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130, ce nʼest pas seulement la limita-tion de vitesse sur autoroute, mais bienlʼaddition des 100 ans de lʼAéro-club dePicardie Amiens Métropole et des 30ans de DEDALE ! Un rassemblement « classique » avectous les jours des vols organisés, unbriefing tous les matins (sécurité oblige),des surprises quotidennes, et notre AGle samedi 2 mai 2009 à 9 h 30 au club-house.Bien entendu hangar gratuit pour lespropriétaires de machines qui le souhai-tent et qui se seront inscrits, les remor-qués par Super Dimona ou Rallye 180Cv à 23 euros. Nous nʼavons pas detreuil. Il sera possible de voler sur lesplaneurs du ClubDe plus nous avons organisé notre ma-nifestation « 20.000 lieues dans lesairs » du vendredi au dimanche 3 maiinclus. Nb : ce nʼest pas un meeting. Cesera la fête sur lʼaérodrome avec plusdʼune vingtaine dʼanimations prévues : Les planeurs et pilotes de Dédale, uneexpo dʼavions anciens, des voitures decollection, des cerfs volants avecconstruction sur place, des baptêmes enjeep, en poneys, un manége pour lestouts petits, des démo de football amé-ricain, une montgolfière, lʼarmée de lʼairavec le simulateur du Jaguar, nos amisaéro-modélistes et leurs machines an-ciennes, un stand pour les bateaux mi-niatures, un libraire aéro… enfin les 100hectares seront occupés.Restauration sur le site tous les jours àpartir du vendredi 1er mai et repas le sa-medi soir.

Aucun problème pour lʼorganisation denotre rassemblement, tout a été intégrépour notre totale liberté.Je vous propose dʼorganiser notre repasDEDALE avec les spécialités de chaquerégion que les participants apporterontle mercredi 29 avril au soir après lesvols. Chaque participant apportera desspécialités « solides » ou « liquides »que nous partagerons ensemble. Nous pourrons aussi organiser desconférences car nous aurons le clubhouse équipé avec cuisine et vidéo-pro-jecteur à notre disposition. De nombreuses visites possibles Bien entendu la Picardie est une bellerégion et la métropole dʼAmiens offrebeaucoup de possibilités de décou-vertes touristiques.Tentez lʼaventure avec la Maison JulesVerne, les hortillonnages avec la pro-menade en barque, le théâtre de ChésCabotans, le parc de Samara qui depuis20 ans offre la découverte de la préhis-toire dans un parc naturel… et pour lespassionnés dʼhistoire à ne pas manquerlʼHistorial de la Grande Guerre de Pé-ronne, le parcours historique de la ba-taille de la Somme, le jardin de Digeon ,la cité souterraine de Naours, la Cathé-drale dʼAmiens, le petit train de la Baiede Somme, la Baie de Somme que cer-tains ont déjà survolés en 1995, avecses phoques, les jardins de lʼabbaye deValloires, le parc ornithologique du Mar-quenterre en Baie de Somme à 60 kms,le château de Rambures et Saint-Va-lery- sur-Somme…Pour se loger il y a de nombreux hôtels

à moins de 1 km de lʼaérodrome mais àLongueau ( pour vos recherches sur In-ternet ) dans toutes les gammes ou bienla solution camping sur le terrain avectoilettes et douches chaudes…Pour le ravitaillement : un zone com-merciale avec hypermarché et cafétariaà moins de 500 mètres. Et pour les langues de vipère, jeconfirme la météo sera cavok !Nb : comme décidé et validé en AG, Dé-dale participera à hauteur de 100 eurosà vos frais de déplacement si vousvenez avec une machine.Donc contactez-moi pour me dire : Combien de personnes, planeur ou pas,hangar, hôtel ou camping, date dʼarrivéedate de départ…Au plaisir de vous recevoir à Amiens Téléphone : 06 75 21 51 27Mail : didier.pataille@orange.frRenseignements à fournir :Nom : prenom : tél : courriel : date d'arrivée : nombre de personnes : hotel : oui non - camping : oui non planeur : immatriculation Type : hangar : oui / non

Rassemblement Nationaldes Planeurs Anciensà Amiens, du dimanche 26 avril au dimanche 3 mai 2009 (Route de St-Quentin à lʼest dʼAmiens)

Didier Pataille

DernièreMinute

Jean Claude et Claudine Néglais sont heureux de vous annoncer le mariage

de Benjamin et Claire Héliot

Vendredi 5 juin 2009 à 18 hFerme du Grand-CheminVillers-en-Arthies (95510)

Nous apprenons lʼadhésion à Dédale etla présence à ce rassemblement avecson Spatz ULM de René Hauss

33

Aéro modèle n° 64, page 46Dans la Li n° 87, je vous avais montré leC 800 F-CAJH de Blois, sur le dos en1947. Voici celui de Chalons-sur-Marnedans la même position, vers la mêmeépoque. (Par contre, 1947 a été une ex-cellente année pour le vin…).

