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RICHARD GALLIANO SEXTET

« LES 8 SAISONS » !

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« VIVALDI » Album paru en France 1er avril 2013

Deutsche Grammophon

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Les célèbres Quatre Saisons (Le Quattro Stagioni) d'Antonio Vivaldi (1678-1741)

constituent un cycle à part entière, contenu dans le recueil de l’opus 8 Il cimento dell'armonia e dell'invenzione, édité en 1725 à Amsterdam par Michel Le Cène. Ces concertos pour violon et orchestre n°1 à 4 sont descriptifs, usant de nombreux effets tendant à imiter le chant des oiseaux, le murmure du vent ou de l'onde, les aboiements d'un chien ou encore le son de la musette. Aujourd'hui, Richard Galliano et son quintet à cordes nous proposent une version inédite dans laquelle l'Accordéon devient soliste au cœur d'un dialogue évident avec les instruments à cordes. Après le succès de son disque "Bach" édité chez le prestigieux label allemand Deutsche Grammophon, vendu à près de 50 000 copies seulement en France, Richard Galliano continue sa "mission" de réhabilitation de son Stradivarius à bretelles, son instrument de prédilection: l'Accordéon (la Fisarmonica en italien) Une autre sensibilité (surtout dans les mouvements lents où l'Accordéon nous transporte vers un sentiment nostalgique, éthéré, aérien...) Une virtuosité comparable à celle du violon. Un véritable feu d'artifice de timbres et de couleurs.

RICHARD GALLIANO

Richard Galliano est né le 12 décembre

1950 à Cannes (France). Alors que l'accordéon semblait n'avoir jamais vraiment connu de soliste majeur et que, par les connotations qui l'entourent, il paraissait irrémédiablement éloigné du swing, Richard Galliano est parvenu, avec une détermination sans pareille, à imposer l'idée que son instrument était digne de figurer aux côtés des saxophones et trompettes qui sont au cœur de la musique de jazz. Inspiré par son admiration pour son ami Astor Piazzolla, inventeur du « Tango Nuevo », l'accordéoniste a réussi, en outre, avec son « new musette », à revitaliser une tradition bien française qui semblait ne jamais devoir connaître de renouveau. Fils de Lucien Galliano, professeur d'accordéon d'origine italienne, Richard a débuté l'instrument à l'âge de quatre ans. Parallèlement à son apprentissage, il suit une formation au conservatoire de Nice, étudiant l'harmonie, le contrepoint et le trombone. A l'âge de 14 ans, il découvre le jazz au travers de Clifford Brown dont il relève les chorus et

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s'étonne que l'accordéon soit si peu présent dans cette musique. Il s'intéresse alors aux accordéonistes brésiliens (Sivuca, Dominguinhos), découvre les spécialistes américains qui se sont frottés au jazz (Tommy Gumina, Ernie Felice, Art Van Damme) et les maîtres italiens (Felice Fugazza, Volpi, Fancelli), rejetant en bloc le jeu traditionnel qui domine dans l'Hexagone. En 1973, Galliano « monte » à Paris où il séduit Claude Nougaro. Pendant trois ans, il assure la fonction d'arrangeur, de chef d'orchestre et même de compositeur dans un groupe où il côtoie d'authentiques jazzmen. Il participe, en outre, à de nombreuses séances d'enregistrement de variété (Barbara, Serge Reggiani, Charles Aznavour, Juliette Gréco, etc.) et à des musiques de film. Dès le début des années 1980, il multiplie les occasions de fréquenter des jazzmen de toutes obédiences et de pratiquer l'improvisation à leurs côtés : Chet Baker (sur un répertoire brésilien), Steve Potts, Jimmy Gourley, Toots Thielemans, le violoncelliste Jean- Charles Capon (avec qui il signe son premier disque), Ron Carter (avec qui il enregistre en duo en 1990), etc. En 1988, Richard Galliano créé le célèbre « Festival des Nuits de Nacre » à Tulle qu'il dirigera durant 5 années (de 1988 à1992) en tant que Directeur Artistique (voir le DVD de Pierre Barouh Accordéons). En 1991, sur les conseils d'Astor Piazzolla qu'il a rencontré en 1983 à la faveur d'une musique de scène pour la Comédie-Française, Richard Galliano fait retour sur ses racines, revenant au répertoire traditionnel de valses musettes, de java, de complaintes et de tangos, qu'il avait longtemps ignoré. Renouant avec l'esprit de Gus Viseur et Tony Murena, il permet à l'accordéon de se défaire de son image « vieillotte » par un travail sur le trois temps, une autre conception rythmique, un changement des harmonies, qui l'acclimate au jazz. Réalisé avec Aldo Romano, Pierre Michelot et Philip Catherine, son disque-manifeste « New Musette » (Label bleu) lui vaut de recevoir le prix Django-Reinhardt de l'Académie du Jazz en 1993, récompense qui salue le « musicien français de l'année ». S'ensuit une série d'albums dans lesquels Richard Galliano révèle, sur un modèle Victoria qu'il ne quitte plus, une aisance à adapter l'accordéon aux libertés du jazz, virtuose dans le phrasé, totalement décomplexé, d'une grande richesse dans la sonorité, habile à décloisonner les musiques à l'aide d'un instrument qui ignore les frontières. En 1996, il traverse l'Atlantique pour enregistrer son « New York Tango », avec George Mraz, Al Foster et Biréli Lagrène, disque pour lequel il obtient une Victoire de la musique. La réputation de Richard Galliano prend alors une envergure internationale et les collaborations se multiplient. Il s'engage dans des duos, dont certains à l'instrumentation insolite, avec des personnalités aussi diverses qu'Enrico Rava, Charlie Haden, Michel Portal (« Blo w Up », en 1997, est un vrai succès commercial avec plus de 100 000 exemplaires vendus), son confrère Antonello Salis (en Italie) ou encore l'organiste Eddy Louiss (2001). Il est fidèle pendant des années au trio qu'il forme avec Daniel Humair et Jean-François Jenny-Clarke (de 1993 jusqu'à la disparition du contrebassiste en 1998), puis renoue avec ce format en 2004 avec une rythmique « new-yorkaise » composée de Clarence Penn et Larry Grenadier. Des rencontres plus ponctuelles ont également lieu avec Jan Garbarek, Martial Solal, Hermeto Pascoal, Anouar Brahem, Paolo Fresu et Jan Lundgren, Gary Burton... En 1999, avec un orchestre de chambre, il fait entendre ses propres compositions aux côtés d'oeuvres écrites par Astor Piazzolla. Ce travail trouve un prolongement en 2003 dans « Piazzolla Forever », hommage dans lequel Galliano rejoue les pièces de son mentor. D'une rare polyvalence, Richard Galliano possède ainsi les moyens de s'exprimer avec musicalité dans n'importe quel contexte, du solo (tel le « Paris Concert » au Châtelet, paru en 2009) jusqu'au big band (avec le Brussels Jazz Orchestra en 2008). Désormais reconnu comme un soliste exceptionnel, il continue d'explorer un large éventail de musiques, sans se défaire de ce lyrisme qui irrigue son jeu lorsqu'il enregistre les ballades de « Love Day » avec Gonzalo Rubalcaba, Charlie Haden et Mino Cinelu, ni se départir de cette « French Touch » qui lui permet d'établir avec le trompettiste Wynton Marsalis le trait d'union qui relie Billie Holiday et Edith Piaf. Soucieux de transmettre sa riche expérience, il est l'auteur, avec son père Lucien, d'une méthode d'accordéon saluée en 2009 par le prix Sacem du Meilleur ouvrage pédagogique.

