edification de la personnalité et communication interpersonnelle
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L’édification de la personnalité et la communication
Généralités
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1mercredi 13 février 2013
Introduction
La réussite, sur le plan individuel, privé ou social, repose sur une réelle maîtrise de soi qu’on ne saurait acquérir sans la bonne connaissance de soi.
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2mercredi 13 février 2013
Plan
• La notion d’édification de la personnalité.
• Langage et concept de soi
• Concept de soi et communication interpersonnelle : la fenêtre de Johary
• Approche de quelques théories
• La perception des images
• Les socio-styles
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La notion d’édification de la personnalité
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Définition
• L’édification de la personnalité est l’ensemble des éléments acquis qui constituent un individu.
• Ce sont donc les facteurs conscients ou inconscients qui structurent l’individu ou le groupe
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Langage & concept de soi
☞ De 10 à 18 mois : imitation
☞ Entre 3 et 5 ans : jouer des rôles de façon
signifiante : développement du langage
☞ Les idées stéréotypes que les enfants
entendent et répètent ont une grande importance dans la construction du soi.
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L’image de soi est révélée par des comportements
verbaux.
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Concept de soi et communication interpersonnelle
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« Ce n’est pas dans je ne sais quelle retraite que nous nous découvrirons,
c’est sur la route, dans la ville, au milieu des foules, chose parmi les choses,
homme parmi les hommes» Jean-Paul Sartre
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Qui sommes-nous?
☞ Le concept de soi s’acquiert par la
communication interpersonnelle
☞ L’image de nous même est le résultat de
la manière dont nous croyons que notre personne apparaît aux autres
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La fenêtre de Johari
• Petite explication en images
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Récapitulons 1
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Récapitulons 2
‣ Le secteur libre : Connu de soi et des autres, il représente le «soi» public.
‣ Le secteur aveugle : Connu des autres et non de soi : timbre de voix, gestuelle, mauvaise haleine...
‣ Le secteur caché : Connu de soi et inconnu des autres : intimité, sentiments, motivations...
‣ Le secteur inconnu : Inconnu de soi et des autres : l’inconscient.
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Approche de quelques théories de
communication interpersonnelle
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• Berne , Grindler ou Bander pour les notions de scénario de vie, de carte mentale ou de modèle du monde.
• Dans un même ordre d’idée : l’école freudienne.
• Le psychologue Henri Gandrez parle de «l’arbre de vie»
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Les états du Moi selon Berne ou L’analyse
transactionnelle ( AT)
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Postulat
Nous fonctionnons suivant les trois états de l’homme, ou trois états du Moi « conscient » qui définissent notre personnalité.
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■ Le Parent ☞ pensées, émotions, et comportements d'une personne qu'elle a fait siens par imitation de figures parentales ou éducatives marquantes.
■LʼAdulte ☞ émotions, pensées et comportements qui sont congruents avec la réalité de lʼici et maintenant.
■LʼEnfant ☞ pensées, émotions, et comportements qui sont une réminiscence de notre propre enfance.
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Les 3 états de MOI
PARENT Domaine de l'appris
ADULTE Domaine du pensé
ENFANT Domaine du senti
P
A
E
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Le parent
Enregistrement des attitudes, perceptions et comportements appris par l’individu de sources extérieures, tels qui les a perçus de personnes importantes dans sa vie : père, mère, instituteur, patron, tuteur, éducateur…
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L’adulte
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L’Adulte
Orienté vers la réalité. Collecte, enregistrement et utilisation des informations de toutes les origines : interne (venant des autres états du MOI), externes (venant de l’environnement)
Rationnel et objectif : utilisation des informations pour énoncer les faits, penser, analyser et faire synthèse.
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L’enfant
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24mercredi 13 février 2013
Domaine des sensations et des
émotions : besoins, sentiments, sensations
et pulsions y sont stockés.
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Comment ça marche?
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26mercredi 13 février 2013
Chaque fois que vous agissez, pensez ou sentez comme vous avez vu vos parents le faire, vous êtes dans votre PARENT
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Chaque fois que vous travaillez sur la réalité, que vous rassemblez des faits et que vous les analysez, vous êtes dans votre ADULTE
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28mercredi 13 février 2013
Chaque fois que vous ressentez et agissez comme vous le faisiez quand vous étiez enfant, vous êtes dans votre ENFANT
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Etats du MOI et comportements
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Le PARENT : Nourrit, critique, restreint, juge, blâme, encourage, aide.
