quels temps font-ils ?

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Quels temps font-ils ? J’ai croisé un petit bout de femme à un arrêt de bus, elle avait un violoncelle presque aussi grand qu’elle ; alors que je regardais l’objet, elle introduisit la conversation : - « C’est lourd à porter ! » Peu importe l’évidence, je rétorquais : « Cela me fait songer à la théorie M, celle des cordes… » - « Pardon ? » - « Oui il y a là généralement 7 ou 11 reflets d’une certaine réalité, un peu comme 7 ou 11 miroir la reflétant cette violoncelliste dont nous sommes à la recherche ! » Elle m’aura répondu : - « J’aimerais bien apprendre ca à l’école ! » - « Cela m’étonnerais que tu ap- prennes cela à l’école… ! » (…) Plus tard dans le bus, je lui disais en sortant à l’arrêt chalet : - « Si tu souhaites avoir un entr’aperçu de ce que je te raconte, tu devrais regarder à l’adresse : quels temps font-ils ? Il s’agit là d’une histoire du temps qu’il fait, du temps qui passe… » Maxime Pirart

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e-édition indépendante, dont je me demande tout simplement vers où l'on vas, comment et pourquoi ? j'ai découvert au cours de ce parcours que ma vie était une vraie pelote de laine à dénouer... qui de dénouements en dénouements ?

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Page 1: Quels temps font-ils ?

Quels temps font-ils ?

J’ai croisé un petit bout de femme à un arrêt de bus, elle avait un

violoncelle presque aussi grand qu’elle ; alors que je regardais

l’objet, elle introduisit la conversation : - « C’est lourd à porter ! »

Peu importe l’évidence, je rétorquais : « Cela me fait songer à la

théorie M, celle des cordes… » - « Pardon ? » - « Oui il y a là

généralement 7 ou 11 reflets d’une certaine réalité, un peu

comme 7 ou 11 miroir la reflétant cette violoncelliste dont nous

sommes à la recherche ! » Elle m’aura répondu : - « J’aimerais

bien apprendre ca à l’école ! » - « Cela m’étonnerais que tu ap-

prennes cela à l’école… ! » (…) Plus tard dans le bus, je lui disais

en sortant à l’arrêt chalet : - « Si tu souhaites avoir un entr’aperçu

de ce que je te raconte, tu devrais regarder à l’adresse : quels

temps font-ils ? Il s’agit là d’une histoire du temps qu’il fait, du

temps qui passe… »

Maxime Pirart

Page 2: Quels temps font-ils ?
Page 3: Quels temps font-ils ?
Page 4: Quels temps font-ils ?
Page 5: Quels temps font-ils ?

Introduction :

Page 6: Quels temps font-ils ?
Page 7: Quels temps font-ils ?

Le Quark et le Jaguar,

Ici Murray Gell-Mann cause d'agraindissements composant la ré-

alité de l’infiniment petit jusqu’à une échelle humaine : concept

qui est devenu celui de décohérence entre temps, où très sim-

plement décrit : chaque danse son échelle, chaque échelle ses

constantes et ses variables : qui se perdent et de loin, à chaque

fois ; (un peu comme la danse du Cosmos) !

Le Quark et le Jaguar était édité par Flammarion, c’est le pre-

mier livre de savoir ‘vrais’ que j’ai lu : à c’t’heure il est à Albin

Michel !

Page 8: Quels temps font-ils ?

Les nus ?

Page 9: Quels temps font-ils ?

La petite fée clochette assise sur son travail, je l’aie connue

aussi, dans ces excès, dans son activité, dans son petit grain à

moudre, elle aussi…

Page 10: Quels temps font-ils ?
Page 11: Quels temps font-ils ?

Recueil : D'après certaines légendes, le monde est porté par une tortue :

un conteur avec un tambourin apportait cette légende à l'esprit

occidental, et le fait est que l'on y discerne l'origine shamanique

des religions, est en ce que ce sont des événements catastro-

phiques naturels, dont on s'est fait des épopées, puis des

mythes, et ensuite ? (Il suffit d'extrapoler) ! Pour revenir à nos

moutons d'après les Sioux, Dieu qui pour une fois était indien,

était sur son tapis à fumer sa pipe, au bout d’une éternité il finit

par s'ennuyer, alors il prit un peu de tabac et de salive pour en

concevoir le Monde, et puis les êtres qui se tiennent droit (les

végétaux), et puis les êtres à quatre pattes (les mammifères), et

enfin les êtres humains…

Enfin, dans la moralité de l’histoire, il refit cela deux fois : car

lorsqu'il vit ce que les hommes faisaient du monde : il le brûla ;

ensuite lorsqu’il vit ce que les hommes faisaient du monde, il le

noya !

Et puis il y a là toute une affaire et toute une histoire avec les

esprits de maitre corbeau, et toutes sortes d’animaux qui par-

vinrent à convaincre Dieu de refaire le Monde encore une fois !

Moralité maintenant que les êtres humains ont la Terre entre les

mains, nous verrons ce qu'ils en feront ?

Page 12: Quels temps font-ils ?
Page 13: Quels temps font-ils ?

Y a-t-il un labyrinthe derrière le labyrinthe ?

Dans le TGV de Avignon – Bruxelles vers Lilles, et oui il me faut

énormément de temps avant de sentir les gens, de savoir les

aborder, alors je devais engager la conversation avec une femme

et son garçonnet qui traçait la sortie d’un labyrinthe sur un em-

ballage Mc Do, je lui demandai tout naturellement si il y avait un

labyrinthe derrière le labyrinthe ? Alors que ses petits pieds nus

étaient posés sur le fauteuil en face de lui, celui de maman !

Comme il ne m’apporta pas de réponse, je lui répondrai sponta-

nément : - « Nous pouvons dévorer un recueil, et puis lorsque

nous refermerons le livre : il y aura là les voies que nous emprun-

terons, les trottoirs sur lesquels nous marcherons, les portes qui

nous seront parfois entr’ouvertes le long, avec les mains qui nous

seront parfois tendues derrière : des fois de feu, d’autres fois

d’eau… » Ensuite je regarderais « Les eaux vives », de « Planète

Terre », un moment il se glissa sous la tablette et se mit sur les

genoux de maman avec qui nous avions commencés à parler

d’Afrique, nous nous étions accordés sur le fait que le bord

d’Océan était favorable : pour le sel et les protéines des poissons,

une des sources de nourriture là. Elle était tout à fait d’accords

avec moi ce qui me suffit largement pour que ce soit une certi-

tude qu’elle connaisse l’Afrique ! Alors que nous arrivions au film

à un caïman de l’Amazone se faisant chasser par des loutres, le

garçonnet dit - « de grosses écailles » ; je rétorquais : - « les pe-

tites mamelles devant se défendent bien » ! Mais maman bien

accompagnée, aussi ! M’aura rétorquée : « L’union fait la force ».

Et nous devions peu de temps ensuite descendre en gare de

Bruxelles Midi…

Page 14: Quels temps font-ils ?

Parler d’un film ?

Des racines incertaines, des personnages exceptionnels, des his-

toires de vies atypiques, autrement-dit : très fort en goût, j’aime

et m’y retrouve beaucoup, quelque part, enfin c’est la Vie !

Page 15: Quels temps font-ils ?

Je suis un peu à l’image de cette femme, à l’image d’un silence

théâtrale, d’un manque d’amour pas si simple…

Joli silence vu de moi !

En Arles, alors que nous discutions entre trois gars à la rue, un

ami, et deux petites femmes de passage entre nous, dont une

ouvra la conversation vu de moi ! Enfin un moment un petit est

passé avec sa maman et a avancé sa main vers la poche d’un des

gars : alors j’ai engagé la conversation : - « hé t’as vu ? Le petit

(qui s’éloignait) t’a piqué ton portefeuille. » Le gars à tâtonné sa

poche, surpris ; et j’ai poursuivi : - « Non je rigole, il a juste tendu

la main, où ce sont souvent des mouvements induits comme

cela, qui te construisent une personnalité », c’est là que j’ai parlé

de ce film DONOMA où : « Notre Dame du RER entr’aperçu un

pickpocket très doué, elle retira les objets de valeurs de son por-

tefeuille, y glissa son numéro de téléphone, et se mit en position

de proie : en gros elle le voulait, t’as vu ? »

J’estimais m’avancer par là même, mais cette petite femme

n’avait d’yeux que pour ce gaillard, voire son bout de chocolat !

Page 16: Quels temps font-ils ?

Ne trouvez pas cela normal que mes parents apprécient un peu

la situation, c’est-à-dire que j’ai le nez rond d’un petit clown ?

De plus j’ai eu les bras bandés (Dieu merci superficiellement…)

mais cause de parents que je voyais oui, mais qui me déniaient

totalement, voire pire : il m’aura fallu plus d’une dizaine d’an-

nées pour retomber sur terre, et ce grâce à une passion issue de

la lecture : l’écriture voyant un style résurgent un beau-jour ;

mais entre-temps ? Encore et encore du temps, beaucoup de

temps pour dénouer les nœuds de cette Vie !

Notre Dame du RER

Page 17: Quels temps font-ils ?

Les portes de l’Occident :

Pont d'Arc sur l'Ardèche : pour moi une Origine du monde d’il y

a là la nuit des temps, surplombant ce symbole du temps qui

passe, du temps qu'il fait : l’Ardèche !

Autrement dit au présent, c’est un très beau symbolisme Histo-

rique des portes de l'Occident, voyez-vous ?

Page 18: Quels temps font-ils ?

Le temps psychologique qu’il fait, le temps psychologique qui passe ?

J’ai fait tout ce que j’ai pu pour améliorer la courbure de mes

pensées, où tout part d’une phrase qui n’a pas tant de sens que

cela : « je suis avide de quelque-chose qui n’existe pas, mais que

j’imagine très bien », le plus surprenant est qu’elle est emplie de

sens, un sens profond, celui de l’inspiration, où théoriquement

entre ce que l’on pense, ce que l’on dit et ce que l’on fait, cela

fait trois ! Vu de moi, il est évident que mes mots ont pris la cou-

leur et l’odeur de mes pensées, cette façon d’y arriver est aty-

pique, où qui ne risque rien n’a rien !

Où je suis resté longtemps, très longtemps silencieux au pays des

rêves, les silences me glaçaient souvent où les paroles des uns et

des autres parmi les marées vivantes de l’école en Europe, se re-

tournaient contre moi, (notez qu’il y a une déchirure, une sorte

de choc des civilisations aux creux de ma vie) ! Alors aux débuts

moi-même avec moi-même, je marmonnais entre mes dents ce

que j’allais dire, ce qui était lourd, très lourd, mais j’avais les

pieds sur terre, je ne savais pas que la Vie était un plat salé sucré

que l’on appréciait continuellement, perpétuellement, comment

pouvais-je savoir ?

