septembre 2009 un guide pour l’optimisation de...

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UN ENCART PUBLICITAIRE PRODUIT PAR MEDIAPLANET PUBLICITÉ PME SEPTEMBRE 2009 UN GUIDE POUR L’OPTIMISATION DE L’ENTREPRISE «Pour mener, il faut que quelqu’un suive»... Plus de 60 séminaires en français et anglais en management, projets, efficacité personnelle, communication, marketing, finances et gestion Un cours de direction d'entreprise - CDE Un parcours de formation pour les managers opérationnels - CSM La mise sur pied d'interventions en entreprise La prise en charge de mandats pour des services de formation - Outsourcing www.crpm.ch Av. Agassiz 5 1003 Lausanne Tél. 021 320 66 17 Fax 021 312 36 70 ... et pour acquérir des compétences stratégiques et opérationnelles, le CRPM propose: EXPERT PANEL Rencontre avec 3 chefs d’entreprise qui résistent face à la crise grâce à un concept innovant, une qualité de service irréprochable ou bien un engagement pour la protection de l’environnement. Page 4 RESSOURCES HUMAINES Les PME ont-elles avantage à faire appel à des cabinets de recrutement ? Quel rôle jouent ces derniers en période d’instabilité ? Quels sont les mesures mises en place ? Faut-il continuer à investir dans la formation du personnel ? Page 5 NETWORKING L’indispensable pour créer son profil et optimiser son réseau online. Tout savoir sur les réseaux de professionnels, le boom de l’e-conférence et les conférences traditionnelles. Page 6 BANQUE ET FINANCE Banques et PME: partenaires en tous temps. Le capital à risques est-il un mode de financement à développer ? Comment les PME réagissent-elles face à leurs problèmes de liquidité sans prise de risques ? Quels sont les clés pour une succession d’entreprise réussie ? Page 9

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Page 1: SEPTEMBRE 2009 UN GUIDE POUR L’OPTIMISATION DE …doc.mediaplanet.com/all_projects/3890.pdfUNENCARTPUBLICITAIREPRODUITPARMEDIAPLANET PUBLICITÉ PME SEPTEMBRE 2009 UN GUIDE POUR L’OPTIMISATION

UN ENCART PUBLICITAIRE PRODUIT PARMEDIAPLANET

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PMESEPTEMBRE 2009 UN GUIDE POUR L’OPTIMISATION DE L’ENTREPRISE

«Pour mener, il faut que quelqu’un suive»...

Plus de 60 séminaires en français et anglais en management, projets, efficacité personnelle, communication, marketing, finances et gestion

Un cours de direction d'entreprise - CDEUn parcours de formation pour les managers opérationnels - CSMLa mise sur pied d'interventions en entrepriseLa prise en charge de mandats pour des services de formation - Outsourcing

www.crpm.chAv. Agassiz 5 1003 Lausanne Tél. 021 320 66 17 Fax 021 312 36 70

... et pour acquérir des compétences stratégiques et opérationnelles, le CRPM propose:PALEXPO

28-29 OCTOBRESALON RH

STAND G.19

EXPERT PANELRencontre avec 3 chefs d’entreprise qui résistentface à la crise grâce à un concept innovant, unequalité de service irréprochable ou bien unengagement pour la protection de l’environnement.

Page 4

RESSOURCES HUMAINESLes PME ont-elles avantage à faire appel à descabinets de recrutement ? Quel rôle jouent cesderniers en période d’instabilité ? Quels sont lesmesures mises en place ? Faut-il continuer à investirdans la formation du personnel ?

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BANQUE ET FINANCEBanques et PME: partenaires en tous temps. Le capitalà risques est-il un mode de financement à développer? Comment les PME réagissent-elles face à leursproblèmes de liquidité sans prise de risques ? Quelssont les clés pour une succession d’entreprise réussie ?

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2 PME SUPPLÉMENT PUBLICITAIRE – RÉDACTION ET PRODUCTION PAR MEDIAPLANET

EDITORIAL

Le capital humain est un facteur de concur-rence décisif pour l’entreprise. Cette prise deconscience n’est pas nouvelle et aujourd’hui,les notions d’un management du personneloptimal sont différentes d’il y a quelques an-nées. La liste des tâches des experts en RHs’est non seulement élargie, mais a de nou-velles exigences : un rôle de partenaire dansl’entreprise et de stratégiste du management.

Au sein de l’entreprise, les managers ont be-soin d’intuition. Cependant, le succès à longterme n’est garanti que par une stratégie per-formante qui ne peut dépendre uniquementde simples pressentiments, mais se base aussisur des chiffres, des données et des faits.De nos jours, les cadres et autres respon-sables sont confrontés à une avalanched’informations difficiles à traiter et engen-drant une complexité croissante des proces-sus d’entreprise.Cet essor se poursuit inévitablement. Ce n’estqu’avec un traitement transparent des don-nées que les managers se procurent la basede décision solide dont ils ont besoin dans lesplus brefs délais. Les « logiciels intelligents »leur donnent la possibilité d’effectuer deschangements à temps, et de prendre des dé-cisions argumentées.

En période de crise, la clarté et la cohérencedes données sont essentielles et permettentaux entreprises de savoir où elles en sont. Atravers l’optimisation de la gestion del’ensemble des processus opérationnels, ellesréussissent à préserver leur compétitivité.

La place réservée aux investissements estégalement déterminante dans le climat éco-nomique actuel. Ces investissements visant àpréparer l’après-crise permettent aux entre-prises de s’assurer des avantages concurren-tiels importants.

Il est primordial que chaque organisation,quelle que soit sa taille et son domained’activité, ait accès aux différents outils et

méthodes qui permettent un pilotage sansfaille de leur entreprise.

Un marché important de services et produitss’est donc développé donnant ainsi la possi-bilité aux entreprises d’améliorer leurs com-pétences; la complexité demeure dans lechoix de solutions adaptées aux besoins dechacune.

Certaines plateformes professionnelles per-mettent ainsi aux chefs d’entreprise et res-ponsables de services de s’informer et de tes-ter les outils qui peuvent leur être mis àdisposition.

En tant qu’organisateurs d’évènements pro-fessionnels leaders dans plusieurs paysd’Europe, nos 10 dernières annéesd’expérience nous font révéler que cette dé-marche d’information est primordiale et re-présente un élément décisif dans le processusglobal de prise de décision.

Alexander R. Petsch

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PMESEPTEMBRE 2009 UN GUIDE POUR L’OPTIMISATION DE L’ENTREPRISE

«Pour mener, il faut que quelqu’un suive»...

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Alexander R. PetschPrésident Directeur Généralspring Expositions SA(filiale de spring Messe Management GmbH)organisateur des Salons RH & Manageware

Le nombre important des PME en Suisse etleur pouvoir sur la croissance économique dupays sont évidents. Or en cette période derentrée, il importe de réfléchir à l’après-crisefinancière et économique, en se concentrantsur leurs besoins et leurs préoccupationsainsi que sur les possibilités offertes en ma-tière de création d’entreprise, d’optimisationdes processus et d’innovation. Optimisme,créativité et persévérance sont les motsd’ordre pour relever vos défis entrepreneu-riaux !

