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CHRISTINE AND THE QUEENS IBEYI THE AVENER SYNAPSON JORIS DELACROIX MIOSSEC CLINTON FEARON & THE BOOGIE BROWN BAND PAUL PERSONNE MARIANNE FAITHFULL CHARLELIE COUTURE FRERO DELAVEGA CHARLES PASI FAADA FREDDY DARAN TALISCO MINA TINDLE THE WANTON BISHOPS ANTILOOPS NACH STEVANS STAL COTTON BELLY’S ANDREA BALENCY LADYLIKE LILY LES FRERES CASQUETTE JAIN LEWIS RENZA BO SLAUGHTERHOUSE BROTHERS UNDOBAR CHEVAL VAPEUR AFTER THE BEES HOT ROD 56 FESTI’BAHUTS ALENCON SOUL PROJECT La LUCIOLE 171 route de Bretagne 61000 Alençon Tél 02 33 32 83 33 / Fax 02 33 32 84 34 / www.laluciole.org Marion Vannier - [email protected] DOSSIER de PRESSE Programmation Janvier-Juin 2015

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CHRISTINE AND THE QUEENS IBEYI THE AVENER

SYNAPSON JORIS DELACROIX MIOSSEC

CLINTON FEARON & THE BOOGIE BROWN BAND PAUL PERSONNE

MARIANNE FAITHFULL CHARLELIE COUTURE FRERO DELAVEGA

CHARLES PASI FAADA FREDDY DARAN TALISCO

MINA TINDLE THE WANTON BISHOPS ANTILOOPS NACH

STEVANS STAL COTTON BELLY’S ANDREA BALENCY

LADYLIKE LILY LES FRERES CASQUETTE JAIN LEWIS

RENZA BO SLAUGHTERHOUSE BROTHERS UNDOBAR

CHEVAL VAPEUR AFTER THE BEES HOT ROD 56

FESTI’BAHUTS ALENCON SOUL PROJECT

La LUCIOLE 171 route de Bretagne 61000 Alençon

Tél 02 33 32 83 33 / Fax 02 33 32 84 34 / www.laluciole.org

Marion Vannier - [email protected]

DOSSIER de PRESSE Programmation Janvier-Juin 2015

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 1

Vendredi 9 janvier - 20h Gratuit

PRESENTATION DE LA PROGRAMMATION

LA LUCIOLE vous invite à sa présentation de saison janvier-juin 2015, qui se déroulera le vendredi 9 janvier 2015 dans la grande salle de LA LUCIOLE de 20h à 23h. Entrée gratuite, mais uniquement sur retrait de ticket à La Luciole (le nombre de places étant limité).

Exceptionnellement le service billetterie et réservation ainsi que le bar seront ouverts de 19h à 0h. Au programme de la soirée, tous les concerts décryptés, des clips et du plaisir à gogo, de la convivialité, des écoutes musicales grand format et un verre de l’amitié qui nous permettra d’échanger après ce délicieux moment.

Merci de venir impérativement retirer votre place à LA LUCIOLE (qui vous sera demandée à l’entrée le 9 janvier) jusqu’au mardi 23 décembre 2014 à 19h ainsi que les mercredi 7 janvier et vendredi 9 janvier 2015 (de 14h à 19h), dans la limite des 300 places disponibles.

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 2

Vendredi 23 janvier - 21h Tarifs : abonné 23€, sur réservation 25€, sur place 28€. Tarif Solidaire : 4 Tickets Culturels Solidaires + 1€ = concert à 9€

PAUL PERSONNE Puzzle 14 L'homme à la Gibson à la voix chaude et rocailleuse, sort un 14ème album entouré de son groupe A L'Ouest. Des guitares bien sûr, mais surtout des mélodies et des chansons qui touchent. Des bouts de vie posés comme les pièces d'un puzzle. Celui que l'on qualifie souvent de "Guitar Hero", lui ne le revendique pas car cet artiste

humble se qualifie plutôt de musicien de l'âme ayant toujours préféré la liberté à la célébrité. Paul Personne traverse le temps avec simplicité et discrétion, loin des diktats de la mode sans esbroufe ni sons tonitruants, la musique est là pour accompagner ses mots, comme un poète face à la vie. Cette vie et cette route qu'il trace au fil des ans sans concessions, pour le plaisir de jouer, de chanter et de partager. C'est sur scène qu'il rassemblera les pièces de son puzzle musical, lors de sa tournée qui passera par l'Olympia le 20 janvier 2015.

https://www.facebook.com/pages/Paul-Personne/16818833321. Web : http://www.paulpersonne.com/

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 3

Samedi 24 janvier - 21h Tarifs : abonné 26€, sur réservation 28€, sur place 30€. Tarif Solidaire : 4 Tickets Culturels Solidaires + 4€ = concert à 12€

FRERO DELAVEGA Flo et Jérémy sont 2 amis originaires du Bassin d'Arcachon. Leur duo Fréro Delavega rencontre un vif succès sur le net. Avec leurs voix harmonieuses, leurs vidéos de reprises très personnelles font sensation et comptabilisent aujourd’hui des millions de vues. Sur la route depuis 2 ans, ils croisent le chemin d’artistes tels que MC Solaar, Joyce Jonathan, Pep’s... Ils se révèlent sur scène et dévoilent ainsi leurs propres compositions. Leur sélection par Mika lors de leur passage à l’émission The Voice 2014, leur assure une belle notoriété. Leur 1er album est sorti le 21 juillet chez Capitol/Universal, il est aujourd’hui disque de platine.

Leur 1er single Sweet Darling affiche des millions de vues sur Youtube tout en étant playlisté sur toutes les radios musicales nationales. Le succès des Fréro Delavega ne se dément pas. Après une tournée d’automne 2014 de plus de 30 dates sold out en France, Belgique et Luxembourg, ils entament une nouvelle tournée en 2015 avec comme point culminant un Zénith Paris – La Villette le 7 mai 2015. Avec leurs deux voix en or et leurs mélodies harmonieuses, les Fréro Delavega avaient tout pour plaire. Ce duo talentueux et généreux composé de Flo Delavega et Jérémy Fréro a connu un succès grandissant. Découverts sur Internet, leurs vidéos de reprises très personnelles affichent désormais des millions de vues, en 2013 ils font leur premiers pas sur scène en première partie de Joyce Jonathan et séduisent déjà le public grâce à leur duo guitare/voix. Leur première tournée acoustique en mars 2014 confirme leur talent : ils offrent sur scène une belle présence et révèlent leurs premières compositions. Leur premier disque éponyme, sorti le 21 juillet chez Capitol/Universal devient en seulement 1 mois disque de platine

https://www.facebook.com/FreroDelavega

https://twitter.com/FreroDelavega

https://twitter.com/JeremyFrerot https://twitter.com/FloDeLavega Web : http://www.frerodelavega.com/

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 4

Vendredi 30 janvier - 21h Tarifs : abonné 30€, sur réservation 32€, sur place 35€. Tarif Solidaire : 5 Tickets Culturels Solidaires + 2€ = concert à 12€

MARIANNE FAITHFULL En 1964, Marianne est présentée au manager des Rolling Stones, Andrew Loog Oldham, lors d'une soirée à Londres. Elle a dix-sept ans et fréquente encore le lycée ! Fasciné par son look, Oldham lui propose de faire un disque avec elle. Quelques mois plus tard, sa carrière musicale est lancée avec As Tears Go By, la toute première chanson écrite par Mick Jagger et Keith Richard. Elle figure au Top 10 britannique en août 1964. As Tears Go By n'est que le premier de quatre tubes. Deux de ses albums entrent également au Top 20 ; ils reflètent un parfait équilibre entre le rock et des influences folk plaintives, avec les signatures de compositeurs tels que Bert Jansch et Tim Hardin. En parallèle, Marianne se lance également dans une carrière d'actrice. Elle

apparaît au cinéma dans LA MOTOCYCLETTE et au théâtre dans LES TROIS SOEURS de Tchekhov (avec Glenda Jackson) et dans HAMLET, mis en scène par Tony Richardson, avec Anthony Hopkins et Nicol Williamson. Pourtant, à la fin des années soixante, c'est plutôt la vie personnelle de Marianne - et sa relation avec Mick Jagger - qui intéresse les médias. Elle se retire de la scène, n'apparaissant que brièvement au milieu des années soixante-dix avec un album aux sonorités country, DREAMIN' MY DREAMS, enregistré avec le Grease Band. Il ne suscite guère d'intérêt en Grande-Bretagne, mais obtient un immense succès en Irlande, où Marianne réalise sa première tournée depuis dix ans. Ce n'est qu'en 1979 que Marianne Faithfull redémarre véritablement sa carrière avec un album qui se démarque totalement, BROKEN ENGLISH. L'innocence s'est envolée et Marianne affiche désormais une voix sombre et rauque, qui deviendra sa marque de fabrique. C'est un moment révélateur où les thèmes folk de ses débuts cèdent la place à des chansons mordantes et incisives telles que Why Do Ya Do It ? Working Class Hero ou la chanson-titre Broken English. Sans oublier The Ballad of Lucy Jordan de Shel Silverstein, enregistrée à l'origine par Dr. Hook, mais que Marianne Faithfull a totalement fait sienne. D'autres albums suivent, comme DANGEROUS ACQUAINTANCES, A CHILD'S ADVENTURE et, en 1987, STRANGE WEATHER. À l'époque, Marianne est de plus en plus fascinée par l'ambiance et l'émotion théâtrales de la musique écrite par Kurt Weill dans les années vingt et trente. Même si aucune des chansons de STRANGE WEATHER n'est de Weill, son influence s'impose clairement dans la tonalité de l'album. L'intérêt de Marianne pour Kurt Weill et la musique de la République de Weimar se confirme en 1996 avec la sortie de 20TH CENTURY BLUES, suivi en 1998 de l'enregistrement de l'opéra de Kurt Weill et Bertolt Brecht LES SEPT PECHES CAPITAUX (THE SEVEN DEADLY SINS), qu'elle chante pour la première fois en public au Festival de Salzbourg, en Autriche. Elle obtient un tel succès que l'album se voit propulsé au sommet des charts classiques du monde entier. Pendant toutes ces années, la carrière "grand public" de Marianne est virtuellement en sommeil, bien qu'elle collabore à divers projets. Elle co-écrit notamment un thème pour la télévision intitulé Hang It to Your Heart avec Alex James, le bassiste de Blur. Celui-ci est d'ailleurs à l'origine de sa collaboration avec Damon Albarn sur KISSIN TIME et BEFORE THE POISON. Cette fameuse carrière reprend avec

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 5

la sortie remarquée de VAGABOND WAYS en juin 1999. L'album contient des chansons telles que Incarceration of a Flower Child, titre inédit de Roger Waters écrit en 1968, ou encore For Wanting You, un nouveau titre d'Elton John, sans oublier une reprise de Tower of Song, de Leonard Cohen. Marianne renoue par ailleurs avec le septième art, puisqu'elle joue dans INTIMITÉ, de Patrice Chéreau, lauréat de l'Ours d'Or au Festival du film de Berlin en 2001. Elle participe également à FAR FROM CHINA, du réalisateur Christian Leigh, sorti en Grande-Bretagne début 2002. Malgré ces nombreuses activités, Marianne trouve le temps d'enregistrer KISSIN TIME, auquel collaborent des artistes et musiciens de renom tels que Beck, Billy Corgan, Dave Stewart, Jarvis Cocker et Damon Albarn. L'album n'en reste pas moins teinté d'une atmosphère intime et tendue, caractéristique des plus belles oeuvres de Marianne. Après la sortie de KISSIN TIME, Marianne entame une grande tournée mondiale, la première de cette ampleur depuis de nombreuses années. Là encore, elle prépare et écrit déjà son prochain album, sous-tendu par sa collaboration avec PJ Harvey (5 titres) et Nick Cave (3 titres) en tant qu'auteurs-compositeurs et interprètes. Marianne collabore également avec Damon Albarn et Jon Brion sur l'écriture de deux autres titres. Résultat : BEFORE THE POISON, un album qui rivalise sans peine avec les meilleurs moments de la longue et remarquable carrière de Marianne Faithfull. Elle est aussi apparue dans la sitcom britannique ABSOLUTELY FABULOUS dans le rôle de Dieu. C'est elle qui interprète Marie-Thérèse d'Autriche dans le film de Sofia Coppola, Marie-Antoinette avec Kirsten Dunst sorti en 2006. Elle tient aussi le rôle d'une artiste peintre dans le court-métrage que Gus Van Sant a réalisé pour le film PARIS JE T'AIME (2006). Côté cinéma elle a interprété le rôle poignant d'IRINA PALM une veuve de 50 ans, tentant coûte que coûte de trouver l'argent qui permettra de payer un ultime traitement à son petit-fils gravement malade… Le nouvel album de Marianne "EASY COME, EASY GO" sortira à la fin de Novembre 2008. Enregistré en 2 semaines à la fin de l'année 2007 au légendaire studio Sear Sound de New York, toutes les chansons ont été choisies par Marianne et Hal. L'album comprend des reprises de morceaux différents tels que le "Solitude" de Billie Holiday, "Sing me back home" de Merle Haggard, "Easy come, easy go blues" de Bessie Smith (chanson qui a donné son titre à l'album), "Dear God, please help me" de Morrissey ou "Down from Dover" de Dolly Parton. Accompagnée par un brass band (cuivres et percussions) et quelques violons, Marianne est aussi entourée par Marc Ribot et Barry Reynolds. Marianne tout comme Hal trouvent qu'il s'agit de son meilleur album à ce jour. Marianne fera quelques apparances spéciales en 2008 où elle récitera entre autres une sélection de sonnets d'amour de Shakespeare, accompagnée par un violoncelle.

https://www.facebook.com/mariannefaithfullofficial

https://twitter.com/Faithfull_M Web : www.mariannefaithfull.org.uk / www.myspace.com/mariannefaithfullofficial

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 6

Vendredi 6 février - 21h Concert Découverte Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€

TALISCO 1er album « Run », sortie digitale & physique le 19 mai 2014 (ROY MUSIC / UNIVERSAL). Laissez tomber le guide, ses raccourcis, sa propension à tracer des lignes droites, Talisco s’aventure dans de nouvelles contrées musicales. S’enfonçant toujours plus loin dans ses expérimentations électro-folk, toujours ailleurs. Nous l’avions découvert dans les plaines americana et le folk-rock downtown, via son premier EP My Home. Depuis, le brun ténébreux à la voix d’ange a rajouté quelques cartouches à sa sixcordes et pas mal de bornes au compteur. Son premier album s’intitule

Run, « une illustration de l’évasion, du nécessaire départ quand tu commences à ronronner, du besoin de s’échapper ». La course folle d’un écorché vif. Dans ce nouveau road-trip, le songwriter parisien s’est baladé dans des décors somptueux, ces étendues vierges à perte de vue qu’il se plaît à mettre en musique. Nul besoin de s’exiler au fin fond d’une grotte, c’est dans son home studio que Talisco s’est enfermé en dedans, pour accoucher de ce recueil de contes imaginaires. Sur le papier, l’auteur s’adonne aux ellipses et aux métaphores ; sur les bandes, il faut que ça cingle : « J’aime les sons arides, bruts et abîmés de la Fender Telecaster ». Mais d’ajouter aussitôt que peu importe l’arme, « en studio, je tords les sons, je les triture, les passe dans divers compresseurs, à travers de vieux préamplis, je bidouille, je bricole, je crée mes propres canevas sonores », s’enthousiasme cet alchimiste d’un autre genre. C’est là, parmi les jacks, les micros et ses électro-légos, sur son établi multipistes, qu’il a façonné ses pépites, loin des recettes toutes faites et des discours formatés : « A quoi bon conceptualiser la musique ? Je reste dans le domaine de l’imaginaire, la rêverie, les envolées ». No logo. Run pourrait être un livre d’images. Talisco chemine dans les grands espaces, ses silences et ses midtempo hypnotiques, avant de laisser exploser cordes, beats et chants chorales quand percent enfin les lumières de la ville. Il court, Talisco, traversant les plaines western aux dentelles acoustiques et les déserts californiens qu’il troue de lézardes électriques et de réverbes vintage. Le sonwgriter saute de train en train, comme il se joue des répertoires. Il lorgne d’autres horizons, telles les briques du rock british (« Bring me back »), multiplie « es grands écarts entre l’humeur contemplative de certains titres comme la ballade « So old » - j’aime planer au-dessus - de la mêlée, prendre de la distance pour observer l’action se dérouler - et les atmosphères sombres mais jamais inquiétantes ». Le clair-obscur d’un artiste éclairé, à la lumière des cocktails molotov de rock garage et des envolées lyriques à la Jeff Buckley. De quoi faire baver Tarantino pour sa prochaine B.O. sur une improbable blonde à coupe-chou, sur des pétroleuses psychopathes ou des porte-flingues de big mac. Bref, pour illustrer n’importe quel ovni cinématographique. Véritable hymne rock électro pour ados, « The Keys » pourrait être la bande-son du deuxième volet du « Kids » de Larry Clark ; la volute folk « Lovely » celle de « Into the Wild ». Enfin, dans « Reborn », on aperçoit même ce grand « romantique épineux » (dixit Les Inrocks) sur la scène d’un improbable théâtre de banlieue rouge, balançant ses pop-corns de piano et de guitare à la face des spectateurs. Cours, vis, monte le son. Les titres défilent, les plans séquences s’enchaînent. L’écriture emprunte au 7ème art, l’auteur - grand fan du « La légende du cavalier sans tête » de Tim Burton et du « Mulholland Drive » de David Lynch - noircit des storyboards. Et, en filigrane de ces étonnants courts métrages musicaux, cette impression de chevauchée sauvage.

