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Cycle  de  licence  fondamentale  Economie  et  Gestion  

 Corrigé  MACROECONOMIE  _S2    juin 2014  

Groupes : I et J Questionnaire 2 Durée : 1H30

Pr : Mr AIT BARI

Q1- D’après votre cours, la contrainte des ménages peut s’écrire : � a.

PMM

PBBCTY 00 −+

−+=−    ;

� b. B f −B0f

P= I ;

� c.   TGPMM

PBB gg

−=−

+− 00 ;

� d.  ),,,( 00

PBMYRTYCC e +

Π−−=.

%a Q2- Définir la courbe FP ? � a. C’est le lieu des couples (Y, R) assurant l’équilibre sur le marché du Bien ; � b. C’est l’ensemble des couples (Y, R) assurant l'équilibre sur le marché de la Monnaie ; � c. C’est l’ensemble des couples (Y, R) assurant l'équilibre sur le marché du Titre ; � d. C’est l’ensemble des couples (Y, R) assurant l'équilibre sur le marché du Travail.

%c Q3- Quelle est la forme de la pente de FP ? � a.        ;

� b.      ;

� c.      ;

� d. dRdY

=B 'Y

I '+B 'R.

%c On considère une économie fermée en situation de concurrence imparfaite sur les marchés du bien et du travail. Cette économie est décrite par les comportements suivants :

1. Consommation: 𝐶 = !!𝑌 − 𝑇

2. Impôts : 𝑇 = !!

3. Investissement: 𝐼 = !!"!!!

                 𝜋 = 0

4. Demande de monnaie: !!= !

!+ !

!"#

5. Fonction de production: Y = 3N!!

6. Niveau de prix désiré:

P = 2 1 + ρWY  3

                     ρ =12

7. Niveau de salaire désiré: W = !!

8. Offre de travail: N! = 5.7 𝑌 : revenu. T: impôts et taxes. C   : consommation. I : investissement. 𝜋  : inflation anticipée. 𝑅  : taux d’intérêt nominal. Le terme 𝑅 − 𝜋 désigne le taux d’intérêt réel anticipé. 𝑃: niveau général des prix. 𝑊 : le taux de salaire nominal.  𝑁:emploi. 𝑀:offre nominale de monnaie. ρ: coefficient d’élasticité. G la dépense gouvernementale. Q4- On admet qu’à long terme, salaire nominal et prix deviennent flexibles et se fixent au niveau désiré par les agents. On suppose que : M = 6              et            G = 1. Cet équilibre s'établira en : � a. Y = 4    ;    N = !"

!   ;    P = 2    ;    W = !

!     ;    R = 10%. ;

� b. Y = 0,4    ;    N = !"

!"   ;    P = 0,2    ;    W = !

!"     ;    R = 0,1%.  ;

� c.  Y = 40    ;    N = !"#

!   ;    P = 20    ;    W = !"

!     ;    R = 10%.  ;

� d.  Y = 4    ;    N = !"!"   ;    P = 2    ;    W = !

!     ;    R = 1%  .

%a Q5- Dans le cas d’une fonction de consommation keynésienne affine, la propension moyenne à consommer (PMC) est : � a. nulle ; � b. constante quelque soit le revenu disponible ; � c. décroissante du revenu disponible ; � d. croissante du revenu disponible.

%c Q6- Dans le cas d’une fonction de consommation keynésienne linéaire, la propension moyenne à consommer est : ❐ a. nulle : PMC = 0 ; ❐ b. constante et égale à la propension marginale à consommer (Pmc); ❐ c. décroissante du revenu disponible ; ❐ d. croissante du revenu disponible.

%b Q7- La loi psychologique fondamentale de Keynes est vérifiée si la propension marginale à consommer (Pmc) est … � a. nulle (Pmc = 0) ; � b. positive (Pmc > 0) ; � c. négative (Pmc < 0) ; � d. comprise entre 0 et 1 (0 <Pmc < 1).

