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ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT "Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance"B.Fuller De Adams à Cornille 1/2 Retour au Menu Pour retrouver des sites relatifs à ce dossier, on se reportera utilement à notre Catalogue de Références dans la partie LIENS INTERNET POUR RECHERCHER UN BREVET Ce lien, http://ec.espacenet.com/espacenet/ep/fr/e_net.htm vous permet d'accéder aux formulaires de recherches du site " espacenet ", 30 Millions de documents disponibles; le N° de brevet et le nom et prénom de l'inventeur seront dans la plupart des cas suffisants pour obtenir vos renseignements. ADAMS Robert 46 Landing Road, Whakatane, Bay of Plenty, Nouvelle Zélande Robert Adams, ancien président de la section néo - zélandaise de l’Institut des Ingénieurs en Electricité et Electronique est l’inventeur du " Adams Pulsed Electric Generator " (APMG) qui utilise des aimants permanents. Son générateur a un rendement électrique de 690 % et mécanique de 620 %, en fonctionnant à température ambiante. Son invention a été censurée pendant plus de 20 ans. Adams fait ses premiers pas en radio en construisant son propre poste à galène àl’âge de neuf ans, plus tard il fabriquera des radios à batteries et des amplificateurs de puissance. A 14 ans, il quitte l’école, et est, jusqu'à 19 ans apprenti dans une compagnie de radio à Hastings. Ensuite, il travaille à Auckland. A 27 ans, il est ingénieur concepteur. Il fonde Radio I en Nouvelle Zélande et devient ensuite un spécialiste de premier plan en radiodiffusion. Il a conçu et réalisé du matériel de communication pour Air New-Zeland. Déçu par le développement industriel dans toute la Nouvelle Zélande, et en mauvaise santé, il est venu s’installer dans une petite ville Generated by Foxit PDF Creator © Foxit Software http://www.foxitsoftware.com For evaluation only.

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ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT

"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance"B.Fuller

De Adams à Cornille 1/2

Retour au Menu

Pour retrouver des sites relatifs à ce dossier, on se reportera utilement à notre Catalogue de Références dans la partie LIENS INTERNET

POUR RECHERCHER UN BREVET

Ce lien, http://ec.espacenet.com/espacenet/ep/fr/e_net.htm vous permet d'accéder aux formulaires de recherches du site " espacenet

", 30 Millions de documents disponibles; le N° de brevet et le nom et prénom de l'inventeur seront dans la plupart des cas suffisants pour

obtenir vos renseignements.

ADAMS Robert 46 Landing Road, Whakatane, Bay of Plenty, Nouvelle Zélande

Robert Adams, ancien président de la section néo - zélandaise de l’Institut des Ingénieurs en Electricité et

Electronique est l’inventeur du " Adams Pulsed Electric Generator " (APMG) qui utilise des aimants

permanents. Son générateur a un rendement électrique de 690 % et mécanique de 620 %, en fonctionnant à

température ambiante. Son invention a été censurée pendant plus de 20 ans.

Adams fait ses premiers pas en radio en construisant son propre poste à galène àl’âge de neuf ans, plus tard il fabriquera des radios à batteries et des amplificateurs de puissance. A 14 ans, il quitte l’école, et est, jusqu'à 19 ans apprenti dans une compagnie de radio à Hastings. Ensuite, il travaille à Auckland. A 27 ans, il est ingénieur concepteur. Il fonde Radio I en Nouvelle Zélande et devient ensuite un spécialiste de premier plan en radiodiffusion. Il a conçu et réalisé du matériel de communication pour Air New-Zeland. Déçu par le développement industriel dans toute la Nouvelle Zélande, et en mauvaise santé, il est venu s’installer dans une petite ville

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tranquille du district de Rotorua. C’est là qu’il décide, à 68 ans de publier un manuel de construction contenant les procédures d’essais, les détails de son invention et les instructions pour construire son générateur. Adams espère que la divulgation du APMG donnera un élan et des satisfactions à tous ceux que les appareils à Energie Libre intéressent. En 1996, Robert Adams a 75 ans.....Sa recherche pour donner au monde l’Energie Libre lui a coûté très cher, comme à d’autres chercheurs...On a placé sur sa route d’innombrables et insurmontables difficultés...Il a survécu à un attentat perpétré par une personne des services secrets néo-zélandais, et de la CIA. Son invention a été étouffée par l’ancien premier ministre de Nouvelle Zélande Robert Muldoon, et par Lucas Industries, une " Géante " anglaise de l’électronique. Dans les années 70, un petit groupe d’ingénieurs s’est intéressé au APMG. Parmi eux, certains ont fait partie de Air New Zélande, comme Bruce Cathie qui y était alors capitaine. Adams, qui suivait les travaux de Cathie depuis de nombreuses années, contacta ce dernier en 1981 dans l’intention de creuser avec lui les théories en rapport avec l’énigme des Ovnis. Au début de la conversation, Adams fut assez discret, prudent pour parler de sa machine. Bruce Cathie qui est devenu son ami dit de lui >: " Il est tenace, il croit en lui et en ses idées, il s’attaque aux problèmes avec énergie. Il ne supporte pas plus les imbéciles que les simulateurs. Il a un franc parler, mais heureusement atténué par son sens de l’humour. Il a de profondes idées religieuses et beaucoup d’attentions pour ses amis. C’est aussi un mélomane ". Bruce Cathie avec ses équations harmoniques participe aux études de certains appareils sur lesquels ils travaillent tous deux sans en révéler bien sûr la totalité des secrets. C’est en 1978 que Adams a découvert que, non seulement les brevets étaient refusés aux inventeurs de machines à Energie Libre, mais que leurs inventions étaient classées " Réservé aux militaires ", ce qui est bien sûr, une disposition internationale. Adams a raconté sa vie une fois que Rob Muldoon qui l'avait ridiculisé et lui avait causé de très graves problèmes (financiers, de santé, et une immense frustration) a été décédé. Les déboires de Robert Adams avec Robert Muldoon A Tamaki, Adams avait rencontré Muldoon qui l’avait recommandé aux Autorités du Développement des Inventions. En toute bonne foi Adams les a dûment contactées, et c’est alors que toute l’histoire a débuté. Ces autorités le " refilèrent " à la DSIR qui travaillait assidûment sur ses propres systèmes d’énergie et qui aidait le Gouvernement avec de gros projets. Le temps passait, la DSIR s’est moquée de lui pendant plusieurs mois en repoussant les essais pour des motifs fallacieux. A la même époque, Rob Muldoon, se nomma lui-même Ministre en Charge du SIS, département relié dans le monde entier à la CIA, l’ASIO, le FBI et Interpol ! Adams a su que son téléphone était sur écoute, que son courrier était intercepté, et qu’il était lui-même sous surveillance. Et curieusement les commandes de matériel pour une plus grosse machine n’aboutissaient pas, son correspondant dans l'entreprise n’étant justement plus en fonction… Plusieurs mois plus tard, la DSIR fit une évaluation de la machine avec un ingénieur en mécanique, n’ayant aucune qualification en électricité et électronique. Evaluation DSIR= 5,8 % d’efficacité. Evaluation Lucas Industries = 100 % d’efficacité. D’autres ingénieurs indépendants, sérieux, y compris l’ex-ingénieur de la DSIR ont obtenu des résultats allant de 96,93 % à 100 % d’efficacité ! Le chef du département ingénierie électrique du district, invité à voir l’appareil dans son labo, admit la réalité des formes typiques d’onde d’entrée et de sortie affichées sur un oscilloscope à double trace, mais dit que cela ne pouvait pas se faire. Quelques extraits des plans et schémas des moteurs - générateurs de Adams

