synthèse de la 1ère édition des assises du démantèlement
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SynthèSe de la 1ère édition
LES ASSISES DU
DévELoppEmEnt - optImISAtIon - InnovAtIon - trAnSfErt
DÉMANTÈLEMENT
leS StrUCtUreS orGaniSatriCeS 3
édito PoUrqUoi leS aSSiSeS dU démantèlement ? 4
« le Cea marCoUle, aU CŒUr deS enJeUX de l’aSSainiSSement-démantèlement »
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intro PoUrqUoi faUt-il indUStrialiSer leS aCtivitéS de dé-mantèlement ?
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Comment PaSSer d’aCtivitéS « artiSanaleS » à deS aCtivitéS indUStrielleS ? réPonSe : Par l’innovation… SoUS toUteS SeS formeS
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conclusion de la ComPétition à la «CooPétition» 21
annexe 1Liste des inscrits
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annexe 2Les structures porteuses des assises
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annexe 3Programme de la journée
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Les Assises du Démantèlement ont bénéficié du soutien financier de
www. laudun la rdo i se . f r
V i l l e de
L AR D O I S EU D U N
Équipe de Rédaction : Laurence Boisset CEA – Gilles Richard CEA – Florent Vionnay Invest in Gard – Luc ARDELLIER CycliumConception graphique - illustrations - crédit image : Barcelona & co - www.barcelona-co.fr
Philippe VIALA, Président
Patrick SCORSONE, Président
Serge BOUFFARD, Président
Philippe GUIBERtEAU,Directeur du centre CEA de Marcoule
Jean-Christian REY, Président
Henry DOUAIS, Président
Le logo du Pôle de Valorisation des Sites Industriels dévoilé le 12 décembre 2013 en présence de Christophe Béhar, directeur du CEA de Patrice Prat député-maire de Laudun-l’Ardoise et des représentants des structures organisatrices : Cyclium, le CEA, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Nîmes, la Communauté d’Agglomération du Gard Rhodanien, Invest In Gard et Nucléopolis.
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Mais pourquoi ces premières Assises ?Depuis plus d’une quinzaine d’années, des projets de démantèlement de taille significative ont été engagés en France comme à l’étranger. Dans notre pays, on peut citer les projets de démantèlement du centre CEA de Marcoule ou encore ceux des installations nucléaires du centre CEA de Grenoble (qui se sont terminés dans les délais sur le périmètre initial), mais aussi l’engagement de la déconstruction des réacteurs de première géné-ration (les réacteurs et installations de la filière graphite-gaz, le prototype à eau lourde de Brennilis…). Ces projets représentent des budgets consé-quents, de l’ordre du milliard d’euros par an.La liste est déjà longue, mais le travail ne fait que commencer. Le nombre d’installation à démanteler d’ici les quinze prochaines années va croître. Selon une étude publiée en 2013, les budgets attendus au niveau mondial s’établissent à 220 milliards d’ici 2030. Les enjeux sont donc fondamentaux pour la filière, à la fois sur des as-pects économiques, de sûreté et d’environnement, notamment avec une gestion optimale des déchets. Pour autant cette activité n’a pas encore atteint la maturité industrielle. Les opérations de démantèlement restent souvent très manuelles, des développements spécifiques d’outillages sont réalisés avec de faibles perspectives de réemplois sur d’autres projets, les nouveaux procédés ont du mal à percer et les schémas contractuels ne facilitent pas l’optimisation des projets.
ÉDITO
Vous avez été très nombreux, et nous vous en remercions, à avoir assisté aux premières Assises du démantèlement qui se sont tenues le 12 décembre 2013 à Marcoule et Laudun-L’Ardoise, dans le Gard : plus de 250 à suivre les conférences du matin et plus de 160 à apporter votre contribution au « brainstorming géant » de l’après-midi.
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De ce fait, il est naturellement apparu utile de rapprocher les différentes parties prenantes au démantèlement, afin de structurer et d’indus-trialiser cette filière. Avec plusieurs objectifs complémentaires :→ réduire les coûts des projets de déman
tèlement, diminuer les délais, les déchets et améliorer la sûreté ;
→ améliorer la compétitivité des entreprises ;→ créer et fédérer l’équipe de France du
Démantèlement pour assurer à notre pays un positionnement fort à l’International ;
→ contribuer au développement économique et à la pérennisation de nos territoires, via la mise en place de nouvelles filiè res liées au démantèlement et à la déconstruction.
Ce sont les objectifs du futur Pôle de Valorisa-tion des Sites Industriels, PVSI, dont l’implanta-tion est prévue aux portes du centre CEA de Mar-coule courant 2014. Il hébergera notamment un Institut d’industrialisation des procédés de dé-mantèlement et contribuera au développement de nouvelles formations liées à ces activités.Pour lancer ce pôle, il est apparu opportun d’en-gager une approche de co-construction ras-semblant tous les acteurs concernés : les orga-nismes de recherche, les donneurs d’ordre, les entreprises intervenantes, les centres de forma-tion, les instances territoriales… C’est ainsi que
sont nées ces premières Assises, co-organisées par le CEA, l’association d’entreprises Cy clium, la communauté d’Agglomération, la CCI de Nîmes, l’agence de développement économique Invest in Gard et l’association Nucléopolis. La pré-sence de ce groupement d’entreprises et d’or-ganismes normands, ainsi que d’industriels, d’acteurs institutionnels et de représentants de pôles de compétitivité et clusters venant de toute la France est représentatif du fonctionne-ment tel que l’envisage le futur pôle : fédérer les initiatives dans le domaine du démantèlement à la fois sur un plan local, régional, national et international.
La journée du 12 décembre 2013 s’est articulée autour de deux temps forts, détaillés en annexe 3 : > une présentation des enjeux du démantèle-
ment nucléaire par les grands donneurs d’ordre (CEA, EDF), ainsi que par les experts en sûreté (IRSN) et en gestion de déchets (Andra), sans oublier un focus sur les activités de déconstruc-tion dans d’autres secteurs industriels (Véolia) ;
> un travail de réflexion collective destiné à iden-tifier les axes de travaux prioritaires pour ré-pondre à ces enjeux.
Le présent document constitue une synthèse de cette riche journée, dont les travaux vont servir à initier les premiers projets du Pôle et, partant, de la filière française du démantèlement et de la déconstruction.
La première partie des assises s’est déroulée à l’Institut de Chimie séparative sur le site de Marcoule.
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Les premières « assises du démantèlement » tenues le 12 décembre 2013 à Laudun-L’Ardoise et Marcoule sont un véritable succès. La preuve, si besoin était, de la perception partagée par les nombreux acteurs économiques réunis à cette occasion – grands donneurs d’ordres, indus-triels de premier rang, PME et PMI – du très fort potentiel de développement du secteur de l’as-sainissement et du démantèlement.Le centre de Marcoule réunit environ 1 500 sa-lariés CEA et a un impact très positif sur l’éco-nomie régionale, par un apport de commandes locales de l’ordre de 300 millions d’euros par an.Ses activités dans le domaine de l’énergie nu-cléaire couvrent principalement :une mission essentielle et pérenne de recherche et développement sur la thématique du cycle du combustible nucléaire et des déchets radioac-tifs, tant à la demande des pouvoirs publics (lois de 1991 et de 2006), qu’en soutien des indus-triels.la conduite des opérations d’assainissement-démantèlement des anciennes installations nu-cléaires, plus important chantier de ce type en France, ainsi que le développement des techno-logies associées.