Productivité ? Flexibilité ? Réactivité ?Restez dans la course…

PME – UNE ÉDITION RÉALISÉE PAR MEDIAPLANET

Project Manager: Laetitia Eluzin,Mediaplanet, 021 320 68 56Production / Redaction:CorinneMeier (Direction),Natascha Künzi,Mediaplanet,043 888 73 12Texte: Nadia Marolda,Adeline Beijns, Samuel Pierre,Nicolas Velle, Jean-Claude HadornCorrection: Peter Voser, Aurélia AnsermetImpression:Ringier Print Adligenswil AGPhotos: Istockphoto.com

MEDIAPLANET EST LE LEADER MONDIALEN DÉVELOPPEMENT, PRODUCTION ETDISTRIBUTION DE SUPPLÉMENTS ÀTHÈME INSÉRÉS DANS LES JOURNAUX.

www.mediaplanet.comMediaplanet produit, finance et crée des suppléments à thème dans la presse et online.Pour plus d’informations, visitez notre site Internet www.mediaplanet.com ou contactezM. Philippe Maurer, Regional Manager, 021 320 67 30 ou [email protected].

Expert panel 4• Rencontre avec 3 chefs d’entreprise

qui résistent à la crise

Ressources Humaines 5• Formation continue et langues

• Le rôle des cabinets de recrutement

en période instable

Networking 6-7• Comment optimiser son réseau

professionnel online ?

• Le boom de l’e-conference vs

conférences traditionnelles

E-Strategy 8• Comment augmenter sa

performance online lorsqu’on a peu

de moyens ?

Facility Management 9• Le Facility Management pour les

PME

Banque et Finance 9-11• PME et liquidités

• Les relations entre les banques et

les PME en Suisse

• Succession et transmission d’une

PME

• Capital à risques et projets

innovants

SOMMAIRE

VOYAGER EST ESSENTIELAU DEVELOPPEMENTDE VOTRE ENTREPRISE.

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OPTIMISATION DE VOS DEPLACEMENTS ET MAITRISE DEVOS DEPENSES SONT LE RESULTAT DE NOTRE EXPERTISE

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«Cocooning Collection » a été fondée en 2006par Fabienne Frei. Pourquoi avoir créé unenouvelle entreprise ?

Pour contribuer à l'amélioration et à la sauvegardede notre planète et parce que même un petit geste ason importance, nous avons développé une gammede savons naturels, de soins du corps et de bien-êtreen accord avec la nature. Mon fils a souffert d'eczémaet j'en ai eu assez d'utiliser des pommades de la phar-macopée. C'est après une grosse prise de conscienceque j'ai voulu changer de produits. Avec mon mari,nous avons fabriqué des produits naturels selon lesméthodes ancestrales.

Quelle est la philosophie de votre entreprise ?Nous travaillons avec des matières premières 100%végétales, provenant si possible de notre région, denotre jardin ou de fournisseurs dont la démarche éco-logique est notable.Nous prônons la simplicité de nos recettes, sans pa-

rabènes, ni conservateurs chimiques, sans graissesanimales et puisons dans le savoir de nos ancienspour vous faire redécouvrir le pouvoir et les senteursdes plantes par les huiles essentielles.

Sentez-vous les effets de la crise économique ?La crise n'a pas d'emprise sur nous, d’ailleurs nousouvrirons notre nouvelle boutique à Vevey en no-vembre avec la création de trois emplois supplémen-taires. Nos produits sont de première nécessité et nosclients n'ont pas fait l'impasse sur leur bien-être.Fidélisés, ils reviennent, preuve qu'en proposant

autre chose sur le marché et en étant innovant, il estencore possible aujourd'hui de réussir... même entemps de crise.

Raymond Dafflon Directeur de XéliosSuisse SA, société spécialisée dans lessystèmes de contrôle d’accès Logiques et

physiques.

Comment définissez-vous votreentreprise ?Nous sommes avant tout une plate-forme decompétence. Nous ne proposons pas seulement desproduits mais nous les commercialisons de manièrestrictement indirecte (au travers de partenaireslocaux).Cependant, et ce afin d'apporter des services

novateurs de plus en plus complets à notre clientèle,nous avons mis en place un service d'auditcomplémentaire à ceux de nos intégrateurs. Nousdisposons en effet d'ingénieurs sécurité spécialisésdans les métiers de l'authentification forte, duchiffrement, du Single-Sign-On ainsi que ducontrôle d’accès aux bâtiments.Nous possédons également un service avant

vente. Celui-ci permet de disposer d'ingénieursvenant en support de nos partenaires pour la miseen place et la configuration de nos solutions.

Une entreprise sécurisée, c'est comment ?C'est, par exemple, une entreprise dans laquellel'employé entre grâce à une carte sans contact. Ilmet son ordinateur en marche et utilise sesprogrammes grâce à une reconnaissance digitaleensuite il rejoint une pièce sécurisée, celle desserveurs par exemple, et peut y pénétrer grâce à sacarte et à la reconnaissance biométrique. Nousfournissons dans ce cas non seulement tout lematériel nécessaire mais aussi les applicationsinformatiques qui l'accompagnent.

Qui sont les utilisateurs d'un telsystème ?Il y a quelques années c'étaient uniquement lesgrandes entreprises. Actuellement les PME se sontrendu compte de l'importance de la sécurisation deleurs avoirs si bien que de plus en plus celles-ci sontdevenues nos clients.Il faut ajouter que grâce aux développements

de la technique ces systèmes sont actuellementfinancièrement à leur portée. C'est la raison denotre succès en temps de crise.

«Food for friends» a été fondée le 18 août 2008par Guillaume Luyet et Geoffroy Morgan deRivery, deux étudiants de l'école hôtelière.

Guillaume Luyet, votre jeune PME ne souffre-t-ellepas en cette période difficile ? Comment parvenez-vous à vous démarquer?Cette crise fût pour nous un leitmotiv pour modérer nosinvestissements dès la création de l’entreprise. Etant en-core étudiants lors du lancement de l’entreprise nousavons démarré doucement, sans dettes en utilisantchaque événement comme moyen de financer du nou-veau matériel. Avec l’Ecole Hôtelière de Lausanne nousavons trouvé le moyen d’avoir accès à tout moment àdu personnel qualifié. Quand on sait que dans ce sec-teur les coûts du personnel représentent une des pre-mières dépenses de l’entreprise, cela nous procure unvéritable avantage concurrentiel.

Vous semblez vouloir évoluer de manière raisonnable,cependant n’était-il pas risqué de se lancer sur unmarché qui parait déjà «hyper-concurrentiel » ?En effet, ce marché apparaît comme saturé avec d’unepart une multitude de traiteurs qui se servent de cetteactivité comme soutien de leur activité principale (bou-cher, boulanger) et d’autres part des gros acteurs qui separtagent le marché des grandes entreprises. Mais il n’yen a que très peu dont l’activité traiteur représente lepremier métier et qui ont une structure suffisammentpetite pour pouvoir rester flexible face àn’importe quelledemande. A partir de ce constat là, nous avons créé no-tre société positionnée entre les deux. Nous cherchonsà être proches de nos clients, à transmettre un étatd’esprit convivial plus qu’à vendre la signature d’un chefsur un plat. D’ailleurs notre nom Food For Friends rap-pelle bien notre côté chaleureux et convivial.

Quels sont vos objectifs sur le long terme?Le premier objectif est de continuer à développer notreactivité de traiteur et de consolider notre situation. Pourcela nous sommes en train de mettre en place nos nou-veaux locaux de production High-tech sur la banlieuelausannoise. Ces derniers nous permettront de finaliserle développement d’un produit qui nous tient à cœur :nous l’appelons le « IKEA de la gastronomie », il s’agitde mettre au point des menus en kit, permettant à toutun chacun de réaliser un repas à domicile digne d’unchef.