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Il faut beaucoup de patience et de temps pour se procurer les matériaux convenables, les usiner, les assembler. La précision est capitale. Attention, dit Adams, ces machines à vitesse élevée et/ou à forte puissance de sortie sont dangereuses, particulièrement si l’on approche les mains du rotor en marche. Comme il est dit dans le chapitre construction, une vitesse de 2500 tours/minute n’est pas un problème avec seulement 2 pôles distants de 180°... On peut obtenir les plans et explications des générateurs de Adams auprès de Nexus, PO Box 30 Mappleton QLD 4560 Australie (Nexus Magazine) ou Nexus, 55 Queens Road E. Grinstead, W Sussex RH 19 18 G. A. (Angleterre) Tél : 44 (0) 1342 32 2854 Fax : 44 (0) 1342 32 4574 ou PO Box 372 A. J. Dronten 8250 The Netherlands. Un modèle de moteur générateur perfectionné de Adams, le MARK – II Un pôle sud rotor et un stator à circuit ouvert, en approche sont mutuellement attirés. Quand le bord d’attaque d’un pôle sud atteint le bord d’un stator il apparaît, au moment où il commence à se déplacer vers l’intérieur, que la polarité sud du pôle du rotor est

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exponentiellement retournée vers le nord. De plus, le stator devient un aimant temporaire, qui devient aussi exponentiellement un pôle nord. Pendant ce temps, l’aimant du rotor est encore attiré vers le point zéro du stator et, quand le bord d’attaque du rotor se déplace du point zéro de la zone de la seconde moitié du stator on voit que la force de la polarité nord augmente exponentiellement dans cette zone, et, en devenant parallèle, c’est à dire en atteignant la position du face à face, le renversement de polarité magnétique est alors complet, et les pôles de l’aimant et du stator sont tous deux de polarité nord. C’est maintenant dans cette zone qu’existe l’état d’antigravité et de temps négatif, avec deux aimants de pôles semblables s’attirant l’un l’autre et créant une force gravitationnelle répulsive à l’achèvement du cycle de renversement de polarité magnétique. Pour avoir les meilleurs résultats de 100 % à quatre chiffres et au-delà en partant d’un MARK II, il faut appliquer les équations de résonance harmonique pour calculer tous les paramètres comprenant les vitesses et la fréquence. Avec les paramètres précédemment évoqués, il est recommandé d’employer un commutateur magnétique ou photo à faible taux de pertes et à efficacité élevée. Adams poursuit ses travaux sur au moins deux appareils à Energie Libre sans pièces en mouvement.

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Jean-Louis Naudin a réalisé d’autres versions du moteur Adams voir son site http://members.aol.com . Voir aussi Harold Aspden et G. McMurthy. ALAVANJA Lazare

Lazare Alavanja est né à Zadar en Yougoslavie. Dès l’âge de quatorze ans, ses idées l’ont

amené à être en butte avec ses professeurs. Il n’a pas poursuivi d’études, il avait trop

d’idées en tête. Comme ses père et grand-père il a des perceptions d’images.

Lazare fait partie de la famille de Tesla et dit qu’en plus du sang de Tesla dans ses veines, il

en a l’esprit. Il raconte une histoire dont il ne garantit pas l’authenticité car recueillie par

ouïe dire. * Le père de Nikola Tesla avait trois frères dont l’un d'eux était l'arrière-arrière

grand-père de Lazare. En vérité, Tesla se nommait Alavanja. Il a adopté le nom de Tesla

lorsque, délaissant le catholicisme, il est devenu prêtre protestant. Il avait été chassé de

l’île Ugljan, car, hors mariage, une jeune fille attendait un enfant de lui. Il ajoute que,

Nikola Tesla a dit être un extra-terrestre et qu'on l'aurait pris pour un fou .

L. Alavanja, Ob.Hirschbitze 29 D53809 Ruppichteroth Depuis quelques années, dans les environs de Cologne, Lazare Alavanja poursuit ses recherches sur toutes les technologies non conventionnelles. Au congrès " Nouveaux Horizons en Technique et Conscience " en 1995 au Gwatt-Zentrum, sa présentation de schémas de machines à énergie l’a fait remarquer mais il n’a pas été pris au sérieux. Sa vie, compliquée, est dédiée à la sauvegarde de la Terre. Elle a été jalonnée de poursuites, accidents, différents attentats : incendies, meurtres dont au moins deux de ses proches ont été victimes. C’est ce que montrent ses diapos et un volumineux dossier de correspondances avec les plus hautes instances administratives. Mais il ne baisse pas les bras. Il est maintenant relativement âgé, mais il tenait à offrir ses inventions à la rédaction du NET - Journal en qui il a confiance, pour que la Terre puisse guérir et que les jeunes générations à venir puissent y trouver un cadre de vie acceptable. Il est particulièrement soucieux de l’état de l’eau et de sa dégradation actuelle. L. Alavanja a aussi beaucoup appris grâce à des rencontres avec des gens qui partageaient ses idées. Il travaille avec un homme qui a fait le même genre de découvertes que les siennes vieilles de trente ans. En 1960, il a été invité en Allemagne par Benno Seilinger homme généreux dont un des amis est enthousiasmé par les idées de Lazare. Puis en 1962, un certain Félix l’a fait venir à Alzdorf (Bergbau) où il a travaillé comme mineur. Ses capacités ayant été reconnues, il a vite gravi les échelons pour s’occuper bientôt des problèmes d’évacuation d’eau. Après la fermeture de la fosse, il est devenu garçon de ferme. C’est alors qu’il a trouvé ce qu’il cherchait, et il l’a offert à un homme à qui il a promis un secret total pendant cinq ans. Quand le produit est apparu sur le marché, Alavanja a été déçu : c’était le moteur à piston rotatif, mais il était mécontent de voir comment il avait été réalisé. Il a fabriqué des petits modèles hydrauliques, pneumatiques ou à force centrifuge et électrostatique avec une vague idée d’en rendre certains commercialisables. Il les a montrés, mais malgré sa générosité et son travail anonyme, il a été confronté à des réactions négatives et des calomnies. Une machine thermique de Lazare Alavanja En 1993, Lazare a écrit au NET - Journal pour expliquer qu’il avait conçu une machine qui nécessitait 1 kW d’énergie d’entrée et fournissait 20 kW thermiques. Il utilisait des cristaux, un échangeur de chaleur et un liquide qui montait plus rapidement que l’eau en température et qui donnait davantage de vapeur. Dans cette machine, la température globale était élevée grâce à un générateur à micro-ondes et la vapeur entraînait une turbine délivrant l’énergie lorsque la machine était sollicitée. La machine terminée, prête à être présentée, lui a été saisie.