Donc au cours du temps j’ai changé de tactique, j’ai commencé

à faire tout comme mon propre théâtre intérieur, à me faire mes

questions réponses avec moi-même pour m’élaborer une cons-

cience en quelque sorte ; ce qui, nous y sommes ici : fût efficace

côté expression, et l’écriture, ensuite ? Pas beaucoup plus !

Page 19: Quels temps font-ils ?

La mémoire d’un certain passé ?

Il y a là très longtemps de cela, je devais avoir dans les 5 ans, alors

que j’étais descendu dans une petite crique pour voir les vagues

s’échouer sur la plage… Un moment une vague pas comme les

autres gonfla au loin, enfla, enfla et enfla alors que la peur mon-

tait ; je devais faire demi-tour et escalader le fond de cette petite

crique, juste mes bras étaient au-dessus, la vague s’écrasa contre

les rochers et m’avala, me submergea, et m’engloutis, je me sou-

viens du pétillant de l’eau comme si s’était hier… Le fait est que

je me suis retrouvé à plat ventre sur la petite plage, me retour-

nant par instinct et regardant toute cette masse d’eaux s’engouf-

frer dans l’Océan Atlantique…

J’étais indemne malgré tout, ce qui est miraculeux ne croyez-

vous pas ? Ne doutez-vous pas ? C’est naturel les vas et les viens,

les flux et les reflux, et puis il y a là un instant figé en moi !

Page 20: Quels temps font-ils ?

La physique des catastrophes…

Page 21: Quels temps font-ils ?

Galatea des Sphères :

La physique des sphères, une sorte d’horlogerie intemporelle ;

une sorte de travail minutieux à en perdre-halènes, où le temps

ne s’écoule plus réellement autre que viscéralement, que de fa-

çon cérébrale… mais pas que !

La Vie détruite ?

Rattraper les pots cassés ? Cela n’existe pas, n’en est pas moins

expression mienne !

Causons de cœurs oubliés, causons de mémoire qui s’envole ?

Mais encore ? Causons d’un combat gagné d’avance, où lorsque

je me souviens du cynisme de ma vie, il y a là de quoi en perdre

le cœur, ce cœur qui s’envole à petit feu !

Allons-dont ? Comment aurais-je pu m’imaginer que l’on avait ce

que l’on méritait ? Comment aurais-je pu vivre ailleurs qu’aux

pays des rêves ? Loin de moi tout se sent, cette chose qui s’ac-

quière, loin de là être écouté, et ce par-delà la raison… mais en

combiens de putains d’années ? Voire une trentaine, que voulez-

Page 22: Quels temps font-ils ?

vous que je vous dise ? Que les seuls points d’appuis que je pou-

vais avoir sur ces sociétés civilisées depuis mes 14 ans étaient

mes parents ?

Aujourd’hui j’ai 42 ans, et je vomis sur mon innocence ? À

d’autres !

Image : CNRS ! La part de vérité là-dedans ? L’information : son

gain depuis la matière ; son éveil en la Vie ; les esprits ; la cons-

cience humaine ; l’écriture et les croyances avec l’émergence

des sociétés…

Page 23: Quels temps font-ils ?

Les façons de coucher mon père :

Je pense avoir saisies les quelques opportunités que je pouvais,

où une des seules, si pas la seule personne que je retiens ici, est

ma prof de français en 3ème ; celle qui m’aura avancé l’écriture,

avancé un petit travail de mairie à ma portée ! Maintenant que

dire d’un père odieux qui connaissait l’Europe, alors que ma

sœur est tout aussi odieuse, elle qui est arrivée 2 ans avant moi

en Europe, là n’est pas le sujet mais ils auront joué d’un jeu mal-

sain à en crever plutôt 10 fois qu’une, autrement dit je n’ai pas

de famille, presque !

Que dire de ces choses qui se conçoivent ?

Qu’en définitif c’est après un déni total de ma personne, qui de

plus, acculé de coups de bottes en coups de bottes, j’en suis ar-

rivé à générer mais combien de temps ensuite ? 15 ans ? Des

stéréotypes fonciers que je ne suis pas : comme la schizophrénie

essentiellement ce qui est catastrophique, simplement pour ne

pas vouloir ou pouvoir m’imaginer que les seules personnes à

mon idée sur lesquelles je pouvais m’appuyer de retour en Eu-

rope, après toute mon enfance en Afrique, autrement-dit mes

parents : étaient alors qu’on leurs remuaient les méninges des

psychopathes qui ne risqueraient pas un poil de cul ! Comment

aurais-je pu m’imaginer cela ?

Cela aura été jusqu’à ce que je me rende, après avoir été

jusqu’au ministère de l’économie et des finances, à la mairie

saint-martinoise leurs exprimer, mais combien d’années ensuite

les psychiatres ? Que si le crime parfait existe, j’en gerbe dans

mes cornflakes de bon matin…

Page 24: Quels temps font-ils ?

Imagine… Nos petits cœurs, dis ;

Battant sans réel répit… Tout au long de nos vies

De chairs et d’esprits Vies qui elles étant

Exclusivement, Référent

Ciel

Page 25: Quels temps font-ils ?

Qui ne s’est pas leurré ?

Bien entendu que la vie voit parfois ces phases difficiles, des mo-

ments de sérénités, et une éternité d’incompréhension surtout ;

choses qui découlèrent naturellement vers un certain attrait des

sciences fondamentales : des Origines de l’Univers, de la Vie et

de la création de la conscience : autrement dit, ces choses-là pro-

gressent continuellement avec la conception que l’on se fait de

la réalité !

Tout cela est bel et bien fondé, j’y cherchais alors que l’on me

détruisait méticuleusement de façon presque intime, familiale,

avec qui, parmi mes silences, mes incompréhensions, ne s’est

pas leurré et jeté dans l’Arène ? Alors j’avance, j’avance encore

où toutes ses réponses très superficielles vues de moi qui ai un

niveau 3ème français, je les reporte forcément à mon propre ré-

férent, où je ne prétends pas être tout le monde, ni personne,

mais utile avant tout ; où je n’ai jamais escompter gagner, ni

perdre, et cependant j’en suis là au présent : Le film : « I Origins »

est une part de créativité ; mon recueil : « Quels temps font-ils ? »

se voit complémentaire à toute cette affaire et toute cette his-

toire !

Bien que le sujet soit difficilement abordable de façon abstraite,

il y a ici-bas des choses qui nous dépassent, qui ne se résument

pas à un côté anthropomorphique de façon global, linguistique,

frontalier : mais à une certaine approche du faciès de Dieu !

Où l’humanité voit une période critique, dans 40 ans : extinction

de masse parmi le règne Vivant ; dans 100 ans survie critique

pour l’espèce humaine ? Évoluer encore et encore ne sera plus

si simple, et pour tout le monde…

Page 26: Quels temps font-ils ?

Le gouffre ?

Le calme cours d’eau de ma vie, si étroitement enserré de pierres

et de roches, entrevit la lumière d’une aurore où, comme éblouis

par une fleur portant d’autres boutons floraux à éclore, ces sym-

bolismes se voient au présent, entremêlés : l’un comme roches

et pierres fleuries… l’autre comme fleur pétrifiée… y a-t-il un sens

aux opposées de sangs mêlées ?

Page 27: Quels temps font-ils ?

MSN

Voulez-vous découvrir et redécouvrir ce que signifie la relativité

en termes littéraires ? Elle parle de prosaïsme prenant étonne-

ment forme :

Vu le côté conceptuel, des gens (ce qui est étonnant c’est que ce

sont des gens auxquels l’on s’identifie automatiquement alors) ;

ces gens-là comme Jean-Pierre Luminet, astrophysicien proven-

çal donc disent y penser ; surprenant comme l’on peut se perdre

dans le fluide subtil de l’inspiration, où ils rajoutent allez faire

changer d’avis ces gens-là ? Ce qui est totalement à caractère

possessif : personnellement j’estime que c’est encore une fois

donnant donnant, où encore une fois rien n’est si simple, tout

simplement !

Page 28: Quels temps font-ils ?

Mes humeurs ?

Ne ressens-tu pas mes mots battre en silence comme des pau-

pières ? Voire plus bruyamment comme un cœur ému et ses flux

et reflux sanguins ? Ne te souviens-tu pas de mes lèvres préhen-

siles envers tes lèvres charnues regorgeantes de ses douceurs

dont tu as le secret ? Ne te souviens-tu pas de l’odeur douce et

âcre de mes humeurs ?

Paupières, iris et pupille ?

Alors que l’aube s’est levée, depuis peu à peu il pleut par ce

temps morose, un temps s’écoulant fluide comme le prosaïsme

de la course des nuages alors que le ciel illuminé, voire teinté

d’un certain spectre s’insinuant en mes yeux humides…

Où ce sont toujours les mêmes larmes qui perlent goûtent et

ondes : où l’ambiguïté de ces larmes sont un peu comme un

monde passé, un peu comme un monde à retrouver ?

Page 29: Quels temps font-ils ?

« Nous sommes nés poussières, nous retournerons poussières,

je ne savais pas qu’elles s’étaient formées aux creusets des

étoiles, je ne savais pas qu’elles faisaient partie de l’évolution du

grand tout : de l’Univers, de la Terre et de la Vie ! » Les pieds sur

Terre, la tête dans les étoiles ; se voit ici un obstacle de taille :

concrétiser nos rêves…

Rêve de fleurs et bois en moi, papillon !

Dont le Monde pourrait s’appeler donnant donnant, un monde

de blessés pour la Vie, un monde d’échange de fluides de la pen-

sée consensuelle, bien joli mot ma belle, mon cœur s’envole à

tire d’ailes…

Page 30: Quels temps font-ils ?

Escher :

Ici l’escalier qui monte tout le temps

Ce genre artistique s’intéressant à briser, fausser les lignes de

fuites, est une spécialité d’Escher, un artiste qui fut connu après

sa mort, pour quelles raisons ? Je ne sais pas, peut-être que l’in-

térêt s’est découvert ensuite ; où à son époque il passait un peu

pour un fou, et ces œuvres pour inutiles, alors qu’a c’t’heure cela

se découvre dans des manuels scolaires, des livres de savoir, etc.

un peu comme des curiosités ou des bien beaux symboles !

Écrire dans la marge, est un peu à l’image de ce tableau en par-

ticulier, et pourtant ; la roue tourne, les temps changent, où

l’écriture est pour moi une passion avant tout !

Les réponses que j’apporte à mes questions sont futiles, vu de

certains, mais pas moins une part de vérité sur les choses tels

qu’elles sont pour une part de rêve, où le présent se dépoussière

grâce aux moyens, grâce à un gain en information…

Page 31: Quels temps font-ils ?

Les choses que je pense ?

