MONSIEUR IBRAHIM

ET LES FLEURS DU CORAN

d’Éric-Emmanuel Schmitt

COUVERTURE MÉDIATIQUE

JANVIER

Janvier 2016

PRESSE ÉCRITE|CHÂTELAINE – Publication d’une entrevue de Monique Roy avec Éric-

Emmanuel Schmitt.

Samedi 16 janvier 2016

QUOTIDIEN|LA PRESSE – Publication d’une mention de Jean Siag.

WEB|LA PRESSE – Mise en ligne d’une mention dans l’article de Mario Cloutier.

http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/theatre/201602/16/01-4951287-

echos-de-scene-hiroaki-umeda.php

FÉVRIER

Mercredi 17 février 2016

RADIO| RADIO-CANADA, LE 15-18 – Diffusion d’un topo de Mélanye Boissonnault.

(17H21) (2 :21 :35)

http://ici.radio-canada.ca/emissions/le_15_18/2015-2016/

RADIO| FM 93 QUÉBEC, LE RETOUR DE GILLES PARENT – Diffusion d’une entrevue de Gilles

Parent.

http://www.fm93.com/lecteur/audio/un-des-grands-auteurs-de-la-francophonie-eric-

emm-307399.mp3

RADIO| RADIO-CANADA QUÉBEC, RADIO-CANADA CET APRÈS-MIDI – Diffusion d’un

topo de Valérie Cloutier. (17H30)

http://ici.radio-canada.ca/emissions/radio-canada_cet_apres-midi/2014-

2015/archives.asp?date=2016-02-17

QUOTIDIEN|LE SOLEIL – Publication et mise en ligne d’un article Geneviève Bouchard.

http://www.lapresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/theatre/201602/17/01-4951749-

tournee-quebecoise-pour-monsieur-ibrahim.php

WEB|TVA NOUVELLES – Mise en ligne d’un article par l’Agence QMI.

http://www.tvanouvelles.ca/2016/02/17/eric-emmanuel-schmitt-sur-scene-dans-23-

villes-cet-automne

WEB|CANOE – Mise en ligne d’un article par l’Agence QMI.

http://fr.canoe.ca/divertissement/artsscene/nouvelles/archives/2016/02/20160217-

163321.html

WEB|JOURNAL DE QUÉBEC – Mise en ligne d’un article de Sandra Godin.

http://www.journaldequebec.com/2016/02/17/eric-emmanuel-schmitt-en-tournee-au-

quebec

WEB|VOIR – Mise en ligne d’un article de Catherine Genest.

https://voir.ca/nouvelles/actualite-en-arts-de-la-scene/2016/02/17/eric-emmanuel-

schmitt-sera-monsieur-ibrahim-a-quebec-en-novembre/

WEB|INFO-CULTURE – Mise en ligne d’un article de Lise Breton.

http://info-culture.biz/2016/02/17/eric-emmanuel-schmitt-sur-scene-a-quebec-le-20-

novembre-2016/#sthash.yp6YOKUw.wYyga4cN.dpbs

WEB|MÉDIA DES 2 RIVES – Mise en ligne d’un article.

http://www.mediades2rives.com/Eric-EmmanuelSchmitt17fevrier2016.html

WEB|MON THÉÂTRE – Mise en ligne du communiqué.

http://www.montheatre.qc.ca/quebec/actualite.html#17fev

WEB|HUFFINGTON POST – Mise en ligne d’un article de Marie-Josée Roy sur les invités de

Tout le monde en parle.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/02/17/tout-le-monde-en-parletout-le-monde-en-

parle--les-invites-de-ce-dimanche_n_9258450.html

Jeudi 18 février 2016

TÉLÉVISION|TVA, SALUT BONJOUR – Diffusion d’une mention de la tournée avec extraits

de la pièce de Marie-Christine Proulx.

RADIO| RADIO-CANADA QUÉBEC, PREMIÈRE HEURE – Diffusion d’un topo de Patricia

Tadros. (8H22)

http://ici.radio-canada.ca/emissions/premiere_Heure/2015-

2016/archives.asp?date=2016-02-18

QUOTIDIEN|JOURNAL DE MONTRÉAL – Publication d’un article de Sandra Godin.

PRESSE ÉCRITE |LA SEMAINE – Publication d’une mention dans l’article d’Anne Bourgoin

avec mention dans le sommaire.

WEB|LA PRESSE + – Mise en ligne d’une brève de Jean Siag.

http://plus.lapresse.ca/screens/ef9e2538-8dc0-46f8-98e6-

741332b8c1b1%7Cy5IVllDFhgGW.html

Vendredi 19 février 2016

QUOTIDIEN|LE DEVOIR – Publication et mise en ligne d’une entrevue de Caroline

Montpetit avec mention à la une.

http://www.ledevoir.com/culture/theatre/463458/eric-emmanuel-schmitt-sur-scene-a-

montreal

QUOTIDIEN|24H – Publication d’une brève de Camille Dufetel.

Samedi 20 février 2016

RADIO|RADIO CLASSIQUE – Diffusion d’une entrevue de Marie-Ève Lamonde.

RADIO|98,5 FM, QUE LE QUÉBEC SE LÈVE – Diffusion d’un topo de Catherine Richer.

http://www.985fm.ca/lecteur/audio/arts-7h40-307827.mp3

RADIO|RADIO-CANADA, SAMEDI ET RIEN D’AUTRE – Diffusion d’un topo de Francine

Grimaldi. (8H47)

http://ici.radio-canada.ca/emissions/samedi_dimanche/2015-2016/

WEB|LA PRESSE+ & LA PRESSE – Mise en ligne d’une critique de Jean Siag.

http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/critiques-de-

spectacles/201602/20/01-4952807-monsieur-ibrahim-et-les-fleurs-du-coran-eric-

emmanuel-schmitt-raconte.php

Dimanche 21 février 2016

TÉLÉVISION|RADIO-CANADA, TOUT LE MONDE EN PARLE – Diffusion d’une entrevue de

Guy A. Lepage.

http://ici.radio-canada.ca/tele/tout-le-monde-en-parle/2015-

2016/segments/entrevue/5442/eric-emmanuel-schmitt?isAutoPlay=1

WEB|HUFFINGTON POST – Mise en ligne d’un article d’Ismaël Houdassine.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/02/21/eric-emmanuel-schmitt-sur-scene-en-

chair-et-en-os_n_9285774.html

WEB|HUFFINGTON POST – Mise en ligne d’une mention d’Éric-Emmanuel Schmitt dans

l’article de Marie-Josée Roy.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/02/21/tout-le-monde-en-parle_n_9287678.html

WEB|LE SOLEIL – Mise en ligne d’une mention d’Éric-Emmanuel Schmitt dans l’article de

Richard Therrien.

http://www.lapresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/television-et-radio/richard-

therrien/201602/21/01-4953183-le-mea-culpa-de-marc-beland.php

MONSIEUR IBRAHIM

ET LES FLEURS DU CORAN

d’Éric-Emmanuel Schmitt

REVUE DE PRESSE

Publié le 21 février 2016 à 23h00 | Mis à jour le 21 février 2016 à 23h00

Le mea culpa de Marc Béland

RICHARD THERRIEN

Le Soleil

(Montréal) CHRONIQUE / Marc Béland a fait ce qu'il fallait dimanche soir à Tout le

monde en parle: avouer son erreur et présenter ses excuses. L'acteur, qui ne s'est pas

ménagé, a d'emblée reconnu que sa réaction par rapport à l'affaire Claude Jutra,

exprimée à l'émission 24/60, était déplacée et injustifiée. «Je n'ai pas eu la bonne

attitude, je regrette de m'être emporté», a-t-il dit sur le ton du repentir à Guy A. Lepage.

