacles à la prise des médicaments, par exemple grâce à l’autoquestionnaire validé par le Comité français de lutte contre l’HTA. Le Dr Le Jeune appelle aussi les pharmaciens à alerter les prescripteurs sur un traitement inefficace, mal toléré ou mal pris, et à les pousser à intensifier la prise en charge des patients.Enfin il faut éviter, dans la mesure du possible, ...

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• AVRIL 201568

Une trousse pour l’étéAROMATHÉRAPIEMédicamentsAuteur(s) : A.-H.C

La formation était au cœur des conférences organisées par PharmagoraPlus. Pour vous faire une idée du cru 2015, en voici un compte rendu sélectif, de la transformation de la pharmacie britannique à l’aromathérapie, en passant par la prise en charge des personnes âgées à l’officine.De la lavande pour les brûlures, du géranium pour éloigner les moustiques, du ravintsara pour les poussées d’herpès : Danielle Roux, pharmacienne, formatrice en phytothérapie et en aromathérapie et rédactrice en chef de la revue La Phytothérapie européenne, remplit la trousse de l’été d’huiles essentielles. Après avoir exposé les bases de l’aromathérapie, la pharmacienne a distillé ses précieux conseils en huiles essentielles et livré quelques formules simples à réaliser à l’officine.Cette conférence a été l’occasion de dévoiler un protocole mené en association avec les médecins d’outre-mer pour lutter efficacement contre le chikungunya, protocole associant également phytothérapie et oligoéléments. Pour le plus grand intérêt des pharmaciens présents, venus nombreux.« AROMATHÉRAPIE ET PATHOLOGIES ESTIVALES », 21 MARS

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• AVRIL 201569

Quoi de neuf en 2014 ?PRESCRIPTIONMédicamentsAuteur(s) : Anne Drouadaine

La formation était au cœur des conférences organisées par PharmagoraPlus. Pour vous faire une idée du cru 2015, en voici un compte rendu sélectif, de la transformation de la pharmacie britannique à l’aromathérapie, en passant par la prise en charge des personnes âgées à l’officine.Au cours de l’année 2014, les rayons officinaux se sont enrichis de 16 nouvelles molécules (voir le cahier « Les 30 nouvelles molécules de 2014 » publié dans Le Moniteur n°3072 du 21 mars 2015). Françoise Amouroux, pharmacienne d’officine et professeur associé à la faculté de pharmacie de Bordeaux-II, en a présenté quelques-unes (Aubagio, Fycompa, Picato, Seebri…), en veillant à les replacer dans leur contexte pathologique et en insistant sur les conseils associés à délivrer aux patients. En complément, elle est revenue sur la nouvelle spécialité Hemangiol, dont le principe actif bien connu, le propranolol, est désormais indiqué dans la prise en charge des hémangiomes infantiles prolifératifs. Déjà confrontée à ce médicament dans sa pratique officinale, Françoise Amouroux a notamment rappelé qu’Hemangiol doit être administré pendant ou juste après un repas pour éviter

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• AVRIL 201570

Une étude à l’officineMALADIES CHRONIQUES ET ACTIVITÉ PHYSIQUEMédicamentsAuteur(s) : Anne-Hélène Collin

La formation était au cœur des conférences organisées par PharmagoraPlus. Pour vous faire une idée du cru 2015, en voici un compte rendu sélectif, de la transformation de la pharmacie britannique à l’aromathérapie, en passant par la prise en charge des personnes âgées à l’officine.L’intérêt de l’activité physique sur l’espérance et la qualité de vie des patients atteints de maladies chroniques n’est plus à démontrer. Vincent Alberti, expert auprès de la DGS, s’est appuyé sur ces faits pour concevoir une approche originale : faire intervenir le pharmacien afin de valoriser l’exercice physique auprès de ses patients. Il mène actuellement l’étude Pharmaps sur quinze pharmacies. Les équipes, formées au préalable, remettent un kit à leurs patients (carnet de suivi et podomètre), et les rencontrent régulièrement au cours d’entretiens motivationnels. Isabelle Gschwind, titulaire à Toulouse, témoigne: « Les patients sont intéressés, valorisés. On va plus loin que l’ordonnance. » Les patients, un millier dans toute la France, sont eux aussi très enthousiastes et y voient rapidement des bénéfices, sur leur santé mais aussi sur leur vie familiale : « J’ai perdu ...

