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Bedürfnisanalyse zur Gründung kantonaler Jugendnetzwerke Teil 2: Bedürfnisse der kantonalen Akteure Bern, Juni 2013

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In 12 Workshops mit kantonalen Jugendakteuren wurde erörtert, ob im jeweiligen Kanton ein Jugendnetzwerk gewünscht ist

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Bedürfnisanalyse zur Gründung kantonaler Jugendnetzwerke Teil 2: Bedürfnisse der kantonalen Akteure

Bern, Juni 2013

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

SAJV/CSAJ 2

Begleitgruppe

Die Bedürfnisanalyse wurde durch eine Begleitgruppe bestehend aus folgenden Personen begleitet. Herzlichen Dank:

- Monika Elmiger, Geschäftsleiterin Jungwacht Blauring

- Julie Buclin, Geschäftsleiterin GLAJ-VD

- Elena Konstantinidis, Geschäftsführerin DOJ

Dank: Wir möchten hiermit folgenden Personen und Akteuren für ihre Arbeit und Unterstüt-zung herzlich danken!

- Begleitgruppe KJNW

- BSV

- SODK

- Jacobs Foundation

- Schweizerische Mobiliar Versicherung

- Den existierenden kantonalen Netzwerken

- Allen Personen und Organisationen, welche Werbung für die Workshops gemacht ha-ben.

- Allen Personen, die an den Workshops teilgenommen haben

Impressum:

Diese Studie wurde erstellt durch: Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV Gerberngasse 39 Postfach 292 3000 Bern 8 031 326 29 29 [email protected]

Verfasst durch: Elsa Kurz, Bereichsleiterin Mitgliedsorganisationen, [email protected] Andreas Koenig, Projektleiter Freiwilligenarbeit: [email protected]

Im Auftrag von: Bundesamt für Sozialversicherungen BSV Sozialdirektorenkonferenz SODK

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

SAJV/CSAJ 3

L’essentiel en bref

Le CSAJ mène sur mandat de la CDAS et de l’OFAS, avec le soutien de la fondation Jacobs et de la Mobilière, une analyse des besoins de mise en réseau des organisations offrant des acti-vités extrascolaires dans les cantons sans réseau cantonal institutionnalisé.

Cette étude a pour but d’identifier si dans les cantons sans réseau cantonal de jeunesse (ci-après réseau), la création d’une telle organisation serait souhaitée et pertinente en tenant compte des facteurs suivants : contexte cantonal, besoins exprimés par les organisations, tâches attendues du réseau, degré d’intérêt.

Cartographie des réseaux La première partie de l’étude menée entre septembre et décembre 2012 établit une cartogra-phie des réseaux existants et de leurs caractéristiques (objectifs, ressources, nombre de membres, projets mis en œuvre et domaines d’activités, etc.) (rapport n°1).

En Suisse, il existe 9 réseaux dont 6 sont mixtes, c’est-à-dire regroupant des organisations de et pour la jeunesse et de l’animation jeunesse en milieu ouvert. Ces derniers sont le Glaj-VD, Okaj ZH, Punkto Zug, Jugend.gr, DKJ-SO et Frisbee à Fribourg. Les 3 autres réseaux sont ho-mogènes, puisqu‘ils regroupent uniquement des organisations de et pour la jeunesse. Ce sont le GLAJ-GE à Genève, le TARJ en Thurgovie et l‘ABJ à Berne.

Les besoins des organisations La seconde partie de l’étude menée de janvier à juin 2013 et présentée ici détermine les be-soins de mise en réseaux des organisations de l’animation jeunesse extrascolaire. Des don-nées qualitatives ont été recueillies lors de 12 ateliers réunissant un total de 82 participant-e-s, elles ont été complétées par un questionnaire envoyé à des organisations faîtières nationa-les.

La création d’un réseau est clairement sollicitée par les participant-e-s des ateliers ayant eu lieu à Appenzell, Bâle, Fribourg, Jura, Lucerne, Schaffhouse et Schwyz. Pour les participants des ateliers de Neuchâtel, du Tessin et de Unterwald, le projet est intéressant mais pas adap-té à leurs besoins, entre autres parce qu’ils entretiennent activement un réseau informel, mais aussi parce que l’administration cantonale coordonne les activités de jeunesse. Dans les cantons de St-Gall et Uri, aucun atelier n’a eu lieu car l’administration cantonale a le projet de créer un réseau.

Pour se fédérer, le modèle du réseau mixte est privilégié par les participant-e-s. Cette ten-dance se vérifie aussi sur le terrain, puisque dans le canton de Soleure un réseau mixte a été constitué en 2012 et dans le canton de St-Gall l’administration cantonale s’intéresse aussi à ce type de réseau. En juin 2013, c’est dans le canton de Fribourg que « le réseau de l’enfance et de la jeunesse du canton de Fribourg a été créé. Ce dernier a la particularité d’innover puisqu’il compte parmi ses membres des organisations de l’enfance.

Les objectifs d’un réseau cantonal de jeunesse Pour les participant-e-s aux ateliers, un réseau devrait poursuivre les objectifs suivants :

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

SAJV/CSAJ 4

- Favoriser la diffusion d‘informations, l‘échange d’expériences et de connaissances,

- Renforcer les synergies entre les acteurs par rapport au matériel, salles, ressources humaines, formation, etc,

- Organiser des événements communs,

- Faire de la publicité pour l’engagement bénévole,

- Soutenir financièrement les projets des membres,

- Mettre en réseau les acteurs des organisations de jeunesse et de l’animation jeunesse en milieu ouvert,

- Mettre en réseau les cantons.

En plus de ces objectifs énoncés à chaque atelier, des besoins spécifiques aux organisations et propre au contexte cantonal ont été émis (voir chapitre 3).

La diversité des formes organisationnelles Les participant-e-s ont réfléchi à de multiples formes de mise en réseau qui vont d’un réseau informel, à une plateforme électronique, en passant par une structure associative indépen-dante ou une coordination par l’administration cantonale (voir chapitre 4.4).

La forme organisationnelle d’un réseau cantonal doit correspondre aux attentes et besoins des associations de l’animation jeunesse extrascolaire et au contexte cantonal. Il ne s’agit pas de créer un modèle unique transférable entre les cantons.

Des obstacles à la création de réseaux cantonaux de jeunesse La création d’un réseau est un processus de longue durée. Le manque de temps et de res-sources financières des acteurs de l’animation jeunesse extrascolaire constitue un frein au développement de ces projets (voir chapitre 4.5). La perspective que des subventions actuel-lement accordées aux associations soient réduites ou transférées à un réseau cantonal est une crainte des participant-e-s, tout comme la naissance d’une concurrence entre les futures organisations membres du réseau et la coordination cantonale.

Les réseaux comportent cependant de nombreux avantages pour leurs membres, puisqu’ils pourraient accomplir les objectifs mentionnés ci-dessus tout en représentant leur intérêt, en leur fournissant des prestations et en étant leur porte-parole. Finalement, ce sont des acteurs importants pour les pouvoirs publics puisqu’ils contribuent par leurs activités et expertise à la mise en œuvre de la politique cantonale de promotion de l’enfance et de la jeunesse.

Recommandations Les associations de et pour la jeunesse fonctionnent en partie sur l’engagement bénévole de leurs membres. Un projet tel que la création d’un nouveau réseau cantonal s’inscrit dans le long terme. Il est important que des ressources financières et matérielles soient investies par les pouvoirs publics pour soutenir et pérenniser les réseaux, par exemple avec un contrat de prestations ou la délégation d’une tâche de l’administration publique. Les phases de lance-ment et de consolidation d’un réseau devraient être assurées par une organisation ou person-ne active au niveau local.

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SAJV/CSAJ 5

Das wichtigste in Kürze

Seit September 2012 führt die SAJV eine vom BSV und der SODK in Auftrag gegebene Bedürf-nisanalyse über die Vernetzung der Verbände der ausserschulischen Jugendarbeit in den Kan-tonen ohne kantonales institutionalisiertes Netzwerk, mit Unterstützung der Jacobs Foundati-on und der Mobiliar.

Das Ziel dieser Studie ist zu bestimmen, ob es in den Kantonen ohne kantonales Jugendnetz-werk (unten Netzwerk) den Wunsch nach einem solchen Netzwerk gibt, unter Berücksichti-gung folgender Faktoren: kantonaler Kontext, Wünsche der Organisationen, erwartete Aufga-ben des Netzwerkes, Interesse.

Bestandesaufnahme der existierenden Netzwerke Der erste Teil der Studie wurde zwischen September und Dezember 2012 durchgeführt und ermöglichte die Erarbeitung einer Übersicht der bestehenden Netzwerke und deren Merkma-le (Ziele & Zweck, Ressourcen, Mitgliederanzahl, Projekte und Tätigkeitsfelder, usw.) (Bericht Nr. 1).

Es gibt in der Schweiz 9 Netzwerke, von denen 6 gemischt sind, das heisst, dass sie Jugend-verbände und Organisationen der offenen Jugendarbeit (Glaj-VD, Okaj ZH, Punkto Zug, Ju-gend.gr, DKJ-SO und Frisbee in Fribourg) umfassen. Die drei anderen Netzwerke sind homo-gen, da sie nur Jugendverbände umfassen (GLAJ-GE in Genf, TARJ im Thurgau und ABJ in Bern).

Die Bedürfnisse der Organisationen Der 2. Teil der Studie wurde von Januar bis Juni 2013 durchgeführt und hält die Vernetzungs-bedürfnisse der Verbände der ausserschulischen Jugendarbeit fest. Qualitative Daten wurden in 12 Workshops mit insgesamt 82 TeilnehmerInnen erhoben und wurden mit einer Umfrage der nationalen Dachorganisationen ergänzt.

Die Schaffung eines kantonalen Jugendnetzwerkes wurde von den Teilnehmenden in den Workshops in Appenzell, Basel, Freiburg, Jura, Luzern, Schaffhausen und Schwyz gewünscht. Die Workshop-Teilnehmerinnen und Teilnehmer in Neuenburg, Tessin und Unterwalden fan-den das Projekt spannend, aber es entsprach ihren Bedürfnissen nicht, unter anderem des-halb, weil sie aktiv ein informelles Netzwerk pflegen und/oder weil die kantonale Verwaltung die Jugendarbeit koordiniert. In St Gallen und Uri wurde kein Workshop organisiert, da die kantonale Verwaltung die Schaffung eines Netzwerkes plant.

Die Teilnehmenden bevorzugen das Modell „gemischtes Netzwerk“. Diese Tendenz findet man auch in der Praxis: Im Kanton Solothurn wurde 2012 ein gemischtes Netzwerk aufgebaut und in St Gallen befasst sich die kantonale Verwaltung mit dieser Art von Netzwerk. Im Juni 2013 wurde im Kanton Freiburg das „Freiburger Netzwerk der Kinder- und Jugendorganisationen“ gegründet, das neu auch Kinderorganisationen als Mitglieder hat.

Ziele eines kantonalen Jugendnetzwerkes Für den Teilnehmenden sollte das Netzwerk folgende Ziele verfolgen:

- Informations-, Erfahrungs- und Wissensaustausch fördern

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

SAJV/CSAJ 6

- Synergien zwischen den Akteuren in Bezug auf das Material, Räumlichkeiten, Personal-ressourcen, Bildung, usw. stärken

- Gemeinsame Veranstaltungen organisieren

- Für das freiwillige Engagement werben

- Projekte der Mitglieder finanziell unterstützen

- Akteure der Jugendorganisationen und der offenen Jugendarbeit vernetzen

- Kantone vernetzen

Neben diesen in jedem Workshop genannten Zielen wurden spezifische kontextabhängige Be-dürfnisse der Organisationen ausgedrückt (Kapitel 3).

Vielfalt der Organisationsformen Die Teilnehmenden haben über mehrere Netzwerkformen diskutiert, die von einem informel-len Netzwerk über eine unabhängige Verbandsstruktur oder eine Koordination durch die kan-tonale Verwaltung bis hin zu einer elektronischen Plattform reichen (Kapitel 4.4).

Die Organisationsform eines kantonalen Netzwerkes muss den Erwartungen und Bedürfnisse der Verbände der ausserschulischen Jugendarbeit und dem kantonalen Kontext entsprechen. Es geht nicht darum, ein einziges auf andere Kantone übertragbares Modell zu schaffen.

Herausforderungen bei der Gründung kantonaler Jugendnetzwerke Die Gründung eines Netzwerkes ist ein langjähriger Prozess. Der Mangel an finanziellen und zeitlichen Ressourcen stellt für die ausserschulische Jugendarbeit ein Hindernis für die Wei-terentwicklung von Projekten dar (Kapitel 4.5). Die Teilnehmenden fürchten, dass die aktuell den Verbänden gewährten Subventionen gekürzt oder dem kantonalen Netzwerk übertragen werden, und dass ein Wettbewerb zwischen den zukünftigen Mitgliedsorganisationen des Netzwerkes und der kantonalen Koordination entsteht.

Netzwerke bieten aber zahlreiche Vorteile für ihre Mitglieder, da sie die obengenannten Ziele erfüllen und gleichzeitig ihre Anliegen vertreten, Leistungen bieten und als Ansprechpartner dienen. Schlussendlich sind sie wichtige Akteure für die Behörden, da sie mit ihren Aktivitäten und ihren Wissen zur Umsetzung der Kinder- und Jugendförderung beitragen.

Empfehlungen Die Jugendorganisationen existieren teilweise dank dem freiwilligen Engagement ihrer Mit-glieder. Es ist also wichtig, dass finanzielle und materielle Ressourcen von den Behörden für die Unterstützung und Verstärkung der Netzwerke investiert werden, z.B. durch eine Leis-tungsvereinbarung oder die Übertragung einer Aufgabe der Verwaltung. Die Gründungs- und Stabilisierungsphasen sollten für ein Netzwerk von einer Organisation oder eine Person, die auf lokaler Ebene aktiv ist, verfolgt werden.

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SAJV/CSAJ 7

Abkürzungen

ABJ Arbeitsgemeinschaft Berner Jugendverbände

DOJ Dachverband der offenen Kinder- und Jugendarbeit Schweiz

ASJV Arbeitsgemeinschaft Solothurnischer Jugendverbände

SODK Sozialdirektorenkonferenz

SAJV Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände

GLAJ-GE Groupe de liaison des associations de Jeunesse Genève

GLAJ-Vaud Groupe de liaison des activités de jeunesse Vaud

Jugend.gr Dachverband Jugendarbeit Graubünden

KJFG Kinder- und Jugendförderungsgesetz

BSV Bundesamt für Sozialversicherungen

OKAJ ZH kantonaler Dachverband der offenen, verbandlichen und kirchlichen Jugend-arbeit Zürich

TARJV Thurgauer Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände und -Organisationen

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Inhaltsverzeichnis

1 Einleitung .................................................................................................................................. 10 1.1 Mandat .................................................................................................................................. 10 1.2 Definitionen und Hintergründe ........................................................................................... 10 1.3 Zusammenfassung des ersten Berichts............................................................................. 13 1.4 Ziele des zweiten Teils der Bedürfnisanalyse .................................................................... 16

2 Methode .................................................................................................................................... 16 2.1 Begleitgruppe ....................................................................................................................... 16 2.2 Workshops ............................................................................................................................ 17 2.3 Fragebogen an die nationalen Jugendakteure .................................................................. 18

3 Resultate der Workshops .......................................................................................................... 19 3.1 Aargau .................................................................................................................................. 20 3.2 Appenzell .............................................................................................................................. 21 3.3 Basel ..................................................................................................................................... 22 3.4 Fribourg ................................................................................................................................ 23 3.5 Glarus ................................................................................................................................... 24 3.6 Jura ....................................................................................................................................... 24 3.7 Luzern ................................................................................................................................... 25 3.8 Neuchâtel ............................................................................................................................. 26 3.9 St. Gallen .............................................................................................................................. 26 3.10 Schaffhausen ........................................................................................................................ 27 3.11 Schwyz .................................................................................................................................. 28 3.12 Tessin .................................................................................................................................... 29 3.13 Unterwalden ......................................................................................................................... 29 3.14 Uri ......................................................................................................................................... 30 3.15 Wallis .................................................................................................................................... 30

4 Analyse der Workshopresultate ................................................................................................ 31 4.1 Bedürfnisse der Akteuren ................................................................................................... 32 4.2 Einbezug weiterer Jugendakteure ...................................................................................... 35 4.3 Zielgruppe ............................................................................................................................ 36 4.4 Mögliche Organisationsformen ........................................................................................... 37 4.5 Herausforderungen ............................................................................................................. 40 4.6 Nächste Schritte .................................................................................................................. 40 4.7 Verhältnis zwischen den Jugendakteuren und dem Jugenddelegierten ......................... 41 4.8 Erwartungen an die Kantone ............................................................................................... 41 4.9 Forderungen an die SAJV .................................................................................................... 41 4.10 Rolle des Bundes ................................................................................................................. 42

5 Rolle der nationalen Dachorganisationen SAJV und DOJ ......................................................... 42 5.1 Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV .................................... 43 5.2 Dachverband offene Kinder- und Jugendarbeit Schweiz DOJ .......................................... 43

6 Meinungen der nationalen Akteure ........................................................................................... 44 6.1 Strukturen und Perspektive der offenen Kinder- und Jugendarbeit ................................ 44 6.2 Chancen bei der Gründung von Jugendnetzwerken .......................................................... 46 6.3 Risiken bei der Gründung von Jugendnetzwerken ............................................................ 46 6.4 Bei der Gründung zu beachten ............................................................................................ 48 6.5 Finanzierung der Jugendnetzwerke ................................................................................... 48

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6.6 Erwartungen an den/die kantonalen Jugenddelegierten .................................................. 49 6.7 Erwartungen an die kantonale Politik ................................................................................ 49 6.8 Erwartungen an die SODK ................................................................................................... 50 6.9 Erwartungen an den Bund ................................................................................................... 50 6.10 Erwartungen an die eigene Organisation ........................................................................... 51 6.11 Weitere Bemerkungen ......................................................................................................... 51

7 Schlussfolgerungen .................................................................................................................. 52

8 Quellen ...................................................................................................................................... 55

9 Anhang ...................................................................................................................................... 55 9.1 Werbeflyer ............................................................................................................................ 55 9.2 Workshopeinladung ............................................................................................................. 57 9.3 Protokolle der Workshops ................................................................................................... 58 9.4 Fragebogen nationale Player .............................................................................................. 87

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1 Einleitung

1.1 Mandat In welchem Kanton haben die Akteure der Jugendarbeit das Bedürfnis, ein kantonales Ju-gendnetzwerk zu gründen? Wie sollte das aussehen? Dies ist die Fragestellung, welcher die SAJV in dieser Bedürfnisanalyse zu den kantonalen Jugendnetzwerken nachgeht. In Auftrag gegeben haben die Studie das Bundesamt für Sozialversicherungen BSV und die Sozialdirek-torenkonferenz SODK. Weitere finanzielle Unterstützung erfolgte durch die Jacobs Foundation und die Schweizerische Mobiliar Versicherung. Ziel ist, beurteilen zu können, in welchen Kan-tonen ein Bedürfnis besteht, ein Jugendnetzwerk zu gründen.

Die Studie ist in drei Teile unterteilt: In einem ersten Teil wurde untersucht, in welchen Kan-tonen bereits kantonale Jugendnetzwerke existieren und wie diese funktionieren. Dabei wurde ein Schwergewicht auf die Strukturen und Beispielprojekte gelegt. In den Kantonen ohne Netzwerk wurde recherchiert, welche Jugendorganisationen existieren.

Im zweiten Teil der Studie werden die Bedürfnisse zur Vernetzung der Jugendakteure in Kan-tonen ohne Netzwerk festgehalten. Diese wurden mit Hilfe von Workshops in den jeweiligen Kantonen erfasst. Eingeladen waren die Jugendverbände, Akteure der offenen Jugendarbeit, die Jugenddelegierten der Kantone sowie weitere interessierte Personen. In diesen Workshops konnten die Jugendakteure ihre Bedürfnisse und Wünsche für ein Jugendnetz-werk äussern. Zusätzlich wurde mit einem Fragebogen die Meinung der nationalen Jugendak-teure erhoben. So konnten diese ebenfalls ihre Sicht der Dinge in den Bericht einfliessen las-sen. Damit interessierte Personen aus der Suisse Romande die Workshopresultate ihres Kan-tons besser nachverfolgen können, wurden die entsprechenden Abschnitte auf Französisch gehalten.

Im dritten Teil werden BSV, SODK und die SAJV die Resultate gemeinsam analysieren und das weitere Vorgehen festlegen. Der entsprechende Bericht wird im Anschluss an das vorliegende Papier erarbeitet.

1.2 Definitionen und Hintergründe Bevor die Hauptergebnisse des 1. Teils der Studie behandelt werden, sollen die Definition ei-nes kantonalen Jugendnetzwerkes und die gemeinsamen/charakteristischen Eigenschaften der Jugendorganisationen noch einmal in Erinnerung gerufen werden.

Ein kantonales Jugendnetzwerk ist eine kantonale Koordination von verschiedenen Akteuren der ausserschulischen Jugendarbeit, deren ideologischen Ziele nicht immer gleich sind.

Das Bundesgesetz über die Förderung der ausserschulischen Arbeit mit Kindern und Jugend-lichen definiert ausserschulische Jugendarbeit als „verbandliche und offene Arbeit mit Kin-dern und Jugendlichen samt niederschwelligen Angeboten“ (KJFG, Art.5, Abs.a). In diesem Bericht werden die Jugendverbände und die offene Jugendarbeit unter dem Begriff Ausser-schulische Jugendarbeit zusammengefasst, auch wenn diese strukturell und vom Hintergrund her unterschiedlich sind. Die Begriffe ausserschulische Aktivitäten und ausserschulische Ju-gendarbeit werden als Synonyme verwendet.

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Ausserschulische Jugendarbeit wird von drei Organisationstypen geleistet: Jugendverbände, Jugendorganisationen und offene Jugendarbeit (SAJV 2007). Die ausserschulische Jugendar-beit ist der Überbegriff dieser drei Organisationstypen, die sich durch bestimmte Merkmale unterscheiden.

Jugendverbände können wie folgt definiert werden: „eine nichtstaatliche Organisation, welche aus einer Gruppe Jugendlicher besteht, die gemeinsame Interessen oder Ziele haben und die lokalen Grenzen überschreitet. Sie zeichnen sich durch eine demokratische Struktur, deren Vorstand aus Jugendlichen zusammengesetzt ist, aus. Grössere Verbände verfügen oft über professionelle MitarbeiterInnen, welche die organisatorischen Aufgaben wahrnehmen oder interne Weiterbildungen organisieren.“ (SAJV: 2007).

Die Abgrenzung zwischen Jugendverband und Jugendorganisation ist nicht immer klar, da sie ähnliche Merkmale haben (siehe folgende Tabelle). Das Unterscheidungsmerkmal ist, dass Jugendorganisationen Teil einer Mutterorganisation sind. Eines der grundlegenden Ziele ist, den Nachwuchs innerhalb der Mutterorganisation zu fördern. Beispiele sind politische Partei-en, Gewerkschaften und Umweltorganisationen, da sie eine Jugendabteilung haben.

Schlussendlich unterscheidet sich die offene Jugendarbeit von den anderen Akteuren der ausserschulischen Aktivitäten durch verschiedene Punkte: Arbeitsmethoden, die auf professi-onellen Erkenntnissen basieren, pädagogische Aufgabe mit sozialem Engagement, Einsatz von professionellen Methoden aus der Sozialpädagogik, soziale Tätigkeiten, soziokulturelle Animation, Sachkenntnisse der Mitarbeitenden (SAJV: 2007).

Die folgende Tabelle zeigt die Unterschiede zwischen den Organisationen.

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SAJV/CSAJ 12

Ausserschulische Jugendarbeit

Jugendverband Jugendorganisation / Nachwuchsorganisation offene Jugendarbeit

Trägerschaft selbsttragend oder Trägerschaft im Hintergrund (z.B. Kirchen) nichtstaatliche Trägerschaft

Mutterorganisation (Parteien, Gewerkschaften, Umweltorganisationen, Abstinentenorganisationen etc.) nichtstaatliche Trägerschaft

Gemeinden, Kantone, private Träger (oft im staatli-chen Auftrag) und Kirchen Hoher Anteil an öffentlicher Trägerschaft

Aktivitäten für Jugendliche

Wertorientierte Freizeitgestaltung / Soziokulturelle Animation für Kinder und Jugendliche Ausserschulische Sozialisation, Bildung und Erziehung Prävention und Gesundheitsförderung

Teilweise Freizeitgestaltung / Soziokulturelle Ani-mation für Kinder und Jugendliche Ausserschulische Sozialisation, Bildung und Erzie-hung mit stark politischer Ausrichtung oder themati-schen Schwerpunkten

Freizeitgestaltung / Soziokulturelle Animation für Kinder und Jugendliche Ausserschulische Sozialisation, Bildung und Erzie-hung Prävention und Gesundheitsförderung

Weitere Aktivi-täten

Jugendpolitische Interessensvertretung

Jugendpolitische Interessensvertretung

teilweise jugendpolitische Interessensvertretung

Teilnahmeform freiwilliges Mitmachen offen für alle partizipativ i.d.R. konstante Gruppen I.d.R. auf Dauer angelegte Mitglied-schaft

freiwilliges Mitmachen offen für alle partizipativ i.d.R. konstante Gruppen I.d.R. auf Dauer angelegte Mitgliedschaft

freiwilliges Mitmachen offen für alle partizipativ i.d.R. wechselnde TeilnehmerInnenzusammenset-zung keine Mitgliedschaft, keine Vereinszugehörigkeit

Leitung der Aktivitäten

i.d.R. unbezahlte, durch den Verband ausgebildete Freiwillige teilweise auch bezahlte MitarbeiterIn-nen

unbezahlte Freiwillige oder bezahlte MitarbeiterInnen

i.d.R. bezahlte fachlich ausgebildete Jugendarbei-tende teilweise auch Freiwillige

Steuerung i.d.R. Ehrenamtliche i.d.R. Ehrenamtliche oft Ehrenamtliche Dimension über lokale Grenzen hinweg verbunden über lokale Grenzen hinweg verbunden hauptsächlich lokal

teilweise (über)regional verbunden Quelle: SAJV: 2007

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Die Beschreibung der Eigenschaften der ausserschulischen Arbeit ermöglicht die Trennung dieser Organisationen von weiteren Angeboten für oder mit Bezug auf die Jugend, wie z.B. schulische Jugendarbeit, Hilfsdienste für Jugendliche, kommerzielle Angebote für Jugendli-chen und überregionale oder thematische Dachverbände.

1.3 Zusammenfassung des ersten Berichts Im ersten Teil der Bedürfnisanalyse wurde untersucht, welche Strukturen schon vorhanden sind, wie diese funktionieren und was für Aktivitäten sie machen.

Auf der Grundlage der vorangehenden Definition (Kapitel 1.2), der Merkmale der Organisatio-nen der ausserschulischen Jugendarbeit und der Statuten wurden in der Schweiz acht Ju-gendkantonalnetzwerke identifiziert.

Diese acht kantonalen Jugendnetzwerke können in zwei Gruppen geteilt werden: Die homoge-nen und die gemischten Netzwerke. Die Unterscheidung erfolgt aufgrund der Zusammenset-zung ihrer Mitglieder. Die homogenen Netzwerke bestehen ausschliesslich aus Verbänden und Organisationen von und für die Jugend. Bei den gemischten kantonalen Jugendnetzwer-ken kommen die Mitglieder nebst obigen Verbänden/Organisationen auch aus dem Umfeld der offenen Jugendarbeit, Gemeinden und Kirchgemeinden.

In folgenden Kantonen ist ein Netzwerk vorhanden.

Bern Arbeitsgemeinschaft Berner Jugendverbände (homogen)

Genf GLAJ-GE / groupe de liaisons genevois des Associations de Jeunesse (homogen)

Graubünden Jugend.gr Dachverband Jugendarbeit Graubünden (gemischt)

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Solothurn DKJ-SO, Dachverband Kinder- und Jugendarbeit Kanton Solothurn (ge-mischt)

Thurgau TARJV Thurgauer Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände (homogen)

Waadt GLAJ-VD / Groupe de liaison des Activités de Jeunesse Vaud (gemischt)

Zug Punkto Zug / Zuger Fachstelle punkto Jugend und Kind (gemischt)

Zürich Okaj Zürich / Organisation- und Kontaktstelle aller Jugendvereinigungen in Zürich. (gemischt)

Abgesehen von der obigen Einteilung ist es unmöglich, die Netzwerke zu klassifizieren. Sie unterscheiden sich stark in Struktur, Projekten, Mitglieder(-zahl), Finanzierung und Institutio-nalisierungsgrad.

Die Erstellung der Karte der kantonalen Jugendnetzwerke hat zwei Ziele verfolgt: Einerseits die bestehenden Jugendnetzwerke aufzulisten, was bis jetzt noch nicht unternommen wurde, und andererseits die Strukturen, behandelten Themen und Projekte der kantonalen Jugend-netzwerke für die Workshops besser kennenlernen.

Allgemein kann festgestellt werden, dass jedes kantonale Jugendnetzwerk sich in einem ei-genen kantonalen Kontext entwickelt hat. Die Idee, ein Netzwerk zu bilden, kam von den Or-ganisationen der ausserschulischen Jugendarbeit, von den Behörden oder von den kirchlichen Kreisen. Die Analyse der Entwicklung jedes Jugendnetzwerkes in seinem kantonalen Kontext ist nicht Teil dieser Studie. Ein wesentlicher Punkt soll aber hervorgehoben werden, um die Unterschiede zu unterstreichen.

Es gab schon mehrere kantonale Netzwerke vor dem Inkrafttreten der rechtlichen Grundlage für Kinder und Jugendförderung. Im Kanton Waadt existiert das GLAJ-Vaud, das kantonale Jugendnetzwerk, seit 1980, obwohl das Gesetz erst 2010 verabschieden wurde. Im Kanton Genf wurde das GLAJ-GE 1980 vom Kanton gegründet, obwohl dieser über keine spezifische gesetzliche Grundlage für Kinder- und Jugendförderung verfügt. Auch der Kanton Graubün-den hat kein Kinder- und Jugendförderungsgesetz aber trotzdem seit 2005 ein gemischtes kantonales Netzwerk, Jugend.gr. Es ist nicht nötig, alle Fälle aufzulisten, um zu zeigen, dass die kantonalen Kontexte sehr verschieden sind.

Das Ziel der Bestandesaufnahme ist es, die Vielfalt der Organisationsformen und der Leistun-gen der kantonalen Jugendnetzwerke zu begreifen, um sie dann im Rahmen der Workshops präsentieren zu können.

Sieben Haupttätigkeitsbereiche wurden dank der Antworten der Verantwortlichen der kanto-nalen Jugendnetzwerke und einer Analyse der Projekte der kantonalen Jugendnetzwerke identifiziert:

1. Teilnahme an der Entwicklung einer kantonalen Jugendpolitik

2. Sichtbarkeit der ausserschulischen Jugendaktivitäten erhöhen

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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3. Gesundheitsförderung

4. Förderung der politischen Bildung und Partizipation

5. Unterstützung von Projekten von Jugendlichen

6. Förderung der Anerkennung der Freiwilligenarbeit

7. Dienstleistungen für die Mitglieder

Anhand von konkreten Zielen, Projekten und Leistungen wurden den Workshop-Teilnehmenden die sieben Gebiete vorgestellt. Weitere Fakten zu den existierenden Netzwer-ken und den realisierten Projekten findet man im ersten Bericht.

