ssions des étab lissem ents de microfinance (emf) au gabon

25
Mi Résumé Ce pap caractér EMF. L compor dans le activités aux clie glissem commer originel les pous Mots-cl issions d Laborat é : pier met en ristiques de L’analyse q rtement de d cas du Gab s génératric ents qui ne ment compo rciales clas lles. Ces EM ssant vers le lés : EMF, M des étab Ga IN toire de Re Institu n lumière la clientèle qualitative dérive dans bon, accomp ces de reven résident pa ortemental ssiques. N MF adopten es usuriers. Missions or blissem abon : d NDJENDJE echerche en ut Supérieu pindj la dérive e (cœur de comparée « leurs missio pagnent de nu. En outre as à proxim progressif ous en av nt un compo riginelles, d XXIV ents de dérive o E NDALA P n Sciences I ur de Tech jendje@yah de mission cible) pour « crisp » (c ons. Nous s moins en m e ces EMF p mité de leur des EMF vons conclu ortement hyb dérive, csQC Ve Conférence microf ou fidél Pierre Dan Informatiq nologie (IS hoo.fr ns des EM expliquer l csQCA) nou sommes arri moins des pe prêtent à de r siège d’af F vers le u qu’ils d bride et exc CA Internationale finance lité niel ue et de Ge ST), Gabon MF. Nous le comporte us a permi ivés aux rés ersonnes à f s niveaux d ffiliation. N comportem dérivent da cluent leurs e de Managem (EMF) estion (LAR avons obse ement quali is de modé sultats que l faible reven de montant é Nous assisto ment des ans leurs m clients orig ment Stratégiq 1 au RSIG) ervé les itatif des éliser ce es EMF, nu et des élevés et ons à un banques missions ginels en que

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Page 1: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

Mi

Résumé

Ce pap

caractér

EMF. L

compor

dans le

activités

aux clie

glissem

commer

originel

les pous

Mots-cl

issions d

Laborat

é :

pier met en

ristiques de

L’analyse q

rtement de d

cas du Gab

s génératric

ents qui ne

ment compo

rciales clas

lles. Ces EM

ssant vers le

lés : EMF, M

des étab

Ga

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Institu

n lumière

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bon, accomp

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ssiques. N

MF adopten

es usuriers.

Missions or

blissem

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comparée «

leurs missio

pagnent de

nu. En outre

as à proxim

progressif

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nt un compo

riginelles, d

XXIV

ents de

dérive o

E NDALA P

n Sciences I

ur de Tech

jendje@yah

de mission

cible) pour

« crisp » (c

ons. Nous s

moins en m

e ces EMF p

mité de leur

des EMF

vons conclu

ortement hyb

dérive, csQC

Ve Conférence

microf

ou fidél

Pierre Dan

Informatiq

nologie (IS

hoo.fr

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csQCA) nou

sommes arri

moins des pe

prêtent à de

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F vers le

u qu’ils d

bride et exc

CA

Internationale

finance

lité

niel

ue et de Ge

ST), Gabon

MF. Nous

le comporte

us a permi

ivés aux rés

ersonnes à f

s niveaux d

ffiliation. N

comportem

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cluent leurs

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avons obse

ement quali

is de modé

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faible reven

de montant é

Nous assisto

ment des

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clients orig

ment Stratégiq

1

au

RSIG)

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itatif des

éliser ce

es EMF,

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ginels en

que

Page 2: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

Mi

INTRO

Le systè

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La mic

rentabil

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des min

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d’admin

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ment Stratégiq

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nsaction.

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que

Page 3: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

dont il q

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dont la

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de cette

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yse de ces

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cette derniè

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nce donnée

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e. Nous con

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e est un en

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que la mic

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mie (Iserte e

et la pérenn

e sa justific

des d’interv

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aux produits

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le segment

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de moins en

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ns les don

ssion. Nous

r les apports

REVUE D

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élargie: « L

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de ce papie

e de Managem

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qui tende

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ns cette dyn

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s et s’orient

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de clientèle

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s relativiser

s et les pers

DE LA

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qui n’ont p

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a micro-

ent à se

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elle peut

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roche de

que

Page 4: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

Servet (

engloba

des opé

l’organi

qu’elles

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caractér

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s destinés

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os. 

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Page 5: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

aussi as

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Page 6: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

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XXIV

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e, au niveau

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r comme l

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ans la prise

a seconde

n des popul

ves, la minim

me stratégie

de crédit p

tion de la p

la pauvret

u’il faut pre

nus ou de p

êt depuis q

articulier av

débat prend

tème financ

e. La vertu

les pessim

ont les étud

antageux (H

r et al., 199

isme et ind

1996; Rogal

antageux ma

uvent préten

efois, certain

rance et structuAppliquée au D

e et réduction d

Ve Conférence

l., 2011). Il

u national ou

010). Le fin

’objectif pr

ies de fina

s afin de les

en compte

stratégie de

lations qui

misation de

de financem

plus profess

pauvreté ont

té économi

endre en com

perte d’actif

quelques ann

vec le dével

d de plus e

cier bancair

de la micro

mistes et les

des qui argu

Hossain, 19

97). D’un a

diquent les

ly, 1996; B

ais qui argu

ndu (Hulme

ns groupes b

uration du milieDéveloppementde la vulnérabil

Internationale

apparaît né

u régional.

ancement d

remier des

ncement de

s aider à dém

de cette cat

e financem

exercent dé

es risques de

ment vise le

sionnelles. P

t montré qu

ique ne pe

mpte égalem

fs (Bidubul

nées une im

loppement d

en plus corp

re ou faut-il

ofinance à

s partagés c

uent que la

88 ; Remen

autre côté, s

incidences

Buckley, 199

uent que la m

e et Mosley

bancaires m

eu pauvre Etat dt, gbidjuwa@yalité : le cas d’u

e de Managem

anmoins qu

Ce phénom

des populati

EMF. Da

es populati

marrer une

tégorie de c

ent est axé

éjà de petite

e crédit con

es micro-en

Plusieurs étu

ue cette rela

eut pas se

ment l’expo

la Juwa, 20

mportance n

des program

ps, sur la p

l les juxtapo

réduire la p

comme le

microfinan

nyi, 1991 ;

sont les aut

s négatives

97). Au mil

microfinanc

y, 1996). C

manifestent u

des lieux des mahoo.fr.

un «Microbanco

ment Stratégiq

6

u’il n’y a

mène met

ons sans

ns leurs

ions. La

activité.

clientèle,

ée sur le

es AGR.

nditionne

treprises

udes sur

ation est

mesurer

sition au

010)2. La

nouvelle

mmes de

place des

oser à ce

pauvreté

souligne

nce a des

Otero et

teurs qui

s que la

lieu sont

ce n'aide

Ce papier

un grand

mutuelles de

o rural » au

que

Page 7: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

intérêt

D’après

ils ont

crédits

inexista

très séle

1.2.