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• AVRIL 201571

Quelle prise en charge au comptoir ?DOULEUR THORACIQUEMédicamentsAuteur(s) : A.-H.C.

La formation était au cœur des conférences organisées par PharmagoraPlus. Pour vous faire une idée du cru 2015, en voici un compte rendu sélectif, de la transformation de la pharmacie britannique à l’aromathérapie, en passant par la prise en charge des personnes âgées à l’officine.Un patient âgé se présente à l’officine et se plaint de douleurs au niveau thoracique. Puis tombe inconscient. Comment réagir ? A partir d’un film de quelques minutes, Jean Occulti, pharmacien à Bondy (Seine-Saint-Denis), et Jean-Marc Agostinucci, médecin urgentiste, abordent la prise en charge des douleurs thoraciques à l’officine, entre rappels théoriques et gestes pratiques : qui appeler ? Peut-on administrer un antalgique ? Doit-on donner un dérivé nitré en attendant les secours ? Car une douleur thoracique est toujours une urgence médicale. La conférence a surtout permis aux nombreux officinaux présents de (ré) apprendre les gestes de premiers secours: par petits groupes, chacun a pu pratiquer un massage cardiaque ou manipuler un défibrillateur.« PRISE EN CHARGE D’UNE DOULEUR THORACIQUE AU COMPTOIR », 22 MARS

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• AVRIL 201572

Un domaine d’intervention pour l’officinePATIENT ÂGÉ AU DOMICILEMédicamentsAuteur(s) : M.V.

La formation était au cœur des conférences organisées par PharmagoraPlus. Pour vous faire une idée du cru 2015, en voici un compte rendu sélectif, de la transformation de la pharmacie britannique à l’aromathérapie, en passant par la prise en charge des personnes âgées à l’officine.Chez la personne âgée, les modifications pharmacocinétiques sont nombreuses mais d’inégale importance. Ainsi, toutes les voies d’administration, à l’exception de la voie intraveineuse, sont affectées par le vieillissement, mais ces modifications ont peu de conséquences. L’absorption de la dose médicamenteuse est ralentie mais pas réduite », a précisé Jean-Michel Refalo, dirigeant de l’organisme de formation PharmaGuideur. Comme action concrète, le pharmacien peut rechercher en amont d’une ordonnance d’hypnotiques un dialogue avec le prescripteur, le patient voire son entourage, afin que les règles de prescription de ces médicaments soient respectées.Autre domaine d’intervention des officinaux, les repas. Il faut veiller à ce que le traitement du patient âgé ne soit pas perturbé par des modifications de son régime alimentaire ou de l’horaire des repas, que l’alimentation reste équilibrée et que les apports hydriques ...

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• AVRIL 201573

Les astuces pour mieux piloter son officineTITULAIREEntrepriseAuteur(s) : Stéphanie Bérard*, Matthieu Vandendriessche**, François Pouzaud***

Les conférences organisées surle salon PharmagoraPlus ont livrédes conseils pour mieux appréhender le métierde titulaire. Fidélisation, tableaude bord, projets innovants… Recommandations d’experts.Comptabilité : connaître les bons ratiossans monter une usine à gazAider à mieux lire et comprendre les ratios de l’officine, tel était l’objectif de la conférence proposée par Moniteur Expert, avec la participation d’Olivier Deletoille, expert-comptable (cabinet AdequA Santé). Le suivi du carnet de commande, le chiffre d’affaires, le taux de marge et le stock sont des éléments primordiaux à considérer. « C’est simple et fiable, cela peut suffire. Pas la peine de monter une usine à gaz », estime l’expert-comptable. Selon Olivier Delétoille, l’excédent brut d’exploitation (EBE) est un indicateur trop abstrait. A quel rythme suivre ces indicateurs ? « Pour une PME, le suivi de la trésorerie au jour le jour n’a pas beaucoup d’intérêt. Mais la rentabilité doit être examinée au moins tous les mois », considère Olivier Delétoille. Miser sur la fidélisation de ...