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 7

Jeudi 26 février - 21h Tarifs : abonné 25€, sur réservation 28€, sur place 30€. Tarif Solidaire : 4 Tickets Culturels Solidaires +4€ = concert à 12€

CHRISTINE AND THE QUEENS 1er album "CHALEUR HUMAINE", sortie le 2 juin 2014 Hiver 2010. De nuit. Elle marche dans Londres. Elle ne sait plus du tout où elle en est. À un tournant de sa vie manifestement. Ce soir-là, elle pousse la porte du Madame Jojo’s, bar interlope de Soho. Sitôt entrée, elle sait qu’elle vient de trouver un îlot salutaire. Elle y reviendra tous les soirs pendant plusieurs semaines. D’abord seule à une table, aimantée par la liberté indomptable et malicieuse des travestis qui se produisent là. Jusqu’à ce que trois « Queens » remarquent sa présence silencieuse. Et jusqu’à ce qu’un lien se tisse entre elles, au cœur, à l’os. Oui, tout va très vite : au Madame Jojo’s, on ne vient pas par hasard, on vient pour être enfin soi-même, se trouver peut-être. Aux Queens, elle raconte : elle est française, elle étudie la littérature et le théâtre (mais trimballe une

entêtante frustration), elle écrit (mais ne fait qu’amonceler les pages), elle pratique le piano (mais étouffe dans le répertoire classique) ; accessoirement, elle ne parvient pas à se relever d’une rupture amoureuse qui l’a laissée face contre terre. Ce que les Queens lui diront toutes ces nuits durant, elle le gardera précieusement, comme un talisman : il faut s’inventer. Fût-ce à la marge. Hors des sentiers battus. Et vite. On n’a qu’une vie. Elle rentre en France. Elle déserte les écoles qui ne la nourrissent plus. Elle est forte de ces possibilités de vie si grandes qu’elle a découvertes à Londres au Madame Jojo’s. Elle s’enferme avec un ordinateur pour tout studio. Elle écrit, elle compose, elle chante, elle maquette. Avec des références aussi marquantes qu’éclectiques : du hip-hop (Kendrick Lamar, Drake...) à la pop flamboyante (Kate Bush), de Gainsbourg version Gainsbarre (« libido au plus haut, décadence totale ») au couple mythique Lou Reed-Laurie Anderson, jusqu’aux instrumentaux de Gavin Bryars et de Michael Nyman… Et bien sûr : le génie Michael Jackson. Pour tout ce qu’il a donné à entendre et à voir. L’artiste et le personnage. Car c’est bien ça aussi qu’elle cherche : à inventer le personnage qui la fera se sentir enfin libre. En la matière, elle a une armoire entière de modèles : le Bambi américain évidemment mais également Klaus Nomi, Andy Kaufman ou encore Narcisse auxquels elle s’identifie le temps de l’écriture et qu’elle ressuscite comme pour mieux trouver… Christine. Voilà : elle s’appellera Christine, et les chœurs qui résonneront dans ses chansons seront toujours à l’effigie des trois Queens de Londres, comme un écho infiniment reconnaissant. Christine and The Queens, donc. Cheveux en arrière, menton haut, col boutonné tout aussi haut. Son genre : jamais certain. Grande fille, petit garçon, et parfois homme. Enfant bizarre. Il n’y a qu’une blessure : celle de n’être que soi-même et ce n’est plus un problème puisqu’elle est dorénavant Christine, un être enfin pluriel et sans entrave, aussi mouvant qu’un Orlando. Christine and The Queens, c’est quand même bien pour de vrai. C’est d’abord trois EP : « Miséricorde », « Mac Abbey » et « Nuit 17 à 52 ». C’est une sélection dans le peloton de tête du CQFD des Inrocks. Christine and The Queens, c’est des concerts de chauffe, seule en scène avec son ordinateur, puis des premières parties au côté de The Do, puis de Stromae. C’est une prestation à la grâce saisissante aux Victoires de la Musique où elle est nominée dans la catégorie « Révélation Scène ». Enfin, c’est une

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 8

fille qui plonge très vite dans la conception d’un album, qui écrit une trentaine de titres pour en retenir onze. Une fille qui retourne à Londres et s’enferme avec celui qui réalisera l’album avec elle – Ash Workman (Metronomy) – et deux frères multi-instrumentistes – Michael Lovett et Gabriel Stebbing. Christine sait parfaitement ce qu’elle veut (« Less is More ») : un minimalisme puissant ; le moins d’instruments et de pistes possibles mais partout : l’imparable des rythmes, l’évidence organique des voix, la recherche de teintes contemporaines (notamment dans l’alliage analogique / électronique), et le renfort inspiré des cordes. C’est au final : « Chaleur Humaine », portrait de Christine et de ses soeurs queer. Autant dire : une échappée loin des corsets et des cases. Un hommage à l’imprévisible, à la rencontre, à l’invention de soi et du corps (qui devrait toujours survivre à la jeunesse !). Un album écrit majoritairement en français mais cultivant de subtils virages vers l’anglais et s’autorisant, au passage, une reprise très inattendue : « Les Paradis Perdus » de Christophe. Bientôt Christine sera évidemment de sortie : sur scène. Pas de terreur, tout au contraire : c’est l’ultime refuge où elle existe pleinement et vraiment. Là, d’autres phares : Pina Bausch, Bob Fosse, Chaz Buzan, Maggy Marin… Elle s’y prépare comme une athlète. Car la scène musicale doit être performance. Un « show » freaky et pop qui mêlera musique, théâtre, danse et vidéo : toujours à l’image de l’héroïne qui vient de naître.

Arnaud Cathrine

https://www.facebook.com/christineandthequeens https://twitter.com/QueensChristine

Web : http://www.christineandthequeens.com/

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 9

Samedi 28 février - 22h Tarifs : abonné 20€, sur réservation 22€, sur place 25€. Tarif Solidaire : 3 Tickets Culturels Solidaires + 4€ = concert à 10€

Soirée CLUBBING 100% DANCEFLOOR

22h : Warm-up par ELECTRO LEO

avec MANDEH (Deep House - Caen)

« We need perfect vibes ». Le local de l’événement, jeune producteur alenconnais, MANDEH a débuté la production il y a un peu plus d’un an. Bien dans la mouvance actuelle, ses productions vont du Chillout à la House. Attention talent de demain !

https://www.facebook.com/Mandeh

https://twitter.com/mandehmusic Web : https://soundcloud.com/mandehh

23h30 : SYNAPSON (DJ Set)

SYNAPSON - "STENDHAL SYNDROME". FORMAT : ALBUM LP. RELEASE : PHYSIQUE & DIGITALE. DATE : 5 Novembre 2012. DISTRIBUTEUR : MUSICAST. LABEL : DIEZ MUSIC ©DIEZ MUSIC / VICTOR PRODUCTION / SPACE PARTY (MMC) SYNAPSON un nom, une musique, une philosophie, et un style marqués par l’éclectisme.

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 10

ELECTRO DANDYSME D’origine parisienne, ce duo composé d’Alexandre et de Paul revendique un état d’esprit « dandy chic » et décalé, qui se manifeste au travers d'une musique teintée de jazz, et proche de la Deep House. Un style qui n’est pas sans nous rappeler les pères fondateurs de la musique électronique. « Notre musique est électronique mais mélodique, elle n’est pas minimaliste. Alexandre à 20 ans de piano derrière lui, du coup il apporte toutes les mélodies à nos compositions » explique Paul. « Nous défendons la mélodie. Notre musique peut être jouée en club afin de faire danser les gens, mais elle n’est pas trop rapide ni agressive. Elle diffuse des sentiments et des émotions », renchérit Alexandre. Si le duo est parisien, c’est pourtant du coté de Biarritz qu’il s’est formé. Paul et Alexandre y passaient leurs vacances enfants. Passionnés de musique, ils se sont naturellement trouvés, puis perdus, avant de se retrouver sur la capitale. Dans la ville lumière, ils décident de matérialiser une vieille idée qui leur trottait à tous deux dans la tête : créer un groupe « pour le plaisir » affirment-ils à l’unisson, par passion pour la musique. C’était il y a quatre ans, et depuis, le duo a fait du chemin. CARRIERE PROMETTEUSE Après la sortie d’un premier maxi en 2010, les choses se sont en effet accélérées pour le duo. Ce qui n’aurait dû être que du « plaisir » s’est transformé en début de carrière prometteur. Pour s’en convaincre, il suffit de visionner le clip de leur titre « Sentimental Affair", mais aussi d’assister à l’un de leur set au Baron à Paris ou au Lavo NYC, un club réputé de New York, où des Dj comme Steve Aoki, et A.Trak ont élu résidence. Signés sur le label DIEZ Music et coproduits par Victor Production, suite au buzz sur les réseaux sociaux, généré par leurs productions, les SYNAPSON sortent enfin leur premier album Stendhal Syndrome disponible le 5 novembre. Un 11 titres accompagné d’un maxi 3 titres, de clips vidéos, et dont l’univers graphique sera assuré par Julien Sistart, un directeur artistique Montréalais, à qui l’on doit l’image épurée et graphique des SYNAPSON. Electronique, mélodique, influencé par différents courants musicaux le style musical du duo, se veut intergénérationnel et ouvert sur le monde. Le premier album des deux producteurs de Synapson, Stendhal Syndrome, se veut mélodique et éclectique à l’image de leur génération toujours prête à découvrir de nouveaux univers, de nouvelles inspirations. Avec ces 11 titres, ils explorent les différentes nuances de la musique électronique, avec des morceaux inspirés du hip hop, de la pop, du rock. Plusieurs influences se mélangent et donnent un résultat moderne sans se cantonner à un seul genre musical. UNE MUSIQUE POUR TOUS L’ambition du duo est de s’adresser au plus grand nombre, car la bonne musique n’a pas de frontières. C’est sans doute pour toutes ces raisons que le duo c’est produit durant toute la durée du festival de Cannes 2012, du 16 au 28 mai. DJ officiels de ce rendez-vous incontournable des cinéphiles du monde entier, les SYNAPSON ont habillé musicalement la montée des marches chaque jour. Paul et Alexandre ont assuré les soirées officielles du festival, notamment celles du court métrage et de la soirée de clôture. Une fête en forme d’apothéose, qui a donné l’occasion au duo d’exprimer aux platines l’étendue de sa créativité. « Dans nos sets, on retrouve Maceo Plex, Nicolas Jaar, Rolling Stones, nos propres remix. On peut aussi passer du Otis Redding ». Mais au fait d’où vient le nom SYNAPSON ? « De l’époque où nous étions en seconde. On étudiait le système nerveux, et notamment les synapses, en cours de science et vie. La synapse, c’est une zone de contact qui s’établit entre deux neurones, ou entre un neurone et une autre cellule (récepteur sensoriel, cellules musculaires). Nous sommes un peu pareils, sauf que nous établissons une zone de contact entre le public et la musique. Nous sommes un Synapson, une synapse musicale, en quelque sorte. Notre but est de faire une musique de qualité qui puisse plaire au plus grand nombre, sans que cela soit péjoratif. De la bonne musique pour tout le monde » concluent Paul et Alexandre.

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https://twitter.com/synapson Web : http://www.synapson.fr/

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 11

1h : THE AVENER (DJ Set) Quand The Avener prend la première place du classement iTunes en Allemagne avec Fade Out Lines, c’est un choc : cela fait belle lurette qu’un artiste français n’a pas réussi une telle performance outre-Rhin, et surtout avec un titre aussi singulier. Car le succès de Fade Out Lines, c’est une porte qui s’ouvre sur un univers unique et pourtant immédiatement familier. Avec ce titre irrésistiblement rythmé et sophistiqué à la fois, on pense autant à un after amoureux à l’aube sur les quais de Seine qu’à un beat de funk banlieusard en boîte de nuit. Depuis, ce single miraculeux s’impose partout, et confirme

The Avener dans son intention de départ : circuler aux frontières des genres, des époques, des styles, aux frontières entre la musique que l’on écoute et la musique que l’on danse, aux frontières de l’underground et de la pop haut de gamme. The Avener le dit lui-même : « Fade Out Lines est un morceau difficile à classer : c’est un blues avec des influences jazz, folk, funk et des instruments électroniques. Il y a des sentiments, de l’émotion, de la nostalgie, et en même temps beaucoup d’énergie. » C’est un bon symbole pour l’album The Wanderings Of The Avener, manifeste d’une électro raffinée dans l’esprit du sampling nu-jazz de St Germain et de son Boulevard, à mi-chemin des démarches de Moby et de Wankelmut, de King Britt et de Cassius… Ghost producer pour beaucoup de tubes de club, Tristan est devenu The Avener en retournant au plaisir de la musique pour elle-même, à son amour de jeunesse pour le piano et la mélodie, à sa culture musicale dense, variée, profonde… mais aussi à la deep house, antidote à la froideur mécanique qui a envahi l’électro depuis quelques années. Tristan s’enferme des mois en studio : « J’ai commencé à réarranger des titres passés inaperçus, à leur donner un peu de modernité… ». Il s’agit de chercher le dosage très exact qu’il désire entre acoustique et électro, entre science du songwriter et instinct d’expert du dancefloor… En même temps que The Avener compose lui-même, The Avener reprend Sixto Rodriguez, John Lee Hooker, Mazzy Star, The Be Good Tanyas, Andy Bey, Adam Cohen… Blues séminal, folk underground, pop nocturne, rock iconique, artistes oubliées des années 70 et 80, The Avener déambule dans les allées secrètes de sa mémoire. Émissaire de son album, son sampling de The Fade Out Line de Phoebe Killdeer & the Short Straws, discrètement mis en ligne à l’été 2013, buzze d’abord patiemment en France avant d’exploser en Allemagne puis partout dans le monde. The Avener retrouve ainsi une patte délicate et radieuse, qui sonne à l’étranger comme une touche d’élégance so French, tout en s’affirmant comme la redécouverte du chaînon manquant entre l’émotion harmonique et la pulsion de danse… La confirmation arrive avec The Wanderings of the Avener, son 1er album prévu le 19 Janvier 2015.

https://www.facebook.com/theavenermusic

https://twitter.com/TheAvenerMusic Web : http://www.theavener.com/

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 12

2h30 : JORIS DELACROIX (DJ Set)

A 25 ans à peine, Joris Delacroix s’est déjà imposé comme l’une des entités majeures de la scène House française, grâce à des EPs et remixs qui ont été adoubés par entre autres Asaf Avidan et Depeche Mode. Près de 2 ans après la sortie d’”Air France”, il nous offre son EP éponyme- un occasion de (re)découvrir cette track dont on ne se lasse jamais- avec un clip bonus rélisé par Julien Vrai et Diez Films. L’EP s’ouvre avec un nouveau titre “This Place is Cool” qui permet de reconaître instantanément le style de ce jeune producteur, à la fois atmosphérique et très dancefloor.

