dossier conception nectar

editar lectar

nectarLA PRESSE AUGMENTÉE

01 - LE CONTEXTE DU PROJET

02 - LE CONCEPT

03 - L’APPLICATION MOBILE

04 - IDENTITÉ VISUELLE

05 - CONCEPT DE LECTURE

06 - SPÉCIFICITÉS TECHNIQUES

Etat des lieux de la presse et de l’information numériqueMoyens et usages Convergence des supports Vers une solution hybride

Un pont innovant entre deux mondesFonctionnement généralCibles privilégiéesScénarios et profils d’utilisateurs

Concept de navigationNiveaux d’interactivitéCharte fonctionnelleZoning et Design de l’interface

Charte graphique

Un nouveau concept de lecturePrototype de démonstration

Lectar une nouvelle vision de la réalité augmentée

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Lectar

01 - LES COMPOSANTS

02 - CHARTE ET ZONING

03 - SPÉCIFICITÉS TECHNIQUES

02 - SUIVI DE PRODUCTION

01 - OUTILS DE COMMUNICATION

03 - BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE

Une solution techniqueLa suite logicielleLa cible visée

La charte fonctionnelleLe zoning

Editar un logiciel user friendly. Une vision modulaire et évolutive L’entrepôt ServarLa suite

Le site webLe site mobile

RetroplanningPositionnement et Business modelBudget

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Editar_Servar

Annexes

Lectar_L’expérience utilisateur

01_Le contexte du projet> Etat des lieux de la presse et de l’information numérique

> Moyens et usages

> Convergence des supports

> Vers une solution hybride

01_Le contexte du projet

Contexte État des Lieux de la presse et de l’information numérique

L’analyse des indicateurs de santé des quotidiens nationaux (marché en baisse de 3,5% selon OJD, l’organisme de contrôle de la diffusion de la presse) indique clairement que cette catégorie de presse traverse une véritable crise. Rappelons en effet que la plupart des médias avaient enregistré des chutes importantes de revenus en janvier 2009.

> État des lieux de la presse et de l’information numérique

06

JOURNAUX TÉLÉVISÉS

PRIX DU PAPIER

INTERNET

JOURNAUX GRATUITS

LES CAUSES :


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Trois dangers pèsent sur la presse : la généralisation du numérique, la baisse brutale de l’intérêt des jeunes généra-tions pour l’écrit et pour l’information, et l’abandon de l’information comme support privilégié pour la publicité. Les raisons sont multiples et durent depuis plusieurs années.

Il faut se reporter à des données plus anciennes pour y déceler des moments décisifs, des cassures dans les ten-dances.

C’est à partir du milieu du 20ème siècle, avec l’apparition de la radio puis de la télévision, que la presse écrite quoti-dienne est en déclin régulier. Plus tard c’est avec la montée des médias audio-visuels et les multiplications de diffé-rentes offres (presse gratuite, médias électroniques, développement de la presse spécialisée), que la presse écrite voit sa place remise en cause. L’accroissement des prix des quo-tidiens est un autre facteur de dé-clin. Cette hausse a été provoquée par l’augmentation du prix du papier.

En effet, le prix papier est un poste de dépense important pour les journaux car le prix du papier a subits une hausse de 20 %. Cet alourdissement a généré une augmentation de 10 à 30 centimes d’euro (selon le journal) sur le tarif des quotidiens français. Et c’est dans la presse quotidienne régionale que la répercussion de cette hausse de prix a été la plus massive. En appliquant 20% d’augmentation sur 20% du coût de re-vient, beaucoup de titres ont en souffert.

C’est en 1995 que les quotidiens doivent faire face à un nouveau concurrent: les journaux gratuits.

Avec l’irruption en France des quoti-diens gratuits, les ouvriers du livre ont violemment manifesté leur opposition à ce nouveau concept, par crainte de voir l’actuelle organisation du sys-tème d’édition et de diffusion remise en cause. Parallèlement dans les an-nées 90 ont observe un glissement de la presse du papier vers l’électronique.

Il s’agissait de journaux imprimés pré-existants et mis en ligne.Ils ont été créés souvent à l’initiative des éditeurs des grands journaux à parution régulière (quotidiens, hebdomadaires, mensuels).

En 1998, la majorité des entreprises de presse se sont mobilisées pour la création de leurs sites web. Ce dévelop-pement vers le web était pensé comme une stratégie de positionnement sur Internet. Les premiers développements sont confiés à des journalistes travaillant déjà sur le journal papier. Cette période transitoire est présentée comme une étape nécessaire par les professionnels du métier. Mais ces raisons ne suffisent pas pour expliquer le commencement ainsi que l’évolution de cette crise.

Les dangers qui pèsent sur la presse écrite


Un déclin annoncéPris à la gorge entre le recul de leurs recettes publici-taires et l’érosion de leurs ventes depuis de nombreuses années, les quotidiens français finissent une nouvelle année sur un constat peu optimiste. Un manque à gagner dû à la baisse des ventes couplée à la fuite des petites annonces vers Internet. Mais pour le moment, le virage numérique a plutôt été un foyer de perte de la Presse quotidienne nationale.

Vers l’information «numérique»

La gratuitée d’accès à l’information sur internet, la création des plates-formes de blogs et de l’ensemble de la vague 2.0 ont rendu l’accès à l’information plus facile et plus empreinte sur le présent. Le retour en force actuel des modes d’accès payants à l’information sur le web ne suffira pas à contrer ces évolutions culturelles. Le choix d’une information «à la carte» sur internet, choisie selon les centres d’intérêts et la disponibilité de l’internaute, le développement de l’accès à internet sur téléphone mobile ou l’apparition du e-paper in-teractif et plurimédia peut permettre, demain, de s’adresser de manière intime, personnalisée et démultipliée au lecteur.

Internet déclasse le journalisme classique en proposant des approches plus diversifiées. Mais il permet aussi une inte-raction plus grande avec les récepteurs : feed-back perma-nent, courrier des lecteurs on-line, évaluation des articles téléchargés grâce à un système de notation (rating). De plus les médias traditionnels d’information sont mis en danger par la multiplication de nouvelles plateformes d’informations comme Google, Facebook ou MySpace, mais ne sont pas des moyens d’information.

L’hypertextualité entraîne une mutation du mode de commu-nication journalistique. L’énonciation journalistique était fon-dée sur le rapport d’un émetteur, détenteur d’informations, à un récepteur ignorant ces éléments. La communication mul-timédiatique rompt ce modèle.


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Selon une étude TNS-SOFRES réalisées en Février 2010, même si 59% des Français considèrent In-ternet comme une source d’information importante (+5 points par rapport à 2006), Internet ne canniba-lise pas pour autant le rôle informatif des journaux. Une large majorité de Français (69%, sans évolu-tion depuis 2006) considère Internet comme « une source d’information complémentaire aux journaux car il permet de trouver des informations de nature différente». Il s’agit surtout des 35-49 ans (74%), devant les 15-34 ans (64%).

Les Français issus des catégories sociopro-fessionnelles aisées sont 77% à concevoir Internet comme un complément d’informa-tion aux journaux, pour 67% des employés et ouvriers.

De plus, la crédibilité de l’information dans les journaux est toujours plus important que sur internet, qui est souvent considéré comme peu fiable.

Les français et la presse


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69% des Français sont convaincus de la complémentarité d’Internet et des journaux.

«Internet est une source d’information qui ne se substitue pas aux journaux».


Étude TNS-SOFRES- Février 2010

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Quel business model pour la presse ?

Le secteur de la presse subit depuis quelques années de nombreux chocs technologiques. Les nouvelles logiques de distribution et de monétisation adoptées jusque-là, n’ont pas fait leurs preuves. Le défi des acteurs du secteur n’est donc pas seulement de trouver un modèle économique pérenne sur internet mais aussi de reconquérir un lectorat dont le mode de consommation de l’information s’est considéra-blement morcelé.


Nous savons que dans le cas de la presse, les recettes viennent majori-tairement de la monétisation de ses audiences et que les annonceurs ne financent plus l’information.La publicité, cette réclame qu’il a tou-jours été de bon ton de mépriser dans les journaux, déserte les « vieux » médias. Pour la première fois depuis l’apparition de la presse de masse, au milieu du XIXe siècle, les annonceurs peuvent se passer des médias d’in-formation pour faire connaître leurs produits aux consommateurs. Cela fait clairement apparaître que les respon-sables des médias d’information sont confrontés au défi de se réinventer et de trouver un nouveau business model

tout en réduisant leurs coûts de pro-duction de l’information.Les publicitaires n’ont pas vocation à financer la presse et l’information et la migration des budgets publicitaires semble irrépressible. Un seul exemple, celui du Figaro: entre 2003 et 2007, son chiffre d’affaires publicitaire est tombé de 120 millions d’euros à 80 millions, et les revenus engendrés par les petites annonces sont passés de 97 millions d’euros à 25 millions.

C’est tout le modèle économique des médias d’information qui est déstabi-lisé. Les journaux ont été les premiers touchés, mais désormais toute la chaîne de l’information est menacée.

En 2007, une étude de Goldman Sachs estimait qu’il faudrait au moins cinq ans pour que les revenus « numé-riques » des journaux compensent les pertes de la publicité sur le papier. Depuis, cette prévision est considé-rée comme beaucoup trop optimiste, et la publicité en ligne récupérée par les sites d’information des journaux risquent de ne jamais réussir à com-penser celle perdue dans le papier. Les investissements publicitaires ne sont pas infinis, et les parts de marché qui sont détournées vers de nouveaux « supports » numériques sont généra-lement perdues pour de bon. Enfin, la multiplication des supports offerts aux annonceurs et leur fragmentation pro-


16voquent mécaniquement une baisse tendancielle du coût des annonces et donc, là aussi, des revenus des mé-dias.

De plus l’âge moyen des utilisateurs des sites des journaux on-line est passé de 37 à 42 ans entre 2000 et 2005 : même sur Internet, le lectorat des journaux vieillit. Cet âge est certes inférieur à celui des lecteurs papier (55 ans), mais les chiffres indiquent néanmoins l’échec de la stratégie des journaux pour conquérir le public jeune des 25-34 ans. Non moins grave, le nombre des nouveaux utilisateurs de sites de journaux ne cesse de décliner.

(Source : La fin des journaux et l’avenir de l’information de Bernard Poulet)


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> Moyens et usagesTout a changé : internet a bousculé l’idée d’un modèle de lecture sur un support donné. Les nouveaux besoins sont tournés vers plus de mobilité et nous voyons apparaître de nouveaux relais et supports de lecture.