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• AVRIL 201574

Nouveaux produitsAuteur(s) : Yolande Gauthier*, Anne Drouadaine**, Anne-Hélène Collin***, Alexandra Blanc****

Au gré des allées de PharmagoraPlus, nous vous avons concocté un petit panier de nouveautés parmi celles qui ont piqué notre curiosité. Au menu : compression fantaisie, eaux luxueuses et cosmétiques originaux.DISPOSITIF MÉDICAL Alere propose aux pharmaciens le test rapide d’orientation diagnostique (TROD) SD Strep A. Il recherche la présence de streptocoque A sur un prélèvement de gorge en cas d’angine. SD LIpidocare est un appareil qui, grâce aux différentes bandelettes réactives disponibles, peut analyser sur sang capillaire plusieurs types de paramètres : cholestérol total, cholestérol HDL, triglycérides, profil lipidique, glucose. Le résultat s’affiche en 5 secondes pour le glucose, 3 minutes pour les lipides. L’appareil peut être utilisé à l’officine ou à domicile. Médical Textile Ariégeois (MTA) complète son offre de compression veineuse de 3 gammes de bas et mi-bas « fantaisie » de classe 2 et pour femme. Harmonie arbore un motif « losange », Désir un motif « vague » et Attrait un motif « rayure ». La gamme de chaussettes mixtes City 3 (classe 3), grâce à un ...

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• AVRIL 201575

PROTECTION SÉCURITÉ

Pour une surveillance plus fluideHakim Remili13.04.2015

La nouvelle version du logiciel d’exploitation de la solution Vidéo Consult a été dévoilée à PharmagoraPlus. Cette quatrième version améliore l’exploitation des images grâce à un format de fichier compressé qui permet avec le même matériel d’enregistrer plus de séquences et de disposer d’images plus fluides. Le logiciel permet ainsi de sélectionner par défaut le moment où un produit a été subtilisé sans que le pharmacien ne soit obligé de remonter toute la séquence d’images. Le pharmacien peut également consulter toutes les caméras en même temps, grâce au fractionnement de l’image, qui existait dans la version précédente, mais a été améliorée dans celle-ci. Ces images peuvent aussi s’afficher sur les postes de travail de l’équipe officinale, l’application Vidéo Consult est en effet compatible avec la plupart des LGO. Vidéo Consult travaille avec les caméras du fabricant Axis.Le plus de la solution : la souplesse d’utilisation du système permet de faire face aux nombreuses problématiques de sécurité de la pharmacie, démarque inconnue des clients, manipulation des espèces, livraisons de grossistes, vols de nuit (grâce à des caméras infrarouge…)…Prix : en moyenne, 4 500 € pour la solution avec 4 caméras et une année de maintenance.

Nom du prestataire : Vidéo ConsultTéléphone : 06 84 70 24 05E-mail : [email protected]

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• AVRIL 201576

NOUVELLES MISSIONS

Êtes-vous bien assuré ?13.04.2015Toute nouvelle mission réalisée à l’officine doit être déclarée à son assureur. Sans cela, le pharmacien risque d’être mal (ou de n’être pas) couvert en cas de litige avec un patient