En plus du radio edit d’”Air France” et de sa version originiale, on trouve 2 remixes réalisés par des compatriotes: le premier par Synapson, duo parisien membre du label de Delacroix “Way Of House” sur lequel est sorti leur propre EP. Le second est de Maelstrom, du label Zone, qui nous livre un remix electro-organique de “Night Flight”.

https://www.facebook.com/jorisdelacroix.fpage?sk=wall https://twitter.com/JorisDelacroix

Web : https://soundcloud.com/jorisdelacroix

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 13

Vendredi 6 mars - 21h Concert Découverte Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€

MINA TINDLE + ANDREA BALENCY (1ère partie) MINA TINDLE “PARADES” Deux ans après Taranta, son premier album intimiste qui lui aura valu les louanges d’une critique unanime et la reconnaissance publique, sur ses propres terres comme à l’étranger, Mina Tindle forge avec Parades un grand disque lumineux... Une fenêtre ouverte sur le monde, une invitation au voyage vers des cieux d’azur et un horizon infini. Taranta avait été brodé au fil du temps et des émotions, de tâtonnements et d’expérimentations. Parades, dans toute son éloquente ampleur, a été écrit presque dans l’urgence, en une poignée de semaines estivales. Au fil des 12 plages qui le constituent, l’âme vagabonde et nomade de sa démiurge s’y déploie dans toute sa changeante pudeur. Il est ici question de deuils, d’amour, d’attentes, mais aussi de variations climatiques, là

où son prédécesseur était avant tout organique. « Je suis méditerranéenne d’origine, confie l’intéressée. La musique me bouleverse dans ce qu’elle a de sensuel, dans tout ce qu’elle représente comme images, comme couleurs. Avec Parades, j’avais envie de faire un disque d’essence, qui sache capturer les sens. Je suis une contemplative active par le goût, la vue comme le toucher.» Contemplative : le terme résonne étrangement pour qui connaît cette tête bien faite, dans laquelle la pensée foisonne et bout. Mina aura vécu deux ans sur les routes, dans le sillage de Taranta. Deux ans de tournée, d’une existence « singulière, un peu entre parenthèses » au cours de laquelle elle aura acquis en légitimité. L’épanouissement pleinement revendiqué, un sentiment de totale liberté auront finalement pris le pas sur les hésitations des débuts : « La scène m’a enrichie, m’a permis de construire une assise que je n’avais pas jusqu’alors. En tant qu’artiste, j’avais besoin de ce temps pour «grandir». Et puis, écrire, c’est aussi une question d’âge : j’ai eu trente ans l’an dernier, ça a été une année magique. Avec Parades, j’avais envie de quelque chose de très franc quitte à me lâcher dans le vide. J’ai pris des risques, en acceptant comme un pari de composer et d’enregistrer cet album en peu de temps. Mais je l’ai aussi fait en parfaite harmonie avec ce que je suis. Ma musique, sur scène comme sur disque, doit être extrêmement honnête, sinon je n’y crois pas.» Elle s’est aussi démarquée par un tempérament opiniâtre, de ceux qui ne maquillent rien à coups d’artifices et de faux-semblants. Auteure, compositrice, interprète, Mina Tindle ne néglige aucun de ses talents : « j’aurais du mal à me cantonner au rôle de chanteuse ; ces trois facettes, c’est une jolie casquette, un tout. » Elle en joue comme d’une palette qui lui permet d’exprimer, d’imprimer ses humeurs, en touches impressionnistes ou toiles colorées. Au fil des doubles sens qu’elle affectionne, d’une pensée en cascade, d’un esprit d’escalier, Mina promène son monde, sans efforts, entre cadavres exquis, jeu de pistes et ludiques digressions, sans jamais perdre l’auditeur le long de ces délicates circonvolutions... Loin du format de la pop song classique, le champ des possibles est immense : elle a fait de cet opus une terre de contrastes qui se revisite, à chaque écoute, avec une curiosité intacte et des sentiments nouveaux. Parades saisit l’affectation comme les incandescences ; les ballades susurrent, les titres up tempo sont des cavalcades à bride abattue.

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 14

Parades, le titre, est aussi significatif de ce grand écart devenu accomplissement : «Parades, ce sont destorses bombés, beaucoup de rouge à lèvres, des mouvements de taekwondo, la musique des corps qui se tournent autour... Parades, ce sont aussi des araignées mangeuses de serpents, des marins aux abois, des madones pleines de doutes, des fourrures qui ne réchauffent pas vraiment, des pas de deux à cloche-pied, un soleil andalou impitoyable, l’appel du Grand Nord, la peau comme résolution.» Mina joue avec les différents sens que revêt le titre de son album : la musique est tour à tour vécue comme un mécanisme d’autodéfense, comme une célébration joyeuse ou un élan collectif ; comme un chant tantôt désespéré, tantôt conquérant, qui caractérise l’éternelle parade amoureuse. Sur ce canevas, sa voix prend tout son relief et son plein essor ; l’esthétique, le sens du mot agrippent par surprise, coulent de source ou jouent à cache-cache, dans un habile brouillage de pistes. Une dynamique déjà instaurée, avec l’aide de JP Nataf, sur Taranta : «J’ai vu, à l’époque, comment il travaillait la langue française, comment il en jouait. JP a infusé sur moi, et comme je suis une véritable éponge...» Avec ses scansions très spéciales, elle revisite en détail un périmètre qu’elle avait déjà délimité et nommé sien pour en faire, au final, «quelque chose de moins cérébral et de plus spontané.» Olivier Marguerit, avec qui elle collabore à la scène depuis son premier EP, a été désigné coréalisateur et copilote de ce disque. «Là où JP, grand poète et mélodiste de la chanson française, était orfèvre perfectionniste, Olivier s’est fait sculpteur exalté dans le son comme la prise de risque. Tous deux ont eu la même bienveillance, le même respect à l’égard de mes chansons... Olivier a joué de presque tout sur Parades : cet album, nous l’avons fait main dans la main.» Autour des guitares et des claviers des deux amis, citons, au chapitre des présences qui font mouche, celle du Dirty Projectors Brian McOmber à la batterie, du compagnon de scène Guillaume Villadier qui aura posé ses guitares sur plusieurs titres et du mixeur de renom Craig Silvey (Portishead, The National, Arcade Fire...). Avec Bryce Dessner (The National, Clogs), elle enregistre à Brooklyn deux titres : “L’Astrakan” et “Taranta” – ce dernier en émanation fugace du passé. Mina Tindle brouille alors les pistes et joue les filandières en réinterprétant ce morceau – ode à la tarentelle italienne qui avait donné son nom au précédent album sans jamais y figurer – et en l’enregistrant finalement en terre américaine... «Il y a toujours, d’après moi, des territoires nouveaux à explorer : je ne cherche ni à combler un vide ni à jouer les chaînons manquants : je suis foncièrement animée par l’envie de rencontrer l’Autre. Plus de la moitié des morceaux de Parades sont écrits en français : j’ai aimé confronter “des chansons françaises” à des sensibilités anglosaxonnes – celles de Bryce, de Craig, de Brian – qui avaient nécessairement un autre rapport au texte et à sa musicalité et voir ce qui se passait. Travailler avec JP Nataf ou Olivier Marguerit procédait de cette même envie, de ce même besoin de rencontre qui crée des mondes nouveaux... Tout cela reste heureusement très intuitif.“ Le long des cris de guerre conquérants que sont “I Command”, “Seaside”, des souffles intimes de “Dehors”, “Plein Nord” et de “Ta Peau”, des évocations sinueuses et bienveillantes de “Je Sais” ou du nerveux “Pas Les Saisons”, Parades tend des passerelles entre folk sylvestre à la Bon Iver et pop française. Mina puise son inspiration dans un vaste registre, de la variété italienne de Lucio Battisti à l’indie rock en passant par le tropicalisme brésilien des années 70. Elle explique, aussi, avoir beaucoup réécouté les classiques français ces dernières années, comme pour mieux se réapproprier un héritage mis de côté jusqu’ici. Elle avoue « une obsession pour les voix, comme si elles étaient des miroirs de l’âme. Milton Nascimento, Nina Simone, Roy Orbison, Jacques Brel, et plus récemment Beth Gibbons, Chan Marshall ou James Blake apportent une part d’intemporel à leur répertoire, grâce entre autre à la sincérité de leur interprétation” Kaléidoscopique, exotique, ésotérique, Parades parcourt la carte des acclimatations en même temps qu’il joue les chamanes : Mina Tindle y convoque mages et marabouts, ombres et lumières, rites incantatoires ou guérisseurs pour un résultat qui ne laisse jamais indifférent : « si cet album doit traduire un état d’esprit, explique- t-elle, c’est la volonté, la foi en l’action... Dans ce domaine-là, on ne peut pas faire les choses à moitié.»

https://www.facebook.com/MinaTindle

https://twitter.com/MinaTindle Web : http://minatindle.com/

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 15

ANDREA BALENCY (1ère partie)

YOU’VE NEVER BEEN ALONE (single) Co-produit par AIRHEAD > déjà disponible WALLS EP > sorti le 23 juin 2014 Découverte en 2010, Andrea Balency, 22 ans, Franco-Mexicaine, citoyenne du monde (installée aujourd’hui à Paris, mais précédemment à New-York, Mexico, Londres et Buenos Aires!), s’est très vite affirmée comme l’une des jeunes artistes les plus intrigantes et prometteuses de sa génération. Andrea a récemment ouvert les concerts de James Blake (R&S, Universal), Inc. (4AD), Au Revoir Simone (Moshi Moshi) et Mount Kimbie (Warp). Elle se distingue en Avril 2013, en étant choisie par The Cure pour assurer la première partie du dernier concert de leur tournée mondiale dans le grand stade de Mexico, où elle se produit devant plus de 50.000 personnes.

Andrea joue au SXSW et au Sonar de Barcelone, avant de revenir s’installer à Paris pour composer, écrire et enregistrer avec BATAILLE son premier EP WALLS qui sort le 23 juin 2014; mélange élégant de nu-soul indie, dubstep downtempo et d’electronica. Parmi ses collaborations récentes : les producteurs américains Nick Hook et Salva (l’enfant prodige électro de Los Angeles); un featuring (presque secret) sur l’encensé single “Autumn” de Airhead - guitariste et collaborateur central de James Blake, une participation sur le titre “Better” de la rappeuse New-Yorkaise Kilo Kish et sur un single à paraître écrit par la britannique FKA Twigs ainsi qu’un remix bootleg de la chanson “Sous Le Lac Gelé” de Benjamin Biolay. You’ve Never Been Alone, le premier single tiré de son EP WALLS, a été co-produit par Rob McAndrews aka AIRHEAD, salué par Pitchfork pour son premier album “For Years” (R&S, 2013), et mixé par Stéphane “Alf” Briat, l’ingénieur du son français par excellence (Air, Phoenix, Sébastien Tellier...). Le single propose une réponse continentale originale à la “nouvelle scène féminine anglaise R&B sinueux aux voix joliment mystérieuses” (The Guardian). Avec cette première sortie, Andrea Balency s’inscrit dans la lignée directe d’AlunaGeorge, SBTRKT, Little Dragon et The XX. On est immédiatement saisi par la mélodie et les textures vocales oniriques, par la production et le son singulier et aérien de “You’ve Never Been Alone“, chargé d’effets précis et groovy. La surprise est au rendez-vous. Actuellement en train d’écrire son premier album, qui comprendra - entre autre - une collaboration avec Mount Kimbie, Andrea Balency et ses mélodies entêtantes est une artiste à prendre au sérieux. It’s time to let you go.

https://www.facebook.com/balencymusic

https://twitter.com/andreabalency Web : http://andreabalency.com/ Web : youtube.com/user/AndreaBalencyOficial

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 16

Samedi 7 mars - 21h Tarifs : abonné 23€, sur réservation 25€, sur place 28€. Tarif Solidaire : 4 Tickets Culturels Solidaires + 1€ = concert à 9€

CHARLELIE COUTURE

I m M o r t e l : Nouvel album, sortie le 15 septembre 2014. 1er extrait « l’Amour au fond », déjà disponible

CharlElie vit à New York depuis onze ans. Le titre de l'album, “I m M o r t e l ” s'entend donc à la fois en français: immortel, et en semi-anglais: I'M mortel. Et pour exprimer au mieux cette ambivalence essentielle, CharlElie a choisi d'être produit par Benjamin Biolay. L'alliance de CharlElie et de Biolay, c'est celle de la rigueur et du caprice, de la profondeur et de l'intuition. On sifflote au bord de l'abîme, on marche sur le fil de la musique à la recherche d'un équilibre incertain. Il suffit d'un rien pour tomber de l'autre côté. "Juste avant tout va bien, et juste après tout va mal"... mais ça marche aussi dans l'autre sens: "il suffit d'un rien, un nuage, un ange qui passe" pour que tout aille mieux.

A quoi ça tient ? "Nos rêves sont solides, heureusement", et même si rien ne tient à rien, quelque chose nous retient. CharlElie nous promène au bord des gouffres avec la grâce d'un ange gardien. Ses chansons garde-fous nous prennent par la main, entre jazz complice, berceuse consolatrice, cuivres fatigués d'une fanfare qui s'éteint, cordes sensibles et guitares rock. L'électricité est toujours là, mais c'est désormais celle de l'âme. Plus Yin, moins Yang, l'énergie, toujours puissante, s'est dépouillée de toute agressivité. On a à la fois le sentiment de retrouver le CharlElie qu'on a aimé, patiné par le voyage de la vie, vieilli comme un vin de garde - mélancolie profonde, amertume des grands cafés -, et la joie enfantine de rencontrer un être nouveau, ou plutôt renouvelé. Biolay est l'artisan de cet assemblage. Le résultat est plein de nuances et de malice. A l'heure des mélodies joyeusement factices, Couture rhabillé par Biolay rappelle avec délicatesse qu'une chanson n'impose rien: elle évoque, elle suggère des émotions portées du bout des doigts. Elle nous emmène dans un monde parallèle, et nous offre la consolation sans s'abîmer dans le mensonge ou l'illusion. CharlElie dit la dure vérité du chagrin de vivre. La lave est toujours là, elle nous réchauffe de sa brûlure adoucie. Tranquillement bouleversant, “I m M o r t e l ” signe le retour d'un CharlElie qui a beaucoup à partager, dans un album aussi important pour lui que pour nous.

https://www.facebook.com/CharlElieOfficial https://twitter.com/CharlElieNYC

Web : www.charlelie-officiel.com

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 17

Jeudi 12 mars - 21h Concert Découverte Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€

ANTILOOPS Dans le cadre de « 1 mois de Jazz en Basse-Normandie » (réseau Focus Jazz)

Flûtiste hors-pair, formée au CNR de Caen puis au CRR de Cergy Pontoise, Ludivine se passionne pour l'improvisation et le jazz. Très tôt, elle est poussée par ses professeurs à se professionnaliser. Entre formations jazz et classique, Ludivine se forge rapidement une technique implacable qu'elle met en pratique en intégrant l'Orchestre de flûte français. Elle remporte également en 2007 la première place au concours national de Flûte Jazz. Les soirées dans les clubs parisiens et les Jam sessions lui permettent de côtoyer rapidement quelques uns de ses mentors Hervé Meschinet, Malik Mezzadri, Michel Edelin…

En 2007, elle se fait repérer par le célèbre producteur et DJ Jean-Christophe Le Saoult : Wax Tailor, qui l'engage dans son groupe. Une grande aventure commence alors pour Ludivine. Plus de 500 concerts dans les plus grandes salles (Olympia, Bataclan, Aéronef, Zenith, Grand Rex, Victoire 2…) et les plus grands festivals (Solidays, Rock en Seine, Les Vieilles Charrues, Montréal jazz festival, Glastonbury…) ; mais aussi des tournées internationales : USA, Chine, et toute l'Europe. Elle rencontre ensuite le groupe UHT avec qui elle collabore également et part en tournée avec les MC d'ASM et enregistre avec eux l'album Crawnyard. Trois collaborations très formatrices pour la jeune flûtiste qui murit en parallèle des idées de projets plus personnels. C'est alors que né Antiloops en 2012, d'abord en trio puis rapidement en quintet (flûte, claviers, basse, batterie, scratch). Antiloops est un projet hybride, à la croisée des chemins entre Jazz, électro funk et hip-hop. Les morceaux composés par Ludivine et son groupe sont emprunts à la fois de beaucoup de sensibilité, d'une énergie indéniable et d'une puissance dans le son. Antiloops c'est le groupe que Ludivine avait rêvé de créer lorsqu'elle entendait dire que la flûte était un instrument classique, sans volume sonore. Or, son instrument, elle l'a toujours vu comme un moyen d'exploiter une palette de sonorités infinies et de mélanger les styles et univers. Electroshock, premier album d'Antiloops, est avant tout l'album de l'affirmation de soi, l'aboutissement d'une forme d'apprentissage entre la vingtaine et la trentaine qui aboutit à un électrochoc. Une révélation pour Ludivine, d'un besoin de se montrer telle qu'elle est, d'affirmer sa musique telle qu'elle la ressent, sans bride. C'est dans cette quête à l'affirmation de soi, qu'elle a réfléchi à l'idée de cycle ou de loop, que l'on retrouve aussi bien dans la musique que dans la vie. Au final, dans toute musique on retrouve une idée de boucle, de répétition, de cycle. Après avoir longtemps collaboré avec des artistes de Hip-hop, adeptes de ce système de loop, Ludivine a eu envie d'essayer autre chose : « Le danger avec les loops c'est que cela peut enfermer la musique ainsi que les musiciens. J'ai eu envie d'essayer d'utiliser ce matériau mais d'aller plus loin, de montrer qu'un peu comme dans la vie, même si parfois les choses se répètent, elles le font toujours en apportant autre chose, et que parfois il faut accepter la fin d'un cycle et en commencer un autre ».

