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L ’ é c h o d e s B a d a m i e r s

EDITORIAL

Pour terminer en toute beauté

Ce premier trimestre de l’année

Les élèves vous ont rédigé

Une nouvelle cuvée de l’écho des Badamiers.

Ils sont très heureux

De porter à vos yeux

Une grappe d’articles élo-gieux.

Prenez le plaisir

De le lire et de le parcourir.

A l’école des Badamiers

S’affiche et s’anime les va-leurs.

J’ai aimé animé ces ateliers.

Notre école est au cœur des valeurs

Elle aidera chacun de nous à vivre ses vraies valeurs

J’y adhère de tout mon cœur.

Directeur Mr Govin.

A LA UNE !« VERS UNE ÉCOLE DES VALEURS »

ous avons tous des valeurs en nous. Elles font de nous ce que nous sommes, elles nous aident à devenir les citoyens que nous serons demain. Elles nous aident à

avancer dans la vie et à devenir meilleurs pour mieux vivre en-semble. Pour nous sensibiliser à ce sujet, le directeur de notre école nous a conviés à une exposition sur ce thème, réalisées par des collégiens, avec l’aide de M. Rama.

NOn devait rechercher sur des panneaux des valeurs, les noter, en choisir trois qui nous correspondaient, puis à la fin, n’en choisir qu’une, celle qui nous semble la plus importante.

De retour dans la classe, nous avons réalisé un arbre des valeurs sur lequel nous affichons toutes les valeurs que nous essayons de « cultiver » au sein de notre école, quotidiennement.

Nous avons fait aussi une petite enquête pour connaître les va-leurs les plus importantes de chaque classe et voici les résultats : 5 classes ont opté pour le respect, 2 pour la solidarité, 2 pour la famille, 1 classe pour le courage, 1 pour l’harmonie et 1 pour l’égalité.

Nous ne sommes pas parfaits, nous ne le seront sans doute ja-mais, mais nous ne devrions jamais oublier que nous ne sommes pas seuls au monde.

Nous avons posé des questions à des enfants de la classe :

Lou : « Pour toi, c’est quoi l’amitié ? »

- Ne jamais se sentir seul.

Adrien : « C’est quoi la solidarité ? »

«PUBLIER SOUS LA DIRECTION DE MADAME DIJOUX ENSEIGNANTE» « RÉDIGÉ AVEC L’AIDE DE MR LICHARDY ALEXANDRE ASSIS. D’EDUCATION » « ÉDITION DU 26 NOVEMBRE 2012 »

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- C’est aider quel-qu’un qui a besoin

de moi. Dans la classe j’aide Romuald et Lorelei à faire un travail quand ils n’ont pas compris.

Gason : « Pourquoi tu as choisi la Paix ? »

- Parce que la paix c’est mieux que la guerre.

Nathanaëlle : « Qu’as-tu choisi comme valeur ? »

- J’ai choisi le courage parce qu’on peut tout faire avec du courage et on en donner aux autres.

Julie : « Et toi Julie, pourquoi la tolérance ? »

Nous ne sommes pas tous pareils, nous avons tous des différences mais le même sang coule dans nos veines.

La classe de CE2.

« UNE INTERVENTION POUR FAIRE VALOIR LES DROITS DES ENFANTS »

’ambassadrice des droits auprès des enfants est venue dans l’école et nous l’avons reçue dans notre classe. A l’aide de questions et de jeux (devinettes, sketches), elle nous a fait découvrir que tous les enfants, dans tous les pays du monde, avaient des droits spécifiques comme le

droit à l’identité, le droit à la santé, le droit à l’éducation, le droit à la protection, le droit à la partici-pation …

LNous avons pu ainsi réaliser la chance que nous avions de vivre au sein d’une famille.

Notre droit et notre chance d’avoir une famille pour s’occuper de nous…

Je m’appelle Macha et je vis dans une famille traditionnelle, avec mes parents et mes sœurs.

