rouge et blanc - magazine officiel du stade de reims

Les Dogues en cadeau

Noël en rouge et blanc

Kopa y croît

Numéro 10Décembre 2012

GRATUIT Reims - Lille

Le poster Tacalfred+ Interview fl ash

Objectif FèvesLe Stade de Reims

dans vos galettes

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Tous mes voeuxCe match contre Lille marque la fin, à De-laune, des matches aller de notre saison 2012 – 2013 en L1, la saison de la remon-tée. Entre le premier match le samedi 11 août dernier et celui – ci, 10 jours avant Noël, et alors que nous pouvons encore aller chercher du bonheur à Lorient dans une semaine, nous avons vécu, avec les joueurs et les supporters, notre lot d’émo-tions vives, qui nous a conduit de l’eu-phorie à la détresse au gré des résultats glanés et des prestations livrées sur les pelouses de France. Quels qu’aient été nos sentiments nous les avons domesti-qués, et ce n’a pas toujours été facile, pour ne pas nous laisser bercer et berner pas l’illusion ou démoraliser par les oiseaux de mauvaises augures. Bon an, mal an, vents portants ou vents contraires, nous avons maintenu le cap, celui que nous nous étions fixé au port. Aujourd’hui nous sommes toujours sur la route du maintien, convaincus que rien n’est perdu mais qu’il nous faudra souquer ferme pour y rester. Le dernier match contre Bordeaux nous a encore montré qu’il ne suffisait pas de faire du jeu pour remporter la mise. Nous nous reverrons dans notre stade le 12 janvier prochain. Nous y retrouverons Bas-tia, chez qui, lors de la deuxième journée nous aurions pu faire un résultat positif. Une belle revanche en perspective qui né-cessitera déjà toutes les mobilisations. En attendant, je vous souhaite à tous, un très joyeux Noël en Rouge et Blanc et un excellent début d’année. Et pour ce qui concerne notre équipe je souhaite du fond du cœur qu’elle nous offre en fin de sai-son l’immense joie de chanter : “On est en Ligue 1… On reste en Ligue 1”.

Jean-Pierre Caillot

EDITN°10

L1 : 6 fois Champion en 1949, 1953, 1955, 1958,1960 & 1962

L2 : Champion en 1966

Coupe de France : Double Vainqueur en 1950 & 1958

Coupes d’Europe : 2 fois finalistes de la C1 en 1956 & 1959

REIMS Palmarès

Magazine officiel du Stade de Reims, édité à 20 000 exemplaires par 2P.com Media Group, et le Stade de Reims. RCS N°512057928.16, rue Gabriel Voisin 51 100 Reims. ISSN: en cours. Directeur de la publication: Jean-Pierre Caillot. Co-gérants : Gérard Peyrefiche et Philippe Pétard. Rédaction, conception, commercialisation : 2Pcom Media Group. Comptabilité : Audrey Petitpas. Directrice artistique : Estelle Baudelot. Publicité : 03 26 77 58 00. Distribution : Fréderic Bencheman. Imprimé par les Nouvelles Imprimeries Champenoises. Crédits photos : Y.Pageot, F.Poidevin, Jean Claude Sikorsynski, X. Le Rouge & Blanc est une marque déposée pour la France. Ce magazine est protégé par la loi du 11 mars 1957 sur la propriété artistique. Dépôt légal: À parution Reproduction même partielle strictement inderdite. L’éditeur n’est pas responsable des éventuelles erreurs, le magazine décline toutes responsabilités pour les photos, textes et prix des annonces publicitaires, qui n’engagent que la responsabilité des annonceurs.

PARTeNAIRes oFFICIeLs du sTAde de ReIms :

sommaireReims - BordeauxLe dossier penalty

Le pacte entre Fournier et ses joueurs

P4-5

P14

La dédicace de Johann Ramaré

P34

RésultatsClassements &Statistiques

P10-11

Lille StoryP22 - 24

Le renfort des anciens

P16

ugeMagazine officiel

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Reims – Bordeaux

Un but refusé pour un hors jeu qui n’est pas apparu évident à tout le monde, un penalty flagrant et un autre possible refu-sés, un tir sur la transversale... les voies du hasard et les voies humaines se sont conjugués dimanche dernier face à Bor-deaux pour que le Stade de Reims n’em-poche pas les 3 points qui devaient logi-quement lui revenir. Dès son début, la rencontre livre sa phy-sionomie. Les Girondins, bien regroupés, et les rémois pressent haut, tentant de déborder leur rivaux en leur imposant leur vitesse de jeu. Au bout d’un quart d’heure de jeu, aucune occasion franche n’a été notée, mais la possession du ballon est nettement rémoise : 56%. Les rémois poussent à l’image d’Ayité, Diego, Souaré qui tentent de trouver des espaces. Les rares tentatives bordelaises, celles de Mariano surtout, sont contrées ou détour-nées. De part et d’autres, les défenses prennent le pas sur les attaques. A la

44e pourtant, sur un centre au cordeau de Diego, Ghilas se jette au premier po-teau et de la tête trompe Carrasso. Mais l’arbitre assistant signale, un hors-jeu pas évident du tout du passeur. La première mi-temps aura été bien terne : 3 frappes (2 pour Reims et 1 pour Bordeaux) et pas un seul tir cadré.En seconde période, les deux équipes se lâchent un peu, mais les rémois restent les plus rapides, surtout dans le jeu au sol. A la 54e, Ghilas lancé par Tacalfred dans le dos de la défense est signalé hors-jeu. Ce ne sera pas la dernière fois hélas. Puis, 3 minutes plus tard, les Ré-mois vont se créer leur première vraie oc-casion. Remise de la tête de Devaux pour Ayité à droite qui pénètre dans la surface de réparation, résiste à un défenseur et centre en retrait pour Diego. Le Brésilien tente un retourné acrobatique mais sa frappe passe au-dessus des buts de Car-rasso!