Contexte Moyens et usages

La presse en ligne

De nombreux journaux et magazines ont basculés sur Internet pour déve-lopper d’autres modèles économiques en ligne en proposant à leur lectorat d’accéder aux parutions dans une version consultable sur le web. Cette solution offre au lecteur une expé-rience de lecture digitale de ses ma-gazines préférés au format web. Pas de logiciel à télécharger, pas de temps de chargement long et fastidieux, un espace simple d’utilisation permettant la consultation et la conservation des publications numériques.Conscients de la nécessité de trou-ver de nouveaux relais de croissance grâce à leurs activités numériques,

nombre de quotidiens français s’orien-tent vers un modèle partiellement payant de l’information en ligne, à l’image du Monde.fr ou des Echos.fr.

Vers une lecture nomade : les applications

En septembre 2008, Relay.fr, présen-tait l’offre à 17.9 euros/mois pour té-lécharger jusqu’à 400 magazines dans une version iPhone. A chaque nouvelle parution auxquels vous étiez abonnés, vous receviez un SMS avec un lien à suivre pour lire votre magazine sur l’iPhone. Le service était entièrement gratuit considérant que l’iPhone est un support supplémentaire de lecture.Pratiques, ludiques, accessibles,

les applications mobiles sont forte-ment plébiscitées par les mobinautes qui ont téléchargés plus d’1 milliard d’applications ces 9 derniers mois. En effet, ces applications ont le vent en poupe permettant ainsi un paie-ment à l’acte. L’ambition numérique a par ailleurs trouvé une véritable dyna-mique via l’alliance de quatre géants de la presse magazine d’Outre-Atlan-tique (Condé Nast, Time Hearst et Me-redith) et Relay en France qui ont lancé un kiosque numérique permetant aux lecteurs de télécharger les articles de l’ensemble des titres sur tout types d’appareils mobiles (iphone, Black-berry, Kindle etc.)

1944

1995

2009

Journal papier_

Site internet_

Application mobile_


20Mais pourquoi un tel succès ?

Simplement parce que les déve-loppeurs d’applications ont parfaite-ment adaptés les caractéristiques de la machine (supports et interfaces de lecture de plus en plus réduites) aux usages des utilisateurs.Après le développement de son site, Le Monde.fr a lancé en 2008 son ap-plication dédiée à l’iPhone (et à l’iPod Touch) disponible au téléchargement sur iTunes et l’App Store, celle-ci per-met aux utilisateurs d’accéder plus facilement aux contenus du premier site d’informations français. Si de nombreux supports français proposent déjà des versions mobiles de leurs sites web adaptées à l’iPhone (le Fi-garo, Libération, 20 Minutes…) l’initia-

tive du «Monde interactif» consistant à développer une application dédiée est la première du genre en France. Le Monde.fr pour iPhone s’avère d’ailleurs particulièrement bien notée par les uti-lisateurs de l’App Store (4,5 sur 5).

De nouveaux terminaux de lecture

Le monde de l’édition semble attendre beaucoup des « machines à lire » por-tables. Ces dispositifs, imaginés dès les années 1970 dans le laboratoire de recherche de Palo Alto de Xerox, sont apparus au début des années 2000. Après une longue éclipse, elles sont revenus en 2008 et ont commencé à constituer un marché spécifique en 2009. On a longtemps confondu le

contenu (le livres électronique e-book) et la machine qui permet de le lire.

L’eBook est un livre au format digital: c’est un livre électronique lisible sur plusieurs supports de type PC, PDA, smartphones (iphone), tablette PC (Kindle d’Amazone, l’ipad d’Apple) et e-Reader informatique (le «Que» de Plastic logic).

Les avantages et les inconvénients sont intimement liés aux supports de lecture : ce format permet une lecture proche du livre papier (lisibilité, for-mat portable et léger) couplée avec de nouvelles fonctions annexes apportées par l’informatique (liens hypertexte, rich media, interactivité). Néanmoins la lecture sur ordinateur a mauvaise

2009

2010

Ipad Apple_

Kindle Amazone_


presse. On a tendance à lui reprocher une fatigue oculaire excessive, qui se-rait due au scintillement des écrans. De plus, la luminosité, le contraste, la fréquence de balayage réduisent la prise d’information. La fatigue visuelle accrue inhérente à ces paramètres détériore, elle aussi la prise d’informa-tion. Étrangement, l’argument semble perdurer avec l’abandon des écrans CRT au profis des écrans LCD. Il est vrai que subsiste une luminosité forte.

De plus le prix des terminaux de lec-ture est parfois exorbitant. Les formats propriétaires sont aussi des freins à l’expansion de ce type de produit (un e-book acheté sur Amazone ne peut être consulté que sur Kindle). Pourtant la presse papier pourrait avoir l’oppor-tunité de diffuser plus largement ses journaux sur ce type de support plutôt qu’avec moniteur classique qui freine la lecture de près de 25%.

La nature du support et son environnement influencent nos modes de lecture. Les livres imposent globalement un mode de lecture linéaire et compor-tent des indications sur le contexte. Avec le développement d’Internet et la navigation dans l’information par activation d’hyperliens, l’individu est obligé d’identifier l’information au fur et à mesure qu’il active des liens et en reconstituer le contexte. L’accès à l’in-formation passe nécessairement par la maîtrise de ces indicateurs.La lecture y est plus segmentée, frag-mentée et discontinue.

Le numérique, «hypertexte» et mul-timédia, induit une «hyper-attention» que des psychologues américains opposent à la deep attention (l’atten-tion profonde) que nécessite la lecture linéaire sur papier. La dernière chose que souhaitent les entrepreneurs du Net, c’est d’encourager la lecture lente, oisive, ou concentrée. Il est de leur intérêt économique d’encourager la distraction…


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Un espace silencieuxqui met en échec le culte de la vitesseLe support papier, dans sa linéarité et sa fini-tude, dans sa matérialité et sa présence, consti-tue un espace silencieux qui met en échec le culte de la vitesse et la perte du sens critique. Il est un point d’ancrage, un objet d’inscription pour une pensée cohérente et articulée, hors du réseau et des flux incessants d’informa-tions et de sollicitations : il demeure l’un des derniers lieux de résistance.

Cédric Biagini et Guillaume Carnino - Le Monde Diplomatique

> Convergence des supportsDans ce contexte, la principale difficulté est de faire des ponts entre les deux médiums : le papier et le numérique. Néanmoins le papier est toujours le support le plus plébiscité pour la lec-ture. Il offre un confort de lecture bien supérieur à notre écran classique. Il est mobile, pliable et léger tandis que l’écran fa-tigue les yeux à cause du rétro éclairage. L’idée est donc de fusionner ces deux supports (papier et écran) et ces deux mé-diums (presse papier et internet) pour tirer le meilleur parti de chacun.

Contexte Convergence des supports

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Pour exemple, le quotidien gratuit «Direct Matin» distribué gratuitement et lu chaque jour par près de 1,7 millions de personnes en France a lancé depuis deux semaines une application Iphone «Direct Flash». Aprés avoir télécharger l’applica-tion via l’Apple Store, il suffit de «flasher» les pages du journal pour accéder à de nombreux contenus et services exclusifs de types vidéos, articles, bandes annonces, liens… le charge-ment du média reste lent mais la volonté de trouver des solutions est là !


> Qu’est ce que la réalité augmentée?


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La réalité augmentée est une technique consistant à im-plémenter des éléments virtuels dans le réel. Le concept de réalité augmentée vise à compléter notre perception du monde réel, en y ajoutant des éléments fictifs, non perceptibles naturellement. La réalité augmentée désigne la technologie qui permet d’incruster de façon réaliste des objets virtuels dans un flux vidéo. Wikipédia donne cette définition : “Augmented reality (AR) is a term for a live di-rect or indirect view of a physical real-world environment whose elements are augmented by virtual computer-ge-nerated imagery.”. Cette définition met en avant les trois notions fondatrices de la RA, la temporalité, la réalité et la virtualité car pour qu’il y est une impression de réalité, le système doit garder les unités de temps et d’espace. Mais comment faire pour garder cette impression de réalité ? Plusieurs technologies sont actuellement en production. Elles se placent toujours sur deux axes : les softwares et les hardwares. Les solutions hardware per-mettent une implémentation simple. Côté software l’ac-quisition de matériels spécifique est souvent très chers pourtant cette solution reste la plus accessible au Grand Public.


Les solutions hardwareIl en existe plusieurs, la plus connue est Helmet Mounted Display (visiocasque) (1) utilisé par les pilotes d’avions de chasse. Il permet au pilote d’obtenir des informations sur son vol sans bouger la tête. Ici nous avons à faire à un affichage 2D projeté sur la visière en Plexiglas du casque. Une autre solution est l’ajout de capteurs à une camera pour en déduire son mouvement. Cette déduction de mou-vement permet d’associer le même mouvement à une caméra virtuelle dans un univers 3D. Ici la superposition de la vision des deux caméras (réelle et virtuelle) donne la réalité augmentée. C’est grâce à cette solution que l’institut Image Nu-mérique et Réalité Virtuelle (INREV) à mis en place « Sur Impression » : un dispo-sitif en réalité augmentée, qui permet de révéler aux yeux d’un spectateur grâce à un écran mobile, un monde imaginaire évoluant à son insu… Dans l’espace de la voûte de la chapelle des Carmélites (2) du musée d’Art et d’Histoire de la ville de Saint-Denis, les visiteurs vont pouvoir interagir sur d’étranges créatures : corps en suspension « nageant-volant », banc de poissons, créatures artificielles prenant vie dans les rayons de lumière jaillissants des vitraux. En 2005, pour l’exposition universelle d’Aichi au Japon, le groupe Brother a présenté une paire de lunettes (3) équipée d’un traducteur simultané. Avec les lunettes à traduction simultanée, la voix de votre interlocuteur étranger sera captée par le système de traduction des lunettes et traduite en texte lisible projeté sur la rétine. Brother l’appelle le RID (Retinal Imaging Display) et compte le diffuser dès 2010.

