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www.institutdebijouterie.fr
créateur : Soline BARBOTIN - photographe : Phillippe NOISETTEOctobre 2010 - Exposition 30 ans de l’IBS
La Chambre de Commerce et d’Industrie de Maine-et-Loire n’est pas un centre de formation comme les autres…
Profitez de ses différences !
• Une écoute attentive et proactive du marché
• Un réseau d’entreprises (avec plus de 4 000 entreprises partenaires)
• Une proximité territoriale qui permet réactivité et adaptabilité
• Des offres en adéquation immédiate aux besoins des entreprises et de leur évolution
• Des méthodes pédagogiques efficaces et de qualité s’appuyant sur les spécificités professionnelles et l’alternance
• Des formations pratiques qui débouchent sur des emplois
L’Institut de Bijouterie de Saumur, la filière de formations en bijouterie de la conception à la commercialisation
Visite virtuelle de l’Institut sur www.institutdebijouterie.fr
Avec le soutien de laRégion Pays de la Loire
Bien plus qu’un diplôme !
LA FORCE D’UN RÉSEAU • Un véritable partenariat avec les entreprises, des voyages européens,
des participations à de nombreux concours professionnels…
UN ACCOMPAGNEMENT SUR MESURE• Aménagement des parcours de formation, site intranet
pédagogique…
DES MOYENS À LA POINTE DE LA TECHNOLOGIE• Des ateliers techniques avec poste de travail individualisé, des salles
multimédia dotées d’outils informatiques de dernière génération et équipés de logiciels professionnels, soudure laser, imprimante 3D...
QUELQUES CHIFFRES :• 88% de réussite à l’examen en 2016• 83% des jeunes ont un emploi dans les 6 mois après leur formation • 88% d’entre eux travaillent dans leur branche
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Les métiers de la bijouterie, de la conception à la commercialisation , , , , , , , , p.05Le métier de bijoutier - joaillier , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.06Le métier de polisseur , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.07Le métier de sertisseur , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.08Le métier de créateur / designer de bijoux , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.09Le métier d’orfèvre , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.10 Le métier de bronzier , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.11Le métier de gemmologue , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.12Le métier de lapidaire , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.13Le métier de vendeur , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.14Le métier de responsable de magasin , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.15
Schéma des études , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.16
Les Formations par apprentissageCAP art et techniques de la bijouterie-joaillerie option bijouterie-joaillerie, polissage et sertissage , , , , , p.17Mention Complémentaire Joaillerie , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.17Brevet des Métiers d’Art Option bijouterie-joaillerie , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.18Brevet des Métiers d’Art option bijouterie-sertissage , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.18CAP Lapidaire , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.19CAP Orfèvre , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.19CAP Bronzier , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.20Brevet professionnel Gemmologue , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.20Gestionnaire d’Unité Commerciale Spécialisée en bijouterie-horlogerie , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.21
Les Formations diplômantes/autres statutsDiplôme des Métiers d’Art Art du bijou et du joyau/ Statuts mixtes , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.22CAP arts et techniques de la bijouterie-joaillerie option bijouterie-joaillerie / Formation scolaire à temps plein , p.23
La Formation continue , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.24
Informations pratiques , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , p.25
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Depuis le XVIe siècle, Saumur a acquis une belle réputation pour ses activités de bijouterie religieuse. On attribue à la découverte d’une statue miraculeuse de la Vierge la naissance de cette activité.
Les Saumurois ont ainsi commencé à fa-briquer puis à vendre des chapelets aux pèlerins se rendant à la basilique des Ardilliers, devenue grand lieu de recueil-lement aux portes du quartier du Fenêt.
A l’époque près de 1 000 artisans fa-briquent des chapelets. On les appelle les patenôtriers en référence à la prière « Pater Noster ».