La notio

tendanc

organisa

perdre l

l’EMF,

et la qu

Besley

Alexand

définie.

en plus

qui sem

cause l’

phénom

se maté

populati

se lance

cible de

montant

le cas d

sollicite

commer

le comm

des acti

4 Environ

à prospecte

s (Daley-Ha

contracté le

individuels

antes en mil

ectifs (Bidub

. DERIVE D

on "de miss

ce à confon

ations pourr

leur autono

ils ont adop

uestion d’a

et Coate, 1

der-Tedesch

En effet, l’

des voix cr

mble être sou

’essence et

mène est diff

érialise par

ions pauvre

er dans les

evient des p

ts largemen

de ce papie

ent des prê

rçants. D’ap

merce, l’arti

ivités comm

5500 $ 

er ou à se

arris, 2007),

eur premier

s reste faib

lieu pauvre,

bula Juwa,

DES EMF D

sion" dans l

ndre la miss

raient tirer

omie. Ghosh

pté une app

aléa moral.

1995; Ghata

hi, 2006; L

’EMF repré

ritiques sur

us jacent et

l’existence

fficilement d

le fait que

es ou aux dé

activités gé

personnes p

nt supérieur

r. Les catég

êts, sont de

près Dzaka

isanat et l’a

merciales, c

positionner

, presque 70

r emprunt.

le car les

, avec des d

2010).

DANS LEUR

l'économie

sion et l'obj

profit de p

h et Van T

proche d'age

Les exemp

ak, 2000; A

Labie et al.,

ésentatif a un

la microfin

t qui passe

même de l

détectable v

e les EMF

émunis, acc

énératrices

plus nanties

rs à 250 000

gories socio

es enseigna

(2009), 18

agriculture.

cette prépo

XXIV

r sur le ma

0% des usa

Le niveau

établisseme

délais et des

RS MISSION

est raremen

jectif. Dew

oursuivre d

assel, (2008

ent principa

ples de cet

Armendáriz

, 2010). La

ne mission

nance et les

sous silenc

la microfina

voire compr

accordent d

compagnent

de revenu

s en grand n

0 FCFA, frô

oprofession

ants, des e

% des créd

En effet, p

ondérance d

Ve Conférence

arché de la

agers étaient

d’accès de

ents qui les

s conditions

NS

nt utilisée. A

atripont et

des mission

8), ont mod

al pour mett

tte approche

et Gollier

a mission p

de réductio

pratiques d

e, "la dériv

ance et des

réhensible.

de moins en

t de moins e

et les micro

nombre. Ils

ôlant en mo

nnelles les p

entrepreneur

its sont affe

rès de 50%

du secteur c

Internationale

microfinan

t parmi les

s pauvres a

s offrent so

s d’accès au

Au lieu de

al. (1999)

s multiples

délisé la fon

tre en évide

e abondent

2000; Jain

particulière

on de la pau

des EMF not

ve de missio

EMF. Il es

En effet, la

n moins de

en moins les

o-entrepren

s accordent

oyenne 2 75

plus fréquen

rs, des fon

ectés à des

% des crédits

commercial

e de Managem

nce (Cobac

plus pauvre

aux mécani

ont trop rig

u crédit limi

cela, la litté

ont montré

mais elles

nction obje

ence l’anti-s

t (Stiglitz J

n et Mansur

de l’EMF

uvreté. Il y a

tamment su

on". Car il r

st indéniabl

a dérive de

es microcré

s personnes

neurs. Leur

des prêts a

50 000 FCF

ntes des cli

nctionnaires

activités au

s servent à

l dans l’aff

ment Stratégiq

7

c, 2007).

es quand

ismes de

gides ou

itatifs ou

érature a

é que les

peuvent

ective de

sélection

J. 1990 ;

ri, 2003;

est bien

a de plus

ur un fait

remet en

e que ce

mission,

édits aux

s voulant

cœur de

avec des

FA4 dans

ients qui

s et des

utres que

financer

fectation

que

Page 8: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

sectorie

(2004)

entrepre

activités

Nous d

apparaît

les coût

pérennit

bancaris

les dépe

priorité

emprun

leurs co

encore u

originel

des inve

pourrait

(2008).

de com

entraine

et Gho

suggère

veulent

que la d

orientés

soient d

réductio

2009). I

Creusot

et instit

de ces E

La diffi

réductio

elle des mic

l’ont mont

eneur à de

s du secteur

déterminons

tre. Les prin

ts de transa

té de l’EM

sés et la tail

enses de co

car ils coût

nteurs les pl

oûts totaux

un rôle déte

lles ? » Cett

estisseurs m

t être la seu

L’EMF com

mmercialisat

e de montan

sh et Van

ent concerna

attirer des i

dérive de m

s vers les bé

des institutio

on de la pau

Ils arguent

t et Poursat,

tutionnaliste

EMF des org

iculté pour

on de la pau

crocrédits e

tré. Ils exp

moindres r

r productif,

s les condi

ncipales mo

action, la rec

MF, les diffé

lle de prêt fl

ontrôle, les

tent moins c

lus pauvres

(MicroBan

erminant à l

te tendance

mus pas la p

le façon d’a

mmercial es

tion récente

nt de prêt él

Tassel. (2

ant les EMF

investisseur

mission résul

énéfices. Le

ons financiè

uvreté et d’i

qu’ils assi

, 2009). To

e, loin de s’

ganisations

les cherch

uvreté ou d’

est courante

pliquent qu

risques et s

comme l’ag

itions théor

otivations po

cherche de

férentiels de

fluctuant aux

EMF ont u

cher. Mais u

s génèrent d

nking Bulle

l'explication

de la dériv

performance

attirer plus d

st un exemp

es sont « d

levé et cible

2008) mon

F, que la dé

rs plus socia

lte des effor

es bailleurs d

èrement ren

innovation

istent ainsi,

outefois, Mo

’opposer pe

hybrides (B

heurs empiri

’accompagn

XXIV

e dans les

ue les activ

ont rentable

griculture et

riques pou

our les EMF

l’indépenda

e coût entre

x clients plu

une tendanc

une étude a

des revenus

tin, 1998).

