1

Bien le bonjour ! Eh non ce n’est pas El Tortillas de la Muerte ou Loux qui rédige cet édito pour ce numéro. Comme vous avez dû le remarquer sur la première de couverture, une nouvelle équipe prend le relais. Bon rassurez-vous, les anciens (mais non ça veut pas dire que vous êtes vieux, me frappez pas !) sont toujours là. Nous avons en plus quelques nouveautés à vous proposer. Donc comme quoi, c’est pas une raison pour ne plus lire le journal hein ? Hein ? Pour ma part, c’est mon premier édito (et article) donc soyez indulgent là dessus (par pitier ! !) Des nouveautés je disais. Sur le sport (une idée comme ça qui passait par là je suppose), sur vos séries préférées (ou pas… ?) et le retour (apparemment) de Jeezyix dans les jeux vidéo. Donc raison de plus pour le lire hein ? Hein ? En vous souhaitant une bonne lecture si vous êtes toujours là.

Astra

L’édito

PAGE DE GARDE-FOUS

Sommaire : - Page 1 : Edito, sommaire, blaguounette du mois - Pages 2 à 3 : Les news - Pages 4 à 18 : Les chroniques - Animé, pages 4 à 5 - Cinéma/Série, pages 6 à 8 - Jeux Vidéo et Pointeur Gaming, pages 9 à 15 - Musique, pages 16 à 18 - Pages 19 à 21 : Sport - Page 22 : Casse-têtes, solutions et crédits

La blague du mois :

« À l'origine, Bill Gates voulait faire un logiciel d'agriculture. Il a réussi : Windows plante ! » Jeezyix

2

LES NEWS

Les News

Vous connaissez sans doute Netflix, le fameux site de streaming de séries et films. Cependant, les li-cences permettant de visionner une

vidéo sont souvent limitées à un certain pays, et le contenu disponible est donc variable selon le pays dans lequel on habite. Afin de pallier ce problème, il existe différents outils, de type VPN, proxy ou “débloqueur”. Je ne parlerai pas des différences entre ces outils, mais je vous invite à vous renseigner, c’est plutôt inté-ressant. Récemment, en réponse aux demandes des propriétaires de contenu tels que Sony Pictures Enter-tainment, qui a accusé de ne pas respecter son contrat de licence en raison du manque de mesures pour limiter la vue de contenu à certains pays, Netflix a décidé de prendre des mesures : David Ful-lagar, vice-président de l’architecture de distribution de contenu de Netflix, a dévoilé, le 14 janvier 2016 sur le blog de l’entreprise, que les utilisateurs de proxies et débloqueurs de contenu ne pour-ront plus qu’accéder au contenu du pays dans lequel ils résident. Selon lui, ce changement ne de-vrait pas impacter les utilisateurs lambda, uniquement ceux cherchant à accéder à du contenu non disponible dans leur pays. Cette annonce a été assez mal vue de la part des fournisseurs de VPN, certaines personnes utilisant des VPN dans la seule optique d’améliorer leur connexion à Netflix, les grands FAI américains Com-cast et Verizon ne délivrant pas une connexion optimale selon certains. La difficulté pour Netflix étant donc de ne pas biaiser ces individus, qui ne cherchent pas à accéder à du contenu limité géo-graphiquement qui ne leur serait pas accessible, mais uniquement à avoir une expérience plus agréable. Certains fournisseurs de VPN se sont cependant spécialisés dans le visionnage de contenu géo-bloqué, c’est le cas du service VPN australien uFlix proposant, contre 2 AUD par mois (soit 1,39 €), un VPN de qualité. Moins de 2 semaines après l’annonce de Netflix, uFlix a reporté que certains utilisateurs voyaient s’afficher le message « You seem to be using an unblocker or proxy. Please turn off any of these services and try again. » (« Il semblerait que vous utilisez un déblo-queur ou proxy. Veuillez s’il vous plait désactiver ces services et réessayer ») lorsqu’ils tentaient d’accéder à du contenu bloqué. Cependant, seulement certains utilisateurs ont vu ce message, ce qui pourrait faire penser que Netflix a décidé de ne bloquer que des utilisateurs précis, et non le service utilisé.

3

LES NEWS

Ces mesures pourraient bien amener à la perte de nombreux abonnements pour Netflix : si leur service s’avère efficace, c’est en partie grâce à la possibilité de voir du contenu bloqué, le catalogue par pays s’avérant souvent assez limité. Ainsi, en France, nous ne disposons que de 1923 séries et films, tandis que les USA, pays dans lequel il y a le plus de contenu, dispose de 5770 séries et films. (source : flixsearch.io) Pour l’instant, le contenu des autres pays est encore accessible assez facilement, il ne reste donc plus qu’à voir si Netflix va réussir à tenir ses objectifs, ou bien même si ces annonces et quelques retours n’étaient destinés qu’à faire plaisir aux propriétaires de contenu, afin de ne pas entâcher leurs accords, nécessaires à la survie du site de streaming.

Visuellement vôtre, ExplosiveBrownie

Bob Lennon Bonsoir ! Je suis Naerwen, haha et aujourd’hui vous l’avez compris je vais vous parler de B-B-B-B-B-Bob Lennon ! Ce YouTuber ultra connu sur YouTube avec son compère Fanta avec qui il a d’ailleurs créé le FantaBobWorld sur Minecraft ou encore les chaines TheFantasio974 ou FantaBobGames. En effet je vais vous parler de mon chouchou parmi YouTube, mon idole, que dis-je Dieu vivant. C’est en 2011 que Bob Lennon et TheFantasio974 se sont rencontrés pour la première fois sur le serveur Minefield sur lequel Bob était maire de la ville d’Azur (cet homme n’est pas né de la bouse comme n’importe quel Jean-Kévin de douze ans) et c’est ainsi que commença la grandiose aventure de cette bromance éternelle qui les a conduits jusqu’ici à la gloire et la reconnaissance sur YouTube. Bref, je m’égare. Bob Lennon est très reconnaissant envers sa communauté de fan qui le suit depuis ce temps-là et sa meilleure manière de les remercier était de venir à toutes les conventions possibles et imaginables concernant les jeux-vidéos et à celle où il est invité bien sûr. Mais vous voulez de l’actualité n’est-ce pas ? Eh bien en voici. Bob Lennon et ses compagnons Krayn (Krayn_Live VOD), Fred et Seb du grenier sans oublier Mahyar (Réussite Critique) leur MJ afin d’accomplir deux saisons entière de Jeux de rôles papier réalisés grâce au site de jeu de rôle roll20. Spoiler : il y a ÉNORMÉMENT de fan-fictions sur leurs aventures. De plus, pour les fanas de live, sur la chaîne bazar du grenier, il y a les rediffusions de live en dehors de la quête principale qui sont uploadés et il y a environ 1 live par mois sur ces aventures. Oh et au fait, il n’a toujours pas terminé son let’s play sur The Elder Scroll V : Skyrim (il en est à l’épisode 403). Donc si tu es courageux, tu peux regarder les épisodes de cette série géniale ;-) Enfin, pour rester dans l’actualité concernant YouTube, il y a la nouvelle section nommée tendances qui, dépendamment de la catégorie choisie genre musique, jeu-vidéo ou même sans filtre, cela vous met en avant les vidéos qui sont les plus vues sur la toile. Vous voulez mon avis ? Je pense que c’est une mauvaise idée puisque cela ne permet pas aux petits YouTubers de se faire connaître et cela ne fait que faire plus d’argent à ceux qui sont connus comme par exemple Squeezie ou Cyprien quand ils sortent des vidéos… Cependant, si on se met de l’autre côté du miroir, c’est une bonne idée pour les YouTubers connus qui se servent de YouTube pour vivre, cela leur permet de vivre plus longtemps (ou en tout cas un peu plus confortablement). Sur ce je vous ai pris assez de temps, je vous laisse lire la suite de ce numéro. Ciao, allez zou *bruit d’otarie fait par un gadget*.