Le comédien, qui paraissait sincère, regrette aussi cette déclaration «maladroite»

selon laquelle il n'y a pas de crime tant qu'il n'y a pas de dénonciation, «la dernière

chose à dire». «Je retire cette phrase, je suis complètement désolé si j'ai pu heurter

[des victimes]», a-t-il dit, avant de présenter ses excuses au biographe Yves Lever, à la

maison d'édition Boréal de même qu'à l'éditeur Michel Brûlé, qu'il a écorché au

passage. Depuis l'entrevue, La Presse a révélé les cas de Jean, une première victime,

mais aussi de l'auteur Bernard Dansereau, qui a avoué avoir aussi été agressé par

Claude Jutra.

Avant son entrevue à 24/60 lundi soir dernier sur ICI RDI, on a tendu à Marc Béland

deux ou trois feuilles brochées d'extraits du livre d'Yves Lever, qui l'ont mis hors de lui.

«Pour moi, c'était de l'ordre du jaunisme», ajoute-t-il pour expliquer son attitude devant

Anne-Marie Dussault. «J'aurais dû réfléchir, me calmer et attendre que le temps fasse

son oeuvre.»

Yves Boisvert, chroniqueur à La Presse, s'est montré très sévère à l'endroit du biographe

Yves Lever, qu'il accuse d'avoir «fait les choses à moitié», en évoquant les penchants

pédophiles sur quatre pages de son livre sans vraiment aller au fond des choses. Alors

que plusieurs croient que l'histoire nuira au livre de M. Lever, celui-ci pense au

contraire qu'il représentera un intérêt supplémentaire, surtout depuis la confirmation

des allégations par la première victime dans La Presse.

Yves Boisvert dénote une certaine complaisance du milieu à l'endroit du cinéaste, qui

devrait être jugé comme les autres. Il prévient que les pédophiles peuvent se montrer

très charmants et n'ont pas l'apparence de monstre qu'on veut bien leur donner.

Arrivé plus tard pour discuter de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, qu'il présente

en spectacle au Québec, l'auteur Éric-Emmanuel Schmitt a raconté avoir déjà reçu la

confidence d'un ami pédophile, qui justifiait ses actes, mais qui s'est enlevé la vie peu

de temps après. Un soulagement pour M. Schmitt, a-t-il admis. L'auteur français a

condamné les actes de Claude Jutra, mais a quand même voulu défendre son

oeuvre, qui restera selon lui.

Heureusement, le ton n'a pas été aussi grave tout le reste de la soirée. Le dernier

segment était particulièrement surréaliste quand, après tous ces sujets sérieux et

intellos qu'on venait d'aborder, trois vedettes de La tournée des idoles sont arrivées

comme des cheveux sur une soupe plutôt ordinaire. Il fallait voir Éric-Emmanuel

Schmitt pleurer de rire en écoutant Gilles Girard raconter qu'avec les Classels, il passait

des cheveux bruns au jaune orange, au beige et au blanc. Puis qu'une jeune

spectatrice s'était griffé le visage jusqu'au sang devant le groupe, et qu'il lui arrivait de

«sniffer» les brassières qu'on lui lançait sur scène. Patsy Gallant a fini, encore une fois,

debout sur le comptoir, à chanter du Piaf, aux côtés d'une Michèle Richard plus

orange que jaune.

Peu avant, la chanteuse Lou Doillon, à mille lieues de cet univers, venait charmer une

fois de plus l'assistance avec un deuxième album, Lay Low, enregistré en grande

partie au Québec. Si elle préfère chanter en anglais, c'est parce que «ça rebondit

plus, c'est plus arrondi, les fins de mot sont plus fermées» et que la langue anglaise

permet «une forme de simplicité qui n'est pas risible».

Assez coloré dans sa vulgarisation du dossier Bombardier, le comptable et chroniqueur

Pierre-Yves McSween a rappelé que le pdg, Alain Bellemare, était davantage un

gestionnaire qu'un visionnaire. «Oui, on a un président comme ça à Radio-Canada», a

ajouté Guy A., en référence à Hubert Lacroix. Alors qu'Isabelle Dostaler, professeure de

gestion, est favorable au financement public de Bombardier, M. McSween, lui,

considère qu'on a mis trop d'espoirs dans la Série C, ajoutant toutefois qu'acheter 1000

actions de Bombardier à son conjoint à la Saint-Valentin aurait été beaucoup plus

profitable que des fleurs. «Tout le monde aurait fait 30 %», a-t-il dit à la blague.

Il n'est hélas pas sorti grand-chose de la très courte entrevue sur la nouveauté de Marc

Labrèche, Yves Boisvert et Rafaële Germain, Info, sexe et mensonges. Yves Boisvert

s'est tout de même montré indulgent à l'endroit de Pierre Karl Péladeau, qu'il

considère comme étant «de moins en moins mauvais» comme chef du Parti

québécois.

http://www.lapresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/television-et-radio/richard-

therrien/201602/21/01-4953183-le-mea-culpa-de-marc-beland.php

«Monsieur Ibrahim et les fleurs du

Coran» : Éric-Emmanuel Schmitt sur

scène en chair et en os Le Huffington Post Québec | Par Ismaël Houdassine

Publication: 21/02/2016 12:37 EST Mis à jour: 21/02/2016 12:37 EST

Écrivain à succès derrière les bestsellers L’Évangile selon Ponce Pilate ou Ma vie avec

Mozart et homme de théâtre fécond, le Français Éric-Emmanuel Schmitt n’a pas hésité

à monter sur les planches pour défendre sa pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du

Coran. Rencontre.

Car si Éric-Emmanuel Schmitt est aujourd’hui devenu acteur de théâtre, c’est par un pur

hasard a-t-il confié en entrevue lors de son passage à Montréal. «J’ai remplacé à Paris

le chanteur et comédien Francis Lalanne qui ne pouvait pas assurer toutes les dates.

Alors, malgré la nervosité et l’inexpérience, je me suis lancé sur l’arène.»

Un gros défi pour le dramaturge qui ne s’était jusque-là jamais considéré comme un

véritable comédien. «Ma seule légitimité, c’est que je suis la source de l’oeuvre que

j’interprète. Je n’ai qu’à ouvrir mon petit théâtre intérieur et mes personnages sont déjà

présents. Par contre, je ne sais pas encore si je serais vraiment capable de jouer le texte

d’un autre.»

Il reste que se présenter devant un public curieux de voir l’auteur en pleine action fût

une grande épreuve à surmonter. «J’ai tout le temps des craintes. Je ne sais jamais si je

vais être capable de réussir ce que j’entreprends. Mais j’aime la peur. Quand

j’arrêterais d’avoir peur, j’arrêterais tout puisque je me suis rendu compte que c’est

grâce à la peur que je suis vivant.»

Un hymne à la tolérance

Troisième volet d'une trilogie spirituelle sur les monothéismes, ce texte tendre qui met en

scène un seul personnage raconte l’amitié improbable entre Momo, alias Moïse, enfant

juif de la rue Bleue à Paris, et de Monsieur Ibrahim, un vieux épicier Arabe emplie de

mysticisme. Le récit, situé dans les années 1960, évoque à sa manière le roman La Vie

devant soi de Romain Gary.

«J’incarne Momo adulte qui revient sur son enfance compliquée tout en se remémorant

sa rencontre avec Monsieur Ibrahim. Chaque fois, j'ai finalement beaucoup de plaisir à

livrer ce monologue. C’est un peu comme une guérison de la solitude de l'écrivain.»

La découverte improbable entre deux âmes solitaires est aussi l’occasion pour Éric-

Emmanuel Schmitt de rappeler une simple leçon de tolérance mise à mal par les

montées des extrêmes.

«J’ai écrit la pièce pour Bruno Abraham-Kremer il y a de cela quinze ans. Les tensions

identitaires qui ressurgissent un peu partout rappellent l’urgence de vivre ensemble. On

ne peut pas laisser les terroristes d’un côté et les populistes de l’autre vaincre cette

bataille dont les conséquences seraient catastrophiques.»