Les sociétés qui réussissent entemps de criseAlors que les médias annoncent les augmentations des taux de chômage, les dégraissements et certaines fermetures d'entreprises, d'autres tirentleur épingle du jeu, grâce à leur esprit innovant et créateur.

Texte: Jean-Claude Hadorn

4 PME SUPPLÉMENT PUBLICITAIRE – RÉDACTION ET PRODUCTION PAR MEDIAPLANET

EXPERT PANEL

managewareSalon Solutions Business Intelligence, Enterprise Resource Planning & Business Process Management

GENEVA PALEXPO | 28-29 octobre 2009

www.salon-rh.ch www.manageware.ch

Le rendez-vous

francophone des RH

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…preuve qu’en proposantautre chose sur lemarchéet en étant innovant, il estencore possible aujourd’huide réussir…même en temps

de crise”

CocooningcollectionFabienne HutinFrei

Food For Friends

A gauche:Guillaume Luyet

A droite:Geoffroy Morgande Rivery

Raymond DafflonXélios Suisse SA

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SUPPLÉMENT PUBLICITAIRE – RÉDACTION ET PRODUCTION PAR MEDIAPLANET PME 5RESSOURCES HUMAINES

«Notre rôle n’est pas différent enpériode de crise économique.Nous devons trouver rapide-

ment du travail pour nos candidats et lebon profil pour nos clients», explique Ro-naldoGarcia, directeur deOnePlacement,une agence d'emplois intérimaires etfixes, située à Genève, et active depuis2002 dans le secteur tertiaire, médical etde la construction. Cependant, au mo-ment où l’incertitude guette, le travail desagences se corse. D’une part, les entre-prises deviennent plus exigeantes àl’embauche. D’autre part, les demandeursd’emplois sollicitent d’avantage lesagences. De surcroît, ils acceptent diffici-lement que les sociétés d’intérimne soientplus en mesure de répondre à leurs at-tentes.

Redoubler d’écoute« Certains intérimaires viennent tous les

jours, sans que l’on puisse leur donnerdu travail. Ils veulent garder le contact »,raconte Ronaldo Garcia. Les agences deplacement font alors face à un nouveautype de candidat : « Ils veulent être écou-tés, soutenus. Nous sommes parfois devrais confidents ». Il faut noter que letravail temporaire permet souvent auxpersonnes d’échapper au chômage,voire de décrocher un emploi stable. Dece fait, quand la morosité économiqueest là, l’agence d’intérim est doublementsollicitée : elle doit gérer les demandesdes nouveaux chômeurs mais aussicelles des intérimaires qu’elle ne peutdésormais plus engager. Et quand elle nepeut offrir suffisamment de places detravail, l’écoute prend le relai : lesconseils sur les différentes démarchesadministratives à effectuer auprès duchômage sont alors monnaie courante.

Entreprises plus exigeantesA contrario, quand la reprise se faitsentir, les entreprises certes engagent,mais sont intraitables sur le profil descandidats. « Elles désirent des gens trèspointus dans leur domaine, bien plusqu’en temps normal », analyse RonaldoGarcia, qui gère près de 500 intéri-maires. En d’autres termes, un profil n’apas la même valeur en périoded’incertitude. A titre d’exemple, un CFCd’employé de commerce n’est alors plussuffisant pour travailler dans unbureau : les langues et au moins unedizaine d’années d’expérience sont né-cessaires. Et lorsque l’économie redé-marrera, l’exigence des entreprises di-minuera à mesure que les temporairesretrouveront peu à peu leurs emplois.Mais ce ne sera pas avant l’automne2011, prédisent les experts.

« Les temporaires ont besoin d’être épaulés »Lorsque les entreprises licencient, les intérimaires trinquent en premier. Et quand vient le moment de les réengager, le choix se porte sur lesplus qualifiés d’entre eux. Les agences de placement sont contraintes à suivre cette tendance.

Texte:Nicolas Velle

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Entre 1990 et 2009, le travail temporaire est passé de 0,7% à 1,9% du travail salarié enSuisse. Celui-ci est très touché par la crise économique, puisque les entreprises ont d’abordlicencié leurs intérimaires, avant leurs employés fixes. Alors que l’horlogerie – qui emploiebeaucoup de temporaires – est sinistrée, le secteur médical est le seul à tenir le coup : l’Etat,employeur principal du secteur, n’a pas encore prévu d’économies drastiques. Seul point po-sitif, les conditions de travail des intérimaires ne sont pas renégociées : les conventions col-lectives de travail restent solides. De plus, la loi fédérale sur le service de l´emploi et la loca-tion de services assure leur protection. La situation devient plus difficile quand ce sont destravailleurs fixes qui perdent leurs emplois. « La vie en intérim est faite de provisoire. Leschangements de contraintes professionnelles sont fréquents », conclut Ronaldo Garcia. En-fin, le chiffre d’affaires des agences de placement a fondu de 14 à 20% depuis début 2009.Seule réjouissance, leur marge – la différence entre le salaire de l’intérimaire additionné àdes charges sociales et le montant facturé à l’entreprise – ne sont pas revues à la baisse parles clients : ces derniers savent que ces agences trouveront le candidat idéal durant la crise.Elles y mettent donc le prix.

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Continuer à se former permet derester dans un processus d’ap-prentissage tout en se spéciali-

sant dans un domaine particulier. Seperfectionner est un avantage pour lespersonnes à la recherche d’un emploimais aussi pour celles qui exercent uneactivité professionnelle. En effet,l’apprentissage est enrichissant d’unpoint de vue personnel et permet de de-venir un employé indispensable au bonfonctionnement de l’entreprise. Aug-menter ses compétences est aussi unmoyen de prétendre à un meilleur sa-laire ou peut faciliter l’ascension au seinde la hiérarchie.La Fédération suisse pour la forma-

tion continue (FSEA) œuvre à repré-senter les intérêts des acteurs et parte-naires de la formation continue. Denombreux cursus de formation conti-nue sont en outre proposés par desorganismes publics ou privés. Il estparfois aussi possible de suivre descours dispensés par les entreprises àl’interne. En ce qui concerne l’ap-

prentissage des langues étrangères, descours sont offerts dans les universitéspopulaires ou dans des écoles privéestelles que Berlitz, Wall Street ou encorel’Ecole-club Migros.

Quelle formation ?Face aux nombreuses possibilités deperfectionnement, il s’agit de parvenirà adopter la formation adéquate. Certesles intérêts personnels ne sont pas ànégliger, mais avoir un objectif profes-sionnel peut porter ses fruits, une foisla formation terminée. Le choix descours devrait être en adéquation avec

le domaine dans lequel on évolue. Unebonne étude des compétences exigéespar les entreprises permet de cibler sespropres lacunes et d’y remédier en en-

treprenant une formation. Il est aussipossible de s’informer sur l’actualitéliée à son domaine d’activité.En ce qui concerne le financement,

certaines entreprises remboursent unepartie ou la totalité des frais de forma-tion. Les personnes inscrites au chô-mage peuvent, quant à elles profiter decours de langue et de perfectionne-ment.

