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& Les filles et la sexualité Les gars et les filles à l école La musique La mort: une phobie La vérité sur les mensonges

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Laurélie Bernier Jenna Bouassaly Roxanne Davignon Anna Hains-Lucht Thierry Lamarche Frédéric Marin Alexandra Mocanu Simon Nakane Anthony Swealens Marco Zeppelli

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&

Les filles et la sexualité

Les gars et les filles à l’école

La musique

La mort:

une phobie

La vérité sur les mensonges

Droitière. Je veux inspirer des gens. Je veux que le monde me regarde et me dise «c’est à cause de toi que je n’ai jamais abandonné» -Roxanne Davignon

Droitière. J’ai arrêté de chercher des monstres sous mon lit quand j’ai réalisé qu’ils étaient à l’intérieur de moi. -Alexandra Mocanu

Droitier. La différence entre le possible et l’impos-sible se qualifie dans la détermination qui réside en toi. -Marco Zeppelli

Droitière. Les meilleures choses dans la vie sont gratuites, les deuxièmes meilleures choses sont ex-trêmement coûteuses. -Jenna Bouassaly

Gaucher. Faire les choses à l'envers donne

une meilleure vue de ce qui va de travers.

-Anthony Swealens

Droitier. Une idée, c’est de l’art.

-Simon Nakane

Droitier. La différence entre l’ordinaire

et l’extraordinaire est ce petit extra.

–Frédéric Marin

Droitière. On a deux vies, et la seconde

commence lorsqu’on se rend compte

qu’on en a qu’une seule.

-Anna Hains-Lucht

Droitière. L’homme devrait mettre au-

tant d’ardeur à simplifier sa vie qu’il

en met à la compliquer.

-Laurélie Bernier

Droitier. Tassez-vous de d'là y faut que

j'voye mon chum.

-Thierry Lamarche

1 Revue Psychologie 2005 n°246 | p.94 2 Citation de Socrate

Références: www.atoi2voir.com/atoi/visu_article.php?id_art=359

Maitrisez vos peurs et vos phobies par Michael Clarkson p.30, 31, 64 ,65, 66, 67

Revue Psychologie 2005 n°246 p.93, et 94 http://www.psychopsy.com/index.php?/changer/la-peur-de-

mourir.html

Anna &

Roxanne

Nous y pensons, nous la voyons, mais nous n’en parlons pas. La mort en-gendre de nombreuses craintes chez les gens. Pourquoi en avons-nous peur? Dans les lignes qui suivent, il sera ques-tion de la peur de la souffrance et de la peur de l’inconnu, et donc des causes de notre peur de la mort.

Premièrement, nous avons peur de la mort parce que celle-ci suscite la peur de souffrir soit physiquement ou men-talement. D’abord, lorsque nous voyons des membres de notre famille décéder d’un cancer ou d’une quel-conque maladie, cela crée des inquié-tudes au fait de mourir dans des dou-leurs atroces. En d’autres mots, les per-sonnes ont même tendance à éviter les personnes âgées, les funérailles ainsi que les médecins ou, au contraire, les visiteront même plus souvent. Aussi, cela peut nous affecter mentalement. Par exemple, toutes les nouvelles fa-çons de perdre du poids et mourir plus vieux; de plus en plus de gens font des régimes, du sport intensif et cela les af-fecte jusqu’à créer des obsessions telles que l’anorexie et la boulimie et des troubles mentaux tels que la dépression et l’anxiété généralisée. « Chacun en-tretient au tréfonds de lui-même une relation intime et singulière avec ce mystère. » Pourtant, il faudra qu’ils apprennent à vivre avec celui-ci. Bref, la peur de la mort peut être causée par la peur de souffrir physiquement ou mentalement.

Deuxièmement, nous avons peur de la mort, car l’inconnu nous est difficile en tant qu’être humain. Donc, la peur de l’inconnu, communément appelée

l’athazagoraphobie, est le sentiment exagéré du trouble d’inquiétude, de peur, lié à la mort. C’est aussi avoir des inquiétudes au fait d’être oublié, de perdre ses proches et de ne pas savoir où ils iront. De plus, ne pas croire qu’il pourrait y avoir un futur après la mort ou un être supérieur pour veiller sur nous, les rend anxieux, culpabilisant de ne pas y avoir cru plus tôt. Pour être plus clair, personne ne sait ce qui est la mort. Tout bien considéré, la peur de la mort peut être à l’origine de la peur de l’inconnu.