ProuesseLe match se débride. La tension monte. 65e : alors que Fortès vient de rempla-cer Diego, les Rémois combinent par-faitement à trois avec Ramaré, Ayité et Fortès justement. Ce dernier centre en retrait pour Ayité. Planus touche le ballon du bras. L’arbitre, M. Bartolomeu Varela ne bronche pas et la défense bordelaise se dégage très difficilement. Les événe-ments se précipitent maintenant. Les Bor-delais réagissent d’abord et Sertic sème la confusion suite à un tacle de Tacalfred. Mais Agassa s’empare du ballon. Une minute plus tard, à la 68e, sur l’action suivante qui semble anodine Devaux veut donner la balle de la tête à son gardien. Mais la passe est trop faible. Jussié en embuscade se précipite et tente d’élimi-ner Agassa. Mais le portier rémois réalise une prouesse et s’empare du ballon dans les pieds de son adversaire.Et sur le contre Reims manque d’ouvrir le score. Floyd Ayité récupère une longue ouverture, devance la sortie de Carrasso, qu’il tente de lober alors qu’il est percuté. Carasso n’a pas joué le ballon. Pénalty ? Le ballon heurte la transversale borde-laise! Et ce n’est pas fini. 85e minute : coup franc sur la gauche de l’attaque ré-moise suite à un tacle fautif de Mariano sur Ca. Le ballon parfaitement frappé vient jusqu’à Mandi. Mais le jeune défen-seur est ceinturé et plaqué au sol par Pla-nus... et sa tête rase le poteau. Le penalty est indiscutable. Pas pour M. Varela. Dans les arrêts de jeu, Fortès a encore une oc-casion qu’écarte Planus, cette fois à la ré-gulière. Reims reste 15e avec 17 points.

0 0

Mauvaises vendanges

Ayité tente de lober Carasso qui le percute. Penalty ?

5

85ème minuteIl y avait penalty : le film

Coup franc de la gauche. Fortès, Weber, Courtet et Mandi sont

dans la surface. Courtet est

attrapé par son défenseur et Planus tente

déjà d’accrocher Mandi.

Mandi tente la frappe de la tête mais il est entrainé au sol par Planus qui le ceinture

Malgré la charge, Mandi a placé sa tête. Dans sa chute il est toujours tenu par Planus.

Courtet est au sol. Le ballon arrive vers Mandi que tient Planus.


R Blanc

6

Cette 17e journée aura nettement cla-rifi é le championnat en dégageant trois groupes bien distincts. D’abord les can-didats au titre, Lyon, Paris et Marseille. Puis, à plusieurs longueurs ceux qui convoitent les places d’honneurs, de la 4e à la 12e place, et qui se tiennent en 4 points. Et ceux qui auront à lutter toute la seconde partie de la saison pour le maintien. Malheureusement, le Stade de Reims fait partie de cette catégorie. En bas de classement, même s’ils ne sont pas encore condamnés, la situation est très critique pour Troyes et Nancy, respec-tivement 20e et 19e qui accusent déjà un retard de 7 et 6 points sur le premier relé-guable Sochaux 18e. Et c’est aujourd’hui cette 18e place qui va constituer l’enjeu

des clubs menacés de relégation, Ajaccio, Evian TG, Bastia, Brest, et Reims qui sont, dans un mouchoir, à 1, 2 ou 3 points des Sochaliens.

Buts “casquettes”On espérait voir les Rouge et Blanc se donner un peu d’air en Corse, face à une équipe qui n’avait remporté que 2 vic-toires en 10 journées. Il n’en a rien été. Deux coups de pied arrêtés aussi “cas-quettes” l’un que l’autre ont, aux 31e et 77e minutes, condamné nos joueurs tou-jours aussi malchanceux (tir croisé de Tou-dic sur le poteau droit d’Ochoa à la 64e, alors que le gardien mexicain d’Ajaccio

était battu). Ces deux coups francs, tirés de la même façon dans la boite, presque du même endroit par le Roumain Mutu, ont eu un taux de réussite maximum. Le premier raté par ceux qui tentaient de le reprendre a rebondi devant Agassa sur-pris qu’aucun insulaire ne le touche, et le second dévié de la tête par un Corse a frappé celle de Tacalfred prenant Agassa à contre-pied.

Dommage car sur l’ensemble de la partie, ils ont plutôt fait jeu égal, les Corses s’en remettant à de nombreuses fautes pour contenir les assauts rémois. Mais les coups francs accordés à la limite des 18 mètres n’ont pas eu le sort réservé à ceux tirés de bien plus loin par les Ajacciens.

Ajaccio – Reims :2 0

Maudits coups francs

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R Blanc

Ajaccio – ReimsLes buts casquettes

31e minute : coup franc tiré sur la gauche de l’attaque ajacienne, à une tren-taine de mètres du but d’Agassa, près de la ligne de touche. Mutu n°12 est à l’ouvrage. Sa frappe retombe dans les 18 m. Attaquants corses et défenseurs rémois se précipitent pour jouer le ballon de la tête, mais personne ne le per-cute. Le ballon rebondit donc dans les 9 m et finit sa course dans les filets d’Agassa surpris par la trajectoire.

77e Encore un coup franc, presque au même endroit que celui de la 31e. Tou-jours Mutu à la manœuvre. Même trajectoire pour ce tir un peu plus tendu que le précédent. Le ballon heurte la tête d’un Ajaccien, puis, sur le rebond, celle de Tacalfred… avant d’aller se loger dans la lucarne droite du portier rémois.

Les rémois ont beaucoup pressé la défense corse, qui était bien regroupée, sans jamais pouvoir la surprendre, sauf à la 64e lorsque Toudic à la limite de la surface a placé un tir qui s’est écrasé sur le poteau droit du gardien d’Ajaccio.

Les défenses, ont pris le pas sur les attaques. Seuls les coups de pied arrêtés ont pu nourrir le score.

Classements

Passeurs18 ème journée 19ème journée 20ème journée

Buteurs Ajaccio - Reims : 2-0 (1-0)

Ligue1 / 17ème journée

Résultats RCSStatistiques

NICE - RENNESVALENCIENNES - PSGLILLE - TOULOUSEAJACCIO - REIMSBREST - MONTPELLIER

1-00-42-02-01-2

EVIAN - TROYESLORIENT - SOCHAUXLYON - NANCYBASTIA - MARSEILLEBORDEAUX - ST-ETIENNE

1. Ibrahimovic (PSG) : 17 buts2. Gomis (Lyon) : 10 buts3. Ben Yedder : 9 buts4. Cvitanich (Nice), Aubameyang (St-Etienne) : 8 buts6. Modeste (Bastia), Gouffran (Bordeaux) : 7 buts8. Ben Basat (Brest), Aliadière (Lorient), Ales-sandrini, Erding (Rennes), Kadir (Valenciennes): 6 buts13. Barbosa, Khlifa (Evian), Traoré (Lorient), Bastos, Lisandro (Lyon), Gignac (Marseille), Bel-handa, Cabella, Camara (Montpellier), Bauthéac (Nice), Féret, Pitroipa (Rennes), Nivet (Troyes), Le Tallec (Valenciennes) : 5 buts27. Belgazhouani (Ajaccio), Obraniak (Bordeaux), Payet, Roux (Lille), Corgnet (Lorient), A. Ayew, J. Ayew (Marseille), Gameiro (PSG), Courtet (Reims), Hamouma (St-Etienne), Privat (So-chaux), Pujol (Valenciennes) : 4 buts