Pour les entreprisesLes avantages de la formation conti-nue ne sont pas réservés aux particu-liers, ils sont aussi valables pour les en-

treprises. Investir dans la formation deson personnel permet de rester compé-titif et de se développer constamment.C’est aussi un moyen d’instaurer une

relation de confiance avec ses em-ployés qui se sentiront valorisés etseront certainement reconnaissantsd’avoir la possibilité de continuer à seformer.Si l’entreprise paie une partie ou la

totalité de la formation, elle peut de-mander au préalable à l’employé de si-gner un contrat attestant qu’il resteraau sein de l’entreprise au minimum lenombre d’années indiquées sur leditcontrat. Cette démarche assure àl’entreprise que l’argent investit serabénéfique sur le long terme.

Un autre type de formationUne variante à la formation continuehabituelle est la formation par leréseau professionnel. Des dirigeantséchangent des savoir-faire et des com-pétences lors de rencontres organisées.L’expérience accumulée peut être par-tagée et bénéfique pour les autresmembres du réseau. On peut se deman-der si ce genre de phénomène se crée àcause d’une mauvaise connaissance etd’une offre incomplète en matière deformation continue.

Faut-il continuer à se former ?Savoir optimiser ses performancesIl n’est pas évident de se démarquer sur le marché du travail. La concurrence est rude et les postes vacants se fontrares. Comment devenir un candidat compétitif ? Est-il nécessaire d’investir dans une formation continue ou dansl’apprentissage d’une langue étrangère ? Quels avantages les entreprises ont-elles à former leur personnel ?

Texte:Nadia Marolda

La FSEA informe que des études réaliséesdans le secteur de la formation continuedans les entreprises suisses montrent quenombre d’entreprises ne font pas appel àla formation continue ou pas de façon ci-blée. Plus d’un tiers des PME n’auraientrien investi dans la formation continue enl’espace de trois ans et 11% d’entre ellesdisposeraient d’une stratégie dans cedomaine.

Le saviez-vous?

Investir dans la formation de sonpersonnel permet de rester compétitif et de

se développer constamment””

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6 PME SUPPLÉMENT PUBLICITAIRE – RÉDACTION ET PRODUCTION PAR MEDIAPLANET

NETWORKING

Soigner son imageLors de l’inscription à un site de Net-working, il est demandé de remplir unprofil. Il s’agit d’être particulièrementattentif lors de cette étape car c’est parce biais que les membres du réseau seconnaissent et s’évaluent. L’objectif estd’être le plus transparent et explicitepossible. Le nom de l’entreprise, le sec-teur d’activité, les diplômes, le parcours

professionnel, les projets peuvent y fi-gurer. Prendre le temps de remplir cor-rectement son profil permet d’en ga-gner par la suite car cela permettra defaire des contacts de qualité.

Des contacts pertinentsUne fois le profil complété, il est pos-sible d’inviter des personnes de sonpropre réseau à faire partie du réseau

professionnel enligne. Cela per-mettra d’avoir leplus de contactssur la même pla-teforme et decréer des lienssolides. Le ré-seau est un bonmoyen d’obtenirdes informa-tions etd’échanger desservices. Il nes’agit plus decontacter unprofessionnel auhasard mais dechoisir celui quiest le plus adé-quat.

Le choix du site de Networking a éga-lement son importance. Si le site esttrès spécialisé, comme l’Associationdes professionnels de la communica-tion dans le domaine du luxe, lescontacts s’établiront avec des profes-sionnels d’un domaine en particulier.Cela permet d’avoir un accès direct et

spécialisé. D’autres sites favorisent larichesse d’un réseau formé par desmembres en provenance de plusieurscorps de métiers comme Rezonance oul’Association suisse des cadres, destinésaux cadres et à ceux qui veulent le de-venir. A une plus grande échelle, ontrouve Linkedln qui comporte plus de43 millions de membres issus de plus de200 pays. Pour la Suisse alémanique,c’est Xing qui a les faveurs du public.Les réseaux de professionnels sont aussil’occasion de trouver le futur employéidéal pour son entreprise. Grâce à ces

plateformes d’échanges, il est possiblede se renseigner sur les candidats et detrouver celui qui correspond le mieux.

Les servicesLes sites de réseaux professionnels enligne ne se contentent pas de permettreaux membres de se connaître. Un nom-

bre de services allant de la défense desintérêts de ses membres à l’organisationde manifestations sont mis à disposi-tion. Des dossiers sur des thèmes pro-fessionnels sont également fournis auxmembres des réseaux qui ont à leur tourla possibilité de donner leur avis sur lesujet. L’ASC propose, par exemple, à sesmembres un rabais sur les taux hypo-thécaires ainsi que des conditions pré-férentielles sur les opérationsd’investissement. Le site Rezonancepermet quant à lui de consulter et depublier des articles, des présentationsou des documents.Pour tout type de réseau, il est impor-

tant de l’alimenter, de mettre son profilà jour, de créer de nouveaux contacts,et de se rendre régulièrement sur le sitecar la force du réseau réside en grande

partie dans son évolution constante.Une nouveauté pour conclure, manda-too, un réseau social de plus de 25 000étudiants, propose des services sur me-sure aux entreprises.

Comment optimiser son réseau ?Passer maître en matière de NetworkingPour être un bon professionnel, il ne s’agit pas seulement d’être efficace dans son travail mais aussi de savoir créer des liens. Le Networking ouRéseautage qui a vu le jour aux Etats-Unis permet de développer son réseau en un temps record. Quels sont les réels avantages ?

Texte:Nadia Marolda

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SUPPLÉMENT PUBLICITAIRE – RÉDACTION ET PRODUCTION PAR MEDIAPLANET PME 7NETWORKING

Alexandre Lopez de Nevicom SA,société spécialisée dans les sys-tèmes de visio conférences,

précise: «Il y a quelques années ces sys-tèmes étaient réservés aux grandes entre-prises. La crise aidant, ajoutée aux pro-blèmes liés à l'épidémie de grippeA/H1N1, les PME s'intéressent égalementà posséder leur propre installation. Leséconomies de temps et d'argent sont évi-dentes même si la vidéoconférence ou le

e –Conferencing ne remplace pas lecontact humain. De plus ces installationsévitent l'émission de CO2 résultant desvoyages et les entreprises en sont de plusen plus conscientes.» Encore faut-il queson client ait le même programme! Aquoi répond le spécialiste en communi-cation sur la toile: «Ce problème est viterésolu car il suffit d'acheter plusieurs li-

cences et d'en mettre une à dispositionde son interlocuteur.» Un système iden-tique est utilisé en médecine: «bien quela Suisse ne soit pas le champion dansce domaine», souligne Alexandre Lopez,«mais les pays en voie de développe-ment y sont fort intéressés.»Pour ceux toutefois qui ne désirent

pas s'équiper des programmes et des ou-tils indispensables à l'e-Conferencing, ilexiste dans chaque grande ville un ouplusieurs centres de conférences dotésdes appareils les plus modernes. Une

salle, de diverses grandeurs, peut y êtrelouée. Des collaborateurs spécialiséssont à disposition des locataires afin deles assister dans leurs exigences tech-niques. Dans la mesure où le client enfait de même, il devient alors possibled'organiser un conseil d'administrationdont la moitié des membres sont à Ge-nève et l'autre moitié à Singapour, par

exemple. À l’heure actuelle, lorsqu’onest à la recherche de nouvelles possibi-lités en matière de clients ou d’emploi,qu’on soit consultant, entrepreneur ou àla recherche d’un nouveau job, leschamps d’action se réduisent de plus enplus et les outils qu’on tendait à utiliserdeviennent obsolètes. De nouvellespossibilités existent pourtant sur la toileet dans les salles de conférences. Leurutilisation est très appréciée car elle fa-cilite le contact entre les participants etconduit à un excellent networking.Echanger sa carte de visite avec unresponsable difficilement atteignablen'est alors plus un problème. C'estl'occasion de se constituer une listed'adresses, d'avoir une première entre-vue avec un futur client ou le prochainemployeur. Les chambres de commerce,les cercles industriels, les ambassades,pour ne citer qu'eux, organisent régu-lièrement de telles rencontres. Le but estsimple et avoué: mettre en contactclients et fournisseurs, demandeursd'emplois et entrepreneurs ou encoreutilisateurs et fabricants. Ce sont en faittoutes les activités qui permettent demultiplier les contacts: petits déjeunersdes PME, lunchs d'entrepreneurs, confé-rences pour un public spécialisé

jusqu'aux échanges télévisuels interna-tionaux.