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Pour honorer l’anniversaire des 20 ans de la disparition d’Astor Piazzolla (1992-2012), l’ami et mentor de Richard Galliano, Dreyfus Jazz réédite un coffret contenant un Cd et un Dvd du mythique programme Piazzolla Forever Septet (sorti en janvier 2012). Plusieurs concerts en France et à l’étranger sont déjà prévus tout au long de l’année 2012.

En 2010, Richard Galliano signe un contrat d'exclusivité discographique avec Deutsche Grammophon. Il enregistre dans la foulée un album consacré entièrement à la Musique de Jean-Sébastien Bach (qui devient avec 40 000 exemplaires vendus la Meilleure Vente Classique de l'Année).

En 2011 est sorti un album dédié aux musiques de film du fameux compositeur italien Nino Rota. Avec, notamment, John Surman au saxophone soprano et Dave Douglas à la trompette, Richard Galliano donne ici une lecture résolument jazz des célèbres mélodies de La Strada, The Godfather (qu'il joue au Trombone solo sur la première plage du disque), La Dolce Vita, Amarcord, Otto e Mezzo (Huit et demi)...

En 2013, il revient avec un enregistrement des Quatre Saisons (Le Quattro Stagioni) de Vivaldi dans une version inédite et contemporaine qu'il a arrangée lui-même pour accordéon et quintette à cordes.

Désormais, Richard Galliano est le seul accordéoniste concertiste à avoir le privilège d'enregistrer pour le prestigieux Label Allemand Deutsche Grammophon (au même titre que Pierre Boulez, Daniel Barenboim, Herbert Von Karajan, etc.) Son rêve d'adolescent est enfin réalisé à l'âge de... 60 ans. 2004 Chevalier dans l'ordre National du Mérite 2009. Officier dans l'ordre des Arts et des Lettres 2011. Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres

Vincent Bessières %

« LES 8 SAISONS » – VIVALDI/PIAZZOLLA

Les anciens peuples lapons et samis ne se contentaient pas des quatre saisons, ils ont divisé l’année en huit saisons : l’automne hivernal, l’hiver, l’hiver printanier, le printemps, l’été printanier, l’été, l’été automnal et l’automne. Les quatre saisons principales étaient complétées par des saisons intermédiaires. Les chaudes nuits de clair de lune du mois d’août font partie de l’été, mais le mois d’août a aussi des traits de fraîcheur et de lumière atténuée propres à l’automne. Il suffit de quelques nuits froides, d’une nuit gelée pour passer de l’été automnal à l’automne. Lorsque les feuilles tombent des arbres et que la brume nocturne et le gel posent leur voile sur les rives du lac, c’est le plein automne mais pas encore l’automne hivernal. L’année commence par l’hiver glacé. Les fêtes de fin d’année sont terminées, il fait sombre, froid, le silence règne jusqu’en mars-avril, et tout de suite après mardi-gras, commence le printemps des bancs de neige. La quantité de lumière augmente nettement même si les nuits sont encore sombres et froides.

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Cependant, sous l’influence de la lumière, la nature s’éveille, et à la période de la fonte des glaces, il y a encore de la neige au sol mais aux endroits où la neige a fondu, on voit pousser les premiers végétaux et les rennes mettent bas à ces endroits. Les premiers plecoptera se déplacent sur les congères des rives. Lorsque le soleil ne se couche plus, commence l’été vert clair c’est à dire la période du soleil de minuit. Toute la nature vit en extase continuelle vingt quatre heures sur vingt quatre. Mais dès que l’épilobe fleurit, commence aussi la saison de la récolte et les journées se raccourcissent. Vient ensuite l’automne chatoyant qui nous rappelle que la nature se recouvrira à nouveau de glace et de neige. Ensuite tombe la première neige qui fond déjà lors des premiers redoux. Cette période de neige noire est suivie de gelées qui recouvrent le sol. Le cycle annuel est achevé par la dernière saison de l’année, la nuit polaire de Noël qui signifie une longue période d’obscurité. La nuit polaire se termine avec le plus grand moment de l’année, Noël, moment où l’on fête la naissance, la lumière et où on laisse des choses derrière soi. Le temps était divisé en huit périodes pour une bonne raison. Le temps et les prédictions météorologiques dictaient ce qu’il fallait faire et à quel moment. Le style de vie nordique a généré un esprit et une mentalité nordiques reflétant la propre vie de la nature. La nature est constamment en phase de changement dans la saison accomplie et est déjà en route vers la suivante. De la même manière, l’homme se trouve toujours dans un état intermédiaire, il est constamment en route vers quelque part. Il est orienté vers l’avenir. Les structures et institutions de la société changent, mais la mentalité modelée par la nature reste pratiquement inchangée au fil des générations. Aussi, les huit saisons ont été préservées. Encore aujourd’hui, elles dirigent nos actions, nos sentiments et nos pensées de plusieurs manières et sans cesse.