Naerwen

4

Bilan de l’année 2015 Les saisons s'enchaînent et nous régalent plus ou moins d’animés divers et variés. L’automne s’est achevé et laisse donc place à l’année 2016, mais aussi à des séries toutes fraîches tout droit sorties des studios japonais. Au moment où j’écris cet article, il m’est difficile de faire la critique d’un seul anime : il est beaucoup trop tôt pour donner mon avis sur ceux qui viennent de sortir, et beaucoup trop tard pour vous parler de ceux d’automne (ça remonte, aucun ne m’a particulièrement plu donc je les oublie très vite pour faire le ménage dans ma cervelle, et parce que flemme surtout). Dans cet article, je vais donc vous lister les séries de l’année 2015 (vive l’originalité) pour lesquelles il ne faut pas passer à côté.

Hiver 2015 :

Death Parade : j’ai écrit un article sur celui-ci dans un des numéros du 404. Amusez-vous à le retrouver ! Ansatsu Kyoushitsu : l’adaptation du manga Assassination Classroom qui bénéficie actuellement d’une deuxième saison cet hiver 2016. Je l’ai aussi critiquée dans un numéro du 404. Bonnes recherches !

Printemps 2015 : Owari no Seraph : cet animé possède 2 saisons sorties la même année (printemps et automne). L’histoire se déroule dans un Japon post-apocalyptique après le ravage d’un virus ne touchant que les adultes pour une raison inconnue. Yamada-kun to 7-nin no Majo : la romance est au cœur du scénario mais il est tourné d’une telle façon que même ceux qui ne sont pas fan de ce genre aimeront.

Eté 2015 : Charlotte : l’un des meilleurs animés 2015 à mon goût. Ne vous fiez pas aux premiers épisodes qui sont très calmes, ils sont justes là pour planter le décor. L’histoire commence réellement au milieu de la série. Gangsta : un seinen qui vaut le détour pour son scénario et ses scènes d’action.

Automne 2015 : One Punch Man : naturellement (cf. un autre numéro pour lire la critique). Subete ga F ni Naru : l’un des meilleurs de l’année 2015 dans le genre enquête policière. En espérant que cette liste remplisse vos attentes en termes de bons animes récents, je vous souhaite à tous une bonne année ! Et oui, promis, la prochaine fois je ne ferai pas de liste.

Potato-kun

Chronique Animé

CHRONIQUES

5

Shirobako Bonjour, chers lecteurs. J’ai une question à vous poser : est-ce que vous avez déjà songé à travailler dans l’animation et en vivre ? Bien sûr que non, vous êtes en DUT Info ! Et ça tombe bien, parce que je suis là pour vous en parler ! « Mais t’es en DUT Info aussi, t’es pas dans l’animation ! » Ce à quoi je répondrai que ça m’empêche pas de m’y intéresser même si je bosse pas dedans et que dans le pire des cas je fais ce que je veux et que c’est moi qui écrit l’article et que vous êtes pas censé me contredire car vous êtes face à UN TEXTE ÉCRIT. Voilà. Donc j’allais, avant d’être sauvagement interrompu par mon propre esprit de contradiction, vous parler de Shirobako. Sorti à cheval entre 2014 et 2015, créé par P. A. Works, cet anime nous raconte l’histoire de 5 amies qui ont réalisé un anime pour le club de leur lycée. À l’époque, elles se sont promis qu’elles referaient un anime ensemble une fois adultes. Aujourd’hui adultes, tout juste sorties de leurs études pour certaines d’entre elles, d’autres encore une année plus jeunes ; on suit principalement l’une d’entre elle, Aoi Miyamori, qui est devenue assistante de production chez Musashino Animation. Là bas, elle travaille avec une autre de ses amies, Ema Yasuhara, qui y est animatrice clé débutante. Au début de l’anime, ce sont les deux seules qui travaillent dans l’industrie de l’animation. Shizuka Sakaki, une autre de leurs amies, travaille dur pour devenir doubleuse, pendant que Misa Toudou, plus jeune, cherche à travailler sur le CG, qui sont des animations en 3D. Enfin, Midori Imai veut devenir une grande scénariste, mais ayant le même âge que Misa, elle n’a pas

encore de travail. Ainsi, chaque personnage à un but différent, mais toutes ont le même rêve. Comme l’histoire se concentre surtout sur Aoi, c’est en majorité ses pensées à elle qu’on retrouve. Par exemple, on peut fréquemment observer que contrairement à ses amies, elle n’a pas de but précis. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle veut travailler dans l’animation. Mais le plus grand

intérêt du point de vue d’Aoi, c’est qu’elle travaille dans la production : autrement dit, le département chargé de coordonner tous les autres. C’est par exemple à elle d’organiser le planning, d’aller chercher les animations clés, de les emmener aux in-between, puis à la couleur, etc. Bon, comme je suis pratiquement sûr que la majorité d’entre vous est perdue à ce point, voilà un petit lexique : les animations clés (ou key animations), c’est les grandes phases de l’animation : les poses, les expressions, etc. Viennent ensuite les in-betweens, qui sont les images qui se trouvent entre chaque image des animations clés. Évidemment, tout est fait à la main, et image par image. Ensuite, on passe à la couleur, faite sur ordinateur. On continue avec le filming (ajout des lumières, des décors), le son, le doublage, etc. Et autant j’avoue que j’adorerais faire de l’animation, autant après avoir vu cet anime, je préférerais que ça reste un hobby. Aoi est constamment en rush dû à divers retards, il faut souvent faire des retakes (retravailler les dessins), beaucoup (trop) de travail, malentendus entre l’auteur d’un manga et le directeur de son adaptation, des incidents en tout genre… L’industrie de l’animation est loin d’être paradisiaque.

CHRONIQUES

6

CHRONIQUES

Cependant, j’ai quand même adoré regarder cet anime, les personnages, (que ce soit les 5 amies ou le reste du personnel de Musashino) sont très bien développés, et m’ont vraiment plu. L’histoire est prenante, l’animation est plus que correcte et l’OST accompagne le reste à merveille. En somme, Shirobako est certes un anime très divertissant, souvent amusant, parfois émouvant, mais surtout, il apprend beaucoup sur le travail à fournir sur un anime, l’état de l’industrie en ce moment, etc ; sans être un documentaire trop condensé ou un article peu intéressant à lire. Que vous soyez curieux/se de l’industrie ou que vous vouliez juste passer un bon moment, regardez Shirobako.