Adapté au cinéma en 2003, le film éponyme mettait à l’affiche le regretté Omar Sharif

qui décrocha le César du meilleur acteur. «Il ne voulait plus jouer, mais dès qu’il a lu le

scénario que je lui avais tout de même envoyé, il a changé d’avis. Pour me convaincre

de lui donner le rôle, il m’a dit: "Des vieux acteurs, tu peux en trouver quelques-uns, mais

un vieil Arabe, il n'y a pas meilleur que moi!" Et il avait bien raison.»

La pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran sera en tournée dans 23 villes du

Québec à partir du 16 novembre 2016.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/02/21/eric-emmanuel-schmitt-sur-scene-en-

chair-et-en-os_n_9285774.html

«Tout le monde en parle»: quelques

moments croustillants (PHOTOS) Le Huffington Post Québec | Par Marie-Josée Roy

Publication: 21/02/2016 23:28 EST Mis à jour: il y a 3 heures

Les excuses de Marc Béland, l’éloquence d’Yves Boisvert, le charme de Lou Doillon, la

folie de Patsy Gallant, Michèle Richard, et Gilles Girard… Voici quelques moments

croustillants qui ont retenu notre attention à Tout le monde en parle cette semaine.

La maman de Dany

Une tradition est bien implantée dans la famille de Dany Turcotte, depuis les débuts

de Tout le monde en parle : une fois par année, sa maman, Noëlla, va assister en studio

à l’enregistrement de l’émission où son fils est «fou du roi». La charmante dame était

donc assise parmi les spectateurs, dimanche. «Comme tu assistes à l’émission en direct,

ce soir, tu vas pouvoir regarder La voix dimanche», a lancé Dany Turcotte à sa maman,

à la blague. Rappelons que chaque édition de Tout le monde en parle est enregistrée

le jeudi soir.

Boisvert brille

Le passage de Marc Labrèche, de l’auteure Rafaële Germain et du chroniqueur Yves

Boisvert, venus en trio pour parler de leur nouvelle émission Info, sexe et mensonges,

qu’on devrait voir à ARTV, puis à Radio-Canada dans la prochaine année, fut très bref.

Marc Labrèche, en tournée en travers le monde depuis quelques années avec la

pièceLes aiguilles et l’opium, de Robert Lepage, a avoué s’ennuyer de la télévision et

de «sa» public, comme il désignait les téléspectateurs à l’époque du Grand blond avec

un show sournois. Rafaële Germain, qui collabore avec Labrèche depuis l’époque deLa

fin du monde est à sept heures, à la fin des années 1990, retrouve ainsi un grand

complice. Et on a appris dimanche qu’Yves Boisvert avait participé à trois éditions deLa

fin du monde est à sept heures, aux touts débuts de ce talk-show déjanté, qui a fait les

beaux jours de TQS.

Les trois convives ont été invités à commenter l’actualité récente. Rafaële Germain a

été tranchante en parlant du cynisme du gouvernement Couillard, mais Yves Boisvert a

particulièrement brillé pendant ce segment de questions en rafale. À propos de Justin

Trudeau, il a dit : «Moins tu prends de décisions, plus tu es populaire». Concernant

Donald Trump, Boisvert a eu ces mots : «C’est très drôle, mais je pense qu’il faut

commencer à avoir peur, parce que ça pourrait arriver…» Et, au sujet de Pierre Karl

Péladeau à la barre du Parti québécois, il a formulé que celui-ci est «de moins en moins

mauvais». «En politique, on peut donner des ordres, mais les gens ne sont pas obligés

d’obéir (…) Ce n’est pas quelqu’un d’extrêmement talentueux, mais il apprend.»

Jutra fait encore jaser

La controverse entourant la pédophilie de Claude Jutra s’est transportée jusque sur le

plateau de Tout le monde en parle, dimanche. Lisez ici notre compte-rendu de

l’entretien avec le biographe Yves Lever, la thérapeute et amie de Claude Jutra, Louise

Rinfret, et le comédien Marc Béland.

Le grand voyage d’Eric-Emmanuel Schmitt

On a rarement des conversations aussi spirituelles sur le plateau de Tout le monde en

parle que celle qu’a générée la présence de l’écrivain Eric-Emmanuel Schmitt.

L’homme a eu une fort jolie réponse lorsque Guy A.Lepage lui a demandé si les œuvres

artistiques pouvaient être une réponse au terrorisme, si elles pouvaient changer le

monde. «Je pense qu’aucun livre ne peut changer le monde, mais un livre peut

changer totalement un individu», a déclaré Schmitt.

Dans son récit autobiographique La nuit de feu, paru l’automne dernier, Eric-Emmanuel

Schmitt raconte une mésaventure qui lui est arrivée en 1989, à l’âge de 28 ans, lorsqu’il

a entrepris une randonnée en Algérie dans le désert du Sahara. Il s’est alors égaré après

avoir perdu ses compagnons de route. «Je me suis rendu compte que j’étais perdu

complètement, s’est-il remémoré, dimanche.

(…) J’ai appelé, personne ne répondait, et je voyais passer devant mes yeux la phrase

qui dit qu’on met trois jours à mourir de soif. Je me suis protégé du vent derrière un

groupe de rochers, je me suis ensablé pour faire une couverture et avoir moins froid. Et

j’ai décidé d’attendre. Et est arrivé ce que je n’imaginais pas du tout. J’ai eu le

sentiment tout à coup que j’avais deux corps : un corps qui restait, dans le sable, qui

avait froid, qui avait faim, qui avait soif, qui avait mal, et un autre corps, qui se

détachait de celui-ci, et qui échappait à tout, à la faim, à la soif, à la douleur, mais

aussi à l’apesanteur et au temps. Ça ressemble beaucoup aux expériences de mort

imminente ; je m’en suis rendu compte après avoir écrit mon récit.»

S’en est ensuite suivi une discussion sur le sens spirituel de cet événement. «Les mots ont

été inventés pour décrire le monde ordinaire, et surtout ils ont été inventés pour décrire

le visible et non l’invisible», a illustré Eric-Emmanuel Schmitt, offrant du coup sa

conception de cet épisode troublant de sa vie.

La métaphore du hot-dog

Le comptable Pierre-Yves McSween a résumé avec une image forte comment

Bombardier s’est un peu mis les pieds dans les plats en tentant de concurrencer des

entreprises comme Boeing et Airbus avec son appareil C-Series.

«Je compare ça à un vendeur de hot-dogs dans un festival, a exposé McSween. Il y a

deux vendeurs avec des hot-dogs ketchup-moutarde. Un autre vendeur, dont le

camion n’est pas payé depuis des années, arrive et dit : «Je vais vendre des hot-dogs

moutarde-chou». Les gens vont aimer plus le moutarde-chou! Mais les deux autres

vendeurs, dont les actifs sont payés, vont couper dans les coûts en disant : «On va

vendre notre hot-dog 75 cents au lieu d’un dollar». Bombardier, c’est le vendeur de

moutarde-chou, qui va alors dire : «Moi, je ne peux pas baisser mon prix à 75 cents,

parce que mes actifs ne sont pas payés et mon développement n’est pas fait, je ne

peux pas payer mon staff…».»

Pour Pierre-Yves McSween, il est clair que Bombardier n’avait pas les reins assez solides

pour s’aventurer aussi loin aussi rapidement. «Ce qui manque à Bombardier, ce n’est

pas que le produit n’est pas bon, pas vendable ou pas intéressant. Il est incroyable, le

produit. C’est d’être allé jouer dans la cour des grands avec des liquidités insuffisantes.

