דסב or shalom para hat tetsave adar - shulcloud · hidden) never once mentions the name of god;...

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Parachat Tetsave בס"דHORAIRE DES OFFICES SHABBAT Allumage des bougies: 17h16 Minha/Kabalat Shabbat: 17h15 Chaharit: 8h15 Minha/Seouda Shlishit/Arvit: 16h45 Sortie du Shabbat: 18h20 JOURS DE LA SEMAINE Dimanche : 8h / 17h00 Lundi / Jeudi : 6h / 8h / 19h00 Mardi / Merc. : 6h15 / 8h / 19h00 Vendredi: 6h15 / 17h25 ASSOCIATION SÉPHARADE DE LA BANLIEUE OUEST DE MONTRÉAL SYNAGOGUE OR SHALOM | CENTRE COMMUNAUTAIRE ASSOULINE www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO 514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | [email protected] 24 février 2018 / 9 Adar 5778 BULLETIN HEBDOMADAIRE NAHALA / YAHRZEIT OR SHALOM Rav Avraham Maruani | Cantor Orel Gozlan | Albert Loeb, Parnass | Me. Yonatan Petel, Président | Dan Elbaz, Vice-Président ASSOCIATION SÉPHARADE DE LA BANLIEUE OUEST DE MONTRÉAL SYNAGOGUE OR SHALOM | CENTRE COMMUNAUTAIRE ASSOULINE www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO 514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | [email protected] Rav Avraham Maruani | Cantor Orel Gozlan | Albert Loeb, Parnass | Me. Yonatan Petel, Président | Dan Elbaz, Vice-Président Livre brun - p. 188 English Artscroll - p. 464 Artscroll français - p. 496 Shannon Goldstein Chemtob, Alain Benguira, Evan Topas, Yohan Mellul, Eric-Ilaï Azeroual SEOUDA SHLISHIT La séouda shlishit est offerte Joseph Zordok à la mémoire de Rachel bat Sobhia Z’’l Sandrine & David Ohayon à la mémoire d’Aharon ben Doiny Z’’l et de Doiny bat Aicha Z’’l KIDDOUSH Le kiddoush est offert par Shannon & Moses Chemtob en l’honneur de la Bar Mitsva de leur fils Zachary Chemtob. Certains points saillants Dimanche 25 février / 10 Adar I Simha bat Soulika Z''l, mère d'Ouriel Levy Lundi 26 février / 11 Adar I Zmirda bat Mouna Z''l, tante de Richard Look Rahel bat Mazaltov Z''l, mère d'Edmond Fhima Mardi 27 février / 12 Adar Camille bat Rachel Z''l, mère des frères Chemtob Nissim ben Esther Z''l, père de Reboh Levana Mercredi 28 février / 13 Adar II Moshe Nagui ben Nousha Z''l, père de frères Chemtob Jeudi 1 mars / 14 Adar I Rachel bat Sobhia Z''l, mère de Joseph Zordok Mazal Tov à Zachary Chemtob pour sa Bar Mitsva, ainsi qu’à ses parents Shannon & Moses Chemtob et sa famille. Mazal Tov to Zachary Chemtob for his Bar Mitsva and to his parents Shannon & Moses Chemtob and his family. « Nos sages s'étonnent de l'absence du nom de Moïse dans la Paracha Tétsavé. Depuis la naissance du guide d'Israël, le nom de Moïse apparaît dans toutes les Parachiot sauf dans celles de Tétsavé. Curieuse coïncidence, la Paracha Tétsavé est toujours lue dans la semaine de l'anniversaire de Moïse, comme pour nous dire, bien que son nom ne soit pas mentionné, Moïse est toujours omniprésent. » JEÛNE / FAST OF ESTHER Mercredi 28 février - 13 Adar Début / Start - 5:03 am Fin / End - 6:11 pm

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Page 1: דסב OR SHALOM Para hat Tetsave Adar - ShulCloud · hidden) never once mentions the name of God; He seems to be hidden and to play no role in the story. The point is, no matter