Kiru-san

Actu ciné : Les Huit Salopards Nous nous retrouvons pour un nouveau coin ciné ! Tout d’abord nous vous parlerons du film du moment qu’il ne faut pas raté au cinéma et d’un autre que vous ne connaissez sûrement pas. Le film à voir au cinéma en ce moment est donc The Hateful Eight (les 8 salopards pour les intimes). Les Huit Salopards ! Ou The Hateful Eight dans sa version originale est le huitième et dernier film en date de Quentin Tarantino. Actuellement dans les salles. Et si quelques craintes pesaient quant à ce second western, le premier bien que satisfaisant possédait encore un aspect brouillon, le détracteur repart déçu : ce film est un chef d’œuvre. Un adjectif qui correspondrait bien au film est : Tarantinesque ! Ici, on retrouve l’écrasant talent du réalisateur dans toute la splendeur de ses débuts arrivé à maturité. Rappelant fortement Reservoir Dogs par sa situation de huis clos, The Hateful Eight prend pourtant son inspiration dans un univers western, à l’instar de Django Unchained. Place donc aux montagnes enneigées du Wyoming. Dès les premières images on est saisi par le film : c’est beau ! Avec des plans larges magnifiques, et un travail sur le cadrage massif, ainsi qu’une rigueur rappelant les premiers longs métrages de réalisateur. Tarantino a fait grincer des dents en annonçant qu’il allait tourner et faire projeter le film en 70 mm Ultra Panavision. Une pellicule photochimique comme on n’en fait plus depuis les années 60, qui demande une projection au format 2,76:1, ce qui requiert un travail en amont sur les optiques anamorphiques. Cette dernière prévoit d’ailleurs 8 minutes supplémentaires en milieu de film pour intégrer un entracte, au Far West comme au Far West. D'aucuns taxent cette méthode d’égocentrique, pourtant le film se révèle à la hauteur de ses prétentions, avec un rendu visuel exceptionnel. Évidemment les pellicules n’ont circulé que dans quelques cinémas spécialement équipés pour l’occasion, mais cette empreinte reste largement présente dans la copie numérique.

Chronique Cinéma/Série

7

Le tout saupoudré d’une bande son signée Morricone, permet une très bonne immersion dès la fin du générique. Le scénario quant à lui est un régal. Découpé en huit chapitres on perçoit plus facilement les variations de registre. On se permet tout, notamment de briser le 4e mur, avec une intervention orale de Quentin Tarantino lui-même. On est plongé dans des dialogues ciselés de main de maître et une tension omniprésente dans un contexte post guerre de sécession, alternés avec des scènes de violence explosive sublimées par les acteurs qui nous offrent un jeu superbe avec entre autres Samuel L. Jackson, Michael Madsen et Tim Roth, habitués du cinéaste. La situation initiale qui met en scène 9 personnages, est progressivement enrichie, grâce à une historie alinéaire, et permet un regard en constante évolution sur la scène. Il est relativement facile de se laisser attraper par ce qu’on pense avoir compris, saisi, vu alors que tout a été fait pour. Et ce jusqu’au grand final. Pour ce film, le titre est une assez bonne indication du contenu qui va indubitablement diviser. L’ambiance sombre et noire inspirée par la vague nihiliste met en scène des salopards ou plus précisément des haineux (hateful), c’est de ça dont il s’agit, de la haine et de ses formes. Les personnages sont des racistes, des sadiques, des criminels… tout le monde est pourri, cette haine sera d’ailleurs le terreau des “clans” de ce film. « Les ennemis de mes ennemis sont mes amis » et on est souvent partagé entre le malaise et le rire quant à ce qui se déroule. Une chose est sûre, Tarantino nous transporte d’un bout à l’autre du film pendant ces 3 heures, que l’on ne voit finalement pas passer. Vous l’aurez compris ce dernier film de Tarantino est tout simplement génial autant dans sa réalisation que sur le film en lui même. Personnellement j’ai beaucoup aimé (d’accord j’ai pas tout compris mais ce n’est qu’un détail) l’humour du film mais ce que je reprocherai peut-être c’est qu’il m’a donné l’impression de jouer au Cluedo, à part ça il est bien. Bref je n’en dirais pas plus. Aller le voir tout simplement il en vaut la peine.

Rôti de zergling & La Brute

CHRONIQUES

La stratégie Ender Pour ce numéro je voudrais vous parler un peu d’un film que j’ap-précie énormément et qui n’est pas très connu. Il s’agit de La stra-tégie Ender. Dans un contexte post-apocalyptique où les Dory-phores (des sortes de gros insectes extraterrestres) ont attaqués la terre, les jeunes enfants sont préparés dès leur plus jeune âge à combattre ces extraterrestres. Seul le meilleur d’entre eux est destiné a commander toute une flotte de vaisseau pour la grande bataille contre les Doryphores. On va donc suivre l'avancée d’En-

der Wiggin, qui comme vous vous en doutez a réussit tous les tests dans son apprentissage pour de-venir le commandant de la flotte. Mais le jeune Ender va devoir apprendre à se faire respecter des autres et il va devoir concevoir une stratégie pour vaincre son ennemi. La tâche ne sera pas aisée. Ce film de science-fiction m’a beaucoup plu par son histoire plus complexe qu’on pourrait l’imaginer. L’acteur Asa Butterfield joue vraiment bien le rôle du jeune Ender, accompagné dans ce film de Harri-son Ford : on ne peut que l’aimer. Cependant c’est le genre de film qui, une fois qu’on l’a vu, il n’y a plus la surprise de la fin qui est inattendue. Alors vous aimez les films de science-fiction regardez celui-ci. Pourquoi ? Parce que je vous le dit, il est génial.

La Brute

8

Série Ciné : Arrow, Flash

Salut tout le monde et bienvenue dans ce tout nouveau style d’article consacré aux séries ciné. Je suis K1nggor (ça se prononce King ore) votre fidèle nouveau chroniqueur à votre service. Bien sans plus attendre, commençons avec 3 séries, liées, car se sont des cross-over des dessinateurs de comics : j’ai nommé DC comics. Voici les titres : Arrow, Flash et Legends of Tommorow.

La série Arrow a commencé sa diffusion il y a 4 ans soit en 2011. C’est aussi jeune que ma nouvelle peluche de Dalek ! Elle compte 3 saisons complètes de 23 épisodes en français et une 4e en court de diffusion, contenant 10 épisodes en anglais pour l’instant. Elle raconte l’histoire d’Oliver Queen, un riche playboy qui, après être parti sur un bateau avec son père, et s’être échoué seul sur une île mortelle (je lui conseille pas de jouer au loto ^^), est retrouvé par un bateau de pêcheurs et est ramené à Starling city où il ne pourra plus voir le poisson en peinture. C’est après 5 années passées sur une île qu’il va pouvoir exercer le devoir qu’il a envers son père : « to save this city ! ». Ainsi est né Arrow, un héros avec un arc qui ne laisse aucune chance à ses adversaires ! Facilement comparable à notre chauve-souris préférée, Batman, il va connaître de nombreux changements dans ses méthodes et sa team compte plus de 5 personnes toutes aussi intéressantes qu’Oliver. C’est lors de la seconde série qu'apparaît un jeune scientifique nommé Barry Allen que l’on connaît aussi sous le pseudonyme de Flash !

C’est au début de la saison 3 d’Arrow que sort la série Flash. Les premiers épisodes des deux séries étant séparés d’un seul jour. Pour la petite histoire : Barry Allen fait partit de la police scientifique de Central city. Il y est entré car étant petit il a vu sa mère se faire tuer par une traînée jaune électrique. On vous a jamais dit que les héros étaient maudits ? Le jour du premier test de l’accélérateur de particule de la ville, ce dernier explose, plongeant Barry dans un coma durant 9 mois. À son réveil, il se rend

compte qu’il possède une vitesse hors du commun. Il va tenter de trouver l’assassin de sa mère de de capturer tous les méta-humains (des méchants qui ont obtenus des pouvoirs grâce à l’accélérateur – 1 seul héros pour plus de 20 méta-humains : à croire que l’accélérateur ce moque de Barry ><). Les deux héro vont souvent se croiser et s’entraider (on a même un épisode Flash vs. Arrow). Ils vont rencontrer méchants et autres héros.