Jeder Kanton hat andere gesetzliche Grundlagen in der Jugendpolitik. Die folgende Tabelle veranschaulicht dies:

Tabelle 1: Gesetzliche Verankerung der Kinder- und Jugendpolitik in den Kantonen x = vor-handen, -- = nicht vorhanden. Ausführliche Infos und der aktuelle Stand unter www.sodk.ch/ueber-die-sodk/kkjf/kantone/

Kantonsverfas-

sung Gesetzliche Grundlagen

Kantonales Leit-bild

Kantonales Kon-zept

Kinder- und Jugendkommis-

sion AG x X x -- x AI -- -- -- x AR x -- x -- -- BE X in Revision x in Revision x BL x -- -- in Erarbeitung -- BS x in Revision x x x FR x X in Erarbeitung in Erarbeitung x GE -- x -- -- GL -- -- -- -- -- GR x -- -- -- -- JU -- x -- -- x LU -- in Revision -- in Erarbeitung x NE -- -- -- NW -- x -- -- -- OW -- x -- x -- SG x x -- -- -- SH x x -- -- x SO x -- x -- x SZ -- x x -- -- TG -- -- -- x x TI x x x x x UR x -- x x x VD -- x -- x x VS -- -- -- -- -- ZG -- x -- x -- ZH -- x x

(Quelle: Konferenz der kantonalen Sozialdirektoren und Sozialdirektorinnen, 2012, www.sodk.ch/ueber-die-sodk/kkjf/kantone/)

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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1.4 Ziele des zweiten Teils der Bedürfnisanalyse Im vorliegenden zweiten Teil der Bedürfnisanalyse geht es darum herauszufinden, in welchen Kantonen die kantonalen Jugendakteure ein Bedürfnis an einem Jugendnetzwerk haben. Un-ter den kantonalen Jugendakteuren verstehen wir Vertreter/innen aus der offenen, verbandli-chen und kirchlichen Jugendarbeit, kantonale Jugenddelegierte sowie weiteren interessierten Personen. Mit Hilfe von Workshops sollen folgende Fragen abgeklärt werden:

- Was sind die Chancen und Risiken eines Netzwerks?

- In welchem Kanton ist ein Netzwerk erwünscht?

- Wie könnte das Netzwerk organisiert sein?

- Welche Funktionen sollte das Netzwerk wahrnehmen?

- Welche Jugendorganisationen wollen mitarbeiten?

- Was sind die nächsten Schritte?

Zudem wird die Meinung der nationalen Jugendakteure wie Pfadi, Jungwacht Blauring, DOJ, anim.ch, DSJ, etc. zur Schaffung von Jugendnetzwerken erfasst. Dies mit dem Ziel zu wissen, wie diese zu einer Gründung von Netzwerken stehen, welche Chancen und Risiken sie sehen und welche Rolle die Kantone und der Bund übernehmen sollen.

Die aus den Workshops und der Umfrage auf nationaler Ebene resultierenden Bedürfnisse werden in diesem Bericht erfasst und analysiert. Im dritten Teil der Studie werden dann in Zusammenarbeit mit der SODK und dem BSV Massnahmen erarbeitet, um die Bedürfnisse umzusetzen.

2 Methode Bei der Abklärung der Bedürfnisse zu kantonalen Jugendnetzwerken spielen verschiedene Akteure eine Rolle. Diese agieren sowohl auf kantonaler wie auch auf nationaler Ebene. Um deren Anliegen zu erfassen, wurden verschiedene Gefässe geschaffen, auf die in den folgen-den Kapiteln eingegangen wird.

2.1 Begleitgruppe Die Bedürfnisanalyse wird von einer Begleitgruppe bestehend aus folgenden Organisationen begleitet:

- Dachverband der offenen Kinder und Jugendarbeit Schweiz

- Jungwacht Blauring Schweiz

- Groupe de Liaison des Activités de Jeunesse Vaud

- okaj zürich

Die Stiftung idée:sport hat sich aus der Begleitgruppe zurückgezogen, da das Thema nicht in den Arbeitsschwerpunkten liegt. Dafür hat sich okaj Zürich für eine Mitarbeit in der Begleit-gruppe interessiert.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Die Aufgabe der Begleitgruppe ist das Einbringen von Bedürfnissen, Inputs und Kritik aus an-deren Bereichen der Jugendarbeit. So gibt sie Wünsche zur Stossrichtung der Studie ab und bringt durch das Gegenlesen der Dokumente und Berichte ihre Ideen in den Bericht.

2.2 Workshops Um die Bedürfnisse und Meinungen der kantonalen Jugendakteure zu erheben, wurden Workshops entwickelt. Diese hatten zum Zweck, die im Kapitel 1.4 gestellten Fragen zu be-antworten. So wurde in den 18 Kantonen1 ohne bestehendes Jugendnetzwerk Termine für Workshops festgesetzt. Da die Halbkantone jeweils mit einem Workshop abgedeckt wurden, ergab dies 15 Anlässe.

Drei Kriterien für die Suche nach den kantonalen Jugendakteuren wurden festgelegt, damit die grösstmögliche Vielfalt von Vertretern der ausserschulischen Jugendarbeit an den Workshops anwesend sei

1. Das erste Auswahlkriterium ist, dass die Organisation der im Artikel 5 des Kinder- und Jugendförderungsgesetzes (KJFG) gegebene Definition einer Organisation, welche in der ausserschulischen Jugendarbeit tätig ist, entspricht. Unter dem Buchstaben b sagt dieser Artikel, dass private Trägerschaften als „private Verbände, Organisationen und Gruppierungen, die ausserschulische Arbeit leisten“ definiert werden. Die ausgewähl-ten Organisationen sind deshalb Jugendverbände und Verbände der offenen Jugendar-beit, da beide ausserschulische Arbeit leisten.

2. Das zweite Auswahlkriterium bezieht sich auf die ausserschulischen Arbeitsbereiche, die den Jugendlichen und den Kindern angeboten werden. Die Klassifizierung der SAJV für alle Aktivitäten der Mitgliedsorganisationen wurde übernommen. Sie umfasst 10 Tätigkeitsbereiche: Naturschutz, soziokulturelle Animation, Sommerlager, Gesund-heits- und Kulturförderung und Prävention, kultureller Austausch, staatsbürgerliche Bildung, staatsbürgerliches Engagement, Spiritualität, Sport.

3. Das dritte Auswahlkriterium berücksichtigt, ob die Organisation einer nationalen

Dachorganisation angeschlossen ist. Mit diesem Kriterium sollen verschiedene kanto-nale und nationale Akteure erfasst werden, damit sie die Diskussionsrunden in den Workshops bereichern. Die eingeladenen Organisationen, die einer nationaler Dachor-ganisation angeschlossen sind, haben Kontakte auf lokaler oder Bundesebene. Sie können ihre Erfahrungen als Mitglied eines koordinierten Netzwerkes mit den anderen TeilnehmerInnen teilen. Ein besonderer Schwerpunkt wurde bei der Auswahl auf Or-ganisationen gelegt, die nur auf kantonaler Ebene aktiv sind.

Mit dieser Suche und der Verbreitung der Einladung durch die vorgenannten PartnerInnen wurde die Vielfalt der TeilnehmerInnen gewährleistet. Dieser Vorgehensweise sind jedoch Grenzen gesetzt, da sie nicht alle ausserschulische Aktivitäten der Verbände erfasst. Deshalb

1 In folgenden Kantonen wurden Termine für Workshops festgesetzt: AG, AI / AR, BL / BS, FR, GL, JU, LU, NE, OW / NW, SG, SH, SZ, TI, UR, VS

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ist das Ergebnis der Workshops das Spiegelbild von nur einem Teil der Organisationen, die in der ausserschulischen Jugendarbeit aktiv sind. Um dieses Problem entgegenzuwirken sowie ein Projekt zur Schaffung einer kantonalen Koordination der ausserschulischen Arbeit even-tuell zu entwickeln, haben die Workshop-TeilnehmerInnen verschiedene weitere Organisatio-nen, die bei einer Netzwerkgründung kontaktiert werden sollen, vorgeschlagen (Kapitel 4.3).

Mit Hilfe eines Kurzbeschriebs (siehe Kapitel 9.1) wurden die Daten der Anlässe kommuni-ziert. Folgende Kanäle wurden dabei benutzt:

- Versand über die nationalen Strukturen der SAJV-Mitgliedsorganisationen an die kan-tonalen Sektionen.

- Versand über den Newsletter des DOJ

- Mails an die Kantonalkirchen der evangelisch-reformierten und der römisch-katholischen Kirchen

- Mails an die im ersten Teil der Studie recherchierten Adressen von kantonalen Ju-gendakteuren

- Mail an die kantonalen Jugenddelegierten über den Verteiler der SODK

- Je nach Kanton auch über den Verteiler des kantonalen Beauftragten für Kinder- und Jugendfragen

Vermutlich haben somit einige kantonalen Organisationen den Aufruf mehrfach erhalten. Zu-dem wurden die angeschriebenen Personen aufgerufen, die Einladung in ihrem Netzwerk wei-terzuleiten.

Falls sich die grossen Jugendakteure (kantonales Netzwerk der offenen Jugendarbeit, Pfadi, Jungwacht Blauring, Cevi) darauf nicht gemeldet haben, wurde nochmals per Telefon nach-gehakt, ob sie die Information erhalten haben und ob ein Interesse an einem Workshopbesuch besteht. Aus Zeitgründen konnte nicht mit allen kleinen Organisationen telefoniert werden.

Während der Organisation der Workshops mussten die Anlässe in den Kantonen St. Gallen, Aargau, Uri und Glarus abgesagt respektive verschoben werden. Die Gründe dazu werden im Kapitel 3.1 erläutert.

Für die Workshops wurde ein Standardprogramm erarbeitet (siehe Kapitel 9.2). Dies wurde je nach Kanton jeweils noch geringfügig angepasst. Nach dem Workshop wurden ein Protokoll und eine Adressliste der Sitzung erstellt und diese den Teilnehmenden sowie weiteren inte-ressierten Personen versandt. Weiter wurde um eine Rückmeldung gebeten, falls das Proto-koll nicht korrekt sei. Es ist jedoch unklar, ob es in allen Kantonen überprüft wurde. Auf Wunsch der Teilnehmenden wurde das Protokoll auch auf die Website unter www.sajv.ch/kjnw hochgeladen. Damit soll ein Ideenaustausch zwischen den Kantonen ermöglicht werden.

2.3 Fragebogen an die nationalen Jugendakteure Neben der Meinung der kantonalen Akteure wurde auch die Meinung der nationalen Jugend-akteure zu den kantonalen Netzwerken erfasst. Damit soll sichergestellt werden, dass auch ihre Meinung und ihre Bedenken in die Studie einfliessen. Dazu wurde ein Fragebogen zu-sammengestellt (siehe Kapitel 9.3) und dieser folgenden Organisationen zugestellt:

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- DOJ

- Pfadibewegung Schweiz

- Jungwacht Blauring Schweiz

- Cevi Schweiz

- Anim.ch

- Dachverband Schweizer Jugendparlamente DSJ

- Stiftung idée:sport

- Kinderlobby Schweiz

- Pro Juventute Schweiz

Bei der Auswahl wurden einerseits die überkantonalen und nationalen Interessensverbände wie der DOJ, der DSJ, die Stiftung idée:sport und Anim.ch berücksichtigt. Zweitens wurden die drei grössten Jugendverbände PBS, Jungwacht Blauring Schweiz und Cevi Schweiz befragt. Drittens wurde der Fragebogen an weitere bedeutsame nationale Jugendakteure wie Kinder-lobby und Pro Juventute gesandt. Die Auswahl erfolgte in Absprache mit der Begleit- und der Steuergruppe.

Die Umfrage ist wichtig, damit auch die Chancen und Risiken auf nationaler Ebene erfasst und die Meinungen und Befürchtungen frühzeitig eruiert werden können. Zusätzlich gibt sie weite-re Ideen, was bei der Gründung von Netzwerken berücksichtigt werden muss und wie die Rol-le der verschiedenen nationalen Akteure wahrgenommen wird. Die zurückgesandten Frage-bogen wurden qualitativ ausgewertet und die Resultate in Kapitel 5 festgehalten.

3 Resultate der Workshops In den folgenden Kapiteln werden die Erkenntnisse aus den einzelnen Kantonen festgehalten. Diese stammen vor allem aus vor allem aus den angebotenen Workshops. In den Kantonen, in denen zwar ein Workshop geplant war, dieser jedoch nicht stattgefunden hat, werden die Gründe dafür erläutert und die Erkenntnisse aus den verschiedenen Gesprächen zusammen-gefasst.

Bei den Resultaten ist zu beachten, dass diese nur die Meinung der anwesenden Akteure wie-derspiegelt und in den meisten Fällen sogar nur die Meinung der anwesenden Personen. Wie es um die Meinung von nicht anwesenden Akteuren steht, kann hier nicht beantwortet werden. Man muss jedoch davon ausgehen, dass sie nicht oder nur beschränkt an einer Vernetzung interessiert sind, da sich sonst wohl bei der SAJV ihr Interesse angemeldet hätten. Es ist aber auch möglich, dass es bei einigen interessierten Organisationen untergegangen ist, da die zeitlichen Ressourcen nicht für alles reichen. Falls sich interessierte Akteure, die nicht am Workshop teilnehmen konnten, bei uns gemeldet haben, haben wir diese als interessierte Organisationen aufgeführt.

Da die meisten Teilnehmenden die in der Workshop-Einladung erwähnten Fragen nicht vor-gängig mit dem Verband besprochen haben, widerspiegeln ihre Aussagen auch nicht unbe-dingt die Meinung des ganzen Kantonalverbandes. Somit sind die Aussagen mit Vorsicht zu

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geniessen und die offizielle Meinung muss jeweils noch mit der kantonalen Gesamtleitung abgesprochen werden.

Das Ziel der Workshops war es, die TeilnehmerInnen zum Nachdenken über die Vorteile und Risiken eines kantonalen Jugendnetzwerkes anzuregen. In den eineinhalb- bis dreistündigen Workshops wurden erste Eindrücke der Teilnehmenden sowie Beobachtungen über Lücken und Aufgaben gewonnen, die aufgrund fehlender Ressourcen von der Organisation nicht erle-digt werden, welche aber ein kantonales Jugendnetzwerk übernehmen könnte. Eine grosse Bereitschaft, diesen Weg fortzusetzen, war in den Workshops festzustellen. Der Aufbau eines kantonalen Jugendnetzwerkes muss aber im Rahmen eines von den kantonalen AkteurInnen geplanten und gesteuerten Projektes stattfinden.

Im Folgenden wird kurz auf die Resultate der Workshops resp. auf die Interessenslage im Kanton eingegangen. Die genauen Infos können in den Protokollen im Anhang ab Kapitel 9.3 nachgelesen werden. Im Kapitel 4 werden dann die Resultate aller Workshops zusammenge-fasst und diskutiert.

3.1 Aargau Nach dem Versand der Workshopausschreibung hat die Pfadi Aargau zurückgeschrieben, dass es im Kanton schon seit mehreren Jahren ein Interverbandstreffen (IVT) gibt. An diesem seien Vertreter der Jungwacht Blauring, Cevi, Pfadi sowie der Fachkommission für Kinder- und Jugendfragen vertreten. Diese Treffen fänden zwei Mal pro Jahr statt und würden jeweils von einem Jugendverband organisiert. Die Traktanden entstehen gemeinsam und können si-tuativ angepasst werden. Durch die Vertretung aus der Fachkommission für Kinder- und Ju-gendfragen als Bindeglied der beiden Gremien fühlten sie sich ausreichend abgedeckt und würden die für sie relevanten Informationen erhalten. Auch bestehe dadurch die Gelegenheit ihre Anliegen in die Kommission zu tragen.

Nach diesem Feedback hat die SAJV beschlossen, den Workshop abzusagen, zumal sich nur zwei Organisationen (Pro Juventute Aargau, Jugendrotkreuz) für den Workshop interessiert haben. Pro Juventute hat auf die Frage nach den Bedürfnissen folgendes zurückgemeldet:

„Unser Bedürfnis kann ich im Moment nicht genau benennen. […] Eine Zusammenarbeit finde ich noch wichtig, damit man vorhandene Sachen nicht immer wieder neu erfinden muss. Die Angebotspalette ist dafür heute viel zu gross. Auch wäre es toll, wenn man auf Jugendgruppen zurückgreifen kann, die einem bei Events helfen oder umgekehrt. Das Einbeziehen in die Ar-beit wäre auch wichtig. Aber wenn das Interesse im Kanton selber nicht so gross ist, dann erfinden auch wir nichts weiter. Wir sind in Netzwerken, die sich regelmässig austauschen. Der Bedarf ist also nicht vorrangig. Aber, es hätte uns interessiert wer da noch kommt.“

Nach dem Workshoptermin hat sich eine Person der Jungwacht Blauring-Kantonsleitung bei der SAJV gemeldet, dass die Jungwacht Blauring eventuell Interesse an einem Netzwerk habe und dass das IVT eventuell auch für andere Jugendorganisationen geöffnet werden könne. Die Gefahr bestehe jedoch, dass das Treffen mit einer grösseren Teilnehmerzahl schwerfälliger werde. Insbesondere je verschiedenartiger die Organisationen sind.

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Die Resultate der Abklärungen bezüglich einer Öffnung sind jedoch noch ausstehend, vermut-lich weil die Treffen nur zwei Mal jährlich stattfinden. Zudem erwähnte er ein Anlass im Kan-ton Aargau, welcher mit Hilfe eines Geländespieles und eines anschliessenden Essens die Leitenden der verschiedenen Jugendgruppen zusammen gebracht werden sollen.

Im Kanton Aargau wäre es sinnvoll mit dem IVT abzuklären, inwieweit eine Öffnung für andere Organisationen möglich ist und inwiefern sie interessiert sind, mit der offenen Jugendarbeit einen Austausch zu haben. Am einfachsten wäre es wohl, wenn sich die interessierten Ju-gendverbände direkt beim IVT über Teilnahmemöglichkeiten erkundigen.

Neben der verbandlichen Jugendarbeit ist die offene Jugendarbeit im Verein Jugendarbeit Aargau AGJA vernetzt. Dieser setzt sich „fachlich, ideell und politisch für die lokalen, regiona-len und kantonalen Interessen offener Jugendarbeit ein“ (AGJA, 2013). Inwiefern dort ein Inte-resse bezüglich einer Vernetzung mit der Verbandsjugendarbeit besteht, ist nicht bekannt.

3.2 Appenzell Teilnehmende Akteure: Jungwacht Blauring SG/AI/AR/GL, Pfadi SG/AR/AI, Jugendzentrum Herisau

Zusätzlich interessierte Akteure: Cevi Ostschweiz, Samariterjugend

Pro Juventute hat auf eine Teilnahme verzichtet, da sie „in diesem Bereich nicht tätig sind und keine direkten Kontakte zu Jugendorganisationen haben“. Eine telefonische Rückfrage bezüg-lich einer Workshopteilnahme der Jugenddelegierten der beiden Kantone sowie der offenen Jugendarbeit hat leider nicht mehr stattgefunden.

3.2.1 Zusammenfassung des Workshops Bei den anwesenden Jugendakteuren der offenen und verbandlichen Jugendarbeit besteht ein Interesse ein Jugendnetzwerk zu gründen. Dabei soll der Infoaustausch, gemeinsame Anlässe und Lobbying im Vordergrund stehen. Um dies zu erreichen könne ein Mailverteiler eingerich-tet werden, über welchen die angeschlossen Akteure Infos verteilen und zu Aktivitäten aufru-fen können. Ein sporadisches Treffen soll helfen, dass das Netzwerk nicht einschläft.

Da die Jugendverbände überkantonal vernetzt sind, ist für diese vor allem eine Vernetzung bezüglich Lobbying in den Halbkantonen interessant. Gemeinsame Anlässe wären für die lo-kalen Gruppen im jeweiligen Kanton interessant. Bei der offenen Jugendarbeit ist eine Vernet-zung unter den Jugendzentren am Entstehen. Diese müsse noch gestärkt werden.

Um ein Netzwerk zu Gründen müsste bei den anwesenden Akteuren abgeklärt werden, ob auch die kantonale Leitung ein Interesse hat. Zudem muss bei weiteren Verbänden und den Jugendzentren abgeklärt werden, ob diese sich für ein Netzwerk engagieren wollen.

Weitere Infos im Protokoll (Kapitel 9.3.1).

3.2.2 Einschätzung der SAJV In den beiden Appenzeller Halbkantonen besteht das Problem, dass die Jugendverbände auch vom Aktivitätsradius her andere Bedürfnisse haben als die offene Jugendarbeit. Die die Kan-

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tonsleitungen der Jugendverbände decken mindestens drei Kantone ab (AI, AR, SG und zum Teil GL). Die Jugendzentren sind sich erst auf kantonaler Ebene am Vernetzen. Diese unter-schiedlichen Voraussetzungen erschweren die Gründung eines gemeinsamen formellen Netzwerkes. Dies wäre auch der Vorteil eines weniger formellen Mailverteilers, bei welchem sich alle Akteure entsprechend ihren Bedürfnissen einbringen können.

3.3 Basel Teilnehmende Akteure: Blaues Kreuz Kinder- und Jugendwerk BL, Jugendrat Baselland, Abt. Jugend- & Familienförderung Erziehungsdepartement BS, Jugendrotkreuz Basel, Mobile Ju-gendarbeit Grossbasel, Jugendarbeit Samariterverband, Pfadi Region Basel, CVJM/CVJF Re-gionalverband Basel, der junge Rat Baselstadt, Pro Natura Basel Grieni Kääfer

Zusätzlich interessierte Akteure: Jugendarbeit Basel, Jungwacht Blauring Kantone Basel-Stadt und Basel-Land, Pro Juventute Beider Basel

3.3.1 Fazit des Workshops Bei den anwesenden Jugendakteuren besteht zum Teil ein Interesse ein Jugendnetzwerk zu gründen. Dabei soll der Austausch von materiellen/personellen Ressourcen und bezüglich gemeinsamen Anlässen sowie eventuell das Lobbying und auch die Öffentlichkeitsarbeit im Vordergrund stehen. Zielgruppen wären die Mitgliedsorganisationen, Politiker/innen sowie die Öffentlichkeit mit Schwerpunkt Jugend.

Vier Möglichkeiten eines Netzwerkes wurden diskutiert (ausführlicher im Kapitel 4.4):

- Eine Delegiertenversammlung oder/und eine Kommunikationsplattform leisten den In-formations- und Ideenfluss.

- Ein Koordinationsteam verwaltet eine Website und die Koordination des Netzwerkes mit einer Delegiertenversammlung und einer Vollversammlung

- Verknüpfung der bestehenden Netzwerke

- Eine Einzelperson vernetzt die Organisationen

Zudem wurden die Chancen und Gefahren einer neuen Struktur erörtert.

3.3.2 Einschätzung der SAJV Bei diesem Workshop war die offene Jugendarbeit Basel-Stadt nur mit einer Person vertre-ten. Eine weitere Person der Jugendarbeit Basel ist nicht erschienen. Gemäss Albrecht Schönbucher der Jugendarbeit Basel seien durch einen Fusionsprozess im Jugendarbeitsbe-reich nur wenig zeitliche Ressourcen für eine Workshopteilnahme vorhanden. Beim kantona-len Netzwerk der offenen Jugendarbeit Baselland (VOJA) wurde vor dem Workshop telefo-nisch nachgefragt, ob eine Teilnahme möglich wäre. Da keine definitive Antwort eingetroffen ist, ist unklar, ob ein Interesse besteht.

In der Region Basel besteht das Problem der unterschiedlichen Aktionsradien der offenen und verbandlichen Jugendarbeit besonders ausgeprägt: Die offene Jugendarbeit ist auf Ebene der

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Halbkantone organisiert, die Jugendverbände auf regionaler Ebene (BS/BL und je nach dem AG und SO).

Ein Einbezug der bestehenden Netzwerke (F80, NOKJA, VOJA, ECCO, KOJE, FAJU, ASKJA, etc.) ist wichtig, wenn die Idee weiterverfolgt wird. Durch die Vielzahl an existierenden Netz-werken besteht jedoch schon einiges an Vernetzung, welche eventuell auch durch punktuelle Massnahmen in der Kommunikation zwischen diesen Netzwerken intensiviert und verbessert werden kann. Noch nicht in ein Netzwerk integrierte Organisationen könnten in die existieren-den Netzwerke integriert werden.

3.4 Fribourg Teilnehmende Akteure : associations et fédérations de la petite enfance, associations du mi-lieu ouvert, associations de et pour les jeunes, associations basées sur l’adhésion, pour cha-que type d’organisation des représentant-e-s des deux régions linguistiques étaient présent-e-s.

3.4.1 Fazit des Workshops Le cas de Fribourg est différent des autres cantons, car le projet de création d’un réseau can-tonal des activités de jeunesse et de l’animation jeunesse en milieu ouvert y est né il y a plus de deux ans. Au début de l’année 2012, un groupe de pilotage a été créé, qui était composé, pour chacune des régions linguistiques, des principales organisations de jeunesse, des repré-sentant-e-s de l’animation socioculturelle (Afasc/vkj), et de la déléguée cantonale à la jeunes-se. L’objectif de ce groupe était de mener une réflexion sur l’opportunité de créer un réseau cantonal pour l’enfance et la jeunesse.

La résonnance positive de ce projet a incité le groupe de pilotage à rédiger deux documents de base : les objectifs du réseau (2) et les lignes directrices. Ce travail préalable a abouti à l’organisation d’un atelier en janvier 2013, auquel étaient présentes plusieurs dizaines d’organisations actives dans le domaine de l’enfance et de la jeunesse. Le CSAJ a été invité à participer à cette rencontre pour présenter le projet mené au niveau national et animer un point de l’ordre du jour.

Ce réseau dénommé le réseau fribourgeois de l’enfance et de la jeunesse (Frisbee), fondé fin juin 2013, est novateur et inédit comparé aux autres réseaux. Le domaine de la petite enfance est partie prenante des intérêts du réseau et les organisations de ce domaine en sont mem-bres.

Les participant-e-s ont énoncé trois buts prioritaires. Le premier englobe une meilleure re-connaissance de l’ensemble des activités éducatives mises en place et effectuées par les as-sociations dans le domaine de l’enfance et de la jeunesse, ainsi que l’obtention d’un soutien financier pour le travail de terrain. Le deuxième objectif concerne la coordination thématique

2 Les documents stratégiques et les statuts du réseau sont consultables sur le site internet du réseau à cette adresse : http://www.frisbeenet.ch/index.php/fr/francais/vision-objectifs

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ainsi que la représentation régionale, cantonale et nationale. Le troisième but prioritaire est faciliter les échanges et créer des synergies entre les organisations fribourgeoises. Les buts secondaires portent sur la communication entre les organisations, la diffusion d’informations ayant un impact sur leurs activités, la représentation des intérêts ou le déve-loppement de projets et prestations en leur faveur. Ces objectifs secondaires peuvent se tra-duire par des actions telles que l'envoi d'une newsletter pour les organisations, le prêt de ma-tériel entre elles ou la création d’un calendrier commun pour diffuser à l’interne et auprès des partenaires et du grand public les dates des différentes activités.

Le réseau comptera des organisations de et pour les enfants et jeunes de 0 à 25 ans, avec un secrétariat composé à long terme d’au minimum de 2 personnes. Le financement de cette structure proviendrait notamment du canton et des communes. Les questions des cotisations des membres et des locaux restent ouvertes.

L’intérêt pour la démarche est manifeste vu la forte participation des organisations de l’enfance et de la jeunesse à cet atelier et le fait qu’elles se soient exprimées en faveur de la poursuite du projet. Au terme de l’atelier, une date pour une assemblée constitutive a été pro-posée.

3.5 Glarus Im Kanton Glarus besteht ein Netzwerk der Verantwortlichen der offenen Jugendarbeit der drei Gemeinden (GLOJA). Dies wird von einer Person mit einem 20%-Pensum koordiniert. Die GLOJA wäre interessiert an einem Austausch mit der Verbandsjugendarbeit. Die Kontaktauf-nahme versuche seien jedoch bis anhin gescheitert.

Die Kantonsleitung der Jungwacht Blauring SG/AI/AR/GL hat ebenfalls ein Interesse an einer Vernetzung im Kanton. Bei der Pfadi muss nochmals nachgefragt werden. Allenfalls werden sich die Kantonsleitungen und die GLOJA mal zu einem Informations- und Interessensaus-tausch treffen.

3.6 Jura Teilnehmende Akteure: Animateur-trice-s socioculturel-le-s, associations confessionnelles, de jeunesse et le délégué à la jeunesse. Au total, 12 personnes ont manifesté de l’intérêt pour le thème, dont 4 intéressées, mais absentes. Le responsable cantonal des scouts a fait parve-nir son avis quant aux questions posées dans l’invitation par courrier.

3.6.1 Fazit des Workshops Il ressort de cette rencontre que les participant-e-s perçoivent positivement le projet d’un réseau cantonal de jeunesse. Les principaux besoins énoncés sont de partager les informa-tions, les campagnes d’information ou de prévention entre les organisations et les centres de loisirs, ainsi que le matériel à disposition et de faire connaître les activités extrascolaires au grand public. L’atelier a également permis de faire ressortir les difficultés à trouver de nou-veaux financements et les conditions de travail insatisfaisantes, surtout pour les animateurs et animatrices socioculturel-le-s.

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Le projet de réseau est d’autant plus intéressant que l’une des problématiques des organisa-tions et centres de loisirs est le besoin de gagner en crédibilité auprès des établissements scolaires et de coopérer avec eux. La représentation des intérêts et la valorisation des activi-tés extrascolaires sont deux des tâches classées comme prioritaires par les participant-e-s. L’atelier a par ailleurs permis aux collaborateurs et collaboratrices des organisations de faire connaissance.

Les organisations membres du réseau jurassien seraient les associations de et pour la jeu-nesse, les centres de loisirs et les associations laïques ou confessionnelles. Le public visé englobe la tranche d’âge des 12-25 ans. Ce choix est justifié par les activités offertes par les centres de loisirs et les associations présentes lors de l’atelier. La limite à 25 ans est reprise de la base légale cantonale.

Si le projet de réseau prend forme, la question de la constitution d’un réseau cantonal juras-sien ou d’un réseau interjurassien des activités extrascolaires devra être traitée. Pour l’heure, deux des principaux acteurs jurassiens actifs dans le domaine des activités extrascolaires et de l’animation socioculturelle, le délégué interjurassien à la jeunesse et l’association des animateurs socioculturels « PROPAJ », ont déjà comme terrain d’action le Jura et le Jura bernois.

Nous notons aussi une forte implication du délégué interjurassien à la jeunesse, qui a pour projet de développer une plateforme interactive pour les partenaires du réseau. Ce projet constitue un premier instrument favorisant le partage d’informations et permettra d’établir les bases pour la création de synergies entre les organisations de et pour la jeunesse ainsi que les centres de loisirs jurassiens.