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(2) Chapelle des Carmélites et sa voûte (3) RID (Retinal Imaging Display) de Brother

(1) Helmet Mounted Display


Les solutions softwareLe tracking d’images dans un flux vidéo est l’une des solutions les plus utili-sées pour la RA. Elle permet grâce à la reconnaissance d’une image ou de forme de déduire un plan 3D. Plusieurs techniques peuvent être utilisées. La première consiste à reconnaître des images simples comme les codes barres 2D. En 1999, c’est l’apparition de la première bibliothèque Open Source nommée ARToolkit de Hirokazu Kato qui marquera vraiment les débuts de la démocratisation de cette technologie. La deuxième technologie est la reconnaissance d’images complexes comme des photographies. Un logiciel détecte des “points d’intéressements” (point présentant de forts contrastes) dans l’image. Dans les deux cas un algo-rithme analyse le flux vidéo pour détecter l’image puis calcule sa déformation du à la perspective ce qui permet d’en déduire un plan 3D. La solution qui remporte un franc succès en ce moment sur téléphone est le géo-tracking. Elle permet grâce à un GPS, une boussole électronique et un accéléromètre de déduire la position et l’angle de vue du téléphone de l’utilisateur. On peut donc «augmenter» la vision de celui-ci par des éléments virtuels. Cette solution a été popularisés par l’arrivée de l’iPhone et d’android mais principalement par le framework Layar. Layar (1) est le premier navigateur mobile avec une application de réalité augmentée inté-grée qui permet de superposer des contenus virtuels au monde réel. Disponible sur Androïd et sur iPhone, l’application Layar rend accessible des contenus et des données en surimpression sur la vue offerte par la caméra vidéo du téléphone.Conçu aux Pays-Bas sur le mode de l’open source, Layar bénéficie du support de nombreux développeurs à travers le monde, permettant l’émergence d’un « écosystème » d’applications. L’une des premières applications de Layar se trouve dans le domaine de l’immobilier en France. Avec ces nouveaux usages issus de la réalité augmentée, la vie réelle va s’enrichir d’une couche d’informations acces-sible partout et à tout moment.

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(1) Application Layar


Mais à quoi peut servir la réalité augmentéeet dans quel domaine est-elle utilisée ?

Les utilisations sont multiples et ne sont qu’a leurs balbutiements. Bien sûr, la publicité et le marketing sont les premiers secteurs a avoir pris la RA en main. La RA est une superbe op-portunité de représenter les marques avec des pubs toujours plus époustou-flantes et immersives.

«La réalité augmentée permet à des industries classiques, comme l’édition ou le jouet, de mettre une touche de digital dans leurs business models traditionnels», explique Nicolas Papst, responsable marketing produit chez Total Immersion, éditeur d’une solution de réalité augmentée. Évidemment, la technologie a un prix : «Comptez de 30 000 à 100 000 euros, y compris le coût de la licence du logiciel», précise Nicolas Papst. Mais ces applications ne manquent pas d’attrait. Dans le domaine du mobilier (1), Ikea propose un code Qr en réalité augmentée qui permet aux clients de voir ce que les produits de la marque donnerait chez eux.

Les marques planchent aussi sur des packagings «augmentés». Toujours le même principe : en filmant l’embal-lage, la caméra de l’ordinateur familial fait apparaître des objets qui s’ani-ment à l’écran. Ainsi, à l’occasion du lancement du dessin animé Arthur 2, les boîtes de céréales Chocapic (2) étaient ornées d’un picto qui renvoyait, via une webcam, à un jeu animé. Dans cette logique, Mattel et Total Immer-sion ont créé des jouets issus du film Avatar (non commercialisés en France) qui s’animent sur le site i-TAG.

Aussi dans le secteur de l’habillement, Zagura, une agence marketing amé-ricaine est à l’origine d’une nouvelle application mêlant réalité augmen-tée et motion capture. Elle permet de faire du shopping en ligne tout en es-sayant les vêtements de chez soi via sa webcam(3). Associée au téléphone portable, la réalité augmentée nous laisse imaginer de nouveaux services mobiles.

Exemples : L’application “Métro”(4) indique en réalité augmentée la station de métro la plus proche.Dans le domaine culturel, l’applica-tion CultureClic permet d’obtenir des informations sur une œuvre d’art ou un monument, simplement en les ca-drant avec la caméra de son iPhone. On imagine le potentiel de cette «info enrichie» dans le tourisme ou la res-tauration. Dans l’immobilier (5), en zoomant sur les façades d’immeuble, des «applis» mobiles comme celles de SeLoger.com ou de Logic-immo.com permettent de repérer les apparte-ments en vente. Ce n’est qu’un début.

(Source : « La réalité augmentée ça sert à quoi» de Capucine Cousin sur l’express.fr)


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(3) Avec Zagura , votre chambre se transforme en cabine d’essayage.

(5) Grâce à l’application MeilleursAgents.comdécouvrez le prix du mètre carré de chaque immeuble de Paris.

(4) Avec l’application Métro, vous ne serez plus jamais perdu !

(1) Avec Ikea, placez et visualisez vos meubles dans votre intérieur avant d’acheter.

(2) La boîte de céréales, une nouvelle console de jeu…


Presse et réalité augmentée

A l’évidence la RA a le vent en poupe. Beaucoup de projets sont en prépara-tion mais avant de voir cette techno-logie envahir nos journaux et maga-zines, il faudra régler de nombreuses problématiques techniques.

En effet, La RA est une technologie complexe à mettre en place ce qui retarde son développement grand pu-blic. Le temps de la mise en oeuvre est long, coûteux et le plus souvent il requière des compétences externes (contrat avec des prestataires). Ces contraintes prennent tout leur sens quand on veut adapter cette technolo-gie à la presse quotidienne.

Mais on peut se demander si la réalité augmentée a vraiment sa place dans le milieu de la presse ? Que peut-elle apporter aux lecteurs et aux agences de presse ? Comment l’intégrée dans le quotidien des utilisateurs et de la presse?

C’est le magazine français télé 7 joursqui expérimente cette technologie pour fêter ses cinquante ans. Pour l’occasion, les lecteurs ont pu admi-rer en réalité augmentée le show de Johnny Hallyday lors de sa dernière tournée. Depuis un moment, la presse papier cherche à s’ouvrir à certaines innovations high-tech. En septembre 2009, le magazine people américain Entertaiment Weekly proposait à cer-tains de ses lecteurs une publicité vi-déo encartée dans son édition papier.

Un an auparavant, Esquire avait mis en vente 100 000 exemplaires de son numéro spécial 75 ans avec une cou-verture animée par de l’encre élec-tronique et a sorti dernièrement une édition spéciale en réalitée augmentée (1). De plus, le magazine Colors (2) pour son numéro consacré aux ado-lescents a tenté l’expérience en axant sur une scénarisation ludique, vivante et interactive.

L’intérêt pour l’utilisateur est indé-niable et l’on observe clairement la vo-lonté des agences de mettre en avant cette technologie afin de permettre à ses lecteurs de sortir de la routine et de vivre une nouvelle expérience de lecture et bien-sûr par la même reconquérir des parts de marché. Mais à quel prix ? On sait que la création de contenus augmentés est chère et long à mettre en place. De plus les mar-queurs de réalité augmentée peuvent non seulement dégrader la charte gra-phique mise en place mais aussi po-ser problème en terme de répartition des contenus. Comment casser ces verrous, pour enfin voir apparaître cette technologie dans nos journaux et magazines ?


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Publicité pour les déodorants «Axe»Où l’on peut dévoiler les parties manquantes de l’image grâce à son smatphone.

(1) Magazine Esquire en RA

(2) Magazine Colors en RA


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> Vers une solution hybride

Dans un monde de plus en plus numérique et tech-nophile, on observe un paradoxe : le journal et le magazine conservent toujours une place privilégiée. Nous avons déjà constaté que notre façon de lire à changé. Nous voulons plus de mobilité, un confort de lecture proche de celui du livre et des contenus de plus en plus interactifs.

Cependant on peut se demander s’il est nécessaire de créer un énièmesupport de lecture.

Contexte Vers une solution hybride

Le cas iPadEn soixante jours, l’iPad s’est vendu à 2 millions d’exemplaires, alors que l’iPhone avait atteint le million de ventes en 74 jours. Le dernier né d’Apple apporterait un chiffre d’affaires en trois mois de 1,6 milliard de dollars à fin juin, soit 10% des ventes globales du groupe.

Deux millions d’exemplaires en soixante jours ! Le rythme des ventes de l’iPad frise l’indécence vis-à-vis des grands du secteur high-tech, et dépasse de loin les performances des propres produits d’Apple lancés pré-cédemment.

Déjà, le jour de son lancement le 3 avril dernier, aux Etats-Unis unique-ment, 300.000 tablettes avaient été écoulées. Vingt-huit jours plus tard, les ventes franchissaient le million. De-puis la sortie de la tablette, neuf pays supplémentaires commercialisent le dernier bijou technologique du groupe avec un mois de retard, Apple étant «victime» de son succès. Si ce n’était pas l’euphorie en France ou au Cana-da, les Japonais et les Australiens ont pratiqué les files d’attentes comme les Américains deux mois plus tôt.

Au final, en moins de deux mois, l’iPad s’est bien mieux vendu que l’iPhone, qui a fait pourtant très vite office de «must have» au niveau internatio-

nal. En effet, lors de son lancement, l’iPhone avait eu besoin de 74 jours pour vendre... 1 million d’exemplaires.

L’iPad est-il le dernier espoir pour la presse ?La presse attend une solution alternative

Pour le moment, l’installation d’un modèle payant de l’information sur la Toile reste un casse-tête bien difficile à mettre en place. Selon une étude pu-bliée fin 2009 par Boston Consulting Group, 54% des Français interrogés seraient prêt à payer pour une infor-mation en ligne…, mais ils ne sont aujourd’hui que 32% à en avoir déjà acheté. « La presse attend comme le messie celui qui leur permettra enfin de monétiser ses contenus sur Inter-net fixe et mobile », analyse Matthieu Aubusson de Cavarlay, responsable du


pôle médias chez Price-Waterhouse-Coopers.

Dans l’abondance d’information gra-tuite en ligne, les projets de sites à péage peinent parfois à s’imposer. Certes, la formule payante lancée en septembre par Libération, avec 4 000 abonnés, affiche des premiers résul-tats encourageants, mais le projet d’espace payant du site de L’Express est reporté faute de rentabilité. Ce-lui du Figaro, dont le lancement est prévu en février, ne devrait représenter qu’une partie réduite des recettes glo-bales du site.

Sur l’Iphone, les éditeurs ont néan-moins commencé à faire évoluer leur modèle vers le payant. Libération et La Tribune proposent une application en téléchargement gratuit afin d’at-tirer le lecteur, avant de lui proposer des services et des rubriques premium payants. Pour les éditeurs, l’avantage majeur qu’ont les tablettes et les e-readers

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(Source: http://www.vipad.fr/)

sur le papier réside évidemment dans l’économie réalisée sur les coûts d’im-pression et de distribution. Des pa-trons de presse qui voient aussi d’un bon œil les futures possibilités offertes en matière de micro-paiement

Certaines voix, peu nombreuses, tem-pèrent néanmoins ces espérances. Pour Benoit Raphaël, journaliste et co-fondateur du Post.fr, «L’iPad ne changera rien à la crise que traverse la presse depuis l’avènement d’Internet. Car avant d’être un outil de lecture, l’iPad est d’abord un ordinateur mo-bile qui permet de surfer sur Internet et donc de s’informer gratuitement. Il apparaît peu probable, dès lors, que les gens paient pour des infos qu’ils peuvent obtenir librement sur le même support. » La gratuité des sites d’in-formation pourrait donc mettre à mal la volonté des éditeurs de vendre leurs journaux sur l’Ipad et les tablettes à venir. Un dilemme que certains tentent de résoudre par le tout payant. Ce sera le cas prochainement pour les sites du

Monde, du New York Times.