Parachat Tetsaveבס"ד

HORAIRE DES OFFICES SHABBAT

Allumage des bougies: 17h16 Minha/Kabalat Shabbat: 17h15

Chaharit: 8h15Minha/Seouda Shlishit/Arvit: 16h45

Sortie du Shabbat: 18h20JOURS DE LA SEMAINE

Dimanche : 8h / 17h00Lundi / Jeudi : 6h / 8h / 19h00

Mardi / Merc. : 6h15 / 8h / 19h00 Vendredi: 6h15 / 17h25

ASSOCIATION SÉPHARADE DE LA BANLIEUE OUEST DE MONTRÉALSYNAGOGUE OR SHALOM | CENTRE COMMUNAUTAIRE ASSOULINE

www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | [email protected]

24 février 2018 / 9 Adar 5778

BULLETIN HEBDOMADAIRE

NAHALA / YAHRZEIT

OR SHALOM

Rav Avraham Maruani | Cantor Orel Gozlan | Albert Loeb, Parnass | Me. Yonatan Petel, Président | Dan Elbaz, Vice-Président

ASSOCIATION SÉPHARADE DE LA BANLIEUE OUEST DE MONTRÉALSYNAGOGUE OR SHALOM | CENTRE COMMUNAUTAIRE ASSOULINE

www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | [email protected]

Rav Avraham Maruani | Cantor Orel Gozlan | Albert Loeb, Parnass | Me. Yonatan Petel, Président | Dan Elbaz, Vice-Président

Livre brun - p. 188 English Artscroll - p. 464 Artscroll français - p. 496

Shannon Goldstein Chemtob, Alain Benguira, Evan Topas,

Yohan Mellul, Eric-Ilaï Azeroual

SEOUDA SHLISHITLa séouda shlishit est offerte

Joseph Zordok

à la mémoire de Rachel bat Sobhia Z’’l

Sandrine & David Ohayon

à la mémoire d’Aharon ben Doiny Z’’l

et de Doiny bat Aicha Z’’l

KIDDOUSH

Le kiddoush est offert parShannon & Moses Chemtob

en l’honneur de la Bar Mitsva de leur fils Zachary Chemtob.

Certains points saillants

Dimanche 25 février / 10 Adar ISimha bat Soulika Z''l, mère d'Ouriel Levy

Lundi 26 février / 11 Adar IZmirda bat Mouna Z''l, tante de Richard

LookRahel bat Mazaltov Z''l, mère d'Edmond

Fhima

Mardi 27 février / 12 AdarCamille bat Rachel Z''l, mère des frères

ChemtobNissim ben Esther Z''l, père de Reboh

Levana

Mercredi 28 février / 13 Adar IIMoshe Nagui ben Nousha Z''l, père de frères

Chemtob

Jeudi 1 mars / 14 Adar IRachel bat Sobhia Z''l, mère de Joseph

Zordok

Mazal Tov à Zachary Chemtob pour sa Bar Mitsva, ainsi qu’à ses parents

Shannon & Moses Chemtob et sa famille.

Mazal Tov to Zachary Chemtob for his Bar Mitsva and to his parents

Shannon & Moses Chemtob and his family.

« Nos sages s'étonnent de l'absence du nom de Moïse dans la Paracha Tétsavé. Depuis la naissance du

guide d'Israël, le nom de Moïse apparaît dans toutes les Parachiot sauf dans celles de Tétsavé. Curieuse coïncidence, la Paracha Tétsavé est toujours lue

dans la semaine de l'anniversaire de Moïse, comme pour nous dire, bien que son nom ne soit pas mentionné, Moïse est toujours omniprésent. »

JEÛNE / FAST OF ESTHER

Mercredi 28 février - 13 Adar

Début / Start - 5:03 am Fin / End - 6:11 pm

Page 2: דסב OR SHALOM Para hat Tetsave Adar - ShulCloud · hidden) never once mentions the name of God; He seems to be hidden and to play no role in the story. The point is, no matter

A WORD ON THE PARASHAT Th HALAKHOT DE LA SEMAINE UN MOT SUR LA PARACHAT Béhaalotekha : s'efforcer de

Purim is the festival that celebrates the victory of the Jewish people in Persia in 356 BCE over Haman, the "Hitler of his time." Rashi points out that the miracle of Purim is intricately connected to the miracles of Passover.

The miracles of Passover were obvious for all to see, yet there seem to be no miracles associated with Purim; the events of the story seem to follow a "natural course." The entire Megillat Esther (literally translated as revealing the hidden) never once mentions the name of God; He seems to be hidden and to play no role in the story.