Aux contraires : - 1) La réalité est limpide, le monde est une chose étrange com-posée de quelques fleurs, celles que l'on se fait...

Un peu comme une femme : (la réalité) ; portant une sphère limpide : (le monde) ; entouré de quelques fleurs...

Ceci est un point de vue sur la réalité extrait de tout contexte, avec l'espèce humaine aux creux de l'Univers...

- 2) Préexistant il y a là la matière, son éveil eu lieu un beau-jour en la vie (...) un autre beau-jour : la sexualité apparut chez les êtres unicellulaires, qui jusqu'alors se clonaient... encore un autre beau-jour ? La création de la conscience...

Un peu comme un bloc de matière à partir de laquelle une femme s'extrait (la réalité) : fait un pas, puis deux, marche, danse, et elle est présente... parmi (le monde) cette chose étrange à la fin !

Ceci est un point de vue matérialiste de ce qu'est la réalité, avec l'espèce humaine aux creux de l'Univers...

Les zones frontalières ?

L'écriture compose quelques fleurs relativement élaborées ap-paraissant et se dissipant, où certains regards fuyants vers l'élaboration d'autres feuilles, d'autres rameaux, l'ensemble se dissipant dans la ramure de l'écriture...

Où de brèches en brèches, nous cherchons tous des opportu-nités : l'esprit se créé de la sorte, les organismes, les sociétés, quels qu'elles soient, etc.

Page 32: Quels temps font-ils ?

Toujours ? Quoi qu'il en soit, ces phrases n'existent qu'entre matérialité et esprit, n'est-ce pas... ces choses que l'on assimile ou pas, tout simplement... où ici il est évident que les zones fronta-lières sont constructives : entre nos yeux et ses quelques mots, nous pouvons étendre ce concept à l'extrême : en causant du Vide, ce Vide qui n'est pas rien et où encore une fois tout est relatif...

Où bien entendu que nous sommes des histoires génétiques cellulaires, dans notre histoire organique, causant de concert de l'Histoire (avec un grand H), n'est-ce pas ?

Bien entendu que tout cela à chaque fois est un juste milieu entre rien et tout ?

Page 33: Quels temps font-ils ?

Psychologie :

Comment fonctionnent les pensées ?

Mon favoritisme sur le sujet est, il est vrai : les pensées sont en-

racinées en tous les êtres Vivants, que j’estime corrélés ; où le

poids des sociétés est écrasant (problème d’écologie, humains

et de crise qui est globale) ; bien-entendu que la majorité des

gens surnagent d’une façon qui m’est étrangère, et même cer-

taines masses minoritaires ou moins, car j’ai grandi toute mon

enfance en Afrique en tant qu’expatrié ! J’étais ébloui par ces so-

ciétés, cependant j’ai vécu une sorte de déchirure psycholo-

gique, de choc des civilisations, que j’ai très mal vécu vers 14 ans,

un âge critique sexuellement, enfin il y eu signes sur signes de

détresse de ma part, mais aucune réaction de mes parents ?

Alors que j’étais seul parmi les marées vivantes de l’école, j’ai

vécu une crise de larmes, me suis couché près de ma mère : pour

seul réponse - « qu’est-ce que tu fous là ? »

La petite mélodie de The Wall des Pink Floyd que je décrirais :

mélancolie mon amie ! Mais pire encore, aux origines la prof de

français m’aura orienté vers un travail de mairie à ma portée, dé-

nié purement et simplement par mes parents… Toujours ?

Bourré de coups de bottes en coups de bottes j’étais acculé de

culs de sacs en culs de sacs, sans en avoir conscience…

Maintenant j’ai 42 ans ; où je ne savais pas que parmi « tout se

dit », de « on » dits en « on » dits des gens s’entr’aperçoivent,

des milieux se conçoivent… Où « on » n’est pas si simple vu d’une

personne, ni si complexe (parfois) !

Page 34: Quels temps font-ils ?

L’Odyssée de Pi !

Si j'en suis là c'est pour avoir créé tout ce que j'ai pu créer autour

d'une personne aura eu confiance en moi, m'aura aimée un été

flamboyant ! Vous y entendrez ce que vous y entendrez, je n'ai

jamais eu de famille ; ils m'auront détruit de multiples fois, en-

core fallait-il en être conscient... Je pouvais toujours rêver, je

pouvais toujours rattraper les pots cassés, où du film : « L’Odys-

sée de Pi » je me souviendrais toute ma vie ‘d'une fleur de lotus

au milieu de la forêt’ : expression gestuelle de danse…

Page 35: Quels temps font-ils ?

Que voulez-vous que je vous dise ?

Si j'ai créé tout ce que j'ai créé, c'est pour donner un certain point

de vue sur ce qu'est l'infinitude...

Tu parais toujours aussi fraiche que la rosée matinale en ma mé-

moire, où : « La rosée résultante de cette nuit semble avoir trait

les étoiles, vidée de leurs scintillance ces regards du Ciel, servant

la Vie d'une coupe brisée » !

Page 36: Quels temps font-ils ?

Souvent ?

Le Chat de Gueluck

Souvent j’aime ce qui arrive de temps en temps, des moments

pas comme les autres, des moments dont l’on peut se servir pour

concevoir de petites histoires ; ces moment où nos pensées

coïncident avec ce qui se déroule autour de nous, qu’elles soient

exprimées ou pas, qu’il y ait une part de véracité en ces coïnci-

dences, ou pas… voyez-vous ?

Théoriquement des gens s’aiment pour ce genre de coïnci-

dences, pour presque rien, ou pour beaucoup, autrement-dit des

histoires qui se conçoivent ; dans la pratique des gens s’aiment

pour être des caractères compatibles !

Disons que pour moi ces histoires qui de remues méninges en

remues méninges me turlupinent, sont restées très légères et

superficielles !

Page 37: Quels temps font-ils ?

Un horizon de complexité ?

Bonne intuition du film « INTERSTELLAR », où le texte ci-dessous

date d’avant ma visualisation du film :

Cet horizon était, à peu près comme à chaque fois, ma vie, mais

derrière lequel j’ai toujours eu une lueur d’espoir d’y découvrir,

qui sait ? Une certaine vérité sur ce qu’est réellement la réalité,

une autre vie, une autre façon de voir ?

Cet horizon était une fuite éperdue parmi la série Champs Flam-

marion d’il y a là longtemps : mes sujets de prédilection étaient

les Origines de l’Univers… et de la Vie ; la création de la cons-

cience… dans l’ensemble ce qu’est la Vie dans la matière, et

toute l’Histoire avec un grand H qui vas avec… Bien entendu que

cette Histoire aux creux des livres au cœur du Monde vus de moi,

est toujours similaire, jamais vraiment identique !

Le malheur, comment dire ? Parmi ma recherche s’est insinuée

pas mal de psychologie, cette chose avec laquelle j’ai appris à

faire, aussi !

Page 38: Quels temps font-ils ?

Aux reflets d’une certaine réalité :

Le film : « La traversée », ici symbolisé…

Vu de moi, l’aube d’une page blanche est une promesse de lu-

mière, ambigüité dont mon choix pour le prosaïsme est aux re-

flets de ce temps qui me va si bien, d’un certain équilibre instable

autour des mots : « Ravie par la Vie et ses flux et reflux sanguins ?

Elle n’a de but autre que d’évoluer ! »

Ce temps qui voit en ce présent des ouvertures, des anfractuosi-

tés où le fluide subtil de l’inspiration s’insère, s’insinue avec la

vitesse grisante (plaisante, excitante), de la modernité…

Les fruits charnus du savoir,

Causer en cohérence, voit les perspectives individuelles s’ouvrir

de façon pas si simple, où l’Individu n’est pas rien, où la Vie pos-

sède un certain mordant parfois démesuré envers les petites

choses que nous sommes !

Des fois je le dis tout cru : « Je pense, parle et écris tout comme

certains calculent le chiffre Pi avec un nombre phénoménal de

décimales après la virgule. »

Page 39: Quels temps font-ils ?
Page 40: Quels temps font-ils ?

Un milieu où les ondes circulent…

Une galaxie en formation : agrégation des gaz autour d’un cœur

massif autour duquel graviter, qui d’agrégats en agrégats, une

kyrielle d’étoiles se formeront, une kyrielle de planètes aussi, où

l’ensemble est plus que la somme de ses parties, ce plus voyant

tout référentiels au centre de l’Univers, nous parle de liens de

façon surprenante et / ou moins ; nous sommes des mammi-

fères, voyant nos sens, notre conscience, être utiles à notre sur-

vie sur cette planète… (Arrangement ZEN) :

Page 41: Quels temps font-ils ?

Les zones frontalières ?

Cela me laisse un goût de rancœur dans la bouche, un goût dé-

plaisant, un arrière-goût comme l’on dit, de stabilité par trop dif-

ficilement accessible, où l’on peut toujours s’imaginer ce qui ne

s’écrit pas ? Ce qui ne se retourne pas ? Mais devant quoi ?

Tout ce que l’on vit, tout ce que l’on croise, tout ce que l’on ima-

gine peut s’écrire…

Là où l’âme, le corps, et la matière se croisent !

Si l’on en a le vœu, l’en soi et l’hors de soi n’est pas si simple

entre nous autres non plus ; vu d’ailleurs, vu d’ici, vu des uns et

des autres, rien n’est si simple ici-bas !

Au diable la violence et la haine, au diable la résultante !

Page 42: Quels temps font-ils ?

Tout ce qui fût écrit dans un but précis, améliorer la courbure de

mes pensées dans le but d’aimer, tout simplement ; où tout ce

qui est en moi, tout ce qui se sent en moi est un manque cruel

d’amour… alors au diable même ce manque cruel d’amour !

Voyez comment on en arrive là : avec un cœur soyeux qui s’en-

vole à petit feu ; il n’y a aucuns préjugés là-dedans : il y a là juste

l’histoire d’une certaine mémoire… Juste l’histoire d’une cer-

taine volonté : être aimé !

Où la seule leçon de Vie que je retienne, est :

Donnant donnant !

Page 43: Quels temps font-ils ?