Le succès des deux séries étant tel qu’ils ont décidé de prendre des personnages peu exploités des deux séries et de les présenter dans une toute nouvelle série qui compte 1 seul épisode à ce jour : Legends of Tommorow. Je vous laisse regarder par vous-même. Y’a pas assez de choses à dire sur cette série pour l’instant mais le premier épisode était splendide (on y voit Arrow et sa team =D).

K1nggor

CHRONIQUES

9

Chronique Vidéo-Ludique

Bonjour, bonsoir à tous ! Cela allait faire un moment que je n’avais pas publié d’article traitant de jeux vidéo… Mais c’était pour trouver le meilleur du jeu vidéo pour vous ! Ce n’est pas un Versus que je fais aujourd’hui, pour la simple et bonne raison que je ne vais vous par-lez que d’un seul jeu. Ce jeu, me demanderez-vous, est un jeu de type TPS, et en même temps de RPG et MMO. Que ce soit en PvP ou en PvE (Player versus Environment), seul ou par équipe de 4, ce jeu vous emmène dans un monde futuriste avec des graphismes éblouissants ! Pour le nommer enfin, il s’agit de Warframe ! Ce jeu regroupe tous les plaisirs qu’on peut retrouver dans certain des plus grands jeux ! Vous incar-nez un Tenno, une race humanoïde presque disparu, combattant des Grineers, des Corpus, ou en-core une épidémie mutante appelé Infestation, à l’aide d’exosquelette s’appelant « warframe ». Ces “armures” sont issues de la race des Orokins, race éteinte et qui brillait de génie par ces armes et armures. Vous serez guidé tout le long du PvE par le Lotus, personne qui vous a aidé à sortir de votre prison cryogénique ! Pour prendre en main le jeu, vous passerez un tutoriel d’environ 2 à 3 heures. Il n’y paraît pas comme ça, mais pour maîtriser à peu près les déplacements et les attaques, il vous faudra plus de temps que prévu !

CHRONIQUES

10

Durant la première mission, vous aurez le choix entre trois warframes différentes, les trois avec un gameplay spécifique à chacun. En parlant de gameplay, je ne vous ai pas encore parlé des armes ! Vous aurez toujours sur vous 3 armes: l’arme principal, l’arme secondaire et l’arme de mêlée. Pour la principale, au début, vous aurez le choix entre un arc, un fusil d’assaut, et un fusil à pompe. La secondaire, des kunaîs ou un gun clas-sique. L’arme de mêlée est soit un katana, soit un bâton (lel). Ce qui vous orientera vers votre propre gameplay (qui va se peaufiner au fur et à mesure des ni-veaux).

Vous pourrez très bien vous orienter vers un gameplay furtif (arc, kunai et arme de mêlée au choix), qui est très fun au début comme à la fin, un gameplay rentre-dedans (fusil d’assaut/à pompe, gun et mêlée), ou un gameplay entre-deux (vous voyez un peu le topos).

Ces armes ne sont que les armes du début, bien évidemment. Vous pouvez tout crafter, les armes, les warframes etc. Même des quêtes secondaires ! Tous cela possible grâce à différentes ressources, ramassées au gré de vos missions. Il y a une trentaine de ressources différentes, récupérables sur diverses planètes (car oui, il y a une vingtaine de planètes différentes, accessible par le gré de différentes missions, mais tout cela vous sera expliqué durant le tutoriel), et se classant sur trois catégories : commune, peu commune, rare.

Les communes se ramassent facilement, et sont demandées par millier pour craft. Les peu com-munes sont moins communes (NAN JURE !), se demandent par centaines dans la fonderie (l’endroit pour crafter), et les rares se demandent généralement par unités (entre 1 et 5 généralement). Et quand je vous dis que c’est un jeu complet, je parle aussi pour les missions. Entre de la capture de grades ennemis, de la défense de point, il y a en tout 10 types de missions différentes, sans compter les alertes : ce sont des missions qui apparaissent plusieurs fois par jour, et qui permettent de ramas-ser soit des ressources rares, soit une certaine somme de crédits, la monnaie du jeu.

En tant que jeu multijoueur, Warframe a un

système de marché, où on achète les schémas

pour crafter les armes ou armures, ou encore

des boosts, des ressources, et ce, soit au

marché, soit en achetant des schémas ou des

mods à d’autres joueur avec l’argent payant du

jeu (platinium).

CHRONIQUES

11

Les mods sont des améliorations pour les armes et warframes. Ils se différencient par 4 couleurs différentes, en terme de rareté : le bronze, l’argent, l’or et le diamant. Les mods sont très important pour pouvoir faire des missions plus difficiles au fil du temps, car ils peuvent améliorer toutes les sta-tistiques de base. Il est possible (et même très conseillé) de les améliorer.

Cela se fait en fusionnant plusieurs mods, pour, à la fin, n’en améliorer qu’un seul (c’est-à-dire que vous choisissez UN mod, et vous “sacrifiez” d’autres mods pour rendre plus fort celui choisis). Il y a des mods qui ne servent qu’à la fusion, les coeurs de fusion, avec des niveaux de rareté semblable aux mods normaux. Je vais m’arrêter là pour les mods, car il y a beaucoup plus de choses à savoir, mais vous pouvez facilement apprendre sur le tas !

Comme tout jeu multijoueur, Warframe s’est doté d’un mode de jeu PvP depuis l’update 10 (à ce jour, le jeu en est à l’update 18.4.5 sur PC, et 18.3.1 sur PS4 et XboxOne) qui s’appelle le Conclave. Trois types de partie différentes: seul contre tous (Anéantissement), une équipe de 4 contre une autre équipe de 4 (Anéantissement en équipe) et capture du drapeau (Capture du Céphalon).

Pour finir, ce n’est pas un jeu où on monte de niveau, mais où on monte de palier. Les paliers peuvent se passer avec un certain nombre de points de maîtrises (cf. screenshot de mon profil, en haut à droite). Les points de maîtrises s’accumulent au fur et à mesure que vous améliorez vos armes. Ce qui fait que vous de-vez régulièrement changer d’arme, et ne pas choisir qu’une seule arme, ou warframe !

Ce qui veut dire qu’il faut crafter, accumuler les ressources, et découvrir de nouveaux gameplay ! Les armes et warframes se montent jusqu’au level 30, et il y a 40 paliers au total, de quoi avoir une expé-rience de jeu riche et variée ! En conclusion, Warframe est un jeu complet, très beau graphiquement, riche en gameplay et free to play ! Sans compter que la communauté est très solidaire et il fait bon jouer avec des gens que vous ne connaissez pas ! Je vous retrouverai prochainement pour (peut-être) un nouveau versus ou coin cinéphile, en attendant, passez du bon temps sur Warframe !

Jeezyix

CHRONIQUES

12

le RPG où personne n’a besoin de souffrir, sauf le joueur

Véritable succès d’estime d’une partie de la presse spécialisée en 2015, Undertale est un projet

Kickstarté - oui le crowdfunding, toussa toussa, vous connaissez hein. Pendant que y en a qui se

paluchent sur les graphismes de Star Citizen, le futur jeu raté de ce très cher Chris Roberts et son

Kickstarter à je-ne-sais-combien-de-milliards y a des gens qui essaient de faire des trucs. Parce que

oui, Undertale a le mérite d’être un projet porté du bout des bras par un homme : Toby Fox. Je ne

vais pas m'appesantir sur la création du jeu, c’est ce qu’il y a dedans qui nous intéresse.