GPPATout cela pour vous dire du bien de laparution de lʼexcellente monographie duC 800 publiée par le GPPA, dans lamême veine que celle de lʼEmouchet.

AssuranceVous pouvez aussi inscrire votre planeuren “casse” à lʼANEPVV. Nʼhésitez pas àdemander plus de renseignements ausiège de lʼassociation.

Des nouvelles de l’APPARATBernard GaboldeTerre Blanche31540 St-Félix-de-Lauragais05 61 83 03 65bn.gabolde@free.frapparat.free.frLe Mü 13 a été accidenté lors dʼuntransport pour une expo en mai. Uneaile démontée a été soulevée par unerafale et le caisson de bord dʼattaque aété éventré en deux endroits… Sansparler de la modif qui impose de lui ro-gner les bouts dʼailes. (?)Une liste de diffusion Internet est crééepour suivre les infos de lʼassociation.Pour vous y inscrire, envoyer un mailà :patrick.jouvet@consuel.com

Les Aéroplanes de NantesUne équipe dʼétudiants de lʼEcole Na-tionale du Bois a construit une répliqueéchelle 1 dʼun planeur dʼOtto Lilienthalpour exposition statique, au plafond dulocal de Ste-Pazanne.Jacques Davy, membre des Aéroplanesest revenu dans lʼouest après une car-rière professionnelle dans le sud-est. Unde ses amis avait récupéré une épavede planeur. Sorti du grenier, le F-CDRTest en fait enregistré comme le GrünauBaby n° 17 (un autre Grünau, le F-CRJB, figure dans le registre des imma-triculations). Rapatrié à Nantes, ilprésente effectivement quelques diffé-rences mineures avec le Nord 1300.Son historique sera développée dansune prochaine Li.

Volezn° 112 de mars 2007Vous avez bien sûr tous lu “et si on fai-sait revoler un vieux planeur ?” qui re-late la remise en état du C 25 S F-CRBIau GPPA.n° 118 de septembre 2007Reportage sur le club Touraine Planeurau Louroux. Un C 800 est en restaura-tion dans lʼatelier. Une convention aurait

été passée entre le GPPA et un lycéetechnique de la région pour restaurercette machine. Un espion passerait-ildans la région pour en savoir plus ?n° 134 de mars 2009“Faites vous donc tirer par lʼélastique”,un article de 7 pages de Peter Ursche-ler, détaillant par le menu avec force cro-quis et photos, la technique et lʼhistoiredu lancer de planeur au sandow.

Notes de lectureset autres brèves

Jean Maurice

Keller

Mise à platdes problèmes

Jean Claude

Néglais

Jʼai, pour soulager Denis débordé, repris la réalisationde la Lettre dʼinfos de notre association.

Ainsi, cette rubrique “Notes…” quelʼami Jean Maurice sʼest donné lapeine de saisir puisque quʼil en a faitet posté un tirage dʼimprimante… Etbien je ne puis que retaper cette sai-sie totalement, puisque lʼordi ne saitpas lire !!!! Alors que sʼil avait en-voyé simplement un mail de sontexte, un simple “copié-collé” et ilétait sur la Li !!!! Jʼai jeté lʼépongeaprès environ 1/4 du texte (1 h ! jene sais pas faire). Rien de plus dé-motivant (et stupide) que de refairece qui est déjà fait.De même il mʼa envoyé de bonnesphotos du Lilenthal et du Grünau…mais en tirage imprimante, dont jene peux RIEN faire ! Cʼest commealler demander à une revue de vouspublier une photo en en amenantune découpée dans un journal. Lapremière question sera : avez vouslʼoriginal argentique ou numérique ?Le pire cʼest que ces photos sont di-gitalisées, puisquʼelles furent sur In-ternet (introuvables).Jʼai aussi deux articles “tout faits”,mis en page avec des illustrations.

Pas de chance, ça on ne peut rienen faire non plus. Pourquoi ? Laprésentation est incohérente avec lereste de la Li, prenant beaucoupplus de place et avec des photosbeaucoup plus petites que cellesque nous nous efforçons de publier.La Li ne peut pas être une compila-tion de choses disparates. Je pour-rais récupérer le texte comme unesimple saisie, donc tout le travail faitpar les auteurs des articles lʼestpour rien. Dommage. Et, pire, lesphotos ne sont pas jointes. Etonne-ment de ceux qui ont cru faire untravail directement utilisable : “maisles photos sont sur lʼarticle”. Et bienNON. Je sais, ce nʼest pas évident,mais IL FAUT ABSOLUMENT join-dre la digitalisation de lʼimage audossier pour faire de lʼédition. Sansla “sortie de scanner” de lʼimage, onnʼa quʼun message “image man-quante”. Sur la mise en page il nʼy aquʼune “image de lʼimage” !!!!Je vais vous expliquer en détail etvous verrez, cʼest très simple de seconformer aux “règles de lʼart”.