1. Valbuena (Marseille), Danic (Va-lenciennes) : 6 passes3. Payet (Lille), Aliadière (Lorient), Malbranque (Lyon), Pastore (PSG): 5 passes7. Khazri (Bastia), Lesoimier (Brest), Traoré (Lorient), Mollo (Nan-cy), Bauthéac (Nice), Ménez, Nene (PSG), Erding (Rennes), Cohade, Aubameyang (St-Etienne), Didot (Toulouse), Kadir (Valenciennes) : 4 passes19. Diarra (Ajaccio), Jussié, Obra-niak, Trémoulinas (Bordeaux), Béri-gaud, Sagbo (Evian), Grenier (Lyon), Cabella (Montpellier), Ibrahimovic, Maxwell (PSG), Devaux (Reims), Alessandrini (Rennes), Boudebouz (Sochaux), Tabanou (Toulouse) : 3 passes

Vendredi 14 décembreRennes - Valenciennes

Samedi 15 décembreToulouse - MarseilleMontpellier - BastiaNice - EvianReims - LilleSochaux - BrestTroyes - Ajaccio

Dimanche 16 décembreNancy - BordeauxSt-Etienne - LorientPSG - Lyon

Vendredi 21 décembreBrest - PSG

Samedi 22 décembreLille - MontpellierAjaccio - RennesBastia - NancyBordeaux - TroyesLorient - ReimsLyon - Nice

Dimanche 23 décembreValenciennes - EvianToulouse - SochauxMarseille - St-Etienne

Evian - Brest

Montpellier - Lorient

Nancy - Lille

Nice - Valenciennes

PSG - Ajaccio

Reims - Bastia

Rennes - Bordeaux

St-Etienne - Toulouse

Sochaux - Marseille

Troyes - Lyon

(11-12-13 janvier)

Mercredi 12 décembre au stade François-CotySpectateurs : 6 000Arbitre : M. ChapronButs : Eduardo (30e), Tacalfred (77e, csc) pour Ajaccio. Avertissements : Cavalli (12e), Belghazouani (23e), Mutu (51e) pour Ajaccio.

Ajaccio : Ochoa - Lipini, Medjani, Maire, Bouhours - Belghazouani (André, 73e), Mostefa, Pierazzi (cap), Cavalli (Lasne (76e), Mutu (Diarra, 82e)- Eduardo. Entraîneur : Alex Dupont.

Reims : Agassa - Glombard, Tacalfred (cap), Weber, Mandi - Rama-ré, Krychowiak, Devaux (Toudic, 52e) - Fortès (Ayité, 77e), Ghilas (Courtet, 66e), Diego. Entraîneur : Hubert Fournier.

2-02-01-11-2

1234567891011121314151617181920

LYONPARIS SGMARSEILLELORIENTSAINT-ETIENNEVALENCIENNESBORDEAUXNICERENNESLILLEMONTPELLIERTOULOUSEAJACCIO ACEVIAN TGBASTIABRESTREIMSSOCHAUXNANCYTROYES

Pts J. G. N. P. p. c. Diff.

1717171716171617171717171717171717171717

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1612202711211321221620192227352417252835

+14+20+2+1+13+8+7+2+1+3+4+4-5-8-13-6-4-9-16-18

Classement

Calendrier des matchs

Classements Classements

Passeurs18ème journée 19ème journée

18ème journée

Ligue1 / 16ème journée

RCS Résultats

Statistiques

TOULOUSE - BASTIAPSG - EVIANMONTPELLIER - AJACCIONANCY - VALENCIENNESRENNES - BREST

0-04-03-01-12-2

SOCHAUX - LILLETROYES - NICEREIMS - BORDEAUXMARSEILLE - LORIENTST-ETIENNE - LYON

1. Ibrahimovic (PSG) : 14 buts2. Gomis (Lyon) : 10 buts3. Ben Yedder : 9 buts4. Aubameyang (St-Etienne) : 8 buts5) Gouffran (Bordeaux), Cvitanich (Nice) : 7 buts7. Modeste (Bastia), Aliadière (Lorient), Alessandrini, Erding (Rennes), Kadir (Valenciennes) : 6 buts12. Ben Basat (Brest), Khlifa (Evian), Lisandro (Lyon), Gignac (Marseille), Belhanda, Cabella, Camara (Mont-pellier), Bauthéac (Nice), Féret, Pitroipa (Rennes), Nivet (Troyes), Le Tallec (Valenciennes) : 5 buts24. Belgazhouani (Ajaccio), Obraniak (Bordeaux), Roux (Lille), Corgnet, Traoré (Lorient), Bastos (Lyon), J. Ayew (Marseille), Gameiro (PSG), Courtet (Reims), Hamouma (St-Etienne), Privat (Sochaux), Pujol (Valenciennes) : 4 buts

1. Valbuena (Marseille), Danic (Va-lenciennes) : 6 passes3) Payet (Lille), Aliadière (Lo-rient), Malbranque (Lyon), Pastore (PSG): 5 passes

7. Khazri (Bastia), Lesoimier (Brest), Traoré (Lorient), Mollo (Nancy), Bauthéac (Nice), Ménez, Nene (PSG), Erding (Rennes), Co-hade, Aubameyang (St-Etienne), Didot (Toulouse), Kadir (Valen-ciennes) : 4 passes

19. Diarra (Ajaccio), Jussié, Obra-niak, Trémoulinas (Bordeaux), Bérigaud, Sagbo (Evian), Grenier (Lyon), Cabella (Montpellier), Ibra-himovic, Maxwell (PSG), Devaux (Reims), Alessandrini (Rennes), Boudebouz (Sochaux), Tabanou (Toulouse) : 3 passes

Dimanche 16 décembre- 14 heures : Nancy - Bordeaux (Be In Sport 1)

- 17 heures : St-Etienne - Lorient (Be In Sport 1)

- 21 heures : PSG - Lyon (Canal +)

Vendredi 21 décembre- 20h45 : Brest - PSG (Be In Sport 1)

Samedi 22 décembre- 17 heures : Lille - Montpellier (Canal +)- 20 heures : Multiplex (Be In Sport 1)

Dimanche 23 décembre- 14 heures : Valenciennes - Evian (Be In Sport 1)- 17 heures : Toulouse - Sochaux (Be In Sport 1)- 21 heures : Marseille - St-Etienne (Canal +)

Vendredi 14 décembre- 20h45 : Rennes - Valenciennes (Be In Sport 1)