Avant toute chose, sachez que si vous aimez le jeu vidéo, vous devez faire Undertale. Je ne dis pas que c’est un bijou, mais c’est un essai, comme un film d’auteur. C’est un truc qu’il faut faire. Ça marchera peut-être sur vous, je l’espère. Mais sur moi, ça n’a pas marché.

Undertale, est donc un RPG. Oui mais un mauvais RPG. Je m’explique. Pour vous résumer le pitch du jeu, vous êtes un humain “asexué” pour que tout le monde puisse bien s’identifier au personnage qui est tombé dans l’Underground, un monde habité d’un peuple appelé « Les Monstres ». Le surnom de ce peuple, certes peu glorieux ne veux pas non plus dire qu’ils sont forcément méchants. Et c’est peut-être trop tard que vous vous en apercevrez.

De petites énigmes parcellent le jeu, mais c’est surtout le gameplay en lui même qui fait le sel de ce dernier. Car Undertale est un RPG simplifié. Pour faire simple, vous avez 4 options de combat : L’attaque simple, donc mettre une patate à votre assaillant. L’action, qui vous permettra de discuter, de réconforter, de draguer, d’aboyer, etc. Les items Et la pitié c’est-à-dire la fuite ou alors épargner son ennemi.

CHRONIQUES

13

Cette action effectuée, vous devrez esquiver l’attaque du monstre comme dans une phase de shoot them up en contrôlant non pas un vaisseau mais un petit cœur qui représente votre âme et doit esquiver des projectiles. Le système est très bien conçu et se renouvelle durant tout le jeu sans que l’on s’en lasse. Une bonne idée qui pimente les combats donc. Car ce qu’Undertale vous fait très vite comprendre c’est que vous pouvez être gentil avec les Monstres. Vous pouvez, avec une combinaison d’actions bien exécutée tous les épargner. J’ai bien dit TOUS. Vous pouvez donc finir le jeu Lvl 1 en ayant sauvé tout le monde. Et justement, le jeu a été pensé de sorte à ce que pour chaque meurtre que vous commettez ou chaque Monstre que vous épargnez, le jeu se déroulera en conséquence.

C’est donc un peu méta, un peu les mecs qui font de la philo de comptoir sur Twitter, qui disent que The Stanley Parable est un chef d’œuvre alors qu’il n’en est rien (cf. The848 - Numéro 1) et qu’Undertale c’est l’essence du jeu vidéo, etc. NON. Non, non ! En boule ! De suite ! Voici mon avis, prenez le comme tel.

Il est difficile d’être objectif sur Undertale, car c’est un truc très atypique. On ne peut le lui enlever. Déjà, la bande son défonce. Mais vraiment. C’est genre la meilleure bande son de 2015 - ouais les polonais fan de The Witcher je vous vois arriver, bah je vous tire la langue pour rester poli et je clame haut et fort « L’OST d’Undertale est magique ». Cette OST c’est 101 morceaux de chiptune qui sont capables de laisser bouche bée petits et grands. C’est une OST qui colle parfaitement au jeu. Là, y a rien à redire. Mais ce qui me gène ce n’est pas la bande son, ni le design qui accentue le charme du jeu, mais son écriture.

Car le jeu est bien écrit. Par un seul homme, certes, mais il est bien écrit. Jusqu’à ce que l’on se rende compte après quelques leçons de morale qu’il n’est pas écrit pour laisser le choix au joueur d’avoir la fin qu’il veut, mais bien de faire de nous des gentils et de nous mettre, nous, personnes cruelles qui avons essayé de nous défendre contre un chevalier qui nous balançait des lances dans la carotide, en face de nos responsabilités en nous montrant du doigt si l’on a choisi de tuer un Monstre.

Alors oui, le meurtre c’est pas cool. Si le jeu avait voulu faire de nous des méchants ou n’avait rien dit du tout, plein de gens auraient dénoncé sa cruauté. Mais là, je dois me faire l’avocat du diable et dire que si Undertale est bien un truc à faire, c’est un RPG qui me dérange. J’ai l’impression qu’on essaie de formater mon âme. À tel point que lorsque j’ai réellement compris la portée du jeu, j’ai fait ma propre justice et exécuté sommairement les monstres qui essayaient de me nuire avant de me comprendre. Pourquoi, devrais-je être magnanime avec un jeu et ses ennemis alors qu’ils essaient de m’éclater la tête avant de me connaître parce que je suis un humain ? Parce que mon peuple leur a fait du mal auparavant ? Mais qu'ai-je à vois avec mon peuple ? Je leur ressemble.

CHRONIQUES

14

Vous avez compris. On parle ici de discrimination et de racisme. Au delà d’être un jeu sur le jeu vidéo en lui-même, Undertale possède plusieurs niveaux de lectures. L’écriture me dérange sur un point, certes. Mais elle a le mérite d’avoir été organisée avec maestria sur beaucoup d’autres, et chapeau à Toby Fox pour cela. Mais on en arrive au point qui me dérange réellement. Le jeu veut nous faire (à l’aide d’une justification somme toute recevable) payer les erreurs de notre peuple imbécile et assoiffé de sang. Eh bien non, chers Monstres, si vous essayez de me voler mon âme - car c’est de cela dont il est question dans le jeu - sans aucune raison, je me dois de me défendre. C’est ce que j’ai fait. Et j’ai reçu une leçon de morale. Mais vu que j’ai eu des parents qui m’ont donné une éducation correcte, j’ai pas envie qu’on me fasse une leçon de morale. Même si celle à laquelle je pense en écrivant cela est plutôt recevable : ça reste facile et presque mesquin.

Je suis donc en train de refaire une run en “pacifiste” car j’ai l’impression que la “vraie” fin y est cachée.

En attendant, pour 10 € seul ou 20 € avec sa BO, je vous conseille très fortement Undertale si vous aimez le jeu vidéo. Pas parce que c’est un chef d’oeuvre, puisque je ne le pense pas, mais parce que vous pourriez vous surprendre à vous attacher à un gentil squelette qui veut être votre ami par exemple ou alors réfléchir un peu sur vous-mêmes. Ou encore passer un franc moment de rigolade devant les dialogues à mourir de rire de ce jeu. Et si cela ne marche pas, vous aurez au moins pu entendre de magnifiques musiques ! Et puis c’est toujours mieux de donner 10 € à un mec qui essaie de faire des trucs qui changent plutôt qu’à Keiji Inafune ou Chris Roberts vous croyez pas ? :P

El Tortillas de la Muerte

Pointeur Gaming

Aujourd'hui, Star Citizen

J’ai parlé d’Elite Dangerous dans mon premier article, sans présenter son plus grand concurrent : Star Citizen !

Comme ED, c’est un jeu de simulation spatiale. Cependant, le gameplay est très différent en certains points, et similaire en d’autres.

Il faut savoir que, bien que ces jeux soient dits concurrents, leurs créateurs respectifs s’apprécient beaucoup et il leur arrive parfois de se complimenter sur leurs créations ! En revanche, leurs joueurs sont souvent liés à des massacres, des bûchers et autres conflits sur « Lequel des deux jeux est le meilleur ? » Et je n’y répondrai pas ! Après avoir parlé du cas d’Elite Dangerous, je parle de Star Citizen, vous laissant donc vous faire votre propre avis.