3.7 Luzern Teilnehmende Akteure: Jugendrotkreuz Luzern & SLRG, Pfadi Luzern, Büro West, Quartierar-beit Luzern

Zusätzlich interessierte Akteure: Akzent Prävention und Suchttherapie, Pro Juventute Kanton Luzern, Fachstelle Kind-Jugend-Fragen Kanton Luzern

3.7.1 Fazit des Workshops Bei den anwesenden Organisationen fehlen ein kantonales Lobbying und die Nutzung von Syn-ergien. Da die JaRL in einem Reorganisationsprozess ist, kann bei der offenen Jugendarbeit momentan nichts Neues angepackt werden. Je nach dem wären jedoch anschliessend Mög-lichkeiten für eine Zusammenarbeit vorhanden. Unterdessen können sich die Jugendverbände mit informellen Treffen oder einem gemeinsamen Event vernetzen.

3.7.2 Einschätzung der SAJV Die offene Jugendarbeit ist im Kanton Luzern mit der JaRL überregional mit anderen Kanto-nen vernetzt. Durch die Umorganisation der Mitgliederstruktur des DOJ ist sich auch die JaRL Gedanken zu ihrem Aktivitätsradius machen. Bis Ende Jahr sollte die Richtung der Entwick-lung klar sein. Vorher ist es nicht sinnvoll die Idee eines gemischten Jugendnetzwerks der

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verbandlichen und offenen weiter zu verfolgen. Bis dann ist es jedoch möglich, dass sich die Verbandsjugendarbeit in den eigenen Verbänden abklärt, ob sie die Idee weiterverfolgen möchten und falls ja sich schon unter sich gemeinsam vernetzen.

Bei eventuellen weiteren Bestrebungen zur Gründung eines Jugendnetzwerkes muss unbe-dingt Jungwacht Blauring in den Prozess einbezogen werden. Da an dem Workshopabend die Kantonsleitungssitzung stattfand, konnte niemand die Ansichten aus diesem Jugendverband einbringen.

3.8 Neuchâtel

3.8.1 Fazit des Workshops Teilnehmende Akteure: Parlement des jeunes, centres de loisirs, Pro Juventute, délégué can-tonal à la jeunesse, les scouts cantonaux et le passeport vacances.

Parmi les participant-e-s, des lacunes existent dans plusieurs domaines, dont notamment le partage des informations entre les organisations, la faible connaissance des activités de jeu-nesse au sein du grand public, le manque de ressources financières et de nouveaux bénévoles ou le soutien aux projets des jeunes.

L’atelier a également permis de lister les tâches et prestations que le réseau cantonal pour-rait prendre en charge. De plus, le réseau devrait axer son activité sur la représentation des intérêts des organisations et participer à la définition de la politique cantonale de la jeunesse.

Des besoins ont été clairement exprimés par les participant-e-s pour améliorer le dévelop-pement des activités mises en œuvre par leur organisme. Toutefois, la constitution d’un ré-seau formel n’est pas une priorité pour plusieurs raisons. D’une part, les responsables des organisations actives dans le canton de Neuchâtel se connaissent bien, ce qui induit l’existence d’un réseau non formel. D’autre part, la réflexion sur la constitution d’un réseau entre les collaborateurs et collaboratrices des centres de loisirs a été menée, mais elle a été abandonnée au profit d’un réseau informel entre les animateurs et animatrices des centres de loisirs cantonaux.

Dans les années nonante existait un groupe de liaisons des activités de jeunesse neuchâtelois. Doté d’un salarié à temps partiel, le réseau avait comme tâche principale de redistribuer des subventions aux organisations cantonales, de publier un bulletin d’information et de coordon-ner des actions pour sa quinzaine de membres. Suite à des coupes dans le budget du canton, le réseau n’a plus reçu de subventions et a donc perdu sa principale source de financement provoquant la fin des activités du réseau. Parmi les participant-e-s à l’atelier, aucun d'entre eux n’avait connaissance de cet ancien réseau.

3.9 St. Gallen Die SAJV wurde im Kanton St. Gallen durch die Kantonsleitung von Jungwacht Blauring SG/AI/AR/GL darauf aufmerksam gemacht, dass der Kanton schon eine Initiative gestartet habe, ein kantonales Jugendnetzwerk zu gründen. Bei der Nachfrage bei der kantonalen Ju-genddelegierten ist herausgekommen, dass im Januar 2013 eine erste Sitzung mit einer Ar-

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beitsgruppe stattgefunden hat. Diese besteht aus Vertreter/innen der drei grossen Jugend-verbände (Pfadi, Jungwacht Blauring, Cevi (sowie Vertreter/innen der kirchlichen (reformiert & katholisch) und kommunalen (einzelne grosse Player der offenen JA) Jugendarbeit. Ziel des kantonalen Projektes sei es, herauszufinden, welche Bedürfnisse bezüglich einer Vernetzung bestehen. Auch sollen die Ziele einer solchen Vernetzung definiert werden. Neben den oben erwähnten grossen Akteuren würden auch die kleinen Verbände in den Prozess mit einbezo-gen. Ein Protokoll der Sitzung könne noch nicht verteilt werden, da es noch zu früh sei, die Infos zu streuen.

Die nächste Sitzung der Arbeitsgruppe findet am 25. Juni statt. Da die Arbeitsgruppe schon konstituiert sei, würden die Kontakte der SAJV nicht benötigt. Die SAJV hat angeboten, an der Sitzung dabei zu sein. Andrea Fäh würde auf das Angebot zurückkommen, wenn sie es als sinnvoll erachtet. Ansonsten würde sie die SAJV nach der Sitzung im Juni über die Ergebnisse informieren.

Da die Initiative des Kantons dieselben Ziele hat wie die Studie der SAJV, zudem schon weiter fortgeschritten ist und besser lokal verankert ist, hat sich die SAJV entschieden, auf die Durchführung des Workshops zu verzichten.

Es wäre spannend, den Fortschritt und Aufbau des Netzwerkes weiter zu verfolgen. Dies gäbe sicher auch gute Inputs für die anderen Kantone, welche ein Netzwerk gründen wollen. Zu-dem wäre es interessant, den Gründungsprozess mit dem Prozess im Kanton Freiburg zu ver-gleichen.

3.10 Schaffhausen Teilnehmende Akteure: Cevi Region Winterthur – Schaffhausen, Jungwacht Blauring Kanton Schaffhausen, Pro Juventute Kanton Schaffhausen, Pfadi Schaffhausen (& Jugendkommissi-on)

Zusätzlich interessierte Akteure: Leitung Team Jugendarbeit und Beauftragter für Jugendfra-gen Stadt Schaffhausen

Im Kanton habe es vor einiger Zeit ein loses Informationsnetzwerk gegeben. Die Arbeit habe jedoch vor allem darin bestanden, die Adressliste des Mailverteilers zu aktualisieren.

3.10.1 Fazit des Workshops Bei den anwesenden Jugendakteuren besteht das Bedürfnis ein Jugendnetzwerk zu gründen. Dieses soll vor allem Dienstleistungen für die Mitglieder erbringen, Öffentlichkeitsarbeit ma-chen und die geleistete Arbeit aufzeigen. Mitgliederwerbung und gemeinsame Ausbildung stehen im Vordergrund.

Die Befürchtung besteht, dass das Projekt versandet. Auch müsste jemand gefunden werden, der den Aufbau in die Hand nimmt, da es arbeitsintensiv ist. Die SAJV soll das Projekt unter-stützen und begleiten. Ein nächstes Treffen der anwesenden Jugendverbände findet am 18. September statt.

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3.10.2 Einschätzung der SAJV Der Workshop hat bewirkt, dass die drei anwesenden Jugendverbände miteinander Bekannt-schaft geschlossen und festgestellt haben, dass sie ähnliche Probleme haben und diese zum Teil gemeinsam angehen können. Für Pro Juventute hatte der Workshop wohl vor allem den Nutzen, dass sie ihr Netzwerk vergrössern und den Jugendverbänden ihre Angebote bekannt machen konnten. Beim nächsten Treffen werden sie nicht mehr dabei sein.

Durch die Abwesenheit der Akteure der offenen Jugendarbeit ist offen, welche Bedürfnisse auf dieser Ebene vorhanden sind. Der Teamleiter der offenen Jugendarbeit der Stadt Schaff-hausen wäre an einem aktiven Netzwerk interessiert. Da die anwesenden Jugendverbände ähnliche Probleme haben ist es darum möglicherweise sinnvoller, zuerst eine Koordination unter diesen aufzubauen. Anschliessend könnte über eine Vernetzung mit anderen Akteuren wie z. B. der offenen Jugendarbeit nachgedacht werden.

3.11 Schwyz Teilnehmende Akteure: Jungwacht Blauring Uri Schwyz, Jugendkontaktstelle Gemeinde Frei-enbach, Jugendarbeit Wollerau & Schindellegi, jugend:büro march, Pro Juventute Ferienpass March, VCS, Pfadi Kanton SZ, Help Küssnacht

Zusätzlich interessierte Akteure: Amt für Gesundheit und Soziales Abteilung Soziales, Rö-misch-Katholische Kantonalkirche Schwyz.

3.11.1 Fazit des Workshops Bei den anwesenden Jugendakteuren der offenen und verbandlichen Jugendarbeit besteht ein Interesse ein Jugendnetzwerk zu gründen. Dabei soll der Austausch von materiel-len/personellen Ressourcen und bezüglich gemeinsamen Anlässen sowie das Lobbying und die Öffentlichkeitsarbeit im Vordergrund stehen. Zielgruppen wären die Mitglieder, Politi-ker/innen sowie die Öffentlichkeit mit Schwerpunkt Jugend.

Drei Möglichkeiten eines Netzwerkes wurden erarbeitet:

- Ein Internetforum zum Austausch von News wird eingerichtet - Ein Netzwerk wie welchem der Kanton die Administration und Koordination über-

nimmt, wird gegründet - Die Jugendverbände gründen ein Netzwerk bei welchem eine Arbeitsstelle die Admi-

nistration übernimmt. Bei den verschiedenen Varianten wurden die Chancen und Gefahren erörtert. Als nächster Schritt müsste eine Arbeitsgruppe den Grundstein für eine anschliessende Vereinsgründung legen. Ein Mailverteiler soll eingerichtet werden, über welchen die angeschlossen Akteure Infos verteilen und zu Aktivitäten aufrufen können. Ein sporadisches Treffen hilft, dass das Netzwerk nicht einschläft.

3.11.2 Einschätzung der SAJV Im Kanton Schwyz war der Workshop sehr gut besucht. Vor allem die offene Jugendarbeit war überproportional vertreten. Wir führen das auf die Unzufriedenheit mit der kantonalen Ju-gendpolitik zurück, die auch im Workshop zu spüren war. Insbesondere, dass das Jugendleit-

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bild zurückgestellt und vom Kantonsparlament nicht traktandiert und verabschiedet wird, sorgte für Missfallen. In Zusammenarbeit mit der neuen kantonalen Jugenddelegierten könn-te an der Behebung des Missstands gearbeitet werden. Ein Jugendnetzwerk würde die Mög-lichkeit bieten, die Jugendanliegen mit mehr Gewicht in der kantonalen Politik durchzusetzen.

Es ist offen, ob der Kanton vor der Verabschiedung des Leitbildes ein Jugendnetzwerk finan-ziell unterstützen würde. Vermutlich müssten finanzielle Mittel für die Gründung und den Be-trieb anderswo aufgetrieben werden.

3.12 Tessin L’atelier au Tessin s’est déroulé en présence de 7 organisations et des responsables canto-naux de la politique de la jeunesse, respectivement le délégué cantonal à la jeunesse et le responsable du bureau des jeunes. La quasi-totalité des personnes présentes était également membre du Conseil cantonal des jeunes, dont la coordination est assurée par le bureau can-tonal des jeunes.

Les participant-e-s ont expliqué que les échanges réguliers au sein de la commission canto-nale des jeunes et le travail de communication mené par le bureau cantonal des jeunes, ainsi que les contacts formels et informels entre les membres de la commission permettaient de connaître certaines des problématiques rencontrées par les organisations de jeunesse. Mais la voix de la commission ne représente pas un groupe ou une organisation, car les membres y adhèrent individuellement.

Le bureau cantonal des jeunes offre diverses prestations, dont la publication de fascicules d’informations pour les organisations de jeunesse, les enfants, les jeunes et le grand public ou la gestion d’un fonds de subvention. Ces prestations et le travail de réseau et de contact entre le bureau, les centres de loisirs et les associations de jeunesse en font l’organe de coordination du canton.

Les organisations de jeunesse rencontrent des problèmes semblables aux autres cantons, comme la recherche de nouvelles sources de financement, l’augmentation de la visibilité des activités de jeunesse ou la question de la reconnaissance du bénévolat des jeunes.

Les organisations présentes ont exprimé des besoins précis nécessitant un soutien de la part du canton, mais la création d’un réseau cantonal des activités de jeunesse n’était pas une priorité pour les personnes présentes. Le conseil cantonal des jeunes, les contacts formels et informels ainsi que des lieux de discussion pour les organisations de jeunesse cantonales et les prestations du bureau cantonal des jeunes constituent d’ores et déjà un travail de réseau.

3.13 Unterwalden Teilnehmende Akteure: Jungwacht Blauring Kantone Obwalden & Nidwalden, Pfadi Unterwal-den, Jugendanimation Stansstad

Zusätzlich interessierte Akteure: Jugendarbeitsstelle Gemeinde Stans, Kantonaler Jugendbe-auftragter OW, Kath. Kirche Obwalden

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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3.13.1 Fazit des Workshops Da die Pfadi und Jungwacht Blauring sich untereinander am vernetzen sind, die offene Ju-gendarbeit eine Vernetzung über das JaRL hat und zudem in den Kantonen eine Vernetzung vor allem auf der Ebene der Gemeinde sinnvoll ist, erachten die Teilnehmenden ein Netzwerk als unnötig. Im Kanton Nidwalden wäre es jedoch sinnvoll einen kantonalen Jugenddelegier-ten zu haben.

3.13.2 Einschätzung der SAJV Die offene Jugendarbeit unter sich sowie die Pfadi und Jungwacht Blauring sind vernetzt. Da diesbezüglich kein Handlungsbedarf besteht, wäre es einzig sinnvoll, beim Kanton Nidwalden die Stelle eines vollwertigen Jugenddelegierten anzuregen.

3.14 Uri Nach dem Versand der Einladungen hat sich der kantonale Jugenddelegierte, bei der SAJV gemeldet und sein Interesse an einer Zusammenarbeit beim Workshop signalisiert. Nebst den Räumlichkeiten hat er auch die Adressliste mit möglichen interessierten Personen im Kanton überarbeitet.

Nach einer Sitzung mit der kantonalen Kinder- und Jugendkommission KKJK3 hat sich der Jugenddelegierte erneut gemeldet und der SAJV nahegelegt, den Prozess zu stoppen. Dies, weil in der Kommission im Moment die Kinder- und Jugendarbeit des Kantons weiterentwi-ckelt und diesbezüglich ein Gesuch beim BSV eingeben werde. Den Mitgliedern der KKJK sei die Lancierung des Workshops zu schnell gegangen. Sie wollen die Bedürfnisse in bei der Überarbeitung der Kinder- und Jugendarbeit analysieren und anschliessend ein Jugendnetz-werk gründen. Da es wichtig sei, dass eine hohe Identifikation mit einem Jugendnetzwerk be-steht, wäre es schade, wenn der Workshop zum jetzigen Zeitpunkt stattfinden würde.

Im Prozess, welcher durch die KKJK lanciert wurde, sollen zuerst mal die rechtlichen Grund-lagen geschaffen werden. Anschliessend lade die die KKJK zu einem Treffen ein um mit den Anwesenden die Bedürfnisse zu ermitteln und über eine Zusammenarbeit zu diskutieren. Da-zu wäre es sinnvoll wenn die SAJV die Aussensicht einbringen könnte. Diese Sitzung werde Ende 2013 stattfinden. Der Lead liege bei der KKJK.

3.15 Wallis Au cours de l’année 2012, le groupe de liaison des activités de Jeunesse du Valais Romand (GLAJ-Vsr), créé en 1998, a été dissolu après plusieurs années de quasi-inactivité. En connaissance de cause, une rencontre avec le délégué jeunesse cantonal s’est tenue avant d’entreprendre toutes les démarches en Valais. Suite à cette rencontre, il a été décidé d’organiser un atelier en deux langues, puisque le bilinguisme est un facteur déterminant pour la coordination des activités de jeunesse en Valais. En raison du faible nombre d’inscriptions reçues, la rencontre a été annulée. Deux raisons expliqueraient ce manque d’intérêt: d’une part la récente dissolution du GLAJ-Vsr et d’autre

3 In der KKJK ist die offene Jugendarbeit, die politische Jugendarbeit (Jugendparlament) und die ver-bandliche Jugendarbeit vertreten.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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part, le développement d’un nouveau projet appelé « Développement des activités extrascolai-res dans les vallées latérales et les espaces ruraux du Valais romand ». Son but est, selon les informations transmises par l’OFAS, «[de] mettre en place un système permettant le dévelop-pement des activités extrascolaires dans les vallées latérales et les espaces ruraux. Cet ani-mateur socioculturel aura un pied-à-terre dans les différents centres de loisirs valaisans et se déplacera pour rencontrer les jeunesses des vallées adjacentes. De plus, certains jeunes n’adhérent à aucune association de ce type (culturelle, sportive, jeunesse…) et le rôle de l’animateur ou animatrice socioculturel-le sera de les accompagner durant leur temps libre et de favoriser leur insertion dans le tissu social local. Cela permettra d’avoir un intervenant auprès des jeunesses locales, d’autres associations de jeunes comme les scouts, le Mouve-ment Relais, et des jeunes n’y faisant pas partie, et de leur fournir des conseils ou encore un soutien en cas de besoin. ». Dans la partie germanophone du canton, les «Jugendarbeitsstellen» occupent, dans les dis-tricts, un rôle de coordination entre les différentes communes grâce à la possibilité de soutien de la nouvelle loi sur l’encouragement des activités extrascolaires dans les vallées latérales et les régions de montagnes (OFAS : 2013).

4 Analyse der Workshopresultate Die Nachfolgende Tabelle zeigt auf, in welchen Kantonen ein Interesse zur Gründung eines kantonalen Jugendnetzwerkes besteht.

Kanton: Antwort: Bemerkungen:

AI/AR ja Einrichten eines Mailverteilers

FR ja Eigeninitiative der Kinder- & Jugendorganisationen mit Unterstützung des Kan-tons, Gründung im Juni 2013

JU ja Die Frage ob der Jura und der Berner Jura abgedeckt werden soll, ist wichtig.

SH ja Nur Jugendverbände anwesend, nächste Sitzung im September

SZ ja 3 Varianten diskutiert

BS/BL ja verschiedene Möglichkeiten, Chancen/Gefahren diskutiert.

LU ja, aber wollen abwarten, wie es mit dem JARL weiter geht

GL Ja, aber Nur Interesse von GLOJA und Jubla vorhanden. Ansonsten keine Meinungen

UR ja, aber Der Kanton möchte die Bedürfnisabklärung zu einem Jugendnetzwerk im Rah-men der Revision der kant. Jugendpolitik angehen

SG ja im Prozess, Eigeninitiative des Kantons

NE nein Pas de nécessité marquée les acteurs se connaissent bien et échangent de ma-nière informelle.

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TI nein Intérêt pour le projet, mais le bureau cantonal des jeunes et une commission cantonale sont déjà des lieux de coordination et d’échanges

OW/NW nein

VS ? Kein Workshop durchgeführt

AG Ein informelles Netzwerk der VJA existiert

Insgesamt wurden zehn Workshops durchgeführt. Bei sieben Workshops haben die Anwesen-den ein Interesse an einem Jugendnetzwerk signalisiert. Bei drei Workshops haben die Akteu-re kein Interesse. In den Kantonen, in denen kein Workshop durchgeführt wurde, hat entwe-der der Kanton Interesse, den Prozess selber zu führen oder es besteht schon ein loses Netz-werk wie im Kanton Aargau. Es ist nicht verwunderlich, dass die anwesenden Personen für ein Jugendnetzwerk interessieren, da sie sonst kaum am Workshop teilgenommen hätten. In den folgenden Kapiteln sollen die Tendenzen aus den verschiedenen Kantonen zusammengefasst werden.

4.1 Bedürfnisse der Akteuren Die Workshops wurden in drei Diskussionsrunden geteilt. Das Ziel der ersten leitfadenge-stützte Diskussion war, die TeilnehmerInnen zum Nachdenken über Bedürfnisse im Bereich Zusammenarbeit und Vernetzung, sowie über Aufgaben, die aufgrund fehlender finanzielle, zeitliche oder Fachressourcen von der Organisation nicht erledigt werden, anzuregen. In der zweiten Diskussionsrunde wurden die sieben Haupttätigkeitsgebiete der kantonalen Jugend-netzwerke vorgestellt. Damit wurde beobachtet, ob die am Anfang formulierten Bedürfnisse mit der Wahl der Haupttätigkeitsbereiche eines kantonalen Jugendnetzwerkes bestätigt wur-den. Der Workshop wurde mit einer Diskussion über die möglichen Organisationsformen ei-nes zukünftigen kantonalen Jugendnetzwerkes abgeschlossen.

Im folgenden Absatz werden die Hauptbedürfnisse der Teilnehmenden vorgestellt. Die Ziele, Aktionen und Massnahmen werden im dritten Teil der Studie ausführlich dargestellt.

Das Hauptbedürfnis – welches an allen Workshops genannt wurde – der kantonalen Akteure sind die Leistungen, welche ein Netzwerk den Mitgliedern anbieten kann. Dabei standen fol-gende (nicht hierarchisch gegliederten) Bedürfnisse im Vordergrund:

- Informations-, Erfahrungs- und Wissensaustausch

- Nutzung von Synergien zwischen den Akteuren (Material, Räume, personelle Ressour-cen, Ausbildung, etc.)

- Gestaltung von gemeinsamen Anlässen

- Werbung für neue Freiwillige

- Finanzierungshilfen für Projekte der Mitglieder

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- Vernetzung mit anderen Akteuren der offenen und verbandlichen Jugendarbeit

- Vernetzung zwischen den Kantonen

Die in den Workshops formulierten Bedürfnisse stimmen mit den Hauptaktivitäten der beste-henden kantonalen Netzwerke überein. Das Bedürfnis, Informationen und Daten über angebo-tenen Aktivitäten, neue Projekte, Erfahrungen und Wissen auszutauschen, wurde von den Teilnehmenden in jedem Workshop genannt. Dies ist Ausdruck einer Lücke in der Kommuni-kation zwischen Organisationen und deren jeweiligen Aktivitäten. Durch die Verstärkung der Zusammenarbeit zwischen Organisationen können die Experten eines Gebietes ihr Wissen weitergeben z.B. im Bereich der Jugendprobleme, wie die Suchtprävention oder die Förde-rung der psychischen Gesundheit.

Die Verstärkung des Austauschs und die Entwicklung der Zusammenarbeit betreffen die drei unter Punkt 1.2 erwähnten Organisationstypen der ausserschulischen Jugendarbeit. Auch wenn sich diese drei Strukturen durch verschiedene Merkmale unterscheiden, wäre laut den TeilneherInnen eine Annäherung positiv, z.B. um Ressourcen, Sitzungsräume, Material, Frei-willigenarbeit, Projekte, Weiterbildungen, usw. zu teilen.

Dieser Wille der Jugendverbände und der offenen Jugenarbeit, ein Netzwerk unter sich zu schaffen, beruht vor allem auf der Annahme, dass die Unterscheidung zwischen beiden Orga-nisationstypen für die Öffentlichkeit nicht so klar ist – im Gegensatz zu den Mitarbeitenden, Freiwilligen und Verantwortlichen der ausserschulischen Jugendarbeit. Die Akteure befinden sich in einem Kontext, indem „die Bedeutung der offenen Jugendarbeit steigt, da Kinder und Jugendliche immer häufiger mobile und offene Angebote bevorzugen und nicht mehr bereit seien, sich klassischen Jugendverbänden anzuschliessen.“ (EDI: 2008).

Dies wird auch durch das Interesse der TeilnehmerInnen unterstrichen, sich zum Austau-schen zu treffen, Aufgaben auf kantonaler Ebene zu übertragen, auf einen Sprecher der aus-serschulischen Jugendarbeit zu verfügen, und die kantonale Jugendpolitik zu beeinflussen. Ein weiteres wichtiges und oft genanntes Anliegen ist das Mitgestalten der kantonalen Ju-gendpolitik (Monitoring der Jugendpolitik und Lobbying). Dies in der Hoffnung, dass man sich gemeinsam besser einbringen und seinen Anliegen Gehör verschaffen kann. Dieses Anliegen war in Kantonen mit einer schwach ausgeprägten Jugendpolitik besonders stark vorhanden. Zum Teil soll mit dem Lobbying auch eine Erhöhung des kantonalen Budgets für die ausser-schulische Jugendarbeit erreicht werden.

In den letzten 10 Jahren sind in der Schweiz die Anzahl der von der Bevölkerung geleisteten freiwilligen Arbeitsstunden gesunken (BFS: 2011). Darum besteht ein Bedarf, freiwilliges En-gagement zu fördern. Der fehlende Nachwuchs hat erhebliche Auswirkungen für die Vereine, wie den Wegfall von Tätigkeiten oder sogar die Auflösung von Organisationen. Neben dem abnehmenden freiwilligen Engagement steigt die Anzahl Organisationen, die Freiwillige enga-gieren sowie die Einsatzmöglichkeiten, was die Rekrutierung neuer Freiwilligen zusätzlich erschwert.

Auch haben einige Jugendorganisationen Schwierigkeiten bei der Sicherstellung der Finan-zierung. Jugendorganisationen mit Angestellten stehen auch vor dieser Herausforderung, da

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sie wichtige Ressourcen für das Fundraising investieren müssen, zumeist auf Kosten des Leistungsangebotes.

Die oben genannten Aktivitäten sind allen Organisationen der ausserschulischen Jugendarbeit gemein. Sie erfüllen sie teilweise, oder gar nicht, oft wegen fehlender Ressourcen. Die Über-tragung dieser Aufgaben an ein kantonales Jugendnetzwerk ist für die Organisationen von grossem Interesse. Die Workshop-Teilnehmenden haben zudem weitere Bedürfnisse ausge-drückt4, die ein kantonales Netzwerk erfüllen könnte.

Die Gründe für die Teilnahme an einem kantonalen Jugendnetzwerk sind nicht für alle Ver-bände gleich. Einige Organisationen sehen darin eine Austauschmöglichkeit und eine Gele-genheit, im Bereich der Jugendförderung über einen Interessenvertreter zu verfügen. Andere sehen weitere Vorteile, wie z.B. vom Leistungsangebot eines kantonalen Jugendnetzwerkes profitieren zu können.

Teilnehmende Organisationen (weitere interessierte Organisa-

tionen)

Gewünschte Aktivitäten des zukünftigen

Netzwerkes

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Appenzell - 1 2 (1) 0 3 (1) X X

Basel - 1 (1) 9 (2) 1(-) 11 (3) X X X

Freiburg 5 5 16 1 (1) 20 (9) X X X X X

Jura - 5 2 (4) 1 8 (4) X X X X X Luzern - 2 2 (2) -(1) 4 (3) X X

Neuenburg - 4 7 (3) 1 (2) 12 (5) X XX X X XX

Unterwalden - 1 (1) 2 (1) -(1) 3 (2) Kein Jugendnetzwerk nötig Schaffhausen - 0(1) 3 - 4 (1) X X X Schwyz - 5 3 (1) 0 (1) 9 (2) X X X X X Tessin - 1 4 2 7 X X X X -

4 Die spezifischen Bedürfnisse werden in den Protokollen der Workshops in den einzelnen Kantonen dargelegt.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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4.2 Einbezug weiterer Jugendakteure Die Diskussion über den Einbezug von weiteren kantonalen Jugendakteuren hat die Vielfalt von Angeboten für Jugendliche aufgezeigt. Die Liste ist jedoch nicht vollständig und müsste noch durch eine kantonale Recherche verfeinert werden. So haben die Teilnehmenden in den Workshops vorgeschlagen, folgende Akteure zusätzlich in die Überlegungen zu einem Ju-gendnetzwerk einzubeziehen:

offene Jugendarbeit - Kantonale Koordination - Jugendzentren (Leitung)

AI-AR / FR / JU / NE / SH

Jugendverbände - Pfadi, Jungwacht Blauring, Cevi - SLRG - Mitglieder der SAJV - Landjugend - Pro Natura - Kolpingvereinigung - Verkehrskadetten - Studierendenverbände

AI-AR / BL / FR / JU / LU / NE / SH / SZ

Kulturorganisationen - Jugendkulturfestival - Theatervereine (Jugendtheater) - Trachtenvereine - Musikverband - Fasnachtscliquen - Kinderchöre

AI-AR / BL / FR / JU / NE / SZ

Sport - Sportverband, Sportvereine, Turnverei-

ne, - Kinder- und Jugendsport - Meitlirige / Jugi - Jungschützen

AI-AR / BL / FR / LU / NE /SH / SZ

Angebote & Lobbying für Kinder - Elternvereine - kantonaler Frauenbund - Robinson Spielplätze - Passeport Vacances - Einrichtungen zur Betreuung von Kin-

dern im Vorschulalter (Kinderkrippen und Kinderhorte)

BL/ FR / SZ

Foren der Schulen (Schüler/innenparlament) BL Jugendfeuerwehr SZ Pfarreien FR / JU / Jungparteien AI-AR / BL / SZ Kanton

- Kantonales Sportamt - Kulturkommission - kantonale Jugendbeauftragte - Jugendheime

FR / SH / SZ

weitere Jugendakteure Recherche AI / FR / JU

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Nach einem Vergleich der beiden Tabellen sollten einige Punkte hervorgehoben werden: Ers-tens, die Bedeutung der Sportvereine für die Workshop-Teilnehmenden – auch wenn Sport-vereine üblicherweise nicht Teil der kantonalen Jugendnetzwerke sind. Kulturvereine werden ebenfalls oft genannt und sie sind zum Teil schon jetzt Mitglied von bestehenden Jugendnetz-werken. Die zukünftigen kantonalen Jugendnetzwerke könnten innovativ sein, indem sie Mit-glieder aus bis jetzt wenig vertretene Bereiche rekrutieren würden. Eine solche „Innovation“ kann für die Akquise von (Bundes-)geldern interessant sein.

Eine Erweiterung der Zielgruppe könnte auch mit dem Einbezug von Lobby- und Kinderorga-nisationen geschehen, da diese in den Bestehenden Jugendnetzwerken nicht Mitglied sind. Im Kanton Fribourg wurde vor dem Workshop vorgeschlagen, ein breites Netzwerk, das Kinder- und Jugendorganisationen integrieren würde, zu gründen. Darum haben viele Kinderorganisa-tionen wie „la maison de la petite enfance“ am Workshop teilgenommen. In den anderen Workshops gab es kein spezifisches Suchkriterium für die Kinderorganisationen. Einige Work-shop-Teilnehmende in Basel und Zug haben diese Organisationen allerdings erwähnt, damit diese kontaktiert werden, falls ein kantonales Jugendnetzwerk gegründet werden soll.

Auf der obenstehenden Tabelle erscheint die Anzahl Workshops, welche die offene Jugendar-beit als Zielgruppe genannt haben, relativ gering. Diese wurde jedoch von den Teilnehmenden nicht immer erwähnt, da VertreterInnen aus diesem Tätigkeitsbereich oft anwesend waren. Im Workshop in Schaffhausen war der Vertreter der offenen Jugendarbeit nicht anwesend, er hat aber sein Interesse für das Projekt bekundet. Die anderen Teilnehmenden haben ihn auf der Liste der zu kontaktierenden Organisationen gestellt.