« Une belle interface sur une jolie tablette tactile fera certainement sensation, mais elle ne résoudra en rien la crise structurelle d’une presse qui doit profondément re-mettre en question sa mission.»

Beaucoup affirment déjà qu’ils ne s’abonneraient pas à un site de presse en ligne pour la bonne et simple rai-son que l’info généraliste les intéresse peu, et surtout qu’ils ne seraient pas prêt à payer pour cela.

Ils préfèrent largement picorer à droite à gauche le best of des news ; de sur-croît filtrée selon les centres d’intérêt. Aujourd’hui aucun média traditionnel ne propose ça. En revanche de nom-breux autres sites, blogs, réseaux so-ciaux contribuent à construire un véri-table cocktail d’infos quotidien.Les grands médias, avec leur stra-tégie ipad ignorent ce nouveau type

d’usage. Ils continuent d’être dans la logique ancienne de production d’un journal que l’on fait payer à une au-dience fidèle.

«Ce qui sauvera la presse ce n’est pas le contenant, maisle contenu»

40

C’est l’air du papier augmenté !Nous n’avons pas pour vocation de créer un ultime terminal, nous préférons utiliser ceux déjà existant et optimiser leurs avantages. Nous proposons une nouvelle expérience de lecture se détournant du journal sur le web pour retourner vers l’objet : le papier.

Notre solution consiste à superposer des contenus d’internet sur le papier du journal grâce à la réalité augmentée. Cela permet au lecteur d’accéder à des contenus vidéos, diaporamas, objets 3D et outils communautaires sur le support papier et donc de garder le confort de lecture.

Une solution hybride entre le classique et le numérique semble être une bonne solution pour convaincre et remporter l’adhésion du grand public. De plus la superposition du virtuel sur le réel fera de cette solution un entre deux qui bénéficiera d’une image plus chaleureuse qu’un produit dit «tout numérique». La réalité augmentée permet à la fois une double lecture commune et/ou indépendante sans dénaturer le rapport au papier.


02_Le concept du projet> Un pont innovant entre deux mondes

> Fonctionnement général

> Cibles privilégiées

> Scénarios et profils d’utilisateurs

42

Concept Un pont innovant entre deux mondes

Notre projet, intitulé Nectar se place entre le journal papier et internet. Il se propose de faire un pont innovant entre ces deux mondes plus ou moins en concurrence. Il n’a pas pour but d’enterrer le journal classique ou de concurrencer internet. Prendre le meilleur des deux parties pour proposer une alternative en situation de mobilité.

En effet ce projet arrive à un moment où la mobilité est au centre des pré-occupations technologiques. L’accès à internet est devenu un véritable défi socio-technique. Des propositions de loi sont actuellement en débat pour considérer l’accès à un internet comme un droit.L’avènement des plates-formes de blog (de Facebook, Tweeter, Myspace) impose d’être connecté en permanence de peur de perdre le fil. Ces ré-seaux prennent de plus en plus de place dans notre vie.

Dans ce contexte, l’accès à internet en situation de mobilité est un grand défi technologique et commercial. Il faut proposer des contenus adaptés à cette situation et rendre la technologie la plus accessible possible c’est pourquoi nous avons choisi une application mobile accessible sur tout types de smartphones (iphone, blackberry, google phone...).

> Nectar, un pont innovant entre deux mondes

«Prendre le meilleur des deux parties pour proposer une alternative en situation de mobilité»

La mobilité au coeur de nos préoccupations

Un affichage intégré sur un casque ou des lunettes devrait théoriquement fournir l’équivalent d’un très grand écran (Un moniteur est un périphérique de sortie usuel d’un ordinateur. C’est l’écran où s’affichent les informations saisies...) virtuel, perçu comme se trouvant éloigné de quelques mètres. Entre autres avantages que peut ap-porter ce procédé (suivant les techno-logies utilisées) se trouve la vision en trois dimensions Dans le sens com-mun, la notion de dimension renvoie à la taille.(stéréovision), ou l’immersion dans la réalité augmentée (Par un sys-tème de réalité augmentée on entend un système (au sens informatique) qui rend possible de superposer l’image...) (affichage d’éléments virtuels dans le monde.

Des expériences ont déjà été menées par le passé, avec de petits écrans à cristaux liquides LCD venant se placer juste devant chaque œil. Mais un in-convénient de taille est alors apparu: un inconfort d’utilisation se traduisant principalement par des maux de têtes.Mais cette technologie reste encore inaccessible au grand public et n’offre que très peu de mobilité car elle de-mande de devoir porter une petite unité informatique pour l’alimentation et la transmission des données via un port usb.

A l’inverse le téléphone mobile, dé-tient l’ensemble des caractéristiques (mobilité, puissance, autonomie, uti-lisation répandu) pour répondre à nos besoins.


44

La mobilité au coeur de nos préoccupations


Fonctionnement général du conceptC’est un tag implémenté dans la mise en page du magazine qui fera le lien entre le contenu papier et le contenu multimédia en réalité augmentée. Il suffit de lancer l’application Lectar et de scanner le tag pour visualiser selon le cas soit une vidéo, une photo, un objet 3D ou écouter un son. Les tags renferment des identifiants liés à des contenus multimédias stockés par un serveur distant.

MAGAZINE

MAGAZINE

id

41

1

2

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4

2

3

Scan du tag avec l'iPhone

L'application Lectar appel le contenu via le seveur grâce à un identifiant

Le serveur renvoie le média correspondant à l'identifiant

L'application Lectar récéptionne le média et lance la lecture

Concept Fonctionnement général

46PRIN

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12

34

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Les tags du projet Nectar

Les tags utilisés dans le projet Nectar sont à mi-chemin entre un tag de réalité augmentée de type ARToolKit et un code barre 2D (QR code). Ces deux technolo-gies utilisent des marqueurs noir et blanc. Ces tags sont plus facilement détec-table. La technologie ARToolKit utilise pour ces tags un contour noir épais commun à tous. Ce contour permet de détecter rapidement le tag dans un flux vidéo. Le contenu interne du tag permet de reconnaître son orientation mais aussi de le différencier des autres tags (si on utilise plusieurs marqueurs). Un code barre (QR code) permet de stocker, par rapport à un code barre classique, beaucoup plus de données. Nous utiliserons ces informations pour les mettre en relation avec une base de données qui stockera l’ensemble des contenus augmentées. Le carré placé en bas à droite du tag permet de détecter l’orientation.

L’avantage de notre tag réside dans le fait que ce soit un identifiant qui fasse le lien avec le contenu «augmenté» ce qui évite de republier l’application à chaque fois que le contenu change. Il n’y aura pas de nouveau déploiement de l’application à chaque parution des magazines et journaux.

Tag type ARToolKit Code barre 2DTag Nectar


6 tags = 6 types de médiaChacun des tags est lié à un type de contenu et est facilement reconnaissable par l’utilisateur par une icône symbolisant le média «augmenté».

SONS ET MUSIQUE OBJET 3D DIAPORAMA

VIDÉO A PROPOS JEUX ET QUIZZ

?


50

> Une nouvelle cible pour un nouveau souffle

Pour ce sortir du gouffre, la presse écrite doit se réinventer en stabilisant son modèle économique. Pour cela, il faut se tourner vers les jeunes, les séduire avec des concepts, des formules et des contenus capables de concurrencer internet. En effet le lec-torat de la PQR et de la PQN est plutôt vieillissant tandis que les utilisateurs de téléphones nouvelle génération sont eux jeunes et de plus en plus mixtes. Voici une porte d’entrée pour les Groupes de Presse afin de ramener à eux un public plus jeune.

Sources :- Une étude 1000mercis relayée par www.iphone-lemag.com- iphone.connexion-mobile.net- http://ipjblog.com/lapressemagazine/france-dimanche/- http://recherche.e-marketing.fr/presse-lecteurs.html

Concept Cibles privilégiées

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Utilisateurs de smartphone

- 65% sont des hommes- 35% sont des femmes avec une progres-sion de 15% depuis septembre 2009- 40% des utilisateurs ont entre 25 et 44 ans - Plutôt urbain avec 1/3 des possesseursd’Iphone en région parisienne- 65% se connectent à internet tous les jours- CSP+

*PQN: Presse quotidienne Nationale*PQR: Presse quotidienne Régionnale

Lecteurs de Journaux (PQR*, PQN* et Presse Gratuite)

En moyenne : un lectorat mixte à tendance masculine (60% Homme, 40% Femme) actifs et CSP+.

Presse GratuiteLecteurs de 19-24 ans, jeunes et urbains - Lecture pendant le temps de transport (pour aller au travail ou pour voyager)

Presse QuotidienneLecteurs de 35-55 ans, aisés et urbains - Lecture pendant le temps de transport (pour aller au travail ou pour voyager)

Presse RégionaleLectorat de + de 50 ans, modeste et provincial - Lecture à domicile

Lectorat Magazine

Lectorat plutôt féminin de 25 à 49 ans, actives et financièrement autonomes.


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54

La cible utilisateur


Plutôt masculine, entre 25-45 ans, actif et urbain. Technophile et curieux. Possédant un périphérique compatible de type Smartphone. Lecteur de jour-naux occasionnel ou régulier.