Le projet est né en 2012 avec une première version mettant en scène un hangar permettant aux utilisateurs de visiter leur vaisseau. Par la suite, un nouveau module a été développé : Arena Commander. Ce module est en fait une simulation de combat et de course entre players afin de gagner de la monnaie : les REC Aujourd’hui, le jeu en version 2.1.1 propose toujours le hangar, Arena Commander, mais aussi un Univers qui consiste en une station spatiale et divers secteurs avec des stations, des évènements ou encore des missions. Encore en alpha, du nouveau contenu arrive presque chaque mois mais le jeu reste toujours très instable (il est rare de faire une heure de jeu sans avoir de problèmes).

CHRONIQUES

15

Beaucoup de points ne sont pas encore implantés comme par exemple la répartition de l’énergie dans les vaisseaux, l’achat persistant de vaisseaux et de modules, l’amélioration de certaines parties des vaisseaux, la persistance de l’univers permettant de gagner des UEC et d’enregistrer les mis-sions, des serveurs plus puissants et j’en passe… Malgré cela, le jeu a énormément de potentiel. En effet, le CryEngine 3 offre au jeu des graphismes impressionnants, la gestion des dégâts est très poussée, la gestion des forces est réaliste, l’univers et le design très réussi.

Dans le mode de jeu Univers, le joueur commence par se réveiller dans sa couchette, dans l’astroport Port Olistar. Il doit choisir un vaisseau, puis il aura la possibilité de partir visiter les différents points intéressants de la map : Des stations, des balises, des champs d'astéroïdes… Là aussi, une map assez grande est prévue, contenant un nombre important de systèmes (non préci-sé). On distingue d’ailleurs facilement les traits de design de chaque constructeur de vaisseaux. À gauche le Hornet de chez ANVIL Aerospace et à droite le P-52 Merlin de Kruger Intergalactic.

J’ai déjà évoqué les UEC et REC : il s’agit des monaies du jeu. Les REC (Rental Equipment Credits) sont comme des bons d’achat qu’on gagne en Arena Commander. Ils permettent de louer des vaisseaux et des armes pendant une période d’une semaine. C’est pour le moment la seule monnaie utilisable Les UEC (United Earth Credits), quant à eux, sont les crédits utilisés pour acheter à proprement

parler des vaisseaux et de l’équipement. Ils sera possible d’en gagner lors de missions ou en faisant

du commerce (quand le système d’économie sera en place).

Alors que le jeu est encore en alpha et que les plantages sont quotidiens, un très grand nombre de pilotes sillonnent déjà l’espace, des organisations sont créées et toute une communauté est en place, prête à accueillir la release ! --------------------------------- Configuration minimale : --------------------------------- GPU : DirectX 11 avec 1 Go de mémoire dédiée

CPU : Processeur quad-core RAM : 8 GB

PassPartout

CHRONIQUES

16

CHRONIQUES

Chronique Musicale

Brame – La Nuit, Les

Charrues…

Les groupes français intéressants ne sont pas si rares, pour peu qu’on prenne le temps de les chercher. Brame en fait définitivement partie, et l’album La Nuit, les Charrues… est une magnifique pein-ture noircie de la campagne française. Décrire cet album n’est pas si aisé : à son écoute, il parvient à l’oreille des réminis-cences de Ry Cooder (le génial composi-teur de la bande originale de Paris, Texas, entre autre) : un son très blues, assez typique de la culture rock améri-caine, dépeignant avec justesse la gran-deur des territoires et des paysages des États-Unis. Mais ce son est transposé dans la campagne française (et quelques octaves en dessous !), roulé dans la fange et la bouse, dévalant les alpages pour finir plongé dans un magnifique et fumant tas de fumier.

La Nuit, Les Charrues… est un album à la guitare omniprésente, au son graveleux et infernal, parfois à la limite du courant bruitiste. Ses notes plaintives sont issues du blues, mais passées par un filtre de musique industrielle*, elles en deviennent presque mé-connaissables. Les divers sons ambient qui l’accompagnent, racle-ments de tôle, bruits de clarines, chocs de pierres et autres sons issus du field recording*, parachèvent d’amener l’album vers une ambiance lourde et malsaine.

Field Recording : Enregistrement de sons d’un environnement particulier. Utilisé en musique dès 1940 dans la musique concrète (cf Pierre Schaeffer), développé ensuite sous la forme du soundscape (cf. R. Muray Shaffer). Utilisé massivement dans la musique Industrielle et ses dérivés, notamment le Dark Ambient.

La Nuit, Les Charrues… ce sont les campagnes françaises devenues monstrueuses, déformées par la lumière pâle et nocturne des feux des tracteurs, enfumées par l’odeur ignoble des cuves de mazout. C’est une musique affichant ses racines scarifiées par ce que le monde moderne peut présenter de plus ignoble. Un con-traste saisissant entre une volonté certaine de jouer une mu-sique des sixties, mais boursouflée et pervertie par la musique industrielle et la noise music.

Musique Industrielle : Courant de musique né dans les années 70, issues des travaux en musique concrète. Travail sur bande magnétique, utilisation de synthétiseur. (cf. Throbbing Gristle, Socialistisches Patienten Kollektiv)

17

Car il y a des airs d’Unsane et de Godflesh dans la manière dont Brame s’acharne, à la bêche, à la

charrue, à la pioche, à l’araire, et parfois même à mains nues, sur la terre qu’ils essaient de travailler,

retournant indifféremment la terre, les pierres, le fumier, parfois mêmes leurs propres membres.

S’esquinter, s'éreinter, pour tenter tant bien que mal d’apaiser la “malebête”, mugissant des cris in-

telligibles tandis que toute la douleur se transvase dans ces accords grinçants de guitare baryton.

La Nuit, Les Charrues… est un album bruissant, violent, douloureux, flottant amèrement sur une flaque de mazout, coincé entre terreurs anciennes et modernité effroyable, rendu blafard par les lumières blanches électriques, noirci par les cendres des feux de cheminé, maculé de terre et de boue. Pois-seux, terrible, sublime.

The Mount Fuji Doomjazz Corporation - Egor

Pendant live et expérimental du groupe The Kiliman-jaro Darkjazz Ensemble, The Mount Fuji Doomjazz Corporation est un groupe indispensable de la mou-vance Doomjazz. Cette mouvance se réclame tout d’abord des bandes originales de films noirs, notamment du travail de Miles Davis sur le film Ascenseur pour l’échafaud et de celui de Duke Ellington sur Anatomy of Murder. Il faut également noter la grande influence du compo-siteur italien Angelo Badalamenti (et son excellent travail sur les films de David Lynch). Si le Doomjazz renvoie donc en partie au jazz dont il est inspiré, il faut toutefois être vigilant : ces deux genres ne par-tagent pas tant de codes musicaux, le Doomjazz cherchant beaucoup plus à construire une ambiance sombre et morose qu’à respecter les codes hérités du jazz.

Avec une structure beaucoup plus marquée et un drone* presque absent de l’album, Egor représente une rupture avec les expérimentations antérieures du groupe. Les constructions amenées par une section rythmique plus présente ne nuisent toutefois pas à la création d’ambiances particulières, soutenues par des expérimentations électroniques.