Die Jungparteien wurden mehrmals genannt, aber nicht als Akteure, die kontaktiert werden sollten. Ein Argument war, dass ein Netzwerk politisch unabhängig sein sollte.

In der Diskussion der Workshops hat sich gezeigt, dass die Befürchtung besteht, dass bei ei-ner zu grossen Vielfalt der Netzwerkmitglieder die Meinungsfindung schwieriger wird und es mehr Koordination bedürfte. Zudem brauchen die verschiedenen Akteure unterschiedliche Dienstleistungen des Netzwerkes. Für ein kantonales Lobbying könnte eine grosse Mitglieder-zahl von Vorteil sein, da sich das Gewicht erhöht. Dafür wäre auch hier die Meinungsfindung schwieriger. Somit muss vor der Gründung eines Jugendnetzwerkes gut abgewogen werden, zwischen wenigen Mitgliedern mit einfacheren Prozessen und Strukturen und einer grossen Mitgliederzahl, welches ein grösseres (politisches) Gewicht mit sich bringt.

4.3 Zielgruppe Bei allen Workshops hat sich herausgestellt, dass sich das Netzwerk an folgende Ansprech-gruppen wenden soll:

- Mitglieder: Die Mitglieder legitimieren die Jugendnetzwerke. Sie sind auch zugleich die Erstbegünstigten der Arbeit, der Leistungen und der Projekte der kantonalen Koordi-nationsstelle.

- Politik: Politik ist ein wichtiger Hebel, um Anliegen der ausserschulischen Arbeit auf der politischen Agenda zu setzen, sie also als öffentliches Problem zu betrachten und Lösungen vorzuschlagen (KLV: 2006).

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- Öffentlichkeit (insbesondere Eltern und (neue) Mitglieder): Eltern und Mitglieder haben die Möglichkeit als Multiplikator, die Sichtbarkeit der Jugendarbeit in der Bevölkerung, bei Kindern und Jugendlichen zu erhöhen. Die breite Öffentlichkeit kann soll über die Aktivitäten und den Nutzen der ausserschulischen Jugendarbeit aufgeklärt werden.

Diese Zielgruppen resultiert aus den formulierten Bedürfnissen (Nutzen von Synergien, Dienstleistungen für Mitglieder, Lobbying und Werbung, siehe Kapitel 4.1).

Kinder und Jugendliche wurden von den Teilnehmenden nicht als Zielgruppe genannt, obwohl sie die Leistungsempfänger der Jugendarbeit sind. Die TeilnehmerInnen haben eine Unter-scheidung zwischen den vorrangigen Zielgruppen der Arbeit eines kantonalen Netzwerkes und Kinder und Jugendliche als gewinnende Dritte getroffen.

Die Kinder- und Jugendfrage wurde unter einer anderen Perspektive behandelt. Die Frage war: Welche Altersgruppen sollen mit der Arbeit der Mitglieder eines kantonalen Jugend-netzwerkes angesprochen werden? Diese Frage ist für die Bildung eines kantonalen Jugend-netzwerkes wichtig, da dieses Kriterium die Mitgliedsorganisationen eingrenzt. Sie ist auch strategisch, weil die kantonalen gesetzlichen Grundlagen Altersklassen für gesetzliche Ziel-gruppen definieren. Die Ressourcenzuweisung für die ausserschulische Jugendarbeit ist da-von abhängig.

4.4 Mögliche Organisationsformen An den Workshops wurden verschiedenste Organisationsformen für die Jugendnetzwerke entwickelt. Diese sollen im folgenden Abschnitt kurz zusammengefasst werden. Ziel wäre, dass die Jugendakteure des jeweiligen Kantons die für sich am besten passende Form entwi-ckeln. Auch wenn Organisationsformen wie OKAJ ZH die Teilnehmenden sehr beeindruckt haben, war ihnen bewusst, dass diese Struktur über Jahre hin wachsen muss und dies mit den momentan vorhandenen Ressourcen – sowohl zeitlicher als auch finanzieller Art – nicht möglich ist.

Folgende Organisationsformen wurden von den Workshopteilnehmenden erarbeitet:

Onlinelösungen:

- Ein Internetforum, über welches sich die Jugendakteure untereinander aber auch ge-genüber den Jugendlichen austauschen können, wird lanciert. Die SAJV würde die Administration des Forums übernehmen, die Jugendakteure des Kantons die Modera-tion. Eine benutzerfreundliche Gestaltung wäre unabdingbar, die Attraktivität hängt je-doch sehr am Administrator und der Moderation. Es kommt sehr drauf an inwiefern der Kanton einbezogen werden kann, insbesondere bezüglich der Finanzierung. (Kan-ton SZ)

- Ein Mailverteiler wird eingerichtet. Über diesen können die Beteiligten Akteure Infor-mationen über Anlässe, Bedürfnisse, Best-practices, etc. streuen. Je nach Reaktionen kann anschliessend eine Sitzung vereinbart werden um das Projekt/Thema voranzu-treiben, Infos und Erfahrungen auszutauschen... Eine (neutrale) Person wäre für die

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Triage zuständig. Mit einem jährlichen Treffen kann dafür gesorgt werden, dass das Netzwerk aktiv bleibt. (Kanton AI/AR)

Informelle Netzwerke:

- Eine Person vernetzt die Organisationen in dem sie Informationen sammelt und diese selbstständig an potentiell interessierte Personen/Organisationen weiterleitet. (Kanton BL/BS)

- Ein spielerischer Vernetzungsevent, an der die Verbände und evtl. auch die offene Ju-gendarbeit teilnehmen können, würde einen Einstieg in die Vernetzung geben. (Kanton LU)

- Ein Austauschtreffen pro Jahr oder informelle Treffen mit 3-6 Personen der offenen und verbandlichen Jugendarbeit wird organisiert. Dies kann auch ein Grundstein sein, von welchem aus ein Netzwerk weiter gesponnen werden kann. (Kanton LU)

Formelle Netzwerke

- Eine Delegiertenversammlung (Mitsprache aller Beteiligten) oder/und eine Kommuni-kationsplattform (Netzwerkfacebook) leisten den Informations- und Ideenfluss. Eine bezahlte Koordinationsstelle müsste das Netzwerk verwalten. (Kanton BL/BS)

- Die Jugendakteure gründen einen Verein mit einer Arbeitsstelle, welche vom Kanton finanziert wird. Die Arbeitsstelle koordiniert und verwaltet die Agenda. Mitglied wären die kantonalen und regionalen Stellen der offenen und verbandlichen Jugendarbeit. Als Übergangsschritt könnte ein Forum zum Verteilen von Neuigkeiten eingerichtet wer-den. (Kanton SZ)

- Die ausserschulische Jugendarbeit gründet ein Netzwerk, welches unabhängig vom Kanton funktioniert. Dafür werden Personen angestellt, welche Fragen beantworten, die Informationen weiterleiten und andere Aufgaben des Netzwerkes übernehmen. Da-zu müsste festgelegt werden, ob die der Kanton, die Gemeinden oder die Regionen das das Netzwerk unterstützen sollen. (Kanton NE)

- Ein kantonales Kinder- und Jugendnetzwerk mit einer teilzeitbeschäftigten Koordinati-onsstelle, die zuständig für die Stärkung des neugegründeten Netzwerkes ist. (Kanton FR)

- Ein Koordinationsteam übernimmt die Sitzungsleitung, die Website und die Koordinati-on des Netzwerkes. In einer Delegiertenversammlung (1 Vertreter pro Organisation, 2-4x pro Jahr) werden die Ideen und Projekte ausgetauscht. Zusätzlich kann eine Voll-versammlung organisiert werden, bei welcher alle interessierten Personen eingeladen sind. Eine Website kommuniziert gegenüber den Mitgliedsorganisationen und der Öffent-lichkeit (z. B. Neuzuzüger/innen), wo man sich engagieren kann (Agenda, Info zu Ange-boten). Auch ermöglicht diese den Wissensaustausch zwischen den Organisationen (Kanton BL/BS)

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Aufbau auf bestehende Netzwerke

- Die schon bestehenden Netzwerke werden verknüpft. Damit muss kein Gesamtnetz-werk aufgebaut werden. Zudem können die einzelnen Jugendverbände besser mitein-ander vernetzt werden. (Kanton BL/BS)

Vernetzung durch den Kanton:

- Die zuständige kantonale Stelle kann ausgebaut werden und die Vernetzung überneh-men. (Kanton LU)

- Der Kanton über nimmt die Administration, Koordination und Finanzierung des Netz-werkes, bei dem die offene, verbandliche und kirchliche Jugendarbeit Mitglied ist. Der Kanton würde zu den halbjährlichen Treffen einladen, die Website administrieren, den Mailverteiler unterhalten. Da es schwierig ist, Leute zu finden, müsste evtl. ein Sit-zungsgeld ausbezahlt werden. Über einen Mailverteiler könnten Ressourcen und Mate-rial ausgetauscht werden. (Kanton SZ)

- Vom Kanton aus wird ein Netzwerk gegründet, welches die verbandliche und offene Jugendarbeit vereint. Diese Variante wurde jedoch wieder verworfen, da ein Netzwerk unabhängig vom Kanton sein sollte. (Kanton NE)

Andere:

- Die Vernetzung findet nur auf der Ebene der Gemeinde/Städte oder Bezirke statt. (Kan-ton LU)

- Ein interkantonales Netzwerk mit Jugendorganisationen und Freizeitzentren nach sprachlicher Zugehörigkeit. (Kanton JU)

Die Vielfalt an möglichen Strukturen eines Jugendnetzwerkes ist gross. Schlussendlich müs-sen die Akteure in den Kantonen jeweils herausfinden, welche Struktur am besten zu den Be-dürfnissen und Rahmenbedingungen passt. Faktoren, die variieren, sind neben den beteiligten Akteuren auch der Institutionalisierungsgrad (Mailverteiler, loses Netzwerk, eigener Verein, Vernetzung durch den Kanton). Je nach dem ist der Aufwand für die beteiligten Akteure grös-ser oder kleiner.

In den Halbkantonen muss abgewogen werden, über welchen Aktionsradius das Netzwerk abdecken soll. Für eine Abdeckung beider Kantone spricht, dass die grossen Jugendverbände jeweils beide Kantone abdecken und mehr potenzielle Freiwillige vorhanden wären. Anderer-seits würde ein politisches Lobbying über beide Kantone schwieriger. Die Zusammenfassung von Grossregionen (z. B. BS & BL mit dem Fricktal (AG) und dem Thierstein (SO) oder SG/AI/AR) würde das Problem noch verschärfen.

Im Vorfeld der Gründung eines kantonalen Jugendnetzwerkes ist es von grosser Bedeutung, sprachliche, demografische und finanzielle Faktoren der Kantone zu berücksichtigen. Ein in-terkantonales Netzwerk hat z.B. für die Akteure der kleinen Kantone Vorteile wie die Möglich-keit einer besseren Vertretung und die Nutzung von Synergien. Die Finanzierung würde jedoch

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auf mindestens zwei Kantone beruhen, deren Anliegen im Bereich Kinder- und Jugendpolitik unter Umständen voneinander abweichen. Andererseits darf keine Doppelstruktur aufgebaut werden. Bestehende Strukturen sollte deshalb gefördert werden.

4.5 Herausforderungen Der am meisten genannte Hinderungsgrund für die Gründung eines kantonalen Jugendnetz-werkes ist der Mangel an Zeit. Sowohl die Freiwilligen der Jugendverbände als auch die Ange-stellten der offenen Jugendarbeit haben ein volles Programm resp. Pflichtenheft und ihn ih-rem Verband zu wenig zeitliche Ressourcen, um eine Netzwerkgründung voranzutreiben. Ins-besondere bei der Initialisierung ist mit einem hohen Aufwand zu rechnen, der mangels Res-sourcen nur schwer von den Freiwilligen oder den Jugendarbeiter/innen geleistet werden kann. Für eine Gründung müssten mindestens 2-3 Personen mit viel Engagement dahinter stehen. Durch eine finanzierte Projektleitung/Koordinationsstelle könnte das Problem ent-schärft oder vielleicht sogar gelöst werden.

Die Beanspruchung der zeitlichen Ressourcen besteht nicht nur bei der Gründung, sondern auch beim laufenden Betrieb. Auch hier muss Acht gegeben werden, dass das Netzwerk die Akteure entlastet und der Ertrag in Verhältnis zum Aufwand in einem guten Verhältnis steht. So wäre es je nach dem sinnvoll, wenn sich die verschiedenen Akteure auch nur interessens- und themenspezifisch am Netzwerk beteiligen könnten.

Die Teilnehmenden befürchten, dass die kantonalen Finanzmittel für die Organisationen schlussendlich dem kantonalen Netzwerk zugewiesen werden. Eine Subventionskürzung könnte die Arbeit der kantonalen Jugendakteure deutlich reduzieren. Die Finanzierung einer neuen Struktur darf den potenziellen Mitgliedern nicht schaden.

Der Wettbewerb zwischen der Arbeit eines kantonalen Jugendnetzwerkes und dessen Mitglie-dern und die Machtübernahme der grossen Organisationen im Netzwerk wurden ebenfalls diskutiert.

Weitere Probleme, welche genannt wurden:

- Bei informellen Netzwerken besteht die Gefahr, dass das Netzwerk verwässert und im Sand verläuft. So hat es zum Beispiel im Kanton Schaffhausen einen Mailverteiler ge-geben, welcher wieder verschwunden ist.

- Die nötige Finanzierung kann nicht gefunden werden

- Der Kanton unterstützt die Gründung des Netzwerks nicht und es man kann sich nicht auf eine Zusammenarbeit einigen

4.6 Nächste Schritte In den meisten Kantonen muss nach dem Workshop die Meinung der Verbände eingeholt wer-den, da die Workshopteilnehmenden das Thema meistens noch nicht im Verband diskutiert hatten. Auch wäre es sinnvoll abzuklären, ob noch weitere Organisationen an einem Netzwerk interessiert sind und sie bei der Gründung mitwirken wollen. Auch die Rolle des Kantons muss zusammen mit den Jugenddelegierten abgeklärt werden. Ein Knackpunkt bei der Grün-

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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dung wird sein, Personen zu finden, die sich für ein Netzwerk engagieren wollen und können (siehe Kapitel 4.5).

4.7 Verhältnis zwischen den Jugendakteuren und dem Jugenddelegierten In der Deutschschweiz war nur der kantonale Jugenddelegierte von Basel-Stadt am entspre-chenden Workshop anwesend. Dies steht im Gegensatz zu den Workshops der Suisse Roman-de und Tessin. Dort waren die Jugenddelegieren an allen Workshops anwesend. Allgemein haben sich die Jugenddelegierten jedoch für das Thema interessiert. Die fehlenden zeitlichen Ressourcen haben sie jedoch an einer Teilnahme gehindert. Bei den Jugendverbänden war es zwar bekannt, dass es eine/n Jugenddelegierten gibt. Ein Kontakt hat jedoch in den wenigsten Fällen schon stattgefunden. Im Gegensatz dazu hatten die Akteure der offenen Jugendarbeit durchschnittlich schon mehr Kontakt mit dem/der Jugenddelegierten. Dies kommt vermutlich daher, dass die offene Jugendarbeit besser in die kantonalen Strukturen eingebettet ist, da es sich in den meisten Fällen um Angestellte der Gemeinden handelt. Dazu kommt, dass es in einigen Kantonen einen personellen Wechsel bei den Jugenddelegieren gab (SH, SZ, JU, NE).

In der Westschweiz und im Tessin haben die kantonalen Delegierten die Bedürfnisanalyse weitgehend unterstützt, indem sie ihren Partnern die Einladung sandten und an den Workshops teilnahmen. Sie konnten sich mit den TeilnehmerInnen austauschen und Antwor-ten für Fragen und Bedürfnisse vorbereiten. Sie haben sich zum Beispiel bereit erklärt, dass für die Teilnehmenden Werkzeuge erarbeitet werden.

4.8 Erwartungen an die Kantone Der meist gennannte Wunsch an die Kantone war die finanzielle und/oder personelle Unter-stützung eines Netzwerkes (BS, SZ, NW). Zudem wurde zum Teil gewünscht, dass der Kanton eine koordinative Funktion hat und bessere Rahmenbedingungen für die Jugendarbeit gibt. Auch könnten die Kantone eine aktive Rolle in der Verlinkung der Jugendakteure einnehmen.

4.9 Forderungen an die SAJV Die Forderungen an die SAJV sind sehr vielfältig. Die Forderungen lassen sich in die drei Ka-tegorien Lobbying auf nationaler Ebene, nationaler Wissensaufbau und kantonale Koordinati-on des Jugendnetzwerkaufbaus gliedern. Im Folgenden werden die Kategorien zusammenge-fasst und erläutert. Die einzelnen Punkte wurden jeweils nur in einem Workshop erwähnt.

Koordination Netzwerkaufbau:

- Recherche über mögliche weitere beteiligte Jugendakteure im Kanton - Bei den Verbänden anfragen, wie gross Bedürfnis ist - Information der offenen Jugendarbeit - Einen ersten Austausch zwischen den interessierten Organisationen durchführen - Kontaktaufnahme mit dem kantonalen Jugendbeauftragten - Mitarbeit bei einer Arbeitsgruppe zur Gründung und Leitung des Projektes - In den einzelnen Kantonen nachfragen, ob es weiter geht, damit das Projekt nicht ein-

schläft. - Führen des Sekretariats und schreiben der Protokolle

Wissensaufbau auf nationaler Ebene

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- Zustellung der Protokolle der anderen Regionen - Sammeln von Infos über die Gründung und Funktionsweise der existierenden Netz-

werke - Übersetzung der informativen Teile des 1. Berichtes auf Deutsch - Erstellung eines Leitfadens zur Gründung von Netzwerken - Abgabe von Infos zur Projektfinanzierung - Bereitstellen der Dokumente auf Website

Lobbying auf nationaler Ebene:

- Druck machen bei Bund und Kanton zur Förderung der Jugendnetzwerke - Lobbying für eine Jugendpolitik auf kantonaler Ebene - Lobbying für finanzielle Mittel in den Kantonen um eine Projektleitung anzustellen / zu

entschädigen

In einigen Kantonen waren die anwesenden enttäuscht, dass die SAJV nur zu einem ersten Workshop einlädt, jedoch nicht weiss, ob eine weitere Unterstützung erfolgt und evtl. keine weitere Unterstützung beim Aufbau erfolgt.

Das tatsächlich mögliche und sinnvolle Engagement der SAJV für den Aufbau und Betrieb von kantonalen Jugendnetzwerken muss noch diskutiert werden. In einem dritten Teil der Bedürf-nisanalyse wird dies innerhalb der SAJV und mit der SODK und dem BSV diskutiert. Allerdings kann schon jetzt vorweg genommen werden, dass wohl nicht sinnvoll ist, wenn die SAJV den Lead beim Aufbau von Jugendnetzwerken in den Kantonen hat. Einerseits ist sie zu wenig mit den kantonalen Akteuren verknüpft, andererseits auch örtlich zu weit weg. Jedoch kann diese Rolle auch durch Organisationen übernommen werden, die schon im Kanton aktiv sind – wie z. B. ein Regionalbüro von Infoklick.

Mit der Bedürfnisanalyse zu den kantonalen Jugendnetzwerken hat sich die SAJV einiges an Wissen angeeignet. So wäre es vermutlich sinnvoll auf nationaler Ebene das vorhandene Wis-sen zu managen und dies an die Kantone weiter zu geben. Als nationaler Jugendakteur beste-hen auf dieser Ebene auch Möglichkeiten für ein Lobbying zur Gründung von kantonalen Ju-gendnetzwerken.

4.10 Rolle des Bundes Die anwesenden kantonalen Jugendakteure hatten allgemein sehr wenige Forderungen an den Bund. So wurde in zwei Kantonen der Wunsch geäussert, dass der Bund die Gründung des Jugendnetzwerkes resp. die Vernetzung der Jugendakteure (mit-)finanziert. In einem Kanton wird gewünscht, dass der Bund zudem Druck macht zur Verabschiedung des (schon erarbei-teten) Jugendleitbildes.

5 Rolle der nationalen Dachorganisationen SAJV und DOJ In diesem Kapitel soll die Rolle der beiden nationalen Dachorganisationen beleuchtet werden. Denn sowohl die Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV als auch der Dachverband der offenen Kinder- und Jugendarbeit DOJ können eine wichtige Rolle bei der

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Gründung von kantonalen Netzwerken spielen, wie z. B. beim Lobbying beim Bund und den Kantonen oder dem Vermitteln von Wissen. Beide Organisationen sind jedoch auch an kanto-nalen Jugendnetzwerken interessiert, da ein kantonaler Ansprechpartner für Projekte und kantonales Lobbying interessant sein kann.

5.1 Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV Gemäss ihrem Leitbild versteht sich die Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendver-bände (SAJV) „als Dachorganisation der Jugendverbände, als Kompetenzzentrum für Jugend-partizipation und Jugendförderung sowie als Sprachrohr der Jugend.“ Ihre Mitglieder sind Jugendorganisationen und Jugendverbände, unter denen es auch homogene und gemischte kantonale Jugendnetzwerke gibt.

Die SAJV fördert Jugendorganisationen und Jugendliche sowie die Zusammenarbeit zwischen diesen. Sie koordiniert und übernimmt ebenfalls Aufgaben im Bereich der Jugend auf nationa-ler Ebene, welche die Mitglieder selbst nicht erfüllen können. Die SAJV vertritt die Anliegen der Jugendorganisationen und der Jugend in der Öffentlichkeit, bei den eidgenössischen Be-hörden und in Sitzungen mit internationalen Gremien. Die SAJV setzt Projekte im nationalen Interesse für Jugendorganisationen und Jugendliche um. Um diese Ziele zu verfolgen führt die SAJV eine Geschäftsstelle.

Die SAJV umfasst als Mitglieder prinzipiell national oder überregional tätige Jugendorganisa-tionen. Nur rund 7 % der Mitglieder sind kantonale Jugendnetzwerke. Die SAJV sieht in den bisherigen kantonalen Jugendnetzwerken bestimmte Vorteile, sowohl in der Praxis als auch aufgrund der Tatsache, dass ein Grossteil der Kinder- und Jugendpolitik auf kantonaler Ebene gemacht wird. Hingegen war stets unklar, wie gross das Bedürfnis und der Nutzen eines kan-tonalen Jugendnetzwerks insbesondere für die Mitgliedsorganisationen der SAJV sind. Ange-sichts dessen hat sie das Projekt einer Bedürfnisanalyse initiiert und führt es nun durch. Die definitive Haltung wird die SAJV nach Vorliegen der Resultate gemeinsam mit den wichtigsten Akteuren bestimmen.

5.2 Dachverband offene Kinder- und Jugendarbeit Schweiz DOJ Der DOJ ist als Dachorganisation der offenen Kinder- und Jugendarbeit einer der wichtigsten Partner für die Gründung von gemischten kantonalen Jugendnetzwerken. Die Organisation hat sich Anfang 2013 neue Statuten geben und befindet sich daher gerade in einem Restrukturie-rungsprozess der Mitgliederbasis (mehr auch im Kapitel 6.1). Neu sind nur noch die kantona-len Verbände bzw. Netzwerke der offenen Jugendarbeit beim DOJ Kollektivmitglieder. Die lokalen Jugendarbeitsstellen schliessen sich neu nicht mehr direkt beim nationalen Verband, sondern nur noch beim kantonalen Verband an. Sie werden dadurch automatisch Anschluss-mitglieder des DOJ/AFAJ. In vielen – jedoch nicht allen – Kantonen existiert ein solcher Ver-band (Vereinsform) oder ein institutionalisiertes Netzwerk (eine eindeutig zuständige Organi-sation koordiniert regelmässig die lokalen Jugendarbeitsstellen). In den Kantonen, in denen noch kein kantonaler Verband existiert, müsste ein solcher gegründet werden. Der Mitglie-derbeitrag für die Kollektivmitglieder beträgt 1,5 Rp / Einwohner des Kantons. Dies macht je nach Kanton beträchtliche Änderungen im Budget der kantonalen Netzwerke aus. Deshalb

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wurde für die Jahre 2013 und 2014 eine Übergangsfrist bezüglich der Mitgliederbeiträge be-schlossen.

Die Absichten hinter diesen Änderungen sind folgende:

- Eine logischere Mitgliederstruktur einzuführen, die auch den politischen Strukturen entspricht (Zuständigkeit der Kommunen für die oKJA)

- Die Eigenmittel aus Mitgliederbeiträgen auf eine gesichertere Basis stellen

- Die Rolle der kantonalen Verbände und Netzwerke zu stärken, welche für die Gemein-den und Kantone wichtige Dienstleistungen erbringen.

Die Bedürfnisanalyse zu den kantonalen Jugendnetzwerken kommt für den DOJ daher aus planerischen Gründen zu einem ungünstigen Zeitpunkt. Aus der Sicht der kommunal organi-sierten oKJA gibt es noch erheblichen Aufbaubedarf in verschiedenen Kantonen bei der ge-meinsamen Steuerung der oKJA. Gleichzeitig ist ein solcher Aufbau gerade zum jetzigen Zeit-punkt auch in verschiedenen Kantonen im Gange, wo beispielsweise kantonale Verbände der oKJA neu eine Leistungsvereinbarung des Kantons erhalten (AG, TG). Dabei müssen die Ge-meinden, der jeweilige Kanton und lokal/regional tätige private Träger Aufgaben, Verantwor-tung und Finanzierungsfragen miteinander klären. Eine Initiative, die rein von Seiten der Ju-gendverbandsarbeit gestartet wurde, ohne den DOJ in der Zielsetzung und Konzeption einzu-beziehen, macht das Feld der Diskussionen weit auf. Es wird teilweise befürchtet, dass die wichtigen Aufbauprozesse im Bereich der oKJA blockiert werden oder versanden.

6 Meinungen der nationalen Akteure Insgesamt haben die fünf folgenden Organisationen aus der offenen und verbandlichen Ju-gendarbeit den Fragebogen ausgefüllt:

- Anim.ch

- Dachverband offene Kinder- und Jugendarbeit Schweiz DOJ/AFAJ

- Dachverband Schweizer Jugendparlamente

- Jungwacht Blauring Schweiz

- Pfadibewegung Schweiz

- Stiftung idée:sport

Im Folgenden werden die Resultate der Umfrage zusammengefasst. Am Anfang der Kapitel wird jeweils die gestellte Frage aufgeführt. Die Originalantworten sind im Anhang (Kapitel 9.4) ersichtlich.

Die Meinungen des BSV, der SODK und der SAJV sind bei dieser Umfrage nicht eingeflossen, da diese ihre Haltung gegenüber den kantonalen Jugendnetzwerken nach Abschluss des zweiten Teils der Studie gemeinsam diskutieren werden.

6.1 Strukturen und Perspektive der offenen Kinder- und Jugendarbeit Der DOJ sieht die Gründung von „Jugendnetzwerken“, die die verbandliche und offene Ju-gendarbeit involvieren, sowohl als Risiko wie auch als Chance für die Kinder- und Jugendför-

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derung in den Gemeinden. Er befürwortet daher die Gründung solcher Netzwerke unter be-stimmten Bedingungen. Er hat seine Positionen in zwei Merkblättern zusammengefasst, wel-che im Anhang (Kapitel 9.4.1) vollständig abgedruckt sind. Zudem wird in Kapitel 5.2 auf die Umstrukturierung des DOJ eingegangen.

Die wichtigsten Überlegungen des DOJ sind die folgenden:

Starke kantonale Zusammenschlüsse sind zentral für die offene Kinder- und Jugendarbeit. Sie gewährleisten

- Zufriedenes, motiviertes und leistungsfähiges Personal für die kommunale Kinder- und Jugendarbeit durch Vernetzung und Austausch

- Sicherung und Steigerung der Qualität in der kommunalen oKJA

- Die Möglichkeit zur interkommunalen Zusammenarbeit

- Eine Ausgangsbasis für die Umsetzung kantonaler Kinder- und Jugendpolitik

Heterogene Jugendnetzwerke, welche nebst der offenen auch die verbandliche Jugendarbeit vereinen, müssen dieses Potential allenfalls weiteren AkteurInnen im Kanton, wie den Ju-gendverbänden, zugänglich machen; sie dürfen es nicht schmälern oder blockieren. Kantona-le Netzwerke oder Dachverbände für „alles Jugend“ machen darum Sinn unter folgenden Be-dingungen:

- Geschäfts- oder Koordinationsstellen der „Dachdachverbände“ müssen gemäss dem DOJ über

o ausreichende zeitliche Ressourcen

o ausreichende finanzielle Ressourcen

o ausreichendes Fachwissen über die oKJA

o einen eindeutigen Auftrag bezüglich der Dienstleistungen für die oKJA verfü-gen.

- Bei Bedarf ist ein eigener Geschäftsbereich zu schaffen bzw. entsprechendes Personal anzustellen.

- Die Leistung des gemeinsamen kantonalen Dach-Verbandes für den Bereich der offe-nen Kinder- und Jugendarbeit darf nicht nur auf eine minimale Koordinationstätigkeit beschränkt und ansonsten vollumfänglich auf die lokale Ebene zurückgeschoben wer-den.

- Mittel und Ressourcen sind also in angemessenem Umfang sowohl der verbandlichen wie auch der offenen Kinder- und Jugendarbeit zur Verfügung zu stellen. Es ist dabei Aufgabe des gemeinsamen kantonalen Dach-Verbandes, eine faire Beteiligung sowohl des Kantons wie auch der Gemeinden zu erreichen.

- Ein gemeinsamer Dach-Verband auf kantonaler Ebene muss den Anschluss an den Dachverband der offenen Kinder- und Jugendarbeit DOJ ermöglichen, da der DOJ die Interessen der oKJA und damit auch der kantonalen Dachdachverbände bzgl. oKJA auf nationaler Ebene vertritt. Zudem erhalten so die lokalen Stellen der oKJA im Kanton als Anschlussmitglieder den Zugang zu den Dienstleistungen des DOJ.

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- Einer gleichzeitigen Mitgliedschaft des Dachdachverbandes bei der Schweizerischen Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände steht natürlich nichts im Weg.

6.2 Chancen bei der Gründung von Jugendnetzwerken Frage: Welche Chancen sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von Jugendnetzwer-ken in Kantonen, in welchen noch keines existiert?

Als wichtigste Vorteile sehen die nationalen Akteure die Möglichkeit eines stärkeren Auftre-tens auf kantonaler Ebene (z. B. Lobbying) sowie die Vernetzung und Zusammenarbeit unter-einander sowie die Nutzung von Synergien bei Projekten und den fachlichen Austausch. Auch ein Ansprechpartner für die Öffentlichkeit zu haben, ist für sie ein wichtiger Punkt. Zudem wurden folgende Vorteile genannt:

- Angebot von Dienstleistungen für Mitglieder

- Nutzung von Skaleneffekten

- Jemand hat den Überblick über Akteure und Angebote

Die nationalen und die kantonalen Akteure sind sich bezüglich der Chancen einig. Sowohl beim Lobbying als auch bei der Nutzung für Synergien und dem Austausch werden Vorteile gesehen. Ebenso wird der Ansprechpartner für die Öffentlichkeit hervorgehoben.

6.3 Risiken bei der Gründung von Jugendnetzwerken Frage: Welche Risiken sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von kantonalen Ju-gendnetzwerken?