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"#$#%&'()!%%Accordéon Richard Galliano Violon 1, Jean-Marc Phillips-Varjabédian, Bertrand Cervera Violon 2, Bertrand Cervera, Saskia Lethiec Alto, Jean-Marc Apap / Jean-Paul Minali-Bella Violoncelle, Éric Levionnois / Yan Levionnois Contrebasse, Sylvain Le Provost / Stéphane Logerot Durée : 1h10 1 – La Primavera (A. Vivaldi, arr. R. Galliano)

/ Allegro / Largo e pianissimo / Allegro

2 – Primavera Portena (A. Piazzolla, arr. R. Galliano) 3 – L’Estate (A. Vivaldi, arr. R. Galliano)

/ Allegro mà non molto / Adagio / Presto

4 – Verano Porteno (A. Piazzolla, arr. R. Galliano) 5 – L’Autunno (A. Vivaldi, arr. R. Galliano)

/ Allegro / Adagio molto / Allegro

6 – Otono Porteno (A. Piazzolla, arr. R. Galliano) 7 – L’Inverno (A. Vivaldi, arr. R. Galliano)

/ Allegro non molto / Largo / Allegro

8 – Inverno Porteno (A. Piazzolla, arr. R. Galliano) %(Sous réserve de modifications dans l’ordonnancement du programme)

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Saint-Maur (94) 23 septembre 2013 (« Les 8 Saisons » - Vivaldi/Piazzolla)

Sylvanès (12)

18 août 2013 (« Les 8 Saisons » - Vivaldi/Piazzolla)

Menton (06) 10 août 2013 (« Les 8 Saisons » - Vivaldi/Piazzolla)

Guidel (56)

15 juillet 2013 (« Les 8 Saisons » - Vivaldi/Piazzolla)

Ravello (IT) 1er juin 2013 (« Les 8 Saisons » - Vivaldi/Piazzolla)

Bruxelles (BE)

27 mai 2013 (« Les 8 Saisons » - Vivaldi/Piazzolla)

Eglise Saint Eustache (Paris) 22 mai 2013 (création des Eglise Saint Eustache, Paris)

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REVUE DE PRESSE (Les 8 Saisons + De Bach à Piazzolla) (sélection 2011-2013) 25 avril 2013 – GLAM Attitude (Les 8 Saisons)

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11 avril 2013 – RTL (Les 8 Saisons/Classique d’Or RTL)

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10 avril 2013 – La Dépêche (Les 8 Saisons)

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29 mars 2013 – Parisbouge (Les 8 Saisons)

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28 Mars 2013 – Carrefour de L’Odéon (France Inter) (Les 8 Saisons)

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28 mars 2013 – Tutti Magazine (Les 8 Saisons)

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22 mars 2013 – Le Parisien (Les 8 Saisons)

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13 mars 2013 – Le Progrès

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10 février 2013 – Ouest France

SORTIR

Ouest-France

Dimanche 10 février 2013

Caen. On a vu : du grand Richard Galliano au Théâtre

Sur fond de cordes et piano, Richard Galliano, tout sourire, détendu, entre sur scène et nous offre un Melodicelli doux et insouciant.Samedi soir, au Théâtre de Caen, ses chaussures vernies noires brillent autant que son accordéon. Ses mains se baladent avecfacilité sur le clavier aux boutons noirs et blancs. L’accordéon a un son magnifique, il le fait chanter comme personne.

Puis, changement de registre avec l’Opale Concerto dans lequel on retrouve l’esprit du tango. Mais du tango à la Galliano, ducaractère sans violence. Une pièce très performante en trois mouvements dans laquelle la diversité du rythme et des couleurs esttrès riche. Le son toujours clair et précis, il joue avec une incroyable vélocité en maniant son soufflet avec un grand contrôle. Il sefond dans l’orchestre puis ressort le temps d’une phrase musicale. Tout est dosé et en même temps semble terriblement simple.

Lors de ce qu’on pourrait appeler une deuxième partie, il part chercher le petit frère de l’accordéon, le bandonéon. Une très bellepièce noire gravée à l’argent avec un soufflet qui semble extensible à l’infini. Posé sur son genou, il le tortille, le dompte, le tournanttantôt à droite, tantôt à gauche sur le Concerto Aconcagua, une pièce de son maître d’art Piazzola dans lequel il semble très àl’aise.

Un concert où la communion avec le public était totale, ce dernier lui a bien rendu en le faisant revenir pas loin de cinq fois surscène. Lui, l’étonnant toujours avec des pièces qu’il manie à la baguette. Richard Galliano est clairement maître de son tango.

Ce dimanche 10 février, à 17 h et 20 h, derniers rendez-vous dans le cadre des 30 ans de l’Orchestre régional de Basse-Normandie : Pierre et le loup insolite, avec dans le rôle de récitants Olivier Saladin et François Morel. À partir de 6 ans. Tarifs : de 6à 21 !.

© Alix Laveau

Caen. On a vu : du grand Richard Galliano au Théâtre - Caen... http://www.caen.maville.com/sortir/infos_-Caen.-On-a-vu-du...