Samedi 15 décembre- 17 heures : Toulouse - Marseille (Canal +)- 20 heures : Multiplex (Be In Sport 1)

Dimanche 16 décembre- 14 heures : Nancy - Bordeaux (Be In Sport 1)- 17 heures : St-Etienne - Lorient (Be In Sport 1)- 21 heures : PSG - Lyon (Canal +)

Dimanche 9 décembre au stade Auguste-DelauneSpectateurs : 16 021 / Arbitre : M. ValeraAvertissements : Tacalfred (36e), Ghilas (59e), Ca (77e), Courtet (92e) pour Reims. N’Guemo (42e), Henrique (59e), Mariano (84e) pour Bordeaux

Reims : Agassa - Mandi, Tacalfred (cap), Weber, Soauré - De-vaux, Ghisolfi (Ca, 70e) - Ayité, Ramaré (Courtet, 75e), Diego (Fortès, 65e) - Ghilas. Entraîneur : Hubert Fournier.Bordeaux : Carrasso - Henrique, Sané, Marange , Mariano - Plasil (cap), N’Guemo (Planus, 46e), Saivet (Sertic, 46e Trémoulinas - Jussié, Gouffran (Diabaté, 82e) - Entraîneur : Francis Gillot

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Télévision : LA LIGUE 1 EN DIRECT

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LYONPARIS SGMARSEILLESAINT ETIENNEVALENCIENNESBORDEAUXRENNESLORIENTTOULOUSENICELILLEMONTPELLIERBASTIABRESTREIMSSOCHAUX AJACCIOEVIAN TGTROYESNANCY

Pts J. G. N. P. p. c. Diff.

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2928202429202326232217222117131615171711

1512191117132127172116193322152322273327

+14+16+1+13+12+7+2-1+6+1+1+3-12-5-2-7-7-10-16-16

Classement

Reims - Bordeaux : 0-0Buteurs


R Blanc

STADE DE REIMS - LILLE

Numéros des joueurs

Se lancer à l’assaut des Lillois n’est pas chose

habituellement très aisée. Et à la veille de la

trêve, pour l’avant-dernière confrontation des

matches aller, l’épreuve de force n’en sera

pas plus aisée. L’équipe de Rudi Garcia a re-

trouvé du jus. On la pensait affaiblie par des

problèmes de vestiaires et le départ de Lan-

dreau , il n’en est rien. Les nordistes viennent

d’enchaîner deux belles performances : Un nul

à Sochaux en quête de points, et une très belle

victoire à domicile devant Toulouse qui pour-

tant ne voulait pas traîner en route. Voilà qui

les conforte au milieu du classement.

Sur la vue des prestations de Reims à Valen-

ciennes et surtout devant Bordeaux, on peut

penser que les Rouge et Blanc ont pourtant la

capacité de faire vaciller cette équipe voire de

la faire chuter. Hubert Fournier dispose d’un

groupe solide et solidaire dans lequel certains

talents se sont mis en évidence récemment. Ta-

calfred en bon capitaine a fait un très bon mois

de novembre malgré les coups du sort, Fortès

A l’assaut des Doguessur la pente ascendante, Ayité semble avoir

retrouvé toutes ses jambes, Courtet, comme

Krychowiak, est de retour de blessure, Ramaré

et Ghisolfi sont disponibles et au niveau, et les

autres, Agassa, Souaré, Mandi, Devaux, Diego,

Ca, sont fi dèles à ce qu’ils sont, c’est à dire

bons.

Nombreux à pousser

Dans tout le stade, les supporters attendent

une victoire pour ce dernier match 2012 à do-

micile. Ils voudraient tellement voir leur équipe

terminer cette année en beauté, qu’ils seront

nombreux à pousser derrière elle. Il reste aux

dieux du football, qui devaient regarder ailleurs

qu’à Delaune ces derniers temps, à jeter un re-

gard favorable à cette équipe.

Numéro 1 : Johan LIEBUS

Numéro 2 : Mohamed FOFANA

Numéro 3 : Franck SIGNORINO

Numéro 4 : Grzegorz KRYCHOWIAK

Numéro 5 : Kamel GHILAS

Numéro 6 : Antoine DEVAUX

Numéro 7 : Odaïr FORTES

Numéro 8 : Johann RAMARE

Numéro 9 : Julien TOUDIC

Numéro 10 : Floyd AYITE

Numéro 11 : Diego RIGONATO RODRIGUES

Numéro 13: Nicolas FAUVERGUE

Numéro 15: Khalid SEKKAT

Numéro 16 : Kossi AGASSA

Numéro 18 : Gaëtan COURTET

Numéro 19 : Alexi PEUGET

Numéro 20 : Quentin PEREIRA

Numéro 21 : Bocundji CA

Numéro 22 : Mickael TACALFRED

Numéro 23 : Aissa MANDI

Numéro 24 : Florent GHISOLFI

Numéro 25 : Anthony WEBER

Numéro 26 : Pape SOUARE

Numéro 27 : Christopher GLOMBARD

Numéro 28 : Yann BENEDICK

Numéro 30 : Jérémy MALHERBE

Équipe probable Entraineur Hubert Fournier

AGASSA16

TACALFRED22

WEBER25

RAMARE 8

AYITÉ10MANDI

23

DEVAUX6

GHILAS5

SOUARÉ26

KRYCHOWIAK4

DIEGO 11

Sur le banc : SIGNORINO 3 - GLOMBARD 27 - CA 21 - COURTET 18 - FORTÈS 7 - LIEBUS 1 - TOUDIC 9 12

MATCHdu jour

le

AVANT ou APRÈS MATCH

AVANT ou APRÈS MATCH

Petit déjeuner

Déjeuner

Goûter

Diner

Brunch

Epicerie fine

Traiteur

68, place d’Erlon (à coté du Gaumont)

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Rouge & Blanc : Retour sur le match contre Bor-deaux tout d’abord. Ton senti-ment global ?Hubert Fournier : Je suis satisfait de la manière, de la prestation des joueurs, mais frustré par le résultat. On gagne aux points, c’est incontestable, mais on n’a pas les 3 points de la gagne qui nous auraient fait tant de bien. Ça nous aurait donné de l’air et de la sérénité.

R&B : Et l’arbitrage, les dif-férents ralentis nous accordent

L’analysedu coach

Hubert Fournier :“22 points, notre challenge, entre nous !”

un et même deux penalties non sifflés…H.F. : Sur ce match il est vrai que l’arbi-trage ne nous a pas été favorable. On le subit de temps en temps. C’est pénali-sant pour nous. L’arbitrage, fait partie des regrets et des frustrations de ce match là. C’est dommage car tous les joueurs qui ont participé étaient à la hauteur de l’évè-nement. Ils avaient su répondre présent à l’attente qu’avait engendré cette ren-contre.