Au XVIIIe siècle s’organise un colportage à grande échelle autour des produits finis ; c’est la belle époque des frères MAYAUD. Leurs livres d’exploitation té-moignent de débouchés internationaux en Europe Centrale, Russie et même Chine et Nouveau monde.
4 000 à 5 000 Saumurois vivent de cette activité dans une ville qui ne compte en-core que 9 100 habitants. Loin de péricli-ter avec le temps, cette activité a su se diversifier et rester compétitive grâce à son dynamisme et à son savoir-faire.
C’est au XIXe siècle que s’implantent BALME et PICHARD, portés par le cou-rant de la mécanisation. Le petit monde des patenôtriers à domicile s’effrite tan-dis que se développe la fabrication in-dustrialisée des médailles.
Aujourd’hui, l’activité de fabrication en bijouterie à Saumur génère encore plus de 200 emplois répartis au sein de 3 entreprises : PICHARD-BALME, MARTI-NEAU et PARTANT.
Saumur fut la première ville en France où la frappe des médailles fut autorisée dès 1860 en dehors de la monnaie offi-cielle de Paris.
Pour attester de la qualité des maté-riaux utilisés dans la production des médailles, un Service de la Garantie s’y implantait en 1864 rattaché à la Direc-tion Générale des Douanes et des Droits Indirects. Son rôle consiste notamment à attester du titre d’un ouvrage en métal précieux, c’est-à-dire à définir la quan-tité de métal fin contenu dans l’alliage. (ex : or 750 millièmes)
A ce titre, le bureau de la Garantie revêt l’ouvrage d’un poinçon d’Etat.
Grâce à la tradition séculaire de fa-brication d’objets religieux et de mé-dailles puis de la bijouterie industrielle, un environnement naturellement fa-vorable a permis le développement de la filière de formations en bijoute-rie de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Maine-et-Loire.
L’Institut de bijouterie de SaumurLe pôle de formations « Bijouterie » de la Chambre de Commerce et d’Industrie de
Maine-et-Loire existe depuis 1979, avec l’appui de la Région des Pays de la Loire.
Cette filière de formations s’est struc-turée pour apporter une réponse glo-bale aux besoins en compétences du secteur d’activité de la bijouterie, grâce notamment au partenariat étroit avec les entreprises et les organisations profes-sionnelles.
L’Institut de Bijouterie de Saumur (IBS) bénéficie d’une reconnaissance natio-nale et participe par là-même à la pro-motion et au rayonnement de Saumur et de sa région.
L’Institut de Bijouterie de Saumur déve-loppe aujourd’hui une filière complète de formations, de la fabrication à la com-mercialisation des produits de bijouterie.
Trois secteurs composent l’activité de formationLe Centre de Formation d’Appren-tis (CFA) créé en 1979 est, dans sa discipline, le plus important de France tant par la diversité des spécialités en-seignées telles que la bijouterie, la joail-lerie, la gemmologie, le sertissage que par le nombre d’apprentis.
Plus de 1500 apprentis ont été formés et 450 maîtres d’apprentissage ont fait confiance à l’IBS depuis plus de 35 ans.
Le recrutement est national. La qualité de l’enseignement du CFA est reconnue :• à travers l’insertion professionnelle :
100% des apprentis sont en situation d’emploi moins de 3 mois après avoir quitté le CFA et font carrière principa-lement dans le secteur artisanal.
• de nombreux apprentis se distinguent chaque année lors de concours : Prix SEMA national en 2007, Prix Jacques LENFANT en 2008, médaille de Bronze aux Olympiades internationales des Métiers en 2011 et médaille d’excel-lence en 2013, médaille d’or nationale au concours «Un des Meilleurs Ap-prentis de France» ainsi que le Prix «Avenir Métiers d’Art» - INMA 2015.