Il faut saluer le travail fait pendant des années par Denis Auger car il lʼa réa-lisé dans des conditions extrémement difficiles que vous ne pouvez passcoupçonner parce que ce nʼest pas votre job. Je vais vous expliquer tout çacar il est hors de question de continuer dans cette voie. Tout à lʼheure au té-léphone, répondant à un appel au secours que je lui avais lancé par mail,parce que je venais de passer un après-midi à ne guère avancer sur cen° 93, il mʼavouait que souvent il passait quatre heures sur une page ! Dansla “vraie vie” professionnelle, ça devrait être lʼaffaire dʼune demi heure ! En-core faut-il que les choses soient faites comme il FAUT quʼelles le soient.

Je suis parfaitement conscient que cʼestun domaine que beaucoup ignorent.Mais on est justement là pour en parler.Premier point, vous avez TOUS deschoses à raconter, TOUS des photosintéressantes dans vos tiroirs et vosordi… et RIEN ne vient. PAR-TI-CI-PEZ. Ce nʼest ni sorcier ni contraignantde rassembler quelques photos, dʼy join-dre une légende, sinon ça ne raconterien, de me les envoyer. Je les scanneet vous les renvoie.Vous avez un scanner, un ordinateur, çavous amuse, scannez-les (en 300 dpi)et envoyez moi vos photos en Jpeg, parmail ou sur un CD si cʼest trop lourd (çava lʼêtre très vite).Cʼest extraordinaire ce que les déda-liens peuvent se raconter comme anec-dotes ou souvenirs sur les terrains et lepeu qui se donne la peine de nous enfaire profiter dans la Li. Pas besoindʼêtre Victor Hugo ou Alexandre Dumaspour raconter sa propre histoire ou cellede son club ou dʼun collègue ! Une foissur le papier, reste à la “saisir”. Si vousêtes un adepte de lʼordinateur, vousavez peut être directement “pondu” lachose avec votre clavier, ça seraitquand même ramer sur le sable que decontraindre quelquʼun à refaire ce quevous venez de terminer ! Non ? Çaexiste la rationalisation du travail. Leplus simple est de me lʼenvoyer parmail. Si cʼest “lourdingue” parce quevous avez aussi des photos scannées,vous enregistrez ce texte en “RTF”, cʼestun format qui évite tout problème de tra-duction Windows/Mac (bien que ça de-vienne rare actuellement), VOUSJOIGNEZ LES SCAN DES PHOTOS etvous faites un CD. (Je bosse sur Mac).Tout ça pour vous cʼest du Chinois (oude lʼHébreu, du Sanscrit)… Vous écrivezle mieux ou le moins mal possible etvous mʼenvoyez votre manuscrit “à lʼan-cienne”, en même temps que les photos(tirage papier lisse si possible ou mieuxnégatif) pour lʼillustrer. Je taperai letexte, même si pour moi cʼest galère, etdigitaliserai les photos et vous les ren-verrai, promis, juré. Si cʼest des photosdʼun appareil numérique et que lʼordivous est source dʼurticaire, vous pouvezenvoyer la carte mémoire, vous enserez privé le temps dʼun aller et retourpostal (oui, je sais, ça peut durer des an-nées, mais cʼest tout de même rare !),ou demander à un pote qui a un ordi detransférer pour vous sur un CD.

Pour ceux enfin qui se sententlʼenvie de faire une mise en page de leurcru, pourquoi pas ? Mais pour faire unerevue qui ait un peu de gueule il est né-cessaire de sʼastreindre à un minimumde discipline que je décris :Le texte est réparti dans des pavés(sous X-Press on dit “blocs”) de 228 mmde haut et 180 mm de large, sur trois co-lonnes espacées (la “gouttière”) de 7mm. Ce texte est en “Helvética” corps 9avec lʼinterlignage automatique. On peutadmettre quʼil nʼy ait que deux colonnesavec la même gouttière. Les photospeuvent être sur une, deux ou trois co-lonnes, ou déborder sur la colonne voi-sine et être “habillées” par le texte. Leslégendes photos sont en italique. Les ti-tres sont en “Rockwell extra bold”, corps24 et interlignage de 24, mais ceci estadaptable, évoluera, et rapide à rema-nier, donc sans problème. ENFIN et SURTOUT, si vous jouez àça, VOUS JOIGNEZ LES PHOTOS AUDOSSIER, cʼest à dire que sur le CDque vous envoyez, VOUS METTEZLES SCANS (ou sorties APN) DESPHOTOS. SINON, CʼEST I-NU-TI-LI-SA-BLE.Ainsi, si on faisait un dossier de la pageune de cette Li 93, il devrait ressemblerà ce que vous voyez ci-dessous. tout àdroite, cʼest lʼicône du doc X-Press, à

gauche, vous voyez le scan de lʼimagedu logo “C 800” et au centre le scan delʼimage de Mathieu et son AV 36 àWells. Notez que sa définition (reçue surun mail de Peter) est très insuffisantepour obtenir un bon résultat en grandformat, mais que je lʼai choisie parceque je la trouvais belle, relativementdʼactualité et bien cadrable dans le for-mat de notre couverture. Peter a trop ré-duit son image pour me lʼenvoyer parmail (elle est trop “légère”, la ligne enbleu sous lʼicône, cʼest le nombre depixels), je dois donc lui demander de mela renvoyer moins compressée, le résul-tat serait médiocre en utilisant cettephoto telle quelle pour lʼimpression qui,pour être correcte, demande plus dequalité quʼun banal courriel.