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 18

Electroshock est en ce sens un titre fort. C'est la fin d'un cycle certes, mais un réveil brutal vers autre chose. Tout d'abord parce qu'un premier album est toujours une première mise à nue, qui force à l'introspection, à l'honnêteté avec soi-même et par conséquent avec l'auditeur. C'est grâce au rassemblement de musiciens d'univers différents : Nicolas Dérand (Octavia, Jessica Fitoussi), Timothée Robert (Rido Bayonne, Karim Ziad), Maxime Zampieri (Magic Malik, Julien Lourau) et Mr Gib (La Fine équipe, Wax Tailor), mais également grâce à la participation de DJ Greem (C2C, Hocus Pocus), parrain du projet et collaborateur sur certains titres, que la démarche transversale du projet prend toute sa profondeur, jouant avec différentes cultures. La présence de la Flûte-Box permet d’accéder à une riche palette rythmique, mise en exergue par l’improvisation prédominante dans le jazz. Antiloops c’est avant tout cinq musiciens professionnels reconnus, issus de différentes cultures musicales, s'imprégnant de leurs différentes personnalités afin de créer un bouquet électrique jazz, hip-hop... Une musique non conventionnelle qui aura de quoi vous surprendre !

https://www.facebook.com/antiloops.musique

Web : http://antiloops.fr/

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 19

Samedi 14 mars - 21h Tarifs : abonné 15€, sur réservation 18€, sur place 20€. Tarif Solidaire : 3 Tickets Culturels Solidaires = concert à 6€

CHARLES PASI Charles Pasi est à peine trentenaire. Il est né à Paris, après les derniers combats, les ultimes révolutions. Mère française, père italien, déjà des raisons de regarder plus loin, plus haut, de ne pas se contenter de l'évidence. À la maison, différentes sonorités et cultures se mêlent, on échange, on sait qu'il y a un horizon à dépasser. Charles parle aujourd'hui aussi bien les langues de Molière, Sam Cooke, Garibaldi que Cervantès. Tout gamin, il écoute en boucles une cassette paternelle. Pas n'importe laquelle. Dessus, Otis Redding, Ben E King, Percy Sledge... De l'âme en barre. Il adhère sans attendre, le coeur et les tripes valident le voyage immobile. Il sait sans rien encore s'avouer. Les années passent. Charles écoute, entend, apprend, lit beaucoup aussi. Une période grunge à l'adolescence, l'incandescence des guitares, la fureur électrique et ses soubresauts avec Nirvana, Rage Against

The Machine. Et puis NTM, du rap. Et encore Pink Floyd, Neil Young, Ray Charles, Little Walter, Miles Davis, Jimi Hendrix, Sonny Terry, Stevie Wonder, Mozart, Michael Jackson, Etta James, Janis Joplin, Lucio Dalla, Fabrizio De André, tout ce qui pouvait le bouleverser, lui parler, peu importe le style, la langue, la source, sans oublier les musiques de films (Charles est, très jeune déjà, un dévoreur d'images, un amoureux des histoires en mouvement ) avec Rota, Morricone, Herrmann et Dylan... Bob Dylan. Un jour, il a seize ans, son bus s'arrête devant un magasin de musique. Charles entre, juste pour voir, comme poussé par une main invisible. Il interroge une vendeuse, se renseigne, avant de ressortir avec un harmonica dans sa poche, le même que Bob Zimmerman, et un petit livret d'initiation. Il est déjà trop tard pour reculer. L'adolescent lambda choisit souvent la guitare, pour imiter ses héros ou séduire une jeune fille le temps d'un été, avant d'abandonner l'instrument dans un grenier sans espoir. Pas Charles. C'est une autre chose qui semble l'habiter. Une chose qui ne s'est pas encore nommée, qui avance dans l'ombre, sûrement. Qui est là. L'harmonica, il apprend à le dompter (“je m'enterre, je ne fais plus que ça” précise-t-il), il se l'approprie, il progresse, il y est, c'est à lui, en lui, pour lui. Dans la foulée, Charles s'inscrit à une chorale de gospel et au conservatoire pour apprendre à déchiffrer ce nouveau langage qui l'envahit chaque jour un peu plus, il se met aussi à la guitare, histoire de pouvoir composer de manière encore plus libre. Boulimie fulgurante. Le bac en poche, et après une tentative avortée en faculté de lettres à la Sorbonne, Charles part une année à la découverte de Rome, le voyage est son oxygène, il a également multiplié les allers-retours aux États-Unis depuis son enfance (“c'est mon pays d'adoption” confie-t-il), il traverse les boulevards parisiens comme les fuseaux horaires avec une soif de vivre et de créer plutôt impressionnante. En Italie, il intègre son premier groupe, les Mood In Black, un groupe de swing, de blues, de rock&roll à l'ancienne, comme harmoniciste. Puis retour à Paris. Il écrit ses premières chansons, seul. Il prend son temps, ce temps indispensable à toute entreprise d'importance. Issu d'une génération obsédée par la vitesse, la superficialité et la technologie, lui préfère, à la manière d'un artisan, apprendre les secrets oubliés, ceux qui permettent de ne pas galvauder son art. De le prolonger. Charles écume les jams, les bars, les clubs, il joue dans des maisons de retraite, devant des accidentés de la route, des handicapés mentaux. Il se blinde, dégaine son harmonica, s'empare du micro, il se trouve. Avant de rencontrer Antoine Holler, un guitariste. Il lui fait écouter ses compositions.

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 20

Évidence. Ils décident d'autoproduire le premier album de Charles. Il a 22 ans. “Mainly Blue” existe enfin. 2006. La suite relèverait presque du miracle. Charles remporte le Tremplin de Blues Sur Seine, lui offrant la possibilité de se produire dans des festivals. Le groupe (ils sont désormais quatre à monter sur scène, Charles derrière le micro et son harmonica) reçoit différents prix. Il se produit plusieurs années de suite au Canada, jusqu'au prestigieux festival de jazz de Montréal. Sans label ni réseau, sans complexe, Charles arpente la planète et conquiert les coeurs anonymes. Arrive l'International Blues Challenge de Memphis, compétition musicale internationale, toujours en 2006. Un jury de professionnels sélectionne un disque et un groupe par pays. Les États-Unis, eux, ont le droit d'avoir un représentant par état. Charles Pasi, lui, représentera donc la France. Et se retrouve parmi les cinq finalistes, dernier candidat non américain. Inconnu au bataillon, avec ses petits outils, Charles Pasi séduit. Les médias internationaux l'interrogent, veulent lui parler. La confiance déploie ses ailes. Le bouche à oreilles fait le reste. Les dates tombent, le groupe tourne comme un damné, toujours dans une indépendance totale. Hongrie, Espagne, Chicago, Russie, Japon, Vietnam, Birmanie, Brésil, Angleterre, Pays-Bas, Irlande... Sa musique est une valise idéale, elle aime le blues, la soul, les mélanges spontanés et audacieux, elle refuse de s'enfermer, d'intégrer une famille qui, de toute façon ne sera jamais la sienne vu que cette famille n'existe que dans les têtes de ceux qui ne pensent qu'à étiquetter les choses de la vie pour mieux les affadir. Charles a besoin de plus, il veut non pas reproduire le passé (qu'il connaît à la perfection, passion oblige) mais bel et bien écrire son présent, là, tout de suite, maintenant, avec toutes les émotions, les images (le cinéma, toujours!), les désirs qui sortent de ses entrailles. Quand on le rencontre, on est frappé par son regard presque enfantin, son envie d'être compris et surtout, cette flamme qui a l'air de le brûler de l'intérieur. 2010 : Charles a écrit son deuxième album. Les concerts ont explosé tous les compteurs, la route défile, elle donne beaucoup. Believe Recordings, label au départ spécialisé dans le digital, le veut comme première signature. Ses exploits de contrebandier ont allumé des feux. Un tourneur lui tend également la main, Blue Line. “Uncaged” voit le jour en 2011. L'histoire retiendra que sur cet enregistrement à l'identité forte, aux couleurs habitées, aux mélodies racées, aux chansons qui emmènent loin, Archie Shepp a accepté de jouer sur deux titres (“J'étais fan de Attica Blues et de Blasé, deux disques fantastiques, que je connaissais par coeur”). Charles avait envoyé son premier disque à sa femme, manageuse. Sans trop y croire. Archie Shepp dit oui. Archie Shepp vient en studio avec son saxophone. Archie Shepp! Depuis qu'il joue, Charles Pasi a croisé bien des routes, que ce soit en studio ou sur scène. Celles de Maceo Parker, Ben Harper, Jeff Beck, Jack Johnson, Bertignac, Zaz, Grand Corps Malade, Jean-Louis Aubert, Carla Bruni. Il a collaboré aux bandes originales des films de Louis Garrel, Valeria Bruni Tedeschi. Il est auteur-compositeur-interprète-instrumentiste et ça lui va bien. Son troisième album, “Sometimes Awake” (titre inspiré par une nouvelle de Faulkner) sera disponible en octobre 2014. Son style a bien sûr évolué, ses morceaux dévoilent encore ce désir de ne pas accepter les codes, de tout transfigurer, que ce soit le blues, la soul, la musique afroaméricaine, la classique. Charles expérimente, tente des choses qui, finalement, lui ressemblent : enlevées, profondes, sensuelles, libres. Avec toujours cette inspiration génératrice d'images, qui secoue les clichés. “Quand je compose, c'est très visuel. Ma musique, c'est un peu la bande originale de ma vie. Un peu comme un journal intime, celui que je n'ai jamais écrit.” C'est tout à fait ça. Quand on l'écoute, on devine que sa musique doit beaucoup aussi à la littérature et au cinéma. En entendant “Sometimes Awake”, si l'on ferme les yeux, on voit! Des hommes, des histoires, des sentiments, des rythmes, tout s'incarne, tout respire. Ce troisième disque marque un autre tournant dans sa carrière: Charles a travaillé pour la première fois avec un réalisateur, Jean-Philippe Verdin (mieux connu sous le nom de Readymade FC quand il enregistre sa propre musique, électronique). “Je l'ai choisi pour ses influences très larges, qui vont du jazz à la musique minimaliste. Et parce qu'il a compris ce que je voulais. Par exemple, sur cet album, il y a du sampling. Je voulais ça mais je voulais que ce soit incorporé intelligemment. Pas jouer les modernes pour jouer les modernes (sourire). Ces samples sont musicaux, ils cohabitent avec des cordes. C'est presque néo-baroque, avec toutes mes influences et les arrangements sont plus riches. Il y a aussi des cuivres... Je l'ai vraiment pensé comme un film, ce disque.” Mais quel film alors? La réponse ne tarde pas: “Je pense que ça serait un film un peu schizophrénique où l'on passerait des rires aux larmes, de la légèreté à des thèmes plus sérieux qui ont pu me toucher.”

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 21

Un disque de vie en somme. Une vie loin des tumultes idiots, des précipitations, des aveuglements, des raccourcis trompeurs. Charles Pasi aime rêver, dormir, écrire dans son lit, prendre son temps, faire et refaire encore, c'est un nostalgique d'un temps qu'il n'a pas connu, c'est d'ailleurs peut-être pour ça que ses chansons génèrent un tel caractère onirique, cette magie palpable, présente, déterminante. Charles n'a peut-être connu ni la Renaissance, ni les années soixante ni le futur mais il sait qu'il avance sur la même ligne temporelle, que le temps, pour ceux qui sont sensibles au beau et au sublime, peut se contracter. Il est au coeur d'un monde qui n'appartient qu'à lui et que n'importe quelle personne encore capable de s'émouvoir peut décider de rejoindre. Il poursuit sa quête, celle de l'inconnu au bout du chemin. Là où tout reste possible. Le monde lui appartient. Concert parisien à la Cigale le 12 novembre prochain.

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 22

Lundi 16 à 9h45 + mardi 17 à 9h45 & 14h + mercredi 18 à 9h45 séances scolaires

Mercredi 18 mars - 17h séance tout public Concert Jeune Public : séances scolaires & tout public Tarifs : 5€ séance scolaire / 10€ séance tout public

LES FRERES CASQUETTE Nouvel album « Le Monde à l’envers » (YOTANKA - MUSICAST) sorti en janvier 2014 Allez hop, c’est l’heure du hip-hop ! Le Clash musical des générations a eu lieu. Le baby-boom du rap est en marche. Les enfants, sevrés de sons issus de la scène musicale urbaine de la fin du vingtième siècle, réclament leur ration de rimes riches, couchées sur rythmes rutilants... Alerte ! Appelés à la rescousse, Les Frères Casquette enfilent leur plus beau survêt, chaussent les

gapettes et déboulent fissa, tel de vaillants messagers du rap et du RN’B auprès des jeunes générations biberonnées à la « Street Culture US», délivrant un hip-hop Français « toutes tailles » : à la fois XXL pour les petits, et XXS pour les plus grands. Une joyeuse équipe se met alors en marche : Max et Sam Casquette (des jumeaux aussi différents dans leurs goûts vestimentaires et leurs caractères, que complémentaires dans l’action), Cousin Bob (un petit rigolo fasciné par le bling-bling américain) et le nouveau membre : DJ Casque (un voisin geek et timide, possesseur d’une mystérieuse platine magique) ! De plus, bien d’autres protagonistes viennent compléter ce joyeux graffiti : Tom Le Rom, Laurence et… vous-mêmes ! Fiers porte-étendards d’un style musical moderne, où l’Hexagone représente le deuxième marché rap mondial derrière nos cousins Américains, nos super-hérauts du flow préparent actuellement un nouvel album pour janvier 2014 (Yotanka/Musicast) qui promet de faire évoluer leur style inimitable vers un hiphop à la fois délicieusement fantaisiste et férocement fédérateur. Sur scène, forts de leur longue expérience des concerts, et soutenus par Rock Ici Mômes, Les Trois Éléphants, Boule De Gomme, ou encore Molokids, Les Frères Casquette offrent a leur jeune public un véritable spectacle hip-hop participatif pour tous. Bariolé comme un tag de la 42è rue de New York City. Coloré par l’utilisation de véritables instruments live (afin d’agrémenter le rythme infernal des beats). Rappé sur des paroles sensées et sensibles aux considérations enfantines (allant de la tolérance envers les autres, jusqu’aux considérations écologiques). En bref : Slam sous les visières : breakdance dans les chaumières ! Tout un programme…

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 23

Jeudi 19 mars - 21h Concert Découverte Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€

DARAN Nouveau spectacle « Le Monde Perdu » DARAN SOLO OU PRESQUE 2015-2016 Nouvel album, sortie simultanée au Canada et en Europe 14 octobre 2014 Daran va mettre en image les textes et les musiques de son nouvel album afin qu’il devienne la musique d’un film. Ce film, tourné au Québec et ailleurs, en intérieur comme en extérieur selon les besoins, sera projeté derrière lui sur un écran géant comme un « road movie » à l’ambiance captivante.