La formation continue a été initiée en 1986. Des actions de formation dans les domaines de la bijouterie - joaillerie, la gemmologie, le sertissage et la com-mercialisation sont proposées à l’atten-tion des salariés et chefs d’entreprise du secteur de la bijouterie. Des formations sur-mesure sont également dévelop-pées pour des entreprises commer-ciales, artisanales ou industrielles. La formation longue et qualifiante à tra-vers la formation « Gestionnaire d’Unité Commerciale spécialisée en bijoute-rie - horlogerie », mise en place en 1994 avec le soutien des organisations profes-sionnelles. C’est la seule formation su-périeure en France, à niveau Bac+2, qui forme des responsables de magasin en bijouterie - horlogerie.
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S’engager dans une formation en bijouterie, quelle que soit la spécialité choisie (bijouterie, orfèvrerie, sertissage…) suppose les qualités suivantes :
• la précision, la minutie et la patience • le goût pour l’esthétisme • une sensibilité artistique• la passion des bijoux• une bonne habileté manuelle• le sens des formes et des volumes
Débouchés professionnels Depuis une dizaine d’années, la filière bijouterie - joaillerie assiste à de profondes modifications de son environnement. Le secteur a vu à la fois l’arrivée de la grande distribution mais également de maisons de luxe et de mode. Ces enseignes générant des volumes de produits importants ont directement affecté les détaillants multimarques. Aujourd’hui, le bijou connaît un véritable changement de statut en devenant un accessoire de mode (passage d’une logique d’achat patrimonial à une logique d’achat d’impulsion). L’effet positif de ces évolutions est l’élargissement du marché et la progression qu’il engendre même si elle reste modeste.
Les évolutions technologiques récentes impactent également fortement les savoir-faire et permettent une nouvelle attractivité pour les métiers d’art. L’impression 3D, la soudure laser et
toutes autres pratiques numériques innovantes enrichissent la pratique du métier de bijoutier-joaillier.
La vente et la réparation de bijoux représentent une part importante de l’activité des PME. De nombreux artisans associent atelier de fabrication /réparation et boutique.
Les emplois se situent en tant qu’ouvrier salarié dans une entreprise, chef d’atelier ou artisan à son compte (selon son niveau de formation et d’expérience professionnelle).
Dans le secteur industriel où les bijoux ou objets sont fabriqués à grande échelle, le travail se limite souvent à des tâches d’exécution. Dans les petits ateliers en revanche, on réalise des pièces uniques ou produites en petite série, des réparations et fabrications en sous-traitance. Le métier peut s’exercer dans les secteurs de la bijouterie traditionnelle, de la haute ou petite joaillerie ou de la bijouterie fantaisie.
Les entreprises qui recrutent :• Entreprises artisanales
• Entreprises industrielles
• Artisans en chambre
• Commerces de bijouterie avec ou sans atelier
© Institut National des Métiers d’Art© ONISEP
Les métiers de la bijouterie de la conception à la commercialisation
Chiffres clés du secteurLa production française en b i jouter ie , joaillerie et orfèvrerie a représenté un chiffre d’affaires de 1,712 millions d’euros en 2015.Le secteur compte 2662 entreprises en bijouterie jaoillerie, bijouterie fantaisie et orfèvrerie en 2015. On compte 8184 salariés.(Source : Comité Francéclat/INSEE)
Le secteur du commerce de détail de l’horlogerie - bijouterie comptait 4874 entreprises en 2013.
93% des entreprises ont moins de 10 salariés. La branche est composée de 16695 salariés. 46% sont dans une entreprise de 50 salariés et plus. (Source INSEE/ESANE)
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Les activités de bijouterie et de joaillerie se recouvrent, le métal et la pierre étant souvent associés dans le montage d’un bijou. Alors que le bijoutier magnifie les métaux précieux (or, argent, platine…), le joaillier crée et prépare les montures en métal pour mettre en valeur des pierres précieuses ou des perles. Le bijoutier - joaillier est également amené à réparer ou transformer les bijoux.