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Une pompe conçue par L. Alavanja Avec cette pompe on augmente la température de l’eau, le rapport d’entrée d’énergie et de sortie en chaleur est de 1 : 10 comme pour l’énergie atomique sauf qu’ici, pas de danger du à l’uranium. Selon Lazare Alavanja, cet appareil est un transformateur de la chaleur ambiante. La chaleur à l’état statique (au repos) est stockée dans le cristal qui, irradié, devient chaud. Il le démontre en posant deux concrétions de cristal noir dans une assiette et en les passant dans un four à micro-ondes. Après 10 secondes, on peut constater l’échauffement des cristaux. Ces derniers sont des granulés d’hématite mélangés à d’autres matériaux comme de la céramique (on peut aussi utiliser du graphite, mais sa montée en température est plus faible). Avec ce mélange, on peut obtenir un échangeur de chaleur – élevée – qui est lui-même réchauffé avec des micro-ondes (ce qui est donc bon marché, car les micro-ondes ont une température supérieure à la flamme). Un moteur magnétique de Alavanja Présenté par Tesla en 1866, ce moteur électromagnétique (non breveté, non publié) a été fabriqué par Alavanja qui l’a offert à un parent qui l’utilise. On peut construire ce moteur " L.E. " en suivant des principes de radio avec un interrupteur électronique et seulement 4 bobines magnétiques électroniques. Partant de l’idée de Tesla (qui avait déjà démontré en 1896 l'existence de la charge inductive en allumant de petites lampes sans fil), Lazare a utilisé d’autres éléments, diodes et transistors pour faire ses réglages plutôt que les balais charbon et des contacts. C’est ainsi plus rapide, plus facile et cela demande moins d’intensité tout en donnant plus d’énergie. Le générateur à cristal de Alavanja

Lazare voulait présenter la machine à des étudiants

pour les intéresser à des technologies respectant

l’environnement, mais il s’est aperçu que ce genre de

connaissance n’était pas sollicité. Il a donc montré

cette machine au Dr Kölner chercheur et professeur à

l’Université de Siegen. Ayant placé un ampèremètre

sur la machine le professeur a fait des mesures,

constaté qu’elle fonctionnait et a laissé tomber en

disant que ce n’était pas possible.

Il s’agit d’un générateur à cristal dans lequel se

trouvent regroupées des tablettes de silicium avec,

entre elles, des cristaux comprimés par des aimants.

Pour la fabriquer il faut du silicium et la matière doit

être broyée puis pressée en petit bâtonnets.

On crée une intensité, et on peut en extraire de l’énergie. Cette toute petite machine qui fonctionne avec de la chaleur, des aimants, de la lumière fournit en une seconde 3,15 A, puis l’énergie retombe pour remonter à nouveau. On peut créer de l’énergie à partir d’impulsions de 1,5 volts et allumer une petite ampoule de 1,5 watts. La petite machine de Lazare ayant été cassée, (détruite par un professeur) il serait intéressant de la reconstruire, elle pourrait revenir à 300 DM environ mais Lazare pense que cela n’intéresse personne toutefois il est prêt à donner des détails aux personnes intéressées. Le " moulin à lumière " C’est un brevet de Tesla de 1876 dont le nom a une origine inconnue, mais L. Alavanja pense que c’est une sorte de " mouvement perpétuel ", d’où l’on peut extraire de l’énergie, tout en différenciant un premier " mouvement perpétuel " et un second. Lazare Alavanja dit que nous sommes tous de l’énergie comme toute matière est elle-même un condensé d’énergie. Tesla avait trouvé la solution : transmuter l’énergie en matière et vice versa. Le convertisseur de photons Cette découverte est déjà ancienne. Siemens s’y était intéressé, mais la production a été arrêtée. En 1988, à Belgrade, en Croatie, une

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entreprise avait commencé la fabrication, mais elle a été détruite pendant la dernière guerre. Le directeur vit encore, il est maintenant maire de la ville. Il s’agit de cellules solaires transparentes et qu’il n’est pas nécessaire de placer en plein soleil, mais n’importe où, dans la cave, empilées les unes sur les autres, avec une source de lumière qui passe à travers. On a alors un convertisseur, le courant étant produit par les photons. On dit que le silicium transforme les protons en électrons (sic). C’est une erreur, dit Alavanja, car ce n’est pas du silicium, mais de l’oxyde de silicium. Par conséquent, il suffit seulement de pulvériser l’oxyde sur les disques afin de les rendre transparents sur un côté et de l’autre brillants comme un miroir afin de capter la lumière qui, à la façon d’un laser est captée et multipliée. On peut ainsi, sans problème, faire avec une tonne de verre, 30 ou 35 kW, avec pointes à 36 kW.

Multiplexer

Moteur Hydraulique

Multiplo

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Dernière minute : Raum & Zeit qui collabore avec le Musée Tesla met en doute la filiation annoncée par Alavanja. Ce dernier répond : le Musée dispose de nombreuses informations qu'il garde sous clé. Alavanja demande à Raum & Zeit d'observer la carte figurant au verso de sa réponse. Celle-ci montre qu'il y a en Allemagne deux endroits dénommés Alavanje, mais Lazare dit qu'il ne reste plus de personnes portant le nom de Alavanja car elles ont été assassinés sur ordre de US National Commission, Foreign Policy Association et autres organisations de l'OTAN. Le NET-Journal repose la question de sa filiation à M. Alavanja qui répond que, pour l'instant et jusqu'à ce qu'il puisse le prouver, il retire ses déclarations sur le fait que le père de Tesla a changé de nom après avoir été pope. Dès qu'il pourra se rendre en Croatie, il fera des copies des registres paroissiaux prouvant ses dires. Il propose qu'en l'état des techniques actuelles sur la génétique, il soit fait une recherche entre Tesla et lui. Le NET-Journal analyse les points favorables à Alavanja : ses connaissances sur la famille Tesla, et les documents non publiés et inventions de Tesla se trouvant chez son père, mais même si le personnage est un peu spécial, la rédaction ne pense pas qu'il soit escroc ou menteur. Le NET-Journal souhaitant éclairer ses lecteurs fait appel à un mécène qui pourrait offrir à Alavanja le voyage en Croatie…Nous pourrons peut-être parler prochainement du résultat de ces recherches dans Les Nouvelles. ALEXANDER Robert Montebello (CA) Il lui a fallu 45 jours et 500 dollars pour monter sur une voiture son système breveté basé sur un petit moteur de 12 v. 7/8 ths qui fournissait l’énergie initiale. Une fois en marche, un système hydraulique et à air prenait le relais et rechargeait la petite perte d’énergie électrique des batteries. L’inventeur et son partenaire étaient pourtant bien déterminés à ne pas voir leur invention enterrée par l’industrie, mais c’est pourtant ce qui s’est passé. Ce brevet US n°3913004 du 14/10/1975 est intéressant car il annonce la sur unité. C’est une machine qui comprend généralement un rotor tournant à vitesse constante à l’intérieur d’un stator contenant une bobine transformateur, un enroulement transformateur primaire motorisé, et un enroulement générateur transformateur secondaire, par lequel le courant produit et transformé est combiné de façon synchrone et donne un courant de sortie plus élevé.

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Voici l'idée de montage donnée par Geoff Egel.