En guise de conclusion, la peur de la mort est causée par la peur de la souf-france et par la peur de l’inconnu que certains individus peuvent éprouver. Il faut apprendre à apprécier la vie, la vivre pleinement sans que la peur nous ralentisse, et accepter nos émotions, qui nous rendent humains. Comme le di-rait Émile-Auguste Chartier, le cou-rage nourrit les guerres, mais c’est la peur qui les fait naître.

A)thérapie B)Peur C)Psychologue

A) Je suis des sessions qui aident une personne à retrouver son bien-être.

B) Je suis une émotion qu’on res-sent souvent lorsqu’on on est me-nacé. C) Je suis une personne permet-tant d’aider les gens avec leur vie et leurs émotions.

LA VÉRITÉ DES

MENSONGES

Simon &

Anthony

Un mensonge peut

tout détruire. La vérité

ne fait mal qu’un ins-

tant.

- Danielle Steel

LA VÉRITÉ DES L’être humain commet beaucoup d’actions qu’il ne contrôle pas forcé-ment, et qui pourraient avoir des ré-percussions sur sa vie sociale. Parmi ces fléaux, nous retrouvons le men-songe. Dans les lignes à venir, il sera question du «pourquoi» nous mentons et des différents types de mensonge qui existent. D’abord et avant tout, nous mentons pour diverses raisons. Bien que nous mentions instinctivement en moyenne deux fois par jour, men-tir peut nous apporter le contrôle, le pouvoir et la richesse. Par exemple, les politiciens nous mentent pour se faire élire et obtenir le pouvoir et le sa-laire qui vient avec leur poste. Certains peuvent même arriver à obtenir un pouvoir absolu car «l’ignorance en-traîne le contrôle, la division l’entraîne aussi et lorsque l’ignorance et la divi-sion sont réunis, nous obtenons le con-trôle absolu»1. En revanche, le men-songe peut avoir des conséquences. C’est à dire qu’il y a une mince limite à ne pas franchir, sous peine d’être so-cialement cautionné car «Le mensonge c’est connaître la vérité et l’utiliser avec l’intention d’abuser de quelqu’un sans l’en avertir»2. C’est ainsi que le mensonge peut blesser ou prendre la forme d’un manque de respect à l’égard de l’interlocuteur. En conclu-sion, nous mentons pour le contrôle, bien que cela puisse avoir de graves conséquences.

De plus, nous mentons en utili-sant plusieurs types de mensonges. Ces différents types de mensonges nous permettent d’utiliser ce concept à profit, dans différentes circons-tances. Par exemple, le mensonge égoïste permet de donner une bonne image de soi, d’exagérer ses qualités tout en dissimulant ses défauts ainsi qu’obtenir le pouvoir et le contrôle. De plus, il existe aussi le mensonge dit «altruiste». En gros, c’est mentir par politesse ou de façon défensive afin de flatter quelqu’un ou de s’en protéger sans la blesser. Par exemple : Un ami nous demande ce que l’on pense de ses nouveaux habits (que nous n’aimons pas spécialement) et nous répondons alors de façon à rester gentil (même si ce n’est pas ce que l’on pense). Bref, les différents types de mensonges (ex: égoïste et altruiste) peuvent être très utiles dans certaines circonstances.

Pour finir, nous mentons pour

obtenir le contrôle, bien que cela aie des conséquences, et nous adaptons en fonction de la situation ainsi que le type de mensonge utilisé. Ainsi, que nous mentions consciemment ou pas, nous mentons tout de même. En réaction à ce processus naturel, com-ment pouvons-nous distinguer les men-songes de la vérité?