« TESTS DE DÉPISTAGES de la grippe, de la glycémie, des angines à streptocoque, entretiens AVK, entretiens asthme… Ces nouvelles missions du pharmacien peuvent indubitablement générer des mises en cause de responsabilité », avance Nicholas Gombault, directeur du Sou Medical-MACSF, lors d’une conférence à Pharmagora Plus. Et même si aucune action en justice n’a été menée à ce jour contre un pharmacien en ce qui concerne ces nouvelles missions, ce n’est pas pour autant qu’il faut omettre l’important détail de la responsabilité pharmaceutique dans ce cadre.Surtout que, en pratique, la démarche est simple : il suffit juste de prévenir son assureur que l’on effectue désormais une nouvelle mission. « On doit d’ailleurs en faire de même lorsque la pharmacie s’agrandit, lorsque l’on embauche un nouveau collaborateur, etc. », rappelle Nicholas Gombault, en précisant « qu’en cours de contrat, toute modification de l’exercice doit être signalée à son assureur par lettre recommandée avec AR, dans un délai de 15 jours à partir du moment ou l’assuré - c’est-à-dire le pharmacien - est informé de ces nouvelles compétences ».La non-déclaration et ses répercussions.Si rien de tel n’est entrepris, et sans présence de sinistre, l’assureur peut plaider la nullité du contrat d’assurance, ou demander un complément de versement de cotisation.Les répercussions peuvent être plus graves en présence de sinistre : l’assureur peut alors obtenir une réduction de l’indemnité à verser pour le sinistre, et même, s’il arrive à prouver la mauvaise foi du pharmacien, plaider la nullité du contrat d’assurance. « En général, on n’en arrive pas à cet extrême, car il s’agit d’un oubli du pharmacien à déclarer ses nouvelles activités à son assureur », rassure Nicholas Gombault.De plus, le pharmacien a tout intérêt à déclarer ces nouvelles missions à l’assureur, étant donné que dans la majorité des cas elles n’entraînent pas d’augmentation des cotisations. En effet, « les contrats d’assurance en officine sont essentiellement des « package responsabilité professionnelle ». Il s’agit d’une approche globale qui n’implique pas d’augmentation de tarif par rapport à ces nouvelles missions », commente le directeur du Sou Médical.David Thierry, pharmacien titulaire à Pont-de-Cheruy (Isère), qui s’est investi dans les Streptotests depuis janvier 2015, a pu vérifier ce fait. « En me renseignant auprès de mon assureur, j’ai été agréablement surpris d’apprendre que je bénéficiais en effet d’une assurance globale, qui garantissait donc ce risque supplémentaire engendré par toute nouvelle mission », témoigne-t-il. Toutefois, qu’en sera-t-il si le pharmacien est - un jour - amené à vacciner, ou à préparer des doses à administrer (PDA) ? Dans ces cas, la déclaration à l’assureur pourrait bien fait l’objet d’une augmentation de tarif, étant donné que la responsabilité du pharmacien est bien plus engagée.D’après une conférence à Pharmagora Plus.CHARLOTTE DEMARTI

Source : Le Quotidien du Pharmacien n°3170

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• AVRIL 201577

NUMÉRIQUE

La borne tactile, symbole de modernité13.04.2015Installer une borne tactile à l’officine, tel est le pari que s’est lancé Michel Gicquel, titulaire près de Rennes. Un pari réussi, puisque les clients sont séduits par cet outil ludique et moderne, et que le panier moyen des ventes de parapharmacie a augmenté.

Inscription préalable.Mais attention : les clients qui veulent bénéficier de ces offres promotionnelles doivent au préalable s’inscrire. « Via un questionnaire à remplir sur la borne, nous recueillons son nom, son adresse, son e-mail, ses habitudes de vie : s’il pratique du sport, s’il utilise de l’homéopathie, s’il a des enfants, des animaux de compagnie, etc., rapporte le titulaire. Une fois enregistrés, les clients reçoivent chaque mois, par SMS et par mail, des offres promotionnelles sur des produits de parapharmacie. »Le recueil des données client est primordial. Car grâce à ces informations le pharmacien peut constituer une base de données, et ensuite adapter les offres à chacun. Ainsi, le message envoyé aux clients ne sera pas forcément les mêmes selon leur profil. « C’est ce que l’on appelle la notion de CRM, ou Customer relationship management. En d’autres termes il s’agit de mieux connaître ses clients, leurs besoins, afin d’y répondre de façon adéquate », explique Béatrice Boussard, directeur associé chez Sens’O (cabinet conseil en marketing réseaux).