Je trouve que j’ai de la chance d’aller à l’école. Mes parents font beaucoup pour moi : ils me payent mon billet d’avion, ma nourriture et m’achètent de beaux habits…A la maison, j’apprends à aider maman. Je passe le balai dans ma chambre et je fais mon lit. Je fais la vaisselle et je passe l’aspirateur. Je deviens responsable. Quand je pense aux enfants qui n’ont rien et qui ne peuvent pas aller à l’école, je me dis que ce n’est pas juste.

Macha Dazin CM1 b

Je m’appelle Lina et je vis dans une famille monoparentale. J’ai la chance d’avoir une famille qui m’aime beaucoup. Elle prépare mes repas, m’aide à faire mes devoirs, s’occupe de moi. J’apprends à être polie, à ne pas faire de bêtises, à bien me tenir, à respecter et à aider les autres.

Lina Govin CM1 b

Je m’appelle Romane ; j’ai neuf ans et je vis dans une famille élargie. J’ai la chance de vivre avec mes parents qui me câlinent, le matin. Il y a aussi mes tantes qui aident et rendent ser-vice à mes parents. Elles nous gardent, mon petit frère et moi, nous soutiennent et s’oc-


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cupent de nous. Mon père m’emmène souvent faire des activités. Lorsque je fais du piano, je respecte mon animatrice, et à la maison, je m’entraîne pour pouvoir progresser.

Romane Sivagamy CM1 b

Je m’appelle Brandon. Je vis dans une famille élargie. A la maison, j’apprends à être poli. Je ne coupe pas la parole aux autres. Je les laisse parler tranquillement. J’écoute. Je dis bonjour et au revoir, à chaque fois. Je mange aussi ce que l’on me sert à table parce qu’il n’y a rien d’autre.

Brandon Ayave CM1 b

Je m’appelle David. J’habite dans une famille traditionnelle. Papa me réveille tous les matins

et maman me dépose à l’école avant d’aller travailler. C’est maman qui m’aide à faire mes leçons. Papa me laisse jouer sur son ordinateur et me fait prendre des cours d’équitation.

David Souprayenmestry CM1 b

Je m’appelle Milla. J’habite dans une famille recomposée.

J’ai la chance d’avoir mon beau-père qui m’emmène un peu partout. Il m’achète beau-coup de cadeaux et fait souvent, plus qu’il n’en faut, pour moi. Il m’aime comme un vrai père. A la maison, j’apprends à respecter les personnes les plus âgées. Quand on me de-mande de les aider, je le fais sans discuter.

Milla Gouzaut CM1 b

VIE DE L’ÉCOLE

« L’APPRENTISSAGE DU CHINOIS, C’EST COMMENT ? »

- Qu'est-ce que ça fait de faire du chinois?

R : Sa nous apprends une nouvelle culture.

-Quand avez-vous commencé le chinois?

R : Il y en a qui ont commencé en CM1 et en CE2.

-Est que vous aimez le chinois?

R : Oui on aime bien le chinois.

-Comment on dit bonjour en chinois?

R : on dit « ni hoo. »

-Est -ce que c'est amusant le chinois?

R : Oui c’est amusant.

- Quel jour fait-vous le chinois?

R : Les CM2 font chinois du lundi au jeudi et les CM1 du lundi au vendredi

-Est que c'est dur le chinois?

R : Non, mais il faut un peu d'efforts.

-Qui est ce qui vous fait chinois?

R : Elle s’appelle Louis en français.

-Quel est votre cahier de chinois?

R : C'est le grand cahier rouge (96 p).

Fabien et Loïs (CE2 c)


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« LE DÉFI CALCUL MENTAL : COMMENT ÇA MARCHE ? »

'est un concours de calcul mental qui regroupe chaque niveau (par exemple tous les élèves de CE1 passeront le même défi).C

Il y a un défi par période.

Pendant le défi, les élèves ont un temps très court pour trouver le résultat d'une opération dictée par la maîtresse.

Le vainqueur d'une classe est celui qui a le moins d'erreurs. S'il y a plusieurs élèves qui ont la même note, ils sont départagés avec un problème. Le vainqueur obtient un diplôme.