Concept Scénarios et profils d’utilisateurs

> Scénarios et profils d’utilisateurs

56


1/ l’utilisateur technophile

Fred, 28 ans est trafic manager dans une agence de communica-tion. Comme tous les matins depuis le début du printemps, il s’installe à la terrasse de son café favori profi-tant de la matinée ensoleillée avant son départ au travail. Après avoir commandé un café au lait, il se décide à prendre son Smartphone, un HTC Legend dans la poche de son jean. Il profite de ce temps pour consulter sa boite mail, vérifier l’état de ces enchères sur ebay et même acheter un billet de train sur l’application voyages-sncf.com. Le tout via la connexion 3G de son téléphone. Voilà une bonne chose de faite, il pose le téléphone sur la table afin de saisir la tasse

que le serveur vient de lui apporter. Tout en dégustant son café, Fred feuillète l’édition d’aujourd’hui du journal Le Point qui lui à été livrée ce matin. Passionné d’information et lecteur fidèle du quotidien, il a été ravi de voir les changements apportés par la rédaction depuis quelques mois et notamment l’ap-parition d’articles et de reportages en réalité augmentée. Aujourd’hui c’est un article traitant de la montée des réseaux sociaux sur Internet qui attire son attention. Comme d’ha-bitude il lit l’intégralité de la Une avant d’aller directement à la page qui l’intéresse. Son métier l’oblige à être au courant de l’actualité et plus particulièrement ce qui touche les

nouvelles tendances. Après avoir lu quelques paragraphes il est invité à regarder l’évolution de la bourse sur son téléphone grâce au mar-queur placé sur la page. Fred saisit son téléphone et lance l’application Lectar qui lui permet d’afficher le contenu en réalité augmentée. Ha-bitué à faire cette manipulation il ne lui fallut que quelques secondes pour voir le graphique apparaître en 3D sur la feuille de papier.Plus loin à la rubrique cinéma, la totalité des films du mois sont affi-chés grâce à un diaporama animé, il y trouve la critique d’un film dont il a vaguement entendu parler hier au bureau. Une visualisation de la bande-annonce est proposée juste en dessous. Il déplace la caméra de son téléphone vers le marqueur et ce dernier se transforme en un lec-teur vidéo. Il branche ses écouteurs puis lance la lecture.Fred se dit qu’il irait peut-être voir le film ce soir s’il partait assez tôt. Il regarde sa montre, 8h55, il est temps d’y aller. Il boit la dernière gorgée de son café, ferme son jour-nal en se promettant de terminer sa lecture à la pause déjeuner

2/ l’utilisateur néophyte

Marie, 52 ans assistante mater-nelle, part rejoindre sa fille Hélène dans le Gard pour les vacances d’été. Marie voyage rarement mais elle a décidé de prendre le T.G.V. en direction de Nîme et sa seule crainte, l’ennui, c’est l’un des in-convénients lorsqu’on voyage seul. Mais elle a quand même prévu quelques distractions, au pro-gramme lecture de roman policier ! Elle emmène aussi le téléphone offert par son mari (pour rester en contact). Un Iphone 3GS, dont elle sait à peine se servir, même si son fils Marc lui a montré comment l’utiliser pour envoyer des sms et télécharger des applications. Dé-part Gare de Lyon pour Nîme, un trajet de trois heures, une éternité se dit elle. La première heure passe

très vite, absorbée par son roman elle ne voit pas le temps passer. Mais au bout d’une heure et de-mie de voyage, elle arrête sa lec-ture soucieuse de ne pas terminer le seul roman qu’elle a emporté. Son regard se pose alors sur TGV magazine offert par la SNCF. Après quelques pages elle se rend compte que ce magazine est un peu spé-cial, en effet il contient d’étranges codes-barres constitués de petits carrés noirs. D’un geste rapide elle retourne à la première page du magazine, où un petit encart de l’édito donne l’explication de ces symboles. Elle lit les premières phrases et comprend que grâce à son téléphone elle peut avoir accès à davantage de contenus. Curieuse elle décide de suivre le processus

d’installation. Elle prend l’Iphone au fond de son sac, lance l’Apple Store et après une recherche rapide elle tombe sur l’application décrite dans le journal : Lectar, qu’elle télé-charge gratuitement.Une fois l’application installée, elle suit la procédure pour lire le conte-nu associé à un article qui a retenu son attention : « Dans la cuisine de Michel Roth », célèbre chef du Ritz. Elle n’a pas de difficulté pour manipuler le téléphone car toutes les fonctionnalités listées dans le magazine apparaissent via un petit menu sur l’écran qu’elle dirige avec son pouce. Grâce à cette application Marie a put visionner directement sur le journal, la vidéo du chef préparant une recette au menu du Ritz. C’est aussi simple que devant sa télévi-sion. En branchant ces écouteurs elle peut écouter son interview en version audio. Subjuguée, elle dé-cide de découvrir un à un les dif-férents marqueurs présents dans le journal, de quoi l’occuper pendant le reste du voyage.


03_Lectarl’ application mobile> Concept de navigation

> Niveaux d’interactivité

> Charte fonctionnelle

> Zoning de l’interface

60

L’application mobile Concept de navigation

L’avènement du multimédia et du web met en échec la presse papier en proposant des contenus toujours plus interactifs, lu-diques et instantanés. Mais ces deux mondes ne sont pas in-compatibles bien au contraire. Notre application compatible sur toute une gamme de smartphone permettra de les réconcilier et ainsi de leur offrir un terrain où chacun va trouver sa place et se compléter.

Notre solution répond aux besoins des lecteurs de journaux : une application mobile facile à utiliser qui s’adapte aux conditions de lecture (en situation de mobilité) des consommateurs.

> Concept de navigation editar lectar

nectar

Concept de navigation

Pour que le contenu augmenté soit lisible et agréable à utiliser, il est impor-tant d’optimiser l’ergonomie et la navigation. Le but n’est pas de proposer un accès total au web et à sa multitude d’information, ni de concurrencer les applications mobile dédiées. La réalité augmentée apporte une nouvelle expérience de lecture grâce à une mise en page sur deux niveaux (texte / image, vidéo, son) et demande donc une navigation adaptée. L’ergono-mie et la navigation s’inspirent donc des webdocumentaires, qui sont eux mêmes les héritiers du cd-rom interactif. Cette conception du contenu a certains avantages : accessible sur de petits écrans, une information mieux hiérarchisée pour éviter la surabondance d’informations web pêle-mêle qui peut noyer le lecteur, et enfin, propose un échange bien plus riche avec l’utilisateur.

Rapide tour d’horizon

Le monde.fr propose des modules couplant textes, sons et vidéos donnant au spectateur un rôle dans son visionnage. Ainsi «Voyage au bout du Char-bon», «Le corps incarcérer», ou encore «Berlin 1989, Souvenirs du monde d’hier» permettent à l’internaute de prendre part au documentaire par le biais d’interactions simples. D’autres webdocumentaires comme «LaCitésDesMortes.net» transforme nt le documentaire en véritable Serious Game tant l’investigation est pous-sée. Le risque pour ce type de média est de perdre le visiteur avec un vi-sionnage trop complexe. Des navigations plus simples et plus accessibles existent comme le propose France 5.fr ou encore Arte avec «Prison Valley».

Notre démonstration va s’appliquer à montrer l’ensemble des fonctionnalités de cette application mobile. Nous pré-senterons des doubles pages thématiques qui accueilleront des contenus multimédias en réalité augmentée.


62

Le documentaire comme fil conducteur

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Les indices

Les persos

Le motel

L’accueil


> Niveaux d’interactivitéMuni de son magazine et de son smartphone, l’utilisateur pourra scanner les tags présents dans la mise en page du journal et avoir accès aux contenus multimédias en RA grâce à l’application Lectar.

L’application mobile Niveaux d’interactivité

64

L’utilisateur accède à des contenus multimédias dans le magazine en réalité augmentée directement grâce à l’application Lectar.

Avec un menu contextuel s’affichant au touché, il pourra accéder à des fonctionnalités de type play, stop, pause, etc...

Enfin le lecteur aura la possibilité d’accéder à l’ensemble de ces ré-seaux sociaux pour faire partager ses lectures à ses amis. On peut supposer un système de rating qui permettrait aux lecteurs d’apprécier la qualité d’un article.

1

3

2

L’application mobile Niveaux d’interactivité


L’application mobile Charte fonctionnelle

66

préload: l’application appel au serveur le médias lié au tag

lancement del’application

02

téléchargement de l’application

01

scanne du tag

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lecture du médias

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1

2

Login

zone champs textepré-modération

rating

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05

Play/pause

Mode plein écran

Infos

Liens

diaporama 05 son

Play/pause

Stop

Infos

Liens

05 3D

Infos

Liens

05

Mode plein écran

Infos

Liens

vidéo 05

Stop

Play/pause Mode plein écran

Charte fonctionnelle de LectAR

L’application mobile Charte fonctionnelle

L’ergonomiemobile

L’importance de l’ergonomie

L’ergonomie est une science destinée à adapter du mieux pos-sible l’outil (téléphone, ordinateur, fauteuil etc.) à son utilisateur. Dans le cas des téléphones portables, il est important que les applications soient simples d’utilisation et performantes à la fois.En effet une mauvaise ergonomie est un frein certain à l’utili-sation d’un matériel. Aucun utilisateur ne voudra avoir à cliquer plusieurs fois pour effectuer une action, ou à re-cliquer parce que l’interface aurait été mal conçue.

Cependant il n’est pas simple d’identifier les problèmes des uti-lisateurs. Il existe bien entendus de nombreux tests menés en laboratoire durant le développement des interfaces.

L’application mobile Ergonomie mobile

68

Le eye trakingA partir de tests de eye tracking il est donc possible d’analyser et de comprendre le comportement de l’utilisateur. Ces tests permettent de tester la pertinence du développement effectué.

Ainsi, il est possible de déterminer si l’agencement des icônes et divers boutons facilite l’expérience utilisateur. Le eye trac-king met aussi en avant le fait que les éléments devant être vus le sont ou pas. Au delà d’un simple test d’utilisabilité, le eye tracking permet une étude en profondeur du comportement des utilisateurs.

L’application mobile Ergonomie mobile

> Un systèmemulti-touch

Convaincu de l’intérêt de l’interface tactile et de la technologie multi-touch, nous avons étudié les possibilités offertes par le menu contextuel que nous proposons.

L’application mobile Un système multi-touch

70

Recherches gestuelle mobile

L’application mobile Un système multi-touch

> Le menu contextuel

En matière d’ergonomie, on peut s’interroger sur le fait que les interfaces tactiles multi-touch qui se généralisent sont réellement les plus adaptées aux équipements mobiles. Typiquement, il faut tenir son mobile au creux d’une main, ce qui limite l’usage des doigts de cette même main. Pourquoi ne pas revenir à une inter-face accessible directement depuis son pouce ?

C’est ce que nous proposons avec un menu contextuel.

Ce menu apparaît à l’écran et disparaît après un certain temps d’inactivité ou au toucher. Entièrement pensé pour être manié au pouce afin de tenir l’appareil et le magazine sans être encombré. De plus, ce menu conviendra aussi bien aux droitiers qu’aux gauchers .