Avec lui sur la scène, une dessinatrice va interagir avec les images filmées en y mêlant sa patte et son art. Grâce à une mise en scène minutieuse, des dessins de personnages ou de toute autre chose (en rapport avec les histoires développées dans les textes) seront incrustées dans l’écran, animés, et superposés aux images via une tablette graphique pour leur donner une nouvelle vie à l’aspect un peu magique. Daran interprètera guitare/voix/harmonica les titres de son nouvel album « Le Monde Perdu » mais aussi des anciennes chansons de son répertoire.

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 24

Samedi 21 mars - 21h Concert Découverte Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€ FAADA FREDDY Dans le cadre de « Culture(s) Urbaines » proposé par les services culturels de la Ville et de la Communauté Urbaine d’Alençon, et « 1 mois de Jazz en Basse-Normandie » (réseau Focus Jazz)

E.P ‘Untitled’ Faada Freddy, la sensation du moment Il n'y a guère que Faada Freddy pour soulever l'enthousiasme de personnalités aussi éclectiques que Zaz, Lenny Kravitz, Bernard Lavilliers, André Manoukian, Nagui, Imany, ou Grand Corps Malade dès la sortie de son 1er E.P solo Untitled !, classé 13 du top digital la

semaine de sortie.Ceci est le témoin de l'incroyable universalité de son

style.Partout où il passe, Faada Freddy enchante tout le monde avec

sa personnalité généreuse et surtout sa voix exceptionnelle. Sa musique faite sans autre instrument que la voix et les percussions corporelles est un subtile mélange des harmonies vocales d'un Bobby McFerrin et de mélodies pop avec un timbre de voix Soul à la Otis Redding. Issu d'un des groupes de rap les plus connus d'Afrique (Daara J), ce vocaliste hors-norme, a surpris bon nombre d'observateurs avec son premier un projet solo "Untitled", sorti le 28 avril dernier, qui a hanté pendant plusieurs semaines les hauteurs du top iTunes. Faada défend actuellement cet E.P sur scène, enchaine les 1ères

parties d'artistes tels que de Zaz, Ben L'Oncle Soul, Bernard Lavilliers, Imany, Asaf Avidan et apporte les dernières touches à son album, intitulé Gospel Journey, prévu pour octobre prochain. Un programme bien chargé donc, pour celui qui pourrait bien devenir la révélation de cette fin d'année 2014. Toute l’âme de la Soul. C’est l’histoire d’un enfant des rues de Dakar, qui fabrique des guitares avec des boîtes de conserve pour faire exister ses rêves de musique. C’est l’histoire d'un jeune homme qui avec son groupe (Daara J) parcourt le monde et fait vibrer les scènes des festivals les plus prestigieux (Glastonburry, Womad…). C'est l'histoire d'une voix qui a séduit et a collaboré avec les plus grands artistes internationaux (de Damon Albarn à Wyclef Jean des Fugees). Tout le monde vous le dira, Faada Freddy a une voix extraordinaire. Elle l'est autant par sa technique que par l’émotion qui s'en dégage. Faada Freddy est impressionnant car il peut tout chanter et à chaque fois délivrer une intensité émotionnelle. Loin de la facilité, Faada a décidé de faire un disque sans le moindre instrument, uniquement avec des voix et des percussions corporelles. Pour mettre en pratique son concept, il a confié les rênes de son projet au réalisateur As’ à qui l’on doit notamment le premier album d’Imany (disque de platine en France et dans de nombreux pays européens). Entre battements de chœurs et claquements de doigts, Faada Freddy enchante avec sa voix unique au service d'une pop music millimétrée, à la fois innovante et empreinte de toute l'âme de la soul. Nota Bene : Le phénomène est assez rare pour être souligné, l’album sortira simultanément en France et dans 14 autres pays européens. Dans chaque pays où le projet a été signé, les maisons de disque l’envisagent toutes comme l’un des succès critique et commercial de la fin d'année 2014. Télécharger le 1er E.P "Untitled": http://bit.ly/1h7fagC. "Lost" en répétition : http://bit.ly/PYwGsO. Faada Freddy - Session studio : We Sing In Time : http://bit.ly/1kKIY4q.

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 25

Jeudi 26 mars - 21h Concert Découverte Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€

STEVANS

Stevans est né en 2006 à Genève. Yvan Franel, auteur, chanteur, guitariste, pianiste, rencontre Bruno Tancredi, bassiste, puis John Chirico, batteur. Très vite, le groupe sort "The Reversal EP" dont le single "Monday’s Wedding" va rapidement les révéler sur la scène helvétique. Leur premier album éponyme, "Stevans", est réalisé par Bertrand Siffert, producteur et ingénieur du son pour les Young Gods. Il sort à l'automne 2006 avec un son rock allant de Franz Ferdinand à Stereophonics, en passant par Oasis. Une filiation évidente due, sans doute, à la culture anglohelvétique d’Yvan. Trois singles vont s’imposer sur les radios romandes, "Rocky, drunky pervert", "Emotional cash" et surtout, "Monday's wedding". Un succès national qui leur permet de s’exporter à l’étranger.

Ils enchainent alors, en quelques années, plus de 500 concerts entre Zurich, Reims, Lyon, Paris, Lisbonne, Porto, Manchester et Londres. L'occasion, pour eux, de rencontrer ou de faire la première partie des plus grands, comme The Servant, Natalie Imbruglia,Girls in Hawaï, Tahiti 80, Editors, The Rakes, Infadels, Kaiser Chiefs, Snow Patrol et Rita Mitsouko. Ils sont programmés dans de nombreux festivals, dont le Paléo de Nyon et le NRJ Music Tour à l'Arena de Genève. En 2007, ils remportent le premier prix du tremplin du Montreux Jazz Festival qui leur offre la chance de jouer, l'année suivante, sur la scène de l’Audtorium Stravinsky, en première partie de Deep Purple. L’album pop-rock FAKE paru en janvier 2010, réalisé par Will Jackson (qui a œuvré entre autres pour Kaiser Chiefs et The Pigeon Detectives), emmène le groupe durant l’été 2010-2011 sur les scènes du Paleo festival, Montreux Jazz, Caribana, , Open air Zürich… Faut-il croire Will Jackson qui affirme que Stevans est le groupe le plus talentueux qu’il ait rencontré ? Car désormais, le groupe opère sa mutation vers une esthétique sans cesse plus dansante… Un nouvel album dénommé « Rupture » aux sonorités électro-pop à la fois tendues et mélodiques, d’une redoutable efficacité, sortira en France en octobre 2014. Il est principalement l’œuvre d’Yvan Franel, le chanteur, qui a fait opérer au groupe sa révolution esthétique. Un premier single, Franelizer, s’annonce d’ores et déjà comme une petite bombe hédoniste, qui pourrait bien nous accompagner joyeusement durant ces mois d’été… Vous avez chanté ? Eh bien dansez maintenant.

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https://twitter.com/stevansgroup Web : http://stevans.net/

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 26

Samedi 28 mars - 21h Tarifs : abonné 22€, sur réservation 25€, sur place 28€. Tarif Solidaire : 4 Tickets Culturels Solidaires + 1€ = concert à 9€ MIOSSEC + LADYLIKE LILY (1ère partie)

Inutile de lire dans les étoiles ou dans le marc de café pour savoir que Miossec signe son meilleur disque à ce jour. Un disque de onze chansons qui, on prend les paris, se retrouvera fin 2014, au pied du sapin, en bonne place dans les traditionnels top de fin d’année. Ici-bas, Ici même, écrit et composé comme un couillon avec ma guitare et trois fois rien au clavier, est un disque fait à la maison dans le Finistère nord. Sans maquettes. Et en trio. Avec Albin de la Simone et Jean-Baptiste Brunhes. D’où ce sentiment de luminosité, de calme, voire de tranquillité, qui émane de Ici-bas, Ici même. Et qui contraste avec l’urgent et pourtant bien burné Chansons ordinaires. À trois, chacun a sa fonction, explique Christophe. Tu n’as pas la lourdeur d’un groupe. Tout est rapide. L’équipée est légère.

Les notes de marimba, les accords de guitare et de piano et la voix qu’on n’a jamais entendue aussi claire, douce et posée sont enregistrés en trois sessions de trois jours et trois nuits, face à la mer, à quelques kilomètres de Brest. Dès le premier jour, on faisait le disque, s’emballe Miossec. Tu gardes les premières impulsions, les premières intentions, les premiers jets. Neuf jours dans un studio parisien sont ensuite nécessaires pour les prises de batterie, contrebasse, cordes et chœurs. Au final, Ici-bas, Ici même s’avère tout simplement un formidable disque de (grandes) chansons. Ah ouais, concède « Mio », c’est de la chanson super affirmée, avant de ponctuer sa phrase d’un gigantesque éclat de rire. « On vient à peine de commencer », première des onze chansons de Ici-bas, Ici même, s’attache à l’essentiel. À la vie. À la mort. Au temps qui passe et au droit à la seconde chance. « Le cœur » s’appuie sur une mélodie souple et aérée. C’est d’ailleurs ce qui frappe sur ce nouveau Miossec. Les chansons respirent. À pleins poumons. Tant et si bien qu’en fermant les yeux, on se retrouve parmi les musiciens et leurs instruments. Presque dans un esprit jazz symbolisé par la chanson « À l’attaque! ». On pourrait ajouter que Christophe n’a jamais été aussi loin dans l’épure que sur Ici-bas, Ici même. Que ce soit à travers « Qui nous aime » ou « Ce qui nous atteint ». À propos de cette dernière, l’auteur l’a décrite comme une chanson politique super planquée. On s’en voudrait de ne pas mentionner « Samedi soir au Vauban », qui fera désormais office d’hymne de fermeture du « CBGB brestois » lors du bal du samedi soir. Ou « Nos morts », soit comment les vivants s’emparent de la mémoire des disparus. Ah oui, « Répondez par oui ou par non » a été coécrit par Sophie Calle et l’écrivain Grégoire Bouillier. Sur les onze compositions, l’honnêteté transpire à chaque mot. À chaque phrase. À chaque souffle. Que ce soit sur « Bête, comme j’étais avant » (cocomposée avec l’ami Stephan Eicher) ou sur « Le plaisir, les poisons », où l’on retrouve avec plaisir le citoyen derrière le chanteur pour faire écho à cette chienne d’époque de désillusion totale. Ici-bas, Ici même n’aurait pas pu s’achever par autre chose que le lucide et faussement détaché « Des touristes » et ses chœurs célestes et aériens. Qui nous donne juste envie de réécouter ce qui n’est pas loin d’être un chef-d’œuvre. Encore et encore. Quasi jusqu’à plus soif !

Philippe MANCHE, Bruxelles

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 27

Ici-bas, Ici même : sorti le 14 avril 2014 en CD / LP & DIGITAL Composé, écrit par Christophe Miossec, sauf « Répondez par oui ou par non », écrit par Sophie Calle et Grégoire Bouillier, et « Bête, comme j’étais avant », composé par Stephan Eicher et Christophe Miossec. Arrangé par Albin de la Simone. Enregistré par Jean-Baptiste Brunhes chez Grappe Fleurie, Finistère nord, au studio Pigalle et au studio Orgeville, Lutèce. Réalisé par Christophe Miossec, Albin de la Simone et Jean-Baptiste Brunhes. Mixé par Jean-Baptiste Brunhes au studio Orgeville. Masterisé par Chab, assisté de Paul Marchand, au studio Translab, Lutèce. Avec la participation de : Nathalie Réaux, Diane Sorel : chœurs et sifflet Anne Gouverneur, Maëva Le Berre : violon et violoncelle Albin de la Simone : guitare solo, piano, basse, Helmut, Fender Rhodes, Wurlitzer, orgue, Crumar, Clavinet, tambourin, bodhràn, marimba et chœurs Hugo Cechosz : contrebasse, basse et guitare Raphaël Chassin : batterie, shaker, triangle, papier de verre et outils François Lasserre : guitares et piano Ninon Valder : bandonéon Jean-Baptiste Brunhes : marimba Vincent Mougel et Christophe Miossec : guitares

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Web : www.christophemiossec.com

LADYLIKE LILY (1ère partie)

Projet folk mélodique, Ladylike Lily a débuté accompagnée uniquement de sa guitare avant de livrer « Get Your Soul Washed », un premier album très arrangé. En pleine préparation du second opus, Ladylike Lily reprend la route en solitaire afin de nous présenter ses nouveaux morceaux. Principalement en français, ceux-ci sont façonnés autour d'une voix que la jeune multi-instrumentiste aborde différemment à chaque disque. Toujours fidèle aux mélodies aériennes et entêtantes, Ladylike Lily réinvente une nouvelle fois son univers, qui résonne pourtant de manière si familière. On avait rencontré Ladylike Lily à l’aube du très épuré «On My Own EP». La jeune femme livrait ses tous premiers morceaux, chansons mélodieuses portées par une voix de velours. On la retrouve pour son

premier album «Get Your Soul Washed» sorti en mars 2012. Tissé pendant quatre long mois d’hiver et enregistré aux 4 coins de la Bretagne, ce disque renferme une multitude d’arrangements et de sons collectionnés, donnant naissance à douze titres à la production très soignée. Si le premier EP avait semblé intimiste, «Get Your Soul Washed» est clairement autobiographique, et fait le constat d’un être en pleine révolution artistique. Ladylike Lily a enregistré un nouvel EP paru début 2014. https://www.facebook.com/ladylikelilymusic https://twitter.com/ladylike_lily Web : http://www.ladylikelily.com/pages/global.php

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 28

Jeudi 2 avril - 21h Concert Découverte

Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€

NACH Lumière ! Sur la pochette de ce premier album, NACH, brise l'obscurité, apparition magnétique et lumineuse. A 27 ans, elle est un lien entre la clarté et l'obscurité, puisant son inspiration dans la mélancolie et dans la joie comme sur CŒUR DE PIERRE où le rythme qui claque nous entraîne dans une balade qui nous parle de chagrin d’amour. L’âme mélodique. C’est d’abord elle qui la guide, ce son qui va porter ses paroles. Ce n’est pas étonnant qu’elle lui ait dédié un titre dont on retient ces mots : « Entends-tu cette musique au fond de toi, ferme les yeux c’est

magique…» En elle, il y a de la pop, de l’électro, de l’acoustique, des rythmes qui ouvrent la voie à l’écriture… Les mots. NACH, est également auteur et interprète. L’écriture est chez elle un besoin quotidien. Est-ce un héritage de sa grand-mère, l’écrivaine et poétesse, Andrée Chédid ? Ses mots nous parlent de nos maux comme sur CE QU’ILS DEVIENNENT : « Je ne rêve plus, ne rêve pas, ce vide en moi, j’ai perdu quelque chose. Je n’entends plus, je n’entends pas, je n’entends pas cette petite voix qui me disait on aura tout le temps…». La vie. Elle vibre dans sa voix. Cette voix qu’elle découvre à 8 ans quand son frère Matthieu la fait intervenir sur ses albums et qu’elle éprouve une vibration merveilleuse. Elle s’immerge alors dans les claquettes, le théâtre, le chant… En quête d’une voix justement, comme celle de Billie Holiday qu’elle admire. Car NACH veut s’affirmer très vite. Son professeur de chant lyrique la pousse vers une carrière d'interprète. Elle dit NON. Elle veut clamer haut et fort ce qu’elle a en elle. « JE SUIS MOI... rien que moi »... L’esprit d’équipe. Joseph, son frère, l'âme sœur ; Jeanne l’alter ego aux manettes de la création visuelle ; Quentin, l’ami, le musicien, mais aussi Marlon qui co-réalise l'album... Si NACH compose et écrit seule, elle croit aussi aux rencontres, sait s'entourer et apprivoiser les talents pour consolider et compléter ses idées. Pas question d'avancer sans l'autre. La preuve avec l’obsédant A TOI MON ETRANGER, où elle nous invite, malgré nos différences, à partager cette terre... et plus largement, son univers qui explose sur scène où elle ne songe qu’à une chose : faire plaisir. L’énergie. Ce besoin de se confronter au public est la preuve de son énergie inextinguible. Elle a plongé dans le tourbillon qui l’a menée des signatures avec Auguri et Warner Chappell à de nombreux concerts, aux premières parties de Thomas Dutronc ou Arthur H... Jusqu’à la signature chez Polydor et cet album. Sa vie est un live et NACH nous emporte comme avec CHANTE ENCORE : « Quoi qu’il advienne. Qui que je sois. Même si la vie ne m'entend pas je soigne mes peines. Je me sauve. Je chante encore, je chante encore pour toi… »

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 29

Jeudi 9 avril - 21h Tarifs : abonné 15€, sur réservation 18€, sur place 20€. Tarif Solidaire : 3 Tickets Culturels Solidaires = concert à 6€ CLINTON FEARON & THE BOOGIE

BROWN BAND + JAIN (1èrepartie)

Goodness Sortie le 24 mars, Boogie Brown Productions, en licence exclusive Chapter Two records Avec le retour de Nile Rodgers, le Grammy Award des Isley Brothers, le succès international du biopic sur Sixto Rodriguez, les albums récents de Bobby Womack ou de Larry Graham, la planète musique n’en finit pas de célébrer les légendes vivantes de la soul américaine des années 70. On ne peut que s’en réjouir, mais en même temps, on ne peut que déplorer que les vétérans jamaïquains de la même époque ne connaissent pas le même regain de popularité. Certains d’entre eux perpétuent pourtant avec panache la tradition du reggae authentique.