Vous voyez que passer de 72 à 300pixels par pouce change énormément le

44

Aidez moi à faire la Lettre d’information !

Jean Claude

Néglais

Pourquoi ça serait

toujours “aux autres”

de s’y coller ? Arhrose ?

Vue qui baisse ?

Attention

à votre licence !

“poids” de lʼimage mais elle devient uti-lisable. Notez que ceci nʼest quʼunexemple, on ne peut impunément de-mander à Photoshop dʼinventer despixels (en passant de 72 à 300). Cʼestbien dʼorigine quʼil faut avoir une fortedéfinition (lors du scan) et ne se servirdes compressions automatiques pourcourriels que pour les images qui neservent quʼà ça, pas pour celles qui ser-vent à lʼimpression dʼune revue.Le plus difficile dans tout cela, et de loin,est de faire taire sa flemme naturelle etde se dire “ça y est, lʼhistoire que tout lemonde connait ici, mais seulement ici, jeme prend par la main et je la racontedans la Lettre dʼinfos”. Tout nous inté-resse tous, les restaurations, travaux encours, les aventures et mésaventuresdʼautrefois ou dʼaujourdʼhui, les joies etles galères du même bois.Quand à ceux qui avaient déjà fait cettedémarche mais ne se rendaient pascompte que derrière le “préposé”sʼemm… à TOUT refaire, maintenant ilssavent que cʼest plutôt plus simple en-core de faire les choses correctement.

Je me résume :

- Lʼidéal est une saisie (une frappe) dutexte. Votre “préposé” à la Li “nʼa plusquʼà” sʼen servir. Mʼenvoyer un tiragepapier, cʼest me contraindre à refairevotre travail. Cʼest seulement plus lisiblequʼun manuscrit mais cʼest TOUT votretravail à refaire.- Ce texte peut parfaitement mʼêtre en-voyé sur un mail. Cʼest le plus simple.- Les éventuelles photos peuvent êtremises sur un DVD, si cʼest trop lourdpour un mail.- Si vous saisissez avec un PC, moi jesuis sur Mac, le plus prudent est dʼenre-gistrer en RTF avant de mettre ce textesur un DVD (sous Word, il y a parfoisdes problèmes avec tous les caractèresà accent). Inutile alors de faire une miseen forme, une présentation quelconque,elles seraient perdues. Ne bossez pasnon plus pour rien !- Si vous ne savez pas faire, vous écri-vez. Ça, tout le monde sait ? Je ferai lasaisie. Laborieusement.- Les photos peuvent être envoyées,

pellicule ou tiragepapier, ou digita-lisées par vossoins, en 300 dpiSVP, ou sortiesdʼappareils pho-tos numériques. .Evitez les fortescompress ionspour mail, ellessont totalementinutiles si vousmettez sur DVD(et inutilisables).- Si vous avezenvie de fairevotre mise enpage, pourquoipas, mais confor-mez vous au rè-

gles simples décrites (et autant que fairese peut à celles de la typographie quiont déjà été publiée dans la Li).Surtout, nʼoubliez pas de joindre lesphotos digitalisées au dossier sur leDVD (scan ou sortie dʼappareil photonumérique), sinon votre travail ne sertabsolument à rien et je ne peux mêmepas refaire lʼarticle.- Les découpes de journaux ou autresphotocopies ne doivent être réservéesquʼaux cas désespérés où nous nʼavonsrien dʼautre. Et strictement ceux là. Evi-dent que ce ne le sera pas de trouverlʼoriginal dʼune photo publiée dans “LesAiles” en 1937 ! La qualité douteuse durésultat sʼefface alors devant le carac-tère historique de lʼimage.Pour montrer que vous avez comprislʼampleur du problème et montrerque vous êtes pleins de bonne vo-lonté, ce dont je nʼai jamais douté,vous allez TOUS mʼenvoyer unephoto de votre bouille sympa pour letrombinoscope. Ne sont exemptésque ceux dont la photo figure déjàdans celui de cette Li (sʼils jugentavoir mieux à proposer, faut quandmême pas quʼils hésitent !).Ça, ça devrait tenir à lʼaise sur unmail ! (dont jʼaccuserai réception,comme de toute chose que vousmʼenverrai pour les futures Li).Merci dʼavance pour votre compréhen-sion de cet article forcément un peu di-rigiste mais, je lʼespère, instructif.

Mes coordonnées :

Jean Claude Néglais11, rue des Saules54710 Fléville-devant-Nancy(France)

Tél : 03 83 25 80 88

jean-claude.neglais@wanadoo.fr

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Lorsque vous enregistrez votre texte, après être allé dans le menu dé-roulant “Fichier” et avoir choisi “enregistrer sous”, vous frappez unnom facilement reconnaissable à la place de “sans nom”, à la lignesuivante vous lui dites où il faut le ranger et, enfin, parmi les nom-breux types de fichiers proposés, vous choisissez “Rich Text Format”.Aucun risque alors de problème Windows/Mac.