Voici un tableau regroupant les vainqueurs de la période 1, pour chaque classe:

CLASSE VAINQUEURCP/CE1 ABOUDOU Simon (pour les CE1)CE1a BLIN ManechCE1b WELMANT ShanaëlleCE1c BERNIER Romain

CE2 sic CAVALLIN EliseCE2b MICHAUD JulieCE2c ELISABETH LoïsCM1a BUSSON QuentinCM1b PICOTE Olivia

CM1/CM2 sic PAYET-HAMARD Graig / BEAUFILS RaphaëlCM2a PUICHAFRAY SoumeyaCM2b KIBIO Marion

La classe de CE1a


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L ’ é c h o d e s B a d a m i e r s« ACROSTICHE »

n acrostiche est un poème composé de telle sorte qu’en lisant dans le sens vertical la première lettre de chaque vers, on retrouve le mot ou groupe de mots pris

pour thème. Alors, quel thème avons-nous choisi ?U Notre école

Elle se nomme « Ecole Les Badamiers ».

C’est une grande école colorée

Où l’on peut jouer, travailler, faire du sport et manger.

Les élèves se sentent très bien entourés

Et y reviennent chaque jour heureux et déterminés.

Les nombreux bâtiments sont espacés

Et garçons ou filles adorent courir et s’amuser

Sous les flamboyants et badamiers de la cour ensoleillée.

Blancs, bruns et basanés, les enfants viennent à l’école

Accompagnés de leurs parents.

Dans la cour, tous attendent la sonnerie.

Alignés, deux par deux, sur les rangs,

Motivés, ils marchent vers leur classe en silence,

Impatients de se mettre au travail, même s’il fait chaud.

Ensuite, arrive la pause. Jouer, c’est trop bien !

Récréations inoubliables, leçons, sport, repas à la cantine…

Se répètent à l’école des Badamiers.

Elèves du CM1b

CULTURE

« SEMAINE CRÉOLE »

nterview du CE2 de Me Hubert par Ybticeme et Chloé du Cme2a de Me

Faustin.ILes questions ont été prépa-rées en amont par l'en-semble des acteurs du CM2a.

Q1 : A quelle date s'est dé-roulée la semaine créole ?

R1 : Du 22 au 28 octobre.

Q2 : C'est quoi la semaine créole ?

R2 : Une manifestation pour mettre en valeur : les jeux, métiers, tisanes qui vont disparaître.

Q3 : Qui a organisé la se-maine créole ?

R3 : C'est une initiative de la mairie de St Denis.

Q4 : Qu'a fait la classe de CE2b comme activité autour de ce thème ?


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R4 : Création de pompons en laine, tressage de bracelets en Va-coas, promenade en calèche.

Q5 : Où s'est déroulée la semaine créole ?

R5 : Sur la place du marché forain au Chaudron.

Q6 : Y a-t-il eu des spécialités créoles ?

R6 : Oui, des tisanes à base de géranium.

Q7 : Y a-t-il eu des intervenants particuliers ?

R7 : Il y avait un intervenant pour chaque atelier.

Q8 : Les élèves, se sont-ils exprimés en créole ?

R8 : Non. Les intervenants non plus.

Q9 : La semaine créole, vous a-t-elle plu ?

R9 : Oui, mais c'était trop court !

« LE FESTIVAL DU LIVRE »

La rencontre avec DANIEL LAURET

« Nous avons rencontré un écrivain Réunionnais »

e 05\10\12 nous sommes allés au Festival du livre au Port avec ma classe CM1\CM2 (sic). Nous sommes partis faire la rencontre de DANIEL LAURET. Il a écrit 4 livres comme

BOB, et il est en train d’écrire « LES NOUVELLES DE LA CHA-LOUPE ». Il paraît que le plus dur dans un livre c’est de trouver une maison d’édition. « Tous » les écrivains connaissent la peur de la page blanche, « Tous ». La page blanche veut dire qu’on n’a plus d’idées pour écrire. Il nous conseille pour être écrivain plus

L

tard de lire ENORMEMENT, d’amener un cahier partout où on va pour écrire nos idées, pensées, dessins…

Pour écrire des livres il s’ins-pire de sa vie. Dans tous ses livres il raconte des mo-ments de sa vie .A l’âge de 30 ans il a publié son pre-mier livre .Adolescent il se contentait d’écrire sa vie dans un journal intime .Un livre peut prendre de 1 à 3 ans pour être écrit .Certains écrivent des livres d’un seul trait mais pour trouver l’his-toire ça leurs prend pas moins d’un an .Un écrivains n’a pas vraiment d’horaires, il écrit quand une idée lui vient à la tête .Il ne faut jamais se forcer à écrire.