L’inventeur a utilisé un générateur quadripolaire qui maintient le champ du stator. Il a débobiné les bobines d'armature et les a remplacées par deux bobinages dont chaque enroulement occupe les mêmes encoches que celles de l'armature. Il a relié les extrémités du premier enroulement primaire à un commutateur à quatre pôles et équipé de balais - il s'agit probablement d’un montage de connexion en séries - et a relié l’enroulement de la bobine secondaire aux anneaux glissants. Ce transformateur a un rapport de 3 à 1 en faveur des secondaires. Le champ de l’induit primaire et les bobines du stator ont été reliées à une source d’alimentation de 48 volts (4 batteries). En mettant le courant, l’appareil fonctionne comme un moteur à courant continu, la commutation inversant les pôles de l’induit et le courant alternatif arrivant dans le bobinage secondaire avec le magnétisme des bobines du stator. ASPDEN –ADAMS Sabberton Research ACRES High, Hadrian Way, Chilworth Southampton SO 6712 Tél 01703 76 93 61 Fax : 01703 76 98 30 Aspden et les moteurs magnétiques Harold Aspden travaille sur les moteurs magnétiques comme celui de Adams. Ses travaux sont cités, entre autre, dans NEN de juin 95 et du 08/12/96 H. Aspden dit avoir été fasciné par les différences de comportement de certains appareils selon les heures du jour. (Voir un prochain dossier sur le VTA de Sweet Floyd). Il pense que l’énergie passant dans le vide provient d’un spin, d’une rotation, ce qui signifie qu’il y a un axe dans l’espace variable dans la journée. Cela pourrait expliquer que certaines personnes construisent des générateurs homopolaires de façon spéciale. Car il faut bien comprendre la relation qu’il y a entre les générateurs et le cosmos. L’accès à cette Energie Libre du cosmos peut dépendre de la position de la Terre en rotation dans l’espace. Le 7 juillet 1995, H. Aspden a présenté en Angleterre un dossier d’application de brevet, UK 2282708 Aspden, Adams Patent Application au sujet d’une version du moteur qu’il avait testé. Le moteur d’Aspden comprend des aimants permanents qui fournissent le couple moteur en poussant les pôles du stator et du rotor l’un vers l’autre en utilisant une excitation électromagnétique pulsée et opposée pour affaiblir cette poussée magnétique et permettre

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aux pôles de se séparer. Il dit : " Il y a de l’énergie stockée dans l’entrefer entre l’aimant permanent et l’élément électro-aimant. On utilise cette énergie pour créer une force électromagnétique de retour pendant la moitié d’un cycle. Il faut s’arranger pour utiliser l’énergie qui pousse les aimants l’un vers l’autre, et aussi l’énergie stockée dans l’entrefer sans que cette énergie soit amenée à créer une force électromagnétique de retour. " Aspden démontre cela en enroulant un bobinage tout autour de la pièce où se déroule l’expérience et en disant : " ce bobinage englobe tout et pas un seul flux - comme un flux de liaison - ne peut s’en échapper." Pour lui, la question n’est plus de savoir si oui ou non un moteur donne plus de puissance mécanique qu’il ne consomme d’électricité, mais plutôt de savoir qui va gagner la course en concevant la meilleure mise en œuvre commerciale. BEDINI John Bedini Electronics Inc P.O. Box 769 San Fernando, CA 91341 http://www.bedinitechnology.com/

Au symposium du centenaire de l’arrivée de Tesla aux USA, en Août

1984, Bedini, concepteur et fabricant renommé en électronique Hi-Fi

en Californie a présenté un convertisseur dont plusieurs ingénieurs

ont confirmé les 800 % d’efficacité obtenus pendant les essais. Ce

convertisseur, de type Tesla, de la taille d’une boîte à cigares, a fourni

du courant pendant 24 heures, lors du symposium, et pourtant, après

cela, ses batteries cadmium - nickel étaient complètement chargées!

C’est Ronald Brandt, un ami de Tesla, qui a donné l’idée de cet

appareil à Bedini. On dit que Brandt lui-même utilise un convertisseur

depuis des années, sans aucune perte de charge des batteries.

Au lieu de breveter son système Bedini a présenté puis offert aux assistants du symposium les schémas permettant de construire son appareil et aussi la méthode de construction d'un tube amplificateur de Moray. Plus de 26 chercheurs indépendants ont pu reproduire avec succès et à peu de frais son appareil. On peut obtenir ce rapport " Générateur à Energie Libre de Bedini " auprès de Tesla Book Company 1580 Magnolia Avenue P.O. Box 121873, Chula Vista, CA 91912 USA. Pour les enregistrements de la présentation historique de Bedini et ceux de Watson et d’autres chercheurs, s’adresser à " The Tesla Centennial Symposium 1984 ", PO Box 38445, Colorado Springs, CO 80937 USA.

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L'appareil construit par Bedini est un petit moteur à courant continu alimenté par une batterie classique de 12 v, qui fait tourner une dynamo comme une magnéto, et qui fournit l'énergie de sortie à un système électroniquequi en retour alimente en impulsions calculées les terminaux de la batterie (afin de la recharger). L’appareil fonctionne sur le principe suivant : pour capter l’énorme tension du vide - plein d'énergie - qui a un potentiel scalaire électrostatique très élevé, il n'y a qu'une chose à faire : la casser brusquement en frappant sur quelque chose de résonant inclus dans le vide et qui peut transférer un mouvement de vide à un mouvement de masse. Ensuite, on capte les oscillations du vide qui en résultent, c'est à dire la pression résonante de la vibration du vide lui-même. Il faut d'abord un gros accumulateur pour détenir beaucoup d'ions chargés dans le système où l'on souhaite faire un choc oscillatoire. Une batterie ordinaire plomb - acide remplie avec un électrolyte convient bien car elle a une fréquence de résonance ionique de l'ordre de 1 à 6 MHz. Il ne reste qu'à faire subir un choc oscillatoire aux ions de l'électrolyte sur leur fréquence de résonance, calculer le potentiel déclencheur et siphonner le courant correctement. Si l'on garde alors le potentiel qui s'ajoute pour déclencher le système on peut faire en sorte que tout le potentiel se transforme en énergie électrique gratuite. Par convention, le potentiel électrostatique scalaire est composé de travail et d'énergie. Si l'on ajoute un potentiel seul sans le flux de masse à un système de particules chargées en oscillation, on ajoute une énergie physique dans tout le système de particules chargées. On peut dire aussi que le potentiel ajouté est converti directement en énergie ordinaire par les ions inclus dans le système. Si l'on est ingénieux, on n'a pas besoin de fournir une quelconque énergie de poussée pour déplacer un simple potentiel. Voir Thomas Bearden " Toward a New Electromagnetics ; Partie V, Vectors and Mechanisms Clarified " Tesla Book Co (1983) pages 10, 11 et 49 et image 19 et Y. Aharonov et Bohm " Significance of Electromagnetic Potentials in the Quantum Theory " dans Physical Review, Second Series, Vol. 115, n° 3 (01/08/59), pages 485 à 491. Bedini recommande la prudence en expérimentant ce système car l'électrolyte de la batterie en résonance produit de l'hydrogène, et si on a une crête de tension trop violente, une étincelle électrique peut faire exploser la batterie. Bedini fait la démonstration suivante: il enlève la bonne batterie et met ensuite à sa place 4 batteries mortes, complètement déchargées. A la fin de la démonstration, les 5 batteries sont complètement chargées. Les observateurs, dont des techniciens et professeurs de physique et d'électricité qui se sont rendus souvent à son laboratoire n'ont pas pu le prendre en défaut, mais ils ne peuvent témoigner, et ont demandé à rester anonymes car leurs universités d'origine ne comprendraient qu'ils acceptent ces concepts hérétiques. Dans le générateur de Bedini de 1985, le rotor est constitué de deux aimants permanents en fer à cheval, faces opposées en parallèle et en rotation (fabriqués avec deux aimants permanents cylindriques liés par un fer doux). On ferme périodiquement leur circuit commun de flux magnétique avec deux noyaux de fer qui sont entourés par des bobines dont chacune donne l'énergie du générateur. L'oscillogramme montré par Bedini sur son serveur comprend une paire positive et négative de crêtes parce que le sens du flux à travers les bobines change à chaque demi - rotation. (D'autres calculs montrent une petite différence : les premières crêtes sont un peu plus basses que les secondes.)