n : « pourqu

ve de missio

e financière

de ressource

ple typique.

de mauvais

e moins les

ntrent aussi

érive de mi

alement res

rts de l’EM

de fonds we

ntables, au r

(Roy, 2006

à la comm

orduch (200

euvent coex

Battilana an

iques d’éta

nement des

Ve Conférence

pays africa

vités de ce

es immédia

t l’artisanat

r lesquelle

F seraient le

ance par ra

e des clien

us nantis. Po

ce naturelle

prouvé que

s suffisants

Les dépens

uoi les EMF

on se justifi

et qui orien

es dans le m

. Les auteur

ses » nouve

femmes. Le

une diver

ission a lieu

sponsables.

MF à attirer p

elfariste n’a

risque de sa

6) ou de s’en

mercialisatio

00) pense q

xister et être

nd Dorado, 2

ablir si un E

AGR, est la

Internationale

ains comme

e secteur e

atement, co

.

s la dérive

e risque de

apport au su

nts plus rich

our éviter le

e à cibler le

e les program

pour couvr

ses de tran

F dérivent-il

ie égalemen

ntent les ch

modèle de G

rs ont concl

elles pour

es travaux d

rgence. Les

u parce que

Les dernier

plus des cap

attendent pa

acrifier leur

n éloigner (

on des EM

que les deux

e compléme

2010).

EMF dérive

a justificati

e de Managem

e Dzaka et

exposent le

mparativem

e de missi

défaut des

ubventionne

hes et pauv

es arriérés d

es clients r

mmes qui v

rir environ

saction jou

ls de leurs m

nt dans la re

hoix de l’EM

Ghosh et Va

lu que les te

le pauvre

de Cull et al

s premiers

e ces établis

rs auteurs su

pitaux de d

as des EMF

r mission so

(Creusot et

MF (Halpern

x visions, w

entaires. Ce

e de sa mi

on et l’intér

ment Stratégiq

8

Bitemo

e micro-

ment aux

ion peut

pauvres,

ement, la

vres non

de prêt et

iches en

visent les

70% de

ent-elles

missions

echerche

MF. Cela

an Tassel

endances

car elle

l. (2009)

auteurs

ssements

uggèrent

onateurs

qu’elles

ociale de

Poursat,

n, 2000 ;

welfariste

e qui fait

ssion de

rêt de ce

que

Page 9: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

papier.

satisfair

s’éloign

McIntos

2009; U

plus pa

(Christe

microfin

al., 200

mission

individu

cette dé

n'est pa

appuiero

empiriq

des EM

Tassel

mission

d’observ

sur le c

EMF en

csQCA.

du prêt,

AGR ou

du clien

Nous no

est alor

pouvon

considé

s’agir d

dans la

accueill

subvent

Certains ch

re les inves

nent des clie

sh et Wydi

Urgeghe, 20

auvre (Cull

en, 2001; M

nance comm

8; Armendà

n dans la mi

us plus rich

éfinition, la

as justifiée

ons sur ce

quement me

MF de Fidle

(2008) et d

n des EMF

ver un écha

comporteme

n interne. L

. La troisièm

, la destina

u micro-ent

nt par rappo

otons que la

rs nécessair

s être indui

rer certains

de la minim

stratégie et

lent un no

tionnement,

hercheurs on

stisseurs (C

ents pauvre

ck, 2005; C

010). Plusieu

et al., 200

Mersland et

me une déri

àriz et Szaf

icrofinance

hes non ban

a dérive de

par la min

ette définit

surable. No

er (1998), d

du travail e

F. Cependan

antillon très

ent des EM

La deuxièm

me est d’ut

ation du prê

reprises et l

rt au siège d

a détection

re de ne pa

its en erreu

s indicateur

misation de c

la maturité

ombre faib

, les taux d’

nt noté que

Cull et al., 2

es, pour s’or

Cull et al. 2

urs cherche

09b) et d’au

Strom, 20

ive de sa mi

farz, 2011).

surgit quan

ncarisés en

mission pe

nimisation d

tion, qui a

ous nous ins

des travaux

empirique d

nt notre ét

s important

MF vu à trav

me est d’uti

tiliser comm

êt, la typolo

la proximité

de son EMF

de la dérive

as se tromp

ur dans plus

s sans néce

coût de tran

é du portefeu

ble des pe

intérêt élev

XXIV

, dans le bu

2009a; Mer

rienter vers

2007; AMA

eurs ont obs

utres pense

09). Plusieu

ission socia

D’après A

nd un EMF

évinçant en

eut seuleme

de la taille

a l'avantage

spirons égal

théoriques

de Cull et

tude présen

de 555 clie

vers le pris

iliser la mé

me indicateu

ogie de la

é ou l’éloign

F d’affiliatio

e de mission

per dans la

sieurs cas d

essairement

nsaction, de

uille (Chris

ersonnes t

vés et le mon

Ve Conférence

ut d’accumu

rsland et St

s une clientè

AF, 2008; B

servé que la

ent qu’elle

urs qualifie

ale (Helms,

Armendáriz e

F la trouve p

n même tem

ent apparaîtr

moyenne d

e d'être pl

lement de la

de Copest

al. (2007)

nte trois pa

ents des EM

sme de leur

éthode de l

urs en plus

clientèle, l

nement géo

on.

n des EMF

mise en év

dont il faut

dévier de l

e la taille m

ten, 2001),

très pauvre

ntant plafon

Internationale

uler davanta

trom, 2009

èle plus ais

Beck et al.,

a clientèle s

reste pratiq

ent la comm

2006; Cull

et Szafarz (

profitable p

mps de clie

re quand la

de prêt des

lus facilem

a littérature

take (2007)

pour démo

articularités

MF pour ap

rs clients au

l’analyse qu

du niveau

’accompagn

ographique d

n’est pas u

vidence du

t se méfier.