Alexandra

COMMOTION CHEZ LES FEMMES Selon un chercheur de Montréal, les conséquences des commotions cérébrales sont plus importantes chez les femmes. Le manque d'ha-bilitées techniques, la musculature du cou et les hormones seraient en cause. Un an après avoir subi une commotion cérébrale, des athlètes fémi-nines se sentent encore au ralenti. Au quotidien, il devient difficile d’entreprendre une tâche, de lire, d’écrire, de planifier et d’organi-ser une activité. De plus, on savait déjà que les femmes couraient deux à trois fois plus de risques de souffrir d’une commotion céré-brale. Ainsi, chez les femmes, la commotion cérébrale altère davantage la capacité des neurones à communiquer des messages dans les régions du cerveau. Les réponses neuronales sont plus lentes et moins fortes. Les différentes zones cérébrales sont également moins bien synchro-nisées quand elles sont requises pour une même tâche.

[1] ELLE Québec Grand Prix de la Beauté Nov. 2006 n°207

Alexandra

& Thierry

Au fil du temps, il y a eu différentes tendances de mode qui ont énormé-ment évoluées. Pourtant, pourquoi les filles veulent-elles s’habiller de ma-nière plus séduisante ? Dans les pro-chaines lignes, les raisons pour les-quelles les filles s’habillent de ma-nière affriolante seront démontrées telles que l’attention de l’homme dési-rée l’estime de soi augmenté.

Premièrement, une des raisons pour laquelle les filles s’habillent de cette manière est pour attirer les hommes. Dans le magazine «Pourquoi les filles veulent-elles s’habiller sexy», il est écrit que la mode «sexy» est un type d’habillement qui attire beaucoup les hommes. En effet, sur un site internet qui s’appelle Cerveau-Lent, ils stipu-lent que les hommes sont beaucoup plus visuels. « La majorité des garçons sont plus tentés d’aller vers une fille de leur goût et qui se vêtit de façon sexy pour dévoiler ses courbes tout en ayant une tenue appropriée que d’al-ler vers quelqu’un qui n’a pas vrai-ment de style et qui ne leur plaît pas physiquement.» Les hommes sont beaucoup plus stimulés par le sens de la vue, et les femmes le savent. Donc, les femmes le font pour attirer un homme en particulier ou faire tourner les têtes. En conclusion, les filles vont souvent s’habiller sexy pour séduire les hommes.

Deuxièmement, une autre raison pour laquelle les filles veulent se vêtir sen-sensuellement est pour qu’elles se sen-tent belles, et ainsi avoir une meilleure

estime de soi. Par rapport à la défini-tion du Web, l’estime de soi est un terme désignant le jugement ou l’éva-luation d’un individu en rapport à ses propres valeurs. «Au lieu de s’achar-ner sur les parties de notre corps qui nous déplaisent, pourquoi ne pas plu-tôt faire la paix avec nous-même et mettre en valeur nos atouts, tout sim-plement?»[1] Cette citation prouve que les filles vont toujours essayer de se sentir belle, mais ne savent toujours pas qu’elles peuvent être belles en s’acceptant soi-même. Encore une fois, dans le magazine Cerveau-Lent, il est prouvé que la fille va vouloir être belle pour avoir confiance en elle-même. «Cette confiance est plus sou-vent atteinte lorsque la fille porte des vêtements sexy que lorsqu’elle met des vêtements qui ne sont plus à la mode.» Donc, les filles ont pour but de mettre en évidence leur corps et leurs formes pour se sentir en confiance. Bref, une des grandes raisons pour laquelle les filles s’habillent sexy est pour avoir une meilleure estime de soi.

Pour conclure, il y a plusieurs raisons

qui expliquent pourquoi les filles s’ha-

billent sexy: l’estime de soi et l’atten-

tion hommes. Pourtant, pensez-vous que les garçons doivent s’habiller sexy

pour séduire les femmes?

Alexandra

Autrefois, dans un pays très loin-tain se nommant aujourd’hui la Grèce, habitaient les douze dieux de l’Olympe ainsi que leurs en-fants, les demi-dieux. Ils ne coha-bitaient pas le même territoire, bien sûr. Les demi-dieux vivaient dans un camp adapté pour leur apprentissage, et les dieux vivaient sur le Mont Olympe où ils gouver-naient leur Empire. Zeus, étant le brave et courageux roi qui voulait absolument de l’ordre dans son royaume, décida de choisir un dieu ou une déesse d’une grande intelli-gence. Il contempla toutes les pos-sibilités pour celui ou celle qui tiendra tout le pouvoir de la con-naissance, et deux noms en sorti-rent: Athéna et Poséidon. Cepen-dant, qui choisir?