R&B : Il reste encore deux matches avant la trêve (Lille à Delaune et Lorient en déplace-ment). Votre objectif est toujours de finir cette première moitié de championnat avec 22 points ?H.F.: 22 points, c’est toujours mon objec-tif, même s’il est relativement ambitieux.avant de rencontrer Lille et Lorient. Mais on a tous à cœur d’y arriver et de termi-ner cette année en beauté. Les joueurs y adhèrent, ils ont du reste le marché en main : Soit on passe les fêtes de fin d’an-née dans nos familles, bien au chaud, soit on est sur le terrain à s’entraîner. C’est à eux de jouer… C’est notre challenge entre nous.

R&B : Vous recevez donc Lille dans quel état d’esprit ? Vous pensez réussir devant cette équipe ce que vous n’avez pas ob-tenu face à BordeauxH.F. : Lille à domicile, c’est à comparer à Marseille ou Bordeaux. C’est un match de prestige, face à une équipe qui a un des tout meilleur effectif du championnat. On sera ambitieux. On essaiera de réitérer la performance réalisée face aux Girondins. C’est le seul moyen de mettre en difficulté cette équipe lilloise en regain de forme.

R&B : Quels sont vos meilleurs atouts pour les vaincre ? H.F. : Compliqué de parler d’atouts, nous, promus, face à une équipe championne de France il y a 2 ans... Il faut faire preuve d’humilité. D’autant que Lille, en manque de points, vient pour gagner. Face à un promu, ils ont une obligation de résultat. Gagner face à Lille, ce serait un exploit.

R&B : Le calendrier nous pro-pose de faire des bilans, mêmes partiels. Que retenez vous de ces matches aller ?H.F. : D’un point de vu négatif, je retiens les points perdus contre Evian, Brest et Troyes à domicile. Au plan positif, le fait qu’on a toujours été cohérents. On est une équipe très difficile à battre qui n’a jamais perdu (sauf une fois) par plus d’un but d’écart. Il faudrait qu’on soit plus entreprenant. Il nous manque un supplé-ment d’âme au plan offensif. On a l’une des toutes meilleures défenses du cham-pionnat. C’est important. Ce devrait être un gage de survie.

R&B : Par quoi avez-vous été séduit et contrarié ? Ya-t-il quelque chose que vous auriez aimé avoir ou faire et que vous n’avez pas eu ou pas fait ?H.F. : Je n’ai pas de regrets particuliers. Mais peut-être aurais-je pu ouvrir plus rapidement le banc, faire tourner l’effec-tif. On voit en cette fin d’année que cela aurait pu être utile, 15 jours avant peut-être…ça aurait pu être judicieux dans le jeu… Mais ça, on ne le sait qu’après.

R&B : Votre préféré pour le ballon d’Or ? Messi, Ronaldo ou Iniesta ?H.F. : Messi, pour la continuité de ce qu’il fait au plus haut niveau. C’est assez in-croyable. Il est très perfectionniste. Il s’améliore. C’est la marque des très grands. Et lui, il est immense !

R&B : Bonnes fêtes !


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Kopa, Fontaine et les frères Lech derrière le StadeRaymond Kopa, Just Fontaine, les frères Georges et Bernard Lech étaient dans les tribunes pour soutenir les Rouge et Blanc face à Bordeaux. Ils avaient du reste un programme chargé pour les trois jours à venir. Bernard Lech et son frère Georges, tous les deux rémois, étaient sur place. Ray-mond Kopa lui, était arrivé, avec sa femme Christine, le samedi midi pour passer une bonne partie de l’après midi au chalet du club au village de Noël. Et le dimanche, il était tôt au stade. Just Fontaine, ne l’a rejoint que vers 14h15, en provenance directe de la gare centrale où son train l’avait déposé, lui et son épouse Arlette, à 13h45. Après le match, toutes nos gloires avaient retrouvé Jean Djorkaef, le “Tchou-

ki” légendaire, aujourd’hui en charge de la Coupe de France, pour un dîner à la Brasserie Lorraine organisé par Jean Claude Hazeaux, le président de la Ligue de Champagne Ardennes. Et le lundi, Kopa et Fontaine étaient in-vités, au Palais du Tau, à partir de 18h15, pour le tirage au sort des 32e de finale de la Coupe de France, qui marque l’entrée en lice des clubs de L1, en présence de Bernard Lacombe repré-sentant l’Olympique Lyonnais, solide leader du championnat.. Dur week-end.

La vie du clubLe renfort des anciens

C’est Raymond Kopa qui fait les commentaires. Et il est véhément envers l’arbitre. “Pas de doute, il y avait penalty. Il n’y a qu’une équipe qui a fait du jeu : Reims. Bordeaux était là pour faire le nul, et ils ont réussi. On a eu des occasions, mais entre le manque de réussite et l’arbitrage, il y avait peu de chance de marquer. Vive la vidéo. Ca fait sept ans que je l’ai dit à Platini, mais il ne veut rien entendre. Il prétend que ça ralenti le jeu. Mais déjà l’arbitre, il siffle toutes les 10 secondes… On y arrivera un jour !”

Just Fontaine a gardé le sourire, mais Raymond Kopa ne dé-colère pas contre M. l’arbitre. “Aujourd’hui, on avait la place pour remporter ce match. Mais l’arbitrage a été favorable aux Bordelais du début à la fin. Je regrette qu’on n’ait pas pris les 3 points car ça nous aurait donné un peu d’air. Ca aurait aussi récompensé une belle première moitié de championnat. Ou on a su rivaliser avec le PSG, Saint-Etienne, Bastia. Même contre Marseille on méritait mieux. Notre nombre de points ne réflète pas nos performances. Il suffit de regarder notre bon goal-ave-rage. Je suis d’accord avec Fournier. On peut encore empocher 6 points avant la trêve”.

Dans la loge de Jean-Michel Martinelli, Just Fontaine, et les frères Ber-nard et Georges Lech ont regardé le ralenti de l’action litigieuse de la 85e minute ou Aïssa Mandi est ceinturé et plaqué dans la surface par Planus alors qu’il reprend de la tête le centre de Ayité

Le président Jean-Pierre Caillot les a rejoints. “Tu vois lui a dit Raymond Kopa, ça se confirme, quand je suis dans les tribunes, Reims ne perd pas. Ce sont des amis qui m’ont dit ça. Je ne sais pas depuis combien de temps ça dure. Et les supporters le savent…”

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20

Après un début de saison décevant par rapport

aux ambitions du club, notamment marqué par

une campagne européenne calamiteuse (cinq

défaites en six matches), le LOSC se refait

une santé petit à petit. Invaincu depuis trois

matches, il remonte doucement vers la pre-

mière partie de tableau.