leur mission

moyenne de

les spécific

es, la pris

nd sans rega

e de Managem

age de prof

), les organ

sée (Dunfor

, 2009; Nsa

ervie est de

quement in

mercialisatio

et al., 2007

(2011), la d

pour en app

ents pauvre

a mission a

s EMF. No

ment observ

sur les exp

), de Ghosh

ontrer la d

s. La prem

pporter un ju

u lieu d’étu

ualitative co

moyen du

nement ou

du lieu de ré

un exercice

u phénomèn

Les EMF

n originelle

prêt la plu

cités des rég

se en com

arder l’histo

ment Stratégiq

9

fits et de

nisations

rd, 2003;

abimana,

e plus en

nchangée

on de la

7; Cull et

dérive de

peler aux

es. Selon

annoncée

ous nous

vable et

périences

h et Van

érive de

mière est

ugement

udier ces

omparée

montant

non des

ésidence

facile. Il

ne. Nous

peuvent

e. Il peut

us élevée

gions qui

mpte du

orique de

que

Page 10: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

l’empru

(1999) e

Cepend

notamm

du prêt

EMF ne

pauvreté

essentie

souvent

2008; D

Morduc

(Dewez

taille du

L’idéal

clients.

compte

à revenu

pour de

littératu

Hudon,

distingu

à la dér

pour tra

mais la

de rédu

d’inform

mesurer

du seuil

utilisé la

La litté

regardan

5 35000 FC

unteur qui p

et Simtowe

dant, la litté

ment la notio

(Mosley, 1

e semble pa

é. Les indic

ellement qu

t pondéré pa

Dewez, 200

ch, 2010), o

z, 2008; Gu

u prêt que le

serait d’ob

Cependant,

du contexte

u intermédi

es clients p

ure varie en

2009) qui n

uer si accord

rive de miss

aiter la ques

proportion

uction de p

mation aux

r en pratiqu

l de pauvre

a taille de p

érature sugg

nt uniquem

CFA à 225 000

peut étendre

et al. (2006

érature a m

on de pauv

996) et l'in

as être un d

cateurs de la

uantitatifs d

ar le PNB p

08), le pour

ou encore le

utiérez-Nieto

es EMF com

btenir égalem

, cette mesu

e dans lequ

iaire comm

plus riches

ntre 70$ et

n’est pas co

der les taille

sion. Ghosh

stion de la d

d'écart de p

pauvreté et

chercheurs

ue et parce

eté qui est d

prêt comme

gère que le

ment la taille

CFA 

e ce plafond

6) l’ont qual

mis en évide

reté qui est

ndice de dév

déterminant

a dérive de

dont les plu

par habitant

centage de

nombre d’

o et Serran

mmerciaux o

ment des in

ure sur la p

uel les EMF

e le cas du

non banca

450$5 com

onsidérée co

es moyenne

h et Van Ta

dérive de m

pauvreté. L

t la dérive

empiriques

que la prop

déjà controv

un indicate

e jugement

e moyenne

XXIV

d de crédit

lifié « incita

ence certain

t déterminée

veloppemen

t très impor

mission uti

us cités son

t (Cull et al

femmes cl

emprunteur

no-Cinca, 20

offrent. Cet

nformations

performance

évoluent (R

Gabon, son

arisés. La

mme le pra

omme dériv

es de prêt pl

assel (2008)

mission n’es

eur modèle

e de missio

s, ne serait-c

portion d'éc

versée parm

eur pour le s

d'un EMF

de prêt, ind

Ve Conférence

s’il honore

ation dynam

ns détermin

e par les pa

nt humain (

rtant pour u

ilisés généra

nt, le mont

l., 2009; He

lientes (De

rs actifs rapp

008; Daley

tte liste d’in

s sur le niv

e sociale pe

Rhyne, 200

nt une sour

taille moye

atique la B

vant. Les ch

lus élevées e

) suggèrent

st ni la taille

e est le plus

on. Mais, i

ce parce que

art de pauv

mi les écono

seuil de pauv

comme ay

duit en effe

Internationale

les prêts p

mique ».

nants de la

aramètres d

IDH). Le st

une mission

alement dan

tant du créd

ermes et al.

Bruyne, 20

porté au po

-Harris, 20

ndicateurs n

veau de vie

eut être qua

09). Les EM

rce qui attir

enne du pr

anco Comp

hercheurs re

est dû au su

que l'appro

e du prêt, n

adapté pou

il ne livre

e la pauvret

vreté est bas

omètres. Cu

vreté de clie

yant dérivé

et, un biais r

e de Managem

précédents M

dérive de

de la taille m

tatut juridiq

n de réducti

ns la littérat

dit moyen

, 2008; De

008; Armen

ortefeuille d

09), la plus

n’est pas exh

et de pauv

litative et e

MF des pays

re des finan

rêt utilisée

partamos (A

estent incap

ubventionne

oche la plus

ni l’approch

ur clarifier l

pas suffis

té est plus d

sée sur l’év

ull et al. (20

ents.

é de sa mis

relatif. Il fa

ment Stratégiq

10

Morduch

mission

moyenne

que d’un

on de la

ture sont

octroyé,

Bruyne,

ndáriz et

e crédits

s grande

haustive.

vreté des

en tenant

pauvres

ncements

dans la

Ashta et

pables de

ement ou

s précise

he genre,

la notion

samment

difficile à

valuation

008) ont

ssion en

aut avoir

que

Page 11: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

plus de

analyse

notablem

Vega et

et la tai

de miss

de miss

consens

(2008)

pauvres

relativis

malgré

restent a

EMF et

d’autres

ciblant u

sembler

commer

derniers

2. ME

2.1. La prob

Nous dé

n’accom

(supérie

la conso

siège de

nécessa

décliner

H1 : « u

H2 : « u

détails nota

dynamique

ment les cli

t al. (1996).