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L’ADULTE : Traite de l’information, prend des décisions objectives, organise,
pense, puis agit, planifie, résout des problèmes, estime les risques et les
probabilités, reste en contact direct avec la réalité.
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L’ENFANT : Invente, exprime sa curiosité, agit de façon impulsive et égoïste. Aime, imagine, se rebelle, se
plaint.
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Ainsi, à chaque instant nous abordons la réalité avec trois possibilités :
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☞ plaquer des modèles : être dans le
Parent
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☞ reproduire des vécus personnels
d’autrefois : être dans l’Enfant
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☞ prendre la réalité telle qu’elle est - et
non pas telle que nous voudrions qu’elle soit - avec ce que nous sommes et non ce que nous avons été ou ce que nous voudrions être : être dans l’Adulte.
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Objectif ?
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Etablir des relations équilibrées où chacun
peut apporter et s’enrichir
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La PNL
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■ Programmation : Depuis notre naissance, nous créons et développons inconsciemment des automatismes comportementaux et dans un contexte donné nous reproduisons des comportements répétitifs.
■Neuro :Notre comportement repose sur une perception et une programmation neuronale.
■Linguistique :Nous exprimons par la parole et par nos gestes, notre personnalité.
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La PNL fait partie des approches comportementalistes des rapports humains.
Elle vise à améliorer la communication personnelle et interpersonnelle.
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Théoriciens et fondateurs
‣ Bandler, 1949 - Mathématicien et informaticien formé à la philosophie - Un cerveau pour changer, 1990, InterEditions
‣ Grinder, 1940 - Linguiste et professeur à l’université de Santa-Cruz.
‣ Dilts, 1955 - Assistant de Grindler et Bandler.
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Postulat‣ «La carte n’est pas le territoire qu’elle
représente»
‣ «Le rapport consiste à rencontrer l’autre dans son modèle du monde»
‣ «Tout comportement est généré par une intention positive»
‣ «Il n’est pas possible de ne pas communiquer»
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Postulat
‣ « Il n’y a pas d’échec, seulement de l’information en retour»
‣ «Le sens de la communication réside dans la réponse reçue»
‣ «Chaque personne possède en elle les ressources pour réaliser ses propres changements»
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Et donc ?
• Les différents édifications de personnalité font que chacun d’entre nous croit avoir raison.
• Prouver à un tel qu’il a tort relève souvent de l’impossible :
L’autre est l’autre et moi je suis moi !
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De la perception du monde...
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Les deux visages
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Les socio-styles
• On appelle socio-style l’édification de personnalité d’un groupes.
• Le groupe est composé d’individus qui ont des expériences en commun.
• On peut dire que le groupe a une culture et un scénario communs, comme un individu à part entière.
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• Pour apprendre à communiquer il faut accepter de considérer l’autre tel qu’il est, avec son passé, son bagage et son être.
• Communiquer, c’est savoir se remettre en question perpétuellement .. et ce n’est pas si simple...
Conclusion
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La communication interpersonnelle
Généralités Image :Guacamole Goalie , Flickr.com
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Introduction
Ce cours a pour objectif de définir les éléments de base de la communication interpersonnelle, de comprendre son processus et de déterminer les obstacles liés à celle-ci.
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Plan‣ La communication
‣ Les acteurs de la communication
‣ L’objet de la communication
‣ Les obstacles de la communication
‣ L’écoute
‣ Le retour ou feed-back
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La communication
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Définition
‣ échanger des idées
‣ informer et s’informer
‣manifester un sentiment
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Formes
La communication peut prendre multiples formes :
‣ écrite
‣ orale
‣ audiovisuelle & gestuelle: le para-langage
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Schéma
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Les acteurs de la communication
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Deux acteurs
• L’émetteur
• Le récepteur
Image : communication breakdown, Stefan, Flickr.com60
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L’émetteur
L’émetteur est la personne qui est à
l’origine du processus, qui en a
l’initiative. Il choisit : le codage le plus approprié au moment le plus approprié.
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Le récepteur
‣ reçoit l’information dans sa globalité
‣ décode l’information immédiatement
‣ répond à cette information selon les étapes suivantes :
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L’objet de la communication
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L’objet de la communication comprend :
‣ le message
‣ le contenu
‣ le contenant
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Le message
Il est défini par :
‣ un contenu ou une séquence d’informations.