Tous les atouts apportés par le mondedes conférences modernesVisiter ses clients, avoir des contacts avec ses fournisseurs ou ses succursales, répandre son savoir-faire et sesidées ainsi qu’élargir son réseau font partie des tâches des sociétés. Zoom sur l’e-conferencing et les salles deconférence qui soutiennent les entreprises dans la réalisation de leurs objectifs.

Texte: Jean-Claude Hadorn

L’audiovisuel n’a pas de secret pour lasociété Lémanvisio et son chef de venteset administrateur Johann Ody. Depuis2001, elle offre une gamme complète desolutions dans le domaine de l’image, duson et de la domotique.

Quel est le matériel que vous proposezà ceux qui désirent installer une salle devisioconférence?Le matériel le plus utilisé est relativementsimple. Il s'agit d'acquérir un écran LCD ouplasma, un vidéoprojecteur fait aussil'affaire, un codec, c'est-à-dire un pro-gramme capable d'encoder les informations,une caméra et un micro. Il faut ensuite, soitun IP dédié, soit une ligne ISDN pour latransmission. La qualité est alors non seule-ment excellente mais le système est completet prêt à fonctionner. Le prix se situe dansune fourchette de 8000 à 13000 francs etpeut ainsi être acquis par n'importe quellePME qui l'amorti entre 6 à 12 mois.

Qui sont vos clients et comment utilisent-ils ces installations?Ce sont bien entendu de grands groupesmais aussi une multitude de PME. Commeexemple je citerais cette petite entreprise deNeuchâtel qui tient chaque jour une confé-rence avec les employés de sa succursalegenevoise. Ils se voient, se parlent et peu-vent se transmettre des documents d'unemanière tout à fait sécurisée. Que ce soit deNeuchâtel à Genève ou de Lausanne en Asie,le système est le même et la qualité iden-tique.

Quelles sont les raisons qui poussent lesPME à investir dans un tel appareillage?Des soucis d'économie concernant certainsvoyages d'affaires mais aussi d'écologie enpréservant les émanations de CO2. Il n'en de-meure pas moins que certains déplacementsrestent indispensables.

Jean-Claude Hadorn

La visioconférence, un outil indispensable

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8 PME SUPPLÉMENT PUBLICITAIRE – RÉDACTION ET PRODUCTION PAR MEDIAPLANET

E-STRATEGY

Les nouvelles règles économiqueset les perspectives de rentabilité dece que l’on appelle la net-écono-

mie ou le e-commerce, induisent desmodifications profondes à la fois entermes de processus, de marketing et dedécisions stratégiques. Développer sonimage et se faire connaître, sauvegarderou échanger ses données, disposer d’unréseau Intranet efficace… Ces élémentssont indispensables à l’optimisation deson activité.Les stratégies de distribution, c’est

l’aspect mis en avant le plus fréquem-ment au travers de ce qu’il est d’usaged’appeler l'e-business. Les probléma-tiques liées à la distribution sont deplusieurs ordres et se posent différem-ment selon que l’entreprise existe ouqu’elle se crée. Il s’agit en effet soit d’uncanal de distribution complémentaire,soit d’un canal nouveau. Le fabricantde jeans Levis a fermé son site Internetde vente directe en raison del’incompatibilité avec ses distributeurs.Sony prévoit au Japon de réaliser, àmoyen terme, 20% de son activité dedistributeur via Internet. Le franchiseurPronuptia, spécialiste de la robe de ma-riée, crée un site conçu à la fois en com-plément du réseau existant, les ventes

sur le net étant réorientées vers le ré-seau quand il est géographiquementproche du client.De plus en plus d'entreprises commu-

niquent à l'aide de streaming et de vi-déos avec leurs employés; présentationdu CEO, communication de certainsbuts et valeurs au sein de l'entreprise,mais aussi des modules de formations àdistance au sujet de facteurs de réussitecritique en sont les thèmes favoris. Laraison en est simple: 87% des inter-nautes sont des vidéonautes et selonune enquête de Cisco en 2008, ils regar-dent 3 heures de vidéos par mois. Lamême agence prévoit que d'ici 2012, lavidéo représentera 90% du trafic Inter-net mondial et il y aura 1 milliard de vi-déonautes en 2013. Actuellement lesproduits présentés en vidéo se vendenttrois fois mieux que ceux présentés enphotos.Il n'est d'ailleurs pas nécessaire

d'investir dans du matériel. Certainessociétés sont prêtes à faire ce travailpour leurs clients. Développés àl’interne et disponibles à la «location»,la société Imavox, par exemple, proposede nombreux services: galerie photos3D, enregistrement en ligne, études desatisfaction, communication de masse(mail, sms, message sur combox), blog,forum et newsletter. Les avantages sontnombreux :

Fort de la longue expérience de soncréateur et de ses collaborateurs, la so-ciété Too Pixel propose de son côté unservice de création de sites unique,dont la programmation se veut stable,évolutive, sécurisée, respectueuse desstandards du Web et utilisant les tech-nologies modernes du Web 2.0. Elletravaille avec des freelances en télé-travail (par Skype, MSN, e-mail et au-tres), la distance avec les collabora-teurs n’ayant aucune importance,seule la compétence des personnes ade la valeur. Pour cette raison, l'équipeest internationale et se trouve aussibien en Suède, en Argentine ou enSuisse et même en Roumanie !Tout d’abord présenté comme le

petit frère du WAP, le SMS (ou ShortMessage Service) prend aujourd’huiun ascendant significatif en termed’utilisation sur son «aîné». En effet,selon une étude menée conjointementpar Kiwee et Ipsos, 31% des personnesinterrogées ne connaissent pas cequ’est le WAP, contre seulement 6%pour le SMS !Le WAP (en anglais : Wireless Ap-

plication Protocol ou WAP) est un pro-tocole de communication qui permetd'accéder à Internet à partir d'un ap-pareil de transmission sans fil, commepar exemple un téléphone portable ouun assistant personnel. Par son formatde texte réduit, le SMS a surtout pourvocation d’informer rapidement despersonnes abonnées à un service. Leprincipal intérêt des SMS est l’alerteen temps réel. Il est possible de distin-guer les services d’alertes d’actualitésou des services d’alertes complémen-taires. Ces alertes peuvent êtrepayantes ou gratuites. Le choix pourl’émetteur dépend de la concurrencesur le type de service proposé et de savolonté à proposer un service d’alertecomme service complémentaire qui