Avant de créer un bijou, le bijoutier - joaillier, en concertation avec le client, peut concevoir et dessiner le bijou puis en donner une estimation financière. Il passe ensuite à la fabrication : fonte des métaux, laminage et transformation du métal en plaque et/ou en fil, découpage, mise en forme par emboutissage, forgeage et par pliage, assemblage des éléments par brasure…
Il peut également être amené à réaliser une maquette en cire à l’échelle réelle qui est ensuite coulée en métal selon le procédé de la fonte à cire perdue.
Après avoir déterminé l’emplacement des pierres, il procède au perçage et au fraisage.
Il termine son bijou par un travail de finition et de polissage.
Les outils utilisés par le bijoutier - joaillier sont des pinces, mandrins, triboulets, bocfil, marteaux, limes, cabrons…
En tant qu’artisan, le bijoutier - joaillier doit savoir imaginer ses propres créations. Il doit rester à l’écoute des tendances du marché.
Il doit également posséder des aptitudes commerciales afin de fidéliser et développer une clientèle.
© Institut National des Métiers d’Art
Le métier de bijoutier - joaillier
Témoignage Renaud GUÉMAS, joaillier
« J’ai grandi dans une famille d’artisan, j’ai donc eu très tôt le goût du travail manuel. Le métier de bijoutier-joaillier allie travail de préci-sion, goût de la perfection, recherche des volumes et créativité. Il faut s’approprier aussi bien les matériaux, les outils que les différentes techniques. La maitrise du geste est indispensable. La connaissance des diverses disciplines comme le Sertissage et la Gemmologie est essentielle pour faciliter les échanges entre professionnels du bijou. Elle permet aussi la création et la réalisation de pièces d’exception. »
Quelles formationsmènent à ce métier ?CAP art et techniques de la bijouterie-joaillerie option bijouterie - joaillerie > voir page 17
Mention Complémentaire de joaillerie> voir page 17
BMA du bijou option bijouterie - joaillerie> voir page 18
Diplôme des Métiers d’Art Art du bijou et du joyau > voir page 22
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Le métier de polisseurLe bijoutier - joaillier est également polisseur mais ce métier peut être exercé à part entière au sein d’entreprises industrielles ou bien dans les maisons de haute joaillerie spécialisées dans le polissage, la mise en couleur des métaux, le traitement des surfaces.
Le polisseur apporte la touche finale au bijou et donne tout son éclat et sa beauté au métal. Lorsqu’une pièce arrive entre les mains du polisseur, elle est brute. Le polisseur doit faire disparaître les traces et obtenir un état de surface de haute qualité, un poli parfait.
Le polissage est réalisé à l’aide de machines pour les parties les plus accessibles puis à la main, avec du papier émeri (papier plus ou moins abrasif), des brosses, des fils et des pâtes à lustrer jusqu’à ce que la surface du bijou soit étincelante.
Certains traitements de surface peuvent être apportés aux métaux précieux comme le rhodiage qui consiste à déposer par électrolyse une fine couche de rhodium ce qui aura pour effet d’obtenir un éclat très blanc.
Le polisseur peut également réaliser des animations de surfaces et donner un effet sablé ou encore satiné au métal des bijoux.
Quellesformations
mènent à ce métier ?
CAP art et techniques de la bijouterie-joaillerie
option polissage> voir page 17
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© CCI de Maine-et-Loire
© CCI de Maine-et-Loire
Une fois polie, la pièce est prête à recevoir les pierres. C’est le sertissage.
En lien direct avec le bijoutier - joaillier, le sertisseur enchâsse et sertit les pierres précieuses ou fines pour les présenter sous leur meilleur jour et révéler leur beauté.
Le bijoutier - joaillier peut également posséder des compétences de sertissage.
Pour être sertie, chaque pièce est enchâssée dans un étau de bois appelée la « poignée » et protégée par une couche de « cire » (appelée ciment de sertisseur) chauffée afin d’en épouser la forme et de la maintenir correctement. Le sertisseur réalise ensuite le type de sertissage le plus adapté à la pièce : serti à griffes, serti clos, serti à grains ou encore serti rail.