De chemins en sentiers :

Cette créativité est enivrante, accueillante, fructifère, charnue,

surprenante… ce que nous devrions nous apporter l'un l'autre,

devrait-être énorme, non ? Mais tu sais je n'aime pas bousculer

les uns et les autres mais les enrober, comme la nuit embrasse

le jour et le jour embrasse la nuit... C'est comme une source de

lumière et une part d'ombre qui s'évade, s'évade et s'évade

vers une nouvelle journée ! J'ai besoin de vous voir, je sais c'est

vif, c'est clair, c'est même comment dire une nouvelle déchi-

rure dans ma vie, une déchirure qui m'apporterait je le dé-

couvre à l'instant un peu de feu pour éclairer mes nuits... Je

sais que tu t'y attendais, que tu me l’as même avancé comme

l'on cueille une pomme... un fruit défendu ; tout un ouvrage à

venir... c'est merveilleux, enfin ? Comme la fin d'une douleur

sereine, mais si douloureuse que j'en suis là moi aussi, un peu

comme une nouvelle naissance ; où j'estime les femmes êtres

Page 44: Quels temps font-ils ?

des héroïnes ! Soyons amis pour la vie, d'accords, je... l'amour

m'aura donné tant d'espoir et de rêve qui se sont vu méticu-

leusement détruits par mes parents, j'estime aimer la vie, j'es-

time aimer tout court, j'estime décemment, alors je (je ne

trouve pas les mots) mais je suis blessé au cœur de moi... juste

aimer et puis... renaitre ? Ce n'est pas concevable, non ? Com-

ment dire d'autre que j'ai besoin de délicatesse ? De temps

aussi alors que cette nostalgie naît si vite, non ? Nom de dieu !

Donc as-tu une réponse à mes questions : y a-t-il un après ? La

vie voit aussi ces moments difficile, de sérénité, où avant et

après : je crois que la réponse se situe en : c'est pareil et c'est

différent ! Enfin j’ai découverte au creux des mots une lueur

d'espoir qui laisse à rêver de s'il y a un après d’une façon autre.

C'est l'évidence que malgré le poids écrasant des sociétés (nous)

sur la biosphère, elle ne saurait vivre sans nous ni nous sans elle

(...) J'estime les êtres vivant êtres tous corrélés et même s'il est

vrais que c'est dur à voir, à apprécier, derrière son journal télé-

visé ou internet !

Page 45: Quels temps font-ils ?

Curieuse ?

© Loisel

La curiosité est un défaut relatif, et la relativité une qualité par-

ticulière :

La faute à pas de cul, qui dit Drü ?

Le fougueux je crois, cette petite bébête bleue dont la particula-

rité est d’être l’hôte de Pelisse, au cours d’une quête aux travers

de contrées infranchissables fantastiques, en quelque sorte à la

recherche de l’oiseau du temps : une sorte d’utopie je dirais, un

peu comme une recherche éternelle…

En voilà de la curiosité, comment dire ?

Débridée ?

Tout-à-fait…

Page 46: Quels temps font-ils ?

Alors je me demande ?

Je me demande seulement ce qui vaut réellement le coup sur

cette planète, l’innocence ?

Théoriquement nous la perdons bien vite notre innocence, dans

la pratique c’est beaucoup moins simple, car il y a là le vice qui

s’insinue, fuse et découvre des failles lui aussi ; autrement dit un

monde parfait il n’y aura jamais vraiment, voyez-vous ?

Alors j’ai opté pour ce qui m’aura semblé être l’essentiel, l’ex-

pressivité, soit-elle débridée, et combattre ce vice que je ne dé-

veloppe pas du tout…

Attention, je ne dis pas que je suis innocent, loin de là !

Mais je l’ai été si longtemps, beaucoup trop longtemps…

Page 47: Quels temps font-ils ?

El Che :

La révolution est intérieure, la révolution est expressive, la révo-

lution est présente, mais qu’est-elle réellement ? Elle est à l’évi-

dence des questions réponses induites vues de moi, c’est-à-dire

d’une imagination débridée, où la Vie à ce qu’elle veut ! Il est

bien joli de se dire que des idéaux ne riment à rien, émoi, émoi,

et moi ? Je suis un bien petit bonhomme parmi tout ce que j’ob-

serve, tout ce que je constate, tout ce que j’évalue, et puis ? Rien

n’est tout ! Où chacun son petit bonhomme de chemin en sentier

parmi l’histoire des uns et des autres !

Page 48: Quels temps font-ils ?

La Vie ?

Le temps n’est pas une rivière, le temps est dans la réalité, ce-

pendant il s’écoule, réalité en laquelle la conscience est quoi ?

Suffisamment étendue, vivace et réactive pour y développer de

multiples modes d’expressions et d’abstractions parlantes…

utiles… ou esthétiques…

Où l’essentiel est de participer à cette course entre le bien et le

mal… c’est une course souvent serrée où rien n’est joué

d’avance, où la Vie est un plat salé sucré que l’on apprécie con-

tinuellement, perpétuellement, et ce jusqu’au mot fin !

J’aime mes songes,

Où la musique est du mou, une ondine dans l’air du temps qui

passe, du temps qu’il fait… La musique plus l’on y porte atten-

tion, plus elle fait partie de nous ! ‘Symbolisme d’écriture musi-

cale, prosaïque’ :

Page 49: Quels temps font-ils ?

Aux Origines, l’Univers devait-être

emplit de points d’inter- rogations, à partir où des jeux d’efforts apparurent tout un tas de réponses

fut fourni, qui ?

Différèrent en cette complexité d’expression

qui caractérise les êtres que nous sommes

chacun au centre de cette chose étrange qu’est notre Monde… les Hébreux m’ont élevés ; c’était toute une af- faire, et les Grecs m’ont mis au Monde… et c’était tout…

Page 50: Quels temps font-ils ?

La conscience ?

Bien entendu, parmi « tout se dit »… de « on » dits en « on » dits,

des milieux se conçoivent, des gens s’entr’aperçoivent... Des

gens qui se lient et se délient comme les langues, où le ciel

gangue, si fine couche bleue enrobe le filon précieux qu’est le

Vivant : une réelle palette de nuances bleutées où tout à foncière

tendance à l’équilibre : la matière, la Vie, la conscience…

Image : CNRS

Une sorte d’induction conscientielle, ici devenue humaine ? Une

sorte d’attraction à l’élévation, étonnante sensation que celle de

hauteur, que de difficulté à y parvenir… toute une osmose entre

l’écriture et les formes, ou si le poète est un peu l’ombre des

mots, les mots sont un peu l’ombre du poète, aussi ! Pourquoi ?

Parce qu’ambigüité ? Relativité ? Oui :

Page 51: Quels temps font-ils ?

Allez savoir pourquoi ? Lorsque le livre s’est dénoué,

je lirais dans un Science & Vie !!!

Mais parmi tant d’autres articles ;

un sur la curiosité des mésanges ;

juste après j’en sauvais une de la

noyade en notre point d’eau !

Allez savoir pourquoi ?

Faire de la nécessité avec du

hasard, c’est la Vie vous allez dire.

Bien que le genre humain ait

4% de gènes, ou mots génétiques

différents depuis l’ancêtre commun

avec les singes… l’ADN est beaucoup

plus que ce que l’on croyait… étant et

pour chaque espèce ; toute une gram-

maire de gènes ; plus que des mots de

proche en loin identiques ; où chacune

l’écrit au cœur d’elle de façon relative.

Page 52: Quels temps font-ils ?

Mon Dieu, où te caches-tu ?

À l’évidence dans le bleuté du ciel ; où au cours des Temps cos-

mologiques, la matière, la Vie, la conscience, tout cela suivent

leurs propres chemins et sentiers, qui souvent sont lobés, biai-

sés, dans le but de parvenir à leurs fins ; où notre conception de

la réalité n’a de cesse d’évoluer…

Comment raconter ?

Au crépuscule, cette zone de pénombre précédente ou suivante

à la nuit, vu de créatures d’il y a là nuit des temps : comme les

limules, les iguanes, en bord d’Océan ; les nuages pourraient se

teinter de feu, une trainée d’apocalypse s’en suivre, fusant dans

le ciel ; vers une extinction de masse d’il y a la nuit des temps…

sauf que n’est là qu’une appréciation, qu’un référentiel qui dif-

fère en un pas de plus vers l’espace, vu d’une plage de Kourou

en Guyane française !

Page 53: Quels temps font-ils ?

Il y a là une époque pour tout,

Il est bien facile de couper coller de bien belles doctrines miracles

pour parler des réseaux sociaux, mais le sens de l'évolution ne

changera pas de sitôt, ne croyez pas que je me dore le blason,

l'évolution se conçoit par l'amélioration du substrat (sociétaire

pour l'être humain) ; où les grandes extinctions ne se voient pas

à la racine du sujet…

Savez-vous que l'innocence, si vous me trouvez bête, existe ?

Voire même adulte et quel que soit notre souffrance intérieure,

le fait de ne pouvoir faire de mal à personne... Ensuite ?

Quelqu’un aura eu confiance en moi, m’aura aimé, une fois !

Après cet été flamboyant, je me suis mis à écrire vraiment, seu-

lement cela aura pris bien plus de 10 années pour parvenir à

quelque chose dont je me demanderais toujours la source, autre

que la créativité ? Un beau jour j'avais deux cœurs à porter un

été flamboyant, un qui battait pour moi : Giselle Chiari italienne,

prononcez « Kiari », et l'autre, sa fillette d'alors deux ans, elle qui

ne devais pas croire n'importe quoi : elle avait un père qui l'ai-

mait et qu'elle aimait… car ça comprend vite ces choses-là !

À c’t’heure, nous vivons une période critique, faire progresser

l'information vu de chacun de nous ; ici essentiellement vu de

moi les personnes à problèmes, histoire d'une meilleur empathie

avec le sujet, font progresser les choses : où mes psychiatres ré-

férents en la littérature sont : Boris Cyrulnik et Carl Gustav Jung

‘proches l'un et l'autre de mes problèmes, voyez ?’ Je ne suis pas

simple à cerner, à appréhender, et cependant la Vie à ce qu'elle

veut, non ? Comment aller à l'encontre ?

Page 54: Quels temps font-ils ?
Page 55: Quels temps font-ils ?

Voyez-là de la relativité : Voyez-là en ces écrits une sorte d’« In memoriam au World

Trade Center », (cela m'est arrivé de nommer cela de la sorte),

et une mémoire pour Giselle Chiari (italienne, prononcez Kiari)

et moi : mais c'est vrais au vu de mon vécu j'étais comment dire ?

Dans un carcan psychologique et n'avais pas les bonnes ré-

ponses à ce qu'est cette vie concrètement, par exemple : « elle

s'apprécie continuellement perpétuellement, comme un plat

salé sucré ! » S'il m'arrive rarement de nommer Bob Dylan :

Bobby Dylan, c'est pour qui sait ? Des tournures du genre « Rêve

de fleurs et bois en moi, papillon ! »

Page 56: Quels temps font-ils ?
Page 57: Quels temps font-ils ?

Il faut que ça fuse :

L'écriture est histoire de temps psychologique qu’il fait, du

temps psychologique qui passe, ces avaleurs de mots ; où la va-

leur des mots, elle, ne se nommerait-elle pas : le prosaïsme ?