Jeanne Cavallin

« LA RENCONTRE AVEC YVES

MONT-ROUGE, RÉDACTEUR EN

CHEF DU JIR »

ers 9h00, monsieur Yves Mont-Rouge est arrivé. Il nous a

montré comment faire un journal. Il y a un surtitre, un titre, un chapeau d’intro-duction, un forum. Il nous a dit qu’il avait aussi une bible (un Agenda). Le JIR est com-posé de : pub, jeu, petites annonces. Pour faire un

V


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Temple Chane.


article, il faut avoir les « 5 w » (les mots sont en anglais) qui, quoi, où, quand, pourquoi. Il faut aussi des gros rouleaux. Dans le JIR, on a un chef pour chaque rubrique. Ils n’ont pas d’horaires fixe, ils peuvent partir du journal à n’importe quels moments. Pour rentrer une pub, ça coûte entre 2500€ et 10000€. Pour devenir journaliste, il faut lire énormément, qu’importe le livre. Yves Mont-Rouge à maintenant 48 ans, il a déjà travaillé 23 an-nées. Il faut au moins 70 pages pour faire le journal du JIR. Les employés travaillent énormément. Il a ren-contré pas mal de célébrité au cours de sa carrière « Jacques CHIRAC, Zidane, François HOLLANDE, Nicolas SARKOZY ». Il a était à Las Vegas où il est allé voir la maison de Mickaël JACK-SON. Il peut faire le tour du monde grâce à son travail. Il diffuse toutes les informations grâce à Freedom (Radio Local). Il faut avoir passé le bac et avoir fait 3 ans d’études pour faire le métier de journaliste. De plus, ils font en moyenne 25000 journaux par jours. Il y a 70 personnes dans le JIR pour : écrire et filmer. Quand ils deviennent journaliste, ils reçoivent une carte « Bleu, Blanc, Rouge » comme les policiers et c’est le Jury qui leur donne.

Elsa et Jeanne, Classe cm2/cm1 (sic)

« TEMPLE, MOSQUÉE, CATHÉDRALE »

ernièrement, les deux classes en section internatio-

nale chinois de l’école des Badamiers de Sainte-Clo-

tilde, ont fait une sortie en ville de Saint-Denis. Le but

était de visiter les temples chinois de la rue Sainte-Anne, la mos-

quée et la cathédrale.

On a d’abord commen-

cé par les deux temples

chinois, la troisième

plus petite, étant fer-

mée. Le temple

« Chane » qu’on ap-

D

pelle aussi « Temple de la

prospérité éternelle » est la

plus ancienne, datant de

1896.

L’autre appelée « Temple de

la Traversée Heureuse »

date de 1897 mais a été

rénovée entièrement en

1981. Ces temples sont dé-

diés à Guan Di, un héros

guerrier de son vivant, cou-

rageux, loyal, d’une grande

force physique et morale.

Après sa mort, il a été déifié

devenant ainsi le dieu de la

justice, des lettrés, des com-

merçants. Les temples chi-

nois sont donc les lieux de

rendez-vous pour les

grandes fêtes, certaines

cérémonies funéraires, le

culte des ancêtres et des

dieux, ou simplement pour

demander aide et protec-

tion dans la vie familiale et

professionnelle.


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Temple de la Traversée Heureuse.

Dans ces deux temples, le couleur principale est le rouge et les

dorures. A l’intérieur, face à l’entrée, se trouve l’autel principal,

où trône Guan Di, avec à ses côtés son général garde du corps et

son fils Guan Ping.