Le serti griffes, par exemple, est une portion de fil qui est rabattue sur la pierre qui elle-même repose sur un anneau appelé ceinture ; l’ensemble griffes et ceinture forment le chaton. Ce chaton est un écrin qui met en valeur la pierre.
La technique du serti rail quant à elle consiste à monter les pierres entre deux rails préalablement réalisés. Ce serti est souvent réalisé pour les alliances.
Le sertissage est réalisé à l’aide d’un marteleur (sorte de petit marteau-piqueur électrique), d’échoppes et de burins.
Métier d’expérience, le sertissage, outre l’habileté manuelle, né-cessite une connaissance des métaux employés et des pierres précieuses et fines.
Quellesformationsmènent à ce métier ?CAP art et techniques de la bijouterie-joaillerieoption bijouterie - sertissage> voir page 17
BMA du bijou option bijouterie - sertissage> voir page 18
Le métier de sertisseur
Témoignage Christian GRIFFON, joaillier-sertisseur
« Le sertissage en joaillerie est par essence, une technique d’une rigueur absolue et également un art. Il est nécessaire que les personnes désirant acquérir les bases de cette discipline, aient, développent ou acquièrent durant leur formation certaines qualités indis-pensables : SENS DE L’OBSERVATION, ESPRIT ANALYTIQUE, RÉFLEXION, INITIATIVE, SENS DE L’HARMONIE et bien entendu RIGUEUR !Ils doivent également, maîtriser les différents outils, savoir les reconnaître et les nommer, apprendre à choisir et utiliser celui qui sera le plus adapté pour l’exécution d’une œuvre ayant pour critères : fiabilité, finesse, harmonie et pureté.Il est donc indispensable, avant d’entreprendre une pièce, d’analyser ses caractéristiques structurelles.Le sertissage en joaillerie est un métier, pas une simple complémentarité d’un ensemble, bien qu’il puisse l’être dans certaines circonstances. Par exemple un bijoutier pratiquant essentiellement des réparations, désirera avoir la connaissance des modes de sertis les plus courants: griffes, clos, et un peu de grains. »
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Le métier de créateur / designer de bijouxLe créateur /designer crée et conçoit des bijoux, du dessin jusqu’à la réalisation finale. Le bijou est alors envisagé comme un support d’expression artistique, un accessoire de mode ou encore une œuvre unique.
Le créateur/designer travaille avec des matériaux variés, précieux (or, pierres) ou non précieux (plastique, bois, cuir). Parallèlement à ses compétences de bijoutier- joailler, il maîtrise les logiciels de CAO/DAO ainsi que les techniques de modelage et de sculpture. Il possède une solide culture artistique et s’intéresse à l’évolution des modes et des tendances afin d’être toujours prêt à formuler des propositions et des modèles.
Il intervient dans le milieu de la Haute Joaillerie autant que dans la bijouterie fantaisie, voire de l’accessoire de mode. Il peut occuper les postes suivants : Chef d’atelier salarié, Maquettiste/ Infographiste, Designer, Chef de produits au sein d’entreprises artisanales, industrielles ou de design, ou s’installer en tant qu’artisan créateur indépendant.Quelles formations
mènent à ce métier ?BMA du bijou
optionbijouterie-Joaillerie
> voir page 18
Diplôme des Métiers d’Art Art du bijou et du joyau
> voir page 22
© CCI de Maine-et-Loire
créateur : Tony Furion
Témoignage Marianne ANSELIN, créatrice de bijoux contemporains
« Un créateur de bijoux réfléchit et fabrique des objets en interaction avec le corps. Il doit aussi savoir communiquer sur son travail, le présenter et le vendre. Ainsi, il est polyvalent, il maîtrise toute la séquence : « de l’imagination de l’objet, à l’objet porté ». Mon travail consiste à répondre, en prenant des risques, à des questions que je me pose ou qu’un tiers me pose. Cela nécessite certaines aptitudes comme la curiosité, la remise en question, la patience et la persévérance. C’est un engagement total de soi, épanouissant et passionnant. »
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L’orfèvre fabrique et répare des objets en argent ou en étain pour la maison, l’ameublement, la table (exemple couverts, théière) ou les cérémonies de culte (tabernacle).