Mise en piste futée ? Treuil écolo-rigolo ? Attention Roger, la fenêtre dʼaération est de lʼautre côté ! Et il y a un clandestin…

Je merésume :

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Mon Ka 6 e F-CHHN

RogerLaplanche

Sur mon épaule, "Vahinée" (une Cacatoès des Moluques)

qui aime voler en planeur,en avion, et qui a vécu trois années sur un voilier avec son ancien maitre

Il est beau le Ka 6 à Roger !

RESPONSABLES DE L’ASSOCIATION ET ADRESSES UTILES :

Siège-social :« DEDALE » 33, rue Pasteur - 44410 HERBIGNACPrésident :Didier Pataille11, rue de Coisy - 80260 PoulainvilleTel : 03.22.43.51.71 E.mail : didier.pataille@picardie.caisse-epargne.frVice-président :Peter Urscheler D21. "sur Marle" - 73190 PuygrosTel : 04.79.84.75.15

E.mail : peter.urscheler@libertysurf.frSecrétaire :Marc Weibel35 rue de la Triaudère86300 Villeneuve-ChauvignyTél. 05 49 45 58 30E.mail : marc.weibel@edfgdf.fr Trésorier :Jean-Maurice Keller 33, rue Pasteur - 44410 HerbignacTel/fax : 02.40.88.90.75Email : jm.keller@libertysurf.frCollecte des articles et mise en page de la Li :Jean Claude Néglais11, rue des Saules - 54710 Fléville-devant-Nancy Tél. 03 83 25 80 88E.mail : jean-claude.neglais@wanadoo.fr

Cotisations / AdhésionsLe montant de la cotisation annuelle à DEDALE estde 25 euros, pour les membres adhérents. A noterque le non paiement de la cotisation annuelle en-traîne la suppression de lʼenvoi de la lettre dʼinfor-mation et nous nʼavons pas la possibilité de relancerindividuellement les adhérents retardataires.Par ailleurs, pour participer à toutes nos activités(rassemblements et balades), il faut être membrede Dédale à jour de cotisation. Il en est de mêmepour avoir le droit de vote aux Assemblées Géné-rales. Nous invitons donc chacun à renouveler sonadhésion tous les ans début Janvier en envoyantvotre cotisation à :ASSOCIATION DEDALE 33, rue Pasteur - 44410 HERBIGNAC

LL E 5 avril dernier j'ai fait un vol enKa 6 de 5 h 24, je n'avais pas voléen Ka 6 depuis juillet 1979 et sor-

tant de plusieurs milliers d'heures d'ins-truction sur K 13 et Bijave, j'ai trouvé leKa 6 super sympa (un petit chasseur àcôté des grosses charrues) et comme àFayence les Ka 6 sont toujours utiliséspar les jeunes brevetés, il n'est pas tou-jours facile d'en avoir un. J'ai donc prisla décision ce jour là que, si je trouvaisun Ka 6 avec une remorque, pas troploin de chez moi et dans mes moyens fi-nanciers, je l'achéterais.Comme dans la chanson "Le HasardSouvent Fait Bien Les Choses", surtoutsi nous l' aidons un peu. Un Ka 6 à ven-dre à 3 h de route de chez moi, en bonétat, beau, qui vole bien, avec une re-morque (et dans mes moyens), j'ai doncsauté sur l'occasion et suis supercontentd'être autonome et de pouvoir voler unpeu pour moi. J'attends avec impatiencela prochaine saison pour circuiter unpeu.

Cʼest ainsi que débute le bel article quenotre collègue a écrit sur son planeur, etque nous nous ferons un plaisir de pu-blier dès quʼil nous aura fourni les pho-tos. (voir mon article page 5) Mercidʼavance.

(A suivre)

77

L’Espadon de Pascal BrocJe m'appelle Pascal BROC et je vole sur le terrain d'Issoire / Le Broc au sud de Clermont-Ferrandau sein de l'aéroclub de l'AIA (Atelier Industriel de l'Aéronautique).

Les Amis du Fauconnet

Rénovation du Ka6 chez Lilly

Page d'accueil du site sur le Mac de Didier

DidierHosatte

CCET hiver Pierre-Alain a entreprisla rénovation du Ka 6 de la fa-mille Ruffieux. Pour ce faire, il a

hébergé son planeur dans les ateliersde Lilly à Grandfontaine(CH). Au pro-gramme marouflage et remise à neuf dufuselage et de la profondeur. Les Amisdu Fauconnet sont venus un samedipour donner un coup de main avant

peinture. Victorien a eu sa premièreleçon de masticage ponçage, qui étran-gement ne fait pas partie du programmede CE2.Les Amis du Fauconnet ont profité del'intersaison pour refaire leur site inter-net. Outre le relookage, notons de nou-velles rubriques et des liens sur desvidéos de décollage au sandow des an-

nées 20 à aujourd'hui. Le site intègreégalement une liste de diffusion pour re-cevoir les news sur votre boîte Mail :l'inscription se fait en ligne dans la boîtelettre d'info. 2.000 internautes ont déjàvisité le nouveau site, l'ancien en avaitreçu 60.000 !!!