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25 juin 2012 – La Presse (Canada)

Richard Galliano: l'accordéon au cœur de Bach et Piazzolla Alain Brunet La Presse «Pourquoi JSB à l'accordéon? Enfant, m'a déjà raconté Piazzolla, il avait eu son premier choc musical avec Jean- Sébastien Bach. Astor avait d'ailleurs écrit plusieurs fugues dans le style tango, mais dans l'esprit de Bach», amorce ce musicien d'une courtoisie et d'une humilité exemplaires qu'est Richard Galliano, joint à son domicile français. «Avant de recevoir votre appel téléphonique, j'étais à travailler Vivaldi. Lorsque je joue cette musique, j'ai aussi le sentiment de refaire le chemin d'Astor Piazzolla, de voir par où il est passé. Le lien avec Piazzolla est encore plus évident chez Vivaldi que chez Bach: ils avaient tous deux une manière assez simple d'écrire la musique et qui demande à être ornementée dans l'interprétation. Lorsque j'écoute la relecture de Bach pour les concertos de Vivaldi, je me dis que je peux créer un peu dans le même esprit avec l'accordéon. Pour l'accordéon, Bach et Vivaldi, ça fonctionne très bien, qu'il s'agisse d'oeuvres pour l'orgue, pour le clavecin ou pour les cordes. Ça donne quelque chose de très différent.» «Cette fois, cependant, il est essentiellement question de Bach avec qui on établit un rapport piazzolien si ce n'est que dans le choix du programme.» «Bach, c'est quelque chose de très à part; l'émotion se trouve déjà dans la composition et les harmonies, pas la peine que l'interprète en rajoute. Dans le contexte des mouvements lents, par exemple, il faut rester dans un registre très pur, très simple, sans ornementation. De l'accordéon se dégage alors une émotion très différente du violon, par exemple. L'accordéon suggère plus de tristesse, de nostalgie, alors que le violon, est plus flamboyant. Mais il n'y a pas ce blues qu'on peut exprimer avec l'accordéon.» Richard Galliano souligne n'avoir jamais joué ce programme Bach-Piazzolla en Amérique du Nord. «Ça avait commencé avec le projet Piazzolla Forever il y a une douzaine d'années, puis j'ai joué des musiques de Bach et Vivaldi. Mon ensemble a fait environ 400 concerts depuis lors. À Montréal, donc, nous commencerons par le double Concerto pour violon et hautbois en ut mineur BWV.1060. On jouera ensuite le mouvement lent du Concerto pour clavecin, cordes et continuo No 5 en fa mineur BWV 1056. Puis le premier mouvement du Concerto pour violon en la mineur BWV 1041. Je joue la célèbre Aria parce que là, on se trouve dans quelque chose d'un peu plus populaire. Puis ma Valse à Margaux, mon Tango pour Claude, Habanerando et mon solo créé pour Libertango. On est donc arrivé chez Piazzolla, dont on jouera un extrait de la bande originale du film Sur, sans compter Automne Porteno, Oblivion, Esqualo.» L'instrumentation? «Le quintette à cordes comporte deux violons, un alto, un violoncelle, une contrebasse. Et il y a moi, l'intrus à l'accordéon! Accordéon chromatique à boutons, donc. Jeune, j'avais commencé avec la touche piano, mon père (qui est pianiste et accordéoniste) m'avait conseillé de jouer l'accordéon avec clavier à boutons. Or, j'aime beaucoup la touche piano, c'est pourquoi mon accordéon est un mélange des deux; la tessiture ressemble à l'accordéon piano et le clavier est à boutons. La coque de mon instrument (de marque Victoria) est plus près du corps, moins lourde, ce qui me permet de jouer debout pendant un concert entier. Cela est beaucoup plus difficile lorsqu'on joue d'un accordéon à boutons «normal». Mon instrument est un peu entre les deux. Je n'apporterai pas le bandonéon dans ce contexte. J'arriverai avec l'accordéon à boutons et le petit accordina avec lequel je fais Menuet et Badinerie de Bach.» Ainsi, on commence par Bach et on boucle la boucle avec Bach. Richard Galliano se produit le jeudi 28 juin, à 19h, à la Maison symphonique de Montréal.

27/06/12 12:13Richard Galliano: l'accordéon au coeurde Bach et Piazzolla | Alain Brunet | Festival de jazz

Page 1 sur 2http://www.lapresse.ca/arts/festivals/festival-de-jazz/201206/23/01…37883-richard-galliano-laccordeon-au-coeurde-bach-et-piazzolla.php

Richard Galliano.Photo fournie par la production.

Publié le 25 juin 2012 à 18h00 | Mis à jour le 25 juin 2012 à 18h00

Richard Galliano: l'accordéon au coeurde Bach etPiazzolla

Alain BrunetLa Presse

«Pourquoi JSB à l'accordéon? Enfant, m'adéjà raconté Piazzolla, il avait eu sonpremier choc musical avec Jean-Sébastien Bach. Astor avait d'ailleurs écritplusieurs fugues dans le style tango, maisdans l'esprit de Bach», amorce cemusicien d'une courtoisie et d'une humilitéexemplaires qu'est Richard Galliano, jointà son domicile français.

«Avant de recevoir votre appeltéléphonique, j'étais à travailler Vivaldi.Lorsque je joue cette musique, j'ai aussi lesentiment de refaire le chemin d'AstorPiazzolla, de voir par où il est passé. Lelien avec Piazzolla est encore plusévident chez Vivaldi que chez Bach: ilsavaient tous deux une manière assezsimple d'écrire la musique et qui demandeà être ornementée dans l'interprétation.Lorsque j'écoute la relecture de Bach pour

les concertos de Vivaldi, je me dis que je peux créer un peu dans le même esprit avec l'accordéon. Pour l'accordéon,Bach et Vivaldi, ça fonctionne très bien, qu'il s'agisse d'oeuvres pour l'orgue, pour le clavecin ou pour les cordes. Çadonne quelque chose de très différent.»

«Cette fois, cependant, il est essentiellement question de Bach avec qui on établit un rapport piazzolien si ce n'est quedans le choix du programme.»

«Bach, c'est quelque chose de très à part; l'émotion se trouve déjà dans la composition et les harmonies, pas la peineque l'interprète en rajoute. Dans le contexte des mouvements lents, par exemple, il faut rester dans un registre très pur,très simple, sans ornementation. De l'accordéon se dégage alors une émotion très différente du violon, par exemple.L'accordéon suggère plus de tristesse, de nostalgie, alors que le violon, est plus flamboyant. Mais il n'y a pas ce bluesqu'on peut exprimer avec l'accordéon.»