The point is, no matter how bad we think the situation is, no matter how distant we feel from the Almighty, He is always there, guiding us and our destiny. A spiritual person is able to see the holy in the mundane, the miracles in nature, and the hand of G-d in history. Even when the Almighty seems to be hiding, such a person knows that He is there.

If we see all of life as a miracle, our eyes will be open to see how lucky we truly are and that everything is a gift from the Almighty. What we do with our blessings is our gift to God.

By Rabbi Ron Jawary

Purim: Revealing the Hidden

La fête de Pourim commémore la délivrance des Juifs de l’empire perse et notamment du plan d’extermination des juifs pensé par Haman, ministre du roi Assuérus. Cette fête joyeuse met en évidence la « Main » de D. cachée dans les événements des hommes.

Pourim est célébré le 14 Adar sauf dans les villes fortifiées depuis l’époque de Yéhochouah (comme Jérusalem) où Pourim y est célébré le 15 Adar.

Qui est concerné par la fête de Pourim ? Tout le monde a le devoir de célébrer cette fête, les grands comme les petits (eux aussi doivent être encouragés à accomplir les Mitsvot de la fête).

Plusieurs Mitsvot régissent la fête de Pourim :

- Le Jeûne d’Esther- La lecture de la Meguila- Matanot Laevionim : donner des cadeaux aux pauvres- Michloa’h Manot : envoyer des mets prêt àconsommer aux amis- Le Michté de Pourim

Pourim : IntroductionQuelle est cette "joie croissante" du mois d'Adar ?

L’une des citations les plus célèbres - et les plus populaires - de tout le Tamud est la suivante : « Michénikhnass Adar Marbim Bésim’ha - A l’arrivée d’Adar, notre joie augmente » (Ta’anit 26b). Tous les enfants savent que cette phrase est synonyme de joie, mais nous ne savons pas vraiment comment apporter plus de joie dans nos existences. Même certains de nos plus grands Sages contemporains ne sont pas d’accord sur ce qu’implique cette dimension de « Marbim Bésim’ha » (augmenter la joie) dans la pratique.

Rav ‘Haïm Kanievsky suggère que si l’on doit faire un Siyoum, il faut le planifier pour le mois d’Adar. Si on n’a pas de Siyoum en prévision, on boira du vin en début de mois.Rav Michel Yéhouda Lefkowitz estimait qu’on doit accroître son étude de la Torah, car il n’y a pas de joie plus grande que l’étude.

Enfin, on peut s’interroger avec le ‘Hatam Sofer : pourquoi le Rambam et le Choul’han Aroukh mentionnent-ils la règle que l’on doit réduire les manifestations de joie pendant le mois d’Av, mais laisser de côté la Halakha accessoire que l’on doit multiplier la joie pendant Adar ? C’est assez mystérieux en effet.

Le Rav Zéev Hoberman peut nous éclairer pour comprendre cette Mitsva étrange : Il écrit que « certains se réjouissent d’étudier la Torah… d’autres de l’acquisition d’une nouvelle maison ou de gros appareils ménagers, en fait, de toute chose sur laquelle on pourrait réciter la bénédiction Chéhé’héyanou. Mais pendant ce mois, lorsque nous avons chanté le chant du passage de la mort à la vie, notre joie imprègne chaque inspiration que nous prenons. En réalité, c’est la vie elle-même qui nous rend heureux. » De toute évidence, ce concept englobe l’essence du mois d’Adar, qui nous enseigne la gratitude non seulement dans des cas spécifiques, mais aussi pour le plus beau cadeau, celui de la vie. Explorons cet enseignement capital.

Pour découvrir ce que nous devons faire pour augmenter la joie pendant le mois d’Adar, nous devons d’abord comprendre le sens de la joie même. Rav Moché Shapira zatsal citait souvent des sources anciennes expliquant le terme de « Saméa’h », qui se réfère à la joie, étroitement lié au terme « Tsaméa’h », la croissance, sachant que les lettres Sine et Tsadé sont interchangeables. Il expliquait en outre que la racine hébraïque du terme « Etsev », la tristesse - qui empêche la croissance -, signifie également le découragement ou la dépression. Cette observation est valable également pour la mesure d’un Ama qui peut s’exprimer sous deux formes : les Amot So’hakot et les Amot Atsavot. Les Amot So’hakot sont larges, contrairement aux Amot Atsavot qui sont étroites et minuscules. Ces termes correspondent bien au sens de « S’hok » qui signifie la joie et « Atsavot » qui exprime le mécontentement.