En complément, le CEA souhaite valoriser ces expertises uniques dans le cadre du Parc Régio-nal d’Activités Economiques Marcel Boiteux, dont la viabilisation se termine aux portes du centre de Marcoule. Ces projets de développe-ment, suivant le triptyque « recherche-forma-tion-industrie », ont pour objectif de créer de la valeur et de l’emploi et de soutenir l’activité du tissu industriel gardois bien au-delà des seuls grands groupes industriels.Le CEA va notamment créer prochainement un Institut Européen d’Hydrométallurgie (IEH) en coopération avec le monde de la recherche académique et les entreprises industrielles du secteur minier et du recyclage des métaux stra-tégiques.
Le CEA souhaite également que sa R&D et son retour d’expérience dans le domaine de l’assai-nissement-démantèlement puissent être valo-risés en bénéficiant du réseau d’entreprises et des structures de formation présents dans ce domaine, parmi lesquelles figure notamment l’Institut national des sciences et techniques nucléaires.
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Afin de faire progresser les chantiers d’assainissement-démantèlement, d’améliorer encore la sûreté, et de diminuer les délais, les coûts et les déchets, les thématiques identifiées sont principalement : l’évaluation de l’état radiologique des installations et des sols, la réalisation d’opérations en milieu hostile, la décontamination des structures et des sols, le traite-ment et le conditionnement des déchets et effluents, la caractérisation des déchets et des colis.
Cet enjeu est un sujet national majeur. Il a été identifié comme tel dans le cadre du Comité stratégique de filière nucléaire (CSFN), où un groupe de travail spécifique a été créé dans le domaine de de l’assainissement-dé-mantèlement. Une réunion de ce groupe de travail s’est tenue sur le site de Marcoule le 18 juillet 2013.Le CEA souhaite que les énergies se rassemblent autour de Marcoule pour structurer une réflexion dans l’objectif de créer un pôle national, visible, de valorisation des sites industriels, autour des chantiers et des compé-tences uniques rassemblés à Marcoule sur :l’assainissement-démantèlement des réacteurs expérimentauxl’assainissement-démantèlement des installations du cycle du combus-tible nucléaire,la reprise, la caractérisation et le conditionnement des déchets.
Parce que l’union fait la force, la Direction de l’énergie nucléaire du CEA, conformément à sa stratégie « de la Recherche à l’Industrie », sera tou-jours présente aux côtés de ses partenaires actuels et futurs, pour favo-riser la structuration de l’industrie française du démantèlement, favoriser une dynamique territoriale et rendre visible ce pôle à l’échelle internationale.
Philippe GUIBERtEAU, Directeur du centre CEA de Marcoule.
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Et d’abord, qu’entendton par démantèlement ? Adjoint au chef du Service de sûreté des transports et des installations du cycle du combustible de l’IRSN1, Jean-Pierre Carreton en donne une définition exhaustive et largement partagée. Il s’agit d’opérations, très variées et de nature différente, qui se déroulent concomitamment dans différentes parties d’installation, qui mettent en œuvre des équipements et des métiers différents de ceux de l’exploitation, et qui portent sur de longues périodes de temps.Ces opérations comprennent : > l’évacuation des matières radioactives présentes en fin d’exploitation, > le démontage des équipements (procédés, ventilation…), > l’assainissement des locaux et des sols, allant jusqu’à la destruction
éventuelle des bâtiments, > le traitement, le conditionnement, l’évacuation et l’élimination des dé-
chets.
Outre les réacteurs électronucléaires de puissance, décrits par Christophe Dorier, chef du projet dé cons truction de la centrale Bugey1 d’EDF, le péri-mètre du démantèlement comprend une très grande diversité d’instal-lations, de taille et d’ancienneté variable, que rappelle Laurence Piketty, directrice du démantèlement et de l’assainissement nucléaire au CEA : > réacteurs de recherche (de type piscine, à neutrons rapides…), > accélérateurs et irradiateurs, > laboratoires, > usines du cycle du combustible (usines d’enrichissement, fabrication du
combustible, recyclage,…), > installations de traitement de déchets et d’entreposage.
Dans le domaine des déchets, l’adjoint au directeur industriel de l’Andra2,
INTRO
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Frédéric Légée, fixe les grands en jeux du dé-mantèlement aux yeux de son agence : > économiser le volume et la capacité radiolo-
gique de stockage, > ouvrir de nouvelles filières, > anticiper par une intégration de l’ensemble
du processus de gestion des déchets ra-dioactifs dès les phases d’étude du déman-tèlement,
> réduire la complexité et le coût du stockage > adapter le cadre réglementaire pour promou-
voir le recyclage.
Sous des vocables parfois légèrement diffé rents, le CEA et EDFCiden s’entendent à con si dérer que l’industrialisation du déman tèlement passe par cinq grands thèmes d’innovation :→ l’évaluation de l’état radiologique des
installations et des sols,→ la réalisation d’opérations en milieu hos
tile, → la décontamination de structures et de
sols,→ le traitement des déchets (recyclage com
pris) et des effluents→ la caractérisation des déchets.
Le tout dans le cadre d’un référentiel de déman-tèlement, explicité par EDF : profes sionnalisation du per sonnel aux enjeux du démantèlement, stan dardisation et adaptation des pratiques, ainsi que des outils, généralisation de la simu-lation selon les enjeux.L’aboutissement, ici et là, de chantiers de dé-man tèlement montre que, en France, la maî-trise technologique progresse, entraînant une structuration du processus et une orga nisation de l’industrie afférente. Toutefois, il apparaît que chaque projet constitue un pro totype com-plexe et que l’hétérogénéité des opérations me nées jusqu’à maintenant ne per met pas la généralisation de standards d’outils ou d’ap-pro ches, même si des effets de série sont atten-dus lorsqu’il s’agira d’attaquer le mar ché des réacteurs de puissance de deuxième géné ration.Identique au niveau mondial, ce constat résulte de l’histoire de la mise en place de la production élec tronucléaire, avec une dispersion des premières générations d’architectures nucléai-res en fonction des pays et à l’intérieur même des pays.Ceci a pour corollaire une certaine volatilité des coûts opérés sur le secteur du démantèlement et, par rico chet, un manque de visibilité dans les provisions budgétaires de la filière, comme l’a
Photo de gauche Jean-Pierre Carreton Adjoint au chef du Service de sûreté des
transports et des installations du cycle du combustible de
l’IRSN1
Photo de droite Christophe Dorier, chef du projet dé-
cons truction de la centrale Bugey1 d’EDF
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noté le rapport de la Cour des comptes 2012 sur les coûts de la filière nucléaire française.Au niveau industriel, l’attrait pour les marchés de démantèlement est indéniable. De grands ac-teurs sont présents, ainsi que des sociétés très spécialisées. Pour autant la filière reste fragile du fait d’un niveau de rentabilité relativement faible. Plusieurs facteurs interviennent, parmi lesquels : > l’importance d’opérations manuelles à faible
valeur ajoutée, > la nécessité de développer des outillages spé-
cifiques, avec les aléas liés à leur définition et à leur mise au point. Ces développements sont souvent conduits pour un projet donné avec peu d’effet de standardisation, ce qui en augmente encore le coût.
> les risques liés aux données d’entrée (incerti-tude sur l’état initial).
L’échelle de décision restant souvent le projet, cela limite le lancement de démar ches inno-vantes, puisque les assiettes d’amor tisse ment ne vont pas être suffisantes.
On peut donc qualifier l’industrie du déman-tèlement nucléaire comme une industrie encore en phase d’apprentissage : elle est encore peu organisée et de faible capacité, en comparaison
de ce qui sera nécessaire dans les décennies à venir : les marchés sont estimés à 220 milliards d’euros pour dans le monde d’ici 20304 et à près de 32 milliards d’euros pour l’ensemble du parc nucléaire français5. Cela concerne, non seulement les réacteurs commerciaux de pro duction d’électricité, mais aussi toutes les installations du même type que celles évoquées par Laurence Piketty.Dans le domaine non nucléaire, le marché mon-dial des sites et sols pollués (SSP) est estimé à plus de 43 milliards d’euros par an. En Fran-ce, l’inventaire BASIAS recense à ce jour près de 180 000 anciens sites industriels et acti-vités de service potentiellement pollués sur le territoire national, dont les modalités de réamé-nagement n’ont pas toujours été envisagées ou conservées. En illustration de ce domaine, Pascal Houssart, directeur des démantèlements, déconstructions et valorisation du groupe Véo-lia présente les deux grands axes de travail de son pôle : > les sites, bâtiments et équipements fixes :
friches industrielles, équipements industriels, ponts …
> les moyens de transport en fin de vie : bateaux, matériels roulants (wagons, camions…) et volant.
Dans certains cas, la similitude entre dépollution radioactive et chimique peut être forte, comme en témoigne le chantier réalisé sur le site orphe-lin d’Isotopchim (04).
Les présentations des Grands Témoins sont dis-po nibles sur le site des Assises.
1 Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire.2 Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs. 3 Centre d’ingénierie-déconstruction-environnement.4 Source : Arthur D. Little.5 Rapport de la Cour des comptes, janvier 2012.
Frédéric Légée,adjoint au directeur industriel de l’Andra
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Photo de gauche Laurence Piketty, directrice du démantèlement et de l’assainissement nucléaire au CEAPhoto de droite Pascal Houssart, directeur des démantèlements, déconstructions et valorisation du groupe Véo lia
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L’arrivée en masse d’installations en fin de vie engage à réfléchir sur ce que pourrait être un modèle indus triel du démantèlement, au sens d’une filière offrant des activités porteuses de sens pour la société et le dé ve-loppement des territoires et créatrices de valeur pour les entreprises qui s’y engagent. L’atteinte de cet objectif suppose : > de prendre en compte toutes les phases techniques comme participant
d’un même processus, > d’introduire une grande variété d’innovations tout au long de la mise
en œuvre de ces différentes phases, en ayant conscience que la plupart sont liées entre elles (influence réciproque entre innovation technolo-gique, réglementaire, contractuelle…).
Cette approche globale est illustrée dans le schéma ci-contre, en considérant qu’un projet de déman tèlement a pour objet la transformation d’une installation en flux de déchets.
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INNOVATION RH
INNOVATION RÈGLEMENTAIRE
INNOVATION TECHNOLOGIQUE
INNOVATION MARKETING
CONTRÔLE MATIÈRES PREMIÈRESCONTRÔLE MATIÈRES PREMIÈRES
CONTÔLE QUALITÉ PRODUITSCONTÔLE QUALITÉ PRODUITS
PROCÉDÉS DE TRANSFORMATIONtraitement, décontamination,découpe, conditionnement
caractérisationétat initial
caractérisationdéchets et état final
CONTRÔLE EN LIGNE / PILOTAGECONTRÔLE EN LIGNE / PILOTAGEcontrôle « mise au gabarit » radiologique et physique
INNOVATIONPARTENARIALE ET CONTRACTUELLE
INNOVATION ORGANISATIONNELLE
Un projet de déman tèlement a pour objet la transformation d’une installation en flux de déchets
INNOvATION ORgANIsATIONNELLE (sTANDARDs, pROcEssus, MÉ ThODEs, pROcEss)
> Cartographier les structures et acteurs du démantèlement (de 1er et 2nd rangs), créer un annuaire > Favoriser la standardisation des équipements (porteurs, bras, découpe…) > Prendre totalement en compte la gestion des déchets dans le montage des scénarios. Mettre en
place une filière de recyclage des métaux et bétons > Standardiser les cahiers des charges techniques (grille de lecture unique, simplification des modes
de contractualisation) > Élaborer des référentiels, des méthodes standardisées ; standardiser et adapter les pratiques selon
les enjeux (EDF) > Mutualiser des équipements (par exemple sous la forme de magasins d’outillage communs) > Mutualiser des fonds. Mettre en place un « guichet unique » d’ingénierie financière (aide au mon-
tage de dossiers, « alliancing »…), voire un guichet dédié à l’A&D. Im por tance des fonctions « sup-port », a fortiori dans une démarche internationale
> Faire des achats groupés
INNOvATION pAR TENARIALEET cON TRAc TuELLERedéfinir la relation donneur d’ordre / soustraitant pour « coconstruire » l’expression du besoin > Faire évoluer les règles des achats publics. Dans les appels d’offres,
donner la priorité à la technique (ainsi qu’à l’expérience et à la proxi-mité) sur le financier
> Généraliser la recherche collaborative (partage des risques) > Rémunérer « au bon niveau » les dialogues compétitifs (encouragent
CARTOGRAPHIER,STANDARDISER, MUTUALISER
Cartographier les structures et les acteurs du démantèlement (de 1er et 2nd rangs).
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les idées et la prise de risque) ; établir une continuité entre R&D coopérative et marchés ultérieurs (certains travaux de R&D confiés à des entreprises aboutissent à des marchés… qui sont confiés à d’autres entreprises)
> Alléger les APS pour être moins directifs et permettre la créativité
> Mettre en place des groupes de travail tech-niques donneurs d’ordre / sous-traitants (les prestataires n’ont souvent face à eux que des acheteurs, des commerciaux)
> Mieux définir les appels d’offres : ils sont par-fois trop larges, ce qui pénalise les petites entreprises. Augmenter la lisibilité de cer-tains points pour anticiper les ressources à
employer et mieux intégrer la part de risque qu’ils comportent.
> Gérer les chantiers en fonction de la disponi-bilité des compétences
Favoriser une meilleure connaissance des « règles du jeu » > Mettre à disposition des opérateurs (par
exem ple dans les marchés) les conditions de travail propres au donneur d’ordre, ainsi que les con ditions réglementaires
> Mettre en visibilité, « on line », les marchés de DEM existants
> Favoriser le partage de REX et de connaissan-ces (par exemple sur l’historique des installa-tions, sur les raisons d’arrêt de certains chan-tiers ou encore sur des scénarios)
> Faire plus d’études en amont pour fiabiliser les données d’entrée (problème fréquent dans les contrats avec obligation de résul-tats)
> Auditer les besoins des grands donneurs d’ordre
> Assurer une large diffusion des thèses sur l’as sai nissement / démantèlement
INNOvATION TEchNO LOgIquE
Établir une cartographie des technologies (base de données) : > Existantes et utilisées : notion d’Annuaire > À créer, en réduisant les délais entre l’idée et
sa mise en œuvre > Existantes mais non utilisées (« sur éta-
gères ») => structure de transfert de techno-logie et valorisation
Faire de la veille (notamment en robotique) et l’exploiter
Innovation partenariale et contractuelle en généralisant la recherche collaborative (partage des risques)
CO-CONSTRUIRE ETPARTAGER LES RISQUES
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Domaines d’innovation : > Contamination / décontamination : carto-
gra phie, analyses procédés, approches d’optimisation, techni ques améliorées de sé pa ration des éléments contaminés / non con taminés, procédés (et filières) de dé con-ta mination/traitement de déchets souillés SMR
> Outils de simulation 3D pour définition de scénarios et optimisation des coûts (EDF)
> Moyens de caractérisation (notamment alpha), Mesures non destructives, Moyens d’analyse à distance (mesure et prise d’échantillons) et in situ (pour adapter les contraintes d’intervention et classer en temps réel les déchets)
> Appareils ou outils d’analyse de 1er niveau sur les radioéléments présents dans les cir-cuits ou les sols (EDF) détection de la conta-mination dans les gaines de ventilation (IRSN) ; mé tho des de caractérisation radio-logique des sols avec résultats directs (EDF)
> Moyens d’identification de la présence ou non d’amiante et de sa nature (EDF)
> Moyens mobiles et adaptables de conduite des opérations (EDF) Outils portables et minia turisés, petits robots, Outils éventuel-
lement jetables (« one shot ») > Procédés de découpe adaptables selon les
piè ces à découper (EDF) > Procédés d’assainissement des sols (EDF) > Capteurs, RFID, électronique durcie > Moyens de tri des déchets > Procédés de conditionnement mobiles des
déchets type résines, boues et graphite (EDF)
> Filières internes de recyclage des déchets (métaux, bétons), par exemple pour fabri-cation de colis, protection biologique ou comblement de corps creux (EDF)
> Traitement de l’amiante et du graphite (EDF)
> Catalogue plus large de colis avec agrément transport (EDF)
Développer la fertilisation croisée : > aller vers d’autres marchés (déchets spé-
ciaux) > aller voir ce que font les autres (spatial, dro-
nes, sous-marins…) > nucléariser des outils standards du com-
merce.
RÉDUIRE LES DÉLAIS ENTRE L’IDÉE ET SA MISE EN OEUVRE
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INNOvATION RÉgLEMENTAIREDévelopper la veille, pour anticiper sur l’application des textes et sur les formations en découlant.
Harmoniser les habilitations, agré ments et formations réglementaires. > Augmenter la participation des donneurs d’ordre au financement des formations lour des, chères
et disparates entre opérateurs > Obliger les donneurs d’ordre à prendre en charge certaines formations (par exemple sur les spé-
cificités radiologiques).
Effectuer du lobbying réglementaire (en lien étroit avec le développement d’outils plus pré-cis de caractérisation) : > sur la question des seuils libératoires (EDF : définir un standard sur le seuil, selon l’usage industriel
visé à terme, et les études d’impact associées / Andra : adapter le cadre réglementaire pour pro-mouvoir le recyclage).
> sur la réglementation des entrées et sorties de matériels (frein à la mutualisation et à la réutilisa-tion des matériels)
> sur les agréments > sur la possibilité de pré-conditionner certains déchets sur sites de production (à voir avec Andra)
RÈGLEMENTS
RÈGLEMENTS - TOME 2
RÈGLEMENTS - TOME 3
RÈGLEMENTS - TOME 4
CONNAITRE LES RÈGLES POUR LES DÉPASSER ET VOIR PLUS LOIN
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INNOvATION RhAméliorer la connaissance des métiers > Cartographie des compétences / métiers (base de données), y compris
par niveau d’expérience (pyramide des âges). > Bien lister les secteurs en difficulté (métiers en tension) : mécanicien,
concepteur, ventilation, spécialiste en radioprotection, sûreté, experts en encadrement, bureaux d’études nucléaires, OS en chaudronnerie et soudage…. Ainsi que les métiers sur lesquels les spécialistes sont trop peu nombreux (par exemple traitement des gaz et effluents)
Développer la Formation > Créer un métier du « démanteleur » ; professionnaliser les opérateurs,
par formation initiale ou délivrance d’une habilitation (EDF) > Améliorer l’évaluation des besoins en formation, en qualification et en
volume, et mettre en place les formations correspondantes (initiales, diplômantes et internes). Il y a déjà beaucoup de formations existantes, dans les Universités et les Ecoles d’ingénieurs, mais elles ne sont pas forcément adaptées : il faudrait les simplifier, les standardiser, les coor-donner.
> Former les sous-traitants mais aussi le personnel des donneurs d’ordre (certains chefs de projet ne sont pas assez compétents)
> Développer le compagnonnage (mixer les équipes « anciens / nouveaux » ),
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Améliorer l’évaluation
des besoins en formation, en
qualification et en volume, et
mettre en place les formations
correspondantes.
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mettre en place de petits ateliers de formation internes (nourrir la base technique de formation), financer un travail de maintien des savoirs par des séniors
> Développer l’apprentissage (ce qui suppose de baisser l’âge d’accès au travail en milieu nucléaire) et développer la formation au poste de travail, au plus près des sites de démantèlement (ce qui suppose un réel appui dans l’accueil des étudiants)
> Mener en parallèle le développement des techniques et la montée des niveaux de compétences (par exemple en robotique)
> Adapter au nucléaire certaines compétences classiques. Spécialiser en nucléaire les formations en robotique (« super-utilisateurs »)
> Développer des ressources pluridisciplinaires pour combler les « trous » (la gestion des arrêts de chan tiers entraîne des surcoûts)
Structurer l’organisation de la profession > Mettre en place une branche professionnelle spécifique du démantèlement > Résoudre la question de la mobilité et du fort turn-over dans certains métiers : améliorer les rému-
nérations (mais comment faire dans un secteur fortement concurrentiel ?), mettre en place une charte de bonne conduite entre opérateurs (éviter le débauchage chez le voisin).
INNOvATION MARkETINg > Breveter chaque fois que nécessaire et valoriser à l’international > Mener des actions de promotion du DEM et de ses métiers (notion de « vitrine ») ; mettre en valeur
les outils modernes (simulation, robotique) > Lancer des « concours d’idées » avec financement à la clé > Labelliser certaines actions (« DEM in France »)
BREVETER CHAQUE FOISQUE NÉCESSAIRE ETVALORISER À L’INTERNATIONAL
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Brainstorming géant lors des ateliers de l’après-midi.
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La lecture des pages précédentes illustre la richesse des échanges qui se sont déroulés, sans tabou ni détour, tout au long de la journée du 12 dé-cembre 2013. S’en dégagent trois idées majeures :
→ Les voies de progrès ne pourront émerger que d’une approche collaborative entre toutes les différentes parties prenantes : les donneurs d’ordre et intervenants industriels, mais aussi les organismes de recherche et de formation, les territoires et toutes les structures qui œuvrent en faveur du développement économique (associations, pôles de compétitivité, clusters…). Biensûr, les entreprises restent concurrentes, mais l’idée émerge d’un passage de la compétition à la « coopétition » !
→ L’innovation n’est pas que technologique, elle est aussi contractuelle et règlementaire, et embrasse des champs tels que la gestion des compétences, la standardisation des méthodes, la mutualisation des moyens… La largeur du spectre est telle qu’elle ne peut que favoriser les approches collaboratives.
→ Une équipe de France du Démantèlement compétitive, pérenne, fertilisant les territoires et remportant de nombreux succès à l’international, ne pourra naître que d’une fédération des initiatives et d’une synergie entre les différents pôles et organisations engagés sur ces sujets.
Le pôle PVSI entend jouer un rôle majeur dans la concrétisation de ces idées, en se concentrant au plus vite sur les actions de formation et sur la création d’un Institut d’industrialisation des procédés, ouvert à tous ceux qui partagent les mêmes objectifs.
La réflexion autour de ces projets concrets sera au cœur des 2nde Assises qui se dérouleront d’ici la fin de cette année dans le Gard rhodanien. Vous y êtes déjà conviés et nous vous y attendons encore plus nombreux qu’en décembre dernier !
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cONcLusION
“La réflexion autour de ces
projets concrets sera au cœur
des 2ndes Assises qui se dérouleront le
2 décembre 2014 dans le
Gard rhodanien.
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ANNEXE 1
SOCIETE Prénom NOM PosteACPP GROUPE CTI Grégory BARAS DirectionACPP LAUDUN Grégory SAMUYLLO Technico Com-
mercialACTEMIUM-ISDEL Pierre-Henry ICHÉ RAAERGON Rémi AUBERT Responsable
d'AffairesAERGON Florent DIAN Directeur Opéra-
tionnelAFX INGENIERIE Alain FELIX GérantAGALMA Conseil Bruno DAL PALU GérantAGGLOMERATION DU GARD RHO-DANIEN
Michel BARGETON Chef de Service
AGGLOMERATION DU GARD RHO-DANIEN
Mathieu GRIVOLAS Chef de Service
AGGLOMERATION DU GARD RHO-DANIEN
Lionel PERES Directeur du Pôle Développement Economique
AGGLOMERATION DU GARD RHO-DANIEN
Jean-Christian REY Président
AGGLOMERATION DU GARD RHO-DANIEN
Serge VERDIER Vice-Président en charge du développement économique
AISCO Arnauld LAFFAILLE Chargé de MissionAJR Conseil Jean-Pierre BIAUDIS Ingénieur ConseilAJR Conseil Joseph ROUSSEL PrésidentAKKA Jenny WENZO Ingénieur d'AffairesALFADIR Lionel MISSE Directeur Technique
et CommercialALTRAN Yoan BAIZET Responsable des
Opérations Energie Méditerranée
Altran Laurent BASTIDE CommercialALTRAN Vincent GAUTIER Responsable Com-
mercialAMESYS BULL Christian CHORDI Directeur Com-
mercial Energie et Industrie
ANDRA Frédéric LEGEE Adjoint au Directeur Industriel
ANTEA GROUP Ludovic LOREAU Ingénieur de Tra-vaux Environnement
ANTEA GROUP Franck MAURIN Responsable Pôle Environnement
ANTEA GROUP Alexis SADOK Technicien environ-nement
APAVE SUD EUROPE
Céline BATAILLE Chargé d'Affaires
APAVE SUD EUROPE
Philippe CAUSSE Chef d'Agence
APAVE SUD EUROPE
Michele DEBRET Grands Projets
APAVE SUD EUROPE
Younick LE DREN Chef d'Agence
APAVE SUD EUROPE
Christian MASSON Manager Essais-Mesures
APIS RESEAUX Xavier GRIMA ResponsableARDATEM Jean-Noël GOMEZ Directeur d'AgenceARDATEM Georges GRAND Chargé de ClientARDATEM Loïc LOPEZ-PENA Chargé de ClientAREVA Lionel BEC-ESPITA-
LIERResponsable Adjoint Cellule Prospective NucLab
AREVA - MELOX Régis FAURE Responsable Com-munication Externe
AREVA - MELOX Jean-Marc LIGNEY DirecteurAREVA NC Henri JORDAN Directeur Projets
SiteASSYSTEM Emmanuel ARNOULT Directeur TechniqueASSYSTEM EOS Pierre Henri GIORDANO Responsable
DémantASTERALIS gérard CERDAN Etudes et IngénierieATR INGENIERIE Jean-François BANTI Directeur d'Etablis-
sementATR INGENIERIE Vincent PAILHON Ingenieur d'EtudesBATIR CONSEILS Christophe FOURNIER GérantBEC Jean-Christophe TALOUD Responsable
ActivitésBLASTRAC Patrick GRANDCHAMPBOCCARD David BESNIER Responsable des
VentesBOUYGUES CONSTRUC-TION SERVICES NUCLEAIRES
Gilles MONSIFROT Directeur du Pôle Démantèlement, Déchets & Mainte-nance
BRGM Stéphane ROY Directeur AdjointBUREAU VERITAS Laurent BALLIONBUREAU VERITAS Martine JAMES Assistante Agence |
Correspondante SSE | Chargée Commer-cial et Marketing
BUREAU VERITAS Julien MONTEREALE Chef de Service Exploitation IVS
CAP EMPLOI Ali SAIDI Conseiller EmploiCAPRISK Florence METRAL Responsable
ComercialCARRIERE ROMAINE DE ROQUEMAILLERE
Guillaume ALLIER Gérant
CAVENDISH NUCLEAR
Béatrice CHVEIKINE Chargée de Mission
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CAVENDISH NUCLEAR
Arnaud MICHELLE Directeur Energie France
CCI ALES Marc BRACHET Conseiller Innova-tion International
CCI ALES Maxime DARDALHON Responsable du Pôle Industrie Innovation International
CCI ALES Dominique FACELINA Responsable Pôle Emploi-Compé-tences
CCI ALSACE Eric BONNINCCI ALSACE Aurélie ROBERTCCI DE NÎMES Henry DOUAIS CCI de NîmesCCI DE NÎMES Jessy FAVARI Directeur Adjoint
Implantations et Grands projets
CCI DE NÎMES Mathieu LEMALE Chargé d'Etudes Grands Projets
CCI DE NÎMES Valérie SALLEY Responsable du Relais de Bagnols-sur-Cèze
CCI MARSEILLE PROVENCE
Jean-Luc ALLOUCHE Chef de Projet
CCIT BEZIERS Vincent ETIENNE Responsable Service Accompagnement des Entreprises
CEA Christophe BEHAR DirecteurCEA Vincent BLET Chef de Service
déconta du DTCDCEA Olivier DUGNE IngénieurCEA Marie-Paule ELLUARD DEN/DADN : Chef
de programme « Installations de Ser-vice Nucléaire »
CEA Dominique FERREBEUFCEA Christine GEORGES Chef de ProgrammeCEA Cyril MOITRIER Chef de CelluleCEA Laurence PIKETTY Directrice de
l'Assainissement et du Démantèlement Nucléaire
CEA Yves SOULABAILLE Chef de Labo & Chef de Projet
CEA Bernard VIGNAU Responsable DPADCEA CADARACHE Jean-Claude TEMPLIER Responsable ProjetCEA INSTN Marie-Hélène HENGE Chef d'UnitéCEA MARCOULE Frédéric CHARTON Chef de LaboratoireCEA MARCOULE Cédric GARNIER Responsable Com-
municationCEA MARCOULE Philippe GUIBERTEAU DirecteurCEA MARCOULE Michel TACHON Chargé de Mission
Enseignement / Expert senior CEA Démantèlement
CEA MARCOULE Magali VACHER Service Communi-cation
CEGELEC CEM NUCLEAIRE
Bruno BONHOMME Responsable Com-mercial
CEGELEC NUCLEAIRE MAIN-TENANCE
Frédéric PALISSE Responsable d'Exploitation
CEGELEC SUD-EST Lionel LELARD Directeur Com-mercial
CERALEP Daniel ASSELOT Directeur GénéralCERALEP Pascal COSTE-CA-