%d

dRdY

=1−C 'I '

dRdY

= −L 'YL 'R

dRdY

=1−C '− L 'YI '+ L 'R

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Q8- Quel est l’effet d’une augmentation du taux d’imposition sur la composante incompressible d’une fonction de consommation affine ? � a. aucun effet ; � b. un effet négatif ; � c. un effet positif ; ❐ d. un effet ambiguë.

%a Q9- Quel est l’effet d’une augmentation du taux d’imposition sur la composante induite d’une fonction de consommation affine ? � a. aucun effet ; � b. un effet négatif ; � c. un effet positif ; ❐ d. un effet ambiguë.

%b Q10- En étudiant les séries chronologiques des Etats-Unis entre 1920-1940, Keynes a soutenu que la PMC (propension moyenne à consommer) était : � a. nulle pendant la crise ; � b. égale à 1 pendant la crise ; � c. inférieur à 1 pendant la crise ; � d. supérieur à 1 pendant la crise.

%d Tableau 1 : N N+1 N+2 N+3 N+4 N+5 Yd 50 51 52 53 54 55 C 45 45,8 46,6 47,4 48,2 49 Yd : Revenu disponible des ménages C : Consommation finale

en Md DH Q11- D’après les données du tableau 1, déduisez la forme de la fonction de consommation ? � a. fonction affine : C = C0 + c.Yd ; � b. fonction linéaire : C = c.Yd ; � c. fonction concave : C = C0 + f (Yd) ; � d. autre forme.

%a Q12- D’après vos calculs (tableau 1), le niveau de consommation autonome pour l’année N, par exemple, est fixer à : � a. C0 = 50 ; � b. C0 = 5 ; � c. C0 = 0,5 ; � d. C0 = aucun seuil.

%b Q13- Comment s’écrit cette fonction de consommation pour l’année N, par exemple ? � a. C = 50 + 0,8.Yd ; � b. C = 0,5 + 0,8.Yd ; � c. C = 5 + 0,8.Yd ; � d. C = 0,8.Yd .

%c Q14- En déduire la fonction d’épargne « S ». Elle s’écrit : � a. S = - 50 + 0,5.Yd ; � b. S = - 0,5 + 0,6.Yd ; � c. S = - 5 + 0,2.Yd ; � d. S = 0,2.Yd .

%c

Q15- Algébriquement, pour les mêmes données (tableau 1), le seuil du revenu de rupture est fixé à : � a. Yd =50 ; � b. Yd =25 ; � c. Yd =5 ; � d. Yd =55 .

%b Q16- La méthode macroéconomique … � a. se base sur la conception des modèles sous forme d’équations mathématiques représentant le plus fidèlement possible les comportements des agents affrontés à des contraintes ; � b. traite les équilibres macroéconomiques sur des marchés complétement autonomes ; � c. n’exige pas le recours aux agrégats de la comptabilité nationale ; � d. est identique à celle de la microéconomie.

%a Q17- La modélisation (formulation mathématique) de la macroéconomie fut initiée par : � a. John Maynard Keynes ; � b. John Neville Keynes ; � c. François Quesnay ; � d. John Hicks.

%d Q18- L’analyse macroéconomique présente un avantage majeur, elle permet … � a. de proposer et d’évaluer des politiques publiques ; � b. d’étudier les décisions individuelles des agents économiques; � c. de traiter les effets de répartition et des spécificités des comportements individuels des agents; � d. de préciser le surplus d’un producteur.

%a Q19- Dans quel horizon temporel la thèse macroéconomique keynésienne est pertinente : � a. à court terme ; � b. à moyen terme ; � c. à long terme ; � d. à moyen-long terme.

%a Q20- La logique néoclassique de l’offre préconise que l’Etat doit … ❐ a. lutter contre les “rigidités” (syndicats, salaire minimum, protection de l’emploi, allocations chômage,...etc.) qui empêchent le marché du travail de “fonctionner correctement” ; ❐ b. augmenter les dépenses publiques ; � c. fixer un salaire minimum ; � d. augmenter les charges sociales.

%a