Sur la base d’un dessin technique ou d’un modèle, l’orfèvre reproduit fidèlement les objets qui lui ont été commandés. Il utilise le métal dont il a besoin sous forme de plaques, de tubes ou de fils. Il les découpe puis donne forme au métal par tournage, repoussage ou planage. Puis il assemble les différents éléments par soudure.
Les opérations finales seront un travail de ciselure et de polissage.
L’orfèvre sait fabriquer un objet de A à Z ; néanmoins, son travail peut se concentrer sur la fabrication et le montage. Il ajustera ainsi un bec, une anse ou un pied sur l’objet préalablement mis en forme par le tourneur ou le planeur.
Dans les grands ateliers d’orfèvrerie, chaque opération est confiée à un ouvrier différent. Par exemple, le planeur en orfèvrerie découpe une plaque de métal aux dimensions de l’objet, puis il lui donne forme à l’aide d’un maillet en bois. D’autres techniques sont aussi utilisées : le tournage - repoussage et l’estampage.
Quellesformationsmènent à ce métier ?CAP Orfèvre> voir page 19
Le métier d’orfèvre
Témoignage Jacques BRULAY, directeur industriel en orfèvrerie
« Le métier d’orfèvre requiert une grande minutie, le sens du détail et une forte dextérité. Un orfèvre peut créer des objets, réaliser des copies ou encore réparer des pièces anciennes. Dans ce cas, il faut avoir une culture importante des procédés ancestraux. Les étapes de fabrication de l’orfèvre par exemple pour une théière sont les suivantes : élaboration de tous les éléments de la pièce (pied, corps, bec, couvercle, bouton) puis soudure et ajustage. La ciselure, la gravure, le tournage repoussage et le polissage sont des facettes annexes au métier d’orfèvre. »
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© Orfèvrerie d’Anjou
Le métier de bronzierLe bronze est né, il y a 4 000 ans, du mélange du cuivre et de l’étain. Depuis, le bronzier travaille et donne forme à cet alliage. Il reproduit des gestes traditionnels pour restaurer ou créer des objets d’art, d’ameublement.
Le bronzier réalise des pièces en bronze mais pas seulement. Cuivre, laiton, étain, acier… font aussi partie des matériaux qu’il travaille.
Le terme de bronzier recouvre en fait 5 métiers :
- Le tourneur profile, à l’aide d’un tour, les pièces rondes entrant dans la composition d’un luminaire. Il prévoit les emplacements des différentes pièces.
- Le repousseur crée différentes pièces : service à café, vase, gobelet… Après avoir réalisé un modèle en creux, il y place une plaque de métal qu’il travaille pour qu’elle épouse le modèle.
- Le ciseleur sculpte différents motifs du décor et crée des volumes en déformant le métal grâce à des ciselets.
- Le monteur façonne et assemble les éléments pour réaliser l’objet. Il scie, soude, perce, ajuste…
- Le finisseur donne un aspect lisse, brillant, vieilli… aux objets. Il peut appliquer une patine, poser une couche d’argent ou d’or pour donner un type de fini.
Artisan d’art, le bronzier restaure des objets décoratifs en métal : tables, bancs, étagères, lustres, lampes, serrures, pièces de services de table…
Pour autant, il n’en est pas moins un créateur. En fonction des commandes qui lui sont passées, le bronzier peut concevoir entièrement l’objet souhaité. Ce dernier portera un numéro et un poinçon garantissant l’authenticité et la valeur du travail d’art effectué.