La musique-miroir de Lou Doillon

L’inspirée Lou Doillon, dont Dany Turcotte a fait découvrir la musique à Guy A.Lepage

au cours d’un souper, a expliqué comment elle a trouvé un paisible refuge dans la

chanson, comment celle-ci lui a permis de s’éclipser un peu de la lumière aveuglante

que lui apportait le fait d’être la fille de Jacques Doillon et de Jane Birkin et la sœur de

Charlotte Gainsbourg.

«Moi, j’ai toujours eu l’étrangeté d’avoir un bagage familial, quelque chose qui fait que

les projets auxquels je participais étaient moins forts que l’image que je pouvais

véhiculer. Grâce à la musique, je suis devenue assez secondaire. Les chansons ont pris

la place. Pour moi, c’est absolument merveilleux. J’ai attendu longtemps d’avoir

quelque chose de mieux que moi, qui prenne le dessus, et maintenant, je suis derrière

les chansons. Et j’aime bien l’idée de faire de la musique-miroir. Je trouve que je fais de

la musique qui demande beaucoup à l’auditeur, qui lui demande de l’écoute, qui lui

demande de prendre le temps. Je ne viens pas l’envahir, je lui demande beaucoup de

travail et, si tout va bien, s’il m’autorise, il se retrouve face à lui-même, et pas face à

moi. Ça me plait énormément, de donner du temps et de la place, pour que les gens

puissent se voir eux-mêmes», a détaillé Lou Doillon.

Au décès de sa demi-sœur, la photographe Kate Barry, qui s’est enlevé la vie en 2013,

Lou Doillon avoue avoir éprouvé une pudeur à se confier publiquement. Il lui aura fallu

18 mois pour commenter le triste événement. «J’étais très gênée. Il y a une pudeur, où

ça ne regarde personne, et peut-être même pas moi. Ce qui me plait dans la musique

et dans ma manière de travailler, j’aime bien laisser l’inconscient faire des trucs que je

comprendrai plus tard.»

Les idoles s’amusent encore

Patsy Gallant s’est hissée sur la table pour interpréter un échantillon de Milord, et Dany

Turcotte l’a soulevée pour la descendre de son «podium». «On peut toujours m’appeler

Party Gallant», a crâné la chanteuse après sa prestation. Gilles Girard a expliqué

comment, à l’époque des Classels, ses comparses et lui arrivaient à avoir la chevelure

et les costumes aussi blancs l’un que l’autre.

«Au début, j’étais brun foncé, après c’était jaune orange, au prochain bleach, c’était

beige… On venait avec des gales dans la tête et on continuait pareil parce que notre

gérant nous disait que ç’allait pogner!», s’est-il esclaffé alors que tout le monde

s’écroulait de rire autour de lui.

Celui qu’on surnommait naguère «le petit gros des Classels» s’est remémoré la fois où

une spectatrice s’était griffé le visage d’admiration… et comment il pouvait recevoir

des soutiens-gorges d’admiratrices affriolées au faîte de sa gloire. Michèle Richard y est

pour sa part allée d’une anecdote où elle et ses collègues féminines avaient la langue

bleue sur scène. À n’en pas douter, les trois vedettes de la Tournée des idolessont

toujours jeunes de cœur !

http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/02/21/tout-le-monde-en-parle_n_9287678.html

Publié le 20 février 2016 à 09h44 | Mis à jour le 20 février 2016 à 09h44

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran:

Éric-Emmanuel Schmitt raconte

Éric-Emmanuel Schmitt dans Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

PHOTO FOURNIE PAR LA PRODUCTION

JEAN SIAG

La Presse

Ce n'est pas tous les jours qu'un romancier défend l'un de ses textes dans l'arène

théâtrale. Un acte courageux, mais un pari pour le moins risqué.

C'est pourtant ce que fait depuis trois ans Éric-Emmanuel Schmitt avec sa

pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, popularisée en 2003 par le film de

François Dupeyron, qui mettait en vedette l'acteur égyptien Omar Sharif.

Au mois de novembre dernier, l'auteur français nous expliquait que son aventure

scénique était accidentelle. Un jour, il a tout simplement décidé de remplacer le

comédien et chanteur Pierre Lalanne, qui devait donner une série de concerts.

Manifestement, Schmitt y a pris goût. « C'est comme une guérison de la solitude de

l'écrivain » nous avait-il dit. Le plaisir qu'il a sur scène est évident. Et comme le texte

coule de source, il n'y a pour ainsi dire aucune fausse note.

Éric-Emmanuel Schmitt, qui a écrit cette pièce il y a une quinzaine d'années pour le

comédien Bruno Abraham-Kremer, raconte l'histoire de Moïse (surnommé Momo),

enfant juif de 12 ans, abandonné par sa mère, vivant seul avec un père distant et

froid, dans un quartier défavorisé de Paris.

L'auteur y incarne Momo devenu adulte. Mais également tous les autres personnages

qui gravitent autour de lui, dont ce père qui l'ignore superbement, et bien sûr,

Monsieur Ibrahim, l'épicier du coin avec qui il se liera d'amitié, qui lui transmettra des

valeurs d'amour et de tolérance.

Éric-Emmanuel Schmitt s'en sort passablement bien, mais la vie étant ce qu'elle est, on

ne devient pas acteur du jour au lendemain.

Malgré sa prestance et sa parfaite maîtrise du texte, sa voix trop souvent se perd,

rendant par moments ses paroles inaudibles. Ses déplacements sont parfois

maladroits, ses gestes rigides. L'émotion est jouée, mais non ressentie. Ce qui n'enlève

rien à ce conte d'une profonde humanité, qui n'est pas sans rappeler La vie devant

soi, de Romain Gary.

Parlons plutôt d'une rencontre intime avec un auteur généreux, qui partage son

amour des mots et des histoires bien contées. Celle de Monsieur Ibrahim et les fleurs du

Coran, magnifiquement bien écrite, est un hymne à l'amour que Schmitt incarne sur

scène avec beaucoup de tendresse.

De le voir sur scène, dire haut et fort ce texte qui invite à plus de tolérance entre les

religions, n'est tout de même pas banale. En ces temps troubles, ça ressemble même

à du courage.

http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/critiques-de-

spectacles/201602/20/01-4952807-monsieur-ibrahim-et-les-fleurs-du-coran-eric-

emmanuel-schmitt-raconte.php

MÉDIA DES 2 RIVES, VOTRE SOURCE D'INFORMATION SUR CE QUI SE PASSE DES DEUX CÔTÉS

DU FLEUVE SOIT LÉVIS ET QUÉBEC

ÉRIC-EMMANUEL SCHMITT SUR SCÈNE À QUÉBEC LE 20 NOVEMBRE 2016

Le célèbre romancier, dramaturge et acteur Éric-Emmanuel Schmitt est de passage

aujourd’hui à Québec afin d’annoncer avec un immense plaisir qu’il sera sur la scène

de la Salle AlbertRousseau le dimanche 20 novembre à 15h en après-midi afin de

présenter sa pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran dans laquelle il tient les rôles

principaux de M. Ibrahim et Momo sans répit et avec grande générosité.

Voilà une occasion exceptionnelle de voir Éric-Emmanuel Schmitt incarner lui-même

Momo, le personnage unique de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran. Ce

personnage qui, maintenant adulte, se remémore son enfance : celle d’un garçon juif

de douze ans que la vie malmène et qui se lie d’amitié avec Monsieur Ibrahim, qu’il

interprète également, l’épicier musulman du coin, vieil homme qui connaît les secrets

du bonheur et du sourire… Et qui feront retrouver la joie de vivre au petit. Une leçon de

sagesse et de tolérance, signée et interprétée par Éric-Emmanuel Schmitt.

Éric-Emmanuel Schmitt est l’un des auteurs francophones contemporains les plus lus et

les plus joués au monde. Ses œuvres remplies d’humour et d’humanité, traduites en

quarante-trois langues dans plus de cinquante pays, sont saluées des plus prestigieuses

distinctions du monde littéraire. Éric-Emmanuel Schmitt est notamment l’auteur du

Cycle de l’Invisible, série de six récits sur les religions dont le succès est fulgurant.