Une efficacitéoffensive

Mardi, au-delà de la victoire face à une équipe

toulousaine qu’il a dépassé au classement, il a

surtout retrouvé un fond de jeu et une effi cacité

offensive qui lui faisaient défaut (seulement

12e attaque de Ligue 1). Au grand soulagement

de Rudi Garcia : «On avait à coeur de retrouver

la victoire et démarrer une série. La manière

m’a plu. C’est une vraie satisfaction de voir le

groupe récompensé de ses efforts.»

Les Dogues ont les crocsC’est indéniable : ce groupe lillois possède des

joueurs de qualité, mais force est de constater

que l’amalgame ne s’est pas encore fait, no-

tamment en raison de tiraillements au sein du

vestiaire dont le départ de Landreau a peut-être

marqué l’issue. C’est du moins ce qu’espèrent

leurs fi dèles supporters. La blessure du capi-

taine Mavuba et le fait que les recrues Kalou

et Martin aient rarement évolué à leur meilleur

niveau ont également contribué à cette demi-

saison médiocre.

Ces soucis, le LOSC a les moyens de les sur-

monter. Le devoir aussi : avec le quatrième bud-

get de Ligue 1 et le superbe stade dont ils sont

désormais dotés, personne ne comprendrait

que les Nordistes ne luttent pas pour le podium

en fi n de saison. Un podium dont ils ne sont

d’ailleurs pas si loin aujourd’hui. Dans cette

perspective, les deux matches à venir avant la

trêve (à Reims puis à domicile contre Montpel-

lier) vont être cruciaux. L’objectif est clairement

de prendre six points.

ELANA16

CHEDJOU22

BASA25

DIGNE3

ROUX26PEDRETTI

17

MAVUBA24

Entraineur Rudi Garcia

PAYET7

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DEBUCHY2

KALOU 8

Numéros des joueurs

Numéro 2 : Mathieu DEBUCHYNuméro 3 : Lucas DIGNE Numéro 4 : Florent BALMONTNuméro 5 : Idrissa GUEYENuméro 7 : Dimitri PAYETNuméro 8 : Salomon KALOUNuméro 9 : Tulio DE MELONuméro 10 : Marvin MARTINNuméro 11 : Ryan MENDESNuméro 13 : Adama SOUMAORONuméro 14 : David ROZEHNALNuméro 15 : Djibril SIDIBENuméro 16 : Steeve ELANANuméro 17 : Benoît PEDRETTINuméro 18 : Franck BERIANuméro 19 : Gianni BRUNONuméro 20 : Ronny RODELINNuméro 21 : Laurent BONNARTNuméro 22 : Aurélien CHEDJOUNuméro 24 : Rio MAVUBANuméro 25 : Marko BASANuméro 26 : Nolan ROUXNuméro 28 : Viktor KLONARIDISNuméro 30 : Barel MOUKONuméro : Julian MICHELNuméro : Jerry VANDAM

Équipe probable

Sur le banc : BALMONT 4 - ROZEHNAL 14 - SIDIBE 15 - GUEYE 5 - MENDES 11 - RODELIN 20 - MOUKO 30

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Numéro 2 : Mathieu DEBUCHYNuméro 3 : Lucas DIGNE Numéro 4 : Florent BALMONTNuméro 5 : Idrissa GUEYENuméro 7 : Dimitri PAYETNuméro 8 : Salomon KALOUNuméro 9 : Tulio DE MELONuméro 10 : Marvin MARTINNuméro 11 : Ryan MENDESNuméro 13 : Adama SOUMAORONuméro 14 : David ROZEHNALNuméro 15 : Djibril SIDIBENuméro 16 : Steeve ELANANuméro 17 : Benoît PEDRETTINuméro 18 : Franck BERIANuméro 19 : Gianni BRUNONuméro 20 : Ronny RODELINNuméro 21 : Laurent BONNARTNuméro 22 : Aurélien CHEDJOUNuméro 24 : Rio MAVUBANuméro 25 : Marko BASANuméro 26 : Nolan ROUXNuméro 28 : Viktor KLONARIDISNuméro 30 : Barel MOUKONuméro : Julian MICHELNuméro : Jerry VANDAM


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Issu en 1944 de la fusion de deux grands clubs d’avant-guerre (l’Olympique lillois, premier champion de France pro en 1933, et le Sporting Club Fivois, vice-champion de France en 1934 et finaliste de la Coupe en 1941), le Lille Olympique Sporting Club a rapidement connu la gloire.En 1946, il devient champion de France pour la première fois et réalise même le doublé. Une décennie dorée s’ouvre alors pour le club nordiste, qui compte dans ses rangs de grands joueurs comme Baratte, Lechantre, Tempowski, Bihel et Somer-linck.La spécialité du LOSC, c’est la Coupe. Au fameux triplé réalisé en 46-47-48, jamais égalé depuis, Lille ajoute deux trophées en 53 et 55. Autre record qui tient toujours, les cinq finales consécutives entre 1945 et 1949. En championnat, les Nordistes sont vice-champions de France de 1948 Suite page 24

à 1951, puis de nouveau champions en 1954. Bref, à cette époque, Lille est le meilleur club français, et de loin.Le LOSC va ensuite connaître des heures sombres. Pendant quinze ans, plombé par les problèmes financiers, Lille va faire l’as-censeur entre l’élite et la D2. A l’issue de la saison 1968/69, il abandonne même le statut professionnel. Les années 70 ne seront guère plus brillantes. Montées et relégations se succèdent, jusqu’à l’inter-vention de la Ville de Lille - dont le maire est Pierre Mauroy - qui devient actionnaire majoritaire du club en 1980.

«Nationalisation»en 1980Cette «nationalisation», bien dans l’air du

temps, permet au LOSC de retrouver une certaine stabilité financière et sportive, mais les résultats ne sont pas à la hau-teur. Rien ne vient enrichir la vitrine aux trophées. L’expérience d’un club de foot-ball professionnel «public» prendra fin près de deux décennies plus tard, en 1999, lorsque Lille est revendu à Luc Dayan et Francis Graille.Sous la houlette de Vahid Halilhodzic, arri-vé au poste d’entraîneur en 1998, le LOSC retrouve alors de son lustre. Champion de D2 en 2000, il termine 3e du champion-nat l’année suivante et décroche pour la première fois son ticket pour la Ligue des Champions. En 2002, Michel Seydoux de-vient actionnaire minoritaire et président du club. Coach Vahid termine sur une 5e place en championnat, et arrive Claude Puel.