REYREDirection
CERALEP Xavier LABAT Responsable d'Agence
CERALEP Laurent REGIS Chargé du Dévelop-pement Commercial
CEREZA Hervé PERRIEN Senior managerCHAMPALLE François RENARD Chairman-CEOCIDN François RIBES Gérant
CIMAT Raphael LABESSEDE Responsable d'Agence
CIMAT Vincent RANDE Responsable Pôle Projets
CLEMESSY Xavier BROUILLARD Responsable ATMICLEO Bruno MILHAUDCMI MUON Aldo GRESSANI Directeur TechniqueCMI SERVICES Christophe POTIER Directeur Com-
mercialCMI SERVICES Patrick TEYSSIER Business Develop-
mentCNRS - LIRMM Marc GOUTTEFARDE ChercheurCOFELY ENDEL Eric CHEVALIER Directeur Région
Nucléaire COFELY ENDEL César COURBIS Responsable
Comemrcial - Nucléaire
COFELY ENDEL Cécile LALOUETTE Directeur Délégué des Activités AREVA CEA
COFELY ENDEL Jean-Louis ROBERTCOFELY ENDEL GDFSUEZ
Jacky PONGE Responsable d'Antenne
COFORMANCE CONSULTING
Michel VALENTIN
COMPART SAS Jean SAUTTREAU PrésidentCONSEIL GENERAL DU GARD
Damien ALARY Président
CONSEIL GENERAL DU GARD
Chantal MOUCHET
CONVERGENCE INGENIERIE
Christian SOULIER
CORREGE SER-VICES
Frédéric JOURDAN Directeur
CSSI Pascal RÉ Responsable Commercial & Avant vente
CSTI INDUSTRIE Yves AUBERT DirecteurCSTI INDUSTRIE Nicolas CORSELLE DirecteurCTMB David BALLESTRIN DirecteurCYBERNETIX Frédéric BRIONES Directeur Com-
mercialCYBERNETIX Gilbert TERRY Division Nucléaire
& Défense-Sénior Manager
CYCLONIT Aurélien BALLIER PrésidentCYLCIUM Jacques-Olivier GARDA Chargé de MissionD&S Julien FEJA Directeur GénéralDEMATHIEU ET BARD
Denis DEFARGUES Directeur du Déve-loppement
DERICHEBOURG Roger DOUMERGUE Chargé d'AffairesDERICHEBOURG SERVICE INDUS-TRIES
Laurent DUBOIS Chargé de Projet
DERICHEBOURG SERVICES INDUS-TRIES
Franck DEGRUTERE Responsable Pôle Développement
DERICHEBOURG SERVICES INDUS-TRIES
Thierry LE ROUX Directeur Général
DERICHEBOURG SERVICES INDUS-TRIES
GUY VEIDIG Directeur Com-mercial
DIRECCTE LR Christian NEGREL Chargé de MissionDIRECCTE LR Didier POTTIER Directeur AdjointDIRRECTE LR Corinne BERBEYER Chargée de Mission
Innovation Pôle compétitivité TIC
EADS ASTRIUM Christophe FONGARLAND Ingénieur en ChefEADS ASTRIUM Blaise HOUVINEEAI INGENIERIE Mario SANGUINETTI DirecteurEC COMMUNICA-TION
Philippe BROCHE Directeur Général
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ECA ROBOTICS Thierry GODER Directeur Commer-cial Nucléaire
ECIA Jérôme CAMEL Chargé d'AffairesECIA Christian CAPDET Chargé d'AffairesECIA Pascal MOREL Directeur GénéralECIA Stéphane RENAUD Responsable
d'ExploitationECLIPS Philippe ROBINET DirecteurECTI Yves BONNET Délégué GardEDF Frédéric LAULAN Directeur Dévelop-
pement TerritorialEDF Vincent RENOUARD Chargé de
Mission Relations Institutionnelles et Environnement
EDF-CIDENT Christophe DORIER Chef de Projet Déconstruction Bugey 1
EGI Jean-Louis LETELLIER Responsable Activité
EIFFAGE ENERGIE Francis CROUVEZIER Directeur Com-mercial
EIFFAGE ENERGIE Dominique LEBEAUPIN DirecteurEIFFEL INDUSTRIE Jean-Christophe BLEHAUT Directeur du Déve-
loppementEIFFEL INDUSTRIE Michaël CLUA Responsable du Pôle
NucléaireEIFFEL INDUSTRIE Mathieu SOLACROUP Coordinateur du
pôle nucléaireEIFI Marc COLARD Directeur TechniqueEKIUM Jérôme MARTIN Chargé d'AffairesEKIUM Christophe ZAIA Responsable Com-
mercialELAN DEVELOPPE-MENT
Florence BENETEAU Directrice
ELAN DEVELOPPE-MENT
Vincent FORTEA SANZ Chargé d'Etudes
EMK Laurent SALMERON DirecteurENERGIC Florence HUTIN OBARA DirectriceENERGIC ST 52 55 Nadia ANTOINE GéranteERDF Philippe VIALA Directeur GardERMES Guillaume DEJAVDAN GérantESSOR Thibaut SOULIER Ingénieur d'AffairesESSOR Sébastien TAVERNIER Ingénieur d'AffairesETS BAURES Ludovic de CASLOU DirecteurEUROSCRIPT Marie-Claire ARDELLIER Chef de ProjetEUROSCRIPT Jean-Philippe IMBERTEUROSCRIPT Lada LAUREENEUROTRANS CONSULTANTS
Christian DUHAUT
EVORA Claude FRANCOIS GérantFADILEC Didier FARIGOULE DirectionFIMATEC INGE-NIERIE
Philippe AGNIEL Responsable d'Agence
FIMATEC INGE-NIERIE
Cédric CHEVREAU Responsable Déve-loppement
FONDERIE DE GENTILLY
Philippe GUILLAUMEAU Directeur Technique et Commercial
GCC Bernard PEPINGEOMETAL Patrick BRES GérantGETINGE LA CALHENE
Samuel KERVOERN Ingénieur Com-mercial
GIIN Céline CUDELOU Déléguée GénéraleGROUPE CAPELLE Jean-Daniel CAPELLE Président du
DirectoireGROUPE CTI Stéphane PLE Direction commer-
cialeIAS INGENIERIE Florian EYBRALY GérantIMEX Jean-Claude FAMIELECINCITIUS SOFTWARE
Laurent D'AMICO Directeur Général
INEO ANC Habib CHALAOUCHIINEO ANC Philippe CHAUSSINAC Directeur d'Agence
INEO ANC Sylvain GIRYINGEDIA François LALLEMAND Chargé d'AffairesINGEDIA Sébastien MICHIELS SETINGEROP CONSEIL ET INGENIERIE
Bruno PERNOT Responsable Agence Marcoule
INVEST IN GARD Philippe VIALLA PrésidentINVEST IN GARD Florent VIANNAY Chargé d'Implanta-
tion d'EntreprisesINVEST SUD DE France
Agnès TIXIER Directrice Générale
IRSN Jean-Pierre CARRETON Adjoint du Chef du Service de Sûreté des Transports et des Installations du Cycle du Com-bustible
ITS FUSION Françoise BLAYAC Assistante Com-merciale
ITS FUSION Jean-Marc DECUC PrésidentIUT DE NIMES Jean-François DUBÉLATECOERE SERVICES
Michel RODRIGUES Directeur Agence
LAUDUN-L'AR-DOISE
Patrice PRAT Député-Maire
LE MATERIEL DE SONDAGE
Jérôme XAVIER Expert Radar de Structures
LEON GROSSE Andréa BEGO GHINA Directeur du Déve-loppement et de la Diversification
LES MINES D'ALES Cédric TESTANIERE Responsable Péda-gogique- Option Nucléaire
LIRMM André CROSNIER ProfesseurMAINTENANCE SERVICE ENVI-RONNEMENT
Cécile Franc Chargé d'Affaires
MAISON DE L'EMPLOI DU GARD RHODANIEN
Solen FOURQUIN Chargée de Mission
MAISON DE L'EMPLOI DU GARD RHODANIEN