L’application mobile Le menu contextuel

72

L’application mobile Le menu contextuel

> Zoning de l’interface mobile

L’application mobile Zoning de l’interface

74

Zoning du menu contextuel pour le Rating

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Zoning du menu contextuel pour la Vidéo

View principale

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double-tap: fermer l’application

i

i i

View détail

i infosInformations sur la vidéo de type:-nom-origine-format

x

i

play/Pause

Stop

Mode plein écran

Infos/crédits

Liens (url)

Légende

x2

Menu contextuel pour la vidéo


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Zoning du menu contextuel pour le Son

Play/Pause

Stop

Infos/crédits

Liens (url)

Légende

ii i

i

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x

yoursong - yourartiste 4:08

xInfosi

View détail

Menu contextuel pour le son


Zoning du menu contextuel pour la 3D

View principale

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Mode plein écran

Infos/crédits

Liens (url)

Légende

L’utilisateur peut tourner avec son appareil autour de l’objet pour découvrir toutes les faces

x

Menu contextuel pour la 3D


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Zoning du menu contextuel pour le Diaporama

View principale

View détail

x

Infosi

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i

Play/Pause

Mode plein écran

Infos/crédits

Liens (url)

Légende

i

x

Menu contextuel pour le diaporama


> Design des menus contextuels

Menu Rating

Menu Diaporama

L’application mobile Design de l’interface

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Menu Sons

Menu Vidéo

Menu Objet 3D

L’application mobile Design de l’interface

04_Identité visuelle> Charte graphique

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Identité visuelle Charte graphique

Nectar = Editar + Lectar

Lectar pour Lecteur des tags, Editar pour Edition des tags

Nectar est un pack composé d’Editar et de Lectar.Editar est un éditeur de tag, une sorte de boite «magique» transformant une image en un contenu augmenté qui prend vie avec l’application Lectar telle «une chenille rampante se métamorphosant en un papillon».Nectar est donc symbolisé par un papillon prenant son envol. Ses ailes sont composées de deux couleurs complémentaires le bleu et le vert (bleu pour Editar, vert pour Lectar) créant un tout, un nectar. Décliner le symbole du papillon pour les 3 logos (Nectar, Editar, Lectar) souligne l’idée d’unité et de complémentarité des logiciels.

> Logos du projet Nectar


nectar

LOGO NECTAR _ VARIANTES

LOGOTYPE HORIZONTAL

nectar

LOGOTYPE VERTICAL

LOGOTYPE ABRÉGÉ LOGOTYPE ABRÉGÉ BLANC

COULEURS LOGO APLATS

COULEURS LOGO DÉGRADÉ

RVB 65 166 42

CMJN 75 0 100 0

RVB 60 161 158

CMJN 73 15 39 0

RVB 74 158 210

CMJN 69 25 0 0

RVB 57 169 220

CMJN 70 15 0 0

OPACITÉ 70 %

+

+

LOGO NECTAR

84

editar lectar

nectar

POLICES UTILISÉES

DIN 1451 Std Mittelschrift

Helvetica Neue LT StdDINABOLD Regular

DINALIGHT Regular

DINAMED Regular

DINAREG Regular

TITRES

LOGO COULEUR TEXTE LOGO

NOIR 80 %

TEXTE COURANT

COULEUR TEXTE COURANT

NOIR 90 % NOIR 80 %


05_Concept de lecture> Un nouveau concept de lecture

> Prototype de démonstration

86

Concept de Lecture Un nouveau concept de lecture

> Un nouveau concept de lecturePour proposer une expérience de lecture plus immersive et plus interactive, nous allons mettre en place un deuxième langage au sein même de la mise en page du magazine. A la manière des webdocumentaires, il sera possible d’interagir avec le contenu. Certains contenus complémentaires auront entre eux une his-toire plus indépendante du support qui les accueille. De plus le lecteur pourra écrire sa propre histoire, participer à des son-dages, répondre à des quizz ou jouer tout simplement.

> Prototype de démonstrationUne mise en situation permet de mieux imaginer les différents scénarios de lecture qu’offre notre concept. Pour cela nous avons réalisé une maquette de démonstration. Les 3 thèmes abordés sont l’Afrique du Sud(1), la réhabilitation du quartier des Halles de Châtelet à Paris et la disparition des abeilles. Sous forme de dossiers nous avons démontré que notre concept peut s’adapter à des sujets et des domaines très divers et appor-ter avec les médias en réalité augmentée une immersion réelle dans les sujets abordés.

Concept de Lecture Prototype de démonstration

88

évasiondans l’air 10évasiondans l’air10

texte : CARINE CHENAUX

Foot in nation !A l’ère paradoxale de la mondialisation, l’évènement mobilisera, au même moment, davantage de monde que Noël, le Ramadan ou les Jeux Olympiques ! Zoom sur cet évenement mondial.

_Afrique du sud

«chose de la joie»

Première puissance écono-mique du continent, l’Afrique du Sud dispose d’infrastruc-tures modernes, d’institu-tions solides, d’une presse libre, d’une classe moyenne diversifiée et bien éduquée, d’élites industrielles et intel-lectuelles cosmopolites et, lorsqu’il le faut, de réserves insoupçonnées de fierté, de volontarisme et de dignité na-tionale que symbolise la fi-gure tutélaire de Nelson Man-

met ton makarabas !

«T’es pas un vrai supporter si t’as pas ton Makarbas» nous affirme Patrice suporter des Bafana-Bafana, l’équipe nationale. A première vue, un observateur peu attentif pourrait s’étonner de dé-couvrir des rangées de sup-porters portant lesmêmes casques pourvus de cornes. Ce serait ignorer que la maka-raba constitue l’une des plus anciennes traditions du foot-ball sud-africain. Le mot lui-même désignait à l’origine les travailleurs immigré qui, dans les années 60, peuplaient les townships. Beaucoup de ces nouveaux venus étaient déjà des passionnés de football. Les rivalités opposant les dif-férents clubs étant déjà très forte à l’époque, on raconte que la makaraba a été inven-tée afin de permettre aux fans de chaque équipe de se distin-guer parmi la foule…

le regard de Jessica Chilhout «En Afrique du Sud, le foot-ball n’est pas une religion. Mais c’est tout ce que la re-ligion devrait être». Avec sa série Amen, Jessica Hilltout capte à sa manière l’omni-présence du football sur le continent africain. Ballons, chaussures, buts, équipes et contexte, c’est toute la variété

selon vous,qui va gagner la coupe ?

Pour clore cette semaine spé-ciale Afrique du Sud les (vrais) fans ont sort i leurs tableaux, leurs stats, leurs

règles de trois, leurs bous-soles et surtout leurs vieille boule de cristal. Tout ça pour dire comment la com-pétition se déroulera. Mais vous, quelle est votre ver-sion ? Donnez votre avis sur la question et voyez ce qu’en disent les autres en scannant le tag associé ! Et si votre pronostic s’avers être per-tinant vous gagnerez peut-être l’un des 4 téléviseurs 3D Led Sonny. Pariez !

dela. Chaque jour qui passe, la ferveur monte. L’on entrevoit déjà les bruits des rues en juin et juillet, les couleurs, les gestes et les drapeaux, le bourdonnement des stades, l’éclat des bals et des réjouis-sances populaires. Cette « chose de la joie » qu’est le football arrive et nombreux sont ceux qui tiennent à être, de leur vivant, les témoins de ce grand moment d’allé-gresse. Ecoutez les chants et les éffluvent de joie des supporters !

du regard de la photographe qui croque ce sujet passion-nant, entre reportage et exi-gence plastique. Du Ghana à L’Afrique du Sud, Jessica Hilltout a réalisé plusieurs voyages pour cerner un su-jet traité avec une maîtrise remarquable. On y croise l’énergie et l’inventivité, la passion et la récupération, comme sur ces fameuses balles de fortune réalisées un peu partout avec des étoffes et du fil, dégageant une esthétique étonnante. Cette exposition complète la saison estivale et photo-graphique dans le cadre de l’Eté de la Photographie. Elle est accompagnée d’un ma-gnifique livre dont une partie des bénéfices de la vente de ce catalogue sera par ailleurs consacrée à l’achat de ballons neufs afin de les envoyer aux clubs africains visités par la photographe… N’hésitez pas !“Amen” au musée du jeu de Paume jusqu’au 19 septembre. Plus d’infos sur www.jeudepaume.com.

«Les supporters sud-africains s’expriment souvent à travers l’art et ont tout de suite adopté la makaraba : elle permet de laisser parler sa créativité», souligne Saddam Maake, l’un des fans sud-africains le plus connus du pays. Admirez ces casques originaux aux couleurs chatoyantes !

découvrez les stades en 3d_

29/06/10 A NOUS

?

dans l’air évasion

10

Afrique du sud :Cap sur Cape town !A partir du 11 juin, le monde entier n’aura d’yeux que pour l’Afrique du Sud, qui accueille la Coupe du monde de football. Belle occasion de s’envoler pour Cape Town ce pays métissé et vibrant… Bon voyage !

évasiondans l’air 10

sur le terrain des arts locauxA Cap town, la population locale produisent une va-riété remarquable d’objets d’art et d’artisanat, tra-vaillant sur les trottoirs et les marchés dans grandes villes jusque dans les en-claves rurales éloignées d’après toutes les formes de l’artisanat tradition-nel. En plus des matières habituelles comme les perles, les végétaux, le cuir, le tissu, l’argile, des objets sont faits en fil de téléphone, sacs en plas-tique, bidons d’essence et bouchons de bouteilles, même les étiquettes de produits alimentaires sont utilisées pour créer des bols en papier mâché coloré. Sans parler des affiches publicitaire pren-nant vie sur les murs… de véritables oeuvres d’art lo-cales. Quelques exemples en images …

une cuisine métissée pleinede saveurs

Dans le quartier de Bo-Kaap il est midi et les odeurs des plats mijo-tés par les locaux nous ouvrent l’appétit. Il faut savoir que la cuisine d’Afrique du Sud est un brassage culturel. Met-tez-y une pincée de cuisine hollandaise des Boers, de cuisines indienne, malai-sienne, française et bri-tannique, ajoutez l’apport des descendants des es-claves, des immigrants et des colons qui ont choisi de s’arrêter sur ce bout de terre et vous retrouve-rez ce goût insaisissable, particulier. Sans aucun doute, la plus grande in-fluence est celle de la Ma-laisie, dont le plat le plus

1_ Ces boites faites de perles et de plastique découpé il-lustre tout l’art sud africain de la récup. Inimitable ! Chez African Image.

2_ Affiche publicitaire peinte à même le mur. Pas mieux pour cibler la population !

3_Poupées Zoulous faites de perles et de tissus.

4_ Peinture de l’artiste YangoSanutara.

texte : CARINE CHENAUX

1_

3_

2_

4_

29/06/10 A NOUS

Bienvenue au cap ! _

renommé est la casserole «Bobotie», originaire de Java, une recette de déli-cieuses boulettes de curry d’agneau haché. La cui-sine sud-africaine, c’est

(aussi) un voyage. Mariam, cuisinière d’un petit res-taurant le plus apprécié du quartier nous inivite à gouter ses spécialitées. On prend alors place sur

la petite terasse au milieu des locaux qui ne parlent que de l’évenement à ve-nir : la coupe du monde de football. Paris et Commen-taires vont bon train, une

immerssion totale dans la vie d’un Afrikanais. Mettez vos écouteurs et vivez ce moment avec nous.