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran en est le second volet. Largement adaptée au

théâtre et au cinéma, cette touchante histoire voyait d’ailleurs Omar Sharif récolter le

César du meilleur acteur en 2004.

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran avec Éric-Emmanuel Schmitt UNE PRODUCTION

DE DIDIER MORISSONNEAU

http://www.mediades2rives.com/Eric-EmmanuelSchmitt17fevrier2016.html

Édition du 18 février 2016,

section ARTS, écran 6

MONSIEUR IBRAHIM… EN TOURNÉE AU QUÉBEC L’écrivain français Éric-Emmanuel Schmitt, qui montera sur scène demain et samedi

pour jouer son texte Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, fera une tournée

québécoise de ce spectacle à partir du 16 novembre prochain. L’auteur et scénariste

français s’arrêtera dans 23 villes du Québec, dont Sherbrooke, Trois-Rivières, Shawinigan,

Val-d’Or, Baie-Comeau et Victoriaville. Il interprétera le personnage de Momo, jeune

Juif de 12 ans, qui se remémore sa jeunesse et son amitié avec un épicier musulman.

L’histoire avait été adaptée au cinéma en 2004. Omar Sharif, mort l’an dernier, y avait

interprété le rôle de l’épicier. La tournée québécoise de Monsieur Ibrahim… se

terminera le 17 décembre. Les billets sont maintenant en vente. — Jean Siag, La Presse

http://plus.lapresse.ca/screens/ef9e2538-8dc0-46f8-98e6-

741332b8c1b1%7Cy5IVllDFhgGW.html

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

Jeudi le 18 février, 2016

MONSIEUR IBRAHIM ET LES FLEURS DU CORAN

En première nord-américaine dans le cadre de Montréal en Lumière

à la Salle Pierre-Mercure les 19 et 20 février

Éric-Emmanuel Schmitt sera également en tournée dans 23 villes du Québec dès le 16 novembre 2016 !

Ce vendredi et samedi, les 19 et 20 février, le célèbre romancier et dramaturge Éric-

Emmanuel Schmitt jouera lui-même Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran en grande

première nord-américaine à la Salle Pierre-Mercure de Montréal. On annonce

aujourd’hui qu’il sera de retour cet automne afin de porter, sans répit et avec grande

générosité, son M. Ibrahim au public de partout au Québec. De Sherbrooke à Amos,

de Shawinigan à Montmagny, Éric-Emmanuel Schmitt visitera vingt-trois villes

québécoises du 16 novembre au 17 décembre 2016 !

Voilà une occasion exceptionnelle de voir Schmitt incarner lui-même Momo, le

personnage unique de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran. Ce personnage qui,

maintenant adulte, se remémore son enfance. Celle d’un garçon juif de douze ans

que la vie malmène, et qui se lie d’amitié avec Monsieur Ibrahim, l’épicier musulman

du coin, vieil homme qui connaît les secrets du bonheur et du sourire… Et qui feront

retrouver la joie de vivre au petit. Une leçon de sagesse et de tolérance, signée et

interprétée par Éric-Emmanuel Schmitt.

À un journaliste français qui lui demandait s’il était important de jouer ce qu’il écrivait,

l’auteur répond : « C’est venu par accident ! C’était au départ pour remplacer Francis

Lalanne qui jouait la pièce à Paris, mais ne pouvait assurer toutes les dates, car il avait

des concerts. Mes amis m’ont poussé à le remplacer. Ça s’est tellement

merveilleusement passé avec le public que de temps en temps je poursuis ce plaisir de

monter sur scène. C’est une communion avec le public. Je reste un conteur, un

raconteur d’histoires, mais je ne la raconte pas protégé entre les pages d’un livre, où

avec le corps d’un acteur entre moi et le public. Je deviens les personnages et j’ai

vraiment le sentiment de vibrer à l’unisson avec le public. C’est un plaisir et ça me fait

peur en même temps ! J’en sors exténué, heureux et nourri de ce partage des

émotions. Mais je ne veux pas le faire trop souvent, j’y prendrais tellement goût que

cela changerait ma vie ! » Éric-Emmanuel Schmitt est l’un des auteurs francophones

contemporains les plus lus et les plus joués au monde. Ses œuvres remplies d’humour et

d’humanité, traduites en quarante-trois langues dans plus de cinquante pays, sont

saluées des plus prestigieuses distinctions du monde littéraire. Éric-Emmanuel Schmitt est

notamment l’auteur du Cycle de l’Invisible, série de six récits sur les religions dont le

succès est fulgurant. Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran en est le second volet.

Largement adaptée au théâtre et au cinéma, cette touchante histoire voyait d’ailleurs

Omar Sharif récolter le César du meilleur acteur en 2004.

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

avec Éric-Emmanuel Schmitt

Une production de Didier Morissonneau

Salle Pierre-Mercure

Centre Pierre-Péladeau UQÀM

300 Boul de Maisonneuve Est

métro Berri-UQÀM)

Billetterie: Tél: 1-855-790-1245

ou sur www.admission.com

http://planete.qc.ca/culture/vie/jocelynetourangeaulumieres/jocelynetourangeaulumi

eres-1822016-220448.html

A c t u a l i t é 17 février 2016

Visite rare à Québec - Arrêt de l'auteur Éric Emmanuel Schmitt dans la

Capitale pour annoncer la tournée québécoise de la pièce Monsieur

Ibrahim et les fleurs du Coran

Source : conférence de presse - Brouillard Communications

Éric Emmanuel Schmitt et Didier Morissonneau

Crédit photo : David Lefebvre

De la bien belle visite, en cette journée ensoleillée : l'auteur et philosophe Éric

Emmanuel Schmitt s'est arrêté un court instant au Il Teatro du Capitole de Québec pour

annoncer la tournée panquébécoise deMonsieur Ibrahim et les fleurs du Coran qu’il

défend seul sur scène. Rappelons que le grand Omar Sharif, qui avait incarné Monsieur

Ibrahim au grand écran, avait remporté pour ce rôle le César du meilleur acteur en

2004.

En 2012, c'est Francis Lalanne qui jouait le texte de monsieur Schmitt sur les planches

parisiennes, entre autres. Pris par certains contrats, l’acteur a dû céder sa place lors de

quelques représentations ; l'auteur a accepté l'invitation d'enfiler les costumes des

personnages au lieu de trouver un remplaçant. Ce n'est pas la première fois qu'Éric

Emmanuel Schmitt monte sur scène : il a donné la réplique, entre autres, à Marie-

Claude Pietragalla dans Élixir d'amour. Lors de la courte conférence de presse très

intime au Capitole, il se défend bien de devenir comédien, même si - et surtout - la

scène est grisante. « Les gens deviennent acteurs pour interpréter des personnages,

alors que les écrivains sont habités par une multitude de personnages » déclare-t-il, le

sourire aux lèvres. Il désire concentrer ses énergies à l'écriture ; avant son départ pour le

Québec, il avouait avoir écrit une pièce et le premier chapitre de son prochain roman.

Le sujet ? « Je ne fais pas d’échographie avant l’accouchement » rétorque-t-il. Il faudra

donc attendre.

La reprise au Québec se fera tout d’abord les 19 et 20 février, à Montréal, pour

MONTRÉAL EN LUMIÈRE. Ce sera la première fois qu'il remontera sur les planches pour

jouer ce texte, depuis les attentats sur Paris en novembre 2015. Il avoue aussi qu'il

interprétera ses mots avec encore plus de tendresse, lui « l'amoureux inconditionnel de

la vie ». Puis, il reviendra en novembre et décembre prochains pour une tournée

québécoise qui l'amènera aux quatre coins de la province : 23 représentations en 30

soirs, dont une seule à Québec, à la salle Albert-Rousseau. C'est l'une des raisons pour

lesquelles il a accepté cette tournée, découvrir l’étendue des terres québécoises et,

pourquoi pas, tenir un journal de bord - qu'on attend déjà avec impatience.