Film : « L’Odyssée de Pi » ! Où une baleine s’en donne à cœur

joie parmi les marées luminescentes, (ce qui existerais, source :

Science & Vie), entre rêve, délire et réalité ; la moralité du film

est : qu’est l’essence de Dieu ?

Page 58: Quels temps font-ils ?

Le fait de se battre ?

En gardant le sourire ne rentre pas dans la catégorie mes parents

(excusez-moi je reviens à mes problème) : ils sont inactifs depuis

près de 30 ans et ne s'occuperaient de moi pour rien au monde,

de plus, ils n'ont que des gribouillis dans la tête, et n'entendent

que la haine, envers l’indien parmi les Océans du vide, que je suis

resté beaucoup trop longtemps, et tout cela histoire qu’ils aient

la conscience tranquille au creux de ce navire fier comme un con-

tinent… Où la cuisine végétalienne de Pi, se fera avec ou sans

moi : Depardieu est la seule personnalité que j'ai vue en Saint-

Rémy-de-Provence : le voilà de façon éphémère aux creux d'un

film qui me parle des plus : « L'Odyssée de Pi » !

« Sens / non-sens ? » Là ne se situe pas le livre « Aux contraires »

de Jean-Marc Lévy-Leblond, mais le côté résurgence de la

chose ; à savoir un style d’écriture cela s’acquière, se travaille,

où parfois oui, l’art est dépassé… pas moins il y a là une justice !

Page 59: Quels temps font-ils ?

Au début, Richard,

Avec tout le flegme et l'humour anglais, marié avec Henriette,

Canadienne (ils habitent à Québec), ont travaillé un temps en

Inde aussi : il déconnait avec ses cigarettes : « mon fils est marié

avec une amérindienne, bientôt j'aurais les cigarettes hors

taxes » (…) entre temps, il a contracté le cancer : les derniers

échanges entre nous, vu de moi, sont : - « moi aussi je déconne

avec ça : une cigarette m'inspire, me regarde ; ces non-sens en

quelque sorte… et puis l'on n’en décroche plus ! » Alors il m'aura

avoué fumer un peu encore, visiblement pour sa chimiothérapie,

voyez ? Richard Brown est ami de mes parents !

Voyez là sur la centrale de Cruas, une peinture à laquelle j’iden-

tifie beaucoup nos châteaux de sables, souvent fait par mon

père, des châteaux qui étaient continuellement effacés par les

vagues à la marée montante, soit par les vagues… Coquille

Saint-Jacques ? Hm ! Mon cul oui ! Mon père s’appelle Jacques !

Page 60: Quels temps font-ils ?

Mais ce n'est pas tout,

J’ai une vie, un combat aussi (...) et c'est le combat d'une vie si

toute fois il faut qu'il y ait résilience... envers des gens tels mes

parents ce qui n'est pas si simple vu d'ici où l'on ne dissocie pas

l'histoire du petit blanc qui l'a fait pour, etc… et le petit noir est

une chose à laquelle je m'identifie, alors que ? Vu d’il y a 15 km

d'ici il y a là le Belge (mon père) et le petit, (moi) : (SVP ne vous

embrouillez pas les oranges mal pressées et les yeux brouillés par

le sommeil), hein ? Cela me parle de « L'étoffe de l'Univers d'An-

drée Chedid » ; grand-mère de M, ce qui cause sur l'Égypte, ses

cars mitraillés, et ses voyages à des prix défiant toutes concur-

rences, ou / alors : « l'on rencontre des gens de la pire espèce ! »

(Ce n’est pas moi qui l’invente mais les textes qui le disent) ! Mes

parents n’ont pas hésités à jouer de ce jeu avec tout ce qui leurs

cours dans la tête, ‘nous verrons’ !

Je situe là une femme en particulier, ou / alors : finalement nous

nous apercevons en être là nous aussi, après quoi ? L’on a moyen

de s’en sortir que par soi-même !

Page 61: Quels temps font-ils ?

La croisée des chemins,

Moralité de l'histoire : La tour de Babel était supposée toucher

le Ciel, de quelle sorte ? En contenant tous les livres qui peuvent

s'écrire, autrement dit : tout livre complète un autre, tout livre

contredit un autre, etc. autrement dit : aucun livre n'est le

même, ce qui se voit être un peu l'origine des langues, mais en-

core de la débâcle que cela entraina depuis plus de 2000 ans...

Où : « la terre ayant été repeuplée après le Déluge, les hommes

s’arrêtent dans la vallée de Sennar pour édifier une tour dont le

sommet atteint les cieux. Dieu interrompt leur projet en brouil-

lant leur langage, uni jusque-là, et les disperse à la surface de la

Terre ».

La tour de Babel est aussi un symbolisme où la pensée se conçoit

de façon sociale, intelligente, abstraite, il y a là aussi confronta-

tions induites…

Page 62: Quels temps font-ils ?

Le tigre du Bengale :

Il n’y a pas tant de temps, moi au mieux de ma forme et emplis

d’espoir, ce tigre était splendide ! Où la part de délire dans ce

film exprimant la dualité : le bien / le mal ; est représenté en

cette îlot flottant, à l’image du jour et de la nuit… La journée est

splendide, merveilleuse, emplie de trésors, alors que la nuit l’eau

douce devient acide, les suricates disparaissent dans les

arbres ??? Enfin ? L’îlot est un peu aux reflets d’une femme...

Page 63: Quels temps font-ils ?

Voyez-là cette fleur de lotus au milieu de la forêt :

Page 64: Quels temps font-ils ?

Une bonne leçon de Bouddhisme, de ce point safran au milieu du front :

Je crois comprendre qu’il faudrait que vous vous disiez que cette

danse des acquis aux pleines couleurs de l’esprit, s’appelant les

chromosomes, donne un sens à la Vie… Un peu comme : ce

monde qui de causes en effets nous conçoit en tant qu’être, ce

monde qui de causes en effets nous forge une conscience…

Je pense que tu vois ce que je signifie ?

Bien entendu que cela vit, où la respiration est le berceau du

rythme, le premier battement que l’on entend est le cœur, et la

première lumière qui nous est donné de voir, est le monde cette

chose étrange à la fin…

C’est beau l’Inde !

Page 65: Quels temps font-ils ?

« L’être et le paraître »

Est une histoire qui commence en famille, et qui finit mal par-

fois… Il est : le premier anal de psychiatrie à lire un peu comme :

« lit dans ton livre » est une expression canadienne, mais sur-

tout : à extrapoler…

Où bien entendu le cerveau se conçoit de façon sociale, où bien

entendu un beau jour nous percevons la Vie telle qu’elle est,

c’est-à-dire qu’alors l’en soit et l’hors de soi ne sont plus si

simple, où un certain paraître en découle sur les uns et les autres,

et où parmi « tout se dit » : on n’est pas tenu de croire ce qu’il

paraît : ‘vois-là cette leçon’…

Page 66: Quels temps font-ils ?

Qu’en reste-t-il ?

Tu sais, belle note ?

S’il existe des points de non-retour, il ne s’agit pas de moi, et s’il

existe des points de ruptures psychologiques, (qui vus de moi

sont non souhaités) ; ensuite des gens comme Boris Cyrulnik

abordent le sujet aussi de capacités qui dépassent celles d’un

seul cerveau, peut-être est-ce histoire de rattraper les pots cas-

sés, vus des uns et des autres ; ce qui est catastrophique seule-

ment ? Est de réaliser qu’il y a des milieux desquels on ne sort

pas si simplement du tout, voyez-vous ?

Mélodia drammatica :

L'avant et l'après ? Qu’en pensez-vous ?

Tout cela s'écoule de mes mains réunies en récipient alors que

j'y bois quelques goulées : les femmes et leurs pouvoirs ? Éthé-

rées, libre pensantes, ondulantes tel la flamme... Que ne ferait-

on pas au nom des femmes ?

Ma petite personne aura écrit à la déraison, peut-être autour de

nos cœurs perdus, de nos cœurs qui se sont petit à petit noyés,

et qui est responsable ?

Je n'y vois que deux vies détruites pour la vie, je n'y vois que cha-

cun ses desseins, et sa mémoire où avec beaucoup de temps j'en

suis ici au présent avec Giselle Chiari et Léa, ainsi qu’avec Frédé-

rique, Carine, Éric, Cécile et Antoine :

Page 67: Quels temps font-ils ?

Mon étoile filante ?

Que dire ; que méritions-nous ?

Que dire ? Mon étoile filante !!!

Hormis :

Ce que j’aurais aimé verser, mes

Larmes de sel et de sang, devant

Cette femme ayant été mienne ;

J’ai un cœur gros comme :

Planète Terre !

Hormis :

Tu fais partie du passé, ma belle

Souvenue, en vrais sans savoir ?

Je t’ai sur le cœur tu y resteras ;

Longtemps, toujours… qui sait ?

Bonne mère je t’aime, je te hais

Je ne sais pas, je ne sais plus du

Tout quoi faire, hormis !!!

Crier ma détresse,

Moi aussi.

Page 68: Quels temps font-ils ?

Encore ?

Je crois encore en le concept de neurones miroirs de Boris Cyrul-

nik : où notre cerveau fonctionne toujours à flux tendus, où nous

sommes tous à la recherche de notre reflet en tant que mammi-

fère social…

Vu de moi,

Les mots créent des fleurs élaborées se formant et se reformant,

l’ensemble se dissipant dans la ramure de l’écriture, où les mots

parfois deviennent étonnant référentiels, là se situe une lueur

d’espoir de l’autre côté d’un horizon de complexité, où les mots

se voient êtres inducteurs de Vie !

La réalité,

La réalité se dérobe continuellement, perpétuellement à nos

pieds sous nos avances, voyez ? C’est joliment dit, c’est sans fond

n’est-ce pas ? C’est l’ambiguïté-même d’une danse des acquis

aux pleines couleurs de l’esprit ? Cette parure se voit à l'origine

de toute création, il y a là Orphée précédente à Morphée la

déesse du sommeil, donc Orphée, lorsqu’elle ouvra un œil : Les

dieux apparurent, et puis les hommes et l’Histoire avec…

Page 69: Quels temps font-ils ?

Pourquoi autant de temps pour des choses aussi futiles ?

Page 70: Quels temps font-ils ?

Les oiseaux de nuits,

Alors que les oiseaux de nuit

Voyaient poindre la fin

De leurs parades matinales de printemps,

Une matinée morose s’est empourprée,

Suivie de bleutés profonds,

Et puis les fines larmes de brumes aidant

Les couleurs se sont réchauffées progressivement…

Une fine lueur d’espoir d’une journée radieuse ?

Souvenir de ce temps qui me va si bien,

Où le goût d’une de tes larmes sur tes lèvres…

M’ont fait songer à un plat salé sucré, celui de la Vie !

Film : I Origins, (fiction spirituelle), ici une recherche méthodique

et spirituelle du faciès de Dieu !