Richard Galliano souligne n'avoir jamais joué ce programme Bach-Piazzolla en Amérique du Nord.

«Ça avait commencé avec le projet Piazzolla Forever il y a une douzaine d'années, puis j'ai joué des musiques de Bachet Vivaldi. Mon ensemble a fait environ 400 concerts depuis lors. À Montréal, donc, nous commencerons par le doubleConcerto pour violon et hautbois en ut mineur BWV.1060. On jouera ensuite le mouvement lent du Concerto pourclavecin, cordes et continuo No 5 en fa mineur BWV 1056. Puis le premier mouvement du Concerto pour violon en lamineur BWV 1041. Je joue la célèbre Aria parce que là, on se trouve dans quelque chose d'un peu plus populaire. Puisma Valse à Margaux, mon Tango pour Claude, Habanerando et mon solo créé pour Libertango. On est donc arrivé chezPiazzolla, dont on jouera un extrait de la bande originale du film Sur, sans compter Automne Porteno, Oblivion,Esqualo.»

L'instrumentation?

«Le quintette à cordes comporte deux violons, un alto, un violoncelle, une contrebasse. Et il y a moi, l'intrus àl'accordéon! Accordéon chromatique à boutons, donc. Jeune, j'avais commencé avec la touche piano, mon père (qui estpianiste et accordéoniste) m'avait conseillé de jouer l'accordéon avec clavier à boutons. Or, j'aime beaucoup la touchepiano, c'est pourquoi mon accordéon est un mélange des deux; la tessiture ressemble à l'accordéon piano et le clavier

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29 février 2012 – Le Petit Bulletin

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9 août 2011 – Le Point 24 août 2011 | Mise à jour 15h30

UN ÉTÉ DE FESTIVALS

"Alors que le réflexe premier pour un accordéoniste est de jouer les pièces écrites pour orgue ou clavecin, je me suisapproprié des partitions de flûte, de violon", explique Richard Galliano © Maxppp

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Rencontre avec l'accordéoniste Richard GallianoLe Point.fr - Publié le 08/08/2010 à 15:50 - Modifié le 08/08/2010 à 18:28

Tout l'été durant, Le Point.fr prend la route du jazz dans le sillage de Sacha Reins. Chaque jour,

vivez un moment fort. Cette semaine, nous faisons escale à Jazz in Marciac, dans le Gers

(jusqu'au 15 août).

Soirée exclusivement française à Marciac samedi avec le quintet de Baptiste Trotignon et l'Orchestre du

Conservatoire national de région de Toulouse, Moutin Réunion et un des musiciens les plus appréciés du

public gersois, l'accordéoniste Richard Galliano. Ce dernier se produisait en trio avec Biréli Lagrène à la

guitare et Didier Lockwood au violon. Un power-trio acoustique, virtuose et sensible - Hot Club de France

du XXIe siècle -, qui redéfinissait les règles du jazz gitan et du musette. Entretien avec ce musicien

inclassable qui a publié, au printemps, un album classique consacré à Bach et, au début de l'été, un

autre revisitant avec Wynton Marsalis les chansons d'Édith Piaf et de Billie Holiday.

Le Point.fr : Votre dernier album dans lequel vous interprétez du Bach a déconcerté votre public

jazz new musette et certainement également les amateurs de classique. Que cherchez-vous à y

démontrer ?

Richard Galliano : Ce n'est pas dans l'optique de démontrer quelque chose que je l'ai enregistré. J'ai

étudié le classique quand j'étais jeune, mais j'ai très vite compris que je ne pourrais jamais devenir

concertiste en jouant de l'accordéon. Réussir à enregistrer cet album aujourd'hui est pour moi un

aboutissement.

On est étonné de ne pas y trouver des toccatas pour orgue.

C'est évidemment intentionnel. Alors que le réflexe premier pour un accordéoniste est de jouer les pièces

écrites pour orgue ou clavecin, je me suis approprié des partitions de flûte, de violon. De toute façon, je

cherche avant tout l'émotion.

Cela signifie-t-il que vous allez donner désormais des concerts exclusivement classiques ?

Non, en concert, quand je suis seul (pas en trio, comme samedi soir), je fais un voyage musical de Bach

à Piazzolla via Galliano. Certains organisateurs de concerts m'ont demandé un concert entièrement

classique, mais je ne veux pas le faire, en tout cas pas encore, car cela me couperait de mon public new

musette. Les publics jazz et classiques sont des publics un peu intégristes. Le mien est différent, car,

justement, il faut une autre ouverture d'esprit pour écouter de l'accordéon. Astor Piazzolla m'avait dit ceci

à mes débuts : "J'ai fait le new tango, vous devriez faire du new musette." J'ai suivi son conseil et j'ai

désormais un public très mélangé. Nous ne sommes plus dans les années 1960, où il existait un énorme

préjugé contre l'accordéon qui symbolisait la ringardise. Aujourd'hui, l'accordéon est un instrument

comme les autres, il a investi tous les genres.

Vous avez réhabilité l'accordéon, mais, derrière vous, à part Daniel Mille, il y a peu

d'accordéonistes qui suivent.