lle moyenn

ion signifie

sion des E

sus parmi l

l’ont utilisé

s. Nous con

ser la situat

les réussite

ambitieux c

banques co

s choix aux

une clientèl

rait que no

rciales vers

s ? Sont-ils

ETHODOL

PROBLEMA

blématique d

étermineron

mpagne ni le

eurs à 250 0

ommation c

e l’EMF. En

aires. Cette

rons des hyp

un EMF acco

un EMF prêt

amment les

e serait né

ients riches

En outre, l

ne de prêt m

e vraiment. N

EMF, surtou

es chercheu

é comme va

ncluons cet

tion des EM

es ponctuel

car la pauvr

ommerciale

x EMF que

le plus rich

ous assisto

s le marché

poussés ver

OGIE DE

ATIQUE ET

de ce papier

ns qu’un EM

es AGR, ni

000 F ou plu

courante et s

n outre, que

e définition

pothèses se

ompagne né

te nécessair

clients pauv

cessaire po

et évincent

la prise en c

modique peu

Nous retien

ut le nivea

urs du dom

ariable dans

tte section

MF et de la

lles, les obj

reté ne cesse

s traditionn

ceux de dé

es et en se

ons à une

des EMF e

rs d’autres s

LA RECH

HYPOTHESE

r est : « les E

MF dérive

les micro-e

us de 500 $

si les client

e ces déterm

n constitue

condaires p

écessaireme

rement aux p

XXIV

vres sont-il

our évaluer

t les clients

compte simu

uvent donne

ndrons que l

au du mon

maine de la

s une étude

par une no

a microfinan

jectifs ou m

e de progre

nelles sur le

évelopper d

désintéressa

migration

et vis-versa

sources ?

HERCHE

ES DE L’ETU

EMF dérive

des ses mi

entreprises,

$), si les som

ts ciblés ne

minants de

e l’hypoth

pour bien ce

ent les activ

pauvres ou

Ve Conférence

s évincés pa

empiriquem

s pauvres se

ultanée des

er une idée

la recherche

tant moyen

microfinan

e pour mesu

ote non pa

nce. Au reg

missions de

esser dans le

marché de

des stratégie

ant de plus

progressiv

a. Que devi

UDE

ent-ils de leu

issions s’il

s’il prête à

mmes prêtée

résident pa

la dérive de

hèse principa

rner la prob

vités générat

aux personn

Internationale

ar des client

ment si les

elon la défin

taux d'intér

plus claire

e des déterm

n, n’a pas

nce. Cepend

urer la prop

as pessimist

gard de tou

es EMF et

e monde. La

la microfin

es d’adapta

en plus aux

ve des acti

ennent don

ur missions

ne prête pa

à des nivaux

es sont dest

as à proximi

e missions

ale de la

blématique à

trices de rev

nes à faible

e de Managem

ts plus riche

s EMF aug

nition de G

rêt monopo

de ce que l

minants de l

encore dég

dant, Herm

pension de

te mais qu

ut ce dynam

de la micro

a concurren

ance ne lais

ation notam

x clients pa

ivités des

nc les client

s originelles

as aux pauv

x de montan

tinées uniqu

ité géograph

sont des co

recherche

à savoir:

venu et les T

e revenu.»

ment Stratégiq

11

es ? Une

gmentent

onzalez-

olistiques

la dérive

la dérive

gagé un

mes et al.

prêt aux

i tend à

misme et

ofinance

nce entre

ssent pas

mment en

auvres. Il

banques

ts de ces

s ? »

vres, s’il

nt élevés

uement à

hique du

onditions

e. Nous

TPE.»

que

Page 12: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

H3 : « L

microcr

H4 : « L

courante

H5 : «

siège. »

2.2.

Un écha

exploré

sociopro

montant

destinat

2.3.

Nou

la dériv

variable

logiciel

le tri de

Thiem (

sous le l

2

L

valeur=

fidèles

activités

6 Adrian D7 Huang Available 8  R CoreVienna, A

Le niveau

rédit inférieu

Le prêt oct

e.»

un EMF ci

car il est un

. DONNEES

antillon de 5

en 2012. L

ofessionnel

t du prêt r

tion des som

. METHODE

us avons opt

ve de missi

es explicativ

s qui nous o

es données

(2014) et Q

logiciel R8,

2.3.1. Var

La variable

1 si les EM

à leurs mi

s génératri

Dusa et Alrik TRonggui (2014from: http://cr

e Team (2014).Austria. URL htt

de montan

ure ou égale

troyé par u

ible nécess

ne banque d

S ET INFOR

555 clients

Les informat

le, la récidi

reçu, le nom

mmes reçues

E ET OUTIL

té pour la m

ion des EM

ves comme

ont servis a

. Les logic

CA37 versio

pour la mo

riables cible

e cible est l

MF ne pours

issions. Les

ices de rev

Thiem (2014). 4) QCA3: Yet ran.r‐project.or. R: A languagetp://www.R‐pro

nt prêté re

e à 250 000

un EMF n

airement le

de proximité

RMATIONS

issus des b

tions que n

ive ou le no

mbre de pr

s.

LS DE MOD

méthode d’an

MF avec la

e facteurs j

aux différen

ciels QCA6

on 0.0-7 dév

odélisation q

e et explica

la dérive da

suivent pas

s variables

venu (ACC

QCA: A Packaanother Packarg/web/packagee and environmoject.org/.

XXIV

este nécessa

0 FCFA. »

n’est pas u

es clients ré

é.

RECUEILL

ases de don

ous avons r

ombre de p

rêts déjà re

DELISATIO

nalyse qual

a variable c

ustifiant la

nts traitemen

version 1.

veloppé par

qualitative.

atives :

ans les mis

leurs missi

explicativ

CAGR), l’

age for Qualitatage for Qualitaes/QCA3/index

ment for statistic

Ve Conférence

airement fa

uniquement

ésidant à pr

LIES

nnées de deu

recueillies s

rêts déjà re

mboursés,

N

litative com

cible (DEV

dérive de

nts sont Exc

1-3 dévelop

r Huang Ro

sions des E

ons origine

es retenues

’accompagn

ive Comparativative Comparatx.html. cal computing.