Le bronzier peut travailler pour le compte de musées, d’hôtels hauts de gamme, de maisons de luxe et de décoration.
Il peut aussi s’installer à son compte pour réaliser des pièces pour la bijouterie, l’orfèvrerie, l’art sacré, les arts de la table, les luminaires…
Quelles formations
mènent à ce métier ?CAP Bronzier
> voir page 20
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Les gemmes désignent des pierres transparentes (diamant, rubis, saphir, aigue-marine, améthyste…) appelées pierres précieuses ou pierres fines, translucides à opaques (jade, turquoise…), et des substances organiques (perle, ambre...). Elles peuvent être imitées (verre…), traitées (rubis traité, verre plomb…), ou synthétisées (saphir synthétique…).
Le gemmologue possède deux savoir faire essentiels. Il fait figure d’expert, en déterminant le vrai du faux. Parallèlement, il définit la matière à travers différents critères: couleur, pureté, qualité de la taille, dureté ou encore origine des gemmes.
Dans l’exercice de son métier, il utilise des instruments spécifiques tels que la loupe X10, le polariscope, le microscope, le réfractomètre… en vue d’observer et d’analyser les pierres.
La valeur ajoutée de certaines pierres exige une connaissance approfondie des marchés internationaux, des tendances et des nouveautés.
Son activité est liée à la fabrication ou à la vente de bijoux, à la taille ou la vente de gemmes, à l’expertise, à la certification de laboratoire…
Quellesformationsmènent à ce métier ?Brevet Professionnel Gemmologue> voir page 20
Le métier de gemmologue
Témoignage Raphaël GRIFFON, joaillier-gemmologue
« Joaillier depuis maintenant 17 ans, j’ai étudié la gemmologie en fin de parcours scolaire. Les voyages au cœur des mines m’ont motivé pour en apprendre toujours plus sur les pierres. L’importance de cette connaissance est capitale pour un créateur et cela pour plusieurs raisons : tout d’abord, connaître une gemme permet de créer un bijou autour de celle-ci, en utilisant ses caractéristiques spécifiques. Il convient ainsi de monter un grenat démantoïde sur un pendentif ou de réaliser une paire de boucles d’oreilles en raison de sa faible dureté.Des clients viennent parfois me voir avec l’idée d’offrir par exemple une émeraude à leur épouse. Ma question est toujours la même : veulent-ils impérativement une émeraude ou est-ce la couleur qu’ils ont sélectionnée ? Les clients restent souvent sans réponse. Je leur propose alors des pierres que je m’amuse à appeler « génériques » : tourmaline chromifère ou un tsavorite de la famille des grenats. Ces pierres sont bien souvent plus exceptionnelles que les émeraudes exposées en vitrines. »
en partenariat avec
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© CCI de Maine-et-Loire
Le métier de lapidaireLe métier de lapidaire option pierres de couleur consiste à tailler et polir toutes les pierres sous toutes les formes et comprend également la gravure et le travail de tour (excepté le diamant - le professionnel est alors appelé diamantaire).
La lumière et la couleur seront exaltées par les proportions, les facettes et le polissage.
Le lapidaire doit être très précis et minutieux pour donner tout leur éclat aux gemmes.
Les pays extracteurs de gemmes développent une activité lapidaire dont la finition nécessite parfois une retaille des pierres pour répondre aux exigences de la joaillerie française.
Quelles formations
mènent à ce métier ?
CAP lapidaire option pierres
de couleur> voir page 19
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Témoignage Yvan STEPANIAN, lapidaire depuis plus de 45 ans
« Autrefois, l’activité consistait à tailler le brut : rubis, saphir, émeraude ; ce qui m’a permis d’aller sur place dans des pays extracteurs pour trier la matière. A ce jour et à ma connaissance, il n’existe plus de taille de brut en France. Il reste l’ajustage, le calibrage, le polissage et la retaille de gemmes. Un lapidaire aujourd’hui est autonome après 10 ans d’activité. