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T 70* Année. ]y« 99. A B O N N E M E N T S, "Jï’Æ r w,i^v Paraissant le D imanche et le Jeudi. 16 fr. 8fr. Air. 0” “ ......... 12 fr. Six mol .... 6 fr. Urois mob. s fr. 3 £j .... 0N S'ABONNE : i*!^&£îïïa; v1 ' s = i s » JOURNAL OE C O U R R I E R d e L ’O I S E IVOM J ,ver‘*»s°,,s no. lecteurs que M. Zanone, marchand do Jour- ÜLOIvîlKI r ‘T ' est M. Hbralre, rue du Châ. tel; l’autre déliât est ,1 l„ «■„ . w bT„^î^"hMM'TER~ ^x“ JET r ^M Æ ^ u 1"8: 2 8,M oIsCS * " ■ «M e» llelloi”* M aison LANGIGNARD bourg- Saint-M artin. * U" BULLETIN S enlis, 9 Décembre. Les ministres, réunis hier en conseil à he/doeÆ atT é8e“‘é 4 la ai8"a“ r r ar- J ‘,ar.6 lo», déclarations que" féraU à t Chambre le ministre des colonies La discussion dei budget de ce département a été marquée, au Palais-Bourbon nu important discours de M. Etiemè. ds“ l1 X S 7 ^ i’audUio“ pas eu d'incidents g y a pr831“8 j^ w s Ê a M j? décisions devraient faira lni n ’ dont tas i " v L ^ e T o t a - p ’; 0"1™ ‘ d,,é" d da »«™Ç0“ . d’f ™<"> 8éoéra, 4 .W S s hed U irr.a“ CrosCaUI“". » «ré"'. à d8 ta “- H # -3 B Les Sociétés de gymnastique. r e t a l a s connaissances e x ï K ÿ /n S A la W aîrtS i'S fÏÏft,^ gff i-.P » Parait possible de lo ré a Z ’r .?é.°7 t.S a ‘US! fin11mS,>ir0n8 en faveurdes Boers sem uuSh A S r /W P h ’ T Boers ’ï bC™ *"? t ‘'«r iïïSiïS!.:™ ET T ïïtt H : * ' ' h 8 8 1 B “ “ “ l • *D8l8lS ’ * I parMt‘ ™;,”|(),rB ''do“ l , Cers™ ''- " « O l s r é l m i r a Jom taïbilitaŒ t ,?oPn°tr d 'lo“ ,. ' liéA'!aci,0!- rn ,{” '*J' »v« solnl 61 a f™ " 1» M B K & gasS !1 *— sssaSsS5rttt.es . * Leyds, à W„I? ddoS?h!“ é aU doale“r le s Assises de l’Oise. nombre^des* S J ff.“ og«’ q « » t au blableinent soumises au j u r/ ^lon/teMuis Dimanche 10 Décembre 1899 u P U r e a u x o.,,,, "' . ..... '"""alioo, in ' ..... 1111'MP-l-do-viiie, à Senti,. Le Journal dk Skm T-réZTu .• a l'airomii , m ;„ I n Z ie f^ Z s ! ^ l’R'x nés insertions Annonces : la l i o , .. „ . . ' ; !c,wn®8 •',a % ne, 0,40c. o,, ........ ,rs ,0 •'«"P. 0,50 c. °" 11 «ct""'1. pas d’Inserliou au dossous pe j fr Los annonces, n!chmii« 1rs lliW l,.noo..^.. '■.Ie <ypc«r.iqBt Paris et du Jïnirual. ‘^ aaé®J *»««saenl aux bureaux I P l^ e n p l u r a ^ T r t n8laiS, “' W «8 BÏVVS-SÆ E F f e s s æ s elle! n E .é d®corre8pondre entre elles. Décidément, c’est dans une bien re,!lMa' entl;re 1“e Chamberlain ain- I wnsiderément lancé son pays. INFORMAT IONS Conseil des ministres. 9 | “ mire plus etaT ° " de fer’ ,D“ d» 18 Les Sociétés d ’É tu d o a m ilitaire s. .Io n 0 !!iv r.e „ T ? o „ c i , na'né ! “ r s'ue i' r mU“ iM - œasé?1® w - Monsieur le Directeur, 30 novembre dernier ne.m ?,a . ^ournal du t^pléîeMe çbl0^ 001^ ^ 601^ aves émises. 1185 81 çlaires 6“8 vous y vi^miUtaireUdégiaVà Îto B I Ï 1' ' le !er' passent une parlio ou p l f f i e n l i ™ ? Nons «“> de leurs loisirs à aonrendr. draD8e Partie les Sociétés d’éludes^idi.irZ m,Do!La!?0f,t dans T'ir i À yecs0ln- a * n ie M ™ d e M s S SC) S é s d s u % 'M SS'l,"e ’T a Frjince. I.o nombre s’nn r ^ i ,u'1 con,lt!nt . lonpé. nprès I . pne-rè ,j" 187,1 ,PÙ ment .^éva-' celui de o s Ldétéj i T l ? l al",i“dr; I 1on en compte 6.303. Allemagne, où pérer'de melhnîr^refuUaià dji' Permettait d’es- I m^nWuimélfque d^^ Q c ié^ a ^ l ’aelrm^ I gens i y entrer et si l’nn ln dlid pas *0S Jeunes M W d T ." ' da™ “8^d’ pbospnm8 ms“ a ytudepe^Sv^t^l'i^**-^ l’at- devanoiers? Nous rflsnrfrftno ü ^ues*uns ses exigences de la S K l i ™ “ £ lla,!i'*L *™> les He 56 ans’ d8“ 8“':a" ‘ d lobro, assésliria! p o u r T e T o ^ T v"'0" rentier célibataire M rhJSj. S ' leux aîèS 'fti.» m m s ü i i i m a w S “F*'K ,,si ü » S i£ à la°pumdéeu/B' d° é° ^ è‘° mS- P»“8 SENLfS Tribunal de Commerce de Senlis. suivante"; ° deUt “»“* adre5so la lettre ^°tlT'Inilisf D’recleur du Journal v o f r e / o S l |m iir fe Z T r titT de consulaires qui ont biea vmin le 1 déie“rs jwi® S ' 5 s r n moi' ssssjis ”ou™ on.e b!!,”,,“ m ’r u s ? r0ldr1 c e 111’' ^ œ i r f aahagd»aB8^ dimane! K Senlis, 7 décembre. E' ° D,!:''1' ïSk5S « s^ sion n’a pas nonsé XnJ SI L” 8®»,a commis- compensés par Ja pm loSalîi!?! g68-soiont contrat. prolongation excessive du a uS plusP si ' elle ^croft pai tir de ce jour. P à 30 ans 4 Conseil municipal. les dé- l - S a S S » " •'s"* I S*?!'?*?'" I teitûueo; , “8 de “ eauvais, 1 l'archevéché |fcS& S3SH "’ d' a«P8 de Hodex, à l’archevéché l f “‘î “i!a"'’ 8vadPe de Fréjus, 4 l’arohevêché ïr.îîK ds.ëvd<l"e> : do il!ib .sî?Jl™'î.edr< d « S 'a ^ ^ ^ o c h ja c . I^ .s , r rt d° saini-M8"8’a ds M °a,psi‘ |h * * éd eF rt”„, “.1’ cbanoipe de Marseille, à b i!S ? i^™ “b '8ilinl'J'c<IM a de I1 ^Véché de Pwpigcïï ! ’ ïi0alr8 «ta<!ral d’Auch, le» Sociétés^d’« ,lïï^K f c « S * » i e . t dan, sauces spéciales, oui 8Brnni aÆ î , s “ PPele- pour leu? instruction ü grande «Uité que leurafliM?raai°n d 8°1ee1 c0,esi au niveau des connalsssncés'mliHf“n0nl l0“i°Prs «ux jeunes soldais el smam m S BBf‘eaées entre leur, m.ins sotant du’ modlle™ ïleme„! A ces conditions seules, les Jeunes nena a» instructeurs 4 leur tour g 81 s8Ial8P‘ boP» »ïs: f i88 Maladies contagieuses du bétail. ëxigenôes'de ï.“ Z f f fa“ ili»rlVés‘ 'a v M ,i ï ï l , u , s ' “ “ '! i i î ' < 8 de novembre. ja S S S ’S L ’s iï i § § s ë Ü Les cas observés se répartissent ainsi • ■éLrond'Memtnt de Béarnais r» u„ SSîfKÆïdS porslion. L'armée Î T V rZ aïa“‘ '™r = ! a s S a r ' H . BAnTHÉLEMV. faisons S e T rs^ b î r 8?-1 Jus" 0é 81 no»8 peur .es aqo c ié tïï^ u ! ea?ioP nlam8i l ^ ! ? c ! 'iiSOa ________________ G. V. Nouvelles m ilitaires. cependan?blanUa '^ ^ d d u c a l i ô S ! S S m L’idée daqfI.ir«UnleUr80ra d’une »r0Dde utilité, ritém ffi^ exécuter. Est-ce que déJ4 les volontaires d’nn en, pour la cavalerie, du moins ne p.L.lem f,a3,"n «ap i88 d équitation avant d’élro admis? I s S I s «a pour accomplir son servira miStalï? Symn5!Æ.“ ''« -d ratttsd l M m Ê m M arine nalionale. et t artillerie de marine. ienI'.eimi"islre de la marine a décidé que àoétisuqeUne? eeils qeir é compter du (,r aoati809, contracteront un engagement vo- j ,r8“ dans l’infanterie ou ÎXniL mar|Pe, ne seront envoyés aux colonies que sur leur demande écrite dans lic’nnte *8"î. P8“rront ainsi accomplir, temps derarvice. 88’ Ia l°,alM de ^ malltdn1® ! ? ’ e“ °“lre’ l ”8 18 consente- ment du chef de corps n est pas nécessaim pour contracter un engagement volontaire dans les troupes de la Marine yo,oniaire uoy-uuuiére, 2 . patriotes. Agréez, etc. CHRONIQUE DÉPARTEMENTALE p ittS lïa iU o n ft^ S Lamy, a quitté Paris samedi matin, à neuf à Ramboîn mgT Mon(.Parnass0. «e rendant a UMbOBillet 01! une chasse a été organisés en I honneur du bureau du Sénat. veau™ ' “ é* 6lait : “ ■ Franck Chaa- Un de eo> lecteurs. dS “fS » s F e S e f d'“n ^ 'a La Chambre des députés a adopté. Ont voté pour : tous les députés de l’Oise. ny r : \ 1, LaDeriiere, \ ; Bau- \ , Gournay-sur-Aïonde, t ; Atonchv. Ch0vi5court’ *; Machemont, t. Arrondissement de Senlis. — Nogent-lés- suivantes1™* maladi8s obs8rrdos sont les n iï Jîi* ™m t°n sur un troupeau 4 V? 2? Martm> canlon de Betz ..n^Æ 16? tnra9é à i’ont-Sainte-Maxence, riornîl Se“ P'»ny. canton de Noyon ; ce fn.rrnA * pt° “ lrois P0r8°nnes qui sont soignées à l'Institut Pasteur. _Le rouget du porc a été constaté sur un animal à i abattoir de Compiôgne. l . rla tuberculose a été reconnue sur quatre à r.L nT a 8 V abs.“8ir de Beauvais, deux de No,on. “ C8mPi8«ue et une à l'abattoir Andrieu, Vétérinaire départemental. La Question du Gaz. hieLre sS!> rn!en,lraUd''iiT i!!,h e,Senlis S'8SI «*»»! 4 I notel-de v uî ' hu 1,18UI'8S 8t demie, de IKarii, m aire * ° US ‘>résid8nc8 d8 «■ s S S ^ S v » » ^ z à i S ‘Æa! sacïiy*,611.* ’ ^ ^ ’.^bidquot, tlensse' et De- e».1 paPra, S , i é d a L Sta l'gea Æ er^ H ^ 'intérêt de la quesSon* portée 4 IV . ” ?6 de‘ \°aau*bae ? r ^ ir e imr r “^ «• lente a élé aussitôt saisie. Élio s:ëst “réunie d urgence et a examiné la question avec lo désir sincéie d’arriver 4 L solution La c inmission n a point fait de rapport et a chargé le Maire d eimmnr «ou en„m„ juur. la'“ t raa P F S 'S ^ M W ^ proposition en ce qu îo u ra™ i'T iT !°"la par l'électricité. uceine 1 éclairage pri/o'rw™ Bn’vVpas'îeu r " ” 1 d ° " n é los Plus «lie proposition. acc8Pl8r non i u .'s l n ! « f/ ü o f m i o ° u IJS ù d ; r i<,,Je ' ' f 013*™*;® <J. s rage lion J J“|« jü,Z s de cmi '« 'f til - que toutes les grandes ar e, l l p0S8 d.0" 8 ;-S5ï;ï;s-£ ï SSSB s' v S"” oliarge do la Compagnie 1Uâla,‘«tioa à la cer" A°s, ’i'l , a'"al1 sultats its'Vremferrjou^s d°uuk f 6 ’ b°ns rd* é fait insuülsant. P devient tout I.e Maire remercie M seignemont; nuis un ao’ll hÎS l * co. r e n * Au0* / ; S ri i CS ^ 8r, “ Principe 1 /,™ lions qui l’ont adomé et adoi'D,f,ra* pum ien74d!;pq0Uues!aeiP[8Pas‘‘ia? de M. Le- Par ia Compagnie, nui/?,« *!?,"'*<“ "'foin ['établissement de nonvoim. f i.'81 P,0.P8S« rulm lait de rapport et m niS vv-alre c* exP°ser sos conclusions. 1 suri il S ü .'? ? .1»™ d8 .1» Plaques de bicyclettes nnÏ2J?2urde.cassalion» par un arrêt du *0 novembre, vient de juger que celui qui 2 Z r6'î8'!‘ a“? Proscription d'un arrêté préfectoral, fait circuler sur la voie publi- ri’idflïtiiA ij10/ 016110 dépourvue de plaque noilomi . contrôle, commet person nellement une contravention audit arrêté et ne saurait être relaxé par le motif qu’il a t n n ’ii f . * 1,8 propriétaire de la bicyclette et qu il l avait prise en location. n r K ? .^ 011? “tile de éigoaior cotte juris prudence, qui intéresse la nombreuse clientèle des loueurs de bicyclettes. départ. d° rérifler 16 Tdl° aTanl 18 |0i „ , u , “ ao,ul8 aiPrs lecture de la i n o. Lompagme, proposun: de réduire g®!*? Pou.r ’a ï|lle comme pour les particu liers le prix du mêlre cube, d'ériger 4 ses mn? ,r u.ne sdri8 de lanternes augmen tant dans des proportions importantes la puissance d'éclairage de la ville,^ de crée? une station d électricité, etc. En écliange elle demande une prorogation de sou contrat é-t’rn - xi ““droilde voiene s'étendant à 1 JoO. Nous avons, d ailleurs, donné dans deJceUUe‘î!Jürae.ré5Umé lrt* MaCl 81 c0m‘,l8‘ Ces propositions, dit le Maire, reprodui sent, en somme, celles présentées déjà, il y a quelques années, par la Compagnie, en v ajoutanl un élément nouveau qui constitue f i n ““ abaissement de ses préJ ten ions . celle qui coosisie 4 réduire à o 2S au lieu de 0,30 le prix du métro cubo. Cet abaissement n est qu'apparent, en effet, car en plus des ii ans de prolongation qu’elle S " ? d? \c,î (,Jul “nouerait au*contrat Sue Fa r n m a30 ans 4 Partir de ce jour, .,n drëü ? 8 prél8lld eacore obl8“ ir eu sus r/rea ,™ ri8 poar 80 " ““voiles années. La réduction de prix proposée a son im portance: elle constituerait uu avantage réel pour la ville; mais l'inconvénient d'une E u 0Ffrn>0F,Hde d,8il d8 v“iaiie jttsqu 4 b offrirait des inconvénients plus grands S W Cexdroil de ï8i8ri8 serait un mo- nopoie déguisé : aucune autre Compagoie “8 p 0“rrait lutter contre une Société qui II!f p P 0856851011 d ’é t a t , p o s s é d a n t u n e canalisation toute faite, une usine touio construite, eutln un matériel complet déjà LE PETIT-FILS DB a bta g n a n PAR I *• SIRVIîiv & a . SIÉGEL r> » o era? n0“ 18 ma“™is ange de ma t kieii ? et?VF O"80™ rencontré. Est-ce l'M on ^ J° ‘ igoore. Eu |fiiiie.n lour’ "isiolenant, petit y0an- C .R M u !VF""m!u,'îm|8n,o,a as ,écu do- R 1 '; raconte-moi A prance pour la l ',l0! joies ,' ? aventures, si lu en T ; Plus )i,.urp 88 iostesses, les amnuis. b * 8’ S î1’, Peu U être t 0" vil, , u , n7 0enldéalel'" 08116 P““r c**.. m a °n ne meurt pas pour nm. 1 surloüt n’nnK. m®Url Pas P0“>* E P grandes ’ aa J6 l"6 ™ " » — £e te dirai tout. — Tout î — Oui. — Même les amours f d i voixes„mbrearaOUr8’ “ ~ Dioblel pensa d'Artagnan, il narall jsasB p a b & dS r^ ^ 1 Ï Ï ’? ? 9 a,ora Quatorze ans, moi onze * Déjà, tu annonçais nnm> F ^ « i S ¥ - où, e 'r ^ i v e r S û t ^ T n T ^ h 6^ sonne, constituent dos dénenses loin ôP?n^ '■ rS a rS ? te ffîssrjs& tiizsr particuhers absolument Négligés" dan, i échelle desceudanlaries prix Dar exomnlF prévoyant pour là ville uSe d i m inS^ raison do la consommation de gaz il n'est Pas quesuon des particuliers. Les avantages FF??, n v 8 a bdnéticié depuis igga .ai,. pourrai, malmenant eu faire nroliter le, particuliers. M. Fautrat conclut en d eL n dam que la proposition de M Lenetit toi? reuvoyée 4 la commission P 011 :'l,," re demande 4 Si. Fautrat s'il re. prend la proposition de M. I.epeiit. rnm', du que les propositions de la Compagnie le,idem 4 donner satisfa'tion A “ rmedU e '/e r S 1? prop8sa a" W bien que pour la ville Parl'CUliers aassi vile. '*C eùssCbîen1 que pourla l’article t’y ilulraD é." ^ C8'a ^ da S S S S r S S S î »ot: no.y3g °Pu0r ' ? e aso , nÂiA , -«'mib quatorze ans, m datJM d être conservé gratuitement parmi fes élèves ensemble!m ° 04 P8“ “ »“» - S p l S a * ? m û 8?s.Pas ,e “ émè bonheur. « Hélas I je ne suis pas comme toi le descendant d’one race de héros « Jetais encore trop jeune, d'ailleurs pour donner des espérances " “"lu"!*, € On signiOa 4 ma mère que, ma pension FEcole. P'“S Payé°’ e"° 841 4 ‘““ reUror de « Ma pauvre mère! ses ressources étaient bien modestes, hélas I c'était 4 peine ,îles maigres rentes laissées par mon né™ Si permettaient de vivre. p charge.0"28 Jb ne Toaln8 P“ «ire 4 sa ouSli'!éS«^,F,râ,ce àn la b8118 éoril»™. en qualité de pet t clerc, chez un procureur « Mai, je n y restai pas longtemps. rliW iVV?,?1 pn ôtr° mllilalre, j'exprimai le Boréemonprérer prof<’" i o n q a 'aT4“ h°- ■Urj. | norée mon pére, lui' voulnt r o? 8Uî amis’ embitecte comme par déj/catMsel me X n’na tout f,f,P ,Sln “ enl8 do commis. bien que je ne fusse qu un apprenti incapable de lui ren? dre le plus léger sorvice. a .V J™ 'M .ansl j'avais treize ans, et, gréce 4 ce brave homme, au lieu d'être une ciiaree pour ma mére, je pouvais déjà làidor ïn .ou. 4 "ail orphe,nS/ftiS T Æ d^SrSa”.1 tron, ne m abandonna pas, et me dit : . v ma Camille sera la tienne puisque tu n’en as pins. ' m.e donna une chambretle dans sa maison et une place à sa table hJa h? 3 F 0* ? 8 étaienl rapides, car j ’avais hâje de répondre par mon zôle à sesbien- ass^rA0^ . , ^ * 1! 8 annonÇait modeste, mais s’aggravant vinSS .lronb'os Politiques, en eaiSSs la süualionSje «"trSi/d* P l“ S PrÔ- !!!h3ï i r S8”"b -a8S^- so nges it q u A d émoi il" Un ‘8“>P8 64 pon ne malade S lt/^/eSfSSiÆ T e v 'S r 8 g a g e r r e m m e ' io“i p a B leVr! Z liiL T .U ™ i.F.Î’alî.1aal0™ ““*• Co n’était Das «n- core 1 âge d un soldat ; mais j’avais entendu M u? Ï S f iW ’ daD.* C ï Jeunes qu” œoL dM enf“ u e0M™ p'“* ®^rnard» qui se regardait comme de cela lî’me V° pas 6"l8n(ire parler ae cota. Il mo trouvait irop chétil — et e dats à la frantîéT 1 ~ P°“r S“i,re ”8S s0‘- f npV4 :id8 mr,ïsd8 /a& * le pam pour lui et les siens, il se résigna a ouo séparation qui lui coûtait autant q ï’i Il * «T n “ P?rli,ra8 Pour la Hussie, me dit- Paul nni n'?’ g6."«r08it« d“ grand-duc raui, qui n a certainement Das ouhlié in promesse faite au lit de mort de ton nère t'assurera un avenir convenable P 8’ de’mnn s'adr6888 4 d'anciens amis in.iî » lenr exPosa ma situation, les f t! 8SaàT n .80rlp et* comme plusieurs i “ rî, eux élomnt riches, il eut bientôt réuni 1 argent nécessaire à mon voyage tu é tî® l'armée1”01",'6mbrasS8r'' oar 8a n 's t p p , Œ ^!r„?r,''K S me rouira a Pétersbourg. ‘Ear0p8 pour « Dans'Cette.ville habitait un Français commel?!’, ? °rS joailli8r d» la coireSno,' comme il | est encore à présent. guS dâtee m w ii?Uîi,ec2nnais8ait de lon- j a .m avau donné pour lui. avant . M ü8/»?"!1 /? 6 ,'10, voootntnandation. 14 B.t.m hVi' d, Jî ,orl r‘obo en ce temps- ta, est un hommo dur et égoïste. sisîa âïrè. T ’11 fournit con- oneà iônrt^i r I °ihlc58 bo4Pilalité de quel- pour md nerm!!iii8a’ obM “ «“ “ “ires Sue danaSm Z ih opprocher le grand- inna’it ovûa ? résidence ae Gatschina, oû le . .,a l "l a e ’ “ “ <r8' « Mwi o était, on somme, tout oo que'Je 0 la très pe- réclamais, fort heureusement, tite obligeance de Duval ni,niiPaa. “oouoiliit noblement le pauvre or- S io te -fr^ S u S 80" d 8 t8 r “ a p “8- u n l.S œ e lrc o lS F e -S S 1818" " — Donelfl s écria d'Artagnan, est-ce re- saret1 aé!é1rA4 | PrdSe'>l daas les armées du tsar eta été fait prisonnier 4 Zurich ? sw m m atlaution et une boulé dont je îài ear derai un souvenir éternel... C’est son m. qui est maintenant général dans l'armée de’son'pôre row,*ch a hérité des venus .«™ * f f .d r s u r 1u„d8i à , a,”i i ila^ m* -«S iîriï'AsaïSÎ Ç ÏÏftÆ i soit longtemps. Continue,- Jean-Baptiste é pardonne-moi de t'avoir interrompü ’ ’ — Je roprends mon récit, fit Collet à S S S S S tout d’abord un nmit „aLu «,vr” «u8,ua0r tout d Abord un petit péculorPum T ïïft Ç;0!6 dos cadets, me destinant admettre a l’Lruie uos cadets, me 4 servir ensuite dans ses gardes. * Ie “ al pas besoin' d'ajouter que ma P6 ",? 8" 1"8 fut toujours servie areo pono- I uallté à partir do « momsot. Elle me fut ' même augmentée quand, à l'ége de d!, h,,-, ans, j euir.ii, avec le enri» ri’ « lx~nuit ta corps dos gardes mii a r A e,gne’ dans tsar, aidé vers?Æ é’n to danlm T ™ 1 du gimenl de Paulow.ky 8au r«- d'ArlagLmgPaerdieuT cousin'‘™ SSD1S ? dit des moindres agréments "de tl d P8S “ “ hgure 1 Ah 1 c’est nn’ii lo „ charmante nez retroussé. Le tien nn?«FZ re.lroassé et tou. 4 fait gracieux, ne F essem ff8' 9pl 8st celui de ces t roi s J,e en ri0n à ces trois frères, dont j'ai tué làln é “ a?’ d! e second et bûlonné le cadet J ’ai ma lessé u Jean-Baptiste, que ce ne? 14 ? a , 6' pa- loir les faveurs do plus d'u„i ,i? 4 18 va' dames de la cour imuérialn r, gra"dos • lesquelles on assure que les b é S ° i’ parmi en minorité. 4 oegueules sont toujours aP/ e z "éStPpoSudr°en ™?l e r “ o ’ “ q 8?4 moment sera venu dit riST ’ ,aand 16 cent sombre que d'Artagnan . t.î80801 «o- marqué. Me voilà dnnr «no • éjà re- gnrdes dé Paul et sous iL Ara0,g°^ dans ,ea Ardtcjjeïeff. ordres du colonel quüsuglnérel M,0i est célébré ? «“ “ m . et dont la férocité — Lui-même. sous lo!'ordres* do/ol'hom m o H , n îà S 'T on pas qu'il mène le, «„bt7; ? 8 prdl8ad- 182 Æ M ît® H (A suivre).

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T

7 0 * A n n é e . — ]y« 9 9 .

A B O N N E M E N T S ,

"Jï’Æ r w, i ^ v

Paraissant le Dimanche et le Jeudi.16 fr. 8fr . Air.

0 ” “ ......... 12 fr.Six m o l.... 6 fr.Urois mob. s fr. 3 £j

. . . . 0 N S'ABONNE :i*!^&£îïïa; v1's = i s »

JOURNAL OEC O U R R I E R d e L ’ O I S E

IVOM J , v e r ‘ * » s ° , , s n o . l e c t e u r s q u e M . Z a n o n e , m a r c h a n d d o J o u r -

Ü L O Iv îlK I r ‘T ' e s t M .H b r a lr e , r u e d u C h â . t e l ; l ’a u t r e d é l i â t e s t ,1 l„ «■„ .

w b T „ ^ î ^ " h M M ' T E R ~ ^ x “

JET r ^ M Æ ^ u 1"8:2 8 ,M o I s CS * " ■ — « M e» l l e l l o i ” * M a i s o n L A N G I G N A R D bourg- S a in t-M a r tin . * U"

BULLETINS en lis, 9 Décembre.

Les ministres, réunis h ier en conseil à

h e / d o e Æ a t T é 8 e “ ‘ é 4 l a a i8 " a “

r r ar-J ‘,ar.6 lo», déclarations que" féraU à t Chambre le ministre des colonies La discussion dei budget de ce département a été marquée, au Palais-Bourbon nu important discours de M. E tiem è.

ds“ l 1 X S 7 ^ i ’audUio“pas eu d'incidents g “ y a pr831“8

j ^ w s Ê a M j ?décisions devraient faira lni n ’ dont tas

i " v L ^ e T o ta - p ’; 0"1™ ‘ d,,é" d da »«™Ç0“.

d’f ™<"> 8éoéra,

4 . W S s hed U i r r . a “ CrosCaUI“". »

«ré"'. à d8 t a “ -H # - 3 B

Les Sociétés de gymnastique.

r e t a l a s connaissances e x ï K ÿ / n S A

la W a î r t S i ' S f Ï Ï f t , ^ g f f i - . P » Parait possible de lo r é a Z ’r . ? é. ° 7 t . S a ‘U S !

fin11 mS,>ir0n8 en faveurdes Boerss e m u u S h A S r / W P h ’ T Boers

’ ï b C ™ * " ? t ‘'« r i ï ï S i ï S ! . : ™ETT ï ï t t H : * ' 'h 8 8 1 B “““ l • *D8l8lS ’ * I parMt‘™;,”|(),rB''do“ l,Cers™ ''- " « O ls r é lm i r a J o m t a ï b i l i t a Œ t ,?oPn°trd'lo“,. ' liéA'!aci,0!- r n ,{” '*J' »v« solnl 61 a f™ "1» M

B K & g a s S ! 1 * —

s s s a S s S 5 r t t t . e s . *

Leyds, à W„ I ? ddoS?h!“ é aU doale“ r

l e s A ssises de l’Oise.

nombre^des* S J f f . “ og«’ q « » t au blableinent soum ises au j u r / ^ lo n /te M u is

D im a n c h e 1 0 D é c e m b r e 1 8 9 9

u P U r e a u xo . , , , , " ' . ..... ' " " " a l i o o ,

i n ' ..... 1111'M P -l-d o -v iiie , à S e n ti,.Le J o u r n a l dk Skm T-réZ T u .• a

l 'a i r o m i i , m ;„ I n Z i e f ^ Z s ! ^

l’R 'x n é s i n s e r t io n s ■A n n o n ces : la l i o , .. „ . .

' ; ! c ,w n®8 •',a % ne , 0 ,4 0 c .o ,, ........ , r s ,0 •'«"P . 0 ,50 c.° " 11 « c t" " '1. pas d ’Inserliou au dossous pe j fr

Los annonces, n!chm ii«1rs l l i W l , . n o o . . ^ . . ■ '■ .Ie ” < ypc«r.iq B t P a r is e td u J ïn ir u a l. ‘^ a a é ® J * » « « s a e n l a u x b u r e a u x

I P l^ e n p l u r a ^ T r t n8laiS, “ ' W ™ « 8BÏVVS-SÆE F f e s s æ selle! n E .é d® corre8pondre entre elles. Décidément, c’est dans une bienr e ,! lM a' entl; re 1“e Chamberlain a in - I wnsiderément lancé son pays.

INFORMATIONSConseil des m in istres. 9

| “ mire plus e t a T ° " d e fe r’ ,D “ d » 18

Les Sociétésd ’ É t u d o a m i l i t a i r e s .

.Ion0!!ivr.e„ T ? o „ c i,na'né! “ r s'uei' r mU“ iM -œasé?1® w -tæMonsieur le Directeur,

30 novembre dernier ne.m ? ,a . ournal du

t^pléîeMe çbl0 001 ^ 601 aves émises. 1185 81 çlaires 6“8 vous y

vi^miUtaireUdégiaVà Ît o B I Ï 1' ' le !er'passent une parlio ou p l f f i e n l i ™ ? Nons «“ > de leurs loisirs à aonrendr. draD8e Partie les Sociétés d ’é lu d e s^ id i .irZ m,Do!La!?0f,t dans

T 'ir i À yecs0ln-

a * n ie M ™ d e M sS SC) S é s d s u % 'M SS'l , "e ’Ta Frjince. I.o nombre s’nn r ^ i ,u'1 con,lt!nt . lonpé. nprès I . pne-rè ,j" 187,1 ,PÙ ment . éva-'

celui de o s Ldétéj i T l ? l al",i“dr; I 1 on en compte 6.303. Allemagne, où

pérer'de melhnîr^refuUaià dji' Permettait d’es-I m^nWuimélfque d^^Qcié^ a l ’aelrm^

I gens i y entrer et si l’nn ln dlid pas *0S Jeunes

M W d T . " ' da™ “ 8^d’ pbospnm8 ms“ ay tu d e p e ^ S v ^ t^ l 'i^ * * -^ l’at-devanoiers? Nous rflsnrfrftno ü ^ues*uns ses

exigences de la S K li™ “ £ lla,!i'*L *™> les

He 5 6 a n s ’ d 8 “ 8 “ ':a" ‘ dlobro, assésliria! p o u r T e T o ^ T v"'0" rentier célibataire M rhJSj. S ' leux

a î è S 'f t i .»

m m s

ü i i i ma w S “F*'K ,,siü » S i £ à la°pumdée u /B' d ° é° ^ è‘ °mS- P»“ 8

S EN Lf ST rib u n a l de C om m erce de S en lis .

su iv an te" ; ° deU t “ »“ * a d re 5so la le t t r e

^ ° t lT 'I n i l i s f D ’r e c le u r d u J o u r n a l

v o f r e / o S l |m iir f e Z T r t i t T d e consulaires qui ont biea vmin le 1 déie“ rs

jwi® S ' 5 s r n moi'

s s s s j i s”ou™ on.e b!!,”,,“ m ’r u s ? r0ldr1 c e 111’' ^œ i r f aahagd»aB8^ dimane! K

Sen lis, 7 décem bre. E ' ° D,!:''1 '

ïS k 5S « s ^sion n ’a pas nonsé XnJ S I L” 8 ®»,a com m is-compensés p a r Ja p m l o S a l î i ! ? ! g68-soiont con tra t. p ro longation excessive du

a uS plusP si ' e lle croft

pai t i r de ce jo u r . P à 30 ans 4

C o n s e i l m u n i c i p a l .

les dé-l - S a S S » " •'s" *I S*?!'?*?'"I teitûueo; , “ 8 d e “ eauvais, 1 l'a rchevéché

| f c S & S 3 S H " ’ d' a«P8 de Hodex, à l ’a rchevéché

l f “ ‘ î “ i!a" '’ 8vadPe d e F ré ju s , 4 l ’arohevêché

ï r . î î K ds.ëvd<l"e> : do il!ib.sî?Jl™ 'î.edr< d■ « S ' a ^ ^ ^ o c h l é j a c .

I ^ . s , r rt d° saini-M8"8’ a ds M°a,psi‘

|h**édeFrt”„,“.1’ cbanoipe de Marseille, à

b i! S ? i ™ “b'8ilinl'J'c<IMa deI1 Véché de Pwpigcïï ! ’ ïi0alr8 «ta<!ral d’Auch,

le» Sociétés^d’« , l ï ï ^ K f c « S * » i e . t dan, sauces spéciales, oui 8Brnni a Æ î , s “ PPele- pour leu? instruction ü grande «Uité

que leurafliM?raai°n d 8°1ee1 c0,esiau niveau des connalsssncés'mliHf“n0nl l0“i°Prs «ux jeunes soldais el sm am m S BBf‘eaées

en tre le u r , m .in s so tan t du’ m o d lle ™ ïle m e „ !

A ces conditions seules, les Jeunes nena a»

in stru c teu rs 4 leu r tou r g 81 s8Ial8P‘ boP»»ïs: f i88

Maladies contagieuses du bétail.

ë x ig en ô es 'd e ï.“ Z f f fa“ ili»rlVés‘ 'a v M ,i ï ï l , u , s ' “ “ '! i i î '< 8 de n o v e m b r e .

j a S S S ’S L ’s i ï

i § § s ë Ü

L es cas o b se rv é s se r é p a r t i s s e n t a in s i •

■ éLr o n d 'M e m tn t d e B é a r n a is — r » u „

SSîfK Æ ïdS

porslion. L'armée Î T V r Z a ïa “ ‘ '™ r = !a s S a r 'H. BAnTHÉLEMV.

fa iso n s S e T r s ^ b î r 8 ?-1 Ju s " 0 é 81 n o » 8

p e u r .e s aqo c i é t ï ï ^ u ! ea?ioPnlam8i l^ ! ? c ! 'iiSOa

________________ G . V.

Nouvelles militaires.

cependan?blanUa '^ ^ d d u c a l i ô S ! S S m •

L’idée daqfI.ir«UnleUr80ra d ’une »r0Dde utilité, r i t é m f f i ^exécuter. Est-ce q ue déJ4 les vo lontaires d ’nn en , p o u r la cavalerie , d u m oins ne p .L . l e m f,a3, " n « a p i 88 d équitation av an t d ’élro adm is?

I s S I s« a p our accom plir son se rv ira m iS ta lï?

S y m n 5 ! Æ .“ ' ' « - d r a t t t s d l

M m Ê m

M a r i n e n a l i o n a l e .e t t a r t i l l e r i e d e m a r in e .

ienI'.e i m i" is lre de la m arine a décidé que à o é t is u q eUne? eeils qeir é com pter du ( ,r a o a ti8 0 9 , contracteront un engagem ent vo-

j , r 8 “ d a n s l ’i n f a n te r ie o u Î X n i L m a r |P e , n e s e r o n t en v o y é s a u x co lo n ie s q u e s u r l e u r d e m a n d e é c r i te

d a n s l i c ’nnte * 8 " î . P8 “ r r o n t a in s i a c c o m p lir ,

temps d e ra rv ic e . 88’ Ia l° ,a lM de ^m a lltd n 1® ! ? ’ e “ ° “ lre ’ l ” 8 18 consente- m en t du chef de corps n est pas nécessaim pour con tracter un engagem ent volontaire dans les troupes de la M arine yo ,oniaire

u o y -u u u iére , 2 . —

patrio tes. A gréez, etc.

CHRONIQUE DÉPARTEMENTALE

p i t t S l ï a i U o n f t ^ SL am y , a q u itté P a r i s s a m e d i m a t in , à n e u f

à R a m b o în m g T Mon(.P a rn a s s 0 . «e r e n d a n t a U M b O B ille t 01! u n e c h a s se a é té o rg a n is é s en I h o n n e u r d u b u re a u d u S é n a t .

v e a u ™ ' “ é* 6 la i t : “ ■ F r a n c k C haa-

Un de eo> lecteurs.

dS “f S » sF e S e f d '“ n ^ ' a

L a C h a m b re d e s d é p u té s a a d o p té .

O n t v o té p o u r : to u s le s d é p u té s d e l ’O ise .

ny r : \ 1, LaD eriiere, \ ; B au- \ , G ournay-sur-A ïonde, t ; Atonchv.

Ch0vi5court’ * ; M achem ont, t . A r r o n d is s e m e n t de S e n l is . — N o g e n t- lé s -

su iv an tes1™* m aladi8s obs8rrdos son t les

n i ï J î i * ™mt°n s u r u n tro u p e a u 4 V? 2? M a r tm > c a n lo n d e B etz

. . n ^ Æ 16? t n r a 9 é à i ’o n t-S a in te -M a x e n c e , r i o r n î l S e “ P '» n y . c a n to n d e N oyon ; ce fn.rrnA * pt° “ lro is P 0r8° n n e s q u i s o n t so ig n ées à l 'I n s t i t u t P a s te u r .

_ L e r o u g e t d u p o rc a é té c o n s ta té s u r u n a n im a l à i a b a t to ir d e C om piôgne . l . rla tu b e rc u lo se a é té re c o n n u e s u r q u a tr e

à r . L n T a 8 V ab s .“ 8 i r d e B e a u v a is , d e u x d e N o ,o n . “ C8m P i8« u e e t u n e à l 'a b a t to i r

A n d r ie u , V é té r in a ir e d é p a r te m e n ta l .

L a Q u e s t i o n d u G a z .

hieLre sS!>rn !e n ,lra Ud''iiT i ! ! , h e , S e n l is S'8SI «*»»! 4 I n o te l-d e v u î ' hu 1 ,18UI'8S 8t dem ie, de IK a rii, m a i r e * °US ‘> résid8nc8 d 8 «■

s S S ^ S v ™ »» ^ z à i S ‘Æ a!sacïiy*,611.* ’ ^ ^ ’.^ b id q u o t, tlen sse ' e t De-

e».1 paPra,S , ié da L Sta l 'gea Æ e r^ H ^'in té rê t de la quesSon* portée 4 I V . ” ? 6

de‘\°aau*bae ? r ^ i r e i mr r “ ■■ « •

len te a élé aussitôt saisie. Élio s:ëst “réu n ie d urgence e t a exam iné la question avec lodésir s incéie d ’a r r iv e r 4 L solution Lac inmission n a point fa it de rapport et a chargé le Maire d eim m nr «ou en„m„

■ ju u r. “

l a '“ t raaP F S ' S ^ M W ^p ro p o s itio n e n ce q u î o u r a ™ i 'T i T ! ° " la p a r l 'é le c tr ic ité . “ u c e in e 1 é c la ira g e

p r i / o 'r w ™ B n ’v V p a s ' î e u r " ” 1 d ° " n é los P lu s « l i e p ro p o s itio n . acc8P l8 r n o n

i u .'s ln !« f/ü o fm io °u IJSù d ; r i<,,Je ' ' f 013*™*;® <J. sra g e lion J J“| « jü, Z s d e cmi ' « ' f til -

q u e to u te s le s g r a n d e s a r e, l l p0S8 d .0 " 8

;-S 5 ï; ï ; s - £ïS S S B s' vS"”o lia rg e do la C o m p ag n ie 1Uâla,‘« tio a à la

c e r " A °s, ’ i ' l , a '"al1

s u l ta ts i t s 'V r e m f e r r jo u ^ s d °u u k f 6 ’b ° n s r d * é f a i t in s u ü ls a n t . P d e v ie n t to u t

I.e M aire r e m e rc ie M s e ig n e m o n t; n u i s u n a o ’ll h Î S l * co. r e n *

Au0* / ; S ri iCS ^ 8 r, “ P r in c ip e 1 / , ™ lio n s q u i l ’o n t a d o m é e t a d o i ' D ,f ,ra *

p u m i e n 7 4 d !;pq0Uues!ae iP [8P a s ‘‘ia ? d e M. Le- P a r ia C o m p ag n ie , n u i / ? , « * ! ? ," '* < “ " 'f o in [ 'é ta b l is s e m e n t d e n o n v o im . f i . ' 81 P, 0 .P8S«

■ r u lm l a i t d e r a p p o r t e t m n i S vv-a l r e c* e x P ° se r sos co n c lu s io n s .

1 s u r i i l S ü . ' ? ? . 1»™ d 8 .1»

Plaques de bicyclettesn n Ï2 J ? 2 u r d e .c a s s a lio n » p a r u n a r r ê t d u *0 n o v e m b re , v ie n t d e j u g e r q u e c e lu i q u i

2 Z r6 ' î 8'!‘ a “ ? P roscription d 'u n a r rê té préfectoral, fa it c ircu ler su r la voie pub li-ri’idflïtiiA i j 10/ 016110 dépourvue de plaque noilom i . contrôle, com m et p erso n ­nellem ent une contravention au d it a r rê té e t n e sau ra it ê tre re laxé p a r le m otif qu ’ila t n n ’ii f . * 1,8 p ro p r ié ta ir e d e la b ic y c le tte e t q u i l l a v a i t p r is e e n lo c a tio n .

n r K ? . ^ 011? “ t i l e d e é ig o a io r c o tte j u r i s ­p r u d e n c e , q u i in té r e s s e la n o m b re u s e c l ie n tè le d e s lo u e u rs d e b ic y c le tte s .

d é p a r t . d ° r é r i f l e r 16 T dl° a T a n l 18

|0 i „ , u , “ a o ,u l8 a iP rs le c tu re d e lai n o . L o m p a g m e , p ro p o su n : d e r é d u i r e g ® !* ? Pou .r ’a ï | l le c o m m e p o u r les p a r t ic u ­l ie r s le p r ix d u m ê l r e c u b e , d 'é r ig e r 4 se s

m n ? , r u.n e sd r i8 d e la n te rn e s a u g m e n ­ta n t d a n s d e s p ro p o r t io n s im p o r ta n te s la p u is s a n c e d 'é c la ir a g e d e la ville,^ d e c ré e ? u n e s ta tio n d é le c tr ic i té , e tc . E n é c lia n g e e l le d e m a n d e u n e p ro ro g a tio n d e so u c o n t r a t é - t ’ r n - xi “ “ “ d r o i ld e v o ie n e s 'é te n d a n t à 1 JoO. N ous a v o n s , d a i l l e u r s , d o n n é d a n s

d e JceUU e‘î!Jürae.ré5U m é l r t * M aC l 81 c0 m ‘,l8 ‘Ces p ro p o s itio n s , d i t le M a ire , r e p r o d u i ­

se n t, e n so m m e , ce lle s p ré s e n té e s d é jà , i l y a q u e lq u e s a n n é e s , p a r la C o m p ag n ie , e n v a jo u ta n l u n é lé m e n t n o u v e a u q u i c o n s t i tu e “ f i n “ “ a b a is s e m e n t d e s e s p ré J te n io n s . c e lle q u i c o o s is ie 4 r é d u ir e à o 2S a u l ie u d e 0 ,3 0 le p r ix d u m é tro cu b o . Cet a b a is s e m e n t n e s t q u 'a p p a r e n t , e n effe t, c a r e n p lu s d e s i i a n s d e p ro lo n g a t io n q u ’e lle S " ? d ? \ c,î (,Ju l “ n o u e r a i t a u * c o n t r a t S u e Fa rn m • a30 a n s 4 P a r t i r d e c e jo u r ,. ,n d r ë ü ? 8 p ré l8 lld e a c o re o b l 8“ i r e u su s

r / r e a , ™ r i 8 p o a r 80 " “ “ v o iles a n n é e s .L a ré d u c t io n d e p r ix p ro p o s é e a so n im ­

p o r ta n c e : e lle c o n s t i tu e ra i t u u a v a n ta g e r é e l p o u r la v i l le ; m a is l 'in c o n v é n ie n t d 'u n e

E u 0 Ffrn>0 F,Hd e d ,8 i l d 8 v “ ia i i e j t ts q u 4b o ffr ira it d e s in c o n v é n ie n ts p lu s g ra n d s

S W Cexd ro i l d e ï8 i8 r i8 s e r a i t u n m o - n o p o ie d é g u isé : a u c u n e a u t r e C o m p ag o ie “ 8 p 0“ r r a i t l u t te r c o n tr e u n e S o c ié té q u i I I ! f p P 0856851011 d ’é t a t , p o s s é d a n t u n e c a n a lis a tio n to u te f a i te , u n e u s in e to u io c o n s tru i te , e u t ln u n m a té r ie l c o m p le t d é jà

LE PETIT-FILSDB

’a b t a g n a nPAR

I * • S I R V I î i v & a . S I É G E L

r > » o e r a? n0“ 18 ma“ ™is ange de ma t kieii ? et?VF O"80™ rencontré. Est-ce l 'M o n ^ J ° ‘ igoore. Eu |f iiiie .n lour’ "isiolenant, petit y0an-

C . R M u !VF""m!u,'îm|8n,o ,a a s ,é c u do - R 1' ; raconte-moi A p rance p o u r la l ', l0! jo ie s , ' ? av e n tu res , s i lu en T ; Plus )i,.urp 88 io stesses , les am nu is. b * 8’ S î 1’, Peu U ê tret 0" vil, , u , n7 0enl d é a l e l ' " 08116 P“ “ r c**.. m a ° n n e m eu rt pas pourn m . 1 surloüt n ’nnK. m ®Url Pas P0“ >*

E P g randes ’ a a J6 l"6 ™ " »

— £ e te d i r a i to u t.— T o u t î— O u i.— M êm e le s a m o u r s f

d i voixes„mbrearaOUr8’ “~ D io b le l p e n s a d 'A r ta g n a n , i l n a r a l l

j s a s B ^ » p ab & dS r ^

1 Ï Ï ’? ? 9 a ,o r a Q u a to rze a n s , m o i o n ze * D é jà , tu a n n o n ç a is nnm>

F ^ « i S ¥ -

o ù , e ' r ^ i v e r S û t ^ T n T ^ h 6^ sonne, constituent dos dénenses loin ô P?n

' ■ r S a r S ?t e f f î s s r j s & t i i z s r

particuhers absolum ent Négligés" d a n , i échelle desceudan la ries prix Dar exomnlF p ré v o y an t pour là v ille uSe d i m i n S ^ raison do la consom m ation de gaz il n 'est Pas quesuon des particu lie rs. Les avantages FF??, n v 8 a bdnéticié depuis ig g a .ai,. po u rra i, m alm enan t eu faire nro liter le , particu lie rs. M. F a u tra t conclut en d e L n d am que la proposition de M Lenetit toi? reuvoyée 4 la com m ission P 011

:'l,," re dem ande 4 Si. F a u tra t s 'il r e . p rend la proposition de M. I.epeiit. rnm', d u que les propositions de laCompagnie le ,idem 4 d o n n er sa tis fa 'tio n A

“ rmedU e ' / e r S 1? p ro p 8 sa a " W

bien que pour la v ille P arl'CUliers aassi

v i le . '*C e ù s s C b îe n 1 q u e p o u r l a

l ’a r t i c l e t’y i l u l r a D é . " ^ C8' a ^ d a

S S S S r S S S î» o t : no.y3g °Pu0r '? e aso

, nÂiA , -«'mib quatorze ans, md a t J Md être conservé gratuitement parmi fes élèvesensem ble !m ° 04 P8“ “ »“ » - S p l S a *

? m û 8?s.Pas ,e “ émè bonheur.« Hélas I je ne suis pas comme toi le

descendant d ’one race de héros ’« Je ta is encore trop jeune, d'ailleurs

pour donner des espérances " “"lu"!*,€ On signiOa 4 m a m ère que, m a pension

FEcole. P' “S Payé°’ e " ° 841 4 ‘“ “ reUror de« Ma pauvre mère! ses ressources étaient

bien modestes, hélas I c 'était 4 peine , î le s maigres rentes laissées par mon né™ Si permettaient de vivre. p ™

charge.0"28 Jb ne Toaln8 P“ «ire 4 sa

o u S li '!é S « ^ ,F ,râ,c e à n la b8118 éo ril»™. enqualité de pet t clerc, chez un procureur « Mai, je n y restai pas longtemps.

rliW iVV?,?1 pn ôtr° mllilalre, j'exprimai le

B oréem onpré r e r prof<’" io n q a 'aT4“ h ° -■Urj. | norée mon pére,

l u i ' voulnt r o? 8Uî am is’ em bitec te comme p a r déj/catM sel m e X n ’n a tout f,f,P,Sln “ enl8 do com m is. b ien que je ne fusse qu un apprenti incapable de lu i re n ? d re le plus léger sorvice.a .V J ™ 'M .a n s l j 'a v a is tre iz e a n s , e t , g ré c e 4 c e b ra v e h o m m e , a u l ie u d 'ê t r e u n e c iia re e p o u r m a m é re , j e p o u v a is d é jà l à i d o r ï n

.ou . 4 " a il o rp h e ,nS/ftiS T Æ d ^ S r S a ”.1 tron , ne m abandonna pas, e t me d it :

. v m a Camille sera la tienne puisque tu n ’en as pins. '

m.e d o n n a u n e c h a m b re t le d a n s s a m a iso n e t u n e p la c e à s a ta b le

h J a h? 3 F 0* ? 8 éta ien l rap ides, c a r j ’avais hâ je de répondre p a r m on zôle à s e s b ie n -

ass^rA0^ . , ^ * 1! 8 annonÇait m odeste, m ais s’aggravant vinSS .lro n b 'os Politiques, en eaiSSs la süualionS je « " t r S i / d * Pl“ S PrÔ-

!!!h3ïirS8”"b-a8S^-so nges i t q u A d émoi il" Un ‘8“ >P8 64 pon ne

m alade S l t / ^ / e S f S S i Æ T e v ' S r 8

g a g e r r e m m e ' io“i p a B le V r ! Z l i i L T . U

™ i . F . Î ’ a lî . 1 a a l0 ™ “ “ *• Co n ’é ta i t Das « n - c o re 1 â g e d u n s o ld a t ; m a is j ’a v a is e n te n d u

M u ? Ï S f i W ’ daD.* C ïJeunes qu” œoL dM enf“ u e0M™ p' “*

®^rn a rd» qui se re g ard a it commed e cela l î ’ me V° pas 6" l8n(ire p a rle r a e cota. I l mo trouvait irop ch é til — e t e

dats à la f r a n t î é T 1 ~ P° “ r S“ i , r e ” 8S s0‘-

l£ f npV4iŒ : i d8mr , ï s d8/a& *le pam pour lui e t les siens, il se rés ig n a a ouo séparation qu i lu i coûta it a u ta n t q ï ’i

Il * « T n “ P?rli,ra8 P our la H ussie, m e d it-Paul nni n '? ’ g 6."«r08it« d “ g ra n d -d u cr a u i , qui n a ce rtainem en t Das ouhlié in prom esse fa ite au lit de m ort d e ton nère t'a ssu re ra un aven ir convenable P 8 ’d e’mnn s 'adr6888 4 d 'an c ien s am isi n . i î Pî » len r exPosa m a s itu a tio n , les f t ! 8 S a à T n .80rlp e t* comme p lusieu rs i “ r î, eux élom nt riches, il e u t b ien tô t réun i 1 a rgen t nécessaire à m on voyage

t u é t î ® l'armée1” 01" ,'6mbrasS8r'' oar8a n ' s t p p , Œ ^ ! r „ ? r , ' ' K S UÆm e r o u i r a a P é te r s b o u rg . ‘ E a r0 p 8 p o u r

« D ans'C e tte .v ille hab ita it un F rançais

c o m m el? !’, ? ° rS joa illi8 r d» la co ireSno ,' comme il | est encore à présent.

guS d â te e m w i i ? Uîi , e c 2nnais8ait de lon- j a .m a v a u donné pour lu i. av a n t

. M ü8/ » ? " ! 1/ ? 6 ,'10, v o o o tn tn a n d a tio n .14 B .t.m hV i' d , Jî ,o r l r ‘obo en ce tem ps- ta , est un hommo d u r e t égoïste.

sisîa â ï r è . T ’11 fo u rn it con -oneà iô n r t^ i r I °ihlc5 8 bo4Pilalité d e q u e l- pour m d n e r m ! ! i i i8a ’ obM “ «“ “ “ ires Sue danaSm Z i h opprocher le g ra n d - inna’it ovûa ? résidence a e G atschina , oû le

. .,a l"l a e ’ “ “ < r8 '« M w i o était, on somme, tout oo q u e 'Je

0 la très pe-réclam ais, fort heureusem ent, t ite obligeance de Duval ni,niiP a a . “oouoiliit noblem ent le pauvre or-

S i o t e - f r ^ S u S 8 0 " d 8 t 8 r “ a p “8-

u n l . S œ e l r c o l S F e - S S 1818" "— D o n e lf l s éc ria d 'A rtagnan , est-ce r e -

s a r e t 1a é ! é 1rA4 | PrdSe'>l d aa s les arm ées du ts a r e t a été fait p riso n n ier 4 Zurich ?

s w m matlau tion et une boulé d o n t je îài ear dera i un souven ir é te rn e l... C’est son m . qui es t m ain tenan t général d an s l'a rm ée d e ’son 'pô re row ,*ch a h é r ité des v e n u s

. « ™ * f f . d r s u r 1u„d8i à , a,”i i ila^

m * d°-«Siîriï'AsaïSÎ ÇÏÏftÆiso it longtem ps. Continue,- Jean -B ap tis te é pardonne-m oi de t'avo ir in terrom pü ’ ’

— J e roprends m on récit, fit Collet

à S S S S Sto u t d ’a b o rd u n nmit „aLu «,vr” « u 8 ,u a 0 rtout d Abord un petit péculorPum T ï ï f t Ç;0!6 dos cadets, me destinanta d m e ttr e a l ’L ru ie u o s c a d e ts , m e

4 s e r v i r e n s u i te d a n s s e s g a rd e s .* I e “ a l pas besoin' d'ajouter q u e ma

P6",? 8" 1" 8 fut toujours servie areo pono- I uallté à partir do « m om sot. E lle m e fut '

m êm e augm entée q u and , à l'ége de d ! , h ,,-, ans , j eu ir.ii, avec le e n r i» ri’ « • lx~nuit ta corps dos gardes mii a r Ae ,g n e ’ dans tsar, a id é v e r s ? Æ é’n t o d a n l m T ™ 1 du g im enl de Pau low .ky 8au r «-

d 'A r la g L m g Paerd ie u T c o u sin '‘™ SSD1S ? d it

des m oindres agrém ents "de t l d P8S “ “ h gure 1 Ah 1 c ’est nn ’ii l o „ ch a rm an te nez re troussé. Le tien n n ? « F Z re.lroassé e t tou . 4 fait gracieux, n e F e s s e m f f 8 ' 9p l 8st celui de ces t roi s J,e en ri0 n àces tro is frères , dont j 'a i tu é l à l n é “ a ? ’ d! e second e t bûlonné le cadet J ’ai m a lessé u Jean-B aptiste , que ce n e? 14 ? a , 6 ' p a -

lo ir les faveurs do plus d 'u „ i ,i? 4 18 va' dam es de la cour im uérialn r, g ra " d os •lesquelles on assu re que les b é S ° i ’ p a rm i en m inorité . 4 oegueules son t

toujours aP/ e z "éStPpoSudr°en ™?l e r “ o ’ “ q 8?4 mom ent se ra venu d it r iS T ’ ,a a n d 16 cent som bre que d 'A rtagnan . t . î80801 «o- m arqué. Me voilà dnnr «no • é jà r e - gnrdes dé Paul e t sous i L Ara0,g° ^ d a n s ,ea Ardtcjjeïeff. o rd res d u colonel

q u ü s u g l n é r e l M ,0iest cé léb ré ? «“ “ m . e t don t la férocité— Lui-m êm e.

sous lo!'ordres* d o /o l 'h o m m o H , n î à S 'T on pas qu 'il m ène le , « „ b t7 ; ? 8 p rd l8 ad -

182 Æ M î t ®

H

(A suivre).

Page 2: T JOURNAL OE - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_12_10_MRC.pdf · awS“F*'K,,siü i i i m ü»Si£ à la°pumdéeu/B' d° é° ^ è‘mS-P»“8 SENLfS Tribunal

e i i a c a o ü R S f t t m e

rL to Y i) lç 0 f» ïa * O W < lX < S iî£ -L a G ra n g e -a u - U o is , C o llin a n c ç s e t G r iv e t te : e n o u t r e , au ^ R ê f- lie n d e l a c o m m u n e , u n e d e u x iè m e d is t r ib u t io n e s t f a i te , à la saH & ftqlion des h a b i ta n ts e t p a tU c u liô re m e ir t J j r ç .iM m m e r - çarit*', e n t r e d e u L é t t r o i s ’h è ü r é i j h u ’a p rè s - m id i . A u ssi n o u s à a re s s o n S nôS S in c è re s re - m e rc ie g te n tf t f to x ,a u to r i té s lo c a le s , d é p a r te -

, m e n ta le s , Je/, s u r i p u t â tw i r e ,s y m p a th iq u e et d è r à t jô c o n s e i l le r g $ p ë i :q j ,/J p ù U * ito m ie in -

t îo r i . _ _ •

' “ ••'là' c o m p a g n ie ' 09» . *#M fcW > W P *® ra * fè lé là S a in t e 'B a r b e d im a n c h e d è r n i e r 3 dé­c e m b re . A ss is ta n c e à la m e sse , -d é jeu n er.

Ero m e n a d e A r e x i è r i e a r , b an q irtü ^ A - sent e u r e s d u s o i r c h e z M . D é tre z , t e l a é té le

pT w m m n n fv tSb • V&vfo d e ré jo u is -s a q ® « é a l f à .I V i •*

M a t h suppust d e â 'l lè i ren d an t m o rt a c d oc teu r

direcUtul ’in h u mfixée.

L e jeu ap p re n ti i couran cu la ire d

’L é r é s u l t a t é b t i m m o l a i ! -L e T r b t l ^ f r - n p t , p a r : C H eV al^B lanç jV au -

■clüse),' l e ' I » n o v e m b re l8 d S . ' - r / . ^ .p u U v o ù s W o f à i* ij&è j ’a l 'r a te M ù j j lè .v d fiM h n es P i lu le s S u is s e s to u s lé s ré S U lU tr q u e j ’en a t te n d a is ; J e ro ’e fc 1 s u i s 'MfMT c p h f rp des c o liq u e s q u e j ’a ttr ib tfa fe a a x {fa tfg ttè* im po­sé e s p a r . u n s e r v ie © 'p é n ib l e 'è u 'm o n ta g nés, e t c o n t r e i le S ln d i^ e s tio n f t 'p ro v o q u é e s* par d e s d é ra n g e m e n ts f r é q u e n ts dé< n tta tT itu ro .

. F o u h n iï* g a r d e d e s -e a u x eUforêt», , r , . î . . r i i s o ' * Y alenoe» ( S ig .R é g .) La Coi

Crépy fôu ra n t, p a r i lieu aux 1

L eb a n q Le ba t

eommissai

B elour de Villégiature.Mon logi«, oû Je rontra aptô* un œôii d’abséne D «vait, j ’en étèi» »ûr, MDtir le renfermé ..Pa* du to u t ' v a Congo, p a r aa aeute préeenje , A anffi pour l'em plir d’on fie l pur, em baum é.

L lb er t D , au sa vo n n ie r "Victor V a ittie r L’a f f a ir e .d’ip f e p t ie id e .S u r u n q d é n o n c ia tio n * le P d rq u o t d e Sentis

s ’e s t t r a n s p o r té h i e r à C re il , p o u r fa ire uas e n q u ê te c o n c e r n a n t l ’in fa n t ic id e q u e noos A vons r a p p o r té . L à d i te A lice L . . . , bonne d ’u n r e c e v e u r d o . la m a r in e , a .é té a r rê té e et c o n d u i te à S e n t is , o ù e l le a é té é c ro u é e à la

S p o r t- 'D à b s 's a '

Sport Véloi nouveaux-a val lier.

Il a é té d société sera date de ' : ci exactem ent

A u 2® H u s s a r d s . — L a M u n ic ip a lité a fa it c o n n a î t r e a u C o lo n e l d u 2® H u s s a rd s la co n ­d u i te d u c a v a l ie r B r is e le l , o rd o n n a n c e d e M . le c o m m a n d a n t d e C a rn é . Ce h u s s a rd s’e s t d is t iu g u é p a r le d é v o u e m e n t a v e c le ­q u e l i l e s t r e s té d a n s l ’e a u p e n d a n t d eu x h e u re s , lo rs d e l ’in c e n d ie d e la p lace S a in t - M a rtin , a l im e n ta n t à lu i s e u l la c h a în e o r ­g a n is é e s u r ce p o in t.

P a r u n o r d r e , le C o lo n e l l a n o m m é cav a ­l ie r d e 4 r® c la sse .

N ous a p p la u d is s o n s à c e tte ré c o m p e n se b ie n m é r i té e .

* *

• ------------- C r o ix -R o u g e F r a n ç a ise . — L e■ Ja i C o m ité de» D am es d e la S o c ié té d e

. ' s e c o u rs a u x b le ssé s , d o S e n t is (C roix-I to u g e ) se r é u n i r a m a rd i, p ro c h a in ,

42 d é c e m b re , à u n e h e u r e , p o u r le t r a v a i l d e la l in g e r ie , a l ’a n c ie n E v ê c h é , p la c e

d e lft, C a th é d ra le .

N o u s p r io n s n o s le c te u r s d e v o u lo ir bien n o u s e x c u s e r d e re n v o y e r , a u p ro c h a in nu­m é r o , e n r a i s o n d e l ’a b o n d a n c e id é s m atières, u n e p a r t i e d e n o s in fo rm a tio n s s u r Ç reil.

U n s ie u r A d r ie n s s e n s , p a n o ^ y r i e r à Mon- ta ta i r e ; q u i , ô ta n t e n é t a t d 'iv r e s s e , jeudi s o i r , p la c e d e la - G a r e ’, ’ ù Ç re i l , causait,du s c a n d a le , a é té c o u d u i t ’ à ù v io lo ü ë t gratifié d ’u n e c o n t r a v e n t io n .

p e m a in i m i t , re p r Le C o W O t tro u p ^U an r

Le renom un sûr g a ra i de la pièce.

On comme d e P . - L W

T ribu d u o a n t

A u d ie n Bithisy-Saii

grosprez, à Bé pour coulravei 1899, concerna

* % , — c * trucs u'ame

Senlis. — Ri d'amende pour

./< * • — Dabi dtmpmlepour

S i'Oht Vé l o c ii 'é d iü u e S b n l is ik n . — A la d e r n iè r e r é u n io n d u S . V . S . , je u d i d e r ­n i e r , le P r é s id e n t a r e n d u c o m p te d e s c o u r ­s e s d u 49 n o v e m b re , o rg a n is é e s p a r le S y n ­d ic a t d e s C o u re u rs , s u r le V é lo d ro m e d e S e n t is . L a d é p e n s e n ’a é té p o u r la S o c ié té q u e d o 70 f ra n c s , e t l e su c c è s d e c e l le l è ie a ô té co m p le t. . . . .

I l a é té e n s u i te d é c id é q u e 1 u n e d e s Irô is c a r te s d é l iv ré e s a u x s o c ié ta ire s s e r a i t s u p ­p r im é e co m in o in u t i le . A l’a v e n i r , c h a q u e in o m b re h o n o r a i r e n 'a u r a q u ’u n e c a r to ; s il

' ^ L a ’s o c ié tô a e n s u i te ré s o lu d e n o m m e r u n e co m m iss io n d e c in q m e m b re s p o u r e x a ­m in e r le s d e m a n d e s d a d m is s io n . O n t é té d é s ig n é s : MM. R e rn a rd -D e u y s , L e p a p e , A rn a u d , L ougo e t D a u ss in t.

L ’o rd re d u jo u r é ta n t é p u isé , l a s é a n c e a ô té le v é e à d ix h e u re s .

I fin a n c e s .- i IJiis-PmüJ, rua AnsUt-A.bsriin

Luoirt

I Dicii. — 27 Pfotçou L éop ol R Û M u n , A ot

I Publications cS o c ié t é d ’E s c r im e df. S e n l i s . — L ’a s -

s e m b lè e a n n u c h e d e s m e m b re s d e la S o c ié té d 'e s c r im e de S e n l is a e u l ie u h ie r v e n d re d i , à s ix h e u r e s a p rè s -m id i , a in s i q u e n o u s l 'a v io n s a n n o n c é . _________________ _

M . le b a ro n R a c le r d ’À lb e , d o y e n d ’âge p r é s e n t , p r é s id e la s é a n c e . M. L e s lé r ie e s t n o m m é s e c ré ta ir e t r é s o r ie r , av ec m is s io n d e r e c e v o i r le s co tis a tio n s a u c o m m e n c e m e n t d e c h a c u n e d e s tr o is p é r io d e s a n n u e l le s d e q u a t r e .m o is .

D a n s u n e p ro c h a in e ré u n io n , l a S o c ié té p r e n d r a le s d isp o s itio n s n é c e s s a ire s p o u r o rg a n is o r l 'a s s a u t d o 1900 e t - e n f ix e ra la d a te .

L a s é a n c e e s t le v é e à s e p t h e u re s .

E T A T C I V IL D E S E N L I Sd u 2 a u 9 d é c e m b re 1899.

N aissances.2. Lecoq (D ésiré-Paul-A lexandre), place M au-

coaseil, 2: Décts.

6. G uérord (M arieC 'a risse ), veuvo R ouzé, 77 ans, ru e d u Faubourg-Saiu t-M arlin , 1.

M ariages.(Néant).

P u b l ic a t io n s de M ariages.8. E ntre M. N arcy (P ierre), ja rd in lo r, et M*' Gay

(Louise Clotitdo), veuve Rémond, cou tu ­riè re , to u s deu x d em euran t à Senlis.

LEV1GNENN o u s a t t i r o n s d ’u n e façon to u te p a r t ic u ­

l iè r e l ’a t te n t io n d e l’A d m in is tra tio n m u n i ­c ip a le s u r l ’é ta t d 'in fe c tio n o ù s e t ro u v e la m a r e s i tu é e s u r la r o u te d e C répy à l le tz .

U n e so m m e d e 4 .5 0 0 f ra n c s a é té d é p e n ­sé e l ’a n n é e d e r n iè r e p o u r c im e n te r e n i iô r e - m e n t c e t te m a re , e t il e s t r e g re t ta b le d e la v o i r t r a n s fo rm é e e n d é p o to ir , o ù to u s le s jo u r s s ’a c c u m u le n t d e s o r d u r e s d e to u te s s o r te s .

I l su ff ira , n o u s e u so m m es c e r ta in s , d e s ig n a le r l e f a i t p o u r q u ’i l s o it r e m é d ié & c e t te s i tu a t io n .

P lu s ie u r s r é c la m a tio n s o n t é té a d re s sé e s à M . le p ré s id e n t d u C o nse il d ’h y g iè û e d e S e n l i s , a u s u je t d e s g a d o u e s q u e c e r ta in s c u l t iv a te u r s la is s a ie n t s ta t io n n e r s u r la v o ie p u b l iq u e .

A v isé p a r l 'a u to r i té s u p é r ie u re , M . le m a i r e d e L é v ig n e n , à la g r a n d e s a tis fa c tio n des h a b i ta n ts , a fa it d é fe n se fo rm e lle à to n s le s c u l t iv a te u r s d e la is s e r , à l’a v e n i r , s ta ­t io n n e r s u r la v o ie p u b liq u e a u c u n c h a rg e ­m e n t d e g a d o u e , m in iè re r é p u té e e t re c o n ­n u e a u s s i n a u s é a b o n d e q u e d a n g e re u s e p o u r l ’h y g iè n e d e s h a b i ta n ts .

larchés d

L e v é l o c i p è d e d e s c a n t o n n i e r s .

L e p ré s id e n t d u T o u r in g -C lu b d e F ra n c e a v a i t d e m a n d é a u M in is tre d e l ’i n té r ie u r q u e l 'e x o n é ra t io n d o la ta x e s u r te s v é lo c ip è d e s , a c c o rd é e a u x c a n lo n n ie rs -c h e fs d u se rv ic e v ic in a l , p a r la c i r c u la i r e d u 30 ju i l le t 489 7 , u t é l n d u e a u x c a n to n n ie r s o rd in a ir e s .

P a r u n e le t t r e e n d a te d u 27 n o v e m b re , l e M in is lro d e l ’i n té r ie u r a in fo rm é M. l la il l if , q u 'i l a v a i t , p a r a r r ê t é d u 25 o c to b re , fa it d ro i t à sa d e m a n d e .

N o m b re d o c a u lo n n io r s h a b i te n t à 5 o u 6 k i lo m è tr e s d e l 'e x tré m ité d e le u r c u i lo n ; il é ta i t i n té r e s s a n t d e le u r fa c i l i te r le m o y eo d e fa ire c e t r a j e t p ro m p te m e n t e t s a n s fa - t ig n e ; c’e s t a u ta n t d e g a g n é p o u r l ’e n t r e t ie n d e l a r o u te .

O dje t t r o u v é . •— V e n d re d i s o ir , à s e p t h e u re s , les o u v r ie r s d e M. Z o rr , b o u la n g e r , 5 , r u e I te llo n , r e n t r a n t à l e u r t r a v a i l , o n t tro u v e d a n s la r u e u n b oa .

L a p e r s o n n e q u i l ’a p e rd u e s t p r ié e d e v e n ir le r é c la m e r à c e t te a d re s s e .

te kil." i'-’ q*

u variation.

to*W-VALOII

C o n t r i b u t i o n s d i r e o t e s .

D F C L A I t V T I O N ' HA fa i r e p a r les p o sse sseu rs de C h ie n s , C he­

v a u x e t V o itu re s , e t p a r les p r o p r ié ta ir e s de H il la r d s , Vélocipèdes e t V o itu re s a u ­to m o b ile s .I.o M a ire d e la V ille d o S o n lis ,R a p p e lle a u x c o n tr ib u a b le s p a s s ib le s d e s

ta x e s s u r les c h ie n s , s u r le s c h e v a u x e t les v o i tu re s , s u r les b i l la r d s , v é lo c ip è d e s e t v o i tu re s a u to m o b ile s , le s d é c la r a t io n s q u ’ils o n t à f a i r e , c o n fo rm é m e n t a u x lo is q u i r é ­g is s e n t c e s ta x e s ;

1® D é c la ra tio n s à fa ire a v a n t lo IG j a n v ie r : P o u r los c h ie n s p o ssé d é s a u 1er ja n v ie r

4900 ;P o u r le s v o i lu re s s u sp o n d u e s d e s t in é e s a u

t r a n s p o r t d e s p o rso n n e s ;Pour, los c h e v a u x d o r e l ie ;P o u r le s c h e v a u x s e r v a n t à a t t e l e r les

v o i lu re s im p o sa b le s ;

2° D é c la ra tio n s à fa ire a v a n t lo 31 j a n ­v ie r :

P o u r le s b i l la rd s p u b lic s o u p r iv é s ;P o u r los v é lo c ip è d e s à u n e o u p lu s ie u rs

p laces o u à m o te u r e t v o i tu ie s au to m o b ile s .

d e s d é c la ra t io n s n e d o iv e n t p a s ê t r e r e ­n o u v e lé e s c h a q u e a n n é e , m a i- e lle s d o iv e n t ê t r e f a ite s e x a c te m e n t p a r les n o u v e a u x im ­p o sa b le s e t p o u r Ions les c h a n g e m e n ts s u r ­v e n u s d e p u is l 'a n n é e p ré c é d e n te d u o s les é lé m e n t s d e c o tis a tio n .

Les p e r s o n n e s q u i , d a n s lo c o u ra n t do l ’a n n é o , d e v ie n n e n t p o sse sse u rs d o c h e v a u x , v o i lu r e s , v é lo c ip è d e s , v o itu re s au to m o b ile s o u a p p a re i ls a n a lo g u e s , d o iv e n t o n fa ir e la d é c la r a t io n d a n s le d é la i d o t r e n te jo u r s .

F a i t à l ’H ô le l-tle - 'V ille d e S e n l is , le 10 d é ­c e m b re 4899.

Le M aire,

D e u x v o ls , q u i d é n o te n t ch ez l e u r a u te u r u n e r a r e a u d a c e e t u n e c o n n a is s a n c e p a r ­fa ite d e s l ie u x , o n t é té co m m is c e s jo u r s d e r n i e r s d a n s le m ô m e a p rè s -m id i .

7 5 f r a n c s a p p a r te n a n t è la b o n n e d e M. l l a m e t , b o u la n g e r & L é v ig n e n , o n t é té s o u s tr a i ts d a n s u n e m a lle p la c é e d a n s la c h a m b re d e c e lte fem m e .

470 f ra n c s o n t é té s o u s t r a i t s , a v e c le p o i le -ra o n Ù é ié q u i les c o n te n a i t , a u p r é ju ­d ic e d e M . C a ille , f r u i t i e r à L é v ig n e n , q u i les a v a i t p la c é s d a n s le t i r o i r d e so n c o m p ­to ir .

U o e m in u t ie u s e e n q u ê te a é té fa ite p a r la g e n d a r m e r ie d e B e tz , e t i l e s t A s o u h a i te r q u o l’a u d a c ie u x v o le u r s o it a r r ê té e t p u n i c o m m e R le m é r i te .