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The TrombinoscopeTous ceux qui ne figurent pas sur cette planche, ou qui estiment que leur image publiée ne rendpas justice à leur beauté naturelle et pensent en avoir une meilleure à nous proposer sont invitésà nous envoyer une photo. Merci dʼavance. Les clichés datant de 20, 30, 40, 50, 60 ans ou plus.(rayez les mentions inutiles) ne sont pas acceptés. Cʼest pour “signer” vos futurs articles.

(très)

important

BenoîtAuger

DenisAuger

MarcBourdon

DidierFulchiron

BernardGabolde

Jean MichelGinestet

DidierHosatte

Jean-MauriceKeller

DanielLamerand

RogerLaplanche

ChristineMonnier

Jean ClaudeNéglais

DidierPataille

ChristopheRavel

PatrickRenaudin

YvesSargentini

Yves Soudit

Peter Urscheler

ClaudeVisse

MarcWeibel

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Ursa Gabolde

Manouche Urscheler

Trombinoscopesuite et fin (provisoire)“Nos amies les bêtes”

La F-AZNI qui fut la HB-560 puis motorisée, restaurée, revole après quasi-reconstruc-tion du fuselage. Nous aimerions beaucoup avoir des détails…

Le fameux “brin en V” qui fit couler

beaucoup d’encre (et encore plus de salive) et qui nous satisfait bien

à Pont.Vous avez la perspective

inverse, du cockpit, lorsque vous suivez

le remorqueur !

FauvelAV 36

1100

LL A PROVENANCE de ces machines date de1961 . Afin dʼen faire cadeau à Lʼarmée delʼAir Indonésienne ( AURI ), lʼUS Air Force

avait passé la commande chez Schweizer pour :30 biplaces SGS 2-22C et 30 monoplaces SGS 1-23 E .La logique des types Schweizer était la suivante :S , première lettre pour Schweizer .G , deuxième lettre pour Glider ou planeur ( car ily a aussi eu des avions A pour Aircraft ) .S , troisième lettre pour le but de la machine etdans ce cas Sailplane .1 ou 2 , premier chiffre pour nombre de places.-22 ou -26 est le numéro chronologique duconstructeur .C ou E est la version modifiée de la machine debase.Suite à un usage intensif par les militaires, des pla-neurs sont passés au civil et trois ont été modifiésen moto-planeur dont G 151 qui est un 1-26 E etnon un SGS1-22 comme indiqué sur la photo.Lʼusine Schweizer avait cessé la production de pla-neurs au début des litiges contre le fabricantsdʼavions et lʼarrivée des planeurs plastiques alle-mands afin de concentrer sur des avions agricolesAg-Cat et hélicoptères Hughes 269 et 300 tout enmaintenant une école de vol à voile à Elmira , siègede lʼentreprise .Depuis 3 ans , la société fait partie de lʼempire Si-korski. Le directeur est toujours un membre de lafamille Schweizer, Stuart, fils dʼun des trois frèresfondateurs de la société. On sʼest connu pendantun stage de vol à voile en 1965 et il nous a fait vi-siter son usine il y a deux ans. Un des projet phareactuel est un hélicoptère téléguidé pour la US Navybasé sur le Schweizer 300. Le maitre dʼœuvre estNorthrop-Grumman et le chef de projet est un autreami vélivole, Doug Fronius, qui possède un dizainede planeurs anciens en Californie dont un magni-fique Schweizer SGS2-8 aux couleurs de lʼAirForce .Le travail définitif sur les planeurs Schweizer est lelivre de Martin Simons et Paul Schweizer : Sail-planes by Schweizer – A History. On y trouve ladescription des 22 types de planeurs construitsainsi que les dérivés. Le total de planeurs sortis delʼusine était de 2170 planeurs. Très peu ont volédans le ciel européen.

Francis

Humblet

Commentaires surSous d’autres cieux( LI dʼOctobre sous la plume dʼYves Sargentini )

Merci pour les superbes photos desSchweizer indonésiens prises parYves Sargentini.

1111WernerRüegg

LL IMITATIONS d'altitude, zones devol en nuage, zones de contrôle ,TMAs, zones de vol à voile ...