Aujourd’hui, Michel Gicquel n’utilise pas encore à 100 % les données clients : « Nous éditons seulement deux profils en fonction des informations renseignées : le profil « maman et enfant de 0 à 3 ans » qui reçoit les offres promotionnelles sur les laits infantiles, les crèmes de change, etc. ; et le profil « senior avec un animal de compagnie » qui reçoit les offres sur les produits contre l’arthrose, les produits canins, par exemple », détaille le pharmacien. Mais à terme, l’objectif est d’exploiter plus en profondeur les données clients pour adapter les offres à chaque personne. Toutefois le bilan de ce premier screening est positif : « il a permis d’augmenter les ventes de parapharmacie à l’officine : le panier moyen est passé de 12-13 euros à 25 euros », se félicite Michel Gicquel.Par ailleurs, l’objectif n’est pas uniquement commercial. La borne propose aussi du contenu informatif : des fiches pathologies, la présentation de campagnes de santé publique, d’associations de patients, des différents services proposés à la pharmacie…Un concept bien accueilli.

DEPUIS JUIN 2014, Michel Gicquel, titulaire à l’Hermitage (Ille-et-Vilaine) teste une borne tactile dans son officine. En pratique, il s’agit d’une tablette tactile greffée sur un support, qui dispose d’une interface avec la pharmacie. Pour Michel Gicquel, « cette borne est un moyen de se différencier de la concurrence, et de rendre sa pharmacie unique et moderne », évoque-t-il lors d’une conférence à Pharmagora Plus. En pratique, la borne tactile propose quatre thématiques d’actualité saisonnière par mois (jambes lourdes, minceur, etc.), qui sont liées à des remises immédiates sur certains produits ou gammes de produits de parapharmacie.

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• AVRIL 201578

La borne tactile, symbole de modernité (suite)Côté patient, le concept a été bien accueilli. « Cette offre digitale captive par son côté ludique, son originalité, mais aussi par l’information diffusée (campagne, prévention), et par l’image (avec des vidéos pour des produits OTC). Enfin, les clients considèrent que la borne donne une image dynamique de la pharmacie », avance Michel Gicquel. Ensuite, l’envoi des mails a été un succès, puisqu’environ 25 à 30 % d’entre eux sont ouverts, ce qui est une belle performance dans ce domaine.Le projet du pharmacien a également séduit les commerçants de l’agglomération rennaise : La borne interactive a obtenu le premier prix, dans la catégorie Développement Commercial, lors des Trophées du commerce du Pays de Rennes, en décembre 2014, qui a réuni quelque 650 commerçants.Enfin, au niveau réglementaire, le projet de borne interactive a été validé par l’Ordre des pharmaciens. « Il n’y a pas de sollicitation de la clientèle hors de la pharmacie et seuls les clients qui ont accepté de remplir le formulaire reçoivent les offres promotionnelles qui ne concernent que la parapharmacie », souligne le titulaire.

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Pourquoi les yeux brillent-ils lorsqu’on a bu de l’alcool ?ComptoirQUESTIONS DE COMPTOIRAuteur(s) : Yolande Gauthier*, Anne Drouadaine**, Sylviane Le Craz***

Réponse : Le film lacrymal qui recouvre l’œil est constitué de trois couches : une couche interne de mucine produite par des glandes conjonctivales, une couche intermédiaire aqueuse formée par les glandes lacrymales et une couche externe lipidique produite par les glandes de Meibomius, situées au bord des paupières. Lors de la consommation d’alcool, celui-ci passe dans le sang et vient dissoudre la couche lipidique, laissant apparaître la couche aqueuse du film lacrymal bien plus brillante. Source : conférence PharmagoraPlus, « Signes d’appel d’une urgence en ophtalmologie », Dr Olivier Roche.