(1) Doubles pages sur l’Afrique du Sud.

Concept de Lecture Prototype de démonstration

06_Spécificitéstechniques> Lectar une nouvelle vision de la réalité augmentée

90

> Lectar, unenouvelle visionde la réalité augmentéeLa principale innovation technique du projet Nectar est l’utilisation de tags spécifiques entre le QRCode et le Marker ARToolkit. Cette fusion nous permet de tirer le meilleur parti de ces deux tags. Le QRCode stock des informations dans une base de données. Tandis que le tag ARToolkit utilise un traqueur de RA grâce à son contour noir et épais. L’idée est de compenser les défauts du second par les avantages du premier. Il nous est possible de créer des tags RA dynamiques et de ne pas redistribuer l’ensemble de l’application à chaque fois que l’on crée un nouveau marker. Le lien avec la base de données permet de dynamiser les contenus augmentés et de les administrer.

Editar et Servar_L’architecturedu projet

01_LesComposants

> Une solution technique

> La suite logicielle

> La cible visée

> Une solutiontechnique

96

Les composants Une solution technique

Prendre le meilleur des deux parties pour proposer une alterna-tive en situation de mobilité.

En effet ce projet arrive à un moment où la mobilité est au centre des préoccupations technologiques. L’accès à internet est de-venu un véritable défi socio-technique. Des propositions de loi sont actuellement en débat pour considérer l’accès à un inter-net comme un droit. Depuis l’avènement des plates-formes de blog, Facebook, Tweeter, Youtube, nous impose d’être connecté en permanence de peur de perdre le fil.Dans ce contexte, l’accès à internet en situation de mobilité est un grand défi technologique et commercial. Il faut proposer des contenus adaptés à cette situation et rendre la technologie la plus accessible possible. Notre projet propose donc une solu-tion hybride entre un contenu imprimé et un contenu multimédia provenant d’internet.

> Nectar :La suite logicielle

98

Les composants La suite logicielle

Créer des projets, des tags et son compte d'utilisateur

Ajouter des contenus augmentéUpload et exportation

Consulter les statistiques

nectar

editar

servar

lectar

Générer des indentifiants

Stocker du contenu

Communiquer de manière universelle

Distribuer du contenu

Associer un contenu à un identifiant

Detecter les marqueurs

Récupérer des contenus

Interagir avec ces contenus

Editar_le logiciel d’édition des tags de réalité augmentée

«Nous considérons avec attention les contraintes de temps du processus de réalisation, d’impression et de diffusion des journaux pour une utilisa-tion et une application optimale dans le quotidien.»

Un usage B to B :

En amont, Editar (édite) est un logiciel auteur, qui s’adresse aux groupes de presse qui souhaitent agrémenter leur contenu papier de médias « numé-riques » via la réalité augmentée. Nous mettons à leur disposition un logi-ciel permettant de créer facilement et rapidement des contenus en Réalité Augmentée au coeur de la chaîne de production des journaux et des maga-zines. Ce logiciel pourra convertir des médias (images) en contenus en RA. Réalisé sous Adobe Air, il sera connecté à un web serveur en RUBY. Air nous permet de créer des Rich Desktop Applications (RDA), de manière simplifiée grâce à des langages (ActionScript, Javascript, XHTML, CSS) habituellement utilisés sur le web pour la mise en place de Rich Internet Applications (RIA). Cette solution est entièrement compatible avec les sys-tèmes d’exploitation existants (Windows, Mac OSX, Unix).


100

Servar_le serveur de stockage des médias

ServAR, lui est au coeur du dispositif car son action est double : il permet de stocker les médias « augmentés » (vidéos, son, image 3D etc..) et de les diffuser via internet à des devices de type smartphone.

Un compte utilisateur :

Les utilisateurs du logiciel Editar, devront posséder un compte utilisateur afin de stocker dans un espace qui leur est propre l’ensemble des conte-nus affichés en réalité augmentée dans leur journal.Ce compte utilisateur sera relié à la fois au logiciel Editar installé sur leur bureau et à notre serveur.Le serveur est le point clé du projet et permet le bon fonctionnement de la suite logicielle, Il est chargé d’indexer l’ensemble des contenus augmentés et de les redistribuer lorsque le lecteur les demande. Le serveur traitera la totalité de ces tâches grâce au langage serveur RUBY qui permet une gestion optimale des comptes et des bases de données.


> la cible viséeLa cible « cliente » du logiciel

De type groupe de Presse, magazines spécialisés, journaux gratuits qui souhaitent enrichir leurs contenus et proposer une nouvelle expérience à leurs lecteurs.

45

Les composants La cible visée

02_Charte fonc-tionnelle et Zoning> Charte fonctionnelle

> Le zoning de l’interface générale

INSTALLATION02

02

INITIALISATION01

02

03

0404 04

LOGIN

Enregistrer la licenceRécupération des codes d’accéessi mot de passe oublié ou érroné

Editer les informationsrelatives à son compte

Ajouter un utilisateur au compte

Changer de licence

Acheter de l’espace serveursupplémentaire

Rechercher et ajouterde nouveaux plug-in

Se déconnecter

S’ identi�er

CONFIGURATIONdu compte utilisateur

INTERFACE généraledu logiciel

04 04

Editer le projet

Supprimer le projet

Ajouter un projet

Désynchroniser

Les actionsdes tags

Gérer les optionsdes tags

Gérer les options des médias

ajouter un tag Partager via lesréseaux sociaux

le copyright

Le patern

ajouter un tag àpartir d’une image

positionner le tagsur l’image

Partager via lesréseaux sociaux

le copyright

le positionnement

les liens

supprimer un tag

désynchroniser un tag

Les actionsd’un tag

editer un tag

exporter un tag

voir les statistiquesd’un tag

synchroniserdésynchroniser

GESTION des Projets GESTION des TagsCREATION des TagsCREATION des Projets04

SYNCHRONISER PREFERENCES

editar

La charte fonctionelle

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Editar La charte fonctionnelle

INSTALLATION02

02

INITIALISATION01

02

03

0404 04

LOGIN

Enregistrer la licenceRécupération des codes d’accéessi mot de passe oublié ou érroné

Editer les informationsrelatives à son compte

Ajouter un utilisateur au compte

Changer de licence

Acheter de l’espace serveursupplémentaire

Rechercher et ajouterde nouveaux plug-in

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S’ identi�er

CONFIGURATIONdu compte utilisateur

INTERFACE généraledu logiciel

04 04

Editer le projet

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le copyright

Le patern

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positionner le tagsur l’image

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le copyright

le positionnement

les liens

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désynchroniser un tag

Les actionsd’un tag

editer un tag

exporter un tag

voir les statistiquesd’un tag

synchroniserdésynchroniser

GESTION des Projets GESTION des TagsCREATION des TagsCREATION des Projets04

SYNCHRONISER PREFERENCES

editar

La charte fonctionelle


> Zoningde l’interface générale

Editar Le zoning

2. Interface générale

Fonctionnalités générales

Gestion des Projets

Gestion des Tags

Préférences

3

1

2

InterviewLorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Praesent vel turpis ut mauris aliquam cursus. Donec eu magna vitae ligula porta luctus. Nulla a orci vel mi ultrices malesuada ac vel dolor. Vivamus fringilla sagittis neque eu porttitor. Integer lipsum...

12/04/2010par Mathieu Desvé


Liste des projets Tags

A Nous Paris n°165Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Praesent vel turpis ut mauris aliquam cursus. Donec eu magna vitae ligula porta luctus. Nulla a...

12/04/2010 12/04/2010par Mathieu Desvé














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06/10/2009

A nous Paris Mathieu Desvé Administrateur

editar

Rechercher

Créer un tag SynchroniserCréer un Projet Préférences

Total: 5 projets et 121 tagsConnecté: Mathieu Desvé, Laura Moreau

3

1

2

4

4

2. Interface générale

Fonctionnalités générales

Gestion des Projets

Gestion des Tags

Préférences

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1

2




Liste des projets Tags


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07/03/2010


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A nous Paris Mathieu Desvé Administrateur

editar

Rechercher



3

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Editar Le zoning

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Praesent vel turpis ut mauris aliquam cursus. Donec eu magna vitae ligula porta luctus. Nulla a orci vel mi ultrices malesuada ac vel dolor. Vivamus fringilla sagittis neque eu porttitor. Integer lipsum...

par Mathieu Desvé

Liste des projets


12/04/2010


07/03/2010


22/02/2010


01/01/2010


08/12/2009


14/11/2009


06/10/2009





Tags














Total: 5 projets et 121 tags

3. Création des projets et des tags

/// Création des projets

A nous Paris

Mathieu Desvé Administrateur

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A Nous Paris n°165

Titre du projetValider

Description du projet

Auteur

Date de début

Date de �n

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A Nous Paris n°165

Titre du projet

Description du projet

Auteur

Mathieu Desvé

21/03/2010

12/04/2010

Date de début

Date de �n

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Praesent vel turpis ut mauris aliquam cursus. Donec eu magna vitae ligula porta luctus. Nulla a orci vel mi ultrices malesuada ac vel dolor. Vivamus fringilla sagittis neque eu porttitor. Integer posuere adipiscing commodo. In eu dui neque. Nulla mollis semper sodales.

Ce nom de projet est déjà utilisé

> Créer un projet

Editar Le zoning

> Créer un tagGestion du Tag / Con�guration des options

4. Gestion des projets et des tags

Tag n°4555

InterviewTitre

Description

Etat

A nous Paris

Mathieu Desvé

Validé

Taille: 1,99 Mo

ImageType

Projet

Auteur

Options

Médias

Déposer vos options ici

Déposer vos médias ici


Tag n°4555

InterviewTitre

Description

Etat

A nous Paris

Mathieu Desvé

Validé

Taille: 1,99 Mo

ImageType

Projet

Auteur

Options

Médias


Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Praesent vel turpis ut mauris aliquam cursus. Donec eu magna vitae ligula porta luctus. Nulla a orci vel mi ultrices malesuada ac vel dolor. Vivamus

Options du tag

Options du Média associé au tag

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Copyright

Patern

Image de support du tag

©

Lien vers une vidéo YouTube

Lien vers une vidéo Dailymotion

Lien vers une vidéo Vimeo

Lien vers une vidéo sur mon ordinateur

©


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Copyright

Positionnement

Lien

x: 0, y: 0, largeur: 7, hauteur: 4

Options de la vidéo

Partager sur Facebooklien: http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.youtube.c...