Mes pensées me ramènent à l'année1959. Une époque ou les pilotes de pla-neurs parlaient pas encore d'espacesaériens contrôlés, espaces d'attente,classification de l'espace aérien, de "sa-fety assessments" et "advisory boards"etc. Une époque ou au dessus desnuages la liberté n'avait pas de fron-tières.C'était à Klippeneck, (2) une belle etchaude journée de juillet. Et de bonsthermiques en perspective. Le matinj'avais annoncé à la ronde "aujourd'huije pars en distance donc ce soir il fau-dra venir me chercher". En ce temps,quand on partait en distance avec unGrünau-Baby on savait que le vol seterminerait forcément par une vache. Ladevise était de voler le plus loin que pos-sible et atterrir quand on trouve plusd'ascendances. C'était mon premier volde distance. Préparation du vol ? ... àcette époque aucun instructeur n'en par-lait. La seule consigne était de voler.Sur mes genoux j'avais une carte rou-tière. J'ai annoncé que je volerais direc-

tion Donauschingen. J'ai décollé autreuil aux environs de 3 heures, puis j'aipu prendre de la hauteur dans unebonne ascendance. Devant moi laplaine ou je pouvais reconnaître lesdeux villages de Spaichingen et Den-kingen. Donauschingen doit se trouverquelque part dans cette direction. J'igno-rais à quelle distance et je ne connais-sais pas du tout la finesse du Baby. Apartir de là j'ai commencé par avancerdroit devant et un peu plus vite que d'ha-bitude. Avec inquiétude j'ai constaté defortes vibrations dans les ailerons. Avecla chaleur, les câbles en acier s'étaientdétendus. J'ai tiré progressivement surle manche pour ralentir, les vibrationsont cessé. Retourner à Klippeneck pouratterrir ? Non, ce serait dommage avecune si belle journée. Après avoir aug-menté à nouveau ma vitesse pour situerle début des vibrations j'ai jugé que jepouvais continuer le vol sans risque, àcondition de modérer mon allure. Je mesuis donc dirigé vers le cumulus le plusproche pour trouver une ascendance etreprendre de l'altitude. Arrivé au plafondpour cheminer plus loin j'ai étudié lepaysage se trouvant sous moi et puisma carte et j'ai constaté que j'étais inca-pable de déterminer l'endroit ou je metrouvais. J'ai donc rangé ma carte pourpouvoir admirer tranquillement les pay-sages inconnus de cette région. Forêts,champs, collines, villages me saluaient. A partir de ce moment j'ai simplementsuivi les cumulus, comme un papillonqui butine les fleurs de rencontre. Il n'yavait pas de compas sur le tableau dubord. Mais le soleil était devant moi etj'espérais trouver Donauschingen dansla même direction. C'était un vol mer-veilleux très haut au-dessus d'un pay-sage inconnu. J'avais l'impression devoler depuis une éternité. Les ther-miques faiblissaient lentement. Je metrouvais maintenant au-dessus d'unegrande vallée à l'extrémité de laquellebrillait un large fleuve. Je me suis dit "çane peut être que le Rhin". Donc Donau-schingen ne peut être que loin derrière

moi ! Si je viens de survoler la forêt noirede l'autre côté du fleuve c'est l'Alsace ?Ou est-ce l'Aargau ou encore ? . Dansun long plané j'ai suivi la vallée et sur-volé le fleuve. Mon altitude n'était plustrès grande. J'ai repéré un champconvenable pour un atterrissage et jem'y suis posé.Sorti du planeur j'ai trouvé un paysanqui remuait son foin dans un champproche et je lui ai demandé ou je metrouvais. Avec un air surpris il m'a ré-pondu "D'ihr sit z'Schlatt". Dans ma têteje me suis demandé si c'était en Alsace.Puis j'ai demandé des précisions : "maisou est Schlatt ?". Le paysan avait dumal à comprendre que je ne savais pasou j'avais atterri, mais il a fini par medonner de explications claires. J'étais àLeuggern en Argovie, à proximité deLeibstadt, mais à l'époque il n'y avaitpas encore de tour de réfrigération.Plus tard, après de nombreux survolsde la Forêt Noire, des Alpes Souabes etdes Randen j'ai retrouve mon chemine-ment direction Sud-ouest par Blumberg,le côté Ouest des Randen et la des-cente du Wutachtal à travers le secteurd'approche de Zürich Kloten.Aujourd'hui, 50 ans plus tard je peuxdire que cela a été un de mes plusbeaux vols.

A propos : la semaine dernière j'ai faitinstaller dans mon "Astir" un variomètreavec logger. Le GPS fait depuis long-temps partie de son équipement et pro-chainement il sera complété d'un Flarm.Et sur le tableau de bord il y a encore laplace pour un transpondeur... .

La grande liberté au-dessus des nuagesest derrière nous, mais je me réjouistoujours à la pensée de mes futurs vols.

(1) - OCS = "Oldtimer-Club Schänis" -traduction par PU (2) - N.D.T. : Klippenek est en Alle-magne dans le Würtemberg(3) - Sur la carte jointe les cercles noirsont un rayon de 10 km.

Quand, au dessus des nuages,la liberté n'avait pas de frontièresJ'ai sous les yeux la nouvelle carte aéronautique. Un fouillis de traits de couleurs diverses couvre l'image cartographique

de lʼOSC (1)

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En 1961 ... donc seulement 3 annéesaprès le vol aventureux de WernerRüegg,Un autre pilote suisse, a réalisé un volde Birrfeld à Montpellier soit 532 kilo-mètres avec un Ka.8.