Pour résoudre son problème, Zeus décida d’organiser une compéti-tion pour choisir un dieu ou une déesse de l’Intelligence. Il en man-quait un ou une, donc les dieux et

déesses divisèrent la race humaine en deux équipes; celle des hommes et celle des femmes. Une personne de chaque équipe, soit le fils ou soit la fille des dieux nommés, allaient tenter de résoudre une énigme qui déterminerait qui, entre les hommes et les femmes, avait le niveau d’intelligence le plus élevé. Zeus choisirait alors le parent du demi-dieu gagnant qui serait nommé Dieu ou Déesse de l’Intelligence. Réu-nis dans l’acropole, Zeus leur proposa l’énigme sui-vante: Deux gardiens gardent 2 portes. L’une mène au Paradis, et l’autre en Enfer. Un des gardiens est un menteur, qui dit toujours le contraire de la véri-té, et l’autre, au contraire, ne dit que la vérité. On ne sait pas quel gardien est devant quelle porte, mais on veut bien sûr savoir où est le Paradis. Pour cela, on n’a qu’une seule question à poser à un seul gardien. Quelle est cette question et à qui la posera-t-on?

Les

origines de

l’intelligence

-mythe-

Le concours commencé, les dieux et de-mi-dieux attendirent patiemment pour que l’un des deux mortels trouve la ré-ponse à cette énigme. Après les dix pre-mières minutes, le fils de Poséidon de-manda la solution à son père. Poséidon, de son côté, ne pouvait dévoiler la ré-ponse, mais pouvais donner un indice selon la demande. Par contre, son fils ne pensait pas à acquérir un indice, il voulait la réponse. Finalement, Poséi-don lui donna une piste: “Souviens-toi, mon fils, qu’avec une négation et une affirmation, on obtiendra toujours une négation."

Le garçon commençait à perdre espoir. Il ne réussissait pas à résoudre l’énigme et n’arrivait plus à se concen-trer. Il essaya donc de procéder d’une façon mathématique afin de résoudre l’énigme. Cependant, il se rendit compte que c’était beaucoup plus com-pliqué qu’il pensait que ce serait. Il ne sut pas quoi faire après cette deuxième tentative. Du côté de la fille d’Athéna, celle-ci avait commencé à résoudre le problème toute seule et ne demanda l’indice qu’après environ quinze mi-nutes. Athéna lui donna le même indice qu’il a donné à l’autre (qu’une néga-tion plus une affirmation donne une négation) et la demi-déesse comprit ra-pidement le chemin à prendre. Cinq minutes plus tard, elle alla voir Zeus.

La fille d’Athéna, tout enjouée, arriva devant Zeus et lui dicta sa réponse; “Je dirai à n’importe quel des deux gar-diens: est-ce que l’autre gardien me di-rait que je suis devant la porte du pa-radis? Puis, je choisirai le contraire de ce qu’il me dirait.” Les spectateurs de

l’acropole furent silencieux, attendant tous de savoir si c’était bien la réponse à l’énigme. Zeus se leva, et s’adressant aux individus présents: “Voici la nou-velle déesse de l’intelligence, Athéna!”

Pendant que les citoyens de la Grèce se réjouirent du couronnement de leur nouvelle déesse de la connaissance, les garçons furent découragés que la fille ait été capable de trouver la réponse si facilement. Ils se rendent alors compte qu’ils n’auraient pas pu la trouver par eux-mêmes; ils n’avaient pas une bonne attitude envers les problèmes. Depuis ce jour, les filles ont été nom-mées la race la plus intelligente dans le royaume de la Grèce antique et cette supériorité intellectuelle est restée la même pour le reste du temps. Depuis, les garçons ne sous-estiment jamais la capacité intellectuelle des filles.

La réussite scolaire, plus facile pour les

filles?