Produit par Didier Morissonneau, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran sera une

occasion unique de voir le très sympathique auteur en personne, sous les traits de

Momo et de son entourage.

16 novembre / Ottawa / Centre des Arts Shenkman 17 novembre / Joliette / Salle Rolland-Brunelle 18 novembre / Saint-Jérôme / Salle André-Prévost 19 novembre / Shawinigan / Centre des Arts 20 novembre / Québec / Salle Albert-Rousseau 22 novembre / Sherbrooke / Salle Maurice O'Bready 23 novembre / Sainte-Geneviève / Salle Pauline-Julien 24 novembre / Trois-Rivières / Salle J.-Antonio-Thompson 25 novembre / Saint-Hyacinthe / Centre des Arts Juliette-Lassonde 26 novembre / Terrebonne / Théâtre du Vieux-Terrebonne 27 novembre / Montmagny / Salle Edwin-Bélanger 29 novembre / L'Assomption / Théâtre Hector-Charland 30 novembre / Drummondville / Maison des Arts Desjardins 1er décembre / Laval / Salle André-Mathieu 2 décembre / Longueuil / Théâtre de la Ville 5 décembre / Val-D'Or / Théâtre Télébec 6 décembre / Amos / Théâtre des Eskers 7 décembre / Rouyn-Noranda / Théâtre du cuivre 9 décembre / Belœil / Centre culturel 10 décembre / Valleyfield / Salle Albert-Dumouchel 13 décembre / Baie-Comeau / Centre des Arts 15 décembre / Victoriaville / Le Carré 150 16 et 17 décembre / Saint-Jean-sur-Richelieu / Théâtre des Deux-Rives

www.ddaprod.com

http://www.montheatre.qc.ca/quebec/actualite.html#17fev

SCÈNE

CATHERINE GENEST

Photo : Courtoisie Jean Brouillard 17 février 2016

Éric-Emmanuel Schmitt montera sur les planches de la Salle Albert-Rousseau le 20

novembre prochain pour présenter Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, adaptation

scénique d’un roman de son cru.

Rappelons, par ailleurs, que l’écrivain belge offrira aussi le même spectacle

aux Montréalais ces 19 et 20 février, dans le cadre de Montréal en lumière. Un

monologue qu’il porte à bout de bras en interprétant les rôles de Monsieur Ibrahim et

Momo.

Paru en 2001 chez Albin Michel, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran raconte l’histoire

d’une rencontre improbable entre un jeune ado (Momo) et un épicier sexagénaire de

confession musulmane.

Le livre avait également été transposé à l’écran par le réalisateur François

Dupeyron deux ans après sa sortie.R IBRAHIM ET LES FLEURS DU CORAN

Les billets sont en vente dès aujourd’hui pour la représentation de Québec.

https://voir.ca/nouvelles/actualite-en-arts-de-la-scene/2016/02/17/eric-emmanuel-

schmitt-sera-monsieur-ibrahim-a-quebec-en-novembre/

ÉRIC-EMMANUEL SCHMITT EN

TOURNÉE AU QUÉBEC L’auteur joue la pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

PHOTO LE JOURNAL DE QUÉBEC, JEAN-FRANÇOIS DESGAGNÉS

Éric-Emmanuel Schmitt était à Québec, mercredi, pour annoncer la tournée

québécoise de la pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, dans laquelle il est seul

sur scène.

SANDRA GODIN

Mercredi, 17 février 2016 21:08MISE à JOUR Mercredi, 17 février 2016 21:13

L’écrivain Éric-Emmanuel Schmitt partira en tournée partout au Québec cet automne,

mais en tant qu’acteur. Dans le cadre d’un parcours de 23 villes en 30 jours, en

novembre et décembre prochain, il présentera la version théâtrale de son propre

roman,Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, dans laquelle il joue à lui seul tous les

personnages.

Le dramaturge donne les deux premières représentations vendredi et samedi, à

Montréal, en première nord-américaine. Celui qui entretient une histoire d’amour avec

le Québec depuis 20 ans reviendra cet automne pour sa toute première tournée dans

la province, a-t-il annoncé mercredi, qui ira de Rouyn-Noranda jusqu’à Baie-Comeau.

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, un livre publié en 2001, a été vendu à plus de

trois millions d’exemplaires dans le monde. Il raconte l’histoire improbable de Momo, un

jeune juif qui entretient une amitié avec Ibrahim, un épicier musulman.

Éric-Emmanuel Schmitt est devenu l’acteur de sa propre pièce par accident. Il n’y avait

pas réellement songé, jusqu’à ce que l’acteur principal de l’adaptation théâtrale, qui

était présentée à Paris l’an dernier, ait un empêchement pour jouer.

La piqûre pour le jeu

«J’ai appris le texte en trois jours, a-t-il dit en point de presse. J’ai eu un plaisir total.»

Et il a pris goût à la scène, c’en est même risqué, dit-il. «J’adore être sur scène. J’adore

partager les émotions qu’il y a dans mes livres avec le public. La vie d’écrivain est une

vie de retrait. [...] J’ai découvert ce bonheur de vibrer avec les autres, de voir les salles

recevoir mes personnages directement. C’est extraordinaire de jouer.»

«Mais je ne jouerais que du Schmitt», lance-t-il en riant. Car personne ne connaît mieux

l’œuvre que son auteur. «Je lutte contre l’émotion qui me prend, parfois. Ces phrases

ont été inspirées par des choses que j’ai vécues que personne ne sait.»

«Monsieur Ibrahim, c’est mon grand-père, ajoute-t-il. [...] Je me suis beaucoup inspiré de

lui. Momo, c’est facile. C’est le gamin que je pouvais être, plein de révolte, plein de

mauvaise humeur, à deux doigts de tomber dans la délinquance.»

Un texte qui résonne autrement

Éric-Emmanuel Schmitt a déjà fait quelques représentations de la pièce en France en

2015. La dernière fois qu’il l’a jouée, c’était au lendemain des attentats de Paris. Ce

texte sur la tolérance, plus d’actualité que jamais, a donc eu une tout autre résonance.

«Le lendemain, tous les spectacles étaient supprimés, les théâtres, fermés. Mais le

sénateur de la ville a dit: “S’il y a un spectacle qu’on doit jouer pour ne pas céder à la

peur, c’est celui-là”. C’était une représentation exceptionnelle. On savait pourquoi on

était là.»

Le dramaturge affirme qu’au départ, le livre a été écrit comme un monologue de

théâtre. «Maintenant, on le lit comme un roman, mais ç’a été écrit pour la scène

d’abord», dit-il à propos de cet ouvrage qui a aussi fait l’objet d’un film, en 2004.

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran sera présenté vendredi et samedi, à la salle

Pierre-Mercure, à Montréal. La tournée québécoise aura lieu du 16 novembre au 17

décembre. Les billets sont en vente maintenant.

http://www.journaldequebec.com/2016/02/17/eric-emmanuel-schmitt-en-tournee-au-

quebec

Publié le 17 février 2016 à 19h28 | Mis à jour le 17 février 2016 à 19h28

Tournée québécoise pour Monsieur

Ibrahim

Sur les planches, Éric-Emmanuel Schmitt interprète à lui seul les 12 personnages qui animent l'histoire

de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran.

LE SOLEIL, PATRICE LAROCHE

GENEVIÈVE BOUCHARD

Le Soleil

(Québec) Éric-Emmanuel Schmitt était sur scène avec la

pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran quand les attentats sont

survenus à Paris en novembre. Et il est remonté sur les planches dans la

Ville lumière le lendemain.