est lui même déjà payant. Dans cer-tains cas la gratuité semble s’imposer:on voit mal par exemple une compa-gnie aérienne faire payer un messageSMS prévenant un client que son volà du retard ou qu’il est annulé. Dansle cas des messages publicitaires, il esttoujours gratuit.La vente des livres numériques a

pris elle aussi l'ascenseur. Il est eneffet plus confortable pour le con-sommateur de lire, par exemple, tousles détails concernant l'utilisation duprogramme Excel sur son écranque d'avoir un livre sur les genoux.Là aussi les applications sont multi-ples et la librairie numérique Eni à Pa-ris propose une quantité de titres al-lant de la PAO à la gestion deMicrosoft Vista.Enfin la newsletter ou infolettre –

néologisme utilisé pour la premièrefois par La Gazette de Berlin pourtenir ses lecteurs informés parcourriel de ses nouvelles éditions – ouencore cyberlettre, est un bulletind'information envoyé de manière pé-riodique par courrier électronique àune liste de diffusion regroupantl'ensemble des personnes qui y sontinscrites. Celles-ci sont génératricesde chiffre d'affaires. Romain Walt, deBucher et Walt SA, distributeur desproduits Garmin en a fait l'expérience.Les appareils GPS ne sont pas particu-lièrement des produits de premièrenécessité et en temps de crise, l'attenteau niveau des ventes était plutôtpessimiste.Et pourtant... Un nouveau projet

avait été initié dès l'an passé, le butétait de tenir au courant les utilisa-teurs de ces produits des mises à jouret des accessoires qui les concernaient.Dès l'automne 2008, Romain Walts'est adressé à ses clients par le biaisd'une newsletter pour laquelle il étaitpossible de s'inscrire sur le sitewww.garmin.ch: «Je pensais ainsiavoir un outil moins cher que les an-nonces conventionnelles mais je neme doutais pas du succès de cette opé-ration.Si les ventes ont plus que doublé,

nous avons aussi été dans l'obligationde nous réorganiser. Chacun s'est ef-forcé de tenir à jour les dossiers né-cessaires que nous avons communi-qués. Notre base de données s'est aussiconsidérablement agrandie mais outrele succès commercial, les employésont aussi été motivés par le résultat.En termes de ressources, la mise enplace du système nous a pris beaucoupde temps et a concerné chaque colla-borateur. Par contre le jeu en a valu lachandelle!

Professionnels ou particuliers,e-business a des solutions pour vous !L'institut Nielsen pense que l'e-commerce US devrait atteindre 475 milliards de dollars dans trois ans, soit une progression de 83% entre 2008et 2012. SMS, newsletter, e-mail, vidéos, pubs on-line, e-learning, blogs et bases de données sont les nouveaux outils du succès.

Texte: Jean-Claude Hadorn

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SUPPLÉMENT PUBLICITAIRE – RÉDACTION ET PRODUCTION PAR MEDIAPLANET PME 9FM / FINANCE

Il est donc crucial de faire un auditcomplet de la situation écono-mique de sa PME et de se faire

conseiller par des professionnels.

Limites de crédit et gestiondes liquiditésBon nombre de PME et ME sortentde très belles années en matière deperformances économiques. C’estbien souvent, lorsqu'ils n’en n’ont pasvéritablement besoin, que les patronsde PME recherchent du financementpour l'utiliser en cas de coup dur. C’estdonc généralement sur la base de bonsrésultats financiers qu’ils négocientdes limites de crédit d'exploitation.Compte tenu des résultats histo-

riques, ces limites n'ont pas été utili-sées et permettent alors àl'entrepreneur de répondre à unmanque éventuel de liquidités. Lesbailleurs de fonds, ayant accepté ceslimites de crédit d'exploitation, n'ontdès lors pas lieu d'intervenir sur cesappels de fonds.Mais en temps de crise, cette situa-

tion peut s'avérer dangereuse pourl'entrepreneur si l'analyse de la situa-tion économique n'est pas immédiate-

ment réalisée. En effet, il y a lieu dediagnostiquer si ce besoin de capitauxest simplement une situation passa-gère et est maîtrisé en bonne connais-sance de cause ou si la détérioration dela rentabilité de l'entreprise requiertdes mesures plus importantes. La ges-tion continue de la trésorerie maisaussi le suivi de la rentabilité del'entreprise sont des facteurs clés desuccès.

Autre aspect :les crédits moins chersPour lutter contre la récession, lesbanques nationales ont abaissé leurstaux à plusieurs reprises ces derniersmois, avec pour conséquence qu’em-prunter est devenu nettement moinscher. Puisque l’on sait que cette situa-tion ne durera pas et que les taux aug-menteront à nouveau dès que la re-prise économique pointera, nombreuxsont ceux qui se précipitent pourcontracter un nouveau crédit. Or ilconvient de rappeler, qu’en ces tempsmoroses, n’obtient pas un emprunt quiveut ! Du côté des banques, la pru-dence est de mise, et des garanties doi-vent être avancées. Il est donc crucialde juger sûrement, sur base d’unebonne analyse des états financiers, del’opportunité de s’engager dans de

nouvelles dettes. L’importance d’unerelation franche et continue avecvotre banquier ne doit donc pas êtresous-estimée. Connaissant votre si-tuation financière, ce dernier pourra,entre autres, déterminer votre capacitéactuelle à honorer vos engagements.

Cabinets de consultance :leurs points fortsDepuis l’analyse et la détermination del’état de santé de votre entreprise, à lamise en œuvre de mesures correctriceset d’une stratégie tant financière qued’entreprise, les cabinets de consul-tance offrent une kyrielle de servicesqui s’avèrent très utiles en temps decrise : amélioration de la liquidité desactifs, analyse des marges bénéfi-ciaires, du chiffre d’affaires et du bud-get, ainsi que des perspectives de dé-veloppement et de leurs coûts.Outre l’indépendance et le respect

éthique, la force des cabinets deconsultance repose dans leur segmen-tation par domaine d’expertise etl’intégration subséquente de cesdifférentes spécialités. Ainsi, chaquecabinet possède son département fis-cal, finances d’entreprise, audit, infor-matique, restructuration, ... chacunconcentrant leurs ressources sur uneactivité bien précise, développant en-

suite une expertise spécifique. Faireappel à des consultants, c’est doncs’adresser à un vivier inépuisable decompétences et d’expériences.

Gérer sa PME en temps de criseEn temps de crise, la gestion des liquidités et le respect des obligations en matière de crédits jouent un rôle centraldans l’administration financière de toute entreprise.

Texte: Adeline Beijns en collaboration avecXavier Pan,Directeur adjoint et Partner de BDOVisura

Le Facility Management est ap-paru aux Etats-Unis dans les an-nées 1980. A cette époque, les

entreprises externalisent leurs fonc-tions support vers des prestataires ex-térieurs, afin de se recentrer sur leurcœur de métier. Une nouvelle tech-nique de management de l’entrepriseest née. Près de trente ans plus tard,plusieurs entreprises sont aujourd’hui

leaders en Facility Management (FM).La recette est toujours la même : endonnant à l’entreprise le moyen de seconsacrer à son métier premier, le Fa-cility Management (FM) lui permet demobiliser l’ensemble de ses res-sources pour développer ses compé-tences propres et prendre en charge,pour elle, tous les services supportsnécessaires.