Clinton Fearon a conservé la même ferveur intacte depuis quarante ans : ses mélodies acoustiques, toujours enregistrées en analogue sur ce nouvel album, exaltent le parfum unique du meilleur roots de Kingston. Les chœurs et le refrain de « The Hunter » rappellent par exemple ceux des premiers 45 tours avec The Gladiators. « Il n’y a que des nouvelles compositions sur cet album, aucune reprise. Mais je chante depuis tellement longtemps qu’il est possible que certaines mélodies se ressemblent parfois, ce n’est pas volontaire. J’avais 19 ans lors de mon premier enregistrement avec The Gladiators, chez le producteur Lloyd Daley pour les singles « Freedom Train » et « Rock A Man Soul ».

Depuis plus d’un demi-siècle, le reggae est la boussole de sa vie. Le chanteur provincial, originaire de la campagne de St Andrew, raconte : « J’ai grandi dans les collines. Les arbres et les oiseaux étaient mes seuls amis. J’étais un gamin très timide et solitaire, mais la musique m’a libéré, elle m’a ouvert les yeux. C’est en faisant de la musique que je me suis enfin libéré dans mon rapport aux autres. » Après avoir fait le tour du monde au sein du célèbre trio The Gladiators, il s’installa à Seattle en 1987. Il y produit seul son premier album sous son nom, Disturb The Devil, en 1995.

Vingt ans plus tard, son inspiration ne s’est jamais tarie. Il continue de composer, de surprendre, et de combler aujourd’hui tous les amateurs de reggae avec un disque qui pourrait bien s’avérer être son meilleur album à ce jour. Sur un solide socle basse-batterie, les cuivres et les claviers sont distillés avec une heureuse parcimonie, sans jamais jouer la surenchère. La magie de ses compositions vient aussi de son amour du moindre détail, comme ces courtes mais étincelantes phrases de guitare sur le refrain de « Blame Game ». Bassiste de formation, chanteur, mais aussi guitariste et percussionniste, Clinton Fearon est accompagné de huit musiciens sur scène lorsque les budgets de tournée le lui permettent.

L’an dernier, il a recruté un nouveau joueur de trombone, également présent sur ce disque, et son petit orchestre tourne désormais comme un manège enchanté. « En arrivant à Seattle, j’ai dû tout recommencer à zéro. Le reggae n’est pas très connu par les musiciens de ce pays, mais à force de travail et de patience, nous avons construit un très bon groupe. Je ne suis pas du genre à changer de batteur à chaque disque, j’aime entretenir des relations solides avec mes musiciens afin qu’ils murissent au fil des années. C’est ainsi qu’on obtient la meilleure musique à mon avis. » Outre ce son acoustique millésimé, Clinton Fearon s’applique aussi à polir ses refrains spirituels et ses messages sociaux : il soutient les victimes d’un système libérale sans humanité ni morale (« Poor Nana »), et il invite l’auditeur à le suivre sur le chemin de l’amour (« Come By Yah »). Il explique ainsi le titre de

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l’album : « La violence, le scandale et le vice sont devenus des marchandises, c’est ce que l’on vend le mieux dans les médias, dans les films ou dans la musique également... Je veux proposer autre chose. »

Sa musique lui ressemble, c’est aussi son caractère affable, profondément généreux, qui enlumine ses arpèges. Au quotidien, ce grand-père rasta, passionné comme un adolescent de 63 ans, arbore toujours un sourire et un regard bienveillant. La France est véritablement devenue son second pays d’adoption. Il a tellement voyagé en TGV d’un bout à l’autre de l’hexagone que le thème musical de la SNCF a même fini par lui inspirer une chanson, « We No Know It ». Il reprendra la route dès le printemps pour défendre en live ce nouvel album. Comme chaque année, il alternera entre des prestations dans les grands festivals et des concerts plus intimistes dans des petits clubs. Tout cela avec le même enthousiasme, à chaque fois. « Je suis comblé de pouvoir continuer à vivre mon rêve, en jouant ma musique. Ce n’est pas facile au niveau la reconnaissance, ça a pris du temps. Mais j’ai persévéré et aujourd’hui, quand quelqu’un vient me voir et me dit que ma musique le touche, ses mots me font vraiment sentir fier, ça vaut plus que de l’or. »

https://www.facebook.com/ClintonFearonMusic

https://twitter.com/clintonfearon Web : http://www.clintonfearon.com/

JAIN (1ère partie) Avant d'avoir le virus de la musique, Jain avait la bougeotte. Suivant son père qui voyageait beaucoup dans le cadre de son travail, elle a sillonné le monde dans son enfance. Du sud de la France à Abu Dhabi, en passant par Dubaï et le Congo, avant de revenir en France entreprendre des études d'art, Jain a grandi entre l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient. "Les voyages m'ont appris la tolérance. C'est ce que j'essaie de dire dans mes chansons : comprendre l'autre, rester ouvert." Ses textes abordent de nombreuses thématiques sociales, mais sans pour autant verser dans la politique. Ses ballades intimistes chuchotent à l'oreille de l'auditeur, dessinant les contours d'un univers Lo-Fi, naviguant entre folk, pop, soul, et reggae. Des premières compositions aux

premières maquettes, la musique de Jain fait la synthèse de ces cultures et influences. Bercée par Otis Redding, Nina Simone, John Lee Hooker, les Beatles, Manu Chao, ou encore Alain Bashung, c'est au Congo que la musique, omniprésente dans les rues, s'invite dans sa vie : "Pointe noire a été une étape essentielle pour l'écriture de mes chansons, un berceau créatif. C'est avant même de pouvoir faire mes premiers accords, simplement en écoutant et en observant cette ville, qu'un style c'est imposé à moi, cette culture à la fois traditionnelle et novatrice, bercée entre l'espoir et le désespoir… C'est cette dualité que j'essaye de rapporter dans mes chansons." Auteur-compositeur-interprète, Jain puise aussi l'inspiration dans son environnement personnel : "Mes chansons ont toujours un rapport avec ma propre vie, mon quotidien." Elles partent toujours d'un sentiment (la solitude, la colère, le déracinement, l'injustice) et sont porteuses d'espoir et d'affirmation. Le déracinement est une opportunité pour Jain. Elle porte un regard tendre et serein sur ses proches et ceux qu’elle croise et elle apprécie chaque instant vécu. Ses textes sont ainsi parfois pragmatiques, souvent ludiques, et toujours très imagés. En dépit de sa jeunesse, il y a quelque chose de très ancien dans sa musique, une vibration venue du blues, de la folk et du reggae, qu'elle allie à des mélodies pop modernes. A l'aube de sa vie (elle n'a que 21 ans), Jain salue autant Otis Redding, qui mêle les sentiments et l'énergie, que les Anglais de Radiohead qui se sont complètement réinventés. Comme eux, elle espère faire des choses différentes avec le temps. Et continuer à explorer le monde.

http://www.facebook.com/JAINMUSIC www.twitter.com/Jainmusic

www.youtube.com/TheHOBMUSIC / http://instagram.com/jainmusic

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Jeudi 30 avril - 21h Concert Découverte

Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€ IBEYI

Dès la première écoute, on pressent, on sait que le monde entier leur appartient. Elles s'appellent Ibeyi, le nom des dieux jumeaux yoruba, langue parlée aujourd’hui au Bénin et au Nigéria mais aussi, langue de la Santeria, le Vaudou cubain. Avant tout Cubaines, elles sont aussi Vénézuéliennes. Et Françaises, puisque ces deux jeunes sœurs singulières ont grandi à Paris. On entend d'abord la voix soul de Lisa-Kaïndé, qui s'accompagne au piano. Simplicité, intuition, alliées à la force poignante d'une vraie musicienne. Lisa-Kaïndé, chevelure afro et immense sourire, ne peut que désarmer les plus endurcis. A ses côtés, Naomi accompagne sa sœur aux chœurs. Plus secrète, c'est pourtant bien Naomi, avec ses longs cheveux bruns et ses yeux verts énigmatiques qui donne toute son assise harmonique et rythmique au duo, installée sur scène à

califourchon sur son cajon, ou jouant des batas, les tambours des cérémonies religieuses à Cuba. Ces deux jeunes filles n'ont aucun besoin de prendre la pose ou de tricher : la musique est en elles. Une histoire de sang ? Leur père Anga Diaz, grand percussionniste cubain, les a certes très tôt initiées à la musique qu’il vivait comme un élan spirituel. Il a joué entre autres avec Chucho Valdés, Ibrahim Ferrer, Ry Cooder, Roy Hargrove ou Steve Coleman. Mais il a trop tôt disparu. Les jumelles d'Ibeyi écrivent leurs mélodies et leurs textes. Immédiatement séduit par leur talent, Benjamin Constant (le réalisateur des deux premiers albums d’Asa) les fait travailler sur leurs premiers titres. C'est la naissance d'une nouvelle voix, évidente et profonde. Lisa-Kaïndé et Naomi ont alors 17 ans, et tout commence pour elles. Et pour nous aussi, à l'image du morceau qui ouvre leurs concerts, un rituel de la Santeria dédié à Eleggua, le Dieu qui ouvre et ferme les chemins et par lequel toute fête commence. Deux ans plus tard, rencontre magique avec Richard Russel, fondateur du label mythique XL Recordings, qui compte parmi ses talents Adele, XX, Radiohead, ou Jack White . Richard Russell décide non seulement de les signer, mais aussi de devenir le producteur de leur premier album, dont l’enregistrement a commencé en mars 2014. Sa dernière réalisation a été le premier album solo de Damon Albarn « Everyday robots », ils avaient déjà collaboré sur la production de l’album de Bobby Womack. Richard Russel a aussi produit l’ultime magnifique album de Gil Scott Heron " I’m new here ». En trente ans d’existence, c’est la première fois qu’un des labels de Beggars (XL/Matador/4AD/Roughtrade) signe en direct un artiste français pour le monde. Ibeyi ne ressemblent à personne. La production de Richard Russell étoffe la profondeur de leur musique, un Negro Spiritual contemporain, avec de l’électro, du hip hop et d’énormes basses.

https://www.facebook.com/ibeyimusic https://twitter.com/IbeyiOfficial

Web : http://www.ibeyi.fr/

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Jeudi 7 mai - 21h Concert Découverte Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€

COTTON BELLY’S Cotton Belly’s c’est du blues mais pas que…. Venus d’horizons divers aux influences musicales variées, ces gars-là dépoussièrent le genre comme personne, et le prouvent au fil de leurs compositions (3 albums !). En tout cas, une chose est sûre, c’est avec à chaque fois, le même groove généreux que les « P’tits gars du coton » électrisent les scènes aux quatre coins du monde (Ecaussystème, Printemps de Bourges, Blues sur Seine, Jazz à Vannes, Montereau Confluences, Festiblues à Montréal...). Encouragés par 5 prix Révélation Scène (dont Europa Jazz), et après avoir partagé la scène avec des artistes, tels que Asaf Avidan, La Rue Ketanou, Birdy Nam Nam, The Wailers …les Cotton Belly's sortent leur nouvel album en mars 2015.

Discographie en écoute sur : http://cottonbellys.bandcamp.com/music

https://www.facebook.com/cotton.bellys https://twitter.com/Cotton_Bellys

Web : http://www.cottonbellys.com/

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Jeudi 28 mai - 21h Concert Découverte Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€ STAL

EP « Gone » - disponible le 29.09.14 1er Album « Young Hearts » - début 2015 Ne pas choisir entre la ville et les paysages naturels, ni entre électro cérébrale et pop addictive. Manier les sons au point de perdre toute notion du quotidien, sentir l’adrénaline monter au fil du tempo. En écoutant l’hymne pop « Gone », on comprend instantanément le pouvoir de STAL : celui de nous émouvoir tout en nous transportant dans un univers étonnamment synthétique où, par la seule force des machines, l’auditeur se retrouve dans une faille spatio-temporelle. Ses armes : rythmes entraînants et refrains accrocheurs.

Les influences, elles, sont étonnantes d’éclectisme : M83, Sigur Ros, Mogwai… mais aussi Coldplay ou encore la musique ambient de Steve Reich ou de Ryuichi Sakamoto. Un grand écart entre pop fédératrice, musique contemporaine et post-rock indie : tout est possible pour Pierre-Marie Maulini, leader de STAL. Son objectif ? S’évader du quotidien en puisant dans l’imaginaire, inviter au voyage via l’impact sonore, trouver un nouveau sens à son existence en créant sa propre euphorie. D’ailleurs, Pierre-Marie cherche depuis de longues années à cultiver son rapport à l’image. Grand admirateur de Max Richter et d’Ólafur Arnalds, il a déjà composé la bande originale d’un documentaire et compte également travailler sur des films ou des séries. Entièrement écrit et composé par Pierre-Marie, le premier album de STAL s’appelle Young Hearts. Il a été enregistré à Bruxelles aux studios ICP. Le mastering a été fait à Sterling à New York. En effet, STAL est un projet qui se veut avant tout cosmopolite : Pierre-Marie partage son temps entre Paris, Varsovie et Los Angeles, dont il aime l’effervescence culturelle. Le leader de STAL a toujours recherché des sensations nouvelles, une autre manière de vivre son existence. Dès le lycée, il monte un groupe avec son frère jumeau. Il apprend la guitare et les claviers. Après le bac, sa décision est prise : ce sera la musique ou rien d’autre. Ainsi naît le groupe Red Season Shade, dont le post-rock s’inscrit dans la lignée de Sigur Ros ou de Mogwai. Après un album enregistré à Amsterdam et sorti en 2006, le groupe tourne « en mode punk » pendant de longs mois en Europe de l’Est, en Allemagne, en Scandinavie... « Cela fait partie de mes meilleurs souvenirs. Aujourd’hui, je retrouve cette spontanéité avec les musiciens de STAL. » À 20 ans, Pierre-Marie abandonne Nice et son groupe pour s’installer à Paris. Il enchaîne les petits boulots jusqu’au coup de fil d’Anthony Gonzalez, tête pensante de M83. Tous deux étant originaires du Sud, ils se connaissent depuis longtemps et suivent leur travail respectif avec attention. En 2008, Saturdays = Youth vient de paraître. Gonzalez lui demande d’assurer la guitare et les claviers sur une tournée internationale. Pierre-Marie accepte. « C’était à la fois génial et difficile, car être musicien de session peut être frustrant. Après deux ans de tournée, je suis parti car j’avais besoin de construire mon propre projet. ». Il s’envole alors pour l’Irlande où l’ingénieur du son Patrick Walsh l’aide à peaufiner ses connaissances en matière de synthétiseurs. 2010 : STAL voit le jour. Pourquoi STAL ? Parce qu’il s’agit du diminutif de Stalowa Wola, ville polonaise dont est originaire son amie, et parce que le mot signifie « acier » : «J'aime ce qu'évoque l'acier, un matériau lourd et massif, industriel mais également brillant et lumineux.»