Schémas de Bedini

Bedini fait repasser l'énergie du générateur dans une batterie en se servant d'un commutateur de puissance électronique. L'énergie de la batterie donne assez de courant pour faire marcher le moteur du générateur et permet de charger une autre batterie grâce à l'efficacité supérieure à 1 du générateur. (voir Jim Watson) Images de l'atelier de Bedini et Convertisseur de 12 kV de type Bedini

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I.N.E. donne la note de 3 sur 10 pour l’intérêt même de l’appareil de Bedini et 6 sur 10 pour l’intérêt commercial.

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Il a obtenu le 15/07/1975 le brevet US n°3 895 245 pour un moteur électrique à aimants permanents composé de deux disques tournant en sens inverse reliés par un engrenage. Chacun d’eux porte plusieurs aimants permanents (quatre de préférence) disposés de façon rayonnante à intervalles égaux et avec les pôles tournés de façon identique sur le pourtour des deux disques. Les aimants sont placés de façon à s’opposer l’un à l’autre en passant devant la dent des rotors. Un écran en matériau magnétique comme par exemple de l’acier plaqué étain, composé d’une pièce généralement en forme de V est placé sur un côté. Sa pointe touche presque la dent des rotors alors que ses branches sont recourbées selon un rayon de courbure légèrement supérieur à celui des rotors. Cet écran se trouve en partie autour de la périphérie de chaque disque et pour une grande part entre les dents des disques. Un électroaimant alimenté par une batterie ou autre source de courant a un pôle proche des dents des disques, de façon à pouvoir lui donner de l’énergie quand chacun des aimants permanents atteint les dents des disques et ce, afin de créer un champ d’une telle

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polarité que les pôles magnétiques des aimants permanents s’éloignent des dents des disques dans la direction opposée à l’écran, en utilisant les forces combinées de la force électromagnétique et la force de répulsion des aimants. Un mécanisme detimingest prévu : lorsque chaque paire d’électroaimants opposés atteint la dent des rotors, l’électroaimant acquiert de l’énergie. Dans une variante, on peut placer l’électroaimant à la pointe de l’écran en V de telle manière que son extrémité soit voisine de la dent des rotors. BOWMAN Lee Pendant des siècles, l’idée du moteur de Peregrinus est restée dans l’ombre jusqu’à ce qu’un Californien, Lee Bowman, malheureusement décédé aujourd’hui, ne la fasse revivre en 1954 sous une forme modifiée. Plusieurs personnes témoignent avoir vu fonctionner la machine qui a été démontée, faute d'intérêt. (Encyclopédie G. Egel)

L’appareil, tel que le montre l’illustration comprend trois axes parallèles montés sur des paliers dans des plaques d’extrémité fixées à une solide base plate. Les disques sont en lucite (probablement du perspex.) Trois engrenages sont fixés à l’extrémité de chacun des trois axes dans un rapport de 2 à 1. A l’autre extrémité, trois disques sont fixés aux bout des axes, le plus grand disque sur l’axe central et les deux autres plus petits de même taille sur les axes extérieurs. C’est le même rapport de 2 à 1 pour les disques que pour les engrenages aux extrémités opposées des axes. Sur le disque au centre, 8 aimants alnico en baguette sont montés à intervalles réguliers et sur les deux autres disques plus petits, il y en a 4. Ils sont placés de façon à coïncider lorsque les trois disques tournent et à tourner parallèlement aux axes, leurs extrémités s’approchant l’une de l’autre de 0,012 cm. En faisant tourner les disques à la main, les aimants passant l’un devant l’autre étaient mis en phase pour être synchronisés à chaque position de passage. Pour fonctionner, il fallait trouver la position d’un seul aimant permanent cylindrique agissant en tant qu’aimant activateur, placé selon un angle déterminé dans le quadrant inférieur des disques de l’extrémité et provoquant leur rotation par le déséquilibre des forces magnétiques des trois disques. (Voir Peregrinus) BROWN T. Townsend Université de Caroline du Nord à Chapel Hill & Townsend Brown Foundation ltd Nassau, Bahamas (en 1973)

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Thomas Townsend Brown, aujourd’hui décédé, était officier à l’US Navy, consultant au chantier naval Pearl Harbor auprès de l’amiral Radford. Très tôt dans sa vie, Brown a démontré de nouvelles méthodes d’électrocinétique ou propulsion à énergie de l’espace. De nombreuses personnes pensaient que cela pourrait conduire à une nouvelle forme de production d’énergie. Pour une bonne biographie de T.T.Brown, visitez ce site, en français et qui contient également nombre d'autres informations http://rr0.free.fr/BrownThomasTownsend.html Il est l’auteur de 72 brevets déposés dans 12 pays dont les numéros : US 2949550, 3018394, 3022430 et 3187206

Il est intéressant de remarquer que T.T. Brown a mené ses recherches plusieurs années avant l’apparition des rapports d’Ovnis de la fin de la seconde guerre mondiale et aussi qu'il aurait participé comme Einstein et Tesla à l'expérience de Philadelphie. Cette expérience concernait l'invisibilité. Un bâtiment de la Navy, l'Eldridge est devenu invisible, a été téléporté à Norfolk puis est revenu à Philadelphie. Les conséquences humaines auraient été dramatiques, voir à ce sujet les ouvrages de C. Berlitz et ceux concernant Montauk. C'est en faisant une recherche sur les rayons X produits par un tube de Coolidge, que Brown a découvert la relation entre la gravitation et la haute tension. En 1927, à Zanesville (Ohio) Brown, alors au laboratoire de recherche en physique, avait réussi des expériences sur la force exercée sur des conducteurs chargés. L’appareil se présentait sous deux formes tel qu’il a été décrit dans le rapport du 28/10/1927 : " Capter l’énergie cosmique ". Celui-ci avait été soumis au magazinePhysical Revuequi l’ a refusé estimant qu’il n’y avait pas eu d’expériences fondamentales réussies depuis 1928. Il a fait une première démonstration de son appareil à antigravité en 1945. La salle d’expérience fut ensuite mise à sac et ses carnets de notes volés. L’armée se disant non intéressée ( !), les lui a rendus deux jours après. En 1952, il participa au projet Winterhaven, à Cleveland dans l’Ohio. Il s’agissait pour l’armée de développer un disque antigravitationnel de combat capable de voler à Mach 3.