‣ un contenant ou un canal choisi dans le but d’exprimer au mieux l’idée de l’émetteur.
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66mercredi 13 février 2013
Le contenu
L’émetteur doit faire preuve de lisibilité afin de faciliter la réception et la compréhension du message chez le destinataire.
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Le contenant
Le contenu est étroitement lié au
contenant : à la manière dont le message est transmis.
Grrrr!
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68mercredi 13 février 2013
L’altération
La pensée et les mots ou gestes utilisés pour exprimer le message le faire partager sont en état de perpétuelle mouvance. La circulation des idées est soumise à une perte de contenu et à des distorsions.
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Illustration du phénomène
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90%
d’érosion
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Dans cette estimation , il n’est pas tenu compte
des oublis, de l’incompréhension et
des attitudes de rejet...
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Les obstacles à la communication
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Nature
Les obstacles à la communication tiennent à la nature humaine :
☛ chacun veut avoir raison et fait de sa vérité une vérité universelle.
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Or, communiquer c’est :
‣ s’ouvrir à l’autre
‣ l’écouter
‣ le comprendre
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75mercredi 13 février 2013
Recherche de l’harmonie
La recherche de l’harmonie entre l’émetteur et le récepteur affecte :
‣ le message
‣ le codage/décodage
‣ le canal
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76mercredi 13 février 2013
Les obstacles liés au message
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77mercredi 13 février 2013
Le contenu
‣ un contenu inadapté à la cible
‣ un contenu compliqué ou trop succinct
‣ un vocabulaire trop ou pas assez technique
‣ un vocabulaire inapproprié
‣ une syntaxe incertaine
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Le ton
‣ une mauvaise intonation
‣ une articulation défectueuse
‣ un ton péremptoire
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Le contexte
‣ ambiance et environnement défectueux
‣ les bruits parasites au cours du face à face.
‣ les interférences
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80mercredi 13 février 2013
Obstacles liés à la personne
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81mercredi 13 février 2013
‣ La préparation insuffisante de l’émetteur
‣ les a priori et les préjugés
‣ la distraction, le retrait sur soi
‣ l’agressivité, le stress, l’angoisse
‣ la crainte du changement
‣ l’appréhension, la timidité et la méfiance
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82mercredi 13 février 2013
Mais surtout, l’écoute...
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83mercredi 13 février 2013
Nous pensons que...
‣ Nos paroles sont comprises et mémorisées instantanément...
‣ Entendre signifie Ecouter
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Or
• Entendre est un processus naturel
• Ecouter révèle d’une volonté, c’est un processus cognitif dont nous avons le contrôle
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85mercredi 13 février 2013
Pourquoi alors décidons-nous souvent de bloquer l’écoute ?
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86mercredi 13 février 2013
Parce que...
‣ Nous pensons beaucoup plus vite que nous parlons
‣ Notre cerveau pense à grande vitesse :
800 mots à la minute
‣ Un discours moyen contient 125 mots à la minute
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87mercredi 13 février 2013
Ainsi peut-on distinguer ...
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88mercredi 13 février 2013
L’écoute superficielle ou fortuite
‣ Refus d’apprendre ou de comprendre
‣ Ecoute distraite d’un cours tout en passant à ce qu’on va faire 89
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L’écoute attentive
‣ Implication directe à ce qui est dit
‣ Annonce d’une catastrophe, d’un changement d’emploi du temps ...
‣ Ecoute axée sur le contenu = écoute intelligente
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90mercredi 13 février 2013
L’écoute active ou emphatique
‣ Attitude de vie, relation fondamentale dans les relations interpersonnelles
‣ Implique le respect de l’interlocuteur auquel nous accordons notre attention, notre temps, notre énergie.
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Se mettre à la place de l’autre, se projeter en
subodorant ses émotions et ses
opinions.
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La bonne réception
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93mercredi 13 février 2013
Pour vivre pleinement le
moment présent
EN
Ecoutant sans penser à notre
réponse
S’abstenant de juger avant d’avoir bien
écouté
Se taisant tout simplement en évitant
le «moi aussi, je...»