Il y a beaucoup d'accordéonistes virtuoses, ce n'est pas ce qui manque, mais il n'y a pas assez de

créateurs. C'est d'ailleurs un problème de la musique, tous genres confondus.

http://www.lepoint.fr/chroniques-ete-festivals/rencontre-avec-l-accordeoniste-richard-galliano-08-08-2010-1223174_191.php

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5-6 février 2011 – La Tribune de Genève (Bach)

Tribune de Genève | Samedi-dimanche 5-6 février 2011 27

Parolesparoles

Contrôle qualité

Gallianomet Bach très hautDans la foulée d’une tournée suisse, et en attendant son nouveau disque, le génial accordéoniste se confieLuca Sabbatini

Il y a toujours une actualité avecRichard Galliano. Sa tournéesuisse à peine achevée, avec no-tamment un concert au VictoriaHall genevois le 28 janvier dernierconsacré à ses deux pères spiri-

tuels, Bachet Piazzolla, le voici qui repartdéjà sur les routes: concert de son trioFrench Touch en France, soliste avec unorchestre en Israël, de nouveau le projetBach et Piazzolla à Vienne… Entre deuxconcerts, il vient d’enregistrer un hom-mage à Nino Rota pour Deutsche Gram-mophon, déjà éditeur de sonmagnifiquedisqueBach sorti l’annéedernière. Paru-tionprévueenoctobre, suivied’une tour-née mondiale…

Surchargé de travail, mais toujoursdisponible et affable, RichardGalliano seprête volontiers à l’exercice de l’inter-view. «C’est commeunepsychothérapie,je parle toujours demon enfance, demagrand-mère…Çamepermetde recentrerdes choses.» Recentrons avec lui.

Richard Galliano, comment est névotre amour pour la musique?Je me souviens de ma première émotionmusicale. J’étais encore enfant et je jouaisune petite pièce au piano qui m’a boule-versé. J’ai découvert avec surprise que lamusique pouvait me toucher. Commej’étais très docile, j’ai fini par choisir l’ins-trument familial, l’accordéon. Mon pèreen jouait et l’enseignait. Mais ce qui mepassionnait, c’était la musique classique.J’apprenais par cœur les vies des grandscompositeurs. Jem’amusaisaussi àdirigerdesouverturesd’opérasdeRossiniouMo-zartdevantmonpetitTeppaz (ndlr: célèbremarque de tourne-disques des années 50 et60), comme un chef d’orchestre.

Dès vos débuts, vous étiez donc unaccordéoniste atypique, qui ne jouaitpas le musette, par exemple.A l’époque, j’ai tout fait pour sortir dumilieu consanguin de l’accordéon. Peut-être n’était-ce pas mon instrument aprèstout! Alors que mon père était un spécia-liste de musique populaire, je préféraisBach et le jazz. Adolescent, j’ai rencontréunprofesseuràNice,ClaudeNoël,quiétaitlui aussiundissidentde l’instrument.C’estluiquim’adonné legoûtdu jazz. Ilm’a faitécouter des disques inconnus en France,ceux de l’Américain Art Van Damme, parexemple, qui jouait du swing à l’accor-déon.ClaudeNoëlm’aaussi fait connaîtreles modèles de la marque italienne Victo-ria,que j’utilise toujoursaujourd’hui.C’estun instrument sans limites, qui enrichitl’inspiration, l’équivalent d’un Stradiva-rius pour un violoniste. Mon Victoria aprèsde50 ans.Magrand-mèreavaitvenduun terrain dans la région de Grasse pourme l’offrir. Je ne peux pas m’en séparer,aussi bienpour sesqualitésmusicalesquepour des raisons sentimentales.

On sait peu que vous êtes égalementtromboniste…A Nice, l’accordéon n’était pas admis auConservatoire. Alors j’ai obtenu un di-plôme de trombone, tout en suivant lesclasses d’harmonie et de contrepoint.Lorsque je suis arrivé à Paris dans les an-nées 70, j’ai d’ailleurs commencé commetromboniste. J’ai arrêtéd’en jouerpendantprès de vingt ans, avant de m’y remettretout récemment. Je l’utilisedansmonder-nier disque consacré à Nino Rota, sur lethèmeduParrain. J’avouequ’aujourd’hui,je suis plus attiré par le piano et le trom-

bone. Je ressens le besoin d’essayer denouvellespossibilités.Le tromboneesten-core plus physique que l’accordéon: c’estla continuité du souffle.

Comment avez-vous découvert le jazz?Un jour, chez un disquaire, je suis tombépar hasard sur un disque du trompettisteClifford Brown. Ce fut vraiment un choc.Puis j’ai écoutédespianistescommeErrollGarner,OscarPeterson. J’étais surprisparl’absence d’accordéon dans cette musi-que. Inconsciemment, l’idéeamûrienmoidecomblercette lacune. Jem’aperçoisau-jourd’huiquechez lesdisquaires, je suis leseul accordéoniste à avoir un bac à mon

nomaumilieudesEllaFitzgeraldetautresDukeEllington.Mêmechoseavec leclassi-que. Comme l’accordéon était absent decesdeuxstylesmusicaux, j’aipuretournerla situation àmon avantage. Il y avait uneplaceàprendre.LorsqueDeutscheGram-mophonm’a proposé d’enregistrer Bach,à l’orée de mes 60 ans, c’était pour moil’aboutissement d’un rêve d’adolescent.

Avant d’en arriver là, vous avezlonguement collaboré avec Nougaro etla crème de la chanson française.Je suismonté àParis en 1973.Unanaprès,j’ai rencontré Nougaro. Son organiste,EddyLouiss, venaitdequitter l’orchestre.Je l’ai remplacé. Je faisais tout. J’écrivais lesarrangements, je jouaisde l’accordéon,etmêmede l’orguegrâceàundispositif élec-tronique qui me permettait de le piloterdepuis l’accordéon. JenevaispasdirequeNougaro me pressait comme un citron,mais presque… (rires) J’étais très timide àl’époque. Jen’avaispasdediscussionsaveclui.Mesvrais rapports sontpassésà traversles chansons. Il m’a appris à prendre desrisques. J’ai même développé un mimé-tisme dans la manière de me comportersur scène: Nougaro bougeait comme unboxeur. J’ai gardé cet aspect «combatif»!