Drone : genre musical minimaliste faisant essen-

tiellement usage de bourdons (drones en an-

glais), utilisant des sons, notes et clusters mainte-

nus ou répétés. (cf. Maeror Tri, Sunn O))) )

Ces ambiances sont toujours aussi oniriques, accentuées par les notes sombres des cuivres, et par des voix lyriques presque fantomatiques. L’adoption d’une structure rythmique plus présente n’abandonne cependant pas l'esthétique très libre qui caractérise la musique du septuor, qui arrive à conserver ce son extrêmement organique et spontané. L’album est génialement composé, dans tous ses aspects. Le contraste constant qui existe entre les ambiances obscures amenées par les expérimentations quasi “dronesque” et les moments illuminés par les qualités d’improvisation des instrumentistes, crédibilisent du même coup la présence du terme jazz dans le mot Doomjazz.

CHRONIQUES

18

Mais on peut également citer l’élégant mélange des sons organiques amenés par les instruments naturels aux expérimentations électroniques beaucoup plus froides. Ou encore les géniales résolu-tion de tension qui parsèment l’album : celles-ci, en explosant dans des catharsis jazz/noise, immer-gent l’auditeur dans les ambiances finement confectionnées du groupe.

Si l’album est composé de manière très fine, il en est de même pour l’enregistrement de cet album effectué dans des conditions live. Ce dernier point peut ne pas se remarquer aux premières écoutes. Mais l’acoustique du lieu choisi, ainsi que la disposition des instruments au cours de l’enregistrement d’Egor ont permis aux musiciens de jouer avec la spatialisation du son, et de perturber les repères de l’auditeur.

Une fois encore, The Mount Fuji Doomjazz Coroporation a érigé un monument de Dark-ambient aux relents de jazz, toutefois plus construit que ses albums antérieurs. Pour tous les aventuriers de la musique actuelle, il est fortement conseillé de se plonger dans ce néant aux couleurs contrastées qu’est Egor.

Dark Ambient : Genre musical à la croisée de l’ambient, de la mu-sique industrielle et de la mu-sique bruitiste. (cf. Lustmord, Ø)

Morny

Aujourd’hui , Gloryhammer !

Gloryhammer est un jeune groupe de metal qu’on peut classer dans le power metal et le medieval metal (au même titre que DragonForce, HammerFall ou Manowar, bien plus connus).

Le groupe est né parallèlement au groupe de pirate metal : Alestorm en 2012. Ils n’ont que deux albums à leurs actifs : Le premier sorti en mars 2013 : Tales from the Kingdom of Fife Un deuxième en septembre 2015 : Space 99: Rise of the Chaos Wizards.

GloryHammer est composé de 5 membres : Christopher Bowes - claviers Thomas Winkler - chant Paul Templing - guitare James Cartwright - basse Ben Turk - batterie

Le groupe a une particularité intéressante : Leurs deux albums ont un point commun. En effet, tous les morceaux sortis sur ces albums racontent une histoire se passant dans un seul et même univers fantastique mettant en scène la citadelle de Dundee, le héros Angus McFife… Ils racontent les épopées épiques de héros fantastiques dans leurs tournées en Australie et en Europe.

Je vous invite donc à aller voir leur site internet ou certains de leurs morceaux sur les plates-formes comme YouTube afin de vous plonger dans ce monde et vous sentir plus puissant que jamais.

PassPartout

CHRONIQUES

19

On voulait vraiment vous parler d’un truc important ce mois-ci. C’est pour ça qu’avec ce cher Loux, on vous fait un article à quatre mains. Voilà, vous savez tous que le Ballon d’Or 2016 a été décerné le lundi 11 janvier dans la soirée. Et sa nomination étant très particulière et inattendue nous a donné envie d’écrire un article. Voilà, en fait le nouveau Ballon d’Or, à la surprise générale, c’est… OHOHOH, On va se calmer un peu là ! Vous savez, bien qu’il y ait un engouement majeur pour ce… sport… *humhum* voilà, il en existe une multitude où les français démontrent à chaque fois qu’ils font partie des meilleurs. N’est-ce pas, collègue ?! Quel est le dernier évènement majeur où l’équipe de France a épaté tout le monde ? …

Suspense Mesdames et Messieurs, c’est bien évidemment le Handball ! Le championnat d’Europe a lieu depuis le 18 janvier et nos Experts qui brillent depuis des années ont encore brillé contre la Croatie en remportant leur match avec une large avance. Les Experts que l’on croyait en bonne voie ont malheureusement été surpris par une très solide équipe de Norvège qui s’est payée le luxe de passer au tour suivant tout comme… la Croatie, cette même Croatie que les Experts ont

vaincue. Éliminée en “début” de compétition, les Experts devront tirer les leçons de cet échec avant les Jeux Olympiques de Rio afin de ramener une troisième médaille d’or olympique. Alors Loux, impressionné par nos Experts ? ._. JE NE PARLAIS PAS DE ÇA TRIPLE-BUSE, je ne parle pas non plus du basket où les équipes All-Stars viennent d’être révélées. Certes, la France n’y est malheureusement pas représentée… Pour les moins basketteurs d’entre vous, le All-Star Game est un match de basket où les spectateurs votent pour élire les joueurs. Les joueurs sont répartis en 2 équipes, Est et Ouest, correspondant à la conférence de l’équipe dans laquelle ils jouent. Pour les plus basketteurs d’entre vous (Je vous aime <3), je vous donne ce match-up qui va très probablement me coûter une nuit blanche ! A l’Est : Kyle Lowry (Toronto Raptors), Dwyane Wade (Miami Heats), LeBron James (Cleveland Cavaliers), Paul George (Indiana Pacers), Carmelo Anthony (New-York Knicks). A l’Ouest : Stephen Curry (Golden State Warriors), Russell Westbrook (Oklahoma Thunder), Kobe Bryant (Los Angeles Lakers), Kevin Durant (Oklahoma Thunder), Kawhi Leonard (San Antonio Spurs). Pour les plus réticents d’entre vous, sachez que ce match est avant tout un match pour le spectacle ou s'enchaînent, actions de folie, ou même des délires entre joueurs de la même équipe. Ce sera aussi la dernière apparition de Kobe Bryant au All-Star Game, parce que le fieffé coquin prend sa retraite à la fin de la saison. Partenaire, tu sais très bien de quoi je voulais parler non ? Je te donne un indice, c’était une discipline pas très répandue en France il y a de cela, quelques années.

News Sport

SPORT

20

Ah oui ! Le biathlon ! Effectivement ! Chaque année, vous n’êtes pas sans savoir que se déroule la coupe du monde de biathlon durant tout l’hiver. Pour vous restituer le mode d’affrontement sachez que tous les biathlètes vont s’affronter plusieurs fois dans plusieurs disciplines à différents moments de l’hiver. Il y a plusieurs épreuves comme par exemple la mass-start, la poursuite, le sprint 10 km, etc. Vous devez aussi savoir que nos chers français sont plutôt costaud dans cette discipline et cela depuis plusieurs générations. Le nouveau champion depuis quelques années, vous avez dû entendre

son nom c’est Martin Fourcade chez les hommes. Il chipe absolument tous les globes et toutes les médailles, qu’elles soient olympiques ou non ! Et justement, ce dernier a encore brillé lors des épreuves de Ruhpolding (en Allemagne). Malgré quelques petits soucis de santé en début de semaine il a néanmoins réussi à remporter la mass-start ainsi que le sprint 20 km. Lorsqu’il n’a pas remporté les épreuves, il a réussi à bien se placer, c’est à dire en 2e

position ou bien au pied du podium. Il risque bien de remporter encore cette coupe du monde à force de creuser petit à petit le