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Young Hearts raconte la vie. Celle de Pierre-Marie Maulini, mais la nôtre aussi. Avec ses mauvais réveils et, aussi, ses rêves éveillés. « D’après beaucoup de groupes actuels, commente Pierre-Marie, nous faisons partie d’une génération perdue. Mais j’en prends le contrepied, il faut laisser le pire derrière soi. » Si « Gone » évoque le thème douloureux de l’absence, la mélancolie se fait vite balayer par les beats entraînants du morceau. « The City, Our Souls » évoque nos racines en tant que citoyens du monde, « Supernova Fate » nous incite à braver notre destin. Chaque titre de l’album respecte la ligne de conduite de STAL : une pop épique, atmosphérique et accessible. Pierre-Marie est allergique à l’élitisme, sans pour autant mettre de côté son exigence - qui se retrouve également en live, où il s’entoure de Hugo Rattoray (guitares, synthés) et de Renaud Rodier (batterie) - et a su porter, à bout de bras et à tire-d’aile, ce fabuleux premier album, le travail d’un cœur pur qui a banni la noirceur de son existence.

https://www.facebook.com/STALofficial

https://twitter.com/STALofficial Web : http://www.stalofficial.com/

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Jeudi 11 juin - 21h Concert Découverte Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€

THE WANTON BISHOPS

The Wanton Bishops est un duo de Blues garage venu de Beyrouth (Liban). Il est composé de Nader Mansour au chant, à l'harmonica et guitare et de Eddy Ghossein aux chœurs, guitare et banjo, sur scène ils sont accompagnés d'un bassiste et d'un batteur. Tout a commencé lorsque Nader a rencontré Eddy dans un bar de Beyrouth, il y a 2 ans...Ou pour être plus exact, à l'extérieur du bar, lors d'une bagarre, qui s'est finalement terminée autour d'une bouteille de Tequila. The Wanton Bishops était né !

Eddy puise ses influences dans des groupes anglosaxons comme the Kinks, Oasis et Artic Monkeys, alors que Nader revendique un Blues à la Muddy Waters, RL Burnside. Surnommés "les Black Keys Libanais" (ARTE/ Tracks), The Wanton Bishops ont su trouvé leur son entre Blues et Rock garage. Leur 1er album "Sleep with the lights on" est sorti en décembre 2012, année où ils ont fait leurs armes aux côtés de Guns n' Roses et Lana del Rey, puis très vite se sont enchaînées les tournées aux USA (dont le festival SXSW), L'Europe (France, GB, Suède...) l'Afrique du Sud (notamment Rocking The Daisies) et le Moyen Orient (en ouverture des dates de concert de The Who). The Wanton Bishops sont soutenus par Red Bull.

https://www.facebook.com/thewantonbishops https://twitter.com/WantonBishops

Web : http://www.thewantonbishops.com/

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Concerts After Work - accès libre / 19h Jeudi 5 février - 19h : LEWIS

Je voudrais parler aux femmes, mais aussi à leur mères ». La phrase est osée, Lewis Evans l’est aussi. 4 mars 1986, Oxford Street Hospital, Liverpool : Lewis Evans pousse son premier cri. 28 années et deux groupes plus tard (Lanskies ; Aftersex), le charismatique chanteur et songwriter est arrivé à maturité. En solo, ses chansons aux couleurs sixties et romantiques font du bien. Soyez prévenu, le jeune dandy a beaucoup de choses à vous dire. Né de parents policiers, le jeune Lewis et son grand frère, Owen, se destinent à une vie tranquille, entre les briques des maisons ouvrières, à l’ombre des Beatles et d’Anfield Road. En 1997, la vie du jeune anglais bascule. Lassés par une routine qui leur sied mal, ses parents tombent le képi et achète un camping car.

Destination ? la France. Après plus d'une année passée à sillonner les paysages français, au son des guitares de Jim Croce, des chœurs de Jimmy Ruffin et de la voix suave de Johnny Cash, la famille finit par prendre racine du côté de la Normandie. C'est donc près de Saint-Lô, que Lewis affine sa culture musicale. Sa naissance sur les rives de la Mersey, la passion de sa mère pour la Motown, ou encore celle de son père pour Simon And Garfunkel, l'imprègnent. Fatalement, il embrasse très vite le monde de la musique. A Saint-Lô, de nombreux groupes se créent, et finissent par être interpellés par la voix chaleureuse et atypique de Lewis. C'est la formation punk-rock des Lanskies qui en héritera. Les années passent et Lewis écume les salles et festivals français en compagnie de ses acolytes. La formation aux deux albums s’offre même des escales explosives en Chine et aux États-Unis. Le temps continue de filer. Lewis, plus mature, éprouve le besoin de se concentrer sur un aspect plus personnel de sa voix. À présent, ce sont ses propres chansons, son propre univers, qu'il a envie de défendre. Il crée donc un nouveau projet, Aftersex, un groupe foutraque et joyeux. Ça y est, la première pierre est posée. Mais à 25 ans passés, le néo Normand, moins sauvage et plus sage, veut s’exprimer pleinement. 2013, le jour se lève, A Day In The Life des Beatles comme fond sonore, Lewis et Nathan (ex Granville, Chocolate Donuts et Aftersex), scellent leur amitié: ils entament une collaboration. Tous les deux s’enferment en studio pendant six mois. Des amis musiciens, notamment Augustin Hauville (The Lanskies, Kim Novak, Concrete Knives), passent, apportent leur pierre à l’édifice. Une cinquantaine de chansons voient alors le jour et l’univers de Lewis prend forme, la sienne, et « une belle cohérence, très joyeuse, s'en dégage ». A la fin de l'année, l’univers a ses contours. Les sons, les images, les envies sont définies. Il est temps de passer le cap du studio. Lewis et Nathan décident de confier le fruit de leur travail à David Sztanke, alias Tahiti Boy (Tahiti Boy, Micky green, Hollysiz…). Ensemble, ils réalisent un premier EP de quatre titres, enregistré à Paris et mixé à New York par Chris Moore (Foals, TV on the radio, Scarlett Johanson…). De cet EP ressort une musique légère mais profonde et mélancolique. Une pop romantique et sincère, tout droit sorti du cœur d’un jeune homme qui, de toutes façons, n’est jamais meilleur que dans l’émotion et la fragilité. A l’image de ce tour de France en camping-car, on a envie de le suivre les yeux fermés. Parce qu’après tout, qu’importe la destination, c’est le voyage qui compte. Armé de sa voix de crooner, Lewis est lancé.

Vendredi 13 mars - 19h : RENZA BO Dans le cadre de « 1 mois de Jazz en Basse-Normandie » (réseau Focus Jazz)

Depuis plus de 10 ans, le quintet Renza Bô développe une musique originale, audacieuse et sensible, qui à l’énergie de l’improvisation associe la richesse et la singularité du travail d’écriture du trompettiste Pierre Millet. Ballades, petites pièces sans solo, ritournelles, suites ou encore groove décalé et burlesque, leur répertoire foisonnant propose un large éventail de climats et d’atmosphères dans une constante recherche de couleurs, de timbres, de nuances et de formes. Renza-Bô a sorti 5 albums (un par an depuis 2007 !) produits par le Petit Label et regroupés en un coffret fin 2010. Tous ont été salués par la critique et le public pour l’originalité de leur répertoire, leur

qualité et leur cohésion musicale. En 2010, Renza Bô a fait partie de la sélection AFIJMA. En 2011, le groupe est invité à participer à l’émission de Xavier Prévost « Jazz sur le Vif » sur France Musique. Le concert sera entièrement filmé. Aujourd’hui, Renza Bô travaille à la création d’un vidéo-concert avec le vidéaste Yannick Lecoeur et le metteur en scène Valéry Dekowski et prépare la sortie d’un nouvel album : L’amicale des borgnes.

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Vendredi 3 avril - 19h : SLAUGHTERHOUSE BROTHERS Dans la fournaise d'un ancien abattoir d'Evreux s'est nouée en 2012 la rencontre de 4 francs-tireurs normands déterminés à faire rimer les nuages de décibels avec la ferveur des épopées... Depuis, les Slaughterhouse Brothers ont rejoint Caen et parcourent les scènes de France et de Grande-Bretagne. Après un premier EP autoproduit "Get Lost", sorti fin 2013, le premier album "Hometown Boys" des Slaughterhouse Brothers est désormais disponible ! « A la croisée de la pop atmosphérique, du funk et du blues, ces quatres Normands réussissent la prouesse d’apporter une couleur nouvelle à tous ces genres, tout en créant un son unique, original et rafraîchissant » Ouest-France, 14/02/14.

Vendredi 10 avril - 19h : UNDOBAR

Si Undobar a tout d'une formation folk calme et classique, détrompez-vous ! En effet ces deux musiciens se jouent des codes et n'hésitent pas à distiller dans leurs compositions des arrangements et une énergie résolument rock pour offrir un folk rock explosif influencé par le mouvement stoner des années 90 ou des artistes comme Queens Of The Stone Age, Clutch ou encore Johnny Cash. Avec seulement deux guitares et quelques percussions, Undobar recrée les décors d’une Amérique hantée par ses démons, mêlant dans une tension diffuse l’intime et l’universel : le besoin de liberté, le rapport au monde et à ses règles, ou bien encore le refoulement de notre côté sombre. Après plusieurs tournées en France dont les premières parties de Charlélie COUTURE, Dick RIVERS, ALEXIS HK, Elliott Murphy et à

l'étranger, le duo prépare cette année son prochain album.

Jeudi 21 mai - 19h : CHEVAL VAPEUR Cheval Vapeur existe depuis 2012. Du chant, du piano et des percussions, du son-dentelle et des vidéos dadas ! De la poésie et du grinçant ! De la joie et des larmes de joie. Nous avons fait de belles dates en région et nous sommes ravis de pouvoir sortir notre album au printemps 2015. Ce trio chant piano et percussions se joue des codes et cherche l'acte poétique, l'amour et la joie dans sa musique.

Nous cherchons à rire, nous éclater de rire dans ce monde triste et fragile qui nous vomit parfois ses miasmes au visage. C'est notre révolution à nous, transcender la mort par la joie, inextinguible et guerrière. Nous avons envie de nous mettre les poils au garde à vous, tous ensemble dans la joie et la bonne humeur. C'est cela Cheval Vapeur de l'émoi et un grand fou rire juste derrière, parce qu'on est vivant et que si on meurt demain, on n’aura pas de regret. La délicieuse équipe : Un pianiste foutraque comédien et arrangeur, un percussionniste bruiteur ayant sillonné les routes avec Gablé et Mamady Keita, un vidéaste plasticien constructeur des décors des films de Bruno Romy Abel et Gordon, un inge-son sonorisateur du groupe les Elles, une comédienne chanteuse auteur de cet univers joyeux et grinçant. Un groupe qui chante l'homme libre et qui casse les clichés homme femme, dominant dominé a voir de toute urgence pour se sentir vivant et stimulé.

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 38

Mercredi 27 mai - 14h30 : FESTI’BAHUTS Un groupe d’élèves membres du Foyer Socio-Educatif du Lycée Alain d’Alençon organise le 27 mai à La Luciole (coorganisatrice) un concours musical en commun avec les lycées de l'Orne, en partenariat avec le Lycée Gabriel à Argentan. Il y aura un forum autour duquel certaines associations envisagent fortement leur présence (Planning Familial, Ligue contre le Cancer, Maisons des Ados 61, Croix Rouge, Pays d’Alençon - Timbré de Culture, BIJ, La Baladeuse - D’Ecouves Verte), et d'autres organismes plus culturels tels que La Luciole, la Scène Nationale 61, le Musée des Beaux-Arts et de la Dentelle, mais aussi des activités plus contemporaines et ludiques comme démonstrations de skate, graph, hip-hop... Chacune de ces structures sont prêtes à se libérer à la date fixée, en l’occurrence le mercredi 27 mai 2015. Certaines subventions peuvent être accordées par le biais de la « Cart’@too » ou la « Red Touch », branche de la Croix Rouge Française qui soutient les actions solidaires et interculturelles, ainsi que le Challenge Jeunes, « Cré’avenir » du Crédit Mutuel.

Ce projet se déroulera en plusieurs étapes : les groupes, dont au moins une personne est scolarisée dans un lycée de l'Orne, voulant participer devront créer une maquette avec 3 morceaux (dont au minimum 2 créations). Ceux-ci seront jugés par un comité de pré-sélection composé de : Loïc Lecomte (directeur-programmateur de La Luciole), un bénévole du Cythem Festival (festival musical), un bénévole de Foksa (association organisatrice d'événements), d'un membre de D'Ecouves Verte et d'autres personnes qui restent encore à déterminer. Ce jury élira 10 groupes, et, lors d'un mercredi après-midi, avec les 4 meilleurs groupe (élus via un site internet à la suite des pré-sélections), un gagnant sera jugé et élu vainqueur sur une prestation d'environ 20-25 minutes, et gagnera une résidence à La Luciole. L’événement sera coorganisé par le Foyer Socio-Educatif du Lycée Alain et La Luciole pour le tremplin musical (et D'Ecouves Verte apportant un accompagnement global sur l'ensemble du projet). Le Foyer Socio-Educatif du Lycée Alain a le soutien de Mr Matthieu, proviseur du Lycée Alain et Maire-adjoint d'Alençon, Mr Artois, maire-adjoint à Alençon, le BIJ.

Vendredi 29 mai - 19h : AFTER THE BEES Alexandra Guillot est à l'origine d'After the Bees, auteure, compositrice et interprète elle compose les morceaux de ce projet folk-rock depuis 2011. Aujourd’hui accompagnée par la harpiste électrique Cécile Gravot, le duo porte des chansons rock aux envolées sensibles, largement inspirées des musiques de Neil Young ou de la hargne de PJ Harvey... Le groupe a été repéré en première partie d'Asaf Avidan, de Cats on Trees, de Piers Faccini, d’Elysian Fields, de Vandaveer, de Robin Foster,.... et remarqué sur la scène des Jeunes Charrues 2013 de Carhaix. Sélection du Chaînon Manquant 2014, avec le soutien du VIP

de Saint-Nazaire, de Musique et Danse en Loire-Atlantique et des Fabriques de la Ville de Nantes. AFTER THE BEES travaille sur son premier EP « Resting love » dont la sortie est prévue le 14 février 2015.