Coût global de fonctionnementPlusieurs arguments militent en fa-veur du recours à un prestataire deFacility Management, et cela surtouten temps de crise économique quandle réflexe naturel des entreprises est,au contraire, celui de la « réinternali-sation » des fonctions support. Ilfaut d’abord savoir qu’environ 10 à 18% du chiffre d’affaires d’une entre-prise sont consacrés aux servicesgénéraux et immobiliers. Le Facility

Management permet de réduire le coûtglobal de fonctionnement del’entreprise car son objectif premierest d'améliorer la qualité des presta-tions dans le cadre d'une réductiondes coûts. Il permet aussi de gagner enflexibilité et en performance, de trou-ver un partenaire pour gérerl’évolution de son patrimoine immo-bilier, de minimiser les risques sur les

sites de l’entreprise et égalementd’améliorer l’environnement de tra-vail (hygiène, santé et sécurité de sescollaborateurs).

Liste des servicesAu-delà des missions traditionnellesdes services généraux, le Facility Ma-nagement s’étend aussi aux servicesd’ingénierie technique et à la gestionde l’immobilier. Et la liste des servicesrendus est toujours plus longue. Car leFacility Management s’occupe de tout.Même du nettoyage (odeurs, bactéries,virus, levures, moisissures, COV). Et ences temps de pandémie grippale,l’hygiène des bureaux, vestiaires, wcn’est pas une chose à laisser au hasard.La vigilance s’impose aux entreprisesafin d’endiguer ou de retarder la pro-pagation de la maladie dans leursmurs.Certains équipements garantissent

d’ailleurs l’assainissement écologiquede l’air et des surfaces sur les lieux detravail et cela 24h/24. Autant laisserun professionnel de l’hygiènes’occuper pour vous de la propreté deslocaux de votre entreprise. En cas decontagion, il en va de la survie mêmede l’entreprise.

Facility Management :mode d’emploiRéduire le coût global de fonctionnement de l’entreprise, gagner en flexibilité et enperformance, minimiser les risques, tels sont les principaux avantages del’externalisation des fonctions support.

Texte: Samuel Pierre

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…car son objectif premier est d’améliorerla qualité des prestations dans le cadre

d’une réduction des coûts ””

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10 PME SUPPLÉMENT PUBLICITAIRE – RÉDACTION ET PRODUCTION PAR MEDIAPLANET

BANQUE ET FINANCE

Un rôle millénaireLes banques, dont les origines remon-tent à la plus haute Antiquité, sont unrouage indispensable de l’économie.63% des Suisses estiment en effet queleur rôle est central1. Les institutionsbancaires remplissent plusieurs rôles, àsavoir :

La banque universelle :une particularité suisseContrairement au modèle anglo-saxon et japonais, le système bancairesuisse repose sur le principe de labanque universelle, c’est-à-dire quetoutes les banques peuvent offrirl’ensemble des prestations bancaires,par exemple: les opérations de crédits,la gestion de fortune, les services despaiements, les transactions boursières,les émissions d’emprunts et les ana-lyses financières.Le principal avantage de la banque

universelle est la répartition desrisques sur un nombre élevéd’opérations bancaires et de clientsissus de divers secteurs économiques2.Une étude du World Economic

Forum3 place d’ailleurs la Suisseen première place en ce qui concernela sophistication du marché financier,juste devant le Royaume-Uni et leLuxembourg.

Place financière suisseBien que la crise ait redessiné lepaysage bancaire suisse, ce dernierreste dominé par Credit Suisse et UBSqui se partagent plus de 50 % du totaldes bilans. En Suisse, l’UBS est leaderen ce qui concerne les opérations avecla clientèle privée et les entreprises,et, au niveau international, elle estavant tout une grande banqued’investissement. Le Credit Suisse estquant à lui surtout réputé pour les of-fres de solutions globales et de pro-duits novateurs en Suisse comme àl’étranger.A côté de ces deux géants, 24

banques cantonales ont vu leur rôle serenforcer au cours de la crise. Ellesont pour principal mandat la promo-tion de l’économie du canton tout enoffrant les principales opérationsbancaires.

Conseils pour obtenir un créditLa crise a mis en évidence la nécessitépour les banques de mieux gérer leursrisques. A l’heure actuelle, l’examendes données statistiques disponiblesne permet pas de parler d’un resserre-ment du crédit en Suisse4. En 2009,l’offre de crédits en Suisse auraitmême augmenté de +13% tandis quela demande serait restée pratiquementstable (+2%)5.

Pour obtenir les fonds nécessaires aulancement de votre projet, il convientde préparer minutieusement sa de-mande de financement auprès de sonbanquier. Voici quelques conseils :

1. Pensez au timing de la demande de

crédit : demandez-le en temps et enheure en fonction de l’émergence etde l’urgence de la création de votreprojet.

2. Ayez un contact régulier et informa-tif avec votre banque pour installerun climat de confiance.

3. Soignez tant les aspects financiersque qualitatifs du dossier car la

cohérence du projet est examinéedans sa globalité (expérience del’entrepreneur, stratégie adoptée,capacité de remboursement…).

4. Mettez en avant les plus-values, lepotentiel de développement et les

points faibles de l’entreprise.

5. Anticipez : prévoyez un plan de se-cours pour pouvoir vous adapter àde nouvelles circonstances.

6. Structurez vos fonds propres enprévoyant plusieurs sources de fi-nancement, et des réserves en cas deproblèmes.

Avec ces précieuses recommandationsen tête et un bon dialogue avec votrebanquier, nul doute que vous bénéfi-cierez de bonnes conditions pour laréussite de votre projet.

1 Association Suisse des Banquiers, 2008

2 Association suisse des Banquiers

3 WEF, Global Competitiveness Report

2007-2008

4 Statistiques sur l’encours des crédits,

BNS, août 2009

5 Association suisse des Banquiers

Banques et PME : partenaires en tout tempsLa crise financière a mis à mal la confiance accordée aux banques. A tort. Même siles investissements spéculatifs représentent une part importante de leurs activités, lesrelations de proximité et de financement entre les banques et les PME restentl’essence de leur fonction.

Texte: Adeline Beijns

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Les limites du secret bancaire

Le secret bancaire a pour but de protéger lasphère privée au sens de la Constitution etde la législation suisses. Selon l’art. 13 de laConstitution fédérale de la Confédération :« Toute personne a droit au respect de savie privée et familiale. » Toutefois,l’obligation de discrétion du banquier en-vers la clientèle n’est pas absolue et aucuneprotection n’est accordée aux criminels. Ledevoir de fournir des informations existenotamment dans les cas suivants : procé-dures de droit civil (succession, divorce…),droit de poursuites et faillites, procédurespénales (blanchiment d’argent, fraude fis-cale…) et les procédures d’entraide judi-ciaire internationale.

– faire coïncider l’argent disponible etles besoins en argent des ménages,des entreprises et des états en orien-tant l’argent de ceux qui en ont tropvers ceux qui, présentant des ga-ranties suffisantes, en ont besoin.Les banques se doivent ainsid’entretenir des relations étroitesavec leurs clients dans un climat deconfiance mutuelle.

– soutenir les idées prometteuses desPME en proposant des financementsadéquats et des alternatives au cré-dit bancaire classique (aides pu-bliques au financement).