classement. Il a d’ailleurs remporté un sprint sur 10 km à Canmore le 4 février (un mois après Ruhpoling) ce qui confirme son avance déjà très confortable au classement général. A noter aussi de bonnes performances françaises avec beaucoup d’autres athlètes et notamment chez les femmes. Ahlàlà ! Ce cher Loux qui tenait absolument à ce que vous sachiez les résultats du biathlon a plutôt bien insisté, n’est-ce pas Loux ? Oui, effectivement, mais ce n’est toujours pas de cela que je voulais parler… Réfléchis… je parle d’un sport où le ballon à une place prépondérante, où deux équipes de 6 joueurs s’affrontent, tu vois très bien de quel sport je parle, n’est-ce pas ? Encore un indice ? D’accord, mais le dernier : TQO. Tournoi de Qualification Olympique ! Mais oui ! Quelle andouille ! Sachez chers lecteurs que début janvier, s’est déroulé un tournoi international de Volleyball dont le but ultime était de se qualifier pour les jeux de Rio cet été ! La fédération internationale de Volleyball étant un peu étrange, seul le pays hôte (le Brésil) ainsi que le pays ayant le mieux géré les droits TV pendant ces dernières années (l’Italie) sont qualifiés d’office. Et c’est donc par des petits tournois que les équipes du monde entier doivent passer pour avoir la chance de participer au grand messe du sport mondial qui a lieu tous les quatre ans. Et au milieu de tous ces matchs compliqués, Mesdames et Messieurs, je vous le donne en mille, la France était présente. Car notre beau pays est représenté depuis quelques années par une équipe jeune, fougueuse, et surtout, qui s’en bat les c******* ! Championne d’Europe l’année dernière après avoir remporté la Ligue Mondiale, la Team Yavbou (car oui, “Les Bleus” ou “Les Experts” ça manque de punch) n’est plus vue comme une équipe d’outsiders mais bel et bien comme une nation redoutable avec plusieurs des meilleurs joueurs du monde, rien que ça ! Allez mon cher Loux, explique à nos lecteurs comment on va les YZ, direct ! Comme mon cher collègue vient de vous l’expliquer, ce Tournoi à été rempli de matchs tous plus impressionnants les uns que les autres. Normal, me direz-vous car ce tournoi réunissait quelques unes des meilleures équipes de la discipline. Ce tournoi nous a également permis d’avoir un avant goût des jeux de Rio mais également du Tournoi ULTIME qui aura lieu fin Mai, début Juin à Tokyo. Je ne sais pas par quoi commencer… Commençons par un pays partageant une vieille histoire avec le notre : l’Allemagne. L’Allemagne qui a très bien débuté ce tournoi s’est retrouvée en difficulté une

SPORT

21

fois les phases de groupe terminées. En effet, en Allemagne, si vous voulez faire du volley, il suffit de faire la passe à György Grozer, il s’occupera de mettre le point, que ce soit par la force ou en feintant. Cependant, face au mur russe composé de Maksim Mikhaïlov, ils n’ont pas fait long feu. Quant à la Team Yavbou, riche du meilleur libéro au monde, Jenia Grebennikov, d’un attaquant de folie, Earvin Ngapeth et du “meilleur postier du Monde”, Antonin Rouzier, n’ont pas démérités, puisqu’ils sont quand même allé jusqu’en finale avant de s’incliner devant les russes et Mikhaïlhov. Il reste une équipe que je n’ai pas encore évoqué, la Pologne… Je tiens à préciser que je n’en parlerai pas. Je vais laisser mon collègue le faire pour moi, étant donné que cette équipe l’a “marqué”… Partenaire ? Ah ouais ! Les polaks ! Une très belle équipe néanmoins, curieusement entrainée par deux français, il faut le souligner. Cette équipe de Pologne aura permis de faire naître le match qui reste à mon sens le plus beau de la compétition. Un duel acharné que notre Team Yavbou a évidemment remporté pour se qualifier en finale 3-0. Sachez qu’un set de Volleybal se dispute en 25 points. Puis continue en cas d’égalité jusqu’à ce qu’il y ait deux points d’écart. À 25-25 dans le premier set, la France l’a emporté 29-27, puis 32-30 dans le second pour enfin conclure par un 25-20 très propre contre des polonais un poil dépités en fin de partie. Ces derniers, pleins d’animosité sur le terrain et sans doute emportés par l’enjeu de la partie n’ont parfois pas hésité à chercher des noises aux français récoltant quelques cartons jaunes. Mais l’arme la plus redoutable de cette équipe polonaise était clairement son pointu, le costaud Bartosz Kurek qui a posé de gros problèmes notamment au service à la Team Yavbou. Vous l’aurez peut-être donc compris, la Team Yavbou ayant fini deuxième de la compétition n’a pas obtenu sa place pour Rio, mais elle pourra aller se battre en Juin à Tokyo dans le tournoi dont vous parlait Loux plus haut. Elle y retrouvera donc Kurek et sa clique de polak qui ont brillé face à l’Allemagne d’un Grozer méconnaissable durant la petite finale. Les aventures de la Team Yavbou ne sont donc pas terminées, elles ne font même que commencer, et Loux et moi vous encourageons grandement à suivre ce sport impressionnant, trop peu médiatisé et notamment cette équipe de France qui possède un groupe soudé, un cri de guerre épique et un grain de folie dans le jeu qui fait qu’on ne s’ennuie jamais pendant leurs matchs ! OUUUUUUUH YAAAAVVVVVV BOUUUUUUUUUUH !!!!!!! Finissons cet article comme il se doit… Depuis le début de cet article vous devez vous demander… « Mais qui a été élu Ballon d’Or ?! » Non, vous vous en foutez ?! Ok, nickel, à plus.

El Tortillas de la Muerte & Loux

SPORT

22

Casse-têtes

L'âge en secret

Un homme et une femme évoquent leurs âges respectifs, dont la somme est la réponse à la grande question sur la vie, l'univers et le reste. Ils en viennent à con-clure que lorsque l’homme avait l’âge actuel de la femme, il avait deux fois l’âge qu’elle avait à cette époque. Quel âge ont-ils à présent ?

La réponse au prochain numéro !

Les réponses aux casse-têtes du mois dernier !

Uncle Ben’s

Solution de l’ours et le chasseur

L’ours est blanc, car ce parcours n’est possible qu’au pôle nord.

Solution du verre vide

Une seule goutte, après le verre n’est plus vide.

Crédits

The 404® est un mensuel qui a été écrit par des étudiants du département INFO de l’IUT d’Annecy-le-Vieux.

The 404® est édité par le Bureau des Etudiants du département INFO

Ont participé à ce numéro : Berne Thomas, Boudet Jason, Boulet Alexis, Bouquin Antoine,

Collet Benjamin, Delahaye Sarah, Delzars Charles, Giangaspero Laura, Jodry Etienne, Klein Louis, Lagon Louis, Lonchambon Alexis, Marguerettaz Marion, Motel Loïs, Vanacker Clara, Varlez Pierre et

Vivancos Esteban

Couvertures : Collet Benjamin et Vivancos Esteban Mise en page : Marguerettaz Marion et Motel Loïs

Logo : Vivancos Esteban Maquette : Collet Benjamin

Direction de la Publication : Emmanuelle Graziano

Pour toute demande d’informations, propositions d’articles (n’hésitez pas !) ou paiement de canette/café, vous pouvez nous joindre à euh… bah nan en fait y a pas moyen de nous joindre désolé ♥

Date de parution : Février 2016

CASSE-TÊTES & CRÉDITS