Allgemein sind sich die Organisationen einig, dass nur Netzwerke gegründet werden sollen, wenn ein Bedürfnis besteht und keine Konkurrenz und Doppelspurigkeiten (z. B. Lobbying bei den Jugendparlamenten) aufgebaut werden. Ansonsten könnte ein Overhead ohne Mehrwert entstehen. Auch besteht die Gefahr, dass mit einem weiteren Akteur eine weitere Kommuni-kationsschnittstelle entsteht, die Anfälligkeit für Fehler und Verwirrung mit sich bringen könnte. Zudem wird hervorgehoben, dass die Gründung und der Betrieb eines Jugendnetz-werkes zeitliche Ressourcen brauchen, die nicht vorhanden sind und/oder anderswo benötigt werden. Darum wird gefordert, dass Ehrenamtliche aus den Jugendverbänden keine Netz-werke aufbauen sollen. Diese Haltung ist dadurch begründbar, dass die Jugendorganisationen schon jetzt tendenziell zu wenige Freiwillige haben, um den Betrieb aufrecht zu erhalten. Dies weil einerseits das Angebot an Möglichkeiten für ein Engagement steigt, andererseits die Be-reitschaft, sich freiwillig zu engagieren, sinkt.

Laut anim.ch ist es auch wichtig, dass die Jugendnetzwerke nicht Arbeiten erfinden, um die geschaffenen Stellen zu erhalten. Denn die benötigten Finanzen fehlen dann bei konkreten Aktionen und finanzieren die Administration. Auch soll das Jugendnetzwerk mehr an der Re-präsentativität und nicht an der Repräsentation der Organisation arbeiten. Das heisst, weniger Repräsentationsaufgaben, Anwesenheit bei Gremien, Netzwerkarbeit und Adress-bucherweiterung, dafür mehr Einsatz für die Basis. Bei Stellungnahmen muss dies in Abspra-che mit der Basis geschehen. Bei den Dienstleistungen müsse darauf Acht gegeben werden, dass sie tatsächlich einen Beitrag an die Aktionen im Terrain leisten. Dienstleistungen können

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den Akteuren im Terrain viel Zeit bei der Lektüre, in Sitzungen und beim Berichte schreiben kosten. Eine zeitraubende Bürokratie ist zu vermeiden.

Als grösste Gefahr wird gesehen, dass eine Organisation gegründet wird, die nicht gebraucht wird und viel Zeit und Geld frisst, die andernorts besser eingesetzt werden könnten. Um dies zu vermeiden, müssten sich die tatsächlich an einem Jugendnetzwerk interessierten kantona-len Akteure nochmals zusammensetzen und ihre konkreten Bedürfnisse bestimmen. An-schliessend müssen die entsprechenden Massnahmen gefunden werden – die auch nicht zwingend von einen Jugendnetzwerk übernommen werden müssen.

Weiter könne die Abgrenzung zwischen dem DOJ und der SAJV schwieriger werden, da in den Jugendnetzwerken zum Teil sowohl offene und verbandliche Jugendarbeit vereint sind. Da wäre eine Diskussion bezüglich einer Fusion der SAJV mit dem DOJ angebracht – ein Schnell-schuss müsse jedoch unbedingt vermieden werden. Die Möglichkeiten einer Fusion der beiden Dachorganisationen wurden auch schon in anderem Kontext angesprochen. Dies ist jedoch ein Prozess, der sorgfältig überlegt sein muss und auch nur indirekt einen Zusammenhang mit der Gründung von kantonalen Jugendnetzwerken hat.

Falls die Jugendnetzwerke Mitglied der SAJV werden, besteht das Problem von Doppelmit-gliedschaften. So wäre z. B. die kantonale Pfadi indirekt über die Mitgliedschaft beim Jugend-netzwerk Mitglied bei der SAJV, obwohl schon die nationale Ebene Mitglied ist. Das Problem der Doppelmitgliedschaften wurde schon an der Delegiertenversammlung der SAJV themati-siert und muss auch weiter auf der nationalen Ebene weiterdiskutiert werden.

Aus Sicht des DOJ wird dessen neue Mitgliederstruktur und -strategie durch ein externes Pro-jekt in Frage gestellt, wenn die offene Kinder- und Jugendarbeit (oKJA) bei der Gründung sol-cher Netzwerke mit gemeint wird. Eine Zusammenfassung beider Formen von Jugendarbeit werfe unzählige Fragen auf, für deren Beantwortung namentlich die zuständigen Stellen bei den Kantonen angesprochen sind. Erfahrungsgemäss könne dies zu zeitlich sehr langen Pro-zesses führen, die in den verschiedenen Kantonen unterschiedlich gelöst werden, was die jetzige Heterogenität auf der kantonalen Ebene wahrscheinlich mittelfristig erhalten oder ver-schärfen wird. Eine einfachere Lösung wäre die Gründung von kantonalen Dach-Strukturen der Jugendverbände, welche dann ihrerseits je nach kantonaler Situation eine Zusammenar-beit mit den kantonalen Verbänden der offenen Jugendarbeit angehen und allenfalls umset-zen können. Ein Modell dafür könnte der Zusammenschluss der ASJV mit dem DKJ-SO sein. Bei der Abwägung, welche Akteure in einem kantonalen Jugendnetzwerk vertreten sein sol-len, muss auch analysiert werden, ob es sinnvoll ist, die offene und verbandliche Jugendarbeit in einem Netzwerk zu vereinen. Diese beiden Akteure haben unterschiedliche Bedürfnisse und diese müssen nicht unbedingt durch dieselbe Organisation gedeckt werden. Bei einer genauen Bedürfnisanalyse in den jeweiligen Kantonen muss auch angeschaut werden, inwiefern ein gemeinsames Netzwerk sinnvoll ist. Je nach dem können auch am Anfang getrennte Wege eingeschlagen und erst in einem zweiten Schritt die beiden Organisationen fusioniert werden. Dabei wäre es jedoch wichtig, dass die beiden Organisationen von Anfang in einem Dialog ste-hen. Denn je weiter sie sich auseinander entwickeln, desto schwieriger wird es später sein, die Strukturen zusammenzuführen.

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Nebst den oben genannten Punkten wurden folgende weitere Risiken genannt:

- die Organisationen verlassen eigenes "Gärtchen" nicht

- Je nach Zusammensetzung wird das Netzwerk in eine politische Ecke gedrückt

6.4 Bei der Gründung zu beachten Frage: Was muss bei der Gründung von kantonalen Netzwerken beachtet werden?

Bei der Gründung von kantonalen Jugendnetzwerken erachten es die nationalen Player als wichtig, dass frühzeitig alle wichtigen Akteure einbezogen werden. Dies seien neben den Ak-teuren der offenen und verbandlichen Jugendarbeit auch die Jugenddelegierten, Jugendämter und -kommissionen. Nebst der Sicherstellung der finanziellen Ressourcen für Aufbau und Unterhalt müsse auf die Bedürfnisse der Akteure Rücksicht genommen werden, damit auch Dienstleistungen und Angebote erbracht werden, die benötigt werden. Dabei ist der unter-schiedlichen Struktur zwischen der offenen und verbandlichen Jugendarbeit Rechnung zu tragen (siehe auch Kapitel 6.3).

Der Einbezug möglichst vieler Akteure ist nicht nur wegen der breiten Abstützung des Ju-gendnetzwerks wichtig, sondern auch weil sich damit der Pool an Personen erhöht, die sich für ein Netzwerk engagieren können und wollen. Es ist jedoch nicht unbedingt notwendig, dass von Anfang an alle wichtigen Akteure dabei sind. Es gibt auch erfolgreiche Netzwerke wie z. B. das GLAJ-VD, bei denen grosse Jugendverbände erst viel später dazugekommen sind. So reicht es allenfalls auch, wenn ein paar Personen, die nur begrenzt die interessierten Organi-sationen repräsentieren, die Gründung eines Netzwerkes vorantreiben.

Weitere Punkte, welche bei der Gründung zu beachten seien:

- Es müsse vermieden werden, dass Organisationen gegründet werden, die dasselbe machen, wie schon bestehende Organisationen.

- Das Jugendnetzwerk solle politisch neutral sein. Dies ermöglicht einem Netzwerk, bei allen Parteien ernst genommen zu werden. Dadurch stehen wohl auch die Chancen für ein erfolgreiches Lobbying besser.

- Die Jugendnetzwerke sollen den Mitgliederbeitrag des DOJ finanzieren können. Dieses Anliegen kommt aus der Reorganisation des DOJ (siehe Kapitel 5.2). Eine Verankerung in den Kantonen ist für ihn wichtig. Falls das Netzwerk keine Mitglieder aus der offe-nen Jugendarbeit hat, wird dies jedoch hinfällig.

6.5 Finanzierung der Jugendnetzwerke Frage: Wie können die Jugendnetzwerke deines/Ihres Erachtens finanziert werden?

Folgende Finanzierungsmöglichkeiten wurden erwähnt:

- Kantone (kantonale Jugendförderung)

- Mitgliederbeiträge

- Gemeinden

- Stiftungen

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- privat-öffentliche Partnerschaft beim Aufbau

- Arbeitsleistungen: Verpflichtung der Mitglieder zur Leistung von Stunden für diverse Gremien (Beitragsreglement)

- Eigenwirtschaftlichkeit mit Verkauf von Dienstleistungen an Mitglieder und Gemeinden

- Die Jugendnetzwerke sollen sich vor allem über die Mitgliederbeiträge und Erträge aus Dienstleistungen finanzieren. So wird sichergestellt, dass die Angebote von Nutzen sind.

Der Vorteil einer Finanzierung aus Mitgliederbeiträgen, Arbeitsleistungen der Mitglieder und Verkauf der Dienstleistungen ist das Sicherstellen, dass das Netzwerk und dessen Angebote von Nutzen sind. Allerdings ist es je nach Mitgliederbasis schwierig, dadurch genügend finan-zielle Mittel zu generieren. Ein Strukturbeitrag des Kantons oder der Gemeinden könnten da Abhilfe schaffen. Dies könnte auch mit einer Leistungsvereinbarung gekoppelt werden. Zudem ist für Projekte ein Fundraising bei Stiftungen und evtl. auch Unternehmen wohl unerlässlich.

6.6 Erwartungen an den/die kantonalen Jugenddelegierten Frage: Welche Rolle soll der/die kantonale Jugenddelegierte bei der Gründung von kantona-len Netzwerken einnehmen?

Der Einbezug der kantonalen Jugendförderung sei wichtig für Anerkennung des Jugendnetz-werkes und für die Abklärung finanzieller Fragen. Er ist eine Schlüsselperson im Kanton und könne eine Gründung stark vorantreiben und fördern (z. B. durch Lobbying). Andererseits dür-fe er auf das Jugendnetzwerk nicht zu grossen Einfluss ausüben, da es den Bedürfnissen der Akteure entsprechen müsse. Zudem könne eine zu aktive Rolle auch blockierend wirken, da Verantwortung abgegeben werde. Auch ein Einbezug der Gemeinden von Beginn an könne Sinn machen, da insbesondere Städte eine „Welt für sich“ seien und nachher nicht einfach einzubeziehen sind.

Wenn das Netzwerk in Betrieb ist, sei der/die Jugenddelegierte wichtig als Ansprechstelle und zur Nutzung des Netzwerkes.

Prinzipiell werde die Rolle des Jugenddelegierten jedoch je nach Kanton sehr unterschiedlich sein.

6.7 Erwartungen an die kantonale Politik Frage: Welche Rolle soll die kantonale Politik bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen?

Folgende Erwartungen haben die nationalen Akteure an die kantonale Politik:

- Die Kantone müssen von Beginn an einbezogen werden. Dies deckt sich auch mit der Meinung, dass die kantonalen Jugenddelegierten von Beginn an dabei sein müssen.

- Der Kanton soll das Netzwerk als Akteur anerkennen und unterstützen, aber auch Zu-gang zu Ressourcen (Räume, Finanzen, etc.) verschaffen.

- Er soll die Ansprüche des Netzwerkes abholen.

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- Das Netzwerk soll durch Kanton und Gemeinden genehmigt werden. Eine Genehmi-gung des Jugendnetzwerkes verleiht diesem eine Legitimation.

- Mit dem Einreichen von überparteilichen politischen Vorstössen könne versucht wer-den, Geld für langfristige Finanzierung durch den Kanton zu erhalten – falls nicht schon ein Topf vorhanden sei.

- Der Kanton solle darüber wachen, dass nicht nur Mitgliedsorganisationen des Jugend-netzwerkes kantonale Gelder erhalten, sondern auch solche, die nicht Mitglied seien. Zudem solle er die Gründung von neuen Organisationen unterstützen.

Die Rolle der kantonalen Politik wird auch hier wieder sehr variieren, je nachdem wie das Par-lament zusammengesetzt ist. So sind schon jetzt die gesetzlichen Grundlagen in den Kanto-nen sehr unterschiedlich (siehe Kapitel 1.3). Allgemein wird jedoch erwartet, dass sich die Kantone aktiv bei der Gründung beteiligen. Die bevorzugte Art der Beteiligung variiert jedoch stark.

6.8 Erwartungen an die SODK Frage: Welche Rolle soll die Sozialdirektorenkonferenz SODK bei der Gründung von kantona-len Netzwerken einnehmen?

Folgende Meinungen haben die nationalen Akteure zu der Rolle der SODK:

- Die SODK soll eine Empfehlung abgeben und das Thema in die KKJF einbringen.

- Sie soll die Netzwerke finanziell und ideell unterstützen.

- Sie muss informiert sein.

- Es ist nicht klar, ob eine weitergehende Rolle Sinn macht, da die Kantone autonom entscheiden. Zudem ist das Thema „Jugend“ nicht in allen Kantonen beim Sozialdirek-tor angesiedelt.

- Eventuell soll die Koordination über das BSV erfolgen.

Die Meinungen der nationalen Akteure bezüglich der Rolle der SODK sind sehr unterschied-lich. Das Spektrum reicht von einer finanziellen Unterstützung bis zu einer Abgabe des The-mas an das BSV. Somit kann kein Schluss gezogen werden, welche Richtung für die nationa-len Akteuren am sinnvollsten erscheint.

6.9 Erwartungen an den Bund Frage: Welche Rolle soll der Bund bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen?

Folgende Rolle weisen die nationalen Akteure dem Bund zu:

- Mithilfe bei Finanzierung (z. B. Pilotprojekte)

- Kompetenzklärung zwischen BSV, SODK und evtl. weiteren Akteuren

- Information und Einbezug

- Durchführung einer Tagung zusammen mit der SAJV

- Empfehlungen an die Kantone abgeben

- keine Bundesangelegenheit, sondern Sache der Kantone

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- Der Bund solle die schon existierenden kantonalen Strukturen fördern.

Auch bezüglich der Rolle des Bundes sind sich die nationalen Akteure uneins. Hier reicht das Spektrum von der kompletten Delegation an die Kantone über die Abgabe von Empfehlungen bis zur Mitfinanzierung der Projekte. Dazu ist eine auch von den nationalen Akteuren erwähn-te Kompetenzklärung zwischen BSV und SODK nötig. Auch genannt wird die Durchführung einer Tagung zusammen mit der SAJV, was eine Schlussfolgerung aus dem ersten Bericht der Bedürfnisanalyse unterstreicht.

6.10 Erwartungen an die eigene Organisation Frage: Welche Rolle siehst du/sehen Sie für deine/Ihre Organisation?

Die Organisationen, welche den Fragebogen beantwortet haben, sehen ihre Rolle folgender-massen:

- DSJ: Kontaktvermittlung zu den Jugendparlamenten und damit zur kantonalen Politik. Ein Entscheid zum Mitmachen beim Netzwerk liegt bei den Jugendparlamenten

- Jungwacht Blauring: Begleitung des Projektes (Rückmeldungen, Kommunikation im Verband)

- Pfadi: Die Informationen über die Netzwerke weiterleiten und bei politischen Vorstös-sen aktiv mitarbeiten

- idée:sport: Vorstellung ihrer Projekte bei Jugendnetzwerken

- DOJ: Beim Vorantreiben der Netzwerke ist es ein Must, den DOJ vorgängig zu konsul-tieren.

- Anim.ch: Die westschweizerische Plattform der Jugendarbeit bringt ihr Know-how ein und unterstützt die AkteurInnen der Jugendarbeit. Ziel von Anim.ch ist es, ein Netz-werk zu schaffen, um Zusammenarbeit und Partnerschaften zu ermöglichen.

Die nationalen Leitungen der Jugendverbände sehen ihre Rolle vor allem in der Kommunika-tion innerhalb ihres Verbandes und bei einer Begleitung des Projektes. Im Gegensatz dazu möchte der DOJ bei den weiteren Schritten dabei sein und diese aktiv mitgestalten.

6.11 Weitere Bemerkungen Frage: Weitere Bemerkungen / Kommentare / Anliegen:

Zum Schluss sind folgende Bemerkungen allgemeiner Art gemacht worden:

- DSJ: Wichtig ist eine gute Zusammenarbeit zwischen kantonaler Jugendförderung, kantonalen Jugendnetzwerken und Netzwerken der offenen Jugendarbeit. Wie gross die Struktur des Netzwerks ist, ist je nach Kanton unterschiedlich. Auch eine loses Netzwerk kann einiges erreichen (Vergleiche Koalition für eine wirkungsvolle Kinder- und Jugendpolitik, Lobbying Budgetdebatte 2013)

- PBS: Für die Pfadi besteht die Gefahr, dass man ähnlich wie auf nationaler Ebene auf-grund der eignen Grösse und den damit verbundenen Strukturen und Mitteln zum Exo-ten innerhalb eines solchen Netzwerkes wird, der nur wenige Angebote nutzen kann.

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7 Schlussfolgerungen Am Ende dieser Bedürfnisanalyse der Organisationen der ausserschulischen Jugendarbeit können wir die Anfangsfrage « In welchem Kanton haben die Akteure der Jugendarbeit das Bedürfnis, ein kantonales Jugendnetzwerk zu gründen? » teilweise beantworten. Generell ist die Gründung eines Netzwerkes von den Workshop-Teilnehmenden als positiv bewertet. In 9 Kantonen wird die Idee von den Teilnehmenden begrüsst. Im Tessin, Neuchâtel, Obwalden und Nidwalden erscheint das Projekt interessant, die Dringlichkeit ist aber nicht ersichtlich, unter anderem, weil die AkteurInnen der ausserschulischen Jugendarbeit bereits ein erfolgreiches informelles Netzwerk bilden.

Der kantonale Kontext hat ebenfalls einen grossen Einfluss auf die Weiterverfolgung des Pro-jektes. In den Kantonen Freiburg und St. Gallen nehmen die Behörden an der Gründung der kantonalen Jugendnetzwerke aktiv teil und unterstützen sie finanziell. Auch im Kanton Uri soll eine Bedürfnisanalyse zu einem Jugendnetzwerk gemacht werden. Aber auch hier will der Kanton den Prozess initiieren. Im Kanton Luzern muss zuerst die Restrukturierung des Netz-werks der offenen Jugendarbeit abgewartet werden, bevor es Sinn macht, die Bildung eines Jugendnetzwerkes voranzutreiben.

Eine wichtige Erkenntnis ist die Vielzahl der von den Teilnehmenden genannten Organisati-onsformen. Diese reichen von einem monatlichen Newsletter für die Organisationen bis hin zu einer offiziellen Struktur mit Angestellten. Unabhängig von der Organisationsform, die von den Teilnehmenden vorgeschlagen wurde, ist ihre Hauptaufgabe den Informationsaustausch zwischen den Verbänden zu fördern, die Sichtbarkeit der Jugendarbeit zu erhöhen, gemein-same Veranstaltungen zu organisieren, AkteurInnen der Jugendorganisationen mit der offe-nen Jugendarbeit zu vernetzen und für die Freiwilligenarbeit zu werben. Diese Aufgaben wer-den aktuell nur teilweise oder gar nicht von den Jugendakteuren wahr genommen und könn-ten von einem kantonalen Jugendnetzwerk übernommen werden. Ein kantonales Netzwerk würde für seine Mitglieder zudem zahlreiche Vorteile bieten, wie das Zusammenbringen der Organisationen, die Förderung des Austauschs und der Zusammenarbeit sowie die Verbesse-rung des Lobbyings bei der kantonalen Politik.

Die Vielfalt der vorgeschlagenen Organisationsformen und die Offenheit gegenüber Jugendor-ganisationen (unter anderem Sportvereine) werden die Gründung von innovativen kantonalen Strukturen begünstigen, die auch den Bedürfnissen der Mitglieder und dem kantonalen Kon-text entspricht.

Die Tendenz zur Gründung gemischter Netzwerke kann festgestellt werden. Sie wird mit den aktuellen Gründungsprojekten der gemischten kantonalen Jugendnetzwerke in den Kantonen St Gallen und Freiburg bestätigt. In jüngster Zeit haben die Jugendorganisationen und die of-fene Jugendarbeit im Kanton Solothurn ein gemischtes kantonales Jugendnetzwerk, den „Dachverband Kinder- und Jugendarbeit Kanton Solothurn“, gegründet.

Diese Tendenz hat sich auch in den Workshops gezeigt. So sollte die Idee von gemischten Netzwerken zwischen der offenen und verbandlichen Jugendarbeit weiterverfolgt werden. Der Einbezug weiterer Jugendakteuren wie z. B. Sportverbände, Angebote für Kinder muss vor-gängig ebenfalls abgeklärt werden. Je heterogener jedoch die Mitgliederbasis ist, desto

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schwieriger wird wohl die Einigung bezüglich der Bedürfnisse. Darum ist Vorgängig gut zu überlegen, welche Bedürfnisse die verschiedenen Akteure haben und ob die unter einem Dach zusammengefasst werden können. Die Mitgliederbasis muss nicht von Anfang an bestimmt werden. So ist es auch möglich, dass nach der Gründung wichtige Jugendakteure dazu stos-sen. Dies hat sich auch schon bei existierenden Jugendnetzwerken gezeigt. Allerdings kann die dazu stossende Organisation im Nachhinein das Netzwerk nicht nach seinen Bedürfnissen mitgestalten.

Falls sich die Akteure der offenen und verbandlichen Jugendarbeit entscheiden, getrennte Jugendnetzwerke aufzubauen, erachten wir es als wertvoll, dass die Strukturen möglichst ähnlich sind, ein Kontakt bestehen bleibt und sie sich gegenseitig Austauschen. So würde eine spätere Fusion vereinfacht. Bezüglich der Fusion von Jugendnetzwerken könnten wohl bei dem DSK-SO wertvolle Tipps und Erfahrungen abgeholt werden.

Die kantonalen Ergebnisse bieten eine geeignete Grundlage für den Übergang zur Startphase von kantonalen Jugendnetzwerken. Ausreichende finanzielle und personelle Ressourcen sind allerdings notwendig um ein solches Projekt umzusetzen, weil die Gründung eines kantonalen Jugendnetzwerkes in institutionalisierter Form Zeit braucht. Wir empfehlen, dass die Steue-rung des Projektes über VertreterInnen der ausserschulischen Jugendarbeit erfolgt, damit das Netzwerk den Erwartungen und Bedürfnisse der Organisationen entspricht und in dem kantonalen Kontext umgesetzt wird. Der rechtliche Rahmen, die Anzahl aktive Organisationen und die bestehenden Interaktionsebenen der Kantone sind voneinander verschieden.

Durch die unterschiedlichen Ausgangslagen in den verschiedenen Kantonen bezüglich Akteu-ren und der kantonalen Jugendpolitik werden wohl auch verschiedene Arten von Jugendnetz-werke entstehen. Dies werten wir nicht als negativen Punkt, denn es ist wichtig, dass das Ju-gendnetzwerk zu den Akteuren der jeweiligen Kantone passt. Wichtig ist jedoch, zu ermögli-chen, dass die einzelnen Netzwerke unter einander im Austausch stehen und von einander Lernen können. Insbesondere könnte der Austausch über die Sprachgrenzen fruchtbare Re-sultate erbringen. Um diesen Austausch zu ermöglichen und zu koordinieren, sind die natio-nalen Akteure BSV, SODK, DOJ und SAJV gefragt. Mit der Durchführung der Bedürfnisanalyse ist auf Seiten der SAJV viel wissen zusammen getragen worden, welches an die existierenden und zukünftigen kantonalen Jugendnetzwerke weitergegeben werden muss.

Die Gründung von kantonalen Jugendnetzwerken wir von den beteiligten Akteuren auf kanto-naler und nationaler Ebene mehrheitlich begrüsst. Um die Gründung von Netzwerken zu un-terstützen sind jedoch zeitliche und finanzielle Ressourcen nötig. Eine Finanzierung in der Gründungsphase würde ermöglichen eine Person anzustellen, welche das Projekt weiter ver-folgt. Denn sowohl in den Jugendverbänden als auch bei der offenen Jugendarbeit sind kaum zeitliche Ressourcen vorhanden, um das Projekt weiter zu verfolgen. Eine bezahlte Projektlei-tung hätte den Vorteil, dass der Prozess wohl schneller von statten ginge. Ansonsten besteht die Gefahr, dass der Prozess versandet. Zur Schaffung von neuen Strukturen, ist es vermut-lich schwierig, Gelder aus der Privatwirtschaft und von Stiftungen zu erhalten. Darum wäre es unseres Erachtens sinnvoll, wenn die Kantone und der Bund den Prozess finanziell unterstüt-zen können.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Die Beteiligung des Kantons bei einem Jugendnetzwerk hat Vor- und Nachteile. Einerseits ist es wichtig, dass der Kanton die Gründung unterstützt, damit er von Anfang an einbezogen ist. Zudem ist natürlich auch finanzielle Beteiligung gewünscht. Andererseits besteht die Gefahr, dass das Jugendnetzwerk zu fest vom Kanton abhängig ist und dadurch die Möglichkeiten für ein Lobbying eingeschränkt werden. So muss sich allgemein die Frage gestellt werden, wie sich das Jugendnetzwerk finanzieren kann. Eine Idee, die weiterverfolgt werden muss, ist die Finanzierung des Netzwerks durch Dienstleistungen, Mitgliederbeiträge und den zeitlichen Einsatz der Mitglieder. Dadurch muss sich das Jugendnetzwerk den Bedürfnissen der Mitglie-der anpassen und behält seine Legitimation.

Bei der Gründung ist auch wichtig, dass auch gegenüber schon existierenden Jugendakteuren keine Konkurrenzsituation geschaffen wird. Diese kann sowohl auf fachlicher als auch auf finanzieller Ebene geschehen. So ist zum Beispiel darauf zu achten, dass die Gelder für die Jugendförderung nicht bei anderen Organisationen abgezogen werden, um diese dem Ju-gendnetzwerk zur Verfügung zu stellen.

Auf nationaler Ebene ist es wichtig, dass verschiedenen nationalen Akteuren BSV, SODK, DOJ, SAJV sowie die nationalen Leitungen der Jugendverbände an einem gemeinsamen Strick zie-hen, um die Idee von der Gründung kantonaler Jugendnetzwerken voranzutreiben. Falls die Gründung von gemischten Jugendnetzwerken weiterverfolgt werden soll, ist es wichtig, dass der DOJ in den Prozess und die Kommunikation eingebunden wird. Schlussendlich müssen jedoch die kantonalen Akteure für sich entscheiden, ob für sie ein Netzwerk nötig ist und wie es aussehen soll.

Beim Aufbau von heterogenen Jugendnetzwerken, ist es wichtig, dass die Anliegen der offe-nen und der verbandlichen Jugendarbeit gleichberechtigt berücksichtigt werden und die Be-dürfnisse beider Akteuren Rechnung getragen wird. Dies sowohl in finanzieller, personeller und fachlicher Hinsicht. Es werden jedoch kaum von Beginn an alle Forderungen des DOJ er-füllt werden können, sondern das Jugendnetzwerk muss sich zuerst etablieren, entwickeln und wachsen.

Die Resultate der Workshops zeigen eine Momentaufnahme, welche die Bedürfnisse und Ein-schätzungen der anwesenden Personen widerspiegelt. Insbesondere ist nicht sicher, ob alle wichtigen und interessierten Organisationen vor den Workshops erreicht wurden. Auch stellt sich die Frage, ob die Organisationen, die nicht vertreten waren und sich nicht gemeldet ha-ben, kein Interesse oder keine Zeit hatten. Dies müsste bei der Weiterverfolgung in den Kan-tonen berücksichtig werden und dementsprechend die Diskussion für weitere Jugendakteure geöffnet werden.

Die in einigen Workshops eingeholten Feedbacks waren grundsätzlich positiv. Der Aufbau der Workshops wurde geschätzt und das Thema hat die Leute interessiert und angeregt. Aller-dings ist oft die Rückmeldung gekommen, dass drei Stunden zu lang und zu intensiv waren. Dies ist wohl auch so, weil sich viele zum ersten Mal mit dieser Thematik auseinandergesetzt haben. Die Schwierigkeit in der Workshopleitung bestand vor allem darin, sowohl den Work-shop moderieren und gleichzeitig die Resultate festzuhalten.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Antworten auf die Erwartungen gegenüber der SAJV, der SODK und der kantonalen und eid-genössischen Behörden werden im 3. Teil der Studie behandelt. Die drei Akteursgruppen werden zu den Ergebnissen der 2. Phase Stellung nehmen und mitteilen, wie sie auf die Er-wartungen und Bedürfnisse der ausserschulischen Jugendarbeit eingehen wollen.

8 Quellen AGJA (2013) : www.agja.ch

Bundesgesetz über die Förderung der ausserschulischen Arbeit mit Kindern und Jugendliche, 2011.

Conseil suisse des activités de jeunesse (2007) « Les associations de jeunesse en Suisse-une mise au point », Berne.

Conseil suisse des activités de jeunesse (2013) : Analyse des besoins pour la création de ré-seaux cantonaux de jeunes ; Partie 1: Analyse de situation, Berne.

Département fédéral de l’intérieur (juillet 2008) : « Eléments d’une politique suisse de l’enfance et de la jeunesse ».

Peter Knoepfel, Corinne Larrue, Frédéric Varone (2006). « Analyse et pilotage des politiques publiques ». ed. Verlag Rüegger

9 Anhang

9.1 Werbeflyer Ein kantonales Jugendnetzwerk auch in deinem Kanton?

Ein Werbeversand für die Jugendverbände? Vermietung von Bussen? Lobbying für Jugendan-liegen? Vergabe von Geld für Jugendprojekte? Dies ist nur eine Auswahl an Aufgaben, die ein kantonales Jugendnetzwerk wahrnehmen kann – und in einigen Kantonen mit Erfolg umge-setzt haben. In vielen Kantonen existiert jedoch kein Netzwerk, bei dem die Jugendverbände und die offene Jugendarbeit (Jugendtreffs, soziokulturelle Animation, …) zusammengeschlos-sen sind.

Nun könnte sich das ändern, denn ein Jugendnetzwerk hat viele Vorteile:

- Es lanciert Projekte für die und mit den Jugendverbänden - Es stellt Dienstleistungen für die Mitglieder wie z. B. Öffentlichkeitsarbeit, Projektfonds,

Beratung, etc. - Es vertritt die Anliegen der Jugend in der kantonalen Politik - Es vernetzt die Mitglieder untereinander und vermittelt das Know-how. - Es nutzt die Synergien der Jugendverbände - Es ist ein Ansprechpartner für die Öffentlichkeit und für potentielle Projektpartner

Dies sind alles Aufgaben, die ein einzelner Jugendverband oder eine nationale Organisation nicht oder nur beschränkt übernehmen kann, da ihr das Netzwerk und die Ressourcen fehlt.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Aus diesem Grund macht die Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV eine Bedürfnisanalyse zu kantonalen Jugendnetzwerken. Es stellen sich Fragen wie:

- Was sind die Chancen und Risiken eines Netzwerks? - In welchem Kanton ist ein Netzwerk erwünscht? - Wie könnte das Netzwerk organisiert sein? - Welche Funktionen sollte das Netzwerk wahrnehmen? - Welche Jugendorganisationen wollen mitarbeiten? - Was sind die nächsten Schritte?