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LA LUCIOLE Dossier de Presse janvier-juin 2015 39

Jeudi 4 juin - 19h : HOT ROD 56 Faîtes un retour aux sources même du Rock'N'Roll avec le groupe Hot Rod 56 qui puise ses influences dans la musique des années 50 : celle d'Eddie Cochran, Gene Vincent, Elvis Presley et autres Chuck Berry... Derrière ce patronyme aux consonances américaines se cachent depuis plus d'une décennie deux vieux routiers (mais néanmoins sympas !...) du Rock’N’Roll bas-normand, Gilles (guitare & chant) ancien Hillbilly Cats de Caen ; et Mickey (contrebasse & chant) ancien Blue Moon Boys de Granville. Soutenus par la rythmique d’acier de leur batteur Alex (également batteur de Noïd), ces amoureux des 50's et de belles cylindrées se sont réunis par passion. Remontez le temps à bord de leur bolide au moteur gonflé par quelques

reprises intemporelles et par des compositions qui n'ont pas à rougir devant leurs aînées. Et ne vous y trompez pas ! Même si les Amplis Fender, les guitares vintages et les micros chromés sont d'époque, leur son et leur énergie n'ont Rien à envier au Rock actuel. D'autant qu'avec la version « Quartet » épaulée par Philippe Géhanne à l'harmonica et la formule « Deluxe » accompagnée par une section cuivres, ils peuvent mettre de la nitro dans leur mélange, histoire de donner des accents country, rockin' blues et swing à leurs concerts. De quoi décoiffer toutes les bananes de l’hexagone ! Quelques dates & lieux de référence : Le Normandy (St Lô ), Le Cargö (Caen – Festival Presqu’île en fête) , Le Big Band Café (Hérouville St Clair – 1ère partie de Paul Personne), La Luciole (Alençon – Tournée des Smac), La Nouvelle Vague (St Malo), Festival Papillons de Nuit 2013, Béthune Rétro Festival 2010, Festival Quai des Blues (Régneville s/ mer), Tournée « Villes en Scène » du CG de la Manche en 2010, Groupe « Coup de coeur » de la foire internationale de Caen 2009, Carnaval étudiant (Caen), Archipel – Théatre Marin (Granville), Fête de la Musique (Caen/Conseil Régional), Soirée Twin (La Bazoge), Programmations estivales ( Bréhal Animation, Jullouville, Villers sur mer…), Transat Quadra-Solo à St-Nazaire et Nantes, Course des îles sur l'île aux moines & l'île d'Hoedic, Course Duo Solo à Concarneau & La Trinité sur mer, Championnat de France de Kite Surf, Tour du Calvados à la voile à Caen, le Mac Daids (Le Havre), le Soubock (Cauville), le QG (St-Lô)… + de 400 Concerts à son actif. Quelques renseignements : Discographie : « Rockabilly style » en 2005, « Hot & Speed » en 2009, « Let’s Play Again » en 2012 et « The Golden Record » en 2013. Le groupe bénéficie du soutien du Conseil Régional de Basse-Normandie, des Conseils Généraux de la Manche, du Calvados et de l’Orne et de la DRAC, ainsi que de l’accompagnement de la SMAC Le Normandy (St Lô). Quelques lignes : « Le nouvel album des HOT ROD 56 confirme la place de cette formation de Basse Normandie parmi les plus beaux fleurons du rockabilly français. » Rock’n’Folk – Nov.2012 « If there was a justice on earth, Gilles, Mickey and Alex would tour the world and the Baseballs would be their roadies” Jumpin’ from 6 to 6 – Nov.2012

Vendredi 19 juin : ALENCON SOUL PROJECT Cet afterwork présente un répertoire populaire et divertissant, mais c’est aussi et surtout, une musique qui fut comme celles qui l’ont précédée, un moyen d’expression, un exutoire et un instrument de lutte des communautés noires américaines. En effet, les musiciens et techniciens qui firent le succès de cette musique taillèrent du même coup les premières brèches dans le mur de la ségrégation. Tout cela transpire de cette musique, de son groove et de son énergie. L’envie de partager tout cela avec le public, et de faire résonner à nouveau les arrangements mythiques de la « Stax » et de la Motown anime les porteurs de ce projet. Cette soirée sera l’aboutissement du travail effectué par les classes de chant choral, cordes et le département jazz/musiques actuelles du conservatoire d’Alençon ainsi que leurs professeurs. Ils seront accompagnés de Sandrine Deschamps et Éric Coatleven au chant. Vous retrouverez les succès et les tubes restés dans la mémoire collective. Bienvenue dans la soul music. Si vous ♥ Otis Redding, James Brown, Les Jackson Five, les Temptations.

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La Luciole, ce n’est pas que des concerts, mais aussi un Pôle Ressources, un espace répétition, des formations, des accueils d’artistes en résidence, des actions culturelles,

etc.

PARTENARIAT CULTUREL Sensibilisation des différents publics, rencontres avec des artistes, prévention, conférences, travail auprès des publics… pour permettre au plus grand nombre de devenir spectateur, de goûter au plaisir du spectacle, de susciter l’envie et la curiosité par la découverte des différents métiers, mais aussi des différentes esthétiques que recouvrent les musiques actuelles. Au programme des actions culturelles, sont initiées des partenariats avec des établissements scolaires ou spécialisés (de l’école maternelle à l’université, en passant par les IME), des centres sociaux, des associations, etc. Dans le cadre de projets d’éducation artistique sont organisées régulièrement des visites de La Luciole (visite des locaux, de la scène aux coulisses, historique, fonctionnement, etc), des rencontres avec des artistes programmés (balances, échanges avec les groupes, concerts), avec des techniciens du spectacle, le directeur-programmateur, la chargée de communication ou encore l’administrateur. La Luciole s’inscrit dans plusieurs dispositifs, tels que Culture/Justice (au Centre Pénitentiaire d’Alençon / Condé sur Sarthe), Culture/Santé (au Centre Hospitalier d’Alençon), Jumelage (avec des écoles), Saison Culturelle Cart’@too (avec le Conseil Régional de Basse Normandie et les Céméa), etc.

FORMATIONS La Scène de Musiques Actuelles La Luciole vous offre, à Alençon, le meilleur d’un programme de formations spécifiques autour des Musiques Actuelles et du spectacle vivant. Participer pleinement sur notre territoire alençonnais au développement des pratiques « amateurs » et accompagner au plus près les groupes vers la professionnalisation en leur proposant, à ce titre, un programme d’ateliers divers, de stages adaptés et de formations spécifiques, est, bien évidemment, une mission essentielle à laquelle nous sommes particulièrement attachés. L’objectif est de répondre, au mieux, aux besoins et aux attentes des publics concernés, que ce soit pour compléter ses propres connaissances ou approfondir son champ de compétence dans les domaines artistiques, techniques et administratifs. Gageons que ce tout nouveau programme semestriel de formation saura répondre à la curiosité et aux exigences de chacun, tout en permettant de renforcer et développer la création musicale locale, départementale et régionale.

ATELIER ECRITURE RAP CONTENU : Acquérir ou perfectionner les techniques et outils permettant de caler un texte rap sur un instrumental. Les différentes techniques d’écriture : jeux avec les mots / sens du texte Les outils pour la mise en forme : structure / jeux sur les rimes L’interprétation : contraintes rythmiques / respiration / travail du flow PUBLIC : Cet atelier s’adresse à des rappeurs confirmés ou débutants, ainsi qu’aux chanteurs/auteurs voulant s’essayer à l’écriture Rap. 12 participants max. INTERVENANT : Guillaume AGSOUS : chanteur du groupe Nouvel R DATE : Samedi 21 et dimanche 22 mars 2015 de 10h à 12h et de 14h à 17h TARIFS : Abonné : 30 €, Non abonné : 40 €, Tarif Solidaire : 20 €, Cart’@too : 2 chèques Pratique Artistique de 15 €, Timbré de Culture : 1 timbre de réduction de 7,60 € INITIATION AUX TECHNIQUES DE SONORISATION CONTENU : Permettre aux musiciens, dans une situation de répétition ou de diffusion, de se familiariser avec le matériel professionnel de sonorisation afin d’en connaître au mieux son utilisation : le câblage, la console de sonorisation, les correcteurs, les micros, les effets … PUBLIC : Toute personne ayant le désir de connaitre et d’appréhender les techniques de sonorisation. 6 participants max. INTERVENANT : Damien Ybert, responsable du pôle ressources, du service répétition et régisseur son. DATE : Samedi 11 et dimanche 12 avril 2015 de 10h à 12h et de 14h à 18h TARIFS : Abonné : 80 €, Non abonné : 100 €

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POLE RESSOURCES La Luciole Contenu : Le pôle ressources, vous permet de consulter l’ensemble de la presse musicale spécialisée, de naviguer sur le net à la recherche d’informations musicales spécifiques, d’écouter l’intégralité de la programmation trimestrielle en cours. Lieu de rencontre et d’échange, ce pôle ressources met à votre disposition tous les outils d’information nécessaires à vos besoins, magazines, documentation et annuaires spécialisés, ordinateurs… Renseignements: Damien Ybert, en charge de ce service, est là pour vous conseiller, répondre à vos attentes et vous aider dans vos démarches personnelles d’ordre musical. De l’indispensable à l’accessoire, du simple renseignement individuel à l’accompagnement collectif, ce pôle ressources est l’outil indispensable à la mise en œuvre et au développement de tous vos projets musicaux. Bienvenue à la source !

ESPACE ENREGISTREMENT La Luciole Contenu : Dotée d’un matériel de dernière génération (Système DAW), La Luciole propose de nouveau son service enregistrement pour toute demande de maquettes préparatoires à un travail en studio ou une prise Live de votre répertoire en situation scénique. Même si ce matériel dont nous disposons permet de réaliser de bons supports de démarchage, La Luciole n’est pas en mesure, matériellement, de répondre à des demandes spécifiques d’enregistrement d’album. Renseignements : Julien Hamel, régisseur son de La Luciole. Tarifs : 15€/h (abonné)/18€/h (non abonné). Tarif Solidaire 7€/h. Timbré de Culture : 1 timbre de réduction 7€ Toute séance réservée et non décommandée 48h à l’avance est due.

ESPACE REPETITION La Luciole (Local indépendant) Contenu : La Luciole met à votre disposition, en libre accès, un local de répétition indépendant de 25m2 entièrement équipé, disponible 7/7 jours, en dehors des jours de concert, de 12h à 24h. Équipement du studio : Le studio dispose d’une Batterie Pearl 5 fûts, d’un ampli guitare Marshall 2 corps JCM 2000, d’un ampli basse Ampeg SVT 3 - Pro - et d’une sonorisation complète comprenant mixette, enceintes, micros et pieds de micros... Renseignements : Damien Ybert, responsable du pôle ressources et du service répétition. Tarifs : - Séances individuelles (2 musiciens maxi) : 3€/h (abonné) ; 5€/h (non abonné) - Séances Groupes : 5€/h (abonné) ; 7€/h (non abonné)

- Forfaits Groupes : 45€/10h ; 80€/20h ; 115€/30h (Non accessible aux non abonnés) Tarif Solidaire : 25€/10h. Timbré de Culture : 1 timbre de réduction de 7€ Toute séance réservée et non décommandée 48h à l’avance est due.

ESPACE REPETITION la Luciole (Configuration Scénique SALLE CLUB) Contenu : Le principe de l’accompagnement à la scène est de proposer aux artistes musiciens des séances de répétitions en configuration scénique, encadrées, qui permettent à la fois d’optimiser un temps de travail et de bénéficier de conseils avisés pour se familiariser avec l’environnement scénographique (gestion des balances, traitement du son façade et du son retour, occupation de l’espace…). Renseignements : Damien Ybert, responsable du pôle ressources et du service répétition. Tarifs : 10€/h (abonné)/15€/h (non abonné). Tarif Solidaire 6€/h. Timbré de Culture : 1 timbre de réduction 7€

RESIDENCES D’ARTISTES (Grande salle de La Luciole) Contenu : Ce programme repose sur un accompagnement approprié à la démarche de création en permettant aux groupes de travailler dans des conditions professionnelles au sein d’une structure de diffusion entièrement équipée. D’une durée variable de 2 à 10 jours en moyenne, ces résidences d’artistes bénéficient de la mise à disposition de l’ensemble des équipements de la salle, de l’accès aux loges et au plateau scénographique mais également de l’encadrement technique des régisseurs de La Luciole. Réalisation de plan de feux, de fiche technique, coaching et mise en scène, autant de possibilités offertes liées à tout processus de création. Renseignements : Loïc Lecomte, directeur-programmateur de La Luciole. Public : Groupes et musiciens déjà engagés dans une pratique artistique régulière et repérée, professionnels ou en voie de professionnalisation. Tarifs : En fonction de chaque demande, qu’elle soit locale, départementale, régionale ou nationale.

RESIDENCES D’ARTISTES (Salle club de La Luciole) Contenu : Ce programme repose sur un accompagnement personnalisé permettant de répondre à des demandes individuelles et collectives spécifiques, de travailler à la préparation nécessaire au démarrage d’une tournée ou encore au réaménagement d’un set. Sous forme de filages, ce type de résidence permet de bénéficier d’un accueil technique professionnel mais aussi de la présence d’un éventuel intervenant artistique. Ce dernier, détermine avec le groupe un programme et des méthodes de travail adaptés pour qu’il puisse aborder plus sereinement un contexte professionnel. Renseignements : Loïc Lecomte, directeur-programmateur de La Luciole ou Damien Ybert, responsable du pôle ressources et du service répétition. Public : Groupes et musiciens en voie de professionnalisation déjà engagés dans une pratique artistique régulière et repérée. Tarifs : En fonction de chaque demande, qu’elle soit locale, départementale, régionale ou nationale.

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INFO BILLETTERIE

ABONNEMENT SAISONNIER : Janvier – Juin 2015 : 10€ Invitez qui vous voulez sur le concert « Découverte » de votre choix ! UNE place acheté = UNE

place offerte pour ce même concert (offre non cumulable, dans la limite des places disponibles)

3 à 6€ de réduction sur le prix des places plein tarif

1 CD compilation d’artistes programmés de la saison

L’envoi du programme de la saison à domicile

Réductions sur l’ensemble des activités initiées par La Luciole

1 place au tarif abonné à la Scène Nationale 61

ABONNEMENT ANNUEL : Septembre 2014 – juin 2015 : 15€

Même avantages qu’avec l’abonnement saisonnier, avec en plus :

1 concert « Découverte » de votre choix acheté = 1 place offerte pour le même concert (par saison)

1 CD compilation d’artistes programmés par saison

Tarif abonné dans les salles partenaires (Le Cargö à Caen, le BBC à Hérouville Saint Clair, Le Normandy à Saint Lô) et aux festivals Nördik Impact, Beauregard et Les Rendez-vous Soniques.

CONCERTS « DECOUVERTE » : Nouveaux tarifs 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs, 4€ tarif solidaire).

OFFRE SPECIALE SCOLAIRES (collégiens-lycéens-étudiants) :

Les Concerts Découvertes à 10€ au lieu de 12€ Abonnement annuel à 15€ : - 2 compilations offertes (sept-déc 2014 et janvier-juin 2015) - Prix le + bas sur tous les concerts - Abonnement annuel 4 SMACs - Invitez qui vous voulez : 1 place achetée sur 1 concert Découverte de votre choix = 1 place offerte pour ce même concert (valable 1 fois en sept-déc et 1 fois en janvier-juin) - En cadeau "bonus" : un concert gratuit au choix (voir liste à la billetterie)

OFFRE SPECIALE « TICKET CULTUREL SOLIDAIRE » :

- Justifier d’une situation de précarité en cours de validité : chômage, RSA. - Résider à Alençon. - 1 Ticket culturel solidaire à 2€ = 6€ de réduction (5 tickets max / saison).

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OUVERTURE DES RESERVATIONS

► RESERVATIONS à partir du :

Mercredi 17 décembre 2014 à 14h

Sur place ou par téléphone au 02 33 26 53 72 Et par internet sur www.laluciole.org 24h/24 et dans les réseaux de location

► NOUVEAUX HORAIRES d’accueil-billetterie :

De 14h à 19h les mercredis et jours de concert

CHEQUES CADEAUX LUCIOLE

► Chèques cadeaux Luciole de 10€

TARIFICATION Tarif abonné (attribué systématiquement aux chômeurs)

Tarif réservation (achat du billet à l’avance jusqu’à 19h le jour même du concert)

Plein tarif (achat du billet au guichet le soir même du concert)

Enfants (hors concerts jeune public) : tarif abonné jusqu’à 12 ans

Timbré de Culture, Cart’@too, tarifs de groupes

Ticket Culturel Solidaire : 2€=6€ (résider à Alençon et bénéficier des minimas sociaux)

Points de location : La Luciole, Carrefour, Fnac, Magasins U, Leclerc, Virgin, Auchan

Les billets ne sont ni repris ni échangés (même en cas d’intempérie), sauf annulation

Pour toute demande d’interview ou renseignements complémentaires : Marion Vannier, chargée de communication et des relations publiques : 02 33 32 83 33 / [email protected]

N’hésitez pas à nous suivre sur notre site internet, page Facebook et compte Twitter @la_luciole

Merci à tous nos partenaires