Pas de femme, pas de joie

Nos Sages nous enseignent « qu’un homme sans femme vit sans Sim’ha, sans joie ». En effet, il ne va pas étendre son champ de vision en fondant un foyer juif, et ne peut étendre ses frontières familiales

et spirituelles à d’autres de sa propre chair. Dans la même veine, quelqu’un qui ne réalise pas son potentiel reste un « Etsev », à la fois triste et insatisfait ; il n’a pas accompli sa destinée et n’a pas exploité ses aptitudes et ses inclinations. Inversement, quelqu’un qui a progressé intellectuellement et spirituellement a développé son âme, et a créé une réalité à partir d’un potentiel, il est vraiment Saméa’h, heureux, car il est Tsaméa’h, en progrès constant. On peut atteindre cet état en adoptant des objectifs faisables, en progressant de plus en plus, emporté par la joie du succès et de l’accomplissement de ses objectifs (voir le Steipler).

Grâce à cette approche, nous pouvons commencer à comprendre l’immense opportunité offerte par ce merveilleux mois d’Adar. On nous enjoint à être « Marbim Bésim’ha », ce qui signifie que chacun d’entre nous doit développer son propre potentiel spirituel de toutes les manières possibles pour réussir. C’est pourquoi les détails ne peuvent être donnés de manière universelle et concrète. Le Rebbe de Munkatch zatsal explique que le Choul’han Aroukh se devait de décrire ce qui est interdit pendant le mois d’Av, car le Juif ne doit jamais sombrer dans la Atsvout, la tristesse, mais chaque Juif est obligé de servir Hachem dans la joie, car « chacun doit évaluer comment accentuer son état de bonheur habituel ».

CroissanceNous pourrions ajouter, sur le conseil du Steipler, que la croissance est, par définition, un phénomène très personnel et doit inclure une multitude de considérations. C’est peut-être l’un des sens du verset : « Le cœur seul sent l’amertume qui l’envahit ; de même ses joies (Bésim’hato), l’étranger n’y est pour rien » (Michlé 14,10). Ceci peut expliquer l’extraordinaire critique que le Midrach (Yalkout Chimoni 18/27) semble adresser à Yitro, qui « vivait tranquillement dans son pays pendant que les Juifs souffraient, mais a voulu venir pour profiter du moment de gloire du Matan Torah, le Don de la Torah ». En invoquant ce verset dans Michlé, le Midrach nous suggère peut-être que seuls ceux qui ont souffert peuvent apprécier certaines formes de croissance, même si d’autres sont sympathiques et bien intentionnés. C’est l’expérience de l’Atsvout qui conduit à la Sim’ha/Tsmi’ha, si l’on a le courage, le discernement et l’opportunité de tirer profit du processus. Pendant ces semaines d’Adar qui conduisent à Pourim, nous bénéficions de l’immense opportunité d’élever notre niveau spirituel, ce qui nous conduit à la joie ultime d’Adar et de Pourim.

C’est ce que le Rav Dessler a eu à l’esprit lorsqu’il a écrit : « La joie croissante d’Adar est une expérience interne profonde qui est l’augmentation de la joie, et également le développement de la joie » (Mikhtav Méeliyahou 2, 123). Le « Marbim Bésim’ha » d’Adar n’est pas seulement linéaire, c’est une croissance verticale vers le haut, le fait d’accomplir ses objectifs chaque jour, et qui nous mène au sommet d’une nouvelle Kabalat Hatorah à Pourim, par pur amour (voir Rachi, Chabbath 88a).

Peut-être que le Ktav Sofer avait également cette idée à l’esprit lorsqu’il commenta la Méguila d’Esther : « Il y a une visée double à la lecture de la Méguila : 1) Louer Hachem pour les grandes bontés qu’Il nous a prodiguées pendant ces jours. 2) Retenir que nous ne devons jamais abandonner ni renoncer, que D.ieu préserve, peu importe ce qui advient de nous pendant ces jours difficiles. » Par Thora Box