Sources: - Journal Le Forum (pp.22-23), mercredi le 22 janvier 2014, “Les filles sont-elles mieux adaptés à l’école?” - Gazette des Femmes (pp.32-33), mai/juin 2011, Pascale Navarro - Site web RIRE

Laurélie

& Jenna

Certains élèves ont plus de facilité que d’autres dans leur cheminement sco-laire. En effet, les filles ont générale-ment de meilleurs résultats à l’école que les garçons. Nous pouvons donc en venir à la question suivante: pour-quoi les filles réussissent-elles mieux à l’école que les garçons? Dans le texte qui suit, il sera question de la mentali-té des garçons et de l’importance de leur entourage.

Premièrement, la mentalité des gar-çons face à l’école est très différente de celle des filles. Un des éléments ma-jeurs qui peuvent défavoriser un gar-çon est son degré d’attention. Une re-cherche a démontré que les garçons ont trois fois plus de risques d’être at-teints de troubles de déficit de l’atten-tion comparé aux filles. De plus, le taux de maturité des garçons peut in-fluencer l’importance qu’ils accordent à la réussite scolaire. Par exemple, se-lon Josée Bouchard du magazine Ga-zette des Femmes p.32-33 (issue mai-juin 2011) « Parce qu’ils «maturent» plus tard que les filles, ils sont moins intéressés par la lecture dès que l’école commence. Or, la lecture (et tout ce qui vient avec, c’est-à-dire la communica-tion et le langage) est la clé de la réus-site.» En résumé, les filles ont de meil-leurs résultats scolaires que les gar-çons, car ceux-ci ont une mentalité différente.

Deuxièmement, l’entourage d’un en-fant influence grandement son éduca-tion. Comme mentionné dans la revue Gazette des Femmes aux pages 32 et

33: « Le nombre élevé de divorces [...] depuis les années 1980, par exemple. Beaucoup de garçons se sont retrouvés avec leur mère [...] Si c’est toujours la mère qui s’implique, il manque un mo-dèle [...], celui du père.» En d’autres mots, les divorces nuisent majoritaire-ment aux garçons, qui ont besoin de la présence de leur père, une personne à laquelle ils peuvent s’identifier, mais qui est généralement moins présente dans les cas de divorces. Ensuite, l’at-titude des professeurs envers leurs élèves peut aussi influencer leurs ré-sultats. En effet, nous pouvons lire dans le Journal Le Forum aux pages 22 et 23: « Des études ont même dé-montré que des professeurs avaient des attitudes [...] très différentes en fonc-tion du sexe des élèves, de la manière de poser les questions… jusqu’aux pu-nitions infligées.» Bref, les résultats scolaires inférieurs des garçons peu-vent être expliqués par leur entourage qui peut être moins bénéfique.

En conclusion, la réussite scolaire est plus élevée chez les filles que chez les garçons à cause de leurs mentalités et de l’entourage bénéficiant les filles. Par contre, pensez-vous que l’écart d’apprentissage évoluera pour le meil-leur ou pour le pire au cours des pro-chaines années?

Laurélie

LA DÉPRESSION:

un dérèglement du cerveau serait

impliqué

http://www.lapresse.ca/sciences/medecine/201506/02/01-4874462-depression-un-dereglement-du-cerveau-serait-implique.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decou-vrir_219_article_ECRAN1POS4

https://www.depressionnerveuse.fr/2/signes-symptomes-depression.html

Nous connaissons tous des hauts et des bas dans notre vie. La tristesse est une réaction normale aux épreuves que l’on rencontre au cours de notre existence. Nous sommes tristes pendant une courte période de temps, puis après un mo-ment, la tristesse nous quitte, mais lorsque la tristesse per-siste, ce n’est pas une situation normale; c’est la dépres-sion. Le nombre de personnes affectées par une dépression est deux fois plus grand chez les femmes que chez les hommes. Par contre, les personnes dépressives chez les hommes au-ront moins tendance à souffrir d’un sentiment de dévalori-sation que les femmes. Plusieurs Québécois qui se sont suicidés avait dans leur cerveau des cellules en forme d’étoiles, appelées astrocytes, qui fonctionnaient sans doute mal, comme si elles avaient été abîmées par le stress et l’inflammation. La découverte de ce dérèglement - qui se manifeste exclusivement dans les zones cérébrales impliquées dans la dépression – pourrait permettre un jour l’élaboration d’antidépresseurs révolu-tionnaires. De plus, la sérotonine est impliquée dans la dépression. La sérotonine est un messager chimique du système nerveux central impliqué dans plusieurs fonctions physiologiques comme le sommeil, l’agressivité, les comportements ali-mentaires et sexuels, ainsi que dans la dépression. Il n’y a pas qu’une seule cause à la dépression nerveuse. Un événement qui déclenche la dépression chez un individu peut n’avoir aucunes conséquences dans la vie d’un autre. On peut cependant identifier des facteurs à risques qui peuvent rendre les gens plus vulnérables.