Olivier RUAULT Chargé de Mission
MGS Laurent LE GUINIO PrésidentMILLENNIUM Bernard BACONNIER GérantMILLENNIUM Célia BARBEAU Responsable
d'AgenceMILLENNIUM Guillaume BATTESTINI Chef de ProjetMILLENNIUM Roger MICHEL Responsable Tech-
niqueMILLENNIUM Sébastien SCHMITT Chef de Projets
/ Responsable Technique
NFM TECHNO-LOGIES
Alban GOURRET Responsable Agence Sud Est
NUCADVISOR Rosemarie ATABEK Expert, Decom-missioning & Dis-mantling & Waste Management
NUCLEAR ADAPT Romain SUEUR Président / Ingénieur chercheur électronique
NUCLEI - CCIR NORD
Nathalie BRAURE - BARBRY
Animatrice Nucléi
NUCLEOPOLIS Serge Bouffard PrésidentNUCLEOPOLIS Stéphane BRESSON DirecteurNUKEM TECHNO-LOGIES GMBH
Jörg STUDENSKI Responsable d'Affaires
NUVIA France Laurent QUERITE IngénieurNUVIA TRAVAUX SPECIAUX
Christian BRINGER Chef de Projet
NUVIA TRAVAUX SPECIAUX
Sylvie LANTHEAUME Chargé d'Affaires
O.T.N.D AGENCE INGENIERIE
Christophe ASTIER
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O.T.N.D AGENCE INGENIERIE
Jérôme GANIDEL
O.T.N.D AGENCE INGENIERIE
Didier METRAL
ONET TECHNO-LOGIES
Maxime MICHEL-NOEL Directeur Com-mercial
OREKA SUD Luc ARDELLIER PrésidentOREKA SUD Romain BREVOT Chargé d'Affaires
IngénieurOREKA SUD Claude RODI ExpertOREKA SUD Cécile TOPORENKOOREKA SUD Lawrence WHARMBYOREM-ASTRE Baptiste AUTIN Responsable
d'AgencePHIMECA Joelly VANNIER Chargé du Dévelop-
pementPNB Claudia ROCHE Chargé de MissionPOLE RISQUES Jean-Michel DUMAZ Chargé de Mission
SécuritéPRECI Serge CRESPY Co-GérantPROTEM Lionel COURTIAL Responsable Com-
mercialRAZEL BEC Rémy JENNEPIN Adjoint au chef de
centreREEL Jean BURY Responsable du
Développement Commercial
REEL Didier SARRO Responsable Agence
REEL Philippe TILLETREGION LANGUE-DOC-ROUSSILLON
Christian BOURQUIN Président
REGION LANGUE-DOC-ROUSSILLON
Bruno GARDE Chargé de Projets Déchets
ROBATEL INDUS-TRIES
Vincent PORTNER Directeur d'Agence
ROBIN Aurélien ROBIN Responsable d'Agence
ROUMEAS Jacky GAUTIER Directeur Com-mercial
ROUMEAS Jean-Baptiste JACQUET Responsable du Bureau d'Etudes
ROUMEAS Jean-Marc ROUMEAS Président-Directeur Général
SALVAREM Bruno AGRET Chargé d'AffairesSALVAREM Rafael TERueL Directeur RégionalSARL PROMIMMO Jean-Raymond AMBROSINO DirigeantSCoT du Gard Rhodanien
Claire MADELAINE Directrice
SEGULA Eddy MOREL Directeur Branche Energie
SEGULA ENGINEERING & CONSULTING
Eric LAURENT Directeur d’Agence / Responsable Régional
SELE Francis DA COSTA Directeur RégionalSELE Louis DECHAREN-
TENAYDirecteur d'Agence
SEMATEC Laurent DUNY GérantSERES TECHNO-LOGIES
Damien BROUSSOUX Directeur de Site
SMTS Daniel CANAUDSMTS Gérald TAILLEUSNEF Michel HERRADA Responsable
ActivitéSNEF Stéphane LE MAO Responsable
AgenceSOCODEI Jean-François RIVESSOGETI HIGH TECH Michel GUIGA Directeur Conseil
et Management de Projet
SOGETI HIGH TECH Thierry JUSTICE Directeur Conseil Sud-ouest
SOMEZ Wilfrid BALMER Directeur Opéra-tionnel
SPACIOTEMPO Valérie REYMOND Responsable de Marché Industrie Sud est
SPIE DEN Arnaud CERE Chef d'AgenceSPIE DEN Benoît-Pierre MARC Responsable
d'AffairesSPIE DEN Jean-Philippe PEISSELSPIE NUCLEAIRE Florent JEANSON Responsable Com-
mercialSTART PEOPLE Aurélien ROBIN Responsable
d'AgenceSTÄUBLI RACCORD FRANCE
Jérémy ORTILLON Coordinateur Nucléaire France
STMI Franck CHARRASSE Responsable Cellule Etudes
STMI Alain COCHET Responsable Com-mercial Division DPE
SYSTHEIA Stéphanie DHOMBRESSYSTHEIA Sylvain GUARY DGDTECHNI'MAT INDUSTRIE
Patrick SCORSONE Gérant
TECNALIA France Cédric BARADAT Directeur Techno-logique
TRANSFERTS LR Jean-Daniel WOIRHAYE Conseiller Techno-logique
UPE30 / MEDEF Eric GIRAUDIER PrésidentVENETRANS Claude ROUX GérantVEOLIA PROPRETE Pascal HOUSSART Directeur des
Démantèlements et Déconstructions
VKP Sophie GLOAGUEN Responsable QualitéVOIX OFF COMMU-NICATION
Sarah DAMANE Chargée de Déve-loppement
WESTINGHOUSE Thierry ALLEGRINI Responsable Démant
WESTINGHOUSE / ASTARE
Josselin GILLOT Directeur Général
WESTINGHOUSE / ASTARE
Thomas MARTY Responsable com-mercial
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ANNEXE 2
Le centre CEA de la Direction de l’Energie Nucléaire de Marcoule : au cœur des enjeux du démantèlement.
Avec environ 1 500 salariés dont 700 ingénieurs-chercheurs dans une trentaine de laboratoires, le CEA a fait de Mar-coule son site de référence pour les recherches sur le cycle du combustible nucléaire (traitement et recyclage des com-bustibles usés et gestion des déchets radioactifs, cycle du combustible pour le nucléaire de 4ème génération).Les activités de l’établissement comprennent également la maîtrise d’ouvrage d’un vaste programme de démantèle-ment des anciennes installations du site : réacteurs G1, G2, G3, usine de retraitement UP 1 et ses ateliers, l’Atelier Pilote de Marcoule (APM),… Il s’accompagne d’opérations de re-prise et de conditionnement de déchets anciens. Dans les années à venir, le CEA débutera l’assainissement-déman-tèlement du réacteur PHENIX, et des réacteurs CELEStINS.L’ensemble des opérations d’assainissement-démantèle-ment menées sur le site de Marcoule représente de l’ordre de 300 millions d’euros de dépenses par an.Enfin, les équipes du CEA Marcoule assurent le pilotage opérationnel des chantiers de démantèlement situés sur les centres civils du CEA : Fontenay-aux-Roses, Cadarache, Saclay et Grenoble qui vient de se terminer ;L’objectif de la direction de l’Energie Nucléaire du CEA est de valoriser au profit des industriels la R&D qu’elle mène et le retour d’expérience acquis dans le domaine de l’assai-nissement et du démantèlement.