Page 71: Quels temps font-ils ?

Elsa :

Physiologiquement est très semblable à cette héroïne, psycholo-

giquement encore où son caractère est tel qu'elle me connaissait

parfaitement ; mais encore ? Il y a là une quête de vérité de façon

fondée de ma part, et une recherche du visage de Dieu d’après

elle… ce qui découle de nos relations ? Un dessin de sa main sur

mes conseils d’aiguillons de rosier, d’une fleur qui ne se dit pas,

et pourquoi pas : une plume ?

Page 72: Quels temps font-ils ?

Il y a là une évidence :

L’évidence, est qu’elle souhaitait le fin mot de l’histoire, et elle

l’a bien, il peut vu de nous se résumer à comment rentre-t-on

dans la danse ? Plus nous regardons loin dans le ciel, au-delà de

notre étoile, vers l’infiniment grand, là nous nous approchons

d’un certains fossile des Origines Universelles !

Et plus nous regardons en profondeur, en-deçà des belles de

printemps, vers l’infiniment petit, là nous nous approchons

d’énergies des Origines de l’Univers !

Et tout cela s’étends et évolue avec nos conceptions de la réalité,

sans que personne n’aurait jamais le fin mot de l’Histoire, sinon

à quoi bon vivre de générations en générations ?

Page 73: Quels temps font-ils ?

C'est une chose étrange

à la fin que le monde :

Est un roman de Jean d'Ormesson publié le 23 août 2010 aux éditions Robert Laffont. Le titre de l'œuvre provient d'un des vers du poème du même nom d'Aragon, ancien ami de Jean d'Ormes-son que ce dernier avait essayé de faire entrer à l’Académie fran-çaise. Le vers suivant du poème, « Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit », constitue le titre d'un autre roman publié par l'auteur en 2013.

Résumé : Qu’est donc la vie ? D’où provient-elle ? A-t-elle un sens ? Com-

ment se fait-il qu’il y ait un Tout et non un rien ? Comment fonc-

tionne ce Tout qu’est l’Univers ? Est-il permis d’espérer Dieu ?

Est-il permis d’espérer à un autre Tout après la mort ? Voici les

principales questions que les philosophes, les mathématiciens,

les scientifiques, l’Homme, se posent depuis trois mille ans. Ces

mystères sont passés par la théorie des quanta, par la loupe des

philosophes grecs, par les microscopes intellectuels de Darwin,

Planck, Newton et bien d’autres. Depuis quelques siècles, les

idées et les découvertes s’accélèrent. La raison et ces puissants

alliés que sont la science, les chiffres et la technique gagnent en

puissance, semblant reléguer l’image divine à la place d’une im-

pératrice détrônée, d’une puissance déchue. Jean d’Ormesson

nous propose alors, avec ses mots et sa gaité rigoureuse, de se

pencher à nouveau sur ces questions, mais d’une manière nou-

velle. C’est une nouvelle histoire de la philosophie, une histoire

abordée de façon neuve au lecteur, un chapitre du grand roman

fabuleux de la Vie, de l’Univers et surtout des Hommes.

Page 74: Quels temps font-ils ?

Milo de Manara :

Page 75: Quels temps font-ils ?

Sens dessus dessous :

© Milo de Manara !

Page 76: Quels temps font-ils ?
Page 77: Quels temps font-ils ?

Voyez-là de la relativité : Les Islandaises à gorge déployée contre la censure :

Personnellement j'ai l'esprit plutôt féminin, où j'ai découvert le

machisme spontané contenu en la langue française qui est la

mienne ! Cela m'a mené de façon intuitive, à me souvenir de la

première femme à s'envoler dans l'espace, et me dire que ce

genre de jeux de tentions et d'efforts contenus (hormis quelques

exceptions archaïques, les matriarcats) parmi les langues du

monde ! De façon intuitive donc, j’ai vus ces jeux de tensions et

d’efforts socioculturels êtres à la source de l'accident qui eut lieu

(où il y a une part de vérité en tout), s'appelant : la raison !

Page 78: Quels temps font-ils ?
Page 79: Quels temps font-ils ?

‘Le monde est stone’ :

J’ai la tête qui éclate,

Je voudrais seulement dormir,

M’étendre sur l’asphalte

Et me laisser mourir,

Stone,

Le monde est stone,

Je cherche le soleil

Au milieu de la nuit,

Au milieu de ma nuit,

Je sais pas si c’est la terre

Qui tourne à l’envers,

Ou bien si c’est moi,

Qui m’ fait du cinéma,

Qui me fait mon cinéma,

J’ai plus envie de me battre,

J’ai plus envie de courir,

Comme tous ces automates

Qui bâtissent des empires,

Que le vent peut détruire,

Comme des châteaux de cartes,

Laissez-moi-me

Débattre,

Venez pas m’secourir,

Venez plutôt m’abattre,

Pour m’empêcher de souffrir…

Page 80: Quels temps font-ils ?

Une femme presque comme une autre :

J’aime bien quand vous travaillez, c’est somme une induction,

comme un vent portant, comment dire ? Que ne porte-t-il pas ?

Page 81: Quels temps font-ils ?

Je sais que tu habites en pays de trolls et de lutins, de fées aussi

alors cela ne me surprends pas que cette main dans la main, que

cette compassion envers ta créativité ; j’aime beaucoup ! Car

comment peut-on ne pas être fasciné par ce que l’on fait, com-

ment peut-on ne pas y prêter toute son empathie parmi tout ça

tout ça ? Le recueillement devant un certain Bouddha m’avait

fasciné aussi ; te souviens-tu ?

Delpin Nolwenn

Le résultat est surprenant, on dirait comment dire ? Alors que je

pensais que c'était une effigie de Bouddha, ce n’est pas si simple,

comment dire qu'un recueillement, non ?

J’entends bien que ton style musical soit, comment dire ? Faisant

partie de toi, un peu 68, etc. tout à fait, pas du tout, un peu, non ?

Moi j’aime bien Maxime le Forestier en 68, il faisait des choses

plus contées que chantées, et très alambiquées ! Pas concep-

tuelles pour autant !

Page 82: Quels temps font-ils ?

Le feu & l’eau :

Les songes, les pensées, les réflexions ; sont à l’image du mouve-

menté du feu et ses éclats de sève, sont à l’image de la constance

des remous de l’eau dû au lit du torrent… Dans l’ensemble les

opposées s’attirent, autant que ce qui se ressemble s’assemble…

Où chacun sa part de masculinité, tel le feu, et de féminité, tel

l’eau ; cette ambiguïté génétique mène un beau-jour à une vraie

tornade hormonale menant à la puberté…

La combustion lente du Vivant, n’est-elle pas l’essentiel ?

Page 83: Quels temps font-ils ?

Une danse des acquis aux pleines couleurs de l'esprit ; cette

phrase fait songer à de multiples allusions, mais encore ?

Aux chromosomes, à la source de l'embryogénèse, c’est-à-dire ?

Au rêve de plénitude de maman !

Ensuite ? Aux rêves de plénitudes de bébé…

Page 84: Quels temps font-ils ?

Parmi tout s’écrit

En un instant furent écrits des mots Universels,

En un moment, furent écrits des mots de Vie Terrestres,

Un autre jour furent écrit des mots d'Amour,

Encore furent écrits des mots pour une belle,

Une belle aux feulements féline,

Une belle aux mouvements fauves,

Toujours furent écrits des mots de nos mains,

Des mots qui furent écrits la veille,

Et parmi tout s'écrit, un recueil voit le jour !

Page 85: Quels temps font-ils ?

Le petit village de Pinol

Un endroit où l’on fait des mômes.

Le village de Pinol, en Haute-Loire,

où j’adore les loirs l’on prendra les

enfants par les mains et l’on fera

des glissades sur les fesses !

Où il y a une mine d’Or

dans le fond de

ce vallon !

Où la nature est reine où les aléas

singuliers me font me demander ?

Page 86: Quels temps font-ils ?

Une petite cause induit de grands effets :

C’est étonnant ce que peut devenir que rattraper les pots cassés,

c’est vrais à la fin… Si j’en suis là à écrire des petites phrasettes,

histoire de délicatesse, histoire noire peut-être, histoire d’être

avant tout ; être est faire, faire est participer, participer est être,

tout simplement ! Est-ce un excès de logique ? Ben justement là

est ma façon d’être, mon paraître, je veux bien est en peau de

banane, mais s’élève aussi encore et encore… Mes racines per-

dues en quelque sorte, je les retrouve en ces mots qui sont

miens, étonnantes racines, étonnante mémoire d’un peuple au

creux, enfin vu de moi, c’est-à-dire pas grand-chose !

Ensuite ? Il y a des gens ont des feuilles vont ou parcourent leurs

jardins jusqu’au bout presque, et tout simplement pour évaluer,

donner une idée de la distance des planètes avec le soleil ! Le

soleil cet astre, notre étoile, qui est énorme à côté de quelque

planète que ce soit ; et tout ce qui tournoie autour danse un peu ;

« on » se souviendra de la pub « Les planètes » de Perrier : « Say

on the sing, i’m a sex machine » ; enfin vive les capsules, les vieux

disques, la poussière, et ? Le Oulla-Hop interstellaire, ouaiiiiip !

Un jour je comprendrais, d’ailleurs ne comprends-je pas déjà

cette chose qui est le savoir, devient déjà des légendes, les lé-

gendes modernes sont les films, mais bien-entendu les films, la

musique, etc. avec une moralité, une philosophie de fond, enfin

toute une affaire et toute une histoire comme l’on dit !

Enfin comment expliquer que la télé courante ce n’est pas mon

pied, que les films que je regarde me collent à la peau en quelque

Page 87: Quels temps font-ils ?

sorte, c’est une nécessité pour moi que d’avoir mes données,

elles sont une induction indéniable, et même le côté financier,

j’entends payer ses médiats y participe ; d’ailleurs je participe

moi aussi d’une façon étonnante, d’une façon… enfin ce sont

mes convictions, mes évidences, mes certitudes…

J’ai bien aimé une émission télévisuelle il y a pas tant de temps

que ça : « Les sorcières en herbe du Val de Lêche » où la vie est

autre parmi de grands espaces, les gens se côtoient de façons

différentes, s’apprécient de façons différentes : enfin ce sont des

pays presque vierges : des montagnes, des prairies en plein mi-

lieu de l’été… et puis de petits jardins de ces gens du froid habi-

tuellement, voilà !

Enfin la moralité de l’histoire est en quelque sorte l’herbe des

femmes, c’est une herbe comme une autre presque, mais il y a

là un petit jeu : la feuilles recueille la rosée, et où il s’agit pour les

enfants de boire cette rosée au creux de cette herbe miracle où

les histoires autour sont : « ce qui ne s’apprends pas jeune ne

s’apprends jamais ! »

Émoi émoi et moi ? Je vois tout cela de : « loin » !