Internationale

faible en c

destiné à

roximité gé

ux (2) EMF

sur ces clien

eçus ou enc

le quartier

mparée (csQC

V). Nous av

mission de

cel 2007 po

ppé par Ad

onggui (2014

EMF « DEV

elles; sinon

s sont l’acc

nement des

ve Analysis. tive Analysis. R

R Foundation

e de Managem

conformité

à la consom

éographique

F de Librevi

nts sont la c

ore l’expéri

de résiden

CA) pour m

vons retenu

es EMF. Le

our la prépa

drian Dusa

4), qui fonc

V » qui pre

valeur=0 si

compagnem

s micro-en

R Package Ver

for Statistical C

ment Stratégiq

12

avec le

mmation

e de son

ille a été

catégorie

ience, le

nce et la

modéliser

u six (6)

es outils

aration et

et Alrik

ctionnent

end pour

i ils sont

ment des

treprises

rsion 0.0-7.

Computing,

que

Page 13: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

(ACCP

(NIVM

géograp

(PROX

2

La méth

explicat

l’étude

examine

combina

de la div

de cons

2000). L

ou d'abs

organisé

cas pou

mission

aussi bi

la conn

compren

entraîne

pour sim

au résul

plus dét

- C

Les var

transfor

empiriq

variable

qu'intern

des crit

PME), le ty

MONT), la d

phique du l

XIM). Ces v

2.3.2. Mét

hode QCA

tives et exp

de petits,

er et sur

aisons diffé

versité de c

truire la pre

L'algèbre bo

sence (=0)

ée en cinq (

ur lesquels

n des EMF.

en identifie

naissance d

nant toutes

e la réductio

mplifier des

ltat. La cinq

tails opérati

Calibration

riables son

rmées en bi

que (dans n

es de base

nes. Les cri

tères intern

ype de clie

destination

ieu de résid

variables son

thode d’ana

créée par

pliquée peu

moyens ou

la complé

érentes d'att

cas aussi bie

euve empiri

ooléenne pe

d'attributs c

(5) étapes. L

ce résultat

La deuxiè

e les attribut

des cas. La

les combin

on théoriqu

s lignes de

quième étap

ionnels, Rag

n ou dichot

nt calibrées

inaire (0 et

notre cas 5

catégoriqu

itères extern

nes suivent

entèle (TYP

des somme

dence du c

nt liées aux

alyse qualit

Ragin (198

uvent être q

u grands no

éxité causa

ributs de ca

en que les d

ique pour un

ermet aux c

causalemen

La première

est approp

me étape im

ts supposés

troisième

aisons poss

ue du jeu de

table de vé

pe implique

gin (2000, 2

tomisation

c’est-à-dir

1). Dans u

555 lignes)

ues ou cont

nes résulten

l'analyse e

XXIV

PCLIENT)

es prêtées (

lient par ra

hypothèses

tative comp

87) est basé

quantitative

ombres de

ale quand

as. Elle offr

différentes f

ne nécessité

chercheurs d

nt approprié

e étape cons

prié. Par ex

mplique le

être causal

étape exig

ibles des att

e la table de

rité et d’ide

la représen

2008), sont l

des variab

re à partir

n tableau st

. Nous cal

tinues avec

nt de la conn

empirique d

Ve Conférence

), le niveau

DEST) et

apport au si

s retenues pr

parée « Cri

ée sur l’alg

es ou quali

cas empiri

un résulta

e une appro

façons d’obt

é causale et

de lier les c

s à un résu

siste au cho

xemple, les

calibrage «

lement lié a

ge la constr

tributs caus

e vérité; la

entifier les

ntation et l'in

les meilleur

les

de certain

tatistique, c

librons des

c des critèr

naissance th

des donnée

Internationale

u moyen d

la proximit

iège de son

récédemme

isp » (csQC

gèbre de B

itatives. Ell

iques spéci

at peut rés

oche formel

tenir un résu

une suffisa

combinaison

ltat. Une ét

oix d’un résu

déterminan

« crisp » qu

au résultat b

ruction d'un

saux inclus.

logique bo

attributs de

nterprétatio

res référenc

ns seuils, le

chaque lign

jeux des

res de calib

héorique an

es disponibl

e de Managem

es montant

té ou l’éloig

n EMF d’af

ent.

CA)

oole. Les v

le se conce

fiques (10

sulter de p

lle à dresser

ultat, avec l

ance causale

ns de présen

tude QCA p

ultat d'intér

nts de la d

ui évalue le

asé sur la th

ne table de

La quatrièm

ooléenne est

e configurat

on de résulta

es.

eur modali

ne représent

données br

brage tant

ntérieure, tan

les. Le nom

ment Stratégiq

13

ts prêtés

gnement

ffiliation

variables

entre sur

à 50) à

plusieurs

r la carte

l'objectif

e (Ragin,

nce (=1)

peut être

rêt et des

dérive de

e résultat

héorie et

e vérité,

me étape

t utilisée

ions liés

ats. Pour

ités sont

e un cas

rutes de

externes

ndis que

mbre de

que

Page 14: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

VAC

AC

TY

NI

DE

PR

DE

variable

être le p

Tableau

Variables CCAGR

CCPME

YPCLIENT

IVMONT

EST

ROXIM

EV

- T

Après l

analysée

construi

observé

avec de

les com

déclarat

obtenon

possible

empiriq

(2010),

csQCA

3 ou 4 v

une ana

conditio

empiriq

nécessa

vérité q

es explicativ

plus faible p

u n°3 : Cal

si montansi montand’entrepre

si montanentreprenesi montan

si CSP ori

si lieu résisi (ACCA(TYPCLI(DEST=0

Table de vé

le calibrage

es utilisant

ite pour dr

ée de cas. D

es ligne de 2

mbinaisons l

tions logiqu

ns 26=64 lig

es de condi

ques. Cela ab

Thygeson

un rapport

variables ex

alyse avec

on. Pour ch

ques du tabl

aires de la v

qui ne trouv

ves à reteni

possible. Da

librage ou «

Mont moyen est nt moyen > 25eneur

nt moyen ≤ 25eur, non AGR

nt moyen est

ienté AGR o

idence est daAGR=0 OU AIENT=0) ET0) ET (PROX

érité

e du résult

des tables d

resser la c

ans l'algèbr

2k (k = Le

logiquemen

ues (Caram

gnes dans l

itions (varia

boutit à un

N.M., Pei

plus grand

xplicatives.