Schéma publié avec l'aimable autorisation du Docteur en Physique Paul LaViolette, extrait de l'article "The U.S. Antigravity Squadron", publié dans le livre "Electrogravitics Systems: Reports on a New Propulsion Methodology" édité par T. Valone (ISBN 0-9641070-0-7). Pour en savoir davantage sur Paul LaViolette ses livres, ses articles, ses brevets suivez les liens ci-dessous : http://www.etheric.com/LaViolette/LaViolette.html http://www.etheric.com/LaVioletteBooks/Book-ES.html L’année suivante, la démonstration de Brown devant des représentants de l’Air Force et de l’industrie aérospatiale donna même de meilleurs résultats obtenus par deux profils de disque de 60 cm de diamètre. Chargés sous 50.000VDC, avec une entrée continuelle de 50 watts,

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les disques tournaient en l’air à la vitesse observable de 18 km/h). Dans un dernier test avec des disques de 90 cm de diamètre et des potentiels de 150 kilovolts les résultats furent si impressionnants qu’ils furent immédiatement classés top secret. Un rapport du Bureau de la recherche navale disait >: " On affirme que la force exercée sur un corps chargé négativement par un corps chargé positivement est supérieure à la force exercée sur le dernier par le précédent, et que le différentiel de forces est proportionnel à la masse de diélectrique insérée entre les corps et que le phénomène est une preuve d’un nouvel effet électrogravitationnel." De nombreuses expériences dûment contrôlées sur la poussée des "gravitors" ont été menées de 1930 à 1955, en divers endroits : Laboratoire de recherche de la Navy, Laboratoire de physique Randall-Morgan, Université de Penna en Pennsylvanie, à Zanesville dans l’Ohio, ainsi que dans le sud de la Californie. T.T.Brown en France En 1955, les fonds américains attendus par Brown n’arrivant toujours pas, il vint en France et travailla à la SNCASO à Toulouse et aussi à Paris (Société Nationale de Construction Aéronautique) où il fit des démonstrations identiques à celles faites en 1950 devant l’amiral Radford à Pearl Harbor. Il réussit à faire voler des disques dans le vide et prouver ainsi que le phénomène y était plus efficace. On pouvait estimer les vitesses à plusieurs centaines de km/h en utilisant des voltages de 1 ou 2000 électronVolts. Mais, en 1956, ses travaux à Toulouse furent stoppés par une fusion de société et Brown retourna à contrecœur aux USA. Il installa son laboratoire à Winston Salem, en Caroline du Nord grâce à un mécène, Agnew Bahnson et y travailla jusqu’au jour où ce dernier trouva la mort dans un accident d’avion. Ses héritiers n’étant pas intéressés par la propulsion électro-gravitique, Brown perdit son laboratoire. Il trouva portes closes au Pentagone, un amiral lui conseilla de " laisser tomber ". Il fit du porte à porte à Los Angeles pour tenter d’intéresser l’industrie aérospatiale à ses travaux. C’est à cette époque qu’il fonda le NICAP (organisation de recherche sur les Ovnis) ce qui ne renforça pas son image dans le monde scientifique. Les disques de Brown En 1958, il réussit à mettre au point un disque de 38 cm de diamètre capable de soulever plus de 110 % de son propre poids. (INE attribue la note de 8 sur 10 pour l'intérêt global de l'appareil de Brown et 7 pour l'intérêt commercial). En 1980, il travaillait sur le projet XERXES pour élucider le phénomène selon lequel des roches, particulièrement le quartz, créent une tension en convertissant une énergie venant de l’espace. Cinq universités y étaient alors impliquées : en Floride, en Californie (Berkeley) et à Hawaï. Elles attendaient un financement de la part du bureau de la recherche navale. R. Schaffranke, chargé du rapport sur ce projet, n’a pas eu l’autorisation de parler au congrès de Hanovre de la partie de la recherche portant sur " Une possibilité de rayonnement gravitationnel à fréquence optique ". Brown en était arrivé à la conclusion que le rayonnement de gravitation est un rayonnement qui pénètre tout, et qui est absorbé dans une proportion limitée en fonction de leur masse par des corps matériels. (Notons au passage que J.M.J. Kooy assimile les tachyons aux gravitons). Malgré l’absorption minime, une fraction de l’énergie absorbée est convertie, dans la structure d’une roche cristalline en énergie électromagnétique. Chaque type de roche a une structure cristalline à résonance spécifique, ce qui donne la conversion correspondante à l’intérieur de la bande spectrale limitée. Même le Pr. Kooy soutient que c’est seulement une fraction minime des gravitons ou tachyons qui est interceptée par la matière qui est comme " transparente ". T.T. Brown poursuivit ses recherches, son travail n’étant pas remarqué, à moins qu’il n’ait déjà été appliqué sur le bombardier B2 comme l’a suggéré Paul LaViolette dans un article de 1993 à ISNE : "The U.S Antigravity Squadron". Son laboratoire fut encore saccagé, pillé, on fit courir des calomnies à son sujet. En 1980 il vivait retiré sur une île au large de la Californie. Il est mort profondément déçu, dans une quasi réclusion.

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Extrait d'un film de Agnew Bahnson Un ingénieur en électricité, Peter Kelly (PO Box 167, Lakemont, Georgia, 30552), chercheur connu dans le domaine des énergies des champs et en particulier en Radionique qui a travaillé avec le regretté Dr T. Galen Hieronymus a récupéré des objets qui faisaient partie de l'expérience de T. T. Brown : un grand disque d'aluminium de 66 à 99 cm de diamètre, au centre épais et aux bords minces, une plaque munie de deux rangées de sphères en aluminium de taille dégressive, montées en zig-zag, et espacées selon des distances croissantes. Apparemment, les sphères servaient à produire de hautes tensions, la première se déchargeant dans la seconde et ainsi de suite. Remarque : D'autres chercheurs comme John Searle, Clarke Ritchie ont conçu et construit des appareils à gravitation. Le Pr Weber du Maryland, (cité par R. Shaffranke dans son intervention au congrès de Hanovre, en 1980) n’a pas eu de bons résultats en pratiquant ses expériences d'après les travaux de Brown, avec des détecteurs mécaniques dont la fréquence s’étendait de 1580 à 1661

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Hz. L’effet Biefeld-Brown Avec le Dr P. A. Biefeld, Brown a découvert que des condensateurs fortement chargés et suspendus convenablement montraient une tendance à se déplacer en fonction de la force de gravitation. Lire à ce sujet l’excellent livre de Alexandre Szames " Histoire secrète de l’Antigravité, l’effet Biefeld-Brown, la plus grande découverte du XX ème siècle " et suivre sur Internet les travaux de Jean-Louis Naudin dans la section Advanced Propulsion Researches où il expérimente actuellement (en septembre1999) un système qu'il appelle The Poynting Flow Thruster…