Page 88: Quels temps font-ils ?
Page 89: Quels temps font-ils ?

La moins belle histoire ? Oui, les réseaux sociaux sont une sorte de recherche comme il

s'est trouvé souvent, depuis certain croquis (qui ne rimaient à

rien) jusqu'à, comment dire ? Des choses beaucoup plus fondées

(où je rajouterais mon propre grain de sel : (cette danse des

chromosomes : donne n'importe quoi comme résultat : c'est à

dire êtres vivant / humains, et quelque soient les racines) ! Mais

il est vrais, qu'en termes d'être en lui-même, collecter des infos

parfois sauve, (mais rapporte quoi envers des êtres incrédules) ?

Qui savent jongler entre différentes façon de procéder ? (Per-

sonnellement je me souviendrais toujours d'un mafioso dans sa

cabane, sans télé, sans rien, sans même machine à laver ! Il fut

arrêté pour avoir laissé une lettre dans son sac de linge sale (à

laver)) ; où le côté cartésien (enfin la police quoi), est une chose

en laquelle les faits priment ; (histoire de parents sans scrupules

aucuns, je fais en partie partie de la psychiatrie) : ce n'est pas

catastrophique, mais il aura fallu tellement de temps pour que

cette histoire évolue : qu'il m'est difficile de ne pas utiliser le mot

‘autisme’ et à la fois de créer !

Page 90: Quels temps font-ils ?
Page 91: Quels temps font-ils ?

Mon retour fracassant en Europe ?

Je commence à beaucoup trop comprendre cette machinerie

qu’est le Luxembourg, mais pas que : autour d’une roue de sa

démesure enrayée depuis près de 30 ans !

À commencer par j’ai toujours été ce que je décrirais au présent :

une petite coquille de noix, fermé sur moi-même et sincère…

Nous avions grandis en Afrique (ma sœur est de deux ans mon

ainée) ; jusqu’à 14 ans car la mission-laïque s’arrêtait en 4ème !

Alors que nous étions de retour définitif d’Afrique, il y eut tout

un tas de signaux de ma part : comme une petite mélodie mé-

lancolique au possible (l’intro et le final d’une cassette des Pink

Floyd : The Wall) ! Fredonnée continuellement…

Comme le livre de Jean d’Ormesson où il aborde le sujet de

Mourmansk, cette base de sous-marins nucléaires en Russie, qui

ne demandent qu’à crever et déverser leur poison nucléaire dans

les Océan de la planète… parmi tant de superficialités que cela

me toucha : un soir j’ai eu une crise de larmes moi qui était seul

parmi les marées vivantes de l’école en 3ème, alors je me suis mis

dans le lit de mes parents pour pleurer, et oui vers 14 ans ; seule

réaction : - « qu’est-ce que tu fous là ? »

Il est évident que la pédopsychiatrie, voire psychanalyse s’impo-

sait ; Frédérique, un médecin faisant partie intégrante de la fa-

mille aura dit à mon père : « ton fils a de sérieux problèmes de

communication », et pas de réactions encore une fois…

(Ca aussi, je l’aurais appris très tard)…

Page 92: Quels temps font-ils ?

J’ai redoublé la 3ème et parmi cela je me souviens que de deux

noms : Jérôme et Nassima ; vous imaginez l’échange que je pou-

vais avoir ?

Nassima je lui écrivais de petits mots très forts en goût, et Jérôme

est venu une fois chez moi...

Alors la prof de français m’aura orienté à la sortie de la 3ème vers

un petit boulot à ma portée : bien entendu ? Mes parents

m’avaient dessinés un avenir vernis (au point où nous en

sommes caricaturons : ‘l’Afrique c’est chic’, l’électrotechnique te

permettra de réussir. Je me suis rendu à la mairie, où un adjoint

m’aura proposé ce boulot, l’évidence est que cela me convenais

mais que je parlais aussi de cette formation en électrotech-

nique…

Alors de retour chez moi, vous entendez bien qu’ils étaient les

seuls personnes sur lesquelles je pouvais m’appuyer, ici ; alors

j’ai posé à mon père la question la plus pertinente qui me vint à

l’esprit : « qui a parlé, nous qui sommes seuls parmi tous ces

gens ? » Mais sa seule réaction fut, récapitulons : « l’Afrique c’est

chic » !

Ici nous sommes au début d’une déconstruction progressive et

méticuleuse de ma personne ! (88/89)…

Alors j’avais 15-16 ans et je me noyais dans la série Champs Flam-

marion à partir du livre :

« Le Quark et le Jaguar »…

L’écriture s’imposait de plus !

Page 93: Quels temps font-ils ?

Vu de moi…

… le problème est catastrophique : je me suis retrouvé dans la

gratuité de la chose (ce qui m'est arrivé de décrire le trou du cul

de la psychiatrie au vu des moyens de mes parents, en parlant

de l'organisme : le secteur arlésien) ! Je ne suis toujours pas dia-

gnostiqué, et pourtant c'est si simple, pour que je vive un point

de rupture psychologique, ils m’auront remis sous neurolepti-

cons, (comme je dis parfois) ; ce n'est pas surprenant que je pre-

nais mon cinéma intérieur pour des vérités... histoire de ? Méri-

ter une place dans ces putains (désolé ici nous sommes en Pro-

vence) d'appartements thérapeutiques, où je ne pose pas tant

de questions que cela, le gros, le sérieux problème était d'être

aux côtés de mes parents... ce que j'ai dit quelques fois, proba-

blement trop bas pour qu'ils m'entendent, ces psychiatres...

(Précision : tout à fait comme mes parents) !

Maintenant je suis à la recherche d'un appart à moi et d'un peu

de vie tant méritée...

Comment dire ?

Hm ? Difficile de parler de ? Vas et de viens ? Des uns et des

autres ? Alors que, comment ai-je eu en tant qu'autiste (ce qui

semble dur à déceler au présent) ; évidement que voulez-vous

que je vous dise ? Que j'ai vécu une violence psychologique fon-

cière (parlons plutôt de véritable lynchage psychologique) :

Comment en suis-je venu à vivre parmi un sarkozyste (en appa-

rence 100% pur et dur) qui en fait est depuis une 30aine d'an-

nées le cul dans le beurre plein aux as, la faute à pas de couilles

tel que s'en est inconcevable ?

Page 94: Quels temps font-ils ?

En commençant à m'exprimer sur moi tel que je suis : 0 dégâts

mon cul oui...

En venir ensuite à Shine Shine on You'r Crazy Diana (déviation de

P.U.L.S.E des Pink Floyd) pour quelles raisons ? Lady Di s'était pris

un pilier à 200 Km/h sur le périf parisien, et le premier politicien

qui ramena sa fraise : 0 dégâts cela n'existe pas (ce que je nomme

un mur médiatique).

Vous pouvez vérifier cela ne se trouve plus sur les émissions qui

persistent sur la toile, mais pas moins l'objectif pour le peuple,

lui existe, (et le paparazzi aussi) !

Si toute fois je manquais de faits concrets parmi cette psychia-

trie, des mots que j'avais à la bouche sont : « Je me sais sain mal-

gré tout », « c'est ce que j'ai en moi qui vous dérange ? » etc.

Il m'aura fallu une 10 aine d'années (ne mégottons pas) de psy-

chiatrie, après avoir vécu un été flamboyant, en me ré-effon-

drant à base d’au début tout ce que demandait mon père pour

parler pervers narcissiques « tu fais semblant d'être propre »,

« tu fais semblant d'être bien », etc.

Et puis à petit feu (après avoir abordé la psychiatrie) et arrêté en

quelque sorte : Christian Priac infirmier, autrement dit vu de mon

père : les couilles à mon psychiatre : Mr Jean Luc Vurpas ; est

arrivé avec un super truc qui rends maboule et des docteurs ma-

boule je vous en réinventerais pas :

(Précision : je ne suis toujours pas diagnostiqué alors que je sais

parfaitement, voire même de façon poussée ce qu'est l'autisme

(sans jamais avoir lu un livre sur l'autisme) !

Page 95: Quels temps font-ils ?
Page 96: Quels temps font-ils ?

Déduction : Comment est fait « on » ? « On » est l'Individu, une chose indis-

sociable faite de vas et de viens, que je nomme un certain fluide

de la pensée consensuelle, l'inspiration : des fois je l'imagine ce

présent voir des failles, des brèches s'ouvrir, en lesquels nous dé-

couvrons des opportunités, une source d'inspiration, alors que ?

Rien n'est si simple, encore une fois, et pourtant tout ce que l'on

te prend, tu ne peux que te le rendre par toi-même... Où donnant

donnant est la seule leçon de Vie que je retienne...

Et ce plutôt musicale : Acoustic Shapes ; Jazz ; Hubert Nuss /

Sayd Goodbye To Useless ; Electronica ; Deru…

Page 97: Quels temps font-ils ?
Page 98: Quels temps font-ils ?

I Origins ?

C’est étonnant, Elsa Chevrier très similaire en esprit et en appa-

rence, à cette héroïne quelque-part, je l’aie vécu aux Sophoras,

en Nîmes !

L’homme est-il un singe devenu fou ? Certain abordent le sujet

que l’origine de la conscience est, qui sait ? Les hallucinogènes…

je n’irais pas si loin, mais de causes en raisons à tout, ils font par-

tie du décor vu de certains, vu de certains calligrammes aussi ;

que dire de plus ?

« L’homme est-il un singe devenu fous » me fait songer encore à

un mur que m’aura fait prendre mon père bien qu’en mon moi

intérieur je le savais, nous avons vu des gorilles en Guinée Cona-

kry, vus du siège minier de Sangarédi, la raffinerie à Camsar, avec

les minéraliers qui chargeaient près des côtes avec un tapis rou-

lants transportant le minerai raffiné de bauxite (voilà si vous vou-

lez la géolocalisation) ensuite ?

Page 99: Quels temps font-ils ?

Mon père m’aura affirmé : « ce sont des chimpanzés, ils peuvent

devenirs si gros ! » Chose que je n’ai jamais gobée, voire même

exprimée en Afrique, ici devant des documentaires, etc.

Et si vous voulez vous renseigner sur la présence de bambous en

Guinée, regardez : les chutes du Voile de la Mariée (où il n’y a

que ça, des bambous) !

Bien entendu vu de moi, que puis-je crier plus fort qu’un lyn-

chage psychologique :

(Chose non répertoriée bien qu’il se trouve de la violence psy-

chologique (envers les enfants aussi ; où réaliser à l’âge adulte

existe bel et bien)) !

J’aime ces perles bleutées en ses tresses !

Page 100: Quels temps font-ils ?