Très important, l’autel dédié aux ancêtres. Les chinois honorent

la mémoire de leurs ancêtres et les associent aux évènements

familiaux. Les parents disparus sont représentés par des ta-

blettes funéraires rappelant leur date de naissance et de décès.

Hallebardes.

On a aussi admiré les hallebardes, sorte de lances faisant réfé-

rence au passé guerrier de Guan Di, les brûle-encens, les brûle-

papier. La maîtresse nous a aussi expliqué l’utilisation des ba-

guettes divinatoires, sensées nous aider dans nos prières, ainsi

que les faux billets de banque et le papier doré et argenté que

l’on brûle en offrande aux dieux. Lors des cérémonies, les of-

frandes faites aux dieux sont surtout alimentaires. Toutes sortes

de viandes, de vermicelles, des fruits, des gâteaux, du thé sont

disposés sur les autels, en remerciement pour les bienfaits.

La religion populaire chi-

noise est donc polythéiste

(on prie plusieurs dieux), n’a

pas de prêtre pour présider

aux cérémonies, pas de livre

sacré. Chacun prie donc

suivant ses sentiments, sa

conviction et sa conscience.

La 2ème visite est pour la

mosquée Noor al islam qui

veut dire « Lumière de l’is-

lam » situé dans la rue ma-

réchal Leclerc et dont la

1ère construction date de

1898.Cette mosquée est la

1ère mosquée de France et

d’Outre-mer. Son minaret

se voit de loin et la mos-

quée est recouverte de

marbre blanc et vert. Tout

le monde peut visiter cet

endroit, homme ou femme,

à condition d’enlever ses

chaussures. L’imam qui


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La mosquée Noor al islam.


Cathédrale de Saint-Denis

nous a reçus nous a expliqué que la mosquée est essentielle-

ment un lieu de prière et de recueillement réservée aux

hommes. Il existe aussi une petite salle pour les femmes.

Chaque fidèle peut accéder à la grande salle de prière, après

avoir fait ses ablutions. (Se laver certaines parties du corps pour

les purifier) Une salle de prières doit toujours avoir un mihrab,

sorte de niche décorée et encastrée dans le mur qui indique la

direction de la Mecque, considérée comme le centre du monde

et de la vie. C’est l’orientation que doit prendre un musulman

pour prier.

Il y a aussi une sorte d’estrade où l’imam monte pour faire son

sermon, le vendredi, jour sacré. Dans la religion musulmane, pas

de photos, de statues, d’images, de sculptures. C’est interdit. Le

Coran est le livre sacré et tout musulman doit prier 5 fois par

jour, en se tournant vers la Mecque. Pas de chaise, ni de bancs,

les fidèles prient sur les

tapis de prière. Ce que nous

connaissons le plus de la

religion musulmane, c’est le

Ramadam, période de jeûne

et de prière pour un fidèle.

On ne mange pas et on ne

boit pas toute la journée.

On nous a expliqué aussi

qu’un musulman doit man-

ger halal c’est-à-dire que

l’animal abattu doit l’être

selon un rituel et aussi que

le proc est interdit.

Concernant l’iman, ce n’est

pas comme un prêtre, c’est

un homme qui peut être

marié et qui guide et anime les prières. La

religion musulmane comme la religion catho-

lique est monothéiste.

Dernière visite de la journée, la cathédrale de

Saint-Denis qui s’appelle aussi Eglise du Saint-

Sauveur. L’église est un lieu sacré car c’est « la

maison de Dieu ». Les catholiques se re-

trouvent à l’église pour les messes, et tous les

grands évènements : communions, baptêmes,

mariages, enterrements… Cette cathédrale a

été construite de 1829 à 1832.

On a admiré les

vitraux, le très

beau plafond, la

chaire, le taber-

nacle, les pein-

tures. On a

même appris que dans la grande croix située à

gauche, il y a un morceau de la « vrai croix »

du Christ quand il a été crucifié.


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A l’extérieur de la cathédrale, on a levé la tête

pour remarquer les détails du fronton de la

façade principale. Ce bas-relief représente le

martyre de l’évêque Saint-Denis.