ContactDominique FerrebeufConseiller auprès du Directeur CEA Marcoule T. 04 66 79 52 96 [email protected]
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Retrouver toutes les prestations proposées par la CCI Nîmes surwww.nimes.cci.fr.
ContactJessy FavariDirecteur Adjoint Implantations et Grands projetsT. 04 66 879 [email protected]
La CCI Nîmes, présidée par Henry Douais, soutient le développement des entreprises de la filière nucléaire à travers 3 offres :1) L’offre « Innovation » d’INNOV’UP, rassemblant l’incubateur technologique de l’Ecole des Mines d’Alès et le Centre Euro-péen d’ Entreprise et d’Innovation de la CCI Nîmes, 2) L’offre « Industrie » de FORMEUM, le centre de formation professionnelle continue de la CCI Nîmes,3) L’offre « Compétitivité des entreprises industrielles » : déve-loppement commercial, innovation, international, investisse-ment, développement durable,…
La CCI Nîmes participe activement à la co-construction du projet structurant de valorisation de sites industriels (PVSI) et apporte un soutien opérationnel & financier à l’association CY-CLIUM Nucléaire et technologies. La filière du nucléaire est un enjeu pour l’industrie française, et le démantèlement nucléaire, un chantier d’avenir dont il faut structurer et professionnaliser l’offre « France». Avec la CCI Nîmes, c’est l’ensemble du réseau CCI de France qui mobilise ses ressources dans cet objectif.
« Nous représentons des entreprises installées sur le Gard Rhodanien et intervenant dans les filières nucléaires et technologiques auprès des grands donneurs d’ordres. »En 3 ans, nous avons fédéré 38 entreprises d’ingénierie, de tra vaux, de maintenance et de services généraux représen-tant 2 400 collaborateurs pour un chiffre d’affaire cumulé de 240 M€.Rôles et Missions : Promouvoir et développer le savoir-faire des entreprises lo-cales ; Favoriser les relations inter-entreprises ; Être un partenaire privilégié des donneurs d’ordre et des déci-deurs locaux et nationaux ;
Valoriser en terme d’image la filière nucléaire régionale voire nationale ;
Maintenir et accroître les emplois sur le territoire ; Maintenir et accroître l’activité de ses membres ; Accompagner nos adhérents à ce qu’ils devront être demain.
Nous sommes fiers de co-organiser ces premières Assises et de construire tous ensemble le projet PVSI.Venez nous rejoindre : Réunissons nos énergies !
ContactPatrick Scorsone - Président T. 04 66 879 [email protected]
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Par ses compétences et ses services de développement, l’Ag glo mération du Gard Rhodanien œuvre pour renforcer l’attractivité de son territoire en favorisant l’implantation, le dé veloppement et le soutien aux entreprises.
Positionnant le développement économique comme l’une de ses principales priorités, elle structure son action avec l’appui de son pôle développement économique et prospective terri-torial, ainsi que des partenariats forts et un réseau associatif dynamique.
L’agglomération s’engage auprès des acteurs économi ques de la filière nucléaire en soutenant les assises du démantèlement et en saluant les perspectives offertes par la création du Pôle de Valorisation des Sites Industriels (PVSI).
ContactLionel PERES - Directeur du Pôle de Développement ÉconomiqueT. 04 66 79 38 08
Invest In Gard est une agence de développement économique soutenue par le Conseil Général du Gard.
Ses missions s’articulent autour de trois axes clés : L’accompagnement des entreprises dans leurs projets d’im-plantation, de relocalisation et de développement (recherches de sites, financements, partenariats, etc.) ;
Le lancement et/ou le soutien aux projets structurants pour le territoire ;
La promotion du territoire à travers diverses actions de com-munication et de prospection.
Invest in Gard et le CEA de Marcoule ont initié en 2011 la dy-namique PVSI (Pôle de Valorisation des Sites Industriels). Cela constitue aujourd’hui un axe de travail pri mordial dans la feuille de route de l’Agence, tant les oppor tunités de développement économique sont concrètes et fondées.
Contact Philippe VIALA – PrésidentT. 06 30 55 11 54
Florent VIANNAY – Chargé de développement économiqueT. 07 77 86 53 36 – [email protected]
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Contact Stéphane BRESSONDirecteur. [email protected]. +33 231 452 968www.nucleopolis.com
Autour de leaders mondiaux comme AREVA, le CEA, le CNRS, EDF ou le GANIL, le pôle Nucléopolis fédère les compétences industrielles, de formation et de recherche disponibles en Normandie tout au long de la chaîne de valeurs des sciences nucléaires dans le domaine de l’énergie, de la santé et dans le domaine transversal de la maîtrise des risques.
Créé en 2010, le pôle a pour mission de favoriser l’innova-tion, la R&D au sein de ce réseau et de créer les conditions d’un développement économique générateur d’emplois. Présidé par Serge Bouffard, directeur de recherche au CEA, le pôle compte à ce jour 60 adhérents.
29
8h30 – 8H55 Accueil
9H00-9H25 Transfert en bus vers l’ICSM (Marcoule)
9H30-11H30 Intervention des grands témoins
Mot d’accueil de Philippe Guiberteau, Directeur du Centre CEA de Marcoule
EnjEux dEs ProjEts dE déMantèlEMEntCEa : laurence Piketty, Directrice de l’assainissement et du démantèlement nucléaireEdF - CIdEn : Christophe dorier, Chef de Projet déconstruction Bugey1andra : Frédéric légée, Adjoint au Directeur industrielIrsn : jean-Pierre Carreton, Adjoint du Chef du Service de sûreté des transports et des
installations du cycle du combustibleVEolIa Propreté : Pascal Houssart, Directeur des démantèlements et déconstructions Les interventions seront suivies d’un échange avec la salle.
11H45 – 12H20 perspectives : le pvsI
Intervention de Cyclium, du CEa, de la CCI de nîmes, de la Communauté d’agglomération du Gard rhodanien, de Invest In Gard et de nucléopolis. sous le parrainage de Monsieur Christophe Béhar, directeur du CEa et deMonsieur Patrice Prat, député-Maire de laudun-l’ardoise.
12H20-12H45 Retour en en bus vers le forum de LaudunL’Ardoise
13H00 – 14H30 Déjeuner Business
ANNEXE 3
30
14H30 – 16H00 Ateliers : le démantèlement de demain
atelier 1 - Les évolutions techniques / technologiques à réaliseratelier 2 - Organisation de la filière du démantèlementatelier 3 - Besoins en ressources (compétences, innovation,financières,…)Une mise en perspective précède chaque atelier. Tous les participants abordent les 3 ateliers.
16H00 – 16H15 PAUSE : GRAND jEU DES ASSISES
16H15 – 16H30 Restitution des ateliers
16H30 – 17H00 clôture des assises
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www.assisesdudemantelement.fr