5 ou 6 vari

haque ligne

leau statistiq

variable exp

vent pas de

ir par rappo

ans notre ca

« binairisat

odalité = 1≤ 250 000 F 50 000 F et C

50 000 F et CR ≤ 250 000 F

ou Micro-entr

ans un rayon ACCPME=T (NIVMONXIM=0)

tat et des a

de vérité (R

carte de la

re de Boole,

nombre de

nt possibles

mani, 2009;

a table de v

ables explic

problème d

ikes D. et

que 3 cas p

Ils suggère

iables expli

e de la tabl

que calibré.

pliquée ou

e cas empi

XXIV

ort au nomb

s six (6) (cf

tion » ou en

et CSP d’AGCSP

CSP non

reprise

de 4 km 1) ET

NT=0) ET

attributs ca

Ragin, 2000,

diversité

, une table d

variables e

du jeux rep

Mendelson

vérité). Le

catives) peu

de diversité

Zutshi A.

pour une 1 v

ent un ratio

icatives. Da

le de vérité

. Cela donn

de la fonct

iriques calib

Ve Conférence

bre de cas

f. tableau n°

ncore dicho

GR sinon

sinon

sinon

si mosi CSAGRSinon

sinon

ausaux dan

2008). Com

logiquemen

de vérité est

explicatives

présentant d

n, 1970). (D

nombre des

ut facilemen

limitée. Pou

(2013) rec

variable exp

o supérieur

ans notre c

é nous com

ne les différe

tion booléen

brés, sont d

Internationale

empirique d

°3).

otomisation

Mn

n

n

ontant moyenSP tout travaiR ou Micro enn (supérieur

n

s des jeux

mme tel, un

nt possible

t définie com

s incluses) p

des valeurs

Dans notre c

s combinais

nt surpasser

ur éviter ce

commanden

plicative dan

à 4 cas pou

as 555 clie

mptabilisons

entes condi

nne. Les lig

des cas log

e de Managem

disponibles

n des variab

Modalité = 0

n > 250 000 Filleur qui n’entreprise (conà 4 km)

, les donné

ne table de v

et empiriq

mme un dia

pour montre

s de vérité p

cas k=6 do

sons théoriq

r le nombre

problème,

nt pour la m

ns une analy

ur 1 conditi

ents dépasse

s le nombre

itions suffis

gnes de la

giques. La

ment Stratégiq

14

, devrait

bles.

0

F est pas orientnsommation

ées sont

vérité est

quement

agramme

er toutes

pour des

onc nous

quement

e de cas

Marx A.

méthode

yse avec

ion dans

ent cette

e de cas

antes ou

table de

fonction

que

té n).

Page 15: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

D

truthTab

fonction

cas emp

cas logi

coder le

est util

cohéren

sont per

au résul

pour êt

variable

il faut re

3. RES

3.1. 3

Tableau

Sa

DEV=>acca

3

Tableau

San dev =>PRO dev =>PRO

3.2.

Nous no

mission

ble() des lo

n rend uniqu

pirique trou

iques qui so

e résultat da

isé pour d

nce proche

rformants. T

ltat, les con

tre retenues

e cible. Une

eprésenter e

SULTATS

MODELE G

3.1.1. Mod

u n°4 : Rés

ans cas logi

agr*accpme

3.1.2. Mod

u n°5 : Résu

ns cas logiq

OXIM + NIVM

OXIM + NIVM

. INTERPRE

ous attendio

ns originelle

ogiciels QC

uement les

uvent une ad

ont pris en

ans la table

décider que

de 1 indiqu

Tandis qu'u

nfigurations

s comme c

e fois que l'a

et interpréte

DES TRA

GENERAL AV

dèle de la v

sultats du m

iques ni con

e*typclient*

dèle de la v

ultats du mo

ques ni cont

MONT + AC

MONT + DE

ETATION

ons à ce qu

es soient : d

CA et QCA3

configuratio

dhésion. La

compte po

e de vérité,

elles config

ue que les c

une valeur t

s doivent av

conditions s

analyse de

er ces résulta

ITEMENT

VEC 555 CL

variable cib

modèle de la

ntradictoir

*nivmont*d

variable cib

odèle de la

tradictoires

CCPME

EST

ue les condi

d’accompagn

XXIV

3 crée la ta

ons de la ta

solution pa

our minimis

une grande

gurations so

cas avec la

tendant vers

voir une co

suffisantes

table de vér

ats.

TS csQCA E

LIENTS

ble DEV=1

a variable D

res

dest*proxim

ble « non dé

variable de

s

d

itions néces

ner les AGR

Ve Conférence

able de véri

able de vérit

arcimonieus

er l’express

e valeur de

ont associé

présence d

s 0 indique

hérence mi

ou nécessa

rité a tiré la

ET INTER

:

DEV (dériv

Généra

m DEV=>n

érive » ou f

v (fidélité d

Généralis

dev=>ACCP

ssaires pour

R; de cibler

Internationale

ité théoriqu

té pour lesq

se est celle

sion de la v

cohérence

ées au résu

d‘attribut da

le contraire

inimum de

aires dans

a solution lo

RPRETATI

ve de missi

alisation – m

nivmont*pr

fidélité de m

dans les mis

sation – mo

PME + NIV

r que les EM

r les clients

e de Managem

ue. Par défa

quelles au m

qui intègre

variable cib

(ou de cons

ultat. Un s

ans la confi

e. Pour être

0.85 (Ragin

l’explicatio

ogiquement

IONS

ion des EM

modèle par

roxim*(accp

mission dev

ssions des E

odèle parcim

VMONT + P

MF respecte

pauvres ou

ment Stratégiq

15

aut, cette

moins des

tous les

ble. Pour

sistance)

score de

figuration

e associé

n, 2008)

on de la

t réduite,

MF).

rcimonieux

pme + dest)

v = 0 :

EMF).