BROWN Paul Maurice

409 SW 79thStreet Meridan, ID 83462 Paul Brown est un chercheur qui s’est très tôt intéressé aux moteurs magnétiques. Dès 1987, neuf ans seulement après le collège, il rendit publique la découverte qu’il avait mise au point avec ses associés d’une petite compagnie privée de Boise dans l’Idaho. Il s’agissait de convertir la dégradation de la radioactivité naturelle en électricité dans une sorte de batterie. Dans une lettre ouverte aux inventeurs, il explique qu’il ne croyait pas aux menaces et tracasseries subies par les inventeurs, mais ayant été lui-même victime, il les avertit. Il décrit les tracasseries subies : suppression de sa licence d’usage de matières radioactives, plaintes du ministère des finances, lettres anonymes menaçantes. Malgré un article favorable dansFortuneen 1988, un déménagement de la compagniePeripheral Systems Inc. à Portland dans l’Oregon, les plaintes se renouvelèrent provenant cette fois de l’état d’Oregon. Il poursuivit son travail. Sa femme fut agressée, sa maison cambriolée et saccagée maintes fois. On l’accusa de fabriquer de la drogue. Il perdit le contrôle de sa société et sa maison. Depuis l’attentat à la bombe contre la voiture de sa mère, il vit reclus. (Voir Paul Brown dans notre dossier Evolution de la Recherche, Obstacles…)

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Générateur à Réluctance Variable de Paul Brown

Contrairement à la manière usuelle d'obtenir de l'électricité en faisant passer un bobinage conducteur dans un champ magnétique, ce moteur dont la première démonstration a été faite en 1982, avec une sur unité annoncée de 125 %, ne nécessite pas de grosse bobine et d'armature métallique, ce qui réduit les pertes. Dans cette application, deux aimants permanents ou électroaimants sont placés l'un en face de l'autre, à 180°. A 90° des aimants, on a monté deux bobines pour capter le champ. Au centre, se trouve un disque possédant deux secteurs externes en métal sous influence magnétique et une section centrale qui elle, ne l'est pas. Le disque tourne à une certaine vitesse, et lorsque les sections métalliques sont en position de fournir de façon répétée un passage magnétique allant des aimants permanents aux bobines, il se produit un courant électrique induit dans les bobines. Ce sont les secteurs du disque de métal magnétique qui, en supprimant ou non la trajectoire magnétique donnent un voltage de sortie en courant alternatif. En changeant légèrement le bobinage, on peut aussi obtenir une sortie en courant continu à impulsions. On peut fabriquer les deux disques avec un moule à fibre de verre en forme de disque, ce qui permet de ne pas remplir les secteurs externes et, une fois le moulage fait, de pouvoir y mettre des limailles de métal compacté et passer une couche finale de fibre de verre pour obturer le secteur métallique. Si l'on dispose d’un bon atelier on pourra faire de meilleurs disques avec un noyau en aluminium et des morceaux de métal magnétiques à l'extérieur en se servant de boulons "allen" pour les fixer ensemble. On peut construire l'appareil avec des morceaux d'acier laminé dans lesquels on a un renversement de la force magnétique, pour prévenir toute perte de force magnétique. Il faut aussi de petits entrefers ainsi que du fil de longueur convenable et très bien isolé pour avoir une force magnétique correcte. Il est nécessaire d'avoir un bâti non magnétique pour empêcher les pertes magnétiques et choisir une source de mouvement primaire convenable comme un moteur à courant continu, une roue à eau ou un éolienne. En faisant ce montage, il n’y a pas de mouvement relatif entre les bobines et le champ magnétique et le disque accélère dans les pôles des aimants permanents et ralentit sur la trajectoire extérieure, ce qui a pour conséquence une vitesse constante. La tension dépend directement du taux de changement du champ magnétique et de la vitesse du rotor. L'ampérage est dépendant de la durée pendant laquelle les pôles se (Voir également J-L Naudin, ainsi que Ecklin-Brown).

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COLER Hans Coler était capitaine dans la marine Allemande. En 1929, il avait commencé ses travaux avec un appareil à courant magnétique qui l’a conduit à un générateur de courant qui dès 1942 a pu être relié à une sortie de 7 kW, l’entrée étant fournie par une batterie d’un peu moins de 8 watts. On a parlé de facteur de sortie de 4 à 12. Entre 1925 et 1945, avec deux gros générateurs, il a fait des démonstrations qui ont stupéfié tous les témoins dont des fonctionnaires. Déjà, en 1926, le Dr Eng. M. Kloss et le Pr W. O. Schumann des Instituts de Technologie de Berlin et de Munich avaient confirmé le principe de cet appareil. Le Dr Heinz Frölich, le 27/09/1943 a confirmé, dans un examen détaillé, les caractéristiques du générateur de 7 kW. Des essais ont été menés à la section Recherche du Haut Commandement Naval à Berlin-Wannsee entre le 01/04/1943 et le 30/06/1943 et à l’institut de Physique de l’Université de Berlin entre le 01/07/1943 et le 25/09/1943. En 1937, un appareil de 60 kW avait déjà été construit mais la fin de la guerre et la destruction de Berlin arrêtèrent les travaux. Chez les techniciens allemands on sait très bien que Coler a utilisé son générateur pendant les trois dernières années de guerre pour alimenter sa maison de Kolberg, en Poméranie. Quant au Dr Frölich, il a été muté chez BMW et a travaillé à Moscou tout de suite après la fin de la guerre. En Septembre 1944, Seysen, chef de la construction navale du Haut Commandement Naval a mis sous contrat la compagnie AG Continental Metal, pour faire construire le plus vite possible le générateur de courant de Coler. D’autres compagnies furent impliquées aussi : Rheinmetall-Borsig, Siemens-Schuckert, et Hermann-Göring-Werke (Salzgitter aujourd’hui). Le directeur de Rheinmetall, Modersohn, n’épargna pas ses efforts pour le développement futur du générateur de Coler. Moderhson voulait pouvoir montrer l’appareil à Hitler. Selon Seysen, chef des constructions navales, le projet Coler avait des années d’avance sur le projet Manhattan. Il est intéressant de voir par exemple que Seysen et Frölich, qui ne se sont pas attachés à expliquer de quelle façon était produit le courant , étaient prêts, après des démonstrations expérimentales réussies, à passer sans délai au stade de la production. Pendant l’été 1946, le sous comité des objectifs deBritish Intelligencea fait un rapport de 32 pages sur la technologie de Coler (n° 1043, daté du 1erjuillet 1976). Il porte la référenceBIOS Final Report1043/Bios Targetn°C31/4799. Ce rapport a été rendu disponible par les services du renseignement britannique (British Intelligence Objectives Sub-Committee, 32 Bryanston Square, London W1. Les théories qui y sont contenues sont très proches de celles présentées dans un rapport détaillé (GRG 1956) sur les systèmes électrogravitiques, les interactions électromagnétiques et gravitationnelles étudiées par T.T. Brown et John Searl (PEA Research, and REX Research). Le rapport qui contient en plus des descriptions des essais réussis et des schémas de montage est probablement incomplet car il manque certains dessins détaillés et des données techniques auxquels le texte fait référence. Les services secrets ont confirmé à Karl Dönitz qui dirigeait le Haut Commandement Naval (OKM) les immenses capacités des générateur sde Coler, " Appareil à courant magnétique " et " Générateur de courant " sans pièces en mouvement, basés sur l’amplification de la résonance magnétique.