Athéologie,

Athéologie est un néologisme entre athées et théologie, athées

est l’ensemble des êtres non croyants, et les théologies traitent

des ensembles complexes des croyances, d’où l’athéologie est

une philosophie qui traite de façon détachée et constructive sur

un peu toutes les croyances !

Dans le fait il ne s’agit ici que de mon petit bonhomme de che-

mins en sentiers, aux creux des livres au cœur du monde, ceux

de savoir ; où je ne me situe pas du tout comme une personne

traitant des religions des uns et des autres, mais y appose mon

grain de sel : où en ce recueil il existe des curiosités littéraires,

des phénomènes d’émergences, en lesquels il est fort possible

de se leurrer ou pas du tout ?

Bien grande question !

Une certitude, les intuitions des gens d’alors n’étaient pas si

fausses, ni si vraies ; mais elles étaient exprimées comme elles

étaient exprimées : inclues dans un contexte, un milieu, des

langues, qui vivent depuis tout ce temps, et encore et encore…

d’où ma position est, qu’il y a là en ce recueil une part de vérité

aussi, utile ou moins aux uns et aux autres…

Dans l’ensemble je n’ai aucuns préjugés envers aucuns peuples,

aucunes croyances, aucuns monuments…

Là est le fait, justement d’une façon d’être et de penser qui ne

demande qu’à fuser, que voulez-vous que je vous dise ?

Que donnant donnant à sa propre valeur ?

Page 101: Quels temps font-ils ?

Où le cœur,

Symbolisme de bonté de centre de l'âme est équilibre instable :

un équilibre voit parfois des points de ruptures, où il m'arrive

d'exprimer enfant à problèmes / enfants géniaux, là souvent est

le fait des parents... où le fait que je sois un peu les deux est

forcément tout un problème !

Je sais que le savoir vu de moi, aura été longtemps une échappa-

toire : je m'évadais du haut ? D’un niveau 3ème aux creux des

livres au cœur du Monde : ceux de savoir (comme essentielle-

ment la série « Champ Flammarion » d’alors, sur les sciences fon-

damentales), où j’ai toujours eu une lueur d’espoir derrière cet

horizon de complexité de découvrir, qui sait ?

Une certaine vérité derrière tant d’hermétisme ? La vérité envers

moi, envers les autres, envers la réalité… ces choses avec les-

quelles j’ai continuellement, perpétuellement essayé de

faire pour participer à la Vie ?

Donc des gens y pensent c’est une évidence, à cette part de rêve,

qui parfois arrive alors que plus rien n'est rattrapable :

Je ne savais pas que les histoires qui se dénouent comme des

pelotes de laines, voire s'entortillent comme un petit chat qui

joue avec : n'est là qu'une histoire de caractères, d’amour ou de

haine pas si simplement déroulée :

Sur la radio France Culture je suis tombé sur le titrage d'un livre

de Winnicott : « Une tâche sans fin », livre que je n'ai jamais

trouvé alors, m'est venu une idée géniale : en parler allusive-

ment : « Si nous l'appelions Biodiversité ? Rattrapons les pots

cassés… »

Page 102: Quels temps font-ils ?

J’ai connu Winnicott du livre : « Entre jeu et réalité » chose qui

ne me correspondait pas, vraiment ; mais ce que j’en sais c'est

qu'il y a là une recherche longue et difficile entre jeu et réalité

avant d'avoir des réponses concrètes d'un enfant !

Mais restons simplistes voulez-vous ? Côté lectures j'aurais finis

« L'inachevable » de Yves Bonnefoy, dont l’atmosphère générale

est une peur bleue d'un de ses livres, dont je ne voyais pas pour-

quoi ? Avoir une peur énorme d'un de ses livres, de l'avoir trans-

mis, de l'avoir conservé, etc.

En écoutant un appel téléphonique passé à la librairie Harmonia

Mundi, bout du fil qui demandait « L’inachevable » d’Yves Bon-

nefoy ; saisissant l’occasion, j’ai développé vu de moi la chose :

- « en apparence il s’intéresse ou / et créé des calligrammes,

voire en différentes langues, où à l’évidence tout cela n’est pas

si simple du tout, où la roue tourne et les temps changent : avec

la modernité… la question concrète que j'ai au bout des lèvres

est qu'est-ce de plus qu’avoir le fin mot de l’histoire ; où se rele-

ver est beaucoup déjà… »

Le fait de ces calligrammes en latin,

Est complexe, très complexe, la complexité-même… sur le fait,

cette part de créativité nous dépasse, comme des crocs gigan-

tesques aux creux du festin gargantuesque de la littérature !

Ici n’est pas quelque-chose d’infime, le malheur est que parfois

l’art est dépassé ; certainement une histoire d’époque, une his-

toire de nécessité de certaines paroles parmi l’Individu ! Où j’en-

tends ce que j’entends : toute vies sont corrélées, et ce jusqu’aux

évolutions génétiques dans l’ensemble, jusqu’aux germes en

Page 103: Quels temps font-ils ?

émergences dans la somme… et jusqu’aux nouveaux défis de la

Vie : surmonter les nouvelles agressions induites environnemen-

tales !

Comme les allèles génétiques, les langues se lient et se délient

organiquement, physiquement, expressivement parlées ou

écrites…

L’Art se situe aussi en l’écriture, à c’t’heure les moyens tech-

niques concrétisent les paroles, la crédibilité des paroles en

toutes sortes de caractères où ma langue est le français, où je

suis français par nature, même si né en Belgique !

Il y a là une époque pour tout : où avant l’heure ce n’est pas

l’heure, après l’heure ce n’est plus l’heure ! Où vu de moi ma part

de créativité est un peu le monde de demain, où tout est lié en

termes humains aussi…

L’avenir à venir ?

L’immersion en des mondes virtuels de travail, bioélectroniques

aussi, nanotechnologies médicales, et biométriques d’environ-

nement surveillé…

Page 104: Quels temps font-ils ?

Aux creux de villes tentaculaires,

Oui, mais à quel prix ? Aux prix d’optimums de survies malgré les

autoroutes financières, leurs ponts, leur fragmentation en

routes, chemins et sentiers menant à l’offre et la demande ?

La fin du soleil vu des confins de l’Espace proche !

Page 105: Quels temps font-ils ?

J’ai tout au long de ma vie, été heureux de l’époque en laquelle

je vivais, et ce exclusivement grâce à une part de rêve énorme !

Sans réellement part de jeu parmi les collectivités de masse, je

ne sais pas jouer de ce jeu qui s’appelle la Vie civilisée !

Hormis celle du Bar à Thym en Arles, où rien n’est joué hormis,

vu de moi, les mots ; nous sommes en pays d’Arènes, où la réalité

est reine… Des mots bien appliqués sur le sens verbal de ces mo-

numents où cette Vie est une confrontation perpétuelle, conti-

nuelle, où plus les gains sont élevés plus l’étau est serré, voire les

boulons chauffés au rouge, et les enjeux risqués ! Voyez là l’ave-

nir à venir des sociétés de plus en plus boulonnées, ceci-dit

fluides aux contrastes accrus ; où l’argent est fait pour travailler,

circuler, aux contraire de dormir autrement que temporaire-

ment, exceptionnellement, et ce dans un but (investir)…

Ce que je n’ai jamais vu de mes parents, et ce en une 30aine

d’années ? C’est là que je bloque réellement…

Darwin Comet Orchid ; un travail comme un autre, biologiste !

Page 106: Quels temps font-ils ?

Série :

Les illusions d'optiques (source MSN) :

C'est émouvant car l'on croit quelque-chose, l'on ressent

quelque-chose, mais sans savoir réellement quoi ?

C'est un peu comme une histoire racontée près du feu, un peu

comme il y a parfois des sacrifices sans couteaux, sans adieux,

mais avec une volonté profonde de rattraper les pots cassés : (ce

qui est un peu comme avoir plusieurs cordes à son arc), c'est un

peu un peu comme si je me perdais à desseins !

Avec toujours une pensée du soir : lueur d’espoir !

Page 107: Quels temps font-ils ?

Je dormais…

Lors du sommeil d’une vie, remonter en songes le fleuve… la ri-

vière… pour arriver à la plus haute source de notre nuit : Induit

un éveil mouvementé ou moins, et créatif ou moins parmi la

danse éternelle de l’eau féminine, avec son érosion masculine !

L’eau et son pouvoir de déferler, de danser, de sculpter parmi le

relief, au clair de lune ou en plein jour, c’est une danse éternelle

d’écume et d’érosion…

Le cœur de la langue,

Les flux et reflux de nos pensées, voient le temps qu’il fait en nos

consciences, le temps qui passe être bel et bien l’avaleur des

mots ! À l’image du mouvementé d’un feu de bois de charme, et

Page 108: Quels temps font-ils ?

ses éclats de sèves ; encore à l’image de la constance des remous

d’une eau vive, douce et claire de montagne…

Beaucoup plus bas dans la montagne, dans les bassins stables,

émergent des spectres féminin et masculin avec leurs lanternes,

où l’on se souvient ou pas, où l’on y parvient ou pas…

Là se situe toute l’ambiguïté…

Éclairer les gens : c’est gentil ? C’est méchant ? Certainement

est-ce ambigu ? Où des fois j’ai peur moi-même, et pourtant

j’avance, j’avance encore et toujours !

De la feuille jusqu’au bout des plumes,

Il m’est arrivé l’automne, d’entrevoir une feuille tomber d’une

branche, illusion éphémère qui découla sur la réalisation con-

crète d’un petit oiseau ouvrant ces ailes pour s’envoler dans les

airs : parfois une illusion éphémère découle sur une réalisation

concrète jusqu’au bout des plumes…

Page 109: Quels temps font-ils ?

Pelisse tire la queue du fougueux, bien au chaud, non ?

Page 110: Quels temps font-ils ?

Pelisse au bout du monde, dis-moi ?

Page 111: Quels temps font-ils ?

Pelisse et sa bébête hôte ?

Page 112: Quels temps font-ils ?

Les beaux dégâts ?

Page 113: Quels temps font-ils ?

La petite fée clochette ?

Page 114: Quels temps font-ils ?

Pelisse et son épaule, devant l’inconnu.

Page 115: Quels temps font-ils ?
Page 116: Quels temps font-ils ?
Page 117: Quels temps font-ils ?
Page 118: Quels temps font-ils ?

Ascendance ? Moi je suis une ascendance, et des étoiles l’influence

Ne fait causette que de nous,

Et d’une minimale transe, sur laquelle on danse

Jusqu’à cours de nous…

Au cours des temps diffus où trêve,

Tout cela s’étends, fuse et s’élève…

Où plus nous investissons dans des flèches,

D’expressivité, en la reine de l’expression, la réalité…

Plus nous insinuons des brèches,

D’expressivités, en l’Arène de l’expression, le Vivant…