18 avril 2015

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• AVRIL 201580

     

 http://www.celtipharm.com/Pages/Actualites/2015/03/Pharmagora-­‐I-­‐presume-­‐.aspx    

 

 

23 avril 2015

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BLOGS

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• AVRIL 201582

Pharmagora est le grand rendez-vous du monde de la pharmacie d’officine. Si les grands laboratoires nous ont déjà fait connaître leurs innovations et leurs produits phares, le salon a permis de découvrir de petites merveilles, qui seront demain nos trésors santé et bien-être. Tous ces produits sont disponibles en pharmacie.S’il s’agit d’un salon professionnel, Pharmagora n’en reste pas moins une vitrine qui sera finalement présentée au regard du public. Et l’année 2015 est un bon cru. Voici quelques pépites.

À l’assaut de l’Everest ?

On ne fait pas plus haut que cette chaîne montagneuse mythique. Les conditions de vie y sont donc extrêmes. Ce qui a donné l’idée à un laboratoire cosmétique, spécialisé dans la protection de la peau, de prendre pour nom… la hauteur de la montagne, soit 8888 (en 1969, maintenant 8882). Ce n’est pas tout, les produits ont été testés justement l)-bas, sur ces hauteurs, pour une vraie et honnête évaluation des effets dans ces conditions extrêmes. Si votre peau est bien protégée en haut de l’Everest, elle le sera forcément quand vous dévalerez les pentes à ski ou ferez du bateau en Méditerranée. Des produits sûrs, donc, convenant à toutes les situations pour préserver votre capital soleil cutané.

Les voyages forment la jeunesse mais ne vont pas, parfois, sans petits inconvénients. Comme le mal des transports qui touche surtout les enfants mais aussi parfois les adultes. Pharmavoyage vous propose un moyen simple et naturel qui peut éviter l’usage de médicaments : des bracelets antinausée, comprenant plusieurs tailles, dont l’action est basée sur le point d’acupuncture situé au niveau du poignet, trois doigts en remontant à partir du pouce. Efficace et simple. Toujours en voyage, l’hygiène est primordiale. Le laboratoire a aussi pensé aux voyageurs avec un savon multi-usages en flacon… mini, qui peut passer en avion. Il fallait y penser !

Pour en savoir plus : http://www.pharmavoyage.com/fr

Voyager en paix !

Ma pharmacie me veut du bien !

2 avril 2015

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• AVRIL 201583

Sexualité épanouie avec les plantes !

Exit corne de rhinocéros et autres balivernes, arnaques bien connues et qui contribuent à la destruction d’espèces protégées. Et bonjour les plantes ! Voici un laboratoire qui s’est consacré à notre épanouissement sexuel, grâce à des produits naturels et efficaces qui rétablissent les équilibres et corrigent les petits ennuis par une action profonde et durable due à des plantes ciblées et des nutriments indispensables. Il a aussi mis au point une aide à la fertilité, un problème de plus en plus fréquent. Et les produits sont de fabrication française ! En prime, également des solutions antiâge !

Pour en savoir plus : http://www.labophyto.fr/

Mais aussi poignets, genoux, chevilles… La solution ? Une ceinture ou un bandage tissé pour maintenir la zone douloureuse et la réchauffer. Mais pas seulement, propose le laboratoire fabricant SAS cristaux. Ses produits ingénieux contiennent également un antalgique et un anti-inflammatoire naturels qui viennent traiter la douleur et l’inflammation par voie cutanée. Cette substance miraculeuse est l’huile essentielle de gaulthérie. Pas d’inquiétude ! Au bout d’un certain nombre d’utilisations, on peut réimprégner le tissu grâce à un spray associé. Une bonne idée.

Pour en savoir plus : http://www.algie-care.com

Aïe mon dos ! Aïe mes reins !

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Quant à Smartech, c’est sur la technologie des fibres que ce labo mise pour l’efficacité de ses ceintures destinées à soulager les douleurs dorsales. Sans oublier cependant les aides naturelles, arnica et camphre, deux substances bien connues pour leur action antidouleur et anti-inflammatoire (le camphre permet une action «froid») viennent renforcer l’action bienfaisante de la ceinture.