La musique, bénéfique

pendant des siècles

Frédéric

& Marco

Saviez-vous qu’il y a beaucoup de méthodes utilisées pour se réconfor-ter? Il y a la méditation, le repos, mais il y a aussi la musique. Pour-quoi la musique est-elle bénéfique pour le cerveau? Ce texte explique-ra comment la diminution du stress et l’augmentation du quotient intel-lectuel par la musique répondent à cette question.

Premièrement, la musique est béné-fique pour le cerveau car elle réduit le stress. En effet, les recherches ont montré qu’écouter de la musique peut réduire le stress, particulière-ment si elle est lente et calme. Elle ralentit le rythme cardiaque et dimi-nue la pression artérielle et le niveau des hormones de stress. Par exemple, si une personne stressée écoute de la musique apaisante comme le bruit de l’eau ou des oi-seaux, son niveau de tension dimi-nuerait. La musique peut être utili-sée comme distraction, elle peut ab-sorber notre attention, elle peut faire oublier le stress et calmer ceux qui l’écoutent. Dans la revue Science et vie junior 2011 (#261), il est men-tionné que “le fait d’ajouter une musique de fond plutôt douce réduit de 55% les comportements pertur-bateurs”. Si on comparait une per-sonne qui écoute régulièrement de la musique à une personne qui n’en écoute pas, on réaliserait que la per-sonne qui en écoute est moins an-xieuse. Pour conclure, la musique est bénéfique pour le cerveau, car elle réduit le stress.

Deuxièmement, la musique est bénéfique pour le cerveau car elle augmente le quotient intellectuel (QI). Par définition, le QI est le rap-port du niveau intellectuel d’une personne à celui des personnes de son groupe d’âge. Effectivement, Frances Rauscher a fait une re-cherche en 1993, qui constituait à prendre quelques élèves et leur don-ner un test de logique. Avant de faire cela, la moitié des élèves ont été demandé d’écouter un morceau de musique de Mozart. Les autres n’ont pas écouté de musique. Suite au test, Frances Rauscher a pu cons-tater que les élèves qui ont écouté la musique ont réussi beaucoup mieux le test que les autres élèves. Madame Rauscher a fait une expérience simi-laire avec des rats et un labyrinthe. Rauscher s’est fait demander si la musique rend les gens plus intelli-gents, elle a répondu: “Oui, à condi-tion que ce soit du Mozart!” Ainsi, la musique est bénéfique pour le cerveau, car elle peut aider aug-mente le quotient intellectuel.

En conclusion, la musique est bénéfique au cerveau car elle dimi-nue le stress et elle peut augmenter le quotient intellectuel de ceux qui l’écoutent. Maintenant que vous sa-vez que la musique peut effective-ment être bénéfique le cerveau, pen-sez-vous que ses effets bénéfiques se limitent seulement au cerveau?

On ne la voit pas tous de la même façon Quelques personnes disent qu’elle est parfaite

D’autres qu’elle est incomplète Mais vous pouvez la changer,

Peu importe la situation Peu importe la douleur

Et peu importe le malheur C’est votre choix

Votre choix de changer votre chemin Votre choix de changer votre destin

Votre choix de changer votre vie On ne peut pas vivre ta vie en souffrance

À cause d’une petite mésentente Il ne faut pas vivre sa vie en mal

À cause d’un dommage Il faut essayer de surpasser ces moments Il faut essayer de dépasser ces moments

Mais surtout … surtout … De ne jamais lâcher le pas.