Faisant abstraction des bruits
Intérieurs
Extérieurs
Afin de se concentrer uniquement sur le message et l’écouter à 3
niveaux
Verbal para-verbal Non-verbal
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94mercredi 13 février 2013
La compréhensionLa compréhension
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Dans ce processus
‣ On sollicite le QI : le quotient intellectuel
‣On sollicite le QE : le quotient émotionnel
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96mercredi 13 février 2013
Utiliser son QI en ...
‣ faisant des connexions entre les anciennes et nouvelles informations.
‣ précédant la pensée de son interlocuteur.
‣ posant des questions pour mieux comprendre.
‣ reformulant les dires de l’interlocuteur pour contrôler la bonne compréhension.
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97mercredi 13 février 2013
Utiliser son QE en...
‣ en essayant de se mettre à la place de l’interlocuteur.
‣ l’encourageant à exprimer ses idées, ses sentiments, ses opinions.
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98mercredi 13 février 2013
L’évaluation
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99mercredi 13 février 2013
Qu’évalue-t-on?Que juge-t-on?
Le contenu général du message après l’avoir
bien compris.
L’intention, avouée ou cachée avec laquelle il a
été exprimé.
Les faits qu’il met en évidence.
Les partis pris, les stéréotypes, les
motivations personnelles ou collectives qui se
dégagent.
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100mercredi 13 février 2013
Comment
juge-t
-on ?
En faisant la différence
ENTRE
☛ Les faits☛ Les opinions☛ La réalité objective
ET☛ Nos déductions☛ Nos interprétations☛ Notre subjectivité
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101mercredi 13 février 2013
La réponse... Fin d’un processus et début d’un
autre...
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102mercredi 13 février 2013
La rétroaction
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103mercredi 13 février 2013
Les métamessages
‣ Facilite le processus de rétroaction
‣ Le conditionnel, l’interrogation ou l’impératif
‣ Attaquer un sujet sans aucun préambule induit un sentiment d’inconfort cognitif
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104mercredi 13 février 2013
Le feed-back
‣ Evoquer uniquement les comportements
‣ Utiliser des adverbes
‣ Eviter les adjectifs liés aux défauts
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105mercredi 13 février 2013
Ainsi ...
‣ Ne dites pas : « Mais, voilà ! Tu es trop prudent pour réussir en affaires»
‣ Dites : «Tu n’as pas voulu prendre de risques et tu es passé à côté. Tu as peut-être agi trop prudemment»
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106mercredi 13 février 2013
Ici & maintenant
‣ Se concentrer sur ce qui est actuel et concret
‣ Evite les inférences
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107mercredi 13 février 2013
Décrire plutôt que juger
‣ La description est neutre, objective et concrète.
‣ Elle induit un feed-back positif.
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108mercredi 13 février 2013
Exemple
La situation :
Marie, 23 ans veut se marier avec un garçon de 18 ans. Sa mère compte l’en dissuader car elle désapprouve sa fille et de surcroît, trouve le fiancé très laid.
Marie Le fiancé109
109mercredi 13 février 2013
Que lui dira -t-elle ?
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110mercredi 13 février 2013
1. «Ce garçon que tu veux épouser n’a pas fini ses études, il vient d’un milieux rural, il a 5 ans de moins que toi et en plus il est franchement pas très beau»
2. « Pourquoi tu veux te marier avec ce gamin, c’est un bouseux qui n’a rien fait de sa vie. Et puis t’as vu sa tête ??»
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111mercredi 13 février 2013
Discuter plutôt que conseiller
‣ La discussion place les deux interlocuteurs sur un plan d’égalité. Chacun apporte sa contribution.
‣ Eviter le YAKA... Aider à s’exprimer, reformuler, échanger.
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112mercredi 13 février 2013
IDCWYT✳
✳ I Don’t Care What You Think
‣ Evaluer la qualité de feed-back que chacun peut donner ou recevoir.
‣ Pour une communication efficace, ne pas trop parler pour ne pas annuler l’effet suscité.
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113mercredi 13 février 2013
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114mercredi 13 février 2013
‣ Il y a autant de communications qu’il existe d’êtres humains
‣ autant de problèmes liés à celle-ci qu’il existe de problèmes d’êtres humains.
‣ La seule chose envisageable c’est l’amélioration de celle-ci par la compréhension de ses mécanismes et l’acceptation de l’autre en tant qu’individu différent de soi.
Conclusion
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115mercredi 13 février 2013