Puis il y a eu la rencontre avec AstorPiazzolla…

Après des années passées à accompagnerNougaro, Barbara, Gréco ou Reggiani, jecommençais à m’ennuyer. Non pas deschanteurs eux-mêmes, qui étaient formi-dables, mais de l’ambiance entre musi-ciens accompagnateurs. C’est à ce mo-ment-làque j’ai rencontréPiazzolla. Ilm’aencouragé à suivre ma propre voie. J’aiencore des lettres de lui où il m’écrivait:«Richard, c’est très simple, composezunedouzaine de morceaux, monter un bongroupeetpuis il fautyaller!» Je luienvoyaismes compositions, il me faisait des com-mentaires. C’est lui qui m’a dit: «Moi j’aiinventé lenew tango, vous devez lancer lenewmusette, c’est làquesont les racinesde

votre instrument, votre culture.» Bizarre-ment, jen’aimisçaenœuvreque lorsqu’ilestmort, en 1992.C’est l’annéeoù j’ai sortimon premier disque de jazz en tant queleader. Peu après, comme Piazzolla mel’avait suggéré, j’ai créé le newmusette. Etbien sûr, j’ai fini par lui rendre hommage,àmon chermentor.

Aujourd’hui, Bach et la musiqueclassique occupent une place de plusen plus importante dans votre activité.Troublant parallélisme, Piazzolla aussi aété fascinéparBachdès l’enfance! J’avoueque je ne me sentirais pas à l’aise de luiconsacrer touteunesoirée. Jepréfèrepro-poser un voyage qui va de Bach àPiazzolla… en passant par Galliano! C’estune formulequi tient le public enhaleine.

Votre prochain disque, avec tournée àla clé, s’intitule «La Strada Quintet»,autour des musiques de Nino Rota pourle cinéma. Pourquoi ce choix?C’estDeutscheGrammophonquim’apro-posé de marquer ainsi le centenaire deNino Rota (1911-1979). Il y a quinze ans,j’avais déjà tourné avec un programmeconsacré à Rota, mais sans l’enregistrer.J’ai d’abord sélectionné tous ses thèmespour le cinéma qui me plaisaient, puis jeles ai retranscrits directement d’après labande-sondes films.AprèsBach, ce choixpeut paraître surprenant, mais j’ai autantde plaisir avec les deux.

En 2009, vous avez publié uneméthode d’accordéon avec votre père.Etait-ce par nécessité de transmettrevotre savoir?J’avais surtoutenviede fairequelquechoseavecmonpère.Toutesavie, il s’est satisfaitde l’enseignement et n’a jamais pensé àtourner,alorsqu’il étaitunexcellentmusi-cien.C’estmamanièrede lui rendrehom-mage. Notre méthode s’adresse aux en-fants, des débutants jusqu’au niveaumoyen. Nous l’avons voulue très at-trayante.Elle adéjàété traduiteen italien.

Un autre projet qui vous tient à cœur?Trouver le temps pour composer davan-tage. Et surtout prendre de vraies vacan-ces! Quand la machine est en route, on al’impressiondenepluspouvoir la stopper.Les concerts et les enregistrements s’en-chaînent, on est constamment projetédans le futur. Je serais heureuxdem’arrê-ter trois mois, sans rien prévoir à monretour.

Le rituel de l’ardoise: «Bach pour toujours, c’est de circonstance.» PIERRE ABENSUR

Quelle question détesteriez-vousqu’on vous pose?Celles qui sont à côté de la plaque. Maisce ne sont pas les questions quim’énervent le plus, plutôt des remar-ques du genre: «Vous m’avez réconciliéavec l’accordéon.» Cette phrase révèlebeaucoup de mépris et un manqueflagrant de curiosité.Quelle question ne vous a-t-on pasposée?Aucune en particulier.

Questions fantômes

… vous avez pleuré?Il y a huit mois, à la naissance de mapetite-fille. Des larmes de joie! Unenfant, c’est ce qu’il y a de plus beau,au-dessus de la musique, de tout.… vous avez trop bu?Ça remonte à très longtemps, àl’époque de Nougaro. Les après-con-certs, c’était du costaud… (rires). Mais jeme suis vite arrêté. Trop dangereux.… vous avez envié quelqu’un?J’ai pu être heureux de la réussite dequelqu’un, mais je n’ai jamais enviéquiconque.… vous vous êtes excusé?Il n’y a pas longtemps, après unedispute avec ma femme. Nous sommesmariés depuis trente-cinq ans et on sedispute tous les jours. Je dois doncm’excuser très souvent! Elle, par contre,ne s’excuse jamais! Il faut dire qu’elle asouvent raison, et que je peux être trèscoléreux dans une situation de stress.… vous avez transpiré?A mon dernier concert! Par contre, j’aitrès peu transpiré lorsque j’ai enregistréune Gnossienne de Satie avec YvetteHorner, il y a quelques jours, pour undisque qui s’intitule Yvette hors normes.Mon choix l’a étonnée, mais elle a jouéavec une grande sensibilité, malgré sesproblèmes d’arthrose. Elle a 89 ans!

La dernière fois que…

Né le 12 décembre 1950 à Cannes,Richard Galliano s’initie à l’accordéondès 4 ans avec son père. Il étudie auConservatoire de Nice, avant de monterà Paris, où il collabore avec ClaudeNougaro, puis Barbara. Astor Piazzollal’incite à se lancer dans ses propresprojets. Entre jazz, new musette ettango, il devient un accordéonisteincontournable. Récemment, Gallianoest revenu avec succès à ses premièresamours: Bach et la musique classique.

CV express

«J’ai tout fait pour sortirdu milieu consanguinde l’accordéon. Peut-être n’était-ce pas moninstrument après tout!»Richard Galliano Accordéoniste

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3 juillet 2010 – Ouest France (Bach)

6 juin 2010 – Nice Matin (Bach)

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28 juin 2010 – La Croix (Bach)

Juin 2010 – Artpassions (Bach)

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30 juin 2010 - Le Progrès (Bach)

27 mai 2010 – 20 Minutes (De Bach à Piazzolla)

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14 Mai 2010 – Libération (Portrait/Bach)

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13 mai 2010 – Valeurs Actuelles

Mai 2010 – Paris Capitale

de textes de Heiner Müller, le plasticien Sarkiss’inspirant de partitions de Cage, Odile Dubocchorégraphiant Pierre Boulez…! En différents lieux de Paris et de ses environs.

www.ircam.fr

musicale est assurée par Paul-Emmanuel Thomas,et la mise en scène par Manon Savary et, ô sur-prise, Patrick Poivre d’Arvor ! Dans le rôle-titre,on trouvera en alternance Juliette Mars, SophiePondjiclis et Clémentine Margaine. Après Sceaux,le spectacle se déplacera au château de Vincennes(25 et 26 juin), dans la cour d’honneur des Invalides(du 7 au 14 septembre) et au château de Vaux-le-Vicomte (du 24 au 26 septembre).! Parc départemental de Sceaux (92).