Partager sur Twitterlien: http://www.youtube.com/watch?v=awAVukD4NZY

CopyrightMathieu Desvé©

Vidéo YouTubeAuteur: Mathieu Desvé

InterviewTitre

Description

Image de support du taglien: /Users/mathieudesve/Documents/Nectar/A Nous Paris/Ima...

Tag n°4555

InterviewTitre

Description

Etat

A nous Paris

Mathieu Desvé

Validé

Taille: 1,99 Mo

ImageType

Projet

Auteur

Options

Médias


Editar Le zoning

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Gestion des PréférencesMon Compte

L’ Equipe ServAR Les Plugins

5. Gestion des Préférences




Tags















Liste des projets


12/04/2010

A Nous Paris n°164 05/04/2010

28/03/2010

21/03/2010

17/03/2010

A Nous Paris n°165

A Nous Paris n°166

A Nous Paris n°167

Cet espace pourrait servir à mettre des informations qui pourront guider l’utilisateur tout au long du logiciel

Infos/Astuces

Connecté: Mathieu Desvé, Laura Moreau

A nous Paris


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Préferences

ServARÉquipe Plugins

Prénom:Nom:

Email:Password:

Role:

MathieuDesvé

[email protected]•••••••••••••••

Administrateur

Mon compte

Editer

Déconnecter

actions

Préferences

Mon compte ServARÉquipe Plugins

Changer de Licence

Augmenter mes quotas

actions

Nom de licence:N° de licence:

Clé serveur:Clé client:

ANousParis********** *** ***** ***

**** **************** **** *** *** *** **

0

0

220121

1,68 Go 2 Go

Quota de tags

Quota d’espace de stockage

Préferences


Ajouter un utilisateur

actions

Mathieu Desvé[email protected]

Blaise [email protected]

[email protected] Heudes

Modérateur

Utilisateurs

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Rechercher des plugin

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PluginsGrafOramaLorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit.

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12/04/2010

A Nous Paris n°164 05/04/2010

28/03/2010

21/03/2010

17/03/2010

A Nous Paris n°165

A Nous Paris n°166

A Nous Paris n°167


Infos/Astuces


A nous Paris


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Email:Password:

Role:

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Administrateur

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220121

1,68 Go 2 Go

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> Gerer son compte

Editar Le zoning







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12/04/2010

A Nous Paris n°164 05/04/2010

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**** **************** **** *** *** *** **

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220121

1,68 Go 2 Go

Quota de tags


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Editar Le zoning

03_Dossier technique> Editar un logiciel user friendly

> Une vision modulaire et évolutive

> L’entrepôt Servar

> La suite ?

> Editar,un logiciel user friendly

Dossier technique Editar, un logiciel user friendly


116

Cette phase d’administration sera gérée par le logiciel Editar dont le rôle est la création et la gestion des tags RA. Il est conçu pour répondre aux contraintes temporelles des agences de presse et à leur workflow. Un simple drag&drop permet au tech-nicien en charge du maquettage d’associer un média à un tag. De plus, il a à sa disposition une bibliothèque de modules RA lui permettant par exemple d’afficher des vidéos ou un diaporama. Ces modules rendent ce logiciel très évolutif.

> Une visionmodulaire et évolutive


118

L’ensemble du développement du projet Nectar a été pensé sous forme de modules pour mieux répondre aux probléma-tiques des agences de presse. Chaque module représente un type de média en réalité augmentée : vidéos, audio, diaporama, objets 3D et un système de rating. Il est possible de configurer leurs contenus, leurs couleurs et tout un ensemble de données de positionnement (position du tag sur l’image qui l’accueille). L’ajout de modules se fait de manière intutive.

Après avoir crée un nouveau tag grâce à Editar, il faut procé-der à l’exportation du pdf afin de l’intégrer dans la maquette du journal ou du magazine puis de le synchroniser avec le contenu multimédia stocké dans le serveur Servar.


Dossier technique L’entrepôt servar

> L’entrepôt servarServar est un webservice permettant d’associer les données de configuration d’un tag à son identifiant. Il offre aussi, un es-pace de stockage conséquent pour héberger les médias vidéos, images etc. Il permet d’obtenir des informations sur la consulta-tion des tags par l’intermédiaire de statistiques. La sécurité est bien sûr un point important dans le développe-ment de ce serveur. Il doit donc permettre la gestion de comptes, des licences et contrôler les quotas.

Dossier technique La suite

> La suite

120

La structure modulaire mise en place permet donc d’augmenter les possibilités du projet. Pour booster celle-ci, un kit de déve-loppement (SDK) sera mis à disposition d’une communauté de développeurs, qui pourra par la suite distribuer gratuitement ou contre rémunération les modules développés.Un market place sera mis en place pour regrouper l’ensemble des contributions. Editar et Servar sont totalement indépendant du support de lec-ture (Lectar). L’objectif à terme est bien sûr de proposer cette nouvelle expérience de lecture sur l’ensemble des smartphones du marché. On a beaucoup parlé dans ce projet de la presse et de ces agences, mais notre technologie peut être développé dans d’autres secteurs d’activités. Un tag Nectar peut être imprimé d’une carte de visite à une affiche publicitaire. On peut donc étendre notre projet à l’ensemble des support imprimés.

Annexes

01_Outils de communica-tion> Le site web Nectar

> Le site mobile Lectar

124

Annexes Le site web Nectar

home page

page Editar page Lectar

> Le site web Nectar

> Le site mobile Lectar

Annexes Le site mobile Nectar

126

Annexes Le site mobile Nectar

02_Suivi de production> Retroplanning

> Positionnement et Business Model

> Budget

> Retroplanning

Gestion de projet

Graphisme

Développement

Annexes Suivi de production

130

Annexes Suivi de production

Quel positionnement ?

Nous pouvons nous positionner de trois manières différentes :

-En tant qu’éditeur : Celui-ci développe lui même ces produits dans l’intention de les revendre. Cette solution a pour avantage d’être très lucrative néan-moins elle demande de gros investissements à la création. Le risque réside dans l’adoption ou non du produit par de futurs clients.

-En tant que prestataire au service d’un client, il assure la mise en oeuvre de ces produits. Cela re-présente une prise de risque moindre par rapport au statut d’éditeur car l’acte est contractualisé. Cepen-dant cette activité génère moins de profits.

-Il est aussi possible d’adopter un modèle ouvert de type «open-source». Une solution proche du statut d’éditeur mais comporte moins de risques financier car le développement des produits est réalisé par une communauté de «bénévoles» . Les inconvénients sont que l’on ne maîtrise ni les temps de développe-ment ni l’orientation futur du produit.

Business modelEn vue de ces analyses nous avons optés pour une solution à mi-chemin entre ces trois options.

Le but premier du projet Nectar est de populariser la réalité augmentée. C’est pour cela que l’applica-tion Lectar sera gratuite et disponible au plus grand nombre sur le maximum de plateformes possibles. C’est la gratuité, l’adhésion du public et le bouche à oreille qui fera le succès du projet.

En ce qui concerne le logiciel Editar à destination des agences, notre stratégie est d’attirer les agences de Presse grâce à un produit d’appel gratuit : le logiciel et un compte gratuit pour faire ces premiers tests dans une limite de 4 tags, 50 Mo et 100 visionnages par jour.

Au delà de ces quotas, la diffusion sera payante. L’essai concluant, Le client pourra alors bénéficier d’offres pour augmenter l’espace de stockage. Ce faisant, le compte basic sera converti en un compte Premium payant à l’acte.

> Positionnement et Business model

Annexes Positionnement et business model

132

Les offres Nectar

50€ le tags0,1€ le visionnage10€ le Mo d’espace de stockage

Les packsDes packs seront proposés pour réduire les coûts :

Pack «Découverte» : 10 tags, 10 000 visionages et 100 Mo pour 2 000 €Pack «Professionnel» : 50 tags, 100 000 visionages et 1 Go pour 7 500 €Pack «Expert» : 150 tags, 500 000 visionages et 5 Go pour 15 000 €

Nous souhaitons aussi offrir aux agences partenaires d’étoffer l’offre et les possibilités de notre technologie. Nous mettons à leur disposition des modules de Réalité augmentée qui leur permettront de créer des tags plus complets et plus adaptés à leurs besoins. Une communauté se créra autour de ce service participant à la fois à la mise à jour constante de notre technologie, à avoir un aperçu concret des fonctionnalités et des possibi-lités qui ensuite seront éventuellement prises en compte dans une version améliorée du logiciel afin d’être toujours plus proche des besoins du client.

Annexes Positionnement et business model

> Budget du prototype

Annexes Budget du prototype

134

Le budget du prototype est composé par domaines d’interventions. Nous pourrons faire appel à des «bussiness angels», des mécènes pour financer le projet.

Annexes Budget du prototype

03_Biblio etwebographie

136

> Bibliographie

Gutenberg 2.0 : le Futur du Livre de Lorenzo Soccavo

La fin des journaux et l’avenir de l’information de Bernard Poulet

> WebographieL’acrimed, observatoire des médiashttp://www.acrimed.org/article3207.html#nb1

Tns Sofres: leader français des études marketing et d’opinionhttp://www.tns-sofres.com/_assets/files/2010.02.16-internetpdfhttp://www.tns-sofres.com/points-de-vue/5DE958ED2834407F9F6F28E06A90B8FC.aspx

L’impact de l’iPad sur l’édition. Avec Frédéric Kaplan, chercheur à l’EPFL et Virginie Clayssen, directrice adjointe du développement numérique.http://podcast.bfmradio.fr/channel9/20100228_atelier_1.mp3

Dossier publié par Science & Vie concernant la lecture à l’âge du numérique. Prenant en compte l’évolution que connaît aujourd’hui la pratique ancestrale de la lecture, et l’apparition des écrans dans le paysage de notre quotidien, l’article présente un tour d’horizon assez honnête de ce que peut être la nouvelle génération de lecteurs et de lecture.http://pvevent1.immanens.com/fr/pvPage2.asp?skin=Sev&pa=1&puc=002232&nu=1

Annexes Biblio et Webographie

> L’équipe Nectar

Blaise / graphiste Jimmy / dévelloppeur Mathieu / dévelloppeur Audrey / graphiste Laura / graphiste

> Remerciements

Nous tenons à remercier tous les intervenants qui nous aidés à la réalisation de ce projet : - Julien SCHICKEL - Juan EST-PUNIAN - Etienne AMATO - Etienne PERENY - Frank BARBIAN - Gérard LABADY - Catherine NYEKI - ainsi que toute la promo CDNL 2010 et tous ceux que l’on aurait malencontreusement oublié.

L’équipe Nectar.

138

www.projet-nectar.org