Die SAJV organisiert in den einzelnen Kantonen ohne existierendes Netzwerk Workshops, um obigen Fragen auf den Grund zu gehen. Die Workshops werden von März bis April 2013 statt-finden und rund 2-3 Stunden dauern. Die genauen Daten findest du unten.

Alle interessierten Personen der offenen Jugendarbeit sowie der Jugendverbände sind herz-lich eingeladen, ihre Wünsche und Ideen zu deponieren und sich aktiv einzubringen. Melde dich bei Andreas Koenig ([email protected], 031 326 29 35) an! Natürlich darfst du diese Infos auch an weitere interessierte Personen weiterleiten. Wir freuen uns auf ein zahlrei-ches Publikum.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Die Workshopdaten:

Kanton: Datum: Zeit: Ort**: Zuständig: AG 21. März 18:00-21:00 Aarau Andreas AI / AR 13. März 18:00-21:00 Herisau? Andreas BL / BS 15. April 18:00-21:00 Basel Andreas FR 26. janvier 9:00-12:30 Fribourg Elsa GL 11. März 18:00-21:00 Glarus Andreas JU 13 mars 18:00-21:00 Delémont Elsa LU 17. April 18:00-21:00 Luzern Andreas NE 28 février 18:00-21:00 Neuchâtel Elsa OW / NW 24. April 18:00-21:00 Hergiswil? Andreas SG 29. April 18:00-21:00 St. Gallen Andreas SH 6. März 18:00-21:00 Schaffhausen Andreas SZ 11. April 18:00-21:00 Arth-Goldau Andreas TI 23 aprile 18:00-21:00 Locarno Elsa UR 17. April 18:00-21:00 Altdorf Andreas VS 22. April 18:00-21:00 Sierre Elsa / Andreas Änderungen Vorbehalten, neuste Infos unter www.sajv.ch/kjnw ** Vorschläge für Sitzungszimmer für rund 20 Personen sind herzlich willkommen.

Andreas Koenig, [email protected], 031 326 29 25 Elsa Kurz, [email protected], 031 326 29 45

9.2 Workshopeinladung

Ein Jugendnetzwerk in deinem Kanton?

Zeit:

Ort:

Ziele des Workshops

1. Besteht das Bedürfnis einer Vernetzung der kantonalen Jugendakteure?

2. Falls ja, welche Bedürfnisse sind vorhanden?

3. Wie muss das Netzwerk aussehen, damit es den Bedürfnissen gerecht wird.

4. Evtl. welche Region soll das Netzwerk abdecken? Ablauf 18:00

Begrüssung Vorstellungsrunde

AK Plenum

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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18:15

Hintergrund der Bedürfnisanalyse Entstehung der Idee, Stand der Dinge, Präsentation anderer Netzwerke

AK

18:30

Was sind die Bedürfnisse der anwesenden Jugendakteuren? Welche Dienstleistungen soll das Netzwerk erbringen?

Plenum

19:15

Welche Zielgruppen soll das Netzwerk abdecken? Welche Akteure sollen/wollen Mitglied werden? Welche Zielgruppen sollen angesprochen werden? Evtl. welche Region soll abgedeckt werden?

Plenum

19:35 Pause

19:45

Welche Struktur ist geeignet, um die Bedürfnisse abzude-cken?

Plenum

20:00 Was sind die Chancen und Risiken eines Netzwerks? Plenum

20.40-21 :00 Zusammenfassung und next steps AK

Für eine Zwischenverpflegung wird gesorgt! Weitere Teilnehmende und Interessierte sind herzlich willkommen.

Kontakt: Andreas Koenig, Leiter Freiwilligenarbeit SAJV, [email protected], 031 326 29 35, 077 406 11 91

9.3 Protokolle der Workshops

9.3.1 Appenzell

Protokoll Workshop „Bedürfnisanalyse kantonales Jugendnetzwerk Appenzell“ 13. März 2013, 18:00-21:00 im Jugendzentrum Herisau

Todos Alle Diskussion im Verband / im Netzwerk

Alle Recherche über mögliche weitere beteiligte Jugendakteure

Zusammenfassung Bei den anwesenden Jugendakteuren der offenen und verbandlichen Jugendarbeit besteht ein Interes-se ein Jugendnetzwerk zu gründen. Dabei soll der Infoaustausch, gemeinsame Anlässe und Lobbying im Vordergrund stehen.

Ein Mailverteiler soll eingerichtet werden, über welchen die angeschlossen Akteure Infos verteilen und zu Aktivitäten aufrufen können. Ein sporadisches Treffen hilft, dass das Netzwerk nicht einschläft.

Vorstellungsrunde Anwesend: Michael Holzner, Kantonsleitung Jungwacht Blauring SG/AI/AR/GL; Christan Rohrer, Präsi-dent Kantonalverband Pfadi SG/AR/AI; Martin Keel, Jugendarbeiter Jugendzentrum Herisau

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Entschuldigt: Cevi Ostschweiz, Samariterjugend

Workshopleitung: Andreas Koenig, Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV

Andreas begrüsst die Anwesenden. Da die Anwesenden haben ihre Bedürfnisse nicht vorgängig in den Verbänden besprochen. Sie werden die Resultate aber anschliessend in den Verband tragen.

Hintergrund der Bedürfnisanalyse Andreas erklärt den Hintergrund der Bedürfnisanalyse:

Mit der Aktion 72 Stunden ist die Idee entstanden, abzuklären in welchen Kantonen es kantonale Ju-gendnetzwerke braucht. Vom BSV und der SODK hat die SAJV den Auftrag erhalten, eine Bedürfnisana-lyse zu machen. In einem ersten Schritt hat sie eine Bestandesaufnahme über bestehende Jugend-netzwerke gemacht (www.sajv.ch/kjnw). Darauf werden in den Kantonen ohne Netzwerke Workshops angeboten, um die Bedürfnisse der Jugendakteure abzuklären.

Andreas gibt einen kurzen Überblick über die Vielfalt der bestehenden Netzwerke.

Welche Bedürfnisse bestehen? Bei der offenen Jugendarbeit besteht in AR ein informelles Netzwerk zum Infoaustausch zwischen den Jugendzentren. Vielleicht wächst daraus ein kantonaler Überbau.

Die offene Jugendarbeit und die verbandliche Jugendarbeit haben kaum Kontakt miteinander. Zum Teil ist er bei gemeinsamen Projekten wie der Aktion 72 Stunden gegeben.

Folgende Bedürfnisse wurden bei den teilnehmenden Jugendverbänden geäussert:

Leistungen für Mitglieder • Informationsaustauschplattform (Anlässe, Projekte, Herausforderungen) sowohl für Jugend-

verbände als auch der offenen Jugendarbeit • evtl. gemeinsame Veranstaltungen / regionale Anlässe

Kantonale Jugendpolitik • Monitoring- und Lobbyingkoordination • Bedürfnisse an Behörden und Politik mit grösserem Gewicht vorbringen

Es soll jedoch keine Hyperaktivität entstehen, sondern die Aktivitäten sollen den Bedürfnissen entspre-chen.

Wie soll das Netzwerk aussehen? Ein Mailverteiler soll eingerichtet werden. Über diesen können die Beteiligten Akteure Informationen über Anlässe, Bedürfnisse, Best-practices, etc. streuen. Je nach Reaktionen kann anschliessend eine Sitzung vereinbart werden um das Projekt voranzutreiben, Infos und Erfahrungen auszutauschen...

Dafür einen Verein zu gründen wäre noch zu früh. Zu prüfen wäre, ob ein Verantwortliche/r eine Triage macht der Infos macht (Neutralität?)

Mit einem jährlichen Treffen soll das Netzwerk aktiv gehalten werden. Wer dieses einberuft, muss noch bestimmt werden.

Für die offene Jugendarbeit wäre es sinnvoller, das Netzwerk vorerst auf die Kantone AI und AR zu be-schränken. Für Pfadi und Jungwacht Blauring wäre es besser, SG noch dazu zu nehmen.

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Welche Jugendakteure könnten einbezogen werden? Folgende Jugendakteure sollen für das Netzwerk angefragt werden:

• Kantonsleitungen Pfadi, Jungwacht Blauring, Cevi • Jugendzentren (Leitung) • Jungparteien • Jungschützen • Musik • evtl. Politiker? (welche Infos sollen sie erhalten?) • weitere Jugendakteure Recherche

Was sind die Chancen und Risiken eines Netzwerkes

Risiken • Spam / Relevanz der Mails • Vergessen / Verwässern des Verteilers

Chancen • keine belastenden Treffen

Nächste Schritte • Diskussion im Verband / im Netzwerk • Recherche über mögliche weitere beteiligte Jugendakteure:

Mit der Umsetzung kann noch gewartet werden bis der Bericht der SAJV vorliegt. Vielleicht inspiriert dieser noch zu weiteren Ideen. Auch ergeben sich evtl. noch Möglichkeiten bei der Umstrukturierung der Pfadi SG/AI/AR

Forderungen an die SAJV • Abklären, ob es das Newslettermodell in anderen Kantonen gibt, evtl. rumhören an der DV • Übersetzung des 1. Berichtes auf Deutsch (zumindest Kapitel, wie die Netzwerke funktionieren

und was sie machen= • Recherche über mögliche weitere beteiligte Jugendakteure im Kanton • Mit dem Versand des 2. Berichtes anstupsen, dass es weiter geht.

Andreas fordert die Anwesenden auf, ihn zu kontaktieren, wenn Hilfe benötigt wird.

Fürs Protokoll: Andreas Koenig, SAJV

9.3.2 Basel

Protokoll Workshop „Bedürfnisanalyse kantonales Jugendnetzwerk Basel“ 15. April 2013, 18:00-21:00 im der Fachstelle Kinder- und Jugendfragen, Basel

Zusammenfassung Bei den anwesenden Jugendakteuren besteht zum Teil ein Interesse ein Jugendnetzwerk zu gründen. Dabei soll der Austausch von materiellen/personellen Ressourcen und bezüglich gemeinsamen Anläs-sen sowie eventuell das Lobbying und auch die Öffentlichkeitsarbeit im Vordergrund stehen. Ansprech-gruppen wären die Mitgliedsorganisationen, Politiker/innen sowie die Öffentlichkeit mit Schwerpunkt Jugend.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Fünf Möglichkeiten eines Netzwerkes wurden diskutiert. Zudem wurden die Chancen und Gefahren einer neuen Struktur erörtert.

Vorstellungsrunde Anwesend: Sonja Niederhauser, Geschäftsleiterin Blaues Kreuz Kinder- und Jugendwerk BL Prävention & Gesundheitsförderung; Rahel Mösch & Samira Marti, Jugendrat Baselland; Marc Freivogel, Beauf-tragter für Jugendfragen Abt. Jugend- & Familienförderung Erziehungsdepartement BS; Anna Greub, Jugendrotkreuz Basel; Thomas Berweger, Mobile Jugendarbeit Grossbasel; Philipp Schopfer, Beauf-tragter Jugendarbeit Samariterverband; Barbara Hochuli v/o Stilz, Mediensprecherin Pfadi Region Ba-sel; Mirjam Brunner, CVJM/CVJF Regionalverband Basel; Julia Pregger, der junge Rat Baselstadt; Andrina Gamboni, Pro Natura Basel Grieni Kääfer

Entschuldigt: Guido Morselli, Jugendarbeit Basel; Philip Müller, Leitung Regionalstelle Jungwacht Blauring Kantone Basel-Stadt und Basel-Land; Bettina Zeugin, Pro Juventute Beider Basel

Workshopleitung: Andreas Koenig, Projektleiter Freiwilligenarbeit Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV

Hintergrund der Bedürfnisanalyse Andreas erklärt den Hintergrund der Bedürfnisanalyse:

Mit der Aktion 72 Stunden ist die Idee entstanden, abzuklären in welchen Kantonen es zusätzliche kan-tonale Jugendnetzwerke braucht. Vom BSV und der SODK hat die SAJV den Auftrag erhalten, eine Be-dürfnisanalyse zu machen. In einem ersten Schritt hat sie eine Bestandesaufnahme über bestehende Jugendnetzwerke gemacht (www.sajv.ch/kjnw). Bestehende Netzwerke der offenen Kinder- und Ju-gendarbeit wurden im Rahmen der Bedürfnisanalysen nicht erfasst, da diese wie die Netzwerke der Jugendorganisationen – z. B. der Pfadi – eingestuft wurden. Darauf werden in den Kantonen ohne Netzwerke Workshops angeboten, um die Bedürfnisse der Jugendakteure abzuklären.

Die Workshops werden bis Ende Juni ausgewertet und in einem Bericht verarbeitet. Daraus treffen das BSV, die SODK und die SAJV Schlussfolgerungen und beschliessen das weitere Vorgehen.

Andreas gibt einen kurzen Überblick über die Vielfalt der bestehenden Netzwerke.

Welche Bedürfnisse bestehen? Folgende Bedürfnisse wurden bei den teilnehmenden Jugendverbänden geäussert:

Leistungen für Mitglieder • Gefäss für inhaltlichen und fachlichen Informations- und Erfahrungsaustausch, z. B. über aktu-

elle Jugendthemen Basel, Mitgliederwerbung, Trends, Veränderungen, Aktualitäten, Projekte… • Verbindungen und Beziehungen schaffen, wo man Ressourcen abholen kann • Organisation gemeinsamer Projekte (Übungen, Veranstaltungen, Aktionen, Politik, Natur-

schutz) • Ansprechstelle für Jugendanliegen, breit abgestützt

Politik • Politische Anliegen bündeln und vertreten (BS + BL!) • Einfluss/Mitsprache bei regiopolitischen Entscheidungen • gemeinsame (laute) Stimme bei kantonalen und nationalen politischen Anliegen • National Jugendarbeit stärken (Politik)

Weitere Ideen • Finanzierung Jugendarbeit

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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• Werbe- / Kommunikationsplattform

Gewünscht wäre auch eine grosse Datenbank zur Verlinkung der Akteure.

Welche Jugendakteure könnten einbezogen werden? Folgende Jugendakteure könnten für das Netzwerk angefragt werden:

• die Verbände • Sportangebote • Jungparteien • Foren der Schulen (Schüler/innenparlament) • F80 • Jugendkulturfestival • Insel (Netzwerk) • Kinderangebote (über okja) • Fasnachtscliquen (haben keine Vernetzung) • Netzwerke OJA

Bei den Organisationen muss immer auch das Pendant im anderen Kantonsteil einbezogen werden. Es besteht jedoch die Gefahr der Verzettelung wenn zu viele verschiedene Organisationen dabei sind.

Wie soll das Netzwerk aussehen? Region: Bezüglich des Aktionsradius des Netzwerkes steht zur Debatte, ob nur die Kantone BS und BL abgedeckt werden sollen oder die gesamte Grossregion mit Teilen des Kanton AG und SO. Für die Grossregion spricht, dass die Jugendverbände z. T. das ganze Gebiet abdecken. Andererseits würde ein politisches Lobbying schwieriger. Das Lobbying ist durch das Abdecken zweier Kantone schon kompli-ziert genug.

Folgende fünf Möglichkeiten einer Struktur wurden diskutiert:

1. Die Mitgliedsorganisationen haben folgende Anreize bei einem Netzwerk mitzumachen: Infor-mationsaustausch, finanzielle Möglichkeiten, ein Interesse, was vor der Tür passiert. Auch muss ein Nutzen vorhanden sein. Eine Delegiertenversammlung (Mitsprache aller Beteiligten) oder/und eine Kommunikations-plattform (Netzwerkfacebook) leisten den Informations- und Ideenfluss. Eine bezahlte Koordinationsstelle müsste das Netzwerk verwalten.

2. Ein Koordinationsteam übernimmt die Sitzungsleitung, die Website und die Koordination des Netzwerkes. In einer Delegiertenversammlung (1 Vertreter pro Organisation, 2-4x pro Jahr) werden die Ideen und Projekte ausgetauscht. Zusätzlich könnte eine Vollversammlung organi-siert werden, bei welcher alle interessierten Personen eingeladen sind. Die Aufgabe des Netzwerkes wäre, aufzuzeigen, was es für Junge gibt. Mit einem Infomarkt als Startaktion würde das Netzwerk lanciert. Eine Website kommuniziert gegenüber den Mitgliedsorganisationen und der Öffentlichkeit (z. B. Neuzuzüger/innen), wo man sich engagieren kann (Agenda, Info zu Angeboten). Diese würde den Wissensaustausch zusätzlich ermöglichen. Es besteht jedoch Gefahr, dass sie unbekannt bleibt.

3. In den Kantonen BL und BS gibt es schon viele einzelne Netzwerke wie z.B. die einzelnen Ju-gendverbände, die Jugendräte, NOKJA, VOJA, ECCO, KOJE, FAJU, ASKJA… Diese müssten nur noch gemeinsam verknüpft werden, es muss kein Gesamtnetzwerk neu aufgebaut werden. Al-lenfalls besteht Bedarf die einzelnen Jugendverbände besser miteinander zu vernetzen.

4. Es braucht nur eine Person, die alles weiss und die Informationen an die interessierten Perso-nen weiterleitet.

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5. Es wäre auch möglich, dass nur die Jugendverbände ein Netzwerk gründen und die offene Ju-gendarbeit später in das Netzwerk einbezogen wird.

Ein Netzwerk müsste von mindestens 2-3 Personen mit viel Engagement getragen werden, ansonsten hat es keine Chance. Sinnvoll wäre, wenn sich die verschiedenen Akteure auch nur interessens- und themenspezifisch am Netzwerk beteiligen könnten.

Allgemein fehlt elementares Wissen über bestehende Netzwerke, insbesondere zu den Netzwerken der offenen und kirchlichen Kinder- und Jugendarbeit. Diese wurden auch in der Bedürfnisanalyse der SAJV nicht erfasst. So ist auch offen, ob die nicht anwesenden Akteure nicht da sind, weil sie kein Inte-resse an einem zusätzlichen Netzwerk haben oder weil sie keine Zeit für den Workshop hatten. Dies gilt insbesondere für die offene Jugendarbeit, wo nur ein Vertreter anwesend war.

Was sind die Chancen und Risiken eines Netzwerkes Chancen:

- Das bleibt offen für weitere Interessierte - Es entsteht Plattform für Vernehmlassungen - Ein Mehrwert für die Mitglieder kann generiert werden - An themenorientierten Anlässen können sich die Mitglieder austauschen - Ein Anfang kann im kleinen Rahmen gestartet werden - Das Netzwerk ist Vorbild für eine gute Zusammenarbeit zwischen den Kantonen - Der Jugendrat kann fürs Lobbying eingesetzt werden

Risiken:

- Es ist ein grosser (zusätzlicher) Aufwand - Es sind keine Ressourcen vorhanden - Die kantonalen Behörden können sich nicht auf eine Zusammenarbeit einigen.

Allgemein:

- Bei gemeinsamen Anlässe muss darauf geachtet werden, dass es die Verbände sowieso schon machen, da es sonst ein grosser Zusatzaufwand ist und die zeitlichen Ressourcen schon knapp sind.

- Der Jugendrat BL ist tendenziell nicht dabei (oder nur je nach Thema)

Nächster Schritt Als erstes muss eine Interessensbekundung der Jugendakteure eingeholt werden

Wünsche an den Kanton - Zusammenstellen und Koordination der Adressen - Verlinkung - Geld

Forderungen an die SAJV - update bezüglich Adressen - Verbände anfragen, wie gross Bedürfnis ist Interessensbekundung - Funktionsweise existierende Netzwerke

Andreas fordert die Anwesenden auf, ihn zu kontaktieren, wenn Hilfe benötigt wird.

Fürs Protokoll: Andreas Koenig, SAJV

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9.3.3 Fribourg

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9.3.4 Jura Rappel de l’étude et du contexte cantonal Etude sur les besoins dans les cantons sans réseau cantonal des activités de jeunesse Le CSAJ est mandaté par la Confédération et la CDAS (Conférences des directrices et directeurs canto-naux de l’action sociale) pour analyser, si les organisations travaillant avec et pour les jeunes ont des besoins spécifiques qui impliqueraient la création d’un réseau cantonal. L’étude comporte 3 volets, le premier est une cartographie des réseaux existants, qui sont au nombre de 8 en Suisse et réunissent soit les activités de jeunesse, comme le GLAJ-GE, soit les activités de jeu-nesse et l’animation socioculturelle comme le GLAJ-Vaud ou Okaj dans le canton de Zurich. Le second volet de l’étude comporte la rencontre des organisations de jeunesse et de l’animation socio-culturelle lors d’ateliers dans les cantons sans réseau pour recueillir leurs besoins et les analyser. Le troisième volet est la discussion des résultats avec les partenaires fédéraux et cantonaux pour soutenir et favoriser, si besoin est, la création de réseaux. Contexte cantonal Le Jura s’est donné en 2006, d’une loi cantonale sur la politique de la jeunesse qui a pour but entre autres de : a) promouvoir les conditions propres à favoriser un développement harmonieux de la jeu-nesse; b) soutenir les projets intéressant la jeunesse ou conçus par elle; c) soutenir les organismes de jeunesse ou s'occupant de la jeunesse, en particulier les associations socio-culturelles et sportives; d) prévenir les situations et les facteurs sources de danger pour la jeunesse et promouvoir les comporte-ments responsables, favorables à la santé. De cette loi découlent la création d’un poste de délégué cantonal et d’un parlement de la jeunesse.

En novembre 2011, une nouvelle association s’est constituée Propaj. Il s’agit du réseau interjurassien de promotion pour l’animation de jeunesse, qui regroupe les animateur-trice-s du canton de Jura et du Jura bernois pour leur permettre d’échanger sur leur pratique, mettre en place des actions communes pour promouvoir l’animation jeunesse, favoriser la mise en place de projets concrets qui visent à amé-liorer, directement ou non, la qualité de vie des adolescents et défendre la profession des animateurs-trices jeunesse du Jura et de la partie francophone du Canton de Berne ainsi que le poste de délégué interjurassien à la jeunesse.

De plus, un projet de création d’une faîtière des mouvements de jeunesse initié par le parlement de la jeunesse a permis de réunir à deux reprises, au cours des deux dernières années, de nombreuses so-ciétés de jeunesse jurassiennes. L’état actuel du projet n’est pas connu.

Résumé des discussions de l’atelier 1. Quelles sont les attentes des organisations de jeunesse et de l’animation socio-culturelle ? la

question a pour but d’identifier les besoins des associations et des centres de loisirs dans leur acti-vité quotidienne.

Buts prioritaires

- Partager les informations entre les organisations et les centres de loisirs, et se rencontrer pour créer des synergies.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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- Faire connaître et promouvoir les activités des organisations et centres de loisirs auprès des établissements scolaires et des institutions encadrant des enfants et des jeunes, ainsi que le grand public.

- Gagner en crédibilité auprès des établissements scolaire et coopérer avec eux, pour transmet-tre le programme des activités aux jeunes et aux adultes.

- Soutenir les jeunes dans leurs activités et nouveaux projets non seulement avec des moyens fi-nanciers, mais aussi pour la conception et la réalisation.

- Rechercher des fonds pour les activités et le fonctionnement des organisations, car les anima-teurs socioculturels n’ont que peu ou pas de temps pour cette tâche pendant les heures de tra-vail.

- Améliorer les conditions de travail : Taux d’activités des professionnels de l’animation socio-culturelle trop faibles, salubrité de certains locaux

2. Quelles sont les prestations/tâches qu’un réseau cantonal jurassien devrait mettre en œuvre ? Les tâches, que le réseau cantonal pourrait coordonner, sont :

- Envoi publicitaire commun des activités de jeunesse organisées par les centres de loisirs et les associations,

- Organisation d’une journée des associations pour le grand public, - Coordonner des campagnes de promotion des activités de jeunesse, - Organiser la tournée d’un bus dans les villages sans centres de loisirs pour promouvoir les ac-

tivités en faveur des jeunes, - Plateforme virtuelle répertoriant les acteurs du canton pour favoriser les échanges entre eux et

renseigner sur les salles et matériels pouvant être empruntés ou loués. Ces ressources ne sont pas toujours connues des animateurs et responsables d’association. Le délégué à la jeu-nesse a pour objectif de développer un tel outil.

- Mettre en commun les expériences dans l’organisation des grands projets pour éviter des er-reurs et transmettre le savoir-faire et des conseils.

En fonction des exemples de projets* mis en œuvre par les autres réseaux cantonaux et présentés lors de l’atelier, il ressort que ce sont les thématiques suivantes qui ont été priorisées par les participant-e-s :

• Le soutien aux projets (choisi par 7) • Visibilité des activités de jeunesse (6) • Prestations pour les collaborateur-trice-s des organisations-membres (5) • Participation de la jeunesse à la vie locale (4) • La politique cantonale de la jeunesse (2) • La promotion et reconnaissance du bénévolat (1) • Promotion de la santé (0) • L’éducation civique (0)

Proposition des participants : infrastructure en réseau (3)

*En annexe du procès-verbal se trouvent les posters présentés lors de l’atelier.

3. Quel modèle de réseau ?

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Structure juridique : sous une forme associative, dont les membres seraient les associations cantona-les actives dans le domaine des activités pour et par des jeunes, ainsi que l’animation socioculturelle, avec les centres de loisirs et/ou leurs représentants. Age du public-cible : plusieurs tranches d’âge ont été proposées 6-20 ans, 6-25 ans, 12-25 ans. En fonc-tion de l’offre des activités proposées par les centres de loisirs et organisations présentes lors de l’atelier, la tranche d’âge des 12 – 25 ans serait le public-cible des activités que les organisations du réseau devraient préférablement offrir. La législation cantonale définit aussi la limite du public cible des jeunes à 25 ans. Financement par :

- Cotisations des membres - Subvention étatique - Bailleurs de fonds privés

Organisations à impliquer dans le réseau cantonal :

- Associations de jeunesse - petites associations de et par les jeunes - Centres de loisirs - Associations laïques ou non

Si le projet d’un réseau des activités de jeunesse prend forme, la question de la constitution d’un ré-seau cantonal ou intercantonal Jura et Jura bernois devra être posée, car les structures et les bases légales divergent entre les cantons de Berne et du Jura. Avantages et risques d’un réseau cantonal des activités de jeunesse, impression générale Une association faîtière cantonale sous la forme d’un réseau a l’avantage de dépasser les clivages pou-vant exister entre les organisations, pour créer des liens et des collaborations plus étroites entre elles. Le but partagé par tous les participants est la mise en valeur des jeunes en se fédérant les intérêts communs pourraient être mieux représentés et défendus. Le manque de ressources, en temps et en argent, des organisations pour pouvoir s’investir dans un tel projet, en participant par exemple au comité du réseau cantonal, ainsi que le manque d’intérêt de membres du parlement pour la politique de la jeunesse ont été évoqués comme difficultés pour mener un tel projet. Attentes envers le CSAJ

- Informer de la suite du projet - Soutien fort pour la constitution d’un réseau.

Annexe :

- Retour sur les questions de l’atelier par l’association des scouts jurassiens - Posters d’exemples de projet mis en œuvre par les réseaux cantonaux

Pour le procès-verbal : Elsa Kurz mars 2013

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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9.3.5 Luzern

Protokoll Workshop „Bedürfnisanalyse kantonales Jugendnetzwerk Luzern“ 11. April 2013, 18:00-20:00 im tollen Pfadisitzungszimmer in Luzern

Zusammenfassung Bei den anwesenden Organisationen fehlen ein kantonales Lobbying und die Nutzung von Synergien. Da die JaRL in einem Reorganisationsprozess ist, kann bei der offenen Jugendarbeit momentan nichts Neues angepackt werden. Je nach dem wären jedoch anschliessend Möglichkeiten für eine Zusam-menarbeit vorhanden. Unterdessen können sich die Jugendverbände mit informellen Treffen oder ei-nem gemeinsamen Event vernetzen.

Vorstellungsrunde Anwesend: Chris Lenz, Jugendrotkreuz Luzern, SLRG; Lukas Müller Co-Präsident Pfadi Luzern; Karin Buschor, Büro West; Markus Baumann, Quartierarbeit Luzern

Weitere Interessierte: Felix Wahrenberger, Akzent Prävention und Suchttherapie; Oliver Frei, Pro Ju-ventute Kanton Luzern; Sara Martin, Fachstelle Kind-Jugend-Fragen Kanton Luzern

Workshopleitung: Andreas Koenig, Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV

Hintergrund der Bedürfnisanalyse Andreas erklärt den Hintergrund der Bedürfnisanalyse:

Mit der Aktion 72 Stunden ist die Idee entstanden, abzuklären in welchen Kantonen es kantonale Ju-gendnetzwerke braucht. Vom BSV und der SODK hat die SAJV den Auftrag erhalten, eine Bedürfnisana-lyse zu machen. In einem ersten Schritt hat sie eine Bestandesaufnahme über bestehende Jugend-netzwerke gemacht (www.sajv.ch/kjnw). Darauf werden in den Kantonen ohne Netzwerke Workshops angeboten, um die Bedürfnisse der Jugendakteure abzuklären.

Die Workshops werden bis Ende Juni ausgewertet und in einem Bericht verarbeitet. Daraus treffen das BSV, die SODK und die SAJV Schlussfolgerungen und beschliessen das weitere Vorgehen.

Andreas gibt einen kurzen Überblick über die Vielfalt der bestehenden Netzwerke.

Welche Bedürfnisse bestehen? - Pfadi Luzern

o Fehlt Kapazität, mehr Freiwillige nur wichtigstes kann gemacht werden neue Mitglieder Support bei Feuerwehrübungen Austausch von Ideen/Lösungen und Synergien mit anderen Verbänden nutzen (z. B.

Datenbank, Zusammenschluss Ortsgruppen verschiedener Verbände?) kein abgesprochenes Lobbying sich gegenseitig kennen lernen

o Hat Material eine Vernetzung mit Jungwacht Blauring, Pro Natura und SAC besteht Kompetente Personen mit Wissen / Kracks (z. B. Webprogramme) Ist bekannt und institutionalisiert

- SLRG / Rotkreuz: ist im Moment im Aufbau. erste Anlässe werden durchgeführt, die aber nicht andere Angebote konkurrenzieren sollen. o Fehlt

Vernetzung Gemeinde, in Kanton und Bundesebene (auf Bundesebene tut sich was, auf Kantonsebene müsste was getan werden)

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Mitglieder Freiwillige

o Hat Angebot für benötigte Ausbildungen

- JARL o Fehlt

offene Jugendarbeit nicht automatisch in JaRL vernetzt Politisches Gewicht

o Hat Politisches Know-How / Nähe Kanton

Allgemein fehlt ein gemeinsames Lobbying (hat sich z. B bei Papiersammlungs-Umstellung gezeigt) und die Möglichkeit bei den Schulen Werbung zu machen.