Alors qu'il s'apprête à renouer avec ce texte à Montréal cette semaine, l'auteur et

acteur a annoncé mercredi qu'il prolongera son aventure québécoise : la pièce

fera l'objet d'une tournée automnale de 23 villes et fera escale à la salle Albert-

Rousseau le 20 novembre.

«Ça fait 20 ans que je viens au Québec», s'est réjoui mercredi le célèbre écrivain.

«Je venais avant qu'on me connaisse parce que j'avais de la famille, en fait, qui

s'était installée à Québec et qui est maintenant à Montréal, a-t-il raconté. Donc, je

suis venu comme un touriste tout à fait normal pour découvrir cette belle ville. Et

depuis des années, j'y viens pour des raisons professionnelles : pour les livres, pour

les films, pour les pièces de théâtre... Et maintenant pour jouer. J'aurai tout fait à

Québec ou presque!»

Éric-Emmanuel Schmitt en tournée québécoise Récit d'une amitié entre un jeune garçon juif et un vieil homme

musulman, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran prône la tolérance depuis sa

publication il y a une quinzaine d'années. Son adaptation cinématographique a

notamment valu à Omar Sharif le César du meilleur acteur. Sur les planches, Éric-

Emmanuel Schmitt interprète à lui seul les 12 personnages qui animent l'histoire.

L'auteur et comédien les incarnait à Jonzac le soir du 13 novembre, pendant le

carnage à Paris. Et il a repris du service le lendemain malgré le drame.

«Le vendredi soir, j'ai appris en quittant la scène ce qui se passait à Paris, raconte

M. Schmitt. Le lendemain, normalement, tous les spectacles étaient supprimés en

France, tous les théâtres étaient fermés. Mais le maire, qui était avec nous le

vendredi, a dit : "Attendez, s'il y a un spectacle qu'on doit jouer pour ne pas céder

à la peur, pour ne pas céder aux amalgames qui confondent islam et islamisme,

pour toujours proclamer la volonté de s'entendre et de vivre ensemble, c'est celui-

là."»

Éric-Emmanuel Schmitt décrit cette représentation parisienne comme

«exceptionnelle». «Parce qu'on savait pourquoi on était là, indique-t-il. Beaucoup

de gens connaissaient l'histoire. Monsieur Ibrahim est maintenant étudié dans les

collèges et les lycées. On savait pourquoi on était là et c'était très important de ne

pas faire le jeu des intégristes, des terroristes et des simplificateurs.»

Inscrite à la programmation du festival Montréal en lumière vendredi et samedi, la

pièce sera reprise par Éric-Emmanuel Schmitt pour la première fois depuis

novembre. «Je pense que je vais aller encore plus vers la tendresse qu'il y a dans

cette histoire, note-t-il. Dans un monde qui bruisse de violence et d'intolérance, je

vais essayer de faire briller cette tendresse et cette curiosité. La curiosité est la

première forme de la tolérance. Cette curiosité et cette envie de s'entendre alors

qu'on est très différents. J'ai encore plus envie de le jouer maintenant qu'avant. Le

contexte rend encore plus nécessaire des textes qui disent : on peut s'entendre.»

Quant au reste de la province, il devra l'automne avant de voir la pièce s'installer

chez eux. Entre la mi-novembre et la mi-décembre, Éric-Emmanuel Schmitt

ratissera large dans un itinéraire incluant l'Abitibi et la Côte-Nord. Et il n'ira pas s'en

plaindre.

«Je me suis dit : "Je vais parcourir le Québec jusqu'au nord du pays." Je suis curieux,

vous savez. Je suis la curiosité sur pattes. J'ai même l'intention de tenir un journal de

cette tournée... Un journal de la découverte du Québec indépendamment de ce

que je connais, qui est Montréal et Québec...»

=> Vous voulez y aller?

Qui: Éric Emmanuel Schmitt

Quoi: Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

Quand: 20 novembre à 15h

Billets: 77 $

Info: 418 659-6710

http://www.lapresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/theatre/201602/17/01-4951749-

tournee-quebecoise-pour-monsieur-ibrahim.php

ÉRIC-EMMANUEL SCHMITT SUR SCÈNE À QUÉBEC LE

20 NOVEMBRE 2016 17 février 2016 16 h 45 min 0 commentaire

Auteur:

Lise Breton

Éric-Emmanuel Schmitt / Photo Lise Breton

Le célèbre romancier, dramaturge et acteur Éric-Emmanuel Schmitt est de passage

aujourd’hui à Québec afin d’annoncer avec un immense plaisir qu’il sera sur la scène

de la Salle Albert-Rousseau le dimanche 20 novembre à 15h en après-midi afin de

présenter sa pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran dans laquelle il tient les rôles

principaux de M. Ibrahim et Momo sans répit et avec grande générosité.

Voilà une occasion exceptionnelle de voir Éric-Emmanuel Schmitt incarner lui-même

Momo, le personnage unique de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran. Ce

personnage qui, maintenant adulte, se remémore son enfance : celle d’un garçon juif

de douze ans que la vie malmène et qui se lie d’amitié avec Monsieur Ibrahim, qu’il

interprète également, l’épicier musulman du coin, vieil homme qui connaît les secrets

du bonheur et du sourire… Et qui feront retrouver la joie de vivre au petit. Une leçon de

sagesse et de tolérance, signée et interprétée par Éric-Emmanuel Schmitt.

Éric-Emmanuel Schmitt est l’un des auteurs francophones contemporains les plus lus et

les plus joués au monde. Ses œuvres remplies d’humour et d’humanité, traduites en

quarante-trois langues dans plus de cinquante pays, sont saluées des plus prestigieuses

distinctions du monde littéraire. Éric-Emmanuel Schmitt est notamment l’auteur du

Cycle de l’Invisible, série de six récits sur les religions dont le succès est fulgurant.

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran en est le second volet. Largement adaptée au

théâtre et au cinéma, cette touchante histoire voyait d’ailleurs Omar Sharif récolter le

César du meilleur acteur en 2004.

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quebec-le-20-novembre-2016/#sthash.yp6YOKUw.wYyga4cN.dpuf

«Tout le monde en parle»: les invités de

ce dimanche Le Huffington Post Québec | Par Marie-Josée Roy

Publication: 17/02/2016 19:39 EST Mis à jour: 17/02/2016 19:39 EST

On continuera de jaser de Claude Jutra à Tout le monde en parle, ce dimanche.

L’auteur de la biographie qui a révélé au grand jour les actes pédophiles du défunt

cinéaste, Yves Lever, et le comédien Marc Béland, qui a livré un plaidoyer controversé

en faveur de Jutra sur les ondes de RDI plus tôt cette semaine, seront sur le plateau du

rendez-vous dominical pour faire le point sur toute l’affaire.

À la table de Guy A. Lepage et Dany Turcotte se réuniront également Marc Labrèche,

l’auteure Rafaële Germain et le chroniqueur de La Presse, Yves Boisvert, qui

collaboreront à la nouvelle émission Info, sexe et mensonges, que Radio-Canada

présentera l’an prochain ; l’auteure-compositrice-interprète Lou Doillon, dont le

deuxième album, Lay Low, est paru à l’automne ; l’écrivain Éric-Emmanuel Schmitt, qui

partira en tournée au Québec pendant l’année avec sa pièce Monsieur Ibrahim et les

fleurs du Coran, ainsi que trois vedettes du spectacle La tournée des idoles, Patsy

Gallant, Michèle Richard et Gilles Girard.

La semaine dernière, Tout le monde en parle a retenu l’attention de 991 000

téléspectateurs, alors qu’à TVA, la dernière ronde d’auditions à l’aveugle de La voix a

fasciné 2 463 000 personnes. Tout de suite après, Accès illimité a intéressé 1 030 000

curieux.