Les heures de gloire du LOSC

Eden Hazard, idole des supporters lillois, a rejoint Chelsea l’an dernier pour une jolie somme.

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Le temps faisant son oeuvre, ceux qui ont vu jouer Jean Baratte sont de moins en moins nombreux. Mais tous vous le certi-fieront : l’avant-centre du grand LOSC des années 40 et de l’équipe de France était un sacré client. Après Justo et JPP, sans doute le n°9 français le plus percutant que le championnat ait jamais connu. Son palmarès est évidemment à la hauteur de son talent.

Ce Ch’ti pur jus, né à Lambersart en 1923, arrive à Lille en 1944. Dès 1945-46, la «machine à marquer» se met en route : 23 buts dans la saison et le doublé à la clef. Lors des quatre saisons suivantes, Baratte ne marquera jamais moins de 22 buts en championnat, avec un record à 31 en 1947-48 (meilleur buteur). La Coupe sourit également au buteur des Dogues : trois victoires de rang (46-47-48) avec 24 buts inscrits lors de ces trois campagnes. Logiquement sélectionné en équipe de

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Jean Baratte a été le foot-balleur français le plus po-pulaire de son temps.

La «machine à marquer»

S’ouvre alors ce que l’on pourrait appeler l’ère moderne du Lille OSC. Le club est restructuré de fond en comble par le pré-sident Seydoux, qui le dote notamment d’un centre d’entraînement et de forma-tion digne de ce nom. Sur le terrain, les Dogues brillent, décrochant au passage une petite coupe européenne (Intertoto 2004) et quelques accessits (vice-cham-pion en 2005, 3e en 2006). En 2007, Lille atteint les huitièmes de finale de la Ligue des Champions, éliminé par Manchester United.

L’apothéose en 2011Après deux saisons creuses, Rudi Garcia succède à Claude Puel. Avec une forma-tion où s’imposent des joueurs comme De-buchy, Cabaye, Rami, Obraniak, Mavuba, Hazard et Gervinho, le LOSC retrouve le haut du tableau et les compétitions euro-péennes, jusqu’à l’apothéose : soixante-ans après le premier, les Nordistes si-gnent le second doublé de leur histoire en 2010-11. L’occasion d’une fête mémo-rable dans la capitale des Flandres.Aujourd’hui installé parmi les meilleurs clubs français, bien structuré et doté d’un des plus beaux stades d’Europe, le LOSC a l’ambition de franchir un échelon supplé-mentaire au niveau européen.Pour ce faire, et ne pas se faire piller par plus riche que soit comme cela vient d’ar-river ces dernières saisons, il faut énor-mément d’argent. Le président Seydoux a donc récemment mandaté une banque pour trouver un investisseur et/ou un re-preneur, quitte à ce qu’il soit étranger et que lui-même passe la main... C’est sans doute à ce prix que le LOSC poursuivra sa croissance.

France, Baratte y brille tout autant : entre 1944 et 1952, il coiffe 32 capes, marque 19 fois et porte 12 fois le brassard. Il est alors l’idole du stade Henri-Jooris et le footballeur français le plus populaireLa trentaine arrivant, la «machine» ralentit mais reste efficace (11 buts en 1952, 10 en 1953) et conquiert ses derniers titres : quatrième Coupe en 1953 et second titre de champion l’année suivante. Baratte quitte alors le LOSC pour Aix, qui évolue en D2. L’expérience sudiste tourne court et le Ch’ti retrouve le Nord en 1954-55 pour une demi-saison en D1 à Roubaix. Il retrouvera son club de coeur en 1956-57 pour l’ultime saison de sa carrière, en D2. Plus de cinquante ans après la fin de sa carrière (il est décédé en 1986), Ba-ratte figure encore sur les tablettes : avec ses 169 buts marqués en championnat, il est 12e au classement - 7e Français - des meilleurs buteurs du championnat de France depuis 1932.

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La vie du club

Lors du repas qui a précédé le coup d’en-voi du match entre Reims et Bordeaux, Raymond Kopa, président d’honneur du Stade de Reims, s’est vu remettre un magnum de L’auréa du Château Touma-lin. Ce Grand vin de Bordeaux fût offert par Madame Nathalie Miravete (ancien notaire) société Fipagest, entreprise de gestion de biens, et sponsor maillot du match. Son époux, Xavier Miravete, prési-dent de Fipagest, est aussi le propriétaire du vignoble du Château Toumalin.

Le Stade de Reims et la Fédération départementale de la boulangerie et de la boulangerie-pâtisserie de la Marne ont signé une convention de partenariat à l’oc-casion des fêtes de l’Epiphanie 2013. L’“Opération Fêves” va débuter le 2 janvier prochain. Chez leur bou-langer, les supporters des Rouge et Blanc pourront trouver des galettes “spéciales Stade de Reims” dif-férentes des autres puisque leur fève sera l’une des 9 fèves sélectionnées qui racontent l’histoire du club. Ainsi, au gré du hasard, pour désigner le roi, ils trou-veront l’une des 9 fèves représentant le maillot officiel des matches à domicile, le maillot orange historique, une photo de l’équipe, une capsule de muselet au logo du club, une photo du stade Auguste Delaune, une écharpe de supporter, la mascotte, un ballon, ou l’an-cien logo Stade de Reims avec sa bouteille de cham-pagne. Il y a 2 ans, alors que le Stade était encore en L2, que l’idée germait dans l’esprit de Gregory Piraux, le président de la Fédération. Maintenant c’est fait. Qui c’est le roi ?…

… la reine, on la connaît. C’est Sylvie Petit, boulangère, avec son mari Yves place Luton à Reims. Sa boutique est aisément reconnaissable et affiche sa passion : les vitrines sont décorées en rouge et blanc avec des photos des joueurs, des capsules logo du club et divers objets arrivés en droite ligne de la boutique du club. La mordu du couple, c’est Sylvie. Elle est tombée dans le foot quand elle était petite, lorsque son père supporter de Chaumont, l’emmenait au stade.

Et arrivée à Reims, sa passion s’est reportée sur les Rouge et Blanc. Son fils aîné a été arbitre, mais le plus jeune préfère la plongée… On retrouve Sylvie à tous les matches en virage de la tribune Germain. “J’étais à Amiens dit-elle pour la montée. On était fou de bonheur…” Evidemment, Sylvie va activement participer à l’Opération fèves. “Toutes nos galettes, on en vend habituellement 700, auront les fèves du Stade de Reims. Et j’en ai même à faire gagner. Je vais aussi pouvoir offrir en lot 10 places en tribune et deux places en VIP pour la venue de Valenciennes le 20 ou le 21 avril prochain. C’est bien elle la Reine !