monieux

PROXIM

ent leurs

u qui ont

que

x

Page 16: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

un faibl

(ne dép

uniquem

siège de

dans le

dev=>P

indique

microcr

ciblent l

-

c

-

q

(

Concern

générali

obtenon

indique

des prêt

ciblent

clients q

prêtent p

dérive d

montant

deux co

non acc

4. LIM

Les lim

limite s

Concern

le carac

le revenu ; d

passant pas

ment à la co

e l’EMF. Il

cas du Ga

PROXIM +

qu’il suffit

rédit (dans n

les clients r

Soit que la

courante

Soit, que ce

qui est conf

(cf. tableau

nant le mod

isation de

ns le modè

que les EM

ts à un nive

des clients

qui destinen

pas aux mic

des mission

t moyen du

onditions su

compagnem

MITES DE

mites que no

sur la coll

nant la colle

ctère intime

d’accorder d

en moyen

onsommatio

l n’en est r

abon, sont

NIVMONT

t que ces E

notre cas le

résidant à pr

destination

es EMF acc

firmé dans

n°5 deuxiè

dèle qui ca

ce modèle

le parcimon

MF considér

eau moyen q

qui ne résid

nt les monta

cro-entrepre

ns des EM

u prêt accor

uffisantes la

ent des mic

L’ETUDE

ous exposon

lecte des d

ecte des don

e du sujet po

des prêts do

nne 250 000

on courante

ien. Les fac

des conditi

T + DEST,

EMF accord

es sommes

roximité du

n des prêts a

compagnen

la généralis

ème colonne

aractérise la

e par l’inté

nieux : DE

rés comme

qui n’obéit

dent pas à p

ants reçues

eneurs pour

MF avec les

rdé (nivmon

a destination

cro-entrepris

E

ns dans ce

données et

nnées, le ca

our interrog

XXIV

ont les mon

0 FCFA) ;

et de cible

cteurs qui r

ions suffisa

T, soit dev=

dent des niv

inférieures

siège de l’E

accordés ne

nt des micro

sation en in

e).

a dérive de

égration de

EV => nivm

dérivant da

plus au prin

proximité d

essentiellem

r accompagn

filtres de

nt) et l’éloig

n des monta

ses (accpme

papier sont

la limite

aractère con

ger les clien

Ve Conférence

ntants soient

de ne pas

er les clients

rendent les

antes (cf. T

=>PROXIM

veaux moy

ou égales à

EMF ou enc

serve pas u

o-entreprise

ntégrant les

missions d

es cas logiq

mont*proxi

ans leurs mi

ncipe de mi

du siège de l

ment à la co

ner leurs ac

deux cond

gnement du

ants prêtés

e).

t de deux o

sur la mét

nfidentiel de

nts qui s’or

Internationale

t en accord

destiner le

s proche gé

EMF fidèl

Tableau n°5

M + NIVMO

ens de prêt

à 250 000 F

core :

uniquement

s. Ce derni

cas logique

des EMF (c

ques et co

im*(accpme

ssions sont

icrocrédit (>

l’EMF et qu

onsommatio

tivités. Don

ditions néce

client du s

à la consom

ordres princ

thode de t

e celles des

rientent vers

e de Managem

avec le mic

es sommes

éographique

les à leurs m

5). Le mod

ONT + AC

t en accord

F) ou que c

à la consom

ier modèle

es et contrad

cf. tableau

ontradictoire

e + dest) q

ceux qui ac

> 250 000 F

ui ; soit prê

on courante

nc il faut reg

essaires qui

siège (proxi

mmation (de

cipalement

traitement

s EMF d’un

s les établis

ment Stratégiq

16

crocrédit

s reçues,

ement du

missions

èle (soit

CCPME)

d avec le

ces EMF

mmation

est celui

dictoires

n°4), la

es, nous

qui nous

ccordent

F) et qui

êtent aux

; soit ne

garder la

i sont le

im) et de

est) et le

à savoir

adoptée.

ne part et

ssements

que

Page 17: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

de micr

dû faire

propres

collecté

capitale

l’étendu

rural. Il

sous ré

méthode

la méth

dépassé

dans l’a

gestion.

filtre ou

tempore

incorpo

la littéra

Conclu

Nous co

concurr

d’échec

intéress

la pauv

microcr

dérivent

Gabon e

mais co

Les don

Librevil

dérive

rocrédits d’a

e face penda

secrets qu

ées à partir

e du Gabon

ue géograph

serait intér

gion CEMA

e csQCA av

hode QCA

ée une taille

article de Ch

. Nous avon

u le prisme

elle pour ét

re de séque

ature (Caren

sion

oncluons ce

rentiel. Les

c. La press

és et interro

vreté et l’a

rédits aux p

t-ils de leur

est plus com

ontractant de

nnées de l’é

lle. Les var

dans les

autre part, s

ant la condu

’il ne peut

de deux ba

n, qui conce

hique de la c

ressant d’ef

AC. A pro

vec une tail

utilisée dan

e d’échantill

hanson, Dem

ns étudié le

e de leurs c

tudier la dér

ences tempo

n et Panofsk

e papier en

EMF qui

sion qu’ils

ogés sur les

accompagne

populations

rs missions

mposée d’e

es prêts d’un

étude se so

riables qui

missions

sont les deu

uite de cette

pas mettre

ases de don

entre à ce j

collecte d’a

ffectuer une

opos de l’ap

lle de l’éch

ns les étud

lon de 193,

mil et Leco

comportem

clients. Il e

rive de mis

orelles. Elle

ky 2005; Ra

rappelant q

y évoluen

vivent les

s missions o

ement des

s pauvres.

. Nous avon

enseignants,

ne taille mo

ont résumée

nous ont p

qui est l

XXIV

ux plus imp

e étude. Ch

à la dispos

nnées client

jour, une d

autres villes

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antillon de

des empiriq

l’exemple

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e est récemm

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que le march

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s contraint

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Ve Conférence

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des pays de

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555 clients

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de l’étude d

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ment deven

nd, 2008).

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nt un dyna

à s’adapte

assignées au

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n principal

que la clie

nnaires, d’a

ne respecte

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e cible et

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arrières aux

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que, nous a

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dans les scie

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nous nous

i sont la lutt

u en accord

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de commerç

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17

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as élargi

e monde

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s encore

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que

Page 18: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

l’accom

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du clien

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sont de

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plus au

proximi

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émises

nous at

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dans le

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glissem

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d’autre

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glissem

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notamm

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nt par rapp

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s, qui sont

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XXIV

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Ve Conférence

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i ciblent de

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n courante,

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e de Managem

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et accpme

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ui indique la

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e du client)

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ne s’orient

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ment Stratégiq

18

s micro-

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Page 19: ssions des étab lissem ents de microfinance (EMF) au Gabon

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Nous p

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Ve Conférence

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19

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