L’émission est diffusée à 20h, à Radio-Canada.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/02/17/tout-le-monde-en-parletout-le-monde-en-

parle--les-invites-de-ce-dimanche_n_9258450.html

Eric-Emmanuel Schmitt sur

scène dans 23 villes à

l'automne

Éric-Emmanuel Schmitt.Photo Eric Feferberg / AFP

17-02-2016 | 16h33

Éric-Emmanuel Schmitt, qui jouera ce week-end en première nord-américaine dans sa

pièce Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, sera de retour cet automne pour

effectuer une tournée québécoise de 23 villes avec la même œuvre.

Les 19 et 20 février, dans le cadre de Montréal en lumière, c'est sur la scène de la Salle

Pierre-Mercure que M. Schmitt brillera dans la peau de Momo, seul personnage

de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, une pièce adaptée du propre roman de

l'artiste multidisciplinaire.

Le périple automnal du romancier et dramaturge le conduira aux quatre coins de la

Belle Province, incluant des arrêts à Amos, Montmagny, Shawinigan ou encore Trois-

Rivières. Mais c'est dans le secteur Orléans d'Ottawa, en Ontario, que se mettra en

branle la tournée, le 16 novembre prochain.

16 novembre / Ottawa / Centre des Arts Shenkman

17 novembre / Joliette / Salle Rolland-Brunelle

18 novembre / Saint-Jérôme / Salle André-Prévost

19 novembre / Shawinigan / Centre des Arts

20 novembre / Québec / Salle Albert-Rousseau

22 novembre / Sherbrooke / Salle Maurice O'Bready

23 novembre / Sainte-Geneviève / Salle Pauline-Julien

24 novembre / Trois-Rivières / Salle J.-Antonio-Thompson

25 novembre / Saint-Hyacinthe / Centre des Arts Juliette-Lassonde

26 novembre / Terrebonne / Théâtre du Vieux-Terrebonne

27 novembre / Montmagny / Salle Edwin-Bélanger

29 novembre / L'Assomption / Théâtre Hector-Charland

30 novembre / Drummondville / Maison des Arts Desjardins

1er décembre / Laval / Salle André-Mathieu

2 décembre / Longueuil / Théâtre de la Ville

5 décembre / Val-D'Or / Théâtre Télébec

6 décembre / Amos / Théâtre des Eskers

7 décembre / Rouyn-Noranda / Théâtre du cuivre

9 décembre / Belœil / Centre culturel

10 décembre / Valleyfield / Salle Albert-Dumouchel

13 décembre / Baie-Comeau / Centre des Arts

15 décembre / Victoriaville / Le Carré 150

16 et 17 décembre / Saint-Jean-sur-Richelieu / Théâtre des Deux-Rives

http://fr.canoe.ca/divertissement/artsscene/nouvelles/archives/2016/02/20160217-

163321.html

«Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran»

Éric-Emmanuel Schmitt sur scène

dans 23 villes cet automne Agence QMI

| Publié le 17 février 2016 à 16:12 - Mis à jour le 17 février 2016 à 16:19

Éric-Emmanuel Schmitt, qui jouera ce week-end en première nord-américaine dans sa

pièce «Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran», sera de retour cet automne pour

effectuer une tournée québécoise de 23 villes avec la même œuvre.

Les 19 et 20 février, dans le cadre de Montréal en lumière, c’est sur la scène de la Salle

Pierre-Mercure que M. Schmitt brillera dans la peau de Momo, seul personnage de

«Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran», une pièce adaptée du propre roman de

l'artiste multidisciplinaire.

Le périple automnal du romancier et dramaturge le conduira aux quatre coins de la

Belle Province, incluant des arrêts à Amos, Montmagny, Shawinigan ou encore Trois-

Rivières. Mais c’est dans le secteur Orléans d’Ottawa, en Ontario, que se mettra en

branle la tournée, le 16 novembre prochain.

http://www.tvanouvelles.ca/2016/02/17/eric-emmanuel-schmitt-sur-scene-dans-23-

villes-cet-automne

Publié le 16 février 2016 à 15h22 | Mis à jour le 16 février 2016 à 15h22

Échos de scène: Hiroaki Umeda

Hiroaki Umeda dans Intensional Particle.

PHOTO FOURNIE PAR L'USINE C

MARIO CLOUTIER

La Presse

Tous les mardis, La Presse présente les actualités de la semaine dans le

monde du théâtre à Montréal et au Québec. Premières, coups de

coeur, spectacles en tournée et pièces à voir. La scène se passe ici et

maintenant.

Tête d'affiche: Hiroaki Umeda

Corps lumière, danseur cinétique, Hiraoki Umeda est l'un des chefs de file de l'avant-

garde numérique mondiale. Photographe, danseur hip-hop, chorégraphe ayant

étudié avec Saburo Teshigawara, il vient présenter sa nouvelle création,Intensional

Particle, dont la mauvaise orthographie est «intentionnelle».

Aussi inspiré par les arts visuels et l'abstraction, il dessine carrément ses solos sur papier

avant de les soumettre au bombardement d'éclairages fort inventifs en répétitions. «Il

n'y a pas de différence entre moi et la lumière», a-t-il déclaré l'an dernier en entrevue

àTélérama.

Intensional Particle est présentée en première nord-américaine à l'Usine C dans le

cadre du festival Temps d'image du 18 au 20 février.

Le chiffre de la semaine: 18

La compagnie Marie Chouinard tourne en France et au Danemark jusqu'au 22 mars.

Au total, 18 représentations de 7 oeuvres - dont Le sacre du printemps et Les 24

préludes de Chopin - seront présentées dans 8 villes différentes.

Hors du 514: (Entre)

Théâtre, danse, scénographie interactive, le spectacle (Entre) se situe justement à la

convergence de diverses disciplines. Présenté dans le cadre du Mois Multi à

Québec, (Entre) est un spectacle interactif utilisant grandement la technologie.

Présenté à la Salle Multi du 24 au 26 février.

Devinette

Avant sa vie sur les planches, le roman d'Éric-Emmanuel Schmitt, Monsieur Ibrahim et

les fleurs du Coran a été adapté au cinéma. Qui jouait M. Ibrahim dans le film?

Réponse: Omar Sharif

Aussi à l'affiche

Behind & Between, chorégraphie de Marie Béland, Agora de la danse, du 17 au 19

février.

Démesure, du Théâtre de la Dame de coeur. Place des Festivals (spectacle gratuit),

du 18 février au 5 mars.

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, d'après le roman d'Éric-Emmanuel Schmitt,

salle Pierre-Mercure les 19 et 20 février.

Les laissés pour contes, de divers auteurs, mise en scène: Patrick Renaud, La Chapelle

du 17 au 21 février.

Race de David Mamet, mise en scène: Martine Beaulne, Jean-Duceppe du 17 février

au 26 mars.

Le miel est plus doux que le sang, de Philippe Soldevila et Simone Chartrand, mise en

scène: Catherine Vidal, Théâtre Denise-Pelletier jusqu'au 27 février.

Saint-André-de-l'Épouvante de Samuel Archibald, mise en scène: Patrice Dubois,

Espace Go du 18 février eu 12 mars.

Glengarry Glen Ross de David Mamet, mise en scène: Frédéric Blanchette, Rideau

Vert jusqu'au 27 février.

Habiter les terres de Marcelle Dubois, mise en scène de Jacques Laroche, Aux Écuries

jusqu'au 27 février.

Bibish de Kinshasa de Marie-Louise Bibish Mumbu, mise en scène: Philippe Ducros, dans

plusieurs maisons de la culture jusqu'au 28 février.

Bancs d'école

Les élèves de l'École nationale de théâtre font table rase. Ils présentent la pièce de

Jean-François Rochon (écriture dramatique 2015), intitulée Tabula rasa, mise en scène

par Isabelle Leblanc (interprétation 1990) au Monument-National du 17 au 21 février.

http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/theatre/201602/16/01-4951287-

echos-de-scene-hiroaki-umeda.php