Zudem vernetzen sich kleine Vereine weniger (Konkurrenzdenken? Zeitmangel?). Eine Vernetzung in der Gemeinde hängt stark von den aktiven Personen ab und ob sie diese pushen. (Im Kanton Obwalden bestehen auf kommunaler Ebene bereits Netzwerke von Vereinen.)

Der JaRL ist durch die Strukturänderung des DOJ ebenfalls in einem Strukturprozess. Dort muss zu-erst Klarheit bestehen, bevor neue Vernetzungen angepackt werden können. Bei einer kantonalen Lö-sung könnten dann evtl. auch die Verbände ins Netzwerk integriert werden. Bei einer überkantonalen Lösung ist ein Einbezug der Verbandsjugendarbeit eher wenig realistisch.

Zudem ist der Kanton das Jugendleitbild am Fertigstellen und auf Ebene der Stadt Luzern sind Abklä-rungen zur Vernetzung der Jugendverbände im Gang. Die Struktur ist aber noch offen.

Haben die anderen, nicht anwesenden Verbände, kein Bedürfnis nach Vernetzung? Oder warum sind sie nicht anwesend?

Welche Jugendakteure könnten einbezogen werden? Ein Netzwerk sollte nicht zu gross ein, damit es noch effizient ist. Folgenden Verbände könnten zudem einbezogen werden: Jungwacht Blauring, Pro Natura, SAC,

Wie soll das Netzwerk aussehen? Für eine Vernetzung sind wenig Ressourcen vorhanden. Vor allem für die Initialisierung ist jedoch mit einem hohen Aufwand zu rechnen. Die Frage besteht, ob man sich Kommunal oder auf Kantonsebene vernetzen soll.

Da das JaRL momentan zu stark mit der Reorganisation beschäftigt ist, müssten/könnten die Verbände zuerst die Vernetzung unter sich anspreben.

Folgende Möglichkeiten bestehen:

- Ein spielerischer Vernetzungsevent, an der die Verbände und evtl. auch die offene Jugendarbeit teilnehmen können, würde einen Einstieg in die Vernetzung geben.

- Die zuständige Stelle beim Amt für Gesellschaftsfragen könnte ausgebaut werden. - Ein Austauschtreffen pro Jahr oder informelle Treffen mit 3-6 Personen inkl. JaRL würden viel-

leicht den Grundstein für ein Netzwerk legen, von welchem aus das Netzwerk weiter gespon-nen werden kann.

Die am Workshop gewonnenen Erkenntnisse müssen zuerst ins JaRL zurückgetragen werden, bevor Entscheidungen seitens der oJA getroffen werden können.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Nächste Schritte Lukas Absprache mit Leo von der Jungwacht Blauring

Forderungen an den Bund Finanzierung eines gemeinsamen Anlasses der Jugendverbände

Forderungen an die SAJV • erster Austausch organisieren mit folgenden Organisationen

o Pfadi o Jungwacht Blauring o SLRG / Nothelfer o JARL (offene Jugendarbeit)

Eventuell könnte der Austausch auch durch Infoklick organisiert werden. Dies hätte den Vorteil der örtlichen Verankerung. Auch die kantonale Stelle könnte später evtl. durch Infoklick geführt werden. Die Aufgaben der SAJV könnten evtl. auch durch den Kanton übernommen werden.

Andreas fordert die Anwesenden auf, ihn zu kontaktieren, wenn Hilfe benötigt wird.

Fürs Protokoll: Andreas Koenig, SAJV

9.3.6 Neuchâtel Rappel de l’étude et du contexte cantonal Etude sur les besoins dans les cantons sans réseau cantonal des activités de jeunesse Le CSAJ est mandaté par la Confédération et la CDAS (Conférences des directrices et directeurs canto-naux de l’action sociale) pour analyser, si les organisations travaillant avec et pour les jeunes ont des besoins spécifiques qui impliqueraient la création d’un réseau cantonal. L’étude comporte 3 volets, le premier est une cartographie des réseaux existants. Ils sont au nombre de 8 en Suisse. Les réseaux réunissent soit les activités de jeunesse, comme le GLAJ-GE, soit les activi-tés de jeunesse et l’animation socio-culturelle comme le GLAJ-Vaud ou Okaj dans le canton de Zurich. Le second volet de l’étude est la rencontre des organisations de jeunesse et de l’animation socio-culturelle lors d’ateliers dans les cantons sans réseau pour recueillir leurs besoins et les analyser. Le troisième volet est la discussion des résultats avec les partenaires fédéraux et cantonaux, et aboutir si besoin il y a à la création de réseaux. Contexte cantonal Dans le courant des années nonante, un réseau cantonal des activités de jeunesse neuchâtelois existait. Il regroupait une dizaine d’organisations dont les scouts, l’animation socio-culturelle, les unions chré-tiennes et des communes. La coordination était assurée par une personne employée à 20 %. Les pres-tations du réseau étaient de regrouper et diffuser les informations de ses membres tant à l’interne, qu’à l’externe, ainsi que l’attribution de ressources financières pour la formation des moniteur-trice-s. Suite à des réductions du budget cantonal, la subvention au réseau a été supprimée provoquant la perte du financeur principal de la structure. Sans cette subvention et quand bien même la recherche de fonds a été faite, l’association a été dissolue dans le courant de l’année 2005 faute de ressources.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Depuis, le canton de Neuchâtel s’est doté, en 2009, d’une loi sur le soutien aux activités de jeunesse extra-scolaires (LSAJ), qui est entrée en vigueur en 2011. Cette politique de la jeunesse vise à promou-voir la jeunesse et à soutenir les différents organismes de jeunesse ou s’occupant de la jeunesse. La loi prévoit un poste de délégué à la jeunesse et une commission de la jeunesse, dont la fonction est d’être un organe consultatif du Conseil d’Etat. Le canton de Neuchâtel compte 16 centres de loisirs. Parmi les professionnel-le-s de l’animation so-cio-culturelle, la réflexion de se constituer en réseau a été faite, mais pour l’heure elle est abandonnée au profit d’un réseau informel entre les animateur-trice-s des centres de loisirs du canton.

Résumé des discussions de l’atelier 4. Quelles sont les attentes des organisations de jeunesse et de l’animation socio-culturelle ? Buts prioritaires

- Partage des informations entre les organisations pour mieux se connaître, ainsi que les dates des événements et camps respectifs et connaître les sources potentielles de financement.

- Faire connaître les activités extrascolaires auprès des établissements scolaires et des institu-tions encadrant des enfants et des jeunes, ainsi que le grand public.

- Le Soutien aux projets des jeunes, afin qu’une équité existe dans l’accessibilité aux soutiens fi-nanciers pour les jeunes résidants dans les différentes communes du canton.

- Recherche de fond pour les activités et le fonctionnement des organisations. - Bénévoles : recherche de nouveaux bénévoles, créer des synergies pour la formation des béné-

voles et des possibilités d’échange sur les formations données et l’encadrement des moniteur-trice-s.

- Buts secondaires

- Bénévoles : se rencontrer pour une intervision et des échanges sur le thème de la formation des moniteur-trice-s,

- Savoir-métier : partage des compétences entre les professionnel-le-s - Mobilisation plus importantes des jeunes - Développement de partenariats entre les organisations

5. Quelles sont les prestations/tâches qu’un réseau cantonal neuchâtelois devrait mettre en œuvre ? Les tâches, que le réseau cantonal pourrait coordonner, sont :

- Envoi d’une newsletter avec les informations des organisations et celles utiles au réseau (rap-pel des dates d’évènements, des possibilités de formations, des sources de financement canto-nal et fédéral).

- Organisation d’une réunion annuelle avec les organisations membres. - Renforcer la visibilité des activités de jeunesse avec un événement grand public. - Répertorier l’offre des activités pour les externes, les associations et les centres de loisirs. - Gérer un carnet d’adresses (associations cantonales, bailleurs de fonds potentiels, personnes

ressources…).

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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- Renforcer le réseau et mettre en contact les organisations avec des personnes ressources par exemple pour la location de matériel et d’autres aspects techniques ou juridiques relevant des activités de jeunesse.

- Mettre à disposition du matériel (salle de réunion, imprimante, projecteur…). Par rapport aux projets mis en œuvre par les autres réseaux cantonaux, il ressort que ce sont les thé-matiques suivantes qui ont été priorisées par les participant-e-s :

• La politique cantonale de la jeunesse • La promotion et reconnaissance du bénévolat • Le soutien aux projets • L’éducation civique

En annexe du procès-verbal se trouvent les posters présentés lors de l’atelier.

6. Quel modèle de réseau ? Deux pistes de modèle structurel ont été évoquées par les participant-e-s pour un réseau cantonal de coordination des activités de jeunesse et de l’animation socio-culturelle. La première est un service étatique, option non retenue par les participant-e-s, car un réseau doit être indépendant. La deuxième est la constitution d’une structure indépendante du canton, une association des associations avec des personnes ressources pour répondre aux questions et coordonner la diffusion des informations et les autres tâches susmentionnées. Il faudrait aussi définir à qui revient la compétence de soutenir cette structure au canton, aux commu-nes ou aux régions ? Par exemple, un poste de collaborateur-trice pourrait être financé par le canton et les communes. Quelles organisations devraient être contactées et impliquées dans le réseau cantonal ?

- Associations de jeunesse - petites associations de et par les jeunes - Centres de loisirs - Institutions en faveur de la jeunesse (fondation de camps de vacances…) - Institutions encadrantes de jeunes (foyers, …) - Organismes du domaine culturel (Case à choc, musées), sportif et musical. - Associations de quartier - Associations rurales

Avantages et risques d’un réseau cantonal des activités de jeunesse, impression générale Les avantages sont la mise en commun des informations, le partage de ressources et des connaissan-ces, et la création de synergie entre les organisations. Un réseau cantonal a aussi l’avantage de pren-dre en charge des tâches que les organisations ne peuvent par faire comme la représentation des inté-rêts, la rédaction de prise de position commune etc. Plusieurs obstacles et risques ont été évoqués, le manque de ressources, en temps et en argent, des organisations pour pouvoir s’investir dans un tel projet. Le financement d’une nouvelle structure par les pouvoirs publics pourrait diminuer les ressources financières déjà allouées aux organisations existan-tes. Pour le procès-verbal : Elsa Kurz mars 2013

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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9.3.7 Schaffhausen

Protokoll Workshop „Bedürfnisanalyse kantonales Jugendnetzwerk Schaffhausen“ 6. März 2013, 18:00-21:00 im Atelier 61, Hohlenbaumstr. 61, Schaffhausen

Todos Alle Abklärung im Verband bezüglich dem Interessen an einem Jugendnetzwerk

Alle falls ja Reservation 18. 3. 2013 für Treffen

Nicole Einladen weiterer Organisationen

SAJV Einsetzen für Netzwerk auf kantonaler und nationaler Ebene

Zusammenfassung Bei den anwesenden Jugendakteuren besteht das Bedürfnis ein Jugendnetzwerk zu gründen. Dieses soll vor allem Dienstleistungen für die Mitglieder erbringen, Öffentlichkeitsarbeit machen und die ge-leistete Arbeit aufzeigen. Mitgliederwerbung und gemeinsame Ausbildung stehen im Vordergrund.

Die Befürchtung besteht, dass das Projekt versandet. Auch müsste jemand gefunden werden, der den Aufbau in die Hand nimmt, da es arbeitsintensiv ist. Die SAJV soll das Projekt unterstützen und beglei-ten. Ein nächstes Treffen findet am 18.9. statt.

Vorstellungsrunde Anwesend: Stefan Heller, Regionalleiter Cevi Region Winterthur – Schaffhausen; Claudia Wirz, Kantons-leitung Jungwacht Blauring Kanton Schaffhausen; Harsha Edavana, Kantonsleitung Jungwacht Blauring Kanton Schaffhausen; Stefanie Kern, Geschäftsleiterin Pro Juventute Kanton Schaffhausen; Guy Sur-beck, Kantonsleiter Pfadi Schaffhausen; Nicole Hinder, Ausbildungsverantwortliche Pfadi Schaffhau-sen, Jugendkommission

Entschuldigt: Rolf Schertenleib, Leitung Team Jugendarbeit und Beauftragter für Jugendfragen Stadt Schaffhausen

Workshopleitung: Andreas Koenig, Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV

Andreas begrüsst die Anwesenden. Da die Anwesenden haben ihre Bedürfnisse nicht vorgängig in den Verbänden besprochen. Sie werden die Resultate aber anschliessend in den Verband tragen.

Hintergrund der Bedürfnisanalyse Andreas erklärt den Hintergrund der Bedürfnisanalyse:

Mit der Aktion 72 Stunden ist die Idee entstanden, abzuklären in welchen Kantonen es kantonale Ju-gendnetzwerke braucht. Vom BSV und der SODK hat die SAJV den Auftrag erhalten, eine Bedürfnisana-lyse zu machen. In einem ersten Schritt hat sie eine Bestandesaufnahme über bestehende Jugend-netzwerke gemacht (www.sajv.ch/kjnw). Darauf werden in den Kantonen ohne Netzwerke Workshops angeboten, um die Bedürfnisse der Jugendakteure abzuklären.

Andreas gibt einen kurzen Überblick über die Vielfalt der bestehenden Netzwerke.

Welche Bedürfnisse bestehen? Folgende Bedürfnisse wurden bei den teilnehmenden Jugendverbänden geäussert:

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Sichtbarkeit von Jugendarbeit • Effizientere Mitgliederwerbung (bspw. Projekte ähnlich wie Aktion 72 Stunden • Mitgliederwerbung, Integration von „Migrationskindern“ (im Kt. Aarau funktioniere dies gut)

Weniger Konkurrenzdenken, gemeinsam etwas erreichen • Webplattform mit Angebote für Jugendlichen Besteht bereits unter www.juko-sh.ch

Leistungen für Mitglieder • Kontakte zu anderen Organisationen • Regionales Sekretariat für Administration • Synergien untereinander nutzen • Austausch in der Ausbildung • Regionales Materiallager • Datenbank oder Liste mit verschiedenen hilfreichen Personen /Firmen/Lokalitäten • Kurse zusammen organisieren (uns fehlen oft Experten/Ausbildner) • gemeinsamer Leiterkurs

Förderung der Freiwilligenarbeit • Anerkennung des Zeitaufwands (Mitgliederschwund / Leiterschwund entgegenwirken) • Mehr Kontakt mit Medien /Jugendzeitung

Rolf Schertenleib der Jugendarbeit Stadt Schaffhausen hätte Interesse an einem operativen Netzwerk.

Pro Juventute hat sich neu als Verein im Kanton Schaffhausen gegründet. Bei ihnen besteht das Be-dürfnis nach einem sozialen Netzwerk, in welchem auch Projekte unterstützt werden können.

Welche Jugendakteure könnten Einbezogen werden? • Landjugend • Rokj Schaffhausen (Gremium der Rotarier) • Verkehrskadetten • Meitlirige / Jugi • kantonale Jugendbeauftragte • offene Jugendarbeit • KJS Schaffhausen (Kinder und Jugendsport)

welche Zielgruppe sollen abgedeckt werden • Mitgliedorganisationen • Eltern • Basis • Öffentlichkeit

Was sind die Chancen und Risiken eines Netzwerkes

Risiken • Viel Arbeit für den Aufbau! Wer macht es? • Der Prozess versandet

Chancen • Einbinden der Ehemaligen • Schreiben einer Diplomarbeit • Arbeitsgruppe Jugendverbände des Kantons mit einbeziehen • eine niederschwellige Struktur schaffen (z. B. halbjährliches Treffen) • Mit kleinen Projekten starten (z. B. gemeinsame Mitgliederwerbung) • kantonales Fundraising (Pro Juventute, Rotary Club)

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Nächste Schritte • Absprechen mit dem jeweiligen Verband • die anderen Verbände über Entscheid informieren • Leute finden, die es anreissen • Projektgruppe gründen oder 2x jährlich ein Treffen organisieren • Nächstes Treffen: Mittwoch, 18. September 2013 • Nicole informiert die anderen Jugendverbände

Forderungen an die SAJV Die Anwesenden sind enttäuscht, dass sich die SAJV nur um den ersten Workshop kümmert und an-schliessend die Arbeit den Verbänden überlässt. Folgende Forderungen/Wünsche bestehen gegenüber der SAJV:

• Kontaktieren der kantonalen Jugendbeauftragten • Leitung des Projektes • Information der offenen Jugendarbeit • Erstellung eines Leitfadens zur Gründung von Netzwerken • Führen des Sekretariats, Protokolle schreiben • Lobbying auf Bundes- und Kantonsebene • Geld um eine Projektleitung anzustellen / zu entschädigen • Infos zur Projektfinanzierung • Recherche wie sich andere Netzwerke gegründet haben (Entwicklung) • Dokumente auf Website (www.sajv.ch/kjnw) • Zustellung des Fundraising-Leitfadens der Aktion 72 Stunden • Zustellung der Protokolle der anderen Regionen

Andreas fordert die Anwesenden auf, ihn zu kontaktieren, wenn Hilfe benötigt wird.

Fürs Protokoll: Andreas Koenig, SAJV

9.3.8 Schwyz

Protokoll Workshop „Bedürfnisanalyse kantonales Jugendnetzwerk Schwyz“ 11. April 2013, 18:00-21:00 im Pfarreizentrum Goldau

Todos Alle Diskussion im Verband / im Netzwerk

Kontaktaufnahme mit M. Beeler Abklären der Einstellung

Alle Druck machen auf Kanton bez. Jugendleitbild

Alle Suche weiterer Interessierter/Freiwillige

Alle Gründung einer Arbeitsgruppe zum Entwurf einer (Vereins-)Struktur / Statuten (Mit-arbeit von SAJV gewünscht)

Alle Gemeinsame Sitzung

Zusammenfassung Bei den anwesenden Jugendakteuren der offenen und verbandlichen Jugendarbeit besteht ein Interes-se ein Jugendnetzwerk zu gründen. Dabei soll der Austausch von materiellen/personellen Ressourcen und bezüglich gemeinsamen Anlässen sowie das Lobbying und die Öffentlichkeitsarbeit im Vordergrund

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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stehen. Zielgruppen wären die Mitglieder, Politiker/innen sowie die Öffentlichkeit mit Schwerpunkt Jugend.

Drei Möglichkeiten eines Netzwerkes wurden erarbeitet:

- Ein Internetforum zum Austausch von News wird eingerichtet - Ein Netzwerk wie welchem der Kanton die Administration und Koordination übernimmt, wird

gegründet - Die Jugendverbände gründen ein Netzwerk bei welchem eine Arbeitsstelle die Administration

übernimmt. Bei den verschiedenen Varianten wurden die Chancen und Gefahren erörtert. Als nächster Schritt müsste eine Arbeitsgruppe den Grundstein für eine anschliessende Vereinsgründung legen. Ein Mail-verteiler soll eingerichtet werden, über welchen die angeschlossen Akteure Infos verteilen und zu Akti-vitäten aufrufen können. Ein sporadisches Treffen hilft, dass das Netzwerk nicht einschläft.

Vorstellungsrunde Anwesend: Mariann Kesseli, Kantonsleitung Jungwacht Blauring Blauring Uri Schwyz; Christian Büeler, Kantonsleitung Jungwacht Blauring Blauring Uri Schwyz; Martina Moser, Leiterin Jugendkontaktstelle Gemeinde Freienbach; Arantza Gamo, Jugendarbeit Wollerau & Schindellegi; Cedric Kohli, Jugendar-beit Wollerau & Schindellegi; Isabelle Lenggenhager, jugend:büro march & pro juventute Ferienpass March; Thomas Mächler, jugend:büro march; Markus-Andreas Bamert, VCS; Patrizia Willi, Kantonslei-tung Pfadi Kanton SZ; Regula Stalder, Teamleiterin Jugendsamariter Help Küssnacht

Entschuldigt: Martina Beeler, Sachbearbeiterin Amt für Gesundheit und Soziales Abteilung Soziales; Linus Bruhin, Sekretär Römisch-Katholische Kantonalkirche Schwyz

Workshopleitung: Andreas Koenig, Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV

Hintergrund der Bedürfnisanalyse Andreas erklärt den Hintergrund der Bedürfnisanalyse:

Mit der Aktion 72 Stunden ist die Idee entstanden, abzuklären in welchen Kantonen es kantonale Ju-gendnetzwerke braucht. Vom BSV und der SODK hat die SAJV den Auftrag erhalten, eine Bedürfnisana-lyse zu machen. In einem ersten Schritt hat sie eine Bestandesaufnahme über bestehende Jugend-netzwerke gemacht (www.sajv.ch/kjnw). Darauf werden in den Kantonen ohne Netzwerke Workshops angeboten, um die Bedürfnisse der Jugendakteure abzuklären.

Die Workshops werden bis Ende Juni ausgewertet und in einem Bericht verarbeitet. Daraus treffen das BSV, die SODK und die SAJV Schlussfolgerungen und beschliessen das weitere Vorgehen.

Andreas gibt einen kurzen Überblick über die Vielfalt der bestehenden Netzwerke.

Welche Bedürfnisse bestehen? Folgende Bedürfnisse wurden bei den teilnehmenden Jugendakteuren geäussert:

• Vernetzung und Koordination o Informationsaustausch (Homepage) o Agenda mit Jugendevents o Zusammenarbeit bei gemeinsamen Projekten o Nutzung von Synergien und Austausch von Ressourcen personeller, materieller und fi-

nanzieller Art sowie von Infrastruktur (Räume, draussen und drinnen) o Austausch von Ideen und Fachwissen (Mitglieder/Nachwuchs, Finanzen/Finanzierung,

Funktionsweise/allgemeines) o Networking

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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• Mitfinanzierungshilfe von Veranstaltungen und Projekten • Vernetzung mit anderen Kantonen • Angebote für Weiterbildung, Wissensaustausch • Macht

o Image der Jugendlichen aufbessern o Politische Stimme für Jugend, kantonales Lobbying, Druck machen

• Vereinsangebote für Jugendliche aufzeigen • Förderung des Zusammenhalts der Jugendakteure • offene Jugendarbeit und Verbandsarbeit verbinden • Freiwilligenarbeit fördern und unterstützen

Welche Jugendakteure könnten einbezogen werden? Folgende Jugendakteure sollen für das Netzwerk angefragt werden:

• die anwesenden Verbände • Kanton

o Kulturkommission o Kantonales Sportamt

• Trachtenvereine • Theatervereine (Jugendtheater) • Landjugend • Kolpingvereinigung • Musikverband • Pro Natura • Robinson Spielplätze • kantonaler Frauenbund • Elternverein • Sportverband, Sportvereine, Turnvereine, Schiessvereine • Jungparteien (CVP, SVP, FDP, SP) • Jugendfeuerwehr • SLRG

Wie soll das Netzwerk aussehen? Folgende drei Varianten von Netzwerken wurden jeweils in 4-er Gruppen erarbeitet und dem Plenum vorgestellt:

1. Einrichten eines Internetforums 2. Lead durch den Kanton 3. Gründen eines Vereines

Internetforum Ein Internetforum, über welches sich die Jugendakteure untereinander aber auch gegenüber den Ju-gendlichen austauschen können, wird lanciert. Die SAJV würde die Administration des Forums über-nehmen, die Jugendakteure des Kantons die Moderation. Eine benutzerfreundliche Gestaltung wäre unabdingbar, die Atraktivität hängt jedoch sehr am Administrator und der Moderation. Es kommt sehr draf an inwiefern der Kanton einbezogen werden kann, insbesondere bezüglich der Finanzierung.

Chancen:

- auf nationaler und regionaler Ebene kann der Puls der Jugendarbeit gefühlt werden - SAJV kann Fachinputs geben - die Mitglieder werden kantonal vernetzt - niederschwelliges Angebot - Es könnten regionale Treffen daraus entstehen

Risiken:

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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- Das Forum verläuft im Sand - wie finanzieren? - grosser Arbeitsaufwand - z. B. für Jungwacht Blauring kein Bedürfnis (face to face wäre besser) - Es gibt schon viele Foren (Steigerung der Attraktivität mit Wettbewerben)

Lead durch Kanton Der Kanton über nimmt die Administration, Koordination und Finanzierung des Netzwerkes, bei dem die offene, verbandliche und kirchliche Jugendarbeit Mitglied ist. Der Kanton würde zu den halbjährlichen Treffen einladen, die Website administrieren, den Mailverteiler unterhalten. Da es schwierig ist, Leute zu finden, müsste evtl. ein Sitzungsgeld ausbezahlt werden. Über einen Mailverteiler könnten Ressour-cen und Material ausgetauscht werden.

Chancen:

- auf regionaler Ebene kann der Puls der Jugendarbeit gefühlt werden - die Mitglieder werden kantonal vernetzt

Risiken:

- Kann/will der Kanton diese Rolle übernehmen? - grosser Arbeitsaufwand

Gründung eines Vereines Die Jugendakteure gründen einen Verein mit einer Arbeitsstelle, welche vom Kanton finanziert wird. Die Arbeitsstelle koordiniert, verwaltet die Agenda. Mitglied wären die kantonalen und regionalen Stel-len der offenen und verbandlichen Jugendarbeit. Als Übergangsschritt könnte ein Forum zum Verteilen von Neuigkeiten eingerichtet werden.

Chancen:

- auf regionaler Ebene kann der Puls der Jugendarbeit gefühlt werden - die Mitglieder werden kantonal vernetzt - eine Vereinsgründung wäre möglich auch ohne den Kanton. Durch den Verein kann auch Druck

auf den Kanton ausgeübt werden, da diese Organisationsform bekannt und anerkannt ist. Risiken:

- Kann/will der Kanton finanzieren? - Zeitliche Ressourcen für die Gründung müssen gefunden werden. - grosser Arbeitsaufwand

Allgemein sind keine eigenen (zeitlichen) Ressourcen sind vorhanden. Da müsste vor allem für den Aufbau Abhilfe geschaffen werden.

Nächste Schritte Alle Diskussion im Verband / im Netzwerk

Kontaktaufnahme mit Martina Beeler Abklären der Einstellung

Alle Druck machen auf Kanton bez. Jugendleitbild

Alle Suche weiterer Interessierter/Freiwillige

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Alle Gründung einer Arbeitsgruppe zum Entwurf einer (Vereins-)Struktur / Statuten (Mit-arbeit von SAJV gewünscht), Martina Moser könnte ab September mitarbeiten. Wer sonst?

Alle Gemeinsame Sitzung

Forderungen an den Kanton • Geld für Gründungsphase bereitstellen zusammen mit Bund • Mitfinanzierung des Netzwerks • Verabschiedung des Jugendleitbildes • kein Schattendasein in der Kinder- und Jugendpolitik führen

Forderungen an den Bund • Druck machen auf Kantone bezüglich Jugendleitbild • Geld für Gründungsphase bereitstellen zusammen mit Kanton

Forderungen an die SAJV • Druck machen bei Bund und Kanton • Mitarbeit bei einer Arbeitsgruppe zur Gründung

Andreas fordert die Anwesenden auf, ihn zu kontaktieren, wenn Hilfe benötigt wird.

Fürs Protokoll: Andreas Koenig, SAJV

9.3.9 Tessin Verbale dell'incontro nel cantone Ticino, mercoledì 24 aprile 2013, 18:30-21:00

Studio sui bisogni delle organizzazioni della gioventù per creare reti cantonali delle attività giovanili La Federazione Svizzera delle Associazioni Giovanili ha ricevuto un mandato dalla Confedera-zione e dalla Conferenza delle direttrici e direttori cantonali delle opere sociali con l’obiettivo di analizzare se le organizzazioni che sviluppano attività per e con i giovani hanno dei bisogni specifici che implicherebbero la creazione di una rete cantonale. Lo studio è composto di tre parti. La prima è una cartografia delle reti cantonali esistenti che include il loro funzionamento e i loro progetti. La seconda parte è la raccolta dei bisogni delle organizzazioni giovanili espresse durante incontri organizzati in ogni cantone. La terza parte sarà la discussione dei risultati con i mandatari per definire quali sono le risorse necessarie per lo sviluppo di reti cantonali nei cantoni in cui le organizzazioni ne hanno espresso il biso-gno. Riepilogo della discussione I punti positivi - Una forte legge ticinese per la gioventù, votata nel 1996, che consente il finanziamento di

attività giovanili (centri giovanili, progetti singoli, tra cui anche il sostegno alla creazione di istituzioni come il Consiglio cantonale dei giovani. Il CCG è anche un luogo di partecipazione e scambio importante per i giovani partecipanti, In base agli argomenti, vengono costituiti dei gruppi di lavoro. Il Consiglio cantonale dei giovani può essere considerato come una re-te cantonale informale di giovani, pur non essendo rappresentativa di enti o gruppi, in quanto i giovani vi aderiscono a titolo volontario e individuale

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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- Una coordinazione e la messa in rete delle organizzazioni cantonali da parte dell'ufficio can-tonale dei giovani.

- La presenza della commissione cantonale per la gioventù, commissione consultiva del Con-siglio di Stato coordinata dall’ufficio dei giovani è un organo importante per l’espressione di pareri da parte delle realtà giovanili, nonché per lo sviluppo di progetti comuni (vedi carta delle politiche giovanili)

- La presenza di Giovanimazione come rete degli animatori di attività giovanili - Importante attività di diffusione delle informazioni da parte dell'ufficio cantonale dei giovani

(fascicoli, newsletter…)

I punti negativi Sono stare rilevate alcune carenze e difficoltà per migliorare il funzionamento delle organiz-zazioni: - La ricerca di nuovi metodi di finanziamento complementari al contributo cantonale è un

compito difficile e che richiede molto tempo; poiché vi è scarsa conoscenza delle fondazioni nella Svizzera tedesca e in Ticino.

- La legge federale sinora è debole in confronto ad altre leggi, per poter sostenere le attività giovanili a livello locale

- La scarsa volontà da parte di molticomuni sia di farsi coinvolgere nello sviluppo delle attivi-tà giovanili sia di elargire fondi per sostenerlo (anche se vanno menzionati i 16 centri giova-nili, per la gran parte comunali o sostenuti da comuni).

- Il tempo per fare lobby. - Le percentuali ridotte di impiego degli animatori nei centri giovanili, sovente non affiancati

da altri colleghi - La difficoltà di costituire un’associazione, - La piccola visibilità delle attività giovanili e dei progetti dei giovani nel settore pubblico e nei

media. - La valorizzazione del volontariato - L’accesso difficoltoso a mandati di ricerca - A volte poche collaborazioni fra le istituzioni - Poche risorse per la pubblicità dei progetti - Per le organizzazioni il cui funzionamento si basa sul volontariato è difficile rispondere alle

esigenze di amministrazione sempre più rigorose. Anche se qui la visione del Cantone è più mitigata, in quanto solitamente non si riscontrano problemi particolari nella compilazione dei moduli di finanziamento.

Altre constatazioni

La sproporzione fra le risorse delle piccole municipalità per la politica di sostegno alle attività giovanili rispetto a quelle più ingenti della municipalità di Lugano, che investe in modo soste-nuto nelle politiche giovanili Di fatto, anche se il contributo del Cantone è relativamente ingen-te (tra il 30% e il 50% dei costi riconosciuti dei centri) e i compiti sono di svariata natura (coor-dinamento, promozione, informazione), l’organico a disposizione è relativamente contenuto. Per il verbale : Elsa Kurz maggio 2013

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

SAJV/CSAJ 85

9.3.10 Unterwalden

Protokoll Workshop „Bedürfnisanalyse kantonales Jugendnetzwerk Unterwalden“ 24. April 2013, vor dem Grossmattschulhaus in Hergiswil

Zusammenfassung Da die Pfadi und Jungwacht Blauring sich untereinander am vernetzen sind, die offene Jugendarbeit eine Vernetzung über das JaRL hat und zudem in den Kantonen eine Vernetzung vor allem auf der Ebe-ne der Gemeinde sinnvoll ist, erachten die Teilnehmenden ein Netzwerk als unnötig. Im Kanton Nidwal-den wäre es jedoch sinnvoll einen kantonalen Jugenddelegierten zu haben.