Générateurs de Coler : Magnetstromapparat

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Magnestromapparat selon Geoff Egel

Reconstruction d'un Magnestromapparat de 50 millivolts par George Hattaway

L’appareil dénommé The " Magnetstromapparat " a quelques ressemblances avec celui de Hendershot. Il comportait des aimants permanents en acier, des bobines de cuivre et des condensateurs disposés d’une façon spéciale. Il y avait six aimants ferrites disposés selon un schéma hexagonal reliés en série avec les bobines d’environ 33 ohms de résistance formant une partie du circuit. Les enroulements de bobine étaient en recouvrement, inversés et placés sur chaque aimant.

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La trajectoire conductrice se faisait à travers le noyau de l’aimant. L’appareil comprenait aussi deux petits condensateurs, un commutateur et une paire de bobines solénoïdes pouvant glisser, l’une étant placée juste à l’intérieur de l’autre. On laissait le commutateur ouvert et on déplaçait légèrement de côté, au moyen d’un système mécanique de vilebrequin et de glisseurs l’ensemble bobines et aimants, ce qui leur permettait d’être modifiés de façon identique. On attendait plusieurs minutes entre les changements. On plaçait aussi les bobines glissantes dans différentes positions les unes par rapport aux autres. On faisait ces changements en observant le voltmètre jusqu’à atteindre un point précis, et on fermait alors le commutateur. On faisait encore, mais plus lentement, d’autres changements jusqu’à obtenir le meilleur résultat possible. Plusieurs essais sur quelques heures ont donné de 60 à 450 millivolts. Le meilleur voltage obtenu a été de 12 volts et il a duré jusqu’à ce qu’on coupe l’appareil.

Un bobinage de Coler selon Geoff Egel

Le " Stromerzeuger " ou générateur de courant de Coler Il s’agissait d’un assemblage d’aimants d’acier de bobines plates et de plaques de cuivre sur des bras ouverts montés en parallèle et tirant leur énergie d’un transformateur placé au centre. Coler avait construit respectivement en 1925 et 1933 un appareil de 10 watt et un autre de 70 watts. Ces appareils ont montré des effets antigravitationnels. Un internaute, Steve, comme d'autres chercheurs, pense que l’appareil avait un revêtement radioactif ce qui aurait été également le cas de ceux de Hubbard et Hendershot. Le chlorure de radium ou substance équivalente recouvre généralement le bobinage pour ramener la résistance pratiquement à zéro. Utilisé dans un condensateur, il agit davantage comme un semi- conducteur. Dans le noyau d’un transformateur, cela revient à une astuce de bobinage. (Nota : ne pas utiliser d'instruments de mesure digitaux qui seraient déréglés). Comme dans le cas d’une antenne, le fil ionise alors l’air environnant, le fil d’antenne est comme une bulle saturée au maximum ; ce qui fait que toute entrée venant de l’atmosphère ou d’ailleurs lui ajoute son énergie. Une autre expérience avec un circuit complet avec un espace de 2,5 cm et une ampoule de chlorure de radium éloigné d’environ 2,5 cm a montré que le circuit fonctionnait. CORNILLE Patrick

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Physicien théoricien, Patrick Cornille a un poste de chercheur scientifique classique au CEA mais son travail théorique et expérimental sur l’électromagnétisme non conventionnel est une quête personnelle . (Voir notre dossier Chercheurs, théoriciens) .

Extraits du texte de brevet EP720788b1: high efficiency electrostatic motor de Patrick Cornille L'invention de Patrick Cornille concerne un moteur électrostatique capable de fonctionner à un très haut rendement. Ce moteur est utilisable dans de nombreux domaines où une alimentation d'énergie est nécessaire, entraînement de toutes sortes de véhicules : automobiles, avions, bateaux, trains etc. Il peut également trouver son application dans des centrales de production d'énergie. Le principe de fonctionnement de ce type de moteur est basé sur une utilisation particulière de forces électromagnétiques classiques. Les principes de conversion de l'énergie et de l'impulsion ne sont vérifiés que pour des systèmes fermés où les forces en jeu obéissent au troisième principe de Newton - action égale à la réaction. Il s'ensuit la possibilité de systèmes ouverts si les forces en jeu ne suivent pas le troisième principe de Newton ce qui est le cas de la force électromagnétique de Lorentz du fait de la présence du terme magnétique dans l'expression de cette force. Il s'ensuit qu'une paire de particules chargées en interaction doit pouvoir se mettre en mouvement spontané sans l'aide d'une force extérieure. De la même manière, une condensateur chargé sous haute tension doit pouvoir se mouvoir de lui-même. De nombreuses expériences effectuées avec des condensateurs ont effectivement mis en évidence ce phénomène. En particulier le brevet anglais n° 300. 311 délivré en 1928 à T.T. Brown divulgue un moteur qui exploite ce principe. L'invention de Patrick Cornille résoud les problèmes posés par le moteur de T.T. Brown : compensation des charges, régulation de la vitesse de rotation du rotor.

Moteur électrogravitique de Patrick Cornille

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Ce moteur breveté a été réalisé grâce à M. Rigourd, professeur de technologie à l’Institut technique de l’Université de Ville d’Avray (Université de Paris X), et aux étudiants du département mécanique : Allain Fabrice, Bui Thong, David Emmanuel, Doussat Sylvain, Duarte Eric, Lanza Sophie, Martins Irondino. Il comprend un rotor constitué par un ensemble de condensateurs, ceux-ci étant constitués de plaques métalliques disposées radialement autour d'un axe de rotation et noyées dans un matériau diélectrique. Une moitié des plaques est connectée au pôle positif d'un générateur haute tension (supérieure à 50 kV), l'autre l'est au pôle négatif. Le rotor est entouré d'un stator constitué d'un solénoïde ayant un axe de symétrie commun avec l'axe de rotation du rotor, le solénoïde étant parcouru par un courant de sens réversible. Les plaques métalliques sont réparties par paires de plaques de tension opposée.

Schémas du Brevet de Patrick Cornille

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Commentaires de Jean-Louis Naudin (voir son site) : Le mouvement spontané prévu par la théorie est rectiligne. Cependant, dans le moteur Cornille plusieurs condensateurs montés sur des supports ressemblant à des roues sont utilisés afin de transformer le mouvement rectiligne en mouvement circulaire. Puisque les condensateurs sont connectés en parallèle, la force est très augmentée, et on peut l’utiliser pour produire un travail mécanique. Les condensateurs sont faits de cylindres d’aluminium et de fils métalliques fins placés parallèlement au cylindre et qui lui sont reliés de façon à produire le courant de fuite nécessaire à travers l’ionisation dans l’air environnant les condensateurs. On accélère d’abord le rotor avec un moteur électrique qui est ensuite coupé pour laisser la vitesse de rotation du moteur décroître librement. La fréquence de rotation du moteur par rapport au temps avec et sans voltage est mesurée automatiquement. On peut dire – et c’est un succès - que le coefficient de friction du rotor est diminué quand on applique le haut voltage, et ce, en raison de l’existence de la force spontanée. Voir le site de Advanced Electromagnetic Systems http://www.aes.com/freeservers.com/

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