Sur la place, il y a aussi une jolie fontaine of-

ferte par un ancien maire de la ville. La maî-

tresse nous a appris que souvent les églises

sont en forme de croix. La Bible st le livre sa-

cré qui raconte la vie de Jésus et le curé ou

prêtre célèbre la messe, donne les sacre-

ments. Contrairement aux musulmans, les

catholiques n’ont pas d’interdits alimentaires

mais peuvent faire carême à certaines pé-

riodes. La maîtresse nous a expliqué aussi que

les moments les plus importants pour un ca-

tholique sont le baptême, la communion et la

confirmation. Après toutes ces visites, on est

retourné à l’école pour un travail en commun.

Tout le monde a trouvé dommage de n’avoir

pu voir un « temple malbar ». La prochaine

fois !

La classe CE2a de l’école des badamiers.

SPORT

Piscine du chaudron.

ous sommes dans l’école maternelle des Badamiers, en Grande Section avec Madame Constans et tatie Emi-

lienne.NTous les mardis matins, nous allons à la piscine du Chaudron pour apprendre à nager.

Quand nous arrivons, Maîtresse demande la clé à la dame de la piscine. Nous allons nous déshabiller aux vestiaires.

Puis nous passons sous la douche à 4.

Avant d’aller dans la grande piscine, Maîtresse nous amène jouer dans la pataugeoire.

Après Maîtresse nous met dans notre groupe avec les mamans.

Ensuite on met le toboggan dans la pataugeoire. Maî-tresse nous arrose sur la tête avec la cafetière.

Après nous repassons sous la douche froide.

Ensuite nous allons nous changer et nous sécher.

Après Maîtresse redonne la clé à la dame. Nous allons dans le bus et nous nous attachons et nous retournons à l’école.

Texte écrit par la classe de GS 3

« LES ÉLÈVES DU CE1B À LA PISCINE »

Tous les vendredis, nous allons à la piscine du Chaudron.


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Nous y allons en bus.

En arrivant, la maîtresse nous emmène dans les ves-tiaires où nous mettons notre maillot de bain.

Puis, nous passons à la douche en poussant des cris d'horreur, car l'eau est froide. Ensuite, il faut arri-ver à la piscine mais le sol est chaud. Alors, nous mar-chons comme des pin-gouins, là où il y a un peu d'ombre.

Enfin, nous voilà dans l'eau !

Quel bonheur !

Quel exploit !

« je nage ! » dit Emilie.

« Au secours ! » crie Alexandre.

« Et moi, je sais faire l'étoile de mer ! » s'exclame Inès.

Tout le monde s'amuse, même la maîtresse !

Vers 15H, nous rentrons à l'école.

Plus personne ne bouge !

Quel bonheur pour la maîtresse !

Fontaine Edith

SCIENCE

« DES PHASMES DANS LA CLASSE DE

MOYENNE/GRANDE SECTIONS »

Dans l’aquarium, il y a des phasmes.

Et aussi dans l’aquarium, il y a des feuilles et pas de l’eau.

Les phasmes ont des petits yeux, leur corps est en bâton, ils ont des pattes et des antennes. Ils ont aussi une bouche. Il y a des phasmes qui sont verts et des phasmes qui sont marron.

Quand ils montent sur nous, ça fait des « guilis ». Ils marchent partout dans l’aquarium. Il y a des petits phasmes, des moyens phasmes et des grands phasmes. Il y a eu un bébé phasme le mardi 13 novembre 2012.

On aime les phasmes parce qu’ils font des « guilis ». Mais cer-tains enfants ont peur !

Caroline Diebold MS GS

JEUX

« ENIGMES »

La directrice du lycée a cinq enfants. La moitié sont des filles. Comment est-ce possible ?

Deux mères accompagnées de leur fille respective vont faire du shopping. Chacune d’entre elles choi-sit un vêtement et, pourtant, il n’y a que trois articles au moment de passer à la caisse. Pourquoi ?


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Pour moi, le bonheur est avant le malheur, la joie avant la tristesse et le rire après les pleurs. Qui suis-je ?

IDÉE DÉCORATION

« Quelques idées de décoration de table »


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