Parce que peu importe la situation Il faut être capable de continuer, d’avancer, DE PRO-

GRESSER De vivre sa vie comme on la veut Je sais que c’est difficile des fois

Je sais qu’il faut prendre des risques parfois, Mais ne t’inquiète pas…

C’est juste un moment dans ta vie Un moment dans ta vie où tu te trouves seul, triste, dé-

primé Mais ne t’inquiète pas…

C’est juste un moment dans ta vie Qui va passer

Quand tu regardes par la fenêtre et tu vois un brouillard Il va passer et partir

Quand tu regardes un train qui arrive Il va passer et partir

Quand tu vois une présentation orale venir Elle va passer et s’échapper du temps

C’est votre choix Votre choix de changer votre chemin

Votre choix de changer votre destin Votre choix de changer votre vie

La disparition des Érudits

-mythe-

Anthony & Simon

Il y a bien longtemps, dans une contrée lointaine, une civilisation se développait lentement. Cette société avait soif de connais-sances, et un jour, ce savoir leur fut offert, entraînant de graves conséquences. Ce sont «des hommes venus du ciel» qui le leur offrit. Ceux-ci étaient bien plus grands qu’eux et surtout bien plus cultivés. Un premier créa la foudre, l’autre les océans et un autre rapprocha le soleil pour garantir de meilleures cultures. Les autres créèrent aussi la guerre, la beauté, le danger, le feu, le paradis et l’enfer. Ils offrirent aussi leurs connaissances en astronomie, en science en agriculture et bien plus encore au cours de leur séjour. Bref, bien des changements furent apportés à cet écosystème fragile. Le principal problème fut le partage, car cette société érudite était, à la base, égalitaire. ªDe plus, les Dieux ne se privèrent pas des femmes de cette planète. Leur descendance devait assurer le bon fonctionnement de la société, mais ceux-ci eurent pourtant l’effet inverse; les abus de pouvoir et les inégalités se multipliè-rent au sein des hommes. Ce fut le début de la fin. Les Dieux, ayant élu domicile sur cette terre, furent très choqués par le comportement des humains, à qui ils avaient offert leur sa-voir, et qui, en signe de reconnaissance, semaient la pagaille tout autour du globe. Ils prirent contrôle des royaumes en formant des hiérarchies sociales, en instaurant un système monétaire et en imposant des lois et règles strictes. Après un certain temps, les hommes se révoltèrent. Ils deman-daient plus de liberté aux Dieux, qui n’y prirent pas le moindre intérêt. Ils avaient développé un véritable dégoût envers les hommes qui ne savaient que se chamailler et se haïr. Bien que ce soient les dieux qui avaient amenés des éléments tels que la guerre et la mort, les humains étaient devenus avides de pouvoir et d’argent. Les dieux conclurent qu’il fallait les arrêter et éviter que trop de sang soit versé. Au même moment, d’autres sociétés humaines se créaient et prenaient de l’expansion. S’ils apprenaient l’existence des Dieux et leur savoir, le fiasco se répéterait. Ainsi, ils vinrent à une solution radicale mais efficace: ils allaient envoyer les hu-mains de cette société sur une autre planète, jumelle à la terre. Aujourd’hui encore, on ignore encore ce qui est advenu d’eux, de leurs connaissances et de leur savoir qui fut perdu. C’est-à-dire, jusqu’à ce que l’histoire se répéta.

Réponses à la page 27

Réponses de la page 27 capacité de comprendre et de découvrir = intelligence

changement provoqué par une modification du milieu = adaptation

maladie en rapport pathologique a la nourriture = boulimie

dificulté a interpréter le réel, délire = schizophrénie

fonction de l'esprit relié à la conscience = cognitif

concept de vision agréable = beauté

remise en compte = questionnement

cohérence, ressemblance par rapport à une entité = uniformité

conformité à soi même = intégrité

état de relation entre les vivants = social Ne convient pas, qui n'est pas approprié = inadéquat

état d'esprit d'un individu qui réagit à son entourage = émotion

pression de l'entourage ou de l'environnement = stress

réorganiser en faisant usage de la raison = rationaliser

actions ou personnalité d'un individu = comportement

DERNIER DE LA

SÉRIE

«Ne regarde pas en arrière,

tu ne vas pas de ce côté.»

Collège Sainte-Anne-Juin 2015