L e T o u r in g -C lu b d e F r a n c e a d é c id é d ’o r ­g a n is e r u n b.il a u p ro f il d e la C uisso d e s e ­c o u r s a u x c in to m u e r s . C e b a l a u r a l ie u à P a r i s , a m o t e l C o n t in e n ta l , le s a m e d i 6 j a n ­v i e r 4900.

to u t e n t iè r e d e v a n t lu c o m m iss io n .A }a m a jo r i té u e s m e m b ie s p ré s e n ts , le

r e n v o i est d é c id é .

L a c o m m iss io n sû r é u n i r a m a rd i p ro c h a in , d a n s la m a t in é e , c l lu r é u n io n d u C o n se il s e r a p ro b a b le m e n t fixée a u v e n d re d i s u i­v a n t .

B n fin d e s é a n c e , le M a ire c o m m u n iq u é n u C o nse il u n e le t t r e d u s o u s -p ré f e t lu i fa i­s a n t c o n n a î t r e q u e d e u x in d u s tr ie ls d e m a n ­d e n t à é ta b l i r a S o n lis u n e b o u c h e r ie r h o - v a l in o e t p r ie n t q u 'o n li.xo le ta i i f d ’a b a la g e d e s a n im a u x .

L e C o nse il fixe à 1 c e n t im e p a r k i lo ­g ra m m e le d ro i t d e p lace e t d ’ab a tag o .

L 'o rd re d u jo u r é ta n t é p u is é , la s é a n c e e s t lo v é e à d ix h e u re s .

•Maxxnci

U n e b é v u e .

C es jo u r s d e r n ie r s , s u r u n e p la in te a d r e s ­sé e a u p a r q u e t d o S e n l is , M. C a r iu , h o r lo g e r à Y ille rs -C o lle rô ls , p r é c é d e m m e n t é ta b l i à B é th is y - S a in t - P ie r r e , s e v o y a it a r r ê t é ch ez lu i , r u e A le x a n d re -D u m a s , c o n d u i t A S o is - so n s , d 'a b o r d , p u is A S e n l is , e t , f in a le m e n t , in c a rc é ré c b u u û o p ré v e n u d ’a b u s d e c o n ­f ian ce o t d ’e s c ro q u é n e . I n s tru c t io n co m m e n ­c é e , o n s’a p e rç u t d o s u i te q u ’il n ’y a v a i t r ie n d e to u t c e la . . . e t M. C a n n fu t r e n d u A la l ib e r té ; so u < c i im e » é ta n t d e ceu x q u e co tn m t to u t jo u r n e l le m e n t e t trè s ju s te m e n t se s c o n f rè re s , lo r.-quo la s o lv a b ili té d u c lie n t l e u r p a ra it d o u te u s e , A s a v o ir : d o n e r e d e s - s a i ' i r d e I o b je t r é p a r é q u o c o n tr e le c o û t d e c e tte r é p a ra t io n .

D onc , M. C a r in fu t re lâ c h é ., I î io n . M ais M. C a r in n e ko t ro u v e p a s co m m e a b s o lu ­m e n t r é h a b i l i té d a n s I o p in io n d e ce u x q u i l ’o n t v u p a r t i r o u tr e -d e u x g e n d a rm e s . L a co m p n g u io fo rc é e d e c e s h o n o ra b le s s e rv i­te u r s d e la lui p r o d u i t to u jo u rs u n e fâ c h e u se im p ie s s io u q u e M. C a i iu v o u d ra i t v o ir d é ­t r u i t e . H re f l l’ac c u sa tio n d e c u lp a b ili té a y a n t é té re n d u e p u b liq u e , i l im p o r te q u e la c o n s ta ta tio n d e n o u -c u ip a b i i i é le s o it é g a le - in e n i , e t , n o lu m iu o n t, p a r q u e lq u e s l ig n e s in s é r é e s d a n s lo s j o u r n a u x . V o ilà q u i e s t

“■ • o c e s J

v ' A a n c ti

î*5l « lo n ç u

‘^ E t i e n n e :SflfM ams fcn

tJ Vicb jp e u r a n t à n u i

Uu^,0? (1° bor r * Cires |,b w )Cn,|8'il

«>0 Cf>s nl» ° D 8 . s’i

L a Q u e s t i o n « l u G a z .

A p ro p o s d e n o t r e c o m p te - r e n d u d o la d e r n i è r e r é u n io n d e s g ré v is te s d u g a z , n o u s r e c e v o n s la c o m m u n ic a tio n s u iv a n te :

Sonlis, le 8 décombro 1899.M onsieur le R édacteur en c lt-f

du J o u r n a l de S en lis ,. Nuits p renons I» h b o ité d’apporter uno n c lil l-

eation à votre cum plc-roudu do la d ern iè re réu ­nion des G ievislos d u gaz, on la sallo dotf A rènes.

Il n 'e s t a p p a ru è Mtcun de nous quo c e tte rou- nion a it eu la note gaie e t « à la blague » que vous lui p rêtez , pas p lus du re ste q ue la p re ­m ière n ’avait c lé trag ique. Notre av is es t q ue ces doux réunions ont absolum ent consorve lo ca rac tè re qui convien t à dos assem blées où des com m erçants un is db o u to n t leu rs iutérôts.

La com m ission a reg re tté égalem ent que votre com pte-rendu ait c ru devoir m alm ener quoique pou l’u n des viens, q u i n ’a la p rétention d ’ôtre ni un o ra teu r, n i un rhétoricii ti.

Nous estim ons, nous, qu 'il faut savoir g ré à 'a p e rsonne en quesliou de sa courageuso india* tivc, t t nous peusons donc — e t beaucoup pua*.

C es jo u r s d e r n ie r s , l e n o m m é G r im b p r i ( L é o n ) , o u v r ie r d e M. L a u n é , e n t r e p r e n e u r d e m a ç o n n e r ie A L é v ig n e n , a r e ç u u n co iip d e lim o n d a n s les cô te s .

C e t a c c id e n t, s a u f co m p lic a tio n s , n ’e n t r a i - n e rn q u ’u n o in c a p a c ité d é t r a v a il d ’u n e h u i ­ta in e d e jo u r s .

M AROLLESP u r a r r ê t é d o M. le p ré fe t e n d a te d u

25 n o v e m b re , M. L o n g u o t, m a i r e d e M a- r o l lè s , a ô té d é s ig n é p o u r r e m p la c e r M. C o n s ta n t M oquet co m m e m e m b re d e la C h a m b re c o n su lta tiv e d ’a g r ic u l tu re d e l ’a r - r o u d is s o m e u t , p o u r lo c a u to n d e B q lz .

TH URY *EN*VA LO I$L o b n e u d e fa c te u r - re c o v e u r a c c o rd é à

la c o m m u n e do T t iu ry a - t .o ü v e r t a u p u b lio d e p u is le 1*r d é c e m b re d a m ie r ; H d e s s e r t

A . t r a v e r s © e n l i e .

S o ir é e a t. E vi' u iié — Q u e lq u e s porsonnes d o n o i r e v i l l e o n t d o n n é m e rc re d i d e r n ie r n r .ô so iré e d a n s le s s a lo u s d o l’a n c ie n K vô-

La r é u n io n a v a i t u n c a ra c lè ro a b s o lu m e n t p r iv é . N ous d e v io n s y a s s i s te r ; tn a lb o u re u - s e m e n t , u n e c irc o n s ta n c e in d é p e n d a n te do n e t t e v o lo n té n o u s on a o m p ê c h é . N o u s lo r e g r e t to n s b ie n v iv e m e n t, c a r , d ’a p rè s to u t t o 'iiii n o u s e n e s t r e v e n u , l a so iré e a é té r a v i v a n t e . ,

Lu fo n d d o la fêle c o n s is ta it d a n s u n e co - m é d fe d e s a lo n . Q uan-I n o u s d i> ons co tn é tltn d é s a lo n — e n le u d o n s n o u s — n o u s vo u lo n s

Page 3: T JOURNAL OE - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1899-1900/bms_js_1899_12_10_MRC.pdf · awS“F*'K,,siü i i i m ü»Si£ à la°pumdéeu/B' d° é° ^ è‘mS-P»“8 SENLfS Tribunal

J S S Ù B B B Êh a b i ta i t « lie z su p è r e , I , r i io d o F o u rq u e -

. - - - M â f c & f eta lio n s . , Al n

Q u an d o n a r e t i r é la m a lh e u re u s e j e u n e fille] jL 'S jffitâ& jftjtaU déjà), c o m p lè te , e t m a l-

W lW ^ W r é l^ u é s q d f l ü ^ o n t é tè ! pro*-

uoa n o u n , su d nm u iu iu u tu a IOUU e n Sere n d a n t à so n t r a v a i l ; c 'e s t , d o re ste ', à u n e m o rt a c c id e n te l le q u ’a c o n c lu le c e r t i f ic a t d u S M le t i rH e n s ta i] , q u i l 'a e x a m in é e .

J O U R N A L D E S E N I J S

B E T H I S Y - S A I N T - P I E R R EO b l i q u a d e I I . U e a u d e q u in -K s m e r y .

L u n d i d e r n i e r , à d ix h e u r e s e t d e m io d u

« î n f e b ? ? i i î i £ j UVe ? l é # , i M ( |o l lé i l i is y - o i i n K s f f l i à ? V * 0 M; " a a u d o -q n m -E s m e ry , d o n t n o i i i a v io n s a n n o n c é le d è ç ô s d a n s n o t r e n u m é ro d e s a m e d i d e r n ie r

L a s s is ta n c e é m i t n o m b re u s e , p lu s n o m ­b r e u s e e n c o re q u e c e l le , p o o r la n t s i im p o r ­t a n t e , q u i , l a i f i s e p te m b re d e r n ie r , a s s is ta it

n ï & f f i * î ? ,î r i . î e ,Tj ! o m a s* u n e v 'c l im e d u t r a v a i l , m a is i l f a u t d i r e q u e M. B e a u d e q u in -K sm nrvA W .r «t. ^ g()Q c a r a ‘ lô re

î r l ’e s tim e d e c h a c u n »» m» m iro , m m u a u s so n p a y s q u e d a n s ceu x

.e n v i r o n n a n ts ; ;d e n o m b re u x a m is , le s a u e ls Io n t te n u à racc o m n n e rn a r i n tn n ’A ln ...... I

imnnsi s so u o w u , u u t t B ^A dlU lU t», . . e - , e > . . Hu u ,9, , u c AlumulCUX. aUHS. lOSOUOlS I

fixée. ‘ i r . nfrisQit •

Le J e u n e J 'o m e t :(E o è è n e ) , Agé d e 1 4 a n s . a p p r e n t i 'a ju s te u r a l 'u s in e V o ir in , s 'o s t , lé i c o u ra n t, b le s s é a s se z s é r ie u s e m e n t l ’a u r i - i —c u la ire d e la m a in g a u c h e e n p o l is s a n t u n e b r e u s e s c _________S l t î a e s t im é l ’in c a p a c i té d e i r a - b o u q u e ts d e f le u rs co u p ées?vail à d o u z e jo u r s . ' • (• L a P a r ' - * • •

S , r ^ , t S r ^ u Pevad,an5 10 C" “ r -

< ■ L a S u in le -B a r b e .

s p le S d id e ’ L <l U lllre ' P a r . un<> jo u r n é e

KU?ePsre SreUn"ditXs m 6" 1 '1éj' l," " e r ' '» C om pa­g n ie s e r e n d i t à M a g n e ra , c h ez le svn in»

I m m r n mI o — «V U ijresiliu,, L ’o f f r a n d e q u i u e n l ie u p e n d a n t le s e rv ic e

™ m o m s d e tro is q u a r t s d 'h e u r e : c e la e s t s u ff is a n t p o u r p ro u v e r q u ’i l y a v a i t é n o rm é m e n t d e p e rso n n e s .

L à c e rc u e il d is p a ra is s a i t s o u s d e n o m ­b r e u s e s c o u ro n n e s e t u n g r a n d n o m b re d e D o u q u e ts d e f le u rs co u p é e s .

L a F a n f a r e m u n ic ip a le a f a i t e n te n d re

r é m o n to * m o rc e a u x ft,DÔbre8 p e n d a n t la c é -

| . R e m a rq u é n o ta m m e n t : MM. H a r d y ,m a i r e :

C R É P Y e - E N - V A L O I S j i g & V ' J S E Î tb u r e a u d e c h a c u n e d e s S o c ié té s d e s e c o u rs m u tu e ls , u n e d é lé g a tio n d e l a S o c ié té d e m u s iq u e I u n i o n m u s ic a le a v e c l a b a n n iè r e .Ri. An nnhnrii rl’n t.n . . . ■ ■ *

Æ e ' T I Vaif à d o u z e jo u r s .

LaCrcpy M . . o a m ie - r i a r n e le s a m e d i t f i c o u - ran i, p a r u n b a n q u e t 's u tv i d e b a l, q u i a u r o n t lieu a u x T r o is P iq e o n s .

Le b a n q u e t a u r a l i e u a s ix h e u re s e t d e m ie . Le b a t c o m m e n c e ra a d ix h e u re s . S o u t

com m issa ires : M « . M o in a t, s e rg e n t : G u u v A m edée, c a p o ra l ; L a m b in , V e ru e t, B ie r rv

. fiouply, s a p e u r s J

e t , e n d e h o r s d 'u n e g ra n d e p a r t ie d e la po p u la t to n d e O é th isy - S a in t - P i e r r e , u n g ra n d n o m b re d e p e r s o n n e s d e B é th is y -S a in t M a rtin e t d e n o m b re n s e s p e rs o n n e s d o ComJiciBWUUeS u e u o m - p ié g u e . E n tré e s S a m t-D e m s , P re s n o y - la R i­v iè r e , (vlfllffnnu ' D eonil P . / » . n . r —

, vvo .ruxiii y c iu o , r i o s u o j . i a m »G la ig n e s , G ra n d -P re s n o y , C rô p y -e n -

V a lo is , V e rb e r ie , L e M eu x , B a z ic o u r t , N é ry , S a ïu tm e s , S a in t - S a u v e u r , e tc ., e tc . , n e r - so n h e s q u e n o u s n e n o m m e ro n s p a s , à n o tr e g r a n d r e g re t , p a r c e q u e la p la c e n o u s m a n -S p o r t V é l o o i p é d i q i t e d u V a l o i s . I Era o d . r e g r e t , p a rc e q u e la p la c e n o__

- p - U i Œ l’AtM. i ü r g u e ^ t C he- f f i , f " S S S . l0U ,rem “ r‘1“ e r ‘la " s " " e p”i................... I An a l . , . ! . ' ! IV 1

nouveau* val lier.

Il a é té d é c id é e n p r in c ip e q u ’u n b a l d e société s e r a i t o rg a n is é c o u ra n t j a n v ie r * la

, date de ' c e t te s o ir é e d a n s a n te s e r a fix ée exactem ent d a n s la p ro c h a in e r é u n io n .

. jB e m a i 'n s q i r ! d im a n c h e , a u t h é â t r e d e

tro u p fflhm ry G a u th ie r ., p .. ^Le renom d é c o l lé e x c e l le n te t ro u p e e s t

d X ' f r a 1 p x c e l le p ie in to rp re ta t io n

* « » « •

T r i b u n a l d e e i m p l e p o l i o e d u o a n t e i i d e C r é p y . e n - V e l o i e .

A u d ie n c e ' d u S d é c e m b re ! b 9 9 .

m ù y - t o M - i ï e r r e . ^ D slahaye, veuve D u- _rosprez, a B ath lsy-Sain t-P ierre , 1 f r . d ’am ende

I foM colJlr8VenHon i l 'a rrê té m unicipal d u 17 m ai 1 1899, concernant les dépôts' d e pulpe.

I o f r ^ ' i T ” G,dJ ü enM L bm & -G au th ié rj,i CréDy.■ * francs d am ende p o u r tapage nociu rne.

I d'uueedti pou* ’d iv s g J îm f t t ’ tm iw 'l iS s 'c S îm j '

l ï f c p ï a / r ” 8 DeblUre’ ‘ V“ ' 1 b -

A u c im e tiè r e , M. H a rd y , m a i r e , a u n o m d e la M u n ic ip a lité , d o n t le d é f u n t a fa it p a r t i e ; d e la S o c ié té d e s e c o u rs m u tu e ls , S î P J i éi a i l v ic e -p ré s id e n t , e t d e s d iv e rs e s S o c ié té s d o n t i l é ta i t m e m b re h o n o r a i r e , a p r o n o n c é u n é m o u v a n t d is c o u rs q u i a n ro - io n d é m e n t im n r« s s io n n é l ’a s s is ta n c e .

*

A 1 o c c a s io n d u d é c è s d e l e u r ép o u x e t p è r e , e t à s a m é m o ire , M” ' v e u v e B e a u d e - q u jn -E s m e ry e t se s e n fa n ts o n t v e rs é :

j 00 f r a n c s a u B u re a u d e b ie n fa isa n c e *<00 f r a n c s à la F a n f a r e m u n ic ip a le , *E t 100 f r a n c s à l ’t f n io n m u s ic a le .

Il RPR p lin rrn n n .n , : ___ _

. .. , <JU, uotJlX h > .s r^ r« < K f M X m io io ts n e l a '

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m a b le g r a c ie u s e té n?,1 La f e f r“ ,aT ec « » • « I-

T R U ItlIL L YU n e m o d e d e b lé a p p a r te n a n t 4 M. L uci

ag r iC 'i i to n r , a é té , p a r a i t - i l , b r û lé e d a n s 1 n u i t do lu n d i à m a rd i .

O u ig n o re la c a u s e d e l 'in c e n d ie .

a a n ^ é ta i e n t s i n o m b re u x q u e c h a n u e

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f u r e n t p t T u b i i é V ' 68 M f a “ la P r t s e m s “

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M. F ro m e n t , I r i H a m m e d 'é c l a h é e e t ‘d é c o ré e p o u r la c i rc o u s m u c e d 'é c u a r e u '^ t l a p a n t

- L e s e rv ic e é t a i t p a t fu i t ; v o ic i lo m e n u :

t m o k a t i n e ^ i

K A N T E ü I L - L E - H A U D O ü I N

B O R E S T

. h S l i 808'816 a m if ''‘ io d o ‘i f ‘I» H o res t a a in s i c h o is i so n c o m ité p o u r 1900 :

F l e 'r y - ÜM « “ f f » Edouard

V o ic i lo s m e i l le u r s r é s u l ta ts o b te n u s , en

( d f e i g Ï S / ; ' “ r d " 86 m n m b ‘ °

1. C h a rlie r(Ju le s )..2 . Thuret (A lb o r i) . . . .3. Coimot (H en ri)___4. Dckerpoi (Pernautl)

et, d i s m t dPS m o u ie n ls g a g n s ic i e t d a n s les e n v ir o n s , q u e n o u s p r io n s to u s n o s le c te u r s d e f a ir e a t te n t io n à «ou in s e r t io n d o ce jo u r . * « * u n o n a

~ - mw m m MW IRR

l ü f 2 0 , « J O U R SS s r i *<w < * a torimd

• T A S i S v œ s i n ™ .

«H VXNTE DANS VOUTtS LES PHAHMAÇIg,

35 points. 3< — 32 - 31 -31 - 31 - 30 - 20 —

' pc, \.wmuuu5 . R a y o n (L o u is)...........6 . R a y o n ( E d o u a r d ) . . . .7 . F ie u ry ( E d o u a r d ) . . . .8 . L a v o is ie r ( E u g è n e ) . . .9 . D u b a rle (G e o rg e s ) . . . . zu _

Le C om ité : vH . Coimet, J . C iunTiEn, E . Fleur y.

P L E S S IS -B E L L E VILLE.^ r a n c !i * l ' i n f o r tu n é h o m m e d 'é q u ip e

n S L i ü r J ^ b e é c ra s é o p a r u n t r a in de m a rc h a n d is e s , le 20 n o v e m b ie , e s t d é c é d é le m e rc re d i s u iv a n t , à l ’h ô p i ta l L a r ib o is iè re , d e s s u u e s d e so n a c c id e n t .

B t i g * 1 J j p j M W r w g so i.ib B ,. ■— 8 - ;i LuoieUbe-Ltmiwj- Jo a i ta e , rue Saint-’

E i ' “ n> A o to ia i-Jo sep h , 4 9 «n i , a re o a e de

I Publicationi de m ariages. — (N éant),I - (Néant).

, C o n tr a v e n t io n a u r è g le m e n t d e p o lice m u -

d e r n i e r & ^ r0 3 sée c o n tr e M . F . . . , je u d i

G I L L O C O U R T

t n „ ^ li™ W ie 3 o p o m p ie re f ê te r a S a in te - B a rb e d e in a in d im a n c h e ; à s ix h e u re s

J b a n q u e t c h e z M . T h ié ü n e . ’

O R R O U Y -----------C o n tr a ir e m e n t à c e q u e n o u s a v o n s a n ­

n o n c é d a n s n o t r e d e r n i e r n u m é ro , ce n ’e s t

S a in te -B a rb e q“ 9 168 p o m p ie rs fé l0 n t

C e tte fé te a l i e u s e u le m e n t d e m a in d i­m a n c h e .

S E R Y -M A G N E V A LOn n o u s écrit j

i s r s i î s s so r c h e s t r e g ro te s q u e , n e , p o u v a n t p lu s s a t l s - f a i r e r e m a n i é « v ib r a to i r e x / e s t a l o X n o u v e l in s t r u m e n t q u i n e . v ib re » p a s , j t p o u r c a u se : c 'e s t l 'a p p a r e i l c h e r 4 M o liè re .

f J 8 u ran1 .' a p o th ic a i r e d e I » . c la sse , v ie n t c h a q u e j o u r l u i e n s e ig n e r la b o n n e m a n iè r e d e m b o u c h e r l ’in s t r u m e n t « n o n - v ib r a n t » .

h n l ' a 8 lo a l, l i a a d 'o s p û re r q n e l 'a c r e t é d e Y 'fiY atour » , c o m m e c e lle d u b o u -

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le s co n co u rs6Se t° d e 8|* 6 î,d e *eU i8 s u c c è s t,a n s I *-« s o ir , 4 d ix h e u r e s , l a Com pag

5KT..Ï5 Æ ““ “ -h a u t e t f e rm e le d ra p e a u d e la

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s e n h m è m a 'le s a ”le s ,>c h i0 s o S t s T c é d é j ' J , eJ '4 m i no m L COmi,iUe8’ 88fAHASf,?ia ? e s é l?.o t a Io r® «r r iv é è s , u n e sau

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j ’ , les 100 k il.bect. 100 k . BW l) la n o 17 00 17 60

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Domingo élu e n l'K tm ie de M 'B an- d o n . . . 7 ?' i / ; ' , ' P o u r , insertion ,:

(S igné) BAUDON.

EtUflé ôq H Goorgèa MORaND, « J - * q ^ f t avoué à «ehhs, ■

ru e S a in t-H ila ire , n ’ 10, (Successeur d e M* Lxvizux).

Î-.CVV

Par a u lte d e L ic ita t io n

m m m i s

m é b & M t k , ■■Ueu dit La Toilerie,

L aW udicaÜon au ra lieu le M a r d i ^ ^ . " è o e m b r e 1 8 9 » ,; d . t t n a t u u V ê d e r t M i e , -

S î - ? r K : fc!, *e n u ib n m e n u : 1 A 11 M o r a n d , avoué i se n iis

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des titres de propriété.

Etude de M* M É Z IÈ R E , no taire à Botz.

A V endre par A djudication Le D im anche >7 Décembre 1899,

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notaire è Betz,En la M airie d ’O rm oy-Ie-D avien,

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Le D im anç- e 17 Décembre 1899, û d e u x heures,

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Invitation è la participation aux e h t t n c e m d e g u t n t

au x grands tirages des prim es g aran tis par l’Etat de Ham bourg

dans lesquels 11 MILLIONS 349 ,3 2 5 MARCS

seront sûrem onl tirés.Dans ces tirages avan tageux ,

con tenant selon le prospectus seu­lem ent 118,000 billets, les lots suivants do iven t ê tre forcém ent< agnés en 7 tirages, d ans l ’espace< e quelques mois, savoir :Le lot principal e s t év. 500 .000 m,

i p rim e 300 .0 0 0 m arcs 1 lo t à 200.000 —1 lot à îo o .o o o -2 lots à 75 .000 -1 lot à 70 .000 —1 lot à 6 5 .0 0 0 —1 lot à 60.000 —1 lot à 55 .000 —2 lots à 50.000 —1 lot à 40 .000 —1 lot à 30 .000 —2 lots à 20.000 —

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L’ém ission se fait en billets e n ­tiers, dem i et quarts de billets. L« dem i, respectivem ent le q u a rt de billet ue donne droil qu’è la moitié respectivem ent qu ’au quart de la som m e gagnée par lo num éro du billet.

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e t la distribution des lots su r les divers tirages sont indiqués dans lo pro-ptctU 8 officiel qui sera g ra­tuitem ent expédié à chaque parti­c ipan t, ainsi qu’à tous ce u x q u i en font la dem ande. Chaque p arti­c ipan t reçqit de moi, im m édiate­m ent après le tirage, la l is te />fln cielle des lots.

Lo paiem ent e t l'envoi som m es gagnées so font par moi directem ent e t prom ptem ent aux in téressés ot sous la d iscré tio n la p lu s absolue..

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