– offrir des assurances telles que ga-rantir l’avenir de votre entreprise encas de décès ou de perte totale et ir-réversible d’autonomie d’une per-sonne essentielle à son développe-ment, assurer vos crédits courtterme, assurer et protéger vosmoyens de paiement en cas de perteou de vol…

A côté de ces deux géants, 24 banquescantonales ont vu leur rôle se renforcer au

cours de la crise””

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SUPPLÉMENT PUBLICITAIRE – RÉDACTION ET PRODUCTION PAR MEDIAPLANET PME 11BANQUE ET FINANCE

Selon une étude menée en 2009 parle Crédit Suisse et le Center for Fa-mily Business de l'Université de

Saint-Gall, le nombre de successionsd'entreprises augmentera encore sensi-blement au cours des cinq prochaines an-nées. Ainsi, près de 26% des entreprises,soit 57000 entreprises – représentant en-viron 450000 emplois, c'est-à-dire unemployé sur trois – sont concernées parl’échéance. Elles n’étaient que 18,5 % en2005. Et malgré les campagnes de sensi-bilisation, la moitié des entrepreneurs in-diquent toujours «n'avoir défini aucunestratégie explicite» pour gérer au mieuxleur succession. Une situation encore plusfréquente dans les petites et moyennesentreprises avec 68% des entrepreneursdans ce cas. Pourtant, le changement degénération à la tête d'une PME n’est pasunmoment facile. « Il n'est pas rare que cechangement menace l'existence même del'entreprise», souligne le portail PME de laConfédération helvétique.Comment alors bien se préparer ?

L’association suisse Relève PME – qui apour objectif d'améliorer les conditionsde succession des PME – conseille à toutchef d’entreprise d’examiner la question« dès (les) 55 ans ». «Une restructurationpeut se révéler nécessaire avant la trans-mission, ce qui peut prendre plusieursannées en raison de certains délais fis-caux obligatoires », explique notam-ment l’association sur son site internet(www.kmunext.ch). Transmettre, c’estdonc prévoir et planifier. Selon le CréditSuisse, cette planification doit englober« non seulement des réflexions ration-nelles et financières, mais aussi la re-cherche d'un successeur approprié, lesouci de la survie de l'entreprise et dumaintien des postes de travail, ainsi quela garantie de la prévoyance vieillessepersonnelle des entrepreneurs ».Un programme qu’il faudra réaliser

étape par étape. Tout commence par unétat des lieux de la situation patrimo-niale, juridique et fiscale de l’entreprise,mais aussi de sa propre situation fami-liale. L'essentiel du travail de planifica-tion consiste à analyser l'existant et àformuler les souhaits et les objectifs duchef d'entreprise et de sa famille. Il fautensuite déterminer son successeur. Ce-

lui-ci est de plus en plus souvent trouvéen dehors du cadre familial. L’enquêtedu Crédit Suisse montre que seulement40% des entrepreneurs veulent trans-mettre aujourd’hui leur entreprise ausein de leur famille. Ils étaient plus de60% en 2005.Côté successeur justement, les choses

ne sont pas simples non plus. Les étapesessentielles de la reprise d'une entrepriseconsistent « à s’assurer de son aptitudeentrepreneuriale, de trouver la bonneentreprise et de concrétiser la successionsur les plans légal, fiscal et financier »,souligne ainsi le portail PME de laConfédération helvétique. Côté financejustement, pour le Crédit Suisse, le suc-cesseur doit « avoir la volonté de menerl’entreprise vers un avenir prospère ».

Nerf de la guerre oblige, il doit disposerd’un plan de financement solide qui per-mette la reprise de l’entreprise et le

maintient des emplois. Dans tous les cas,le recours à un conseiller en successionest recommandé.

Prévoir et planifiersa successionLa question de la transmission d’une PME est encore trop souvent mésestimée par lesentrepreneurs suisses.

Texte: Samuel Pierre

... le nombre de suc-cessions d'entreprisesaugmentera encoresensiblement au coursdes cinq prochaines

années”

La crise financière des « subprimes » arendu l’obtention de crédits pour desprojets innovants (donc risqués) plusdifficile et a révélé davantage les fai-blesses structurelles en fonds propres debeaucoup de nos entreprises, en parti-culier des PME et jeunes entreprisesnovatrices. Pour créer ou poursuivrel’exploitation de sa société, il faut doncse tourner vers d’autres modes definancement tel que le capital à risquesaussi appelé « private equity ».

DéfinitionNé aux États-Unis dans la Silicon Valleyaprès la Seconde Guerre mondiale et dansles grandes universités américaines, cemode d’investissement/financement s'estimplanté en Europe dès la fin des annéesseptante. Le terme anglais «private equity »désigne les placements dans des entrepri-ses non cotées en bourse qui ont besoin decapitaux propres ou, à titre exceptionnel,dans des sociétés qui ont choisi la voie dela privatisation. Les sociétés concernéessont généralement de trois types : jeunessociétés en rapide expansion, grandes en-treprises matures qui ont besoin d’une re-structuration pour redevenir attractives etenfin les entreprises en pleine expansionqui ont besoin de moyens.Le capital à risques révèle toute son utilitélorsque les crédits auprès des banques de-viennent difficiles: les investisseurs appor-tent alors la totalité ou une part du mon-tant dont vous avez besoin. Les insti-tutions financières se montrent alors plusconfiantes et apportent généralement lapart manquante.

Investissements en SuisseEn Suisse, les PME souffrent depuis quel-que temps d'un manque de fonds proprespour le financement de projets de déve-loppement.On constate en effet que contrairementaux pratiques d'autres pays, 55% desfonds levés en Suisse proviennent des in-vestisseurs privés. Ensuite suivent les com-pagnies d'assurances (15,6%), les banques(12,5), les fonds de pension (10,4%) et lesinvestisseurs institutionnels (6,6%). Lechoix des entreprises se porte surtout surdes entreprises déjà existantes, dans leursphases d'expansion et de rachat.Or, la question d’une disponibilité suffi-sante de capital à risques et d’un recoursfréquent à ce dernier par les entreprisesest crucial puisque des études empiriquesmontrent que les jeunes entreprises finan-cées par le capital à risques croissent plusvite que les autres.

Avantages et inconvénientsLe financement par le capital à risquesprésente trois avantages majeurs : ilconstitue un apport de fonds propres, decompétences, de conseils et de moyens dela part de l’investisseur, il est disponible àdes stades différents de maturité del'entreprise et il apporte un réseau decontacts par le biais de l’investisseur.Aujourd’hui, la Confédération accorde desallégements de l’impôt fédéral direct auxsociétés de capital-risque, ainsi qu’auxinvestisseurs privés, et les libère égalementdu droit de timbre d’émission, à conditionque la loi fédérale sur les sociétés decapital-risque soit respectée.Cependant, le fait que le financement nesoit pas valorisé sur un marché réglementéa deux conséquences principales : uneliquidité moindre et desobligations/protections réglementairesmoins importantes. C’est ainsi que, pourcorriger ces deux aspects, l’investisseur encapital à risques reçoit généralement unecompensation sous forme de rendementsplus élevés.

Adeline Beijns

Investir dans le capital àrisques

Le saviez-vous ?

Plus l'entreprise est petite, plus il est fré-quent que son propriétaire néglige la plani-fication de sa propre prévoyance. Ainsi,63% des personnes interrogées dans desmicro-entreprises affirment ne pas avoirencore pris de mesures dans ce domaine.

Source : Crédit Suisse

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