Kopa, «l’auréa» du match

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Mickaël Tacalfred a été élu meilleur joueur pour le mois de novembre par

les supporters. Kossi Agassa termine 2ème devant Diego Rigonato.

Les adhérents du Groupement Officiel des Supporters du Stade de Reims ont dési-gné Mickaël Tacalfred, Kossi Agassa et Diego Rigonato parmi les 3 nommés pour l’élection du meilleur joueur du mois de novembre. Depuis une semaine, les sup-porters pouvaient voter sur le site parmi les 3 nommés pour désigner le classe-ment du joueur le plus en vue durant ce dernier mois. Mickaël Tacalfred a terminé en tête avec 48% des votes avec seule-ment 11 votes d’écart sur Kossi Agassa. Le Guadeloupéen est donc élu meilleur joueur du mois de novembre devant le gar-dien togolais, qui a récolté 44% des votes. Enfin, Diego Rigonato termine 3ème avec 8% des votes. Le trophée du meilleur joueur du mois de novembre a donc été remis lundi 10 dé-cembre lors de l’entraînement aux Thio-lettes à Mickaël Tacalfred. “C’est un plaisir d’être élu meilleur joueur du mois a déclaré Mickaël Je tiens à re-mercier les supporters et les internautes qui ont voté pour moi. C’est la première fois depuis mon arrivée au club, en 2008, que je reçois ce trophée. Ca me fait énor-mement plaisir et j’en suis fier. Ca récom-

pense mon travail. En espérant que ce ne soit pas la dernière…ça me donnera en-core plus de motivation pour travailler dur”

4e défensede Ligue 1Le Stade de Reims possède la 4ème meilleure défense de Ligue1 et n’a per-du qu’une seule fois par plus d’un but d’écart. L’ossature défensive formée avec Kossi Agassa et Anthony Weber depuis 1 an et demi en est sans doute la princi-pale raison. “Avec Kossi et Antho, nous nous connaissons parfaitement donc nous avons les automatismes que l’on a su mettre au profit de l’équipe commente Mickaël. Nous avons su répondre qux exigences que demande la Ligue1. Mais,

Meilleur joueur du moisdu groupement Officiel

des supporters du Stade de Reims

c’est aussi le résultat de l’ensemble de l’équipe qui est concerné par le travail dé-fensif. Donc c’est grâce à tout le monde que nous possédons la 4ème meilleure défense”.Mickaël Tacalfred a aussi un rôle impor-tant dans le vestiaire en tant que capitaine de l’équipe. Il motive, encourage…pour mettre un terme a une série de 7 matches sans victoire “J’essaie d’avoir un discours toujours positif, de ne pas baisser les bras, de ne rien lacher, de continuer à croire en nos qualités. Nous en sommes capable car nous l’avons démontré lors des matchs précédents commente -il.Et la Guadeloupe... “J’espère encore par-ticiper Gold Cup en 2015 après celle de 2009 et 2011, car c’est pour moi une fierté et un honneur de pouvoir défendre les couleurs de la Guadeloupe”.

1- Grzegorz Krychowiak

2 - Kossi Agassa

3 - Aïssa Mandi

4 - Mickaël Tacalfred

5- Diego Rigonato

6- Christopher Glombard

7 - Bocundji Ca

8- Pape Souaré

Joueurs Août Sept Oct Nov Déc Jan Fev Mars Totale

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10

6

4

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22

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10

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4

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Le champagne Thiénot est un des plus vieux supporters du Stade de Reims. Depuis l’ouverture des loges avec le nouveau stade, James François, directeur commer-cial de Thiénot depuis 1984 dispose de la loge 22 où il reçoit à chaque match une dizaine d’invités, collabo-rateurs, cavistes ou restaurateurs. On y suit, dans la bonne humeur, les prestations des Rouge et Blanc avec beaucoup de ferveur.

Dans les logesdu Champagne Thiénot

Dans la loge, les invités de François James, initiateur du partenariat de Thiénot avec les “Bocuse d’or”, suivent le match avec attention et gardent le sourire aux lèvres.

James François assis sur un fauteuil haut suit lui aussi le match mais garde un œil sur ses invités qui sont issus du circuit traditionnel. Passionné, très attentif, il parle très peu pen-dant la rencontre.

Rafraîchissement à la mi-temps. De gauche à droite Stéphane Lefebvre (avec le chapeau) de Thiénot France, Thierry Lher-mine, caviste à Eper-nay, James François et Philippe Baillou , viticul-teur en Bordelais.

Les frères Nicolas et Olivier Delor, vignerons, suivent régulièrement les matches du Stade de Reims depuis la tribune Méano.

Thierry Demisouard, de chez Thiénot et Bruno Marlet du Château de Ricaud et du Château de Pey la Toure près de Bordeaux (Thiénot)

MATCHcontre

le

Dans les logesdu Champagne Thiénot


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La boutiqueNoël en Rouge et Blanc

Le chalet de la boutique du Stade de Reims posé au cœur du village de Noël place d’Erlon, avait un vendeur de prestige. Raymond Kopa y a tenu boutique samedi dernier pendant près de deux heures. Il a longuement discuté avec les suppor-ters venus s’offrir un cadeau pour les fêtes de fin d’année, ou choisir un présent pour un parent ou un ami. Il a aussi signé de très nombreux autographes. Dans sa mission, il avait été précédé, mercredi, par les joueurs Rouge et Blanc par groupe de 5 à 6 se sont succédés chaque demi-heure entre 16 et 18 heures, devant le chalet pour signer des autographes.

Ils étaient aussi, dans la soirée, à la li-brairie Chapitre Guerlin pour dédicacer l’excellent livre de la montée de Franck Poidevin aux Editions Comme un Oiseau, “Stade de Reims, Football Champagne”, “Destin Ligue1”. Ici, Anthony Weber, Gaëtan Courtet, Mickaël Tacalfred et Kossi Agassa entourent l’auteur Franck Poidevin. L’ouvrage est également dis-ponible au chalet, mais aussi dans les boutiques au stade Auguste Delaune.

Kopa scintille place d’Erlon

Dédicaces chez Chapitre Guerlin


R Blanc

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Autographecollector

Johann RAMARE

Milieu de terrain

Né le 5 juin 19841,78 m

64 kg

rouge et blanc - magazine officiel du stade de reims

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