Rudolf Hächler avait commencé sa for-mation au vol à voile le en 1944 à Birr-feld, un terrain qui se trouve à unequinzaine de kilomètres au sud du lieuou s'est terminé le vol de WernerRüegg.L'enseignement sur monoplace pratiquéalors a exigé de Rudolf beaucoup de té-nacité et de persévérance. En 1953, il aparticipe pour la première fois à unChampionnat suisse. En 1958. il aréussi, sur un Spalinger S-18 m (fi-nesse de 1:20), un vol de 300 km versPrien, près du Chiemsee. C'était doncun pilote expérimenté.Quand Rudolf Hächler arrive à Birrfeldle 11 mai 1961. seule la nouvelle ma-chine d'entraînement du Groupe de vol

à voile de Lenzbourg. le K8B HB-673.se trouve encore dans son box. Il dé-colle sous un plafond nuageux presquefermé, et se décroche à 10 heures prèsde Staffelegg. Presque deux heures devol après, il ne se trouve qu'au-dessusde aérodrome de Granges. Mais sonvol le porte maintenant à vive allure versle sud de la France. Sans carte ni radioil dépasse Genève pour la première fois.Seuls les rapports de vol de Hans Niet-lisbach (4) lui tiennent lieu d'indicateurs.Avant Valence encore, la clémentemétéo de vol de distance s'achève, et le“paysage lunaire” se rapproche toujoursdavantage. Après son survol de laDrôme commence un nouveau paradisdes vélivoles. A la hauteur du Mont Ven-toux, il grimpe à 5000 mètres. Après dixheures de vol, le HB-673 jaune arrive àprès de 2000 mètres au-dessus de l'aé-rodrome de Montpellier, déjà dans l'obs-curité. Rudolf Hächler renoncefinalement à atteindre Béziers, son ob-jectif initial, tout heureux de voir les feux

de piste s'allumer sous ses ailes. L'idée,cependant, que cet éclairage pourrait nepas lui être destiné, ainsi que sa déci-sion de se poser sur la voie de roulage,sont on ne peut plus appropriées: sur lapiste principale, le DC-4 y atterrissant enmême temps n'aurait pas manqué de luicauser des difficultés. A 3 heures arri-vent les deux récupérateurs. Comme petit épilogue. Rudolf Hächler adû comparaître devant le Comité duGroupe de vol à voile de Lenzbourg.pour absence d'autorisation de vol dedistance sur K 8B. Mais une bonnetournée de bière a suffi pour régler ceproblème.

(4) - ceux qui sont intéressés par lecheminement détaillé des vols de HansNietlisbach peuvent trouver des infor-mations sur Internet avec le lien suivant :http://www.csvva.org/bolino/vers_le_sud.htm

A voir sur le site Internet de Dédale :http://www.dedale-planeur.org/

Notre camarade Jean-Claude Néglais,qui vole depuis plus de vingt anspresque exclusivement "sans queue"vient de traduire en français pour Dédaledeux dossiers très intéressants traitantdes ailes volantes Horten :D'abord un texte de 20 pages publié parReimar Horten dans le livre "Nurflügel".Ensuite un texte de 17 pages "Analysedes performances de la Horten IV" présente par Deszo George-Falvy en1960 dans un congrès de l'OSTIV et quiexplique pourquoi les Horten volentmoins bien que prévu. En raison de leur grande taille, il est dif-ficile d'intégrer ces dossiers dans la let-tre d'information. Nous les avons doncmis en ligne dans une nouvelle rubrique"Dossiers" de notre site Internet. Ils ysont au format pdf. Ainsi chacun peut auchoix, soit consulter ces textes sur sonécran d'ordinateur, ou les imprimer surpapier. Par ailleurs, nous avons mis enligne le texte rajeuni et mis en forme pdfde Jean-Claude sur les ailes volantes"Et pourtant… elles volent ! (bien)" qui aété publié par morceaux répartis sur plu-sieurs numéros de Li de Dédale ... à lafin du siècle dernier.

Petiteannonce

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NouveautésCalendrier

Du 26 avril au 3 mai : Dédale à Amiens.- Dédale y fêtera ses 30 ans et le clubd'accueil ses 100 ans. - Repas avec les spécialités locales desparticipants le 1er Mai. - Assemblée Générale de Dédale lematin du 2 mai.

Du 6 au 12 juin : Rassemblement àOsoppo (Italie).

Du 11 au 14 juin : Spatz-treffen à Bibe-rach (Allemagne).

Du 21 au 28 juin : 9e stage à Chanet surle Causse Mejéan.

Du 19 au 27 juillet : "Rendez-vous" duVGC à Nordhorn-Lingen (Allemagne).

Du 27 juillet au 7 août : 37e Rally duVGC à Achmer (Allemagne).

Du 21 au 23 août : 21e rassemblementOSV à Bellechasse (Suisse).

Du 18 au 20 septembre : décollages ausandow à Mauborget (Suisse)

Liste éventuellement à compléter ...

Principaux rassemblements 2009