Vorstellungsrunde Anwesend: Nicole Spichtig, Jungwacht Blauring Kantone Obwalden & Nidwalden; Reto Keller, Pfadi Unterwalden; Milena Mischol, Jugendanimation Stansstad

Weitere Interessierte: Sophie Andrey, Jugendarbeitsstelle Gemeinde Stans; Werner Lehmann, Kanto-naler Jugendbeauftragter OW; Silvia Brändle, Kath. Kirche Obwalden

Workshopleitung: Andreas Koenig, Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände SAJV

Hintergrund der Bedürfnisanalyse Andreas erklärt den Hintergrund der Bedürfnisanalyse:

Mit der Aktion 72 Stunden ist die Idee entstanden, abzuklären in welchen Kantonen es kantonale Ju-gendnetzwerke braucht. Vom BSV und der SODK hat die SAJV den Auftrag erhalten, eine Bedürfnisana-lyse zu machen. In einem ersten Schritt hat sie eine Bestandesaufnahme über bestehende Jugend-netzwerke gemacht (www.sajv.ch/kjnw). Darauf werden in den Kantonen ohne Netzwerke Workshops angeboten, um die Bedürfnisse der Jugendakteure abzuklären.

Die Workshops werden bis Ende Juni ausgewertet und in einem Bericht verarbeitet. Daraus treffen das BSV, die SODK und die SAJV Schlussfolgerungen und beschliessen das weitere Vorgehen.

Andreas gibt einen kurzen Überblick über die Vielfalt der bestehenden Netzwerke.

Welche Bedürfnisse bestehen? Seit kurzem sind sich die Pfadi und die Jungwacht Blauring auf kantonaler Ebene am Vernetzen. Die Jungwacht Blauring hat zudem ein Sekretariat welches eine gute Vernetzung mit weiteren (Jugend-)akteuren hat.

Im Kanton Nidwalden gibt es kein/e kantonale/r Jugendbeauftragte/r, die Gemeinden sind für die Ju-gendarbeit verantwortlich und müssen diese selber bezahlen.

Zwischen der verbandlichen und offenen Jugendarbeit gab es schon Projekte wie der „offene Sonntag“ der jedoch an der Verfügbarkeit der Turnhallen und der Finanzierung gescheitert ist. Für die Verbands-jugendarbeit muss die Gemeinde/offene Jugendarbeit bei solchen Projekten ziehen, da diese bezahlt ist und die Verbände nur begrenzte zeitliche Ressourcen haben, die schon durch den Normalbetrieb aus-gelastet sind. Die Verbände können aber gerne für Projekte angefragt werden. Dabei sollten die Ver-bände auch einen Nutzen durch das Projekt haben.

Kontakt mit den Jugendverbänden kann entweder über die Kantonsleitung oder direkt über die Lokal-gruppe erfolgen (persönlicher Kontakt ist besser). Je nach dem ist es einfacher über die Kantonslei-tung.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Für die offene Jugendarbeit wäre ein Lobbying im Kanton Nidwalden für eine/n Jugendbeauftragte/n nötig. Eine Vernetzung besteht über das JaRL und die dazugehörige Regiogruppe OW/NW für den fach-lichen Austausch. für und eine Ansprechperson wichtig

Allgemein ist eine zusätzliche kantonale Vernetzung nicht nötig, eine Vernetzung in der Gemeinde je-doch erwünscht und förderungswürdig. Dafür können bei der jeweiligen Gemeinde die Adressen der Vereine bezogen werden.

Nächste Schritte

Forderungen an den Kanton Nidwalden Anstellung eines/r Jugenddelegierten

Fürs Protokoll: Andreas Koenig, SAJV

9.3.11 Uri Protokollauszug der Sitzung der Kantonalen Kinder- und Jugendkommission Uri

Datum: Mittwoch, 13. März 2013, 17.00 – 19.00 Uhr

Ort: Sitzungszimmer BKD 2.5, Klausenstrasse 4, Altdorf

Braucht‘s ein kantonales Jugendnetzwerk - Bedürfnisanalyse der SAJV

Andreas König vom SAJV Schweizerische Arbeitsgemeinschaft der Jugendverbände fragte den Kanton Uri an, eine Veranstaltung für eine Bedürfnisanalyse betreffend Gründunge eines kantonalen Dachver-bands durchzuführen. Nach Rücksprache mit JS wurde dies auf den 17. April 2013, 18 – 21 Uhr festge-legt. Leitfragen der Einladung sind:

- Ist in Uri ist ein kantonales Netzwerk (Jugendverbände, offene Jungendarbeit etc.) erwünscht?

- Welche Aufgaben, Funktionen soll dieses Dach wahrnehmen? Was sind die nächsten Schritte?

Die Workshops finden in allen Kantonen statt und sind von März bis April 2013 geplant. JS hat Andreas König vorgeschlagen, die KKJK zusammen mit je ein bis zwei Vertretungen der kantonalen Jugendver-bände, des TIP-Teams, der Jugendparteien und des Jugendrats einzuladen. Dies ist erfolgt.

Diskussion:

− FB ist skeptisch, ob die Jugendverbände kommen, er ist der einzige, der sich bisher angemeldet hat. Auch EI hat Bedenken, ob ein Dachverband für den kleinen Kanton nötig ist.

− Die KKJK lud bereits vor drei Jahren die Vertreter der Verbands- und OJK zu einem Austauschtref-fen ins Pfarreizentrum Altdorf ein. Dieser Austausch hat sich bewährt. Daraus entstand später die Austauschtreffen der Jugendtreffs, die nun vom TIP-Team organisiert werden. Der Austausch in der Verbandsarbeit geschieht vor allem über das Projekt Momänt. Die Jugendseelsorge hat den Lead. Bei den Jungparteien war dies der Jugendrat Uri, doch dieser ist im Moment in einer Krise.

− Welche Form von Dach braucht es in Uri? Um die Verbands-, politische und offene Jugendarbeit an einen Tisch zu bringen, müsste nicht der SAJV, sondern die KKJK den Lead übernehmen.

− JS sieht durchaus Dienstleistungen, wo ein „Dach“ eine Funktion erfüllen könnte, z.B.

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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o Lobbying für Jugendarbeit, Stellungnahme zu jugendpolitischen Themen.

o Web-Portal www.jugendnetzuri.ch. Mehr Aktualität, News/Newsletter, Zusammenarbeit mit Flatz (UW-Jugendseite und Politcast-uri.ch, dem Webjugendradio)

o Koordination der Anlässe (Aktuelle Agenda) & Infos zu Kinder- und Jugendthemen)

o Bekanntmachung eines Projektfonds, Vorgehen bei der Projektunterstützung

o Austausch & Weiterbildung und Zusammenarbeit mit Behörden / Gemeinden / Kanton?

− Statt einem neuen Dachverband könnte für Uri vorerst ein jährliches „Dach-Treffen“ unter der Lei-tung der KKJK genügen.

− Das Thema soll als Massnahme einfliessen ins BSV-Gesuch „Weiterentwicklung der Kinder- und Jugendarbeit in Uri“.

− Das Austausch-Treffen soll erst Ende 2013 oder im 2014 stattfinden. Es muss gut organisiert sein, eine gute programmliche Qualität haben, Begegnungen ermöglichen (Apero) und auch den Aus-tausch mit dem Regierungsrat ermöglichen.

Beschluss:

− JS teilt Andreas König, SAJV, mit, dass man vorerst auf das Treffen verzichtet. Der SAJV wird später (Ende 2013/eher 2014) eingeladen. Der Lead soll die KKJK nehmen, die Aussensicht des SAJV muss dann einfliessen.

− 04.03.2013 JS: Ich habe FB gefragt, ob er Ende 2013 mit mir eine Einladung machen würde.

9.4 Fragebogen nationale Player

9.4.1 DOJ Fragebogen und Beilagen Name der Organisation: Dachverband offene Kinder- und Jugendarbeit Schweiz DOJ/AFAJ

Tätigkeitsbereich: Kinder- und Jugendförderung auf kommunaler Ebene

Welche Chancen sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von Jugendnetzwerken in Kantonen, in welchen noch keines existiert? Möglichkeit, zentrale Unterstützungsstrukturen (Fach-/Koordinationsstelle, Lobbyingstelle) für ver-schiedene Formen der Kinder-/Jugendförderung aufzubauen. Dadurch entstehen Synergien bzw. kann ev. Aufwand von Unterstützungsstrukturen reduziert werden.

Verschiedene Formen der Kinder-/Jugendarbeit arbeiten enger zusammen und geben einander inhalt-liche/methodische Impulse.

Kanton, Gemeinden und weitere Partner auf kantonaler Ebene haben einen Ansprechpartner statt viele.

Es gibt eine zentrale Organisation, die eine kinder- und jugendpolitische Interessenvertretung wahr-nimmt.

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Welche Risiken sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von kantonalen Jugendnetzwerken? Aus DOJ-Sicht: Die Mitgliederstruktur und -strategie des Dachverband offene Kinder- und Jugendarbeit wird durch ein externes Projekt in Frage gestellt, wenn die offene Kinder- und Jugendarbeit (oKJA) bei der Gründung solcher Netzwerke mitgemeint wird. Eine Zusammenfassung beider Formen von Ju-gendarbeit wirft unzählige Fragen auf, für deren Beantwortung namentlich die zuständigen Stellen bei den Kantonen angesprochen sind. Erfahrungsgemäss kann dies zu zeitlich sehr langen Prozesses füh-ren, die in den verschiedenen Kantonen unterschiedlich gelöst werden --> die jetztige Heterogenität auf der kantonalen Ebene bleibt wahrscheinlich mindestens mittelfristig erhalten oder wird verschärft. Eine einfachere Lösung wäre die Gründung von kantonalen Dach-Strukturen der Jugendverbände, wel-che dann ihrerseits je nach kantonaler Situation, eine Zusammenarbeit (unterschiedliche Organisati-onsformen sind möglich) mit den kantonalen Verbänden der oKJA angehen und allenfalls umsetzen können. Ein Modell dafür ist eventuell DKJ-SO (Obwohl dieser Verband noch jung ist und es noch nicht viele Erfahrungen gibt). Eine weitere Frage die aufgeworfen würde, wäre wahrscheinlich die nach einer Fusion von DOJ und SAJV. Dies kann durchaus thematisiert werden - es darf aus unserer Sicht jedoch auf keinen Fall zu einem Schnellschuss führen, der aufgrund der kantonalen Prozesse unter Zeitdruck zustande kommt.

Was muss bei der Gründung von kantonalen Netzwerken beachtet werden? Aus unserer Sicht ist es wichtig, dass die Leistungen eines Dachverbandes der offenen Kinder- und Jugendarbeit, wie in den zwei beigelegten Faktenblättern dargelegt, von dem Netzwerk wahrgenom-men werden können. Dazu müssen ausreichende Mittel zur Verfügung gestellt und auch der Mitglie-derbeitrag im DOJ sichergestellt werden. Die Budgetierung des kantonalen Netzwerks muss dies abbil-den. Modellhaft ist diesbezüglich unserer Meinung nach die okaj zürich.

Wie können die Jugendnetzwerke deines/Ihres Erachtens finanziert werden? Sinnvollerweise teilen sich Gemeinden und Kantone die Finanzierung. Ein Teil der Finanzierung kann ev. auch in Form von Arbeitsleistungen berechnet werden. Mitglieder könnten verpflichten werden, eine bestimmte Anzahl Stunden auf jeden Fall zu leisten in diversen Gremien. Es empfiehlt sich, so eine Regelung ev. in einem Beitragsreglement o.ä. festzuhalten.

Welche Rolle soll der kantonale Jugenddelegierte bei der Gründung von kantonalen Netzwerken ein-nehmen? Wenn eine solche Gründung angegangen wird, solltne die Kant. Jugenddelegierten diese fördern und von Anfang an aktiv einbezogen sein, damit die strukturellen und finanziellen Fragen gleich von anbe-ginn diskutiert werden und man nicht zuerst enthusiastisch eine informelle Vernetzung gründet, die später an solchen Fragen scheitert.

Wir haben aber auch die Erfahrung gemacht, dass eine allzu aktive Rolle der kant. Jugenddelegierten auch blockierend sein kann: Wenn alle beteiligten Organisationen im Kanton froh sind, dass der Kanton Koordinationsfunktion übernimmt, schwindet ev. die Bereitschaft, die Verantwortung und Arbeit für das Netzwerk ab einem bestimmten Punkt selbst zu übernehmen. Sinnvoller ist wahrscheinlich, wenn eini-ge wenige starke Organisationen, die Federführung in einem solchen Projekt übernehmen und der Kan-ton von Anfang an involviert ist.

Auch die Gemeinden sind unbedingt von Anfang an zu involvieren. Nicht vergessen darf man dabei die grösseren Städte, die oft eine "Welt für sich" und nicht einfach in kantonale Strukturen einzubeziehen sind.

Welche Rolle soll die kantonale Politik bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? Die Gründung solcher Netzwerke ist durch die kantonale wie auch die kommunale (!!)Politik zu geneh-

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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migen. Wenn das Netzwerk eine Wirkungskraft als Interessenvertreter haben soll, muss die politische Ebene von Anfang an mit eingeplant und einbezogen werden.

Welche Rolle soll die Sozialdirektorenkonferenz SODK bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? Die SODK soll darüber informiert sein. Mir ist nicht klar, ob eine weiter gehende Rolle Sinn macht. Die Kantone entscheiden in diesem Politikbereich autonom und in einem grossen Teil der Kantone ist die Kinder-/Jugendpolitik gar nicht beim Sozialdirektor angesiedelt. Zu klären ist auch, welche Bedeutung der Tatsache zukommt, dass das BSV mit dem neuen KJFG jetzt auch eine Koordinationsfunktion hat.

Welche Rolle soll der Bund bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? s.o. - informiert und einbezogen sein. Hier steht eine Kompetenzenklärung an, die Bund und Kantone (SODK, ev. weitere Gremien) zuerst noch vornehmen müssen.

Welche Rolle siehst du/sehen Sie für deine/Ihre Organisation? Sollte die SAJV in irgend einer Form die Gründung kantonaler Netzwerke aktiv vorantreiben, bestehen wir darauf, so bald wie möglich konsultiert zu werden. Dies wurde am letzten Gipfelitreffen vereinbart.

Weitere Bemerkungen / Kommentare / Anliegen: Bitte bezieht die beiden beigelegten Fact sheets in eure Auswertung mit ein, da wir dort unsere Position bereits ausführlich dargelegt haben.

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9.4.2 Antwort DSJ Name der Organisation: Dachverband Schweizer Jugendparlamente

Tätigkeitsbereich: Förderung von Jugendparlamenten, Förderung der polit. Partizipation von Jugendlichen

Welche Chancen sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von Jugendnetzwerken in Kantonen, in welchen noch keines existiert? Die Vernetzung und der Austausch sollten im Vordergrund stehen. Die Jugendorganisationen können so falls nötig auch vereint für die Anliegen der Verbände auf kant. Ebene auftreten. Sie können weiter falls gewünscht kant. Dienstleistungen für die Verbädne anbieten.

Welche Risiken sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von kantonalen Jugendnetzwerken? Konkurrenz und Doppelspurigkeiten zu schon bestehenden Strukturen sollen vermieden werden. Vor-handene Strukturen sollen als Grundlage für die Jugendnetzwerke dienen. Netzrwerke sollen nur dort errichtet werden, wo auch ein Bedürfnis dafür vorhanden ist. Andernenfalls werden neue Strukturen aufgebaut, die nicht gebraucht werden und die, die finanziellen Ressourcen der Kantone in diesem Be-reich zusätzlich belasten. Insbesondere sollen die Aufgaben und Tätigkeiten der kant. Jugendparla-mente beachtet werden, die z. T. auch schon ähnliche Aufgaben gegenüber der Politik und den Behör-den wahrnehmen.

Was muss bei der Gründung von kantonalen Netzwerken beachtet werden? Die Netzwerke dürfen nicht politisch gefärbt sein und müssen für die Mitglieder Dienstleistungen und Angebote erbringen, die diese auch wirklich brauchen, falls solche Angebote geplant sind. Allenfalls können auch Angebote der SAJV über die Netzwerke vertrieben und beworben werden. Wichtig ist, dass offizielle Akteure wie Jugenddelegierte, Jugendämter und Jugendkommissionen schon früh miteinbe-zogen werden.

Wie können die Jugendnetzwerke deines/Ihres Erachtens finanziert werden? Durch Kantone und z. T. durch Mitgliederbeiträge. Bei der Aufbauarbeit und bei einzelnen Projekten ist eine privat-öffentliche Partnerschaft bei der Finanzierung möglich. Weiter sollte die Eigenwirtschaft-lichkeit mit dem Verkauf von Dienstleitungen an Mitglieder und Gemeinden aufgebaut werden, falls dies von den Mitgliedern gewünscht wird.

Welche Rolle soll der kantonale Jugenddelegierte bei der Gründung von kantonalen Netzwerken ein-nehmen? Dies sollte in jedem Kanton einzeln angeschaut werden. Der Einbezug der Verwaltung im Bereich Ju-gendförderung ist sehr wichtig, damit die kant. Jugendnetzwerke als Teil der Jugendförderung angese-hen werden. Der Jugenddelegierte ist eine Schlüsselperson, wenn es um solche Fragen geht. Es darf jedoch nicht sein, dass der Jugenddelegierte zu viel Einfluss ausübt. Ein solches Netzwerk soll von der Jugend für die Jugend sein.

Welche Rolle soll die kantonale Politik bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? Wichtig ist, dass ein reelles Bedürfnis nach einer solchen neuen Struktur nachgewiesen werden kann. Gerade was die langfristige Finanzierung anbelagt ist es wichtig, dass überparteiliche politische Vor-stösse eingereicht werden, falls der Kanton die kant. Jugendnetzwerke nicht aus einem bereits vorhan-denen Topf finanzieren kann.

Welche Rolle soll die Sozialdirektorenkonferenz SODK bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen?

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Sie kann eine Empfehlung abgeben, aber diese verschwindet in den meisten Kantonen in der Schubla-de. Es bringt wohl mehr sich bei der KKJD einzubringen.

Welche Rolle soll der Bund bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? Der Bund kann Pilotprojekte dazu mitfinanzieren oder zusammen mit der SAJV eine Tagung dazu durchführen. Mehr nicht, da dies ganz klar Sache der Kantone ist.

Welche Rolle siehst du/sehen Sie für deine/Ihre Organisation? In vielen Kantonen haben die Jugendparlamente und deren Mitglieder sehr gute Kontakte zur kantona-len Politik. Wir können der SAJV die Kontakte der Jugendparlamente geben, damit diese frühzeitig ein-bezogen werden. Jeder kant. Jugendparlament muss jedoch selber entscheiden, ob der ein solches Netzwerk als sinnvoll erachtet und Mitglied werden möchte.

Weitere Bemerkungen / Kommentare / Anliegen: Wichtig ist eine gute Zusammenarbeit zwischen kant. Jugendförderung, kant Jugendnetzwerken und Netzwerken der offenen Jugendarbeit. Wie gross die Struktur des Netzwerks ist, ist je nach Kanton unterschiedlich. Auch eine loses Netzwerk kann einiges erreichen (Vergleiche Koalaition für eine wir-kungsvolle Kinder- und Jugendpolitik, Lobbying Budgetdebatte 2013)

9.4.3 Antwort Jungwacht Blauring Name der Organisation: Jungwacht Blauring Schweiz

Tätigkeitsbereich: Verbandliche Jugendarbeit

Welche Chancen sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von Jugendnetzwerken in Kantonen, in welchen noch keines existiert? - Bessere Vernetzung unter den kantonalen Akteuren --> Nutzen von Synergien, vermehrte Zusam-menarbeit / gemeinsame Projekte, Austausch von know-how

- stärkeres gemeinsames Auftreten gegen Aussen (Lobbying)

- evtl. klarer Ansprechpartner für die Öffentlichkeit, der die Anliegen der Jugend vertritt

Welche Risiken sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von kantonalen Jugendnetzwerken? - wenn Netzwerke (wie z.B. jenes in SO) Mitglied bei der SAJV werden, die auch die offene JA vertreten, wird die Abgrenzung SAJV - DOJ zunehmend schwierig.

- Allgemein muss gut überlegt werden, wie mit Doppelspurigkeiten (Jungwacht Blauring Schweiz ist Mitglied bei der SAJV, Jungwacht Blauring Kanton SO ist über ihr Netzwerk ebenfalls Mitglied) unzuge-hen ist.

- Ressourcen: für den Aufbau der Netzwerke braucht es Ressourcen. Aus unserer Sicht kann es nicht sein, dass ehrenamtliche Personen aus den JuVe kantonale Netzwerke aufbauen.

- weiterer Akteur, weitere Kommunikationsschnittstelle (Anfälligkeit für Fehler, Verwirrung)

Was muss bei der Gründung von kantonalen Netzwerken beachtet werden? - Einbezug alles Player vor Ort (wer sind die Player? Sportverbände? Musikschule?)

- Sicherstellung der Ressourcen: wer finanziert den Aufbau, wer den Unterhalt des Netzwerkes

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- die unterschiedlichen Bedürfnisse der Player müssen berücksichtigt werden (für die oJA ist ein sol-ches Netzwerk immer auch "Rückenstärkung")

- Strukturelle Unterschiede (oJA: professionell, verbandliche JA: ehrenamtlich) müssen berüchsichtig werden (Sitzungstermine, etc.)

Wie können die Jugendnetzwerke deines/Ihres Erachtens finanziert werden? - kantonale Jugendförderung

Welche Rolle soll der kantonale Jugenddelegierte bei der Gründung von kantonalen Netzwerken ein-nehmen? - Lobbying, v.a. um die Ressourcen zu sichern

- Anleitung und Betreuung des Netzwerkes (wer sonst soll das Netzwerk leiten?)

Welche Rolle soll die kantonale Politik bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? - Anerkennung und Zugang zu Ressourcen (Räume, Finanzen, etc.)

Welche Rolle soll die Sozialdirektorenkonferenz SODK bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? - finanzielle und ideelle Unterstützung

Welche Rolle soll der Bund bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? - Empfehlung an die Kantone

Welche Rolle siehst du/sehen Sie für deine/Ihre Organisation? - Begleitung des Projekts (Rückmeldungen SAJV, Kommunikation im Verband)

Weitere Bemerkungen / Kommentare / Anliegen:

9.4.4 Antwort PBS Name der Organisation: Pfadibewegung Schweiz

Tätigkeitsbereich: Lobbying / Kommunikation

Welche Chancen sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von Jugendnetzwerken in Kantonen, in welchen noch keines existiert? Vernetzung, Austausch von "Best Practic", gemeinsame und somit wirkungsvollere Interessensvertre-tung, Skaleneffekte

Welche Risiken sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von kantonalen Jugendnetzwerken? Zusätzliche Ressurcen werden benötigt. Overhead ohne Mehrwert. Organisationen verlassen ihr eige-nes "Gärtchen" nicht.

Was muss bei der Gründung von kantonalen Netzwerken beachtet werden? Klares Angebot und klarer Mehrwert. Frühzeitige Einbindung aller (gewünschter) Partner

Wie können die Jugendnetzwerke deines/Ihres Erachtens finanziert werden? Stiftungen, öffentliche Gelder, Beitrag der Mitglieder

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Welche Rolle soll der kantonale Jugenddelegierte bei der Gründung von kantonalen Netzwerken ein-nehmen? Die kantonalen Netzwerke als Ansprechstelle nutzen

Welche Rolle soll die kantonale Politik bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? Die Ansprüche der Jugend auch bei den kantonalen Netzwerken abholen

Welche Rolle soll die Sozialdirektorenkonferenz SODK bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? -

Welche Rolle soll der Bund bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? Mithilfe bei der Finanzierung

Welche Rolle siehst du/sehen Sie für deine/Ihre Organisation? Informieren, dass diese Netzwerke existieren - bei möglichen politischen Vorstössen aktiv miteinander arbeiten

Weitere Bemerkungen / Kommentare / Anliegen: Für die Pfadi besteht die Gefahr, dass man ähnlich wie auf nationaler Ebene aufgrund der eignen Grös-se und denn damit verbundenen Strukturen und Mitteln zum Exoten innerhalb eines solchen Netzwer-kes wird, der nur wenige Angebote nutzen kann.

9.4.5 Antwort Stiftung idée:sport Name der Organisation: Stiftung idée:sport

Tätigkeitsbereich: Die nationale Organisation "Stiftung ideé:sport" nutzt Sport als Mittel der Gewalt- und Suchtprävention, der Gesundheitsförderung und der gesellschaftlichen Integration. Midnight Sports und Open Sunday sind zwei nationale Programme der Stiftung idée:sport (offene Turnhallen am Wochenende).

Welche Chancen sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von Jugendnetzwerken in Kantonen, in welchen noch keines existiert? - Gute und einheitliche Anlaufstelle für Anliegen in diesem Bereich. - Es kann ein Überblick an Players aber auch an Angebote entstehen - gegenseitige Unterstützung bzw. Ergänzung

Welche Risiken sieht deine/Ihre Organisation bei der Gründung von kantonalen Jugendnetzwerken? - Gefahr, dass sie je nach Zusammensetzung politisch gesehen auf eine Ecke gedräckt werden

Was muss bei der Gründung von kantonalen Netzwerken beachtet werden?

Wie können die Jugendnetzwerke deines/Ihres Erachtens finanziert werden?

Welche Rolle soll der kantonale Jugenddelegierte bei der Gründung von kantonalen Netzwerken ein-nehmen? - vernetzen - vermitteln - lobbyieren

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Bedürfnisanalyse kantonale Jugendnetzwerke Teil 2

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Welche Rolle soll die kantonale Politik bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen? - zustimmende und wohlwollende Unterstützung

Welche Rolle soll die Sozialdirektorenkonferenz SODK bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen?

Welche Rolle soll der Bund bei der Gründung von kantonalen Netzwerken einnehmen?

Welche Rolle siehst du/sehen Sie für deine/Ihre Organisation? Die Stiftung idée:sport wird ihre Projekte den Jugendnetzwerken sicher vorstellen wollen, so dass diese wissen, dass es die "offenen Turnhallen" gibt.

Weitere Bemerkungen / Kommentare / Anliegen:

9.4.6 Antwort anim.ch Nom de l’organisation : Plateforme romande de l'animation socioculturelle Nota Bene : cette réponse engage à ce jour la présidente de la Plateforme.

Domaine d’activité : Soutien aux professionnels et aux lieux d'animation des domaines de l'animation socioculturelle

Quelles opportunités ton/votre organisation voit-elle dans la création de réseaux de jeunes dans les cantons où il n’en existe pas encore ? Parlez.vous de réseaux de jeunes ? De réseaux d'organisations de jeunes ? De réseaux d'organisa-tions de professionnels qui travaillent auprès des jeunes ? Des réseaux de jeunes, comme les jeunesses paysannes, des assocations de jeunes autour d'une action, d'un studio d'enregistrement , d'un festival, etc relèvent de leur initiative, et sont d'heureux exemples de leur capacité d'agir ensemble. Des réseaux d'organisations de jeunes, tels que les scouts, les UCJG développent des espaces, sou-vent soutenus par quelques adultes, où les jeunes expérimentent divers rôles, prennent des responsa-bilités, développent des compétences. Des réseaux d'organisations de professionnels qui travaillent auprès des jeunes sont intéressantes au réseau le plus local possible, pour dynamiser des partenariats et des collaborations sur le terrain. A un niveau cantonal, elles peuvent peser collectivement sur les politiques jeunesse.

Quels risques ton/votre organisation voit-elle dans la création de réseaux cantonaux de jeunes ? Je parlerai ici de réseaux d'organisations de professionnels qui travaillent auprès des jeunes. Toute organisation qui veut coordonner des acteurs qui, eux, sont sur le terrain présente plusieurs ris-ques : 1. Ces structures se dotent de permanents qui cherchent des financements pou assurer la pérennité de leur poste. Ce financement est soustrait du soutien direct à l'action de terrain et vient alimenter la logi-que gestionnaire. 2. Ces structures travaillent plus à leur représentation qu'à leur représentativité. C'est à dire que les permanents multiplient les tâches de représentation, gravitent dans toutes sortes d'instances, dévelop-pent leur réseau et leur carnet d'adresses, plus quîls n'oeuvrent à fédérer la base. Ces structures en se positionnant, souvent à l'insu de leur base,n'engagent pas moins nombre d'acteurs, sur des positions ou des visions qui ne sont pas forcément partagées, et souvent peu concertées. 3 .Les permanents de ces structures ne sont pas sur le terrain. Leur terrain n'est pas les usagers, mais les professionnels qui, eux, sont au contact des usagers. Certaines prestations viennent réellement

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apporter une contribution à l'action de terrain. Mais de nombreuses prestations prennent du temps aux acteurs de terrain, en lecture, réunions, réponses à fournir, rapports à produire, etc. Ces structures ac-centuent la tendance actuelle de bureaucratie chronophage. 4. Ces structures ont une fâcheuse tendance à se développer en poids. Elles ont le temps de s'inventer des tâches, d'en démontrer la nécessité, et de faire la preuve du manque de moyens pour mener à bien l'ensemble des tâches qu'elles créent et génèrent.

A quoi doit-on faire attention lors de la création d’un réseau cantonal ? A ne pas créer un doublon. De nombreuses structures exstent déjà. Votre cartographie devrait aider à le visualiser.

D’après toi/vous, comment les réseaux de jeunes peuvent-ils être financés ? D'abord par l'adhésion des membres et par le bénéfice des prestations qu'elles offrent, ce qui est une garantie de leur utilité, directement confirmée par les terrains.

Quel rôle le/la déléguée à la jeunesse doit-il jouer lors de la création d’un réseau cantonal ? Un délégué jeunesse doit identifier et mettre en réseau l'existant, déjà foisonnant.

Quel rôle les autorités politiques cantonales doivent-elles jouer lors de la création d’un réseau canto-nal ? Elles doivent constamment veiller à ouvrir le financement à toutes les organisations, toutes les inititatives qui ne sont pas dans le réseau officiel . Elles doivent soutenir l'instituant face à l'institué.

Quel rôle la Conférence des directrices et directeurs cantonaux des affaires sociales (CDAS) doit-elle jouer lors de la création d’un réseau cantonal ? Un rôle identifque à celui des cantons ci-dessus et de la Confédération ci-dessous.

Quel rôle la Confédération doit-elle jouer lors de la création d’un réseau cantonal ? La Confédération doit éviter de forcer des organisations à l'expansion, par pression à ce qu'elles aient une dimension nationale, et engager plutôt les pouvoirs publics vers le soutien aux réalités régionales, cantonales, voire locales.

Dans quel rôle vois-tu/voyez-vous ton/votre organisation ? La Plateforme romande de l'animation tente d'apporter constamment dans les domaines de l'animation une compétence métier, un soutien utile à l'action et aux acteurs de terrain. Elle veut moins fédérer l'existant que le mettre en réseau, pour dynamiser collaborations et partenariats de terrain.

Autres remarques/commentaires/demandes :