Tél. 0155705528. A 21h15. De 39 à 79 !.

www.operaenpleinair.com

DU 7 AU 19 JUIN

Festival AgoraLe principe de ce festival est de faire se rencontrerles travaux de créateurs des XXe et XXIe sièclesissus de disciplines artistiques différentes, lamusique restant au cœur des dispositifs imaginés.Cette année, le thème principal est le “prototype”.Autant dire qu’il nous promet de voir et d’entendredes choses peu ordinaires. Sont annoncés :Michael Jarrell pour une œuvre conçue à partir Michael Jarrell.

INTERVIEW

120 - LE GUIDE/MAI 2010

DU 27 MAI AU 2 JUILLET

Festival d’AuversTrente ans déjà ! Ce festival, qui vit des artistescomme Cziffra ou Richter se produire lors de sespremières éditions, est un des grands rendez-vous de la saison musicale francilienne. Cetteannée, il accueille des solistes ou vocalistes telsque Renaud Capuçon, Patricia Petibon, BarbaraHendricks, François-René Duchable, BrigitteEngerer… Comme d’habitude, les arts plastiquessont aussi à l’honneur. Quatre expositions pré-sentent les œuvres de dix créateurs que le festivala invités au cours de son histoire afin de rendrehommage à Van Gogh, lequel finit sa vie à Auvers.! En différents lieux d’Auvers-sur-Oise (95).

Tél. 0130367777. www.festival-auvers.com

1ER JUIN

SoledadDe formation classique, les musiciens du quintetbelge Soledad se vouent au tango nuevo, ens’inspirant du grand maître Astor Piazzolla. Leursreprises, tout comme leurs propres compositions,les classent sans contestation possible au plushaut niveau. In concert (Enja).

! New Morning. 7-9, rue des Petites-Ecuries, 10e.

Tél. 0145235141. A 21 h.

DU 1ER JUIN AU 1ER JUILLET

Festival de Saint-DenisUn mois de musique avec des artistes au sommetde leur art, ça vous tente? Les festivités com-mencent par la messe de mariage d’Henry IVet Marie de Médicis de Du Caurroy que donnel’ensemble Doulce Mémoire (le 1er juin à 20h30,de 13 à 35 !). Ce concert est suivi par la recréationde la musique composée par Goran Bregovicpour le film La Reine Margot de Patrice Chéreau,laquelle fut la première épouse du bon roy Henry(les 7 et 8 juin à 20h30, de 15 à 40 !). Suite duprogramme dans le prochain numéro…! Basilique cathédrale de Saint-Denis (93).

Tél. 0148130607. www.festival-saint-denis.com

DU 3 AU 5 JUIN

Opéra en plein airL’équipe d’Opéra en plein air organise chaqueété le tour de France d’une œuvre lyrique grandpublic, laquelle est présentée dans de hauts lieuxdu patrimoine architectural. Cette année, c’estCarmen de Bizet qui est à l’honneur. La direction

CLASSIQUE

Pourquoi Bach?C’était évident ! Mon amour pour samusique ne date pas d’aujourd’hui. J’aienregistré le disque en deux jours,comme si c’était une chose naturelle,comme si un ressort trop longtempscomprimé en moi s’était déclenché.

Vous avez fait le choix de jouer les parti-tions originales, sans en changer unenote…Les œuvres que j’ai sélectionnées per-mettent une interprétation à l’accordéon,ce qui a d’ailleurs quelque chose demiraculeux. Par exemple, lorsque j’aicommencé à travailler le Prélude pourvioloncelle, c’était incroyable: mes doigtsallaient et venaient de la façon la pluslogique qui soit. Pourtant, l’accordéon aété inventé une centaine d’années aprèsl’écriture de ces pièces…

Avez-vous rencontré des difficultés au cours dece travail ?Quand on a pratiqué le jazz, la musique deBach a quelque chose de familier car elle estanimée par un certain swing. Par moments,elle fait même penser au be-bop. Il faut sesouvenir que ce compositeur était un grandimprovisateur, ce qui fait un point communavec les jazzmen. Il a sans doute été le pre-mier d’entre eux !

Vous êtes du genre insaisissable : on ne peutvous faire rentrer dans aucune catégorie…Ce que je cherche avant tout, c’est l’émotion.Moi, quand j’écoute Barbara, Bach ou StevieWonder, j’entends de la musique, un point c’esttout. L’émotion, la poésie, c’est ce qui est leplus important. On peut jouer dans un genre ouun autre, l’essentiel c’est de ne jamais tricher.

! En concert le 17 mai à l’Odéon-Théâtre

de l’Europe. 1, place Paul-Claudel, 6e.

Tél. 0144413636. A 20h30. De 5 à 32 !.

Bach (Deutsche Grammophon).

Le Bach mention très bien de Galliano

Prenez un accordéoniste passionné de musette, de tango, de jazz et offrez-lui l’occasion d’interpréter les œuvres d’un compositeur classiquede son choix… Après avoir magnifiquement relevé le défi en studio, nous

retrouvons Richard Galliano à l’Odéon dans un programme consacré à Bach,dont il joue un florilège de pièces accompagné d’un quintet à cordes.

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Mai 2010 – Diapason (Bach)

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15 mai 2010 – Le Figaro Magazine (Bach)

12 mai 2010 – VSD (Bach)

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15 avril 2010 – La Vie (Bach)

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8 avril 2010 – l’Express (Bach)

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