Pour en savoir plus : https://www.google.fr/

Oublier les régimes ? Perdre du poids, c’est une chose, mais les régimes mettent la santé en danger et la reprise de kilos est souvent au rendez-vous. Perdre des centimètres de tour de taille ou de hanches, c’est encore mieux. Et c’est ce que propose Beautyline avec panty, fuseau, slip et autres sous-vêtements amincissants. Leurs fibres innovantes permettent à la fois de gommer ces petites adiposités contrariantes, mais aussi de faire fondre la graisse sous-cutanée. Et cela sans effort ! Il suffit de les porter dans la journée. On parle alors de cosmétotextiles ! à mettre en œuvre dès maintenant pour affronter l’été ! Pour en savoir plus : http://www.beautyline-minceur.com

Chouchouter sa peau Marre des savons décapants qui laisse la peau fragilisée et sèche ? Le film hydrolipidique qui se forme naturellement à sa surface doit être respecté, c’est lui qui protège les cellules cutanées, ralentit leur vieillissement et évite rougeurs et tiraillements. Mais il faut bien se laver, non ? La solution, adopter des produits respectueux et enrichis. Le laboratoire Freesens propose de merveilleux produits, très étudiés et fabriqués en France, pour une hygiène confortable. Un gel douche surgras, sans savon, décliné en trois versions, à l’aloe vera, à la fleur de coton et à la fleur de lotus; un savon liquide de Marseille, naturel, karité, fleur d’oranger, fleur de lavande, vanille-miel, fleurs de Provence. Nous avons essayé ces produits et ils nous ont bluffé par leur confort et leur douceur efficace. Bravo ! À compléter avec l’émulsion corporelle ultranourrissante.

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Dermophil indien se lance dans le solaire

Connu pour ses produits devenus références destinés à protéger et réparer les lèvres irritées par le soleil, le vent, le froid ou la sécheresse, le laboratoire propose maintenant des produits solaires de haute qualité, protégeant à la fois des rayons UVA et UVB. Les premiers sont responsables du vieillissement de la peau, les seconds des coups de soleil. Les produits utilisent des filtres solaires organiques, qui absorbent les rayons nocifs, permettant leur transformation, l’évacuation de l’énergie puis leur dégradation. En complément, un lait 50+ pour le corps, waterproof et sans effet blanc ; et bien sûr un stick pour les lèvres. Astucieux : un stick spécial visage et lèvres avec un embout et un petit cordon pour l’avoir toujours sur soi.

Pour en savoir plus : http://www.dermophil.fr

Dodo, l’enfant do… Les enfants, eux aussi, peuvent avoir des troubles du sommeil. Les somnifères, une solution à oublier… Pourquoi ne pas faire appel à la nature, tout simplement ? C’est ce qu’a fait le laboratoire Laudative. Créé en 2008 par une pharmacienne, mère de famille, il propose Calmosine, entièrement à base de plantes. En contact permanent avec les parents, le laboratoire s’attache à respecter les normes européennes et a pour politique une haute qualité des produits. Calmosine sommeil et Calmosine digestion sont des boissons à base de plantes bio. Deux mères sur trois utilisant Calmosine sommeil ont pu en constater l’efficacité.

Pour en savoir plus : http://www.laudavie.com/calmosine.html

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Le truc qui fait tout… C’est un peu comme cela que l’on peut définir le baume Végébom que des générations (depuis 1932 !) ont utilisé pour les bobos du quotidien. Formulé uniquement à base d’ingrédients naturels, le baume répond une foule de besoins. Qu’on en juge : crampes, contractures, courbatures, foulures, bosses, bleus, égratignure. Mais aussi : piqûres de moustique, d’araignée ou d’aoûtat. C’est vraiment le couteau suisse des petits bobos, encore plus nombreux quand arrive la belle saison. Pour ne jamais être pris au dépourvu, le laboratoire propose maintenant un Baume secours, peu encombrant, que l’on peut glisser dans sa trousse ou sa poche. À ne pas oublier, que l’on aille à Paris-Plage ou à Marrakech !

Pour en savoir plus : http://www.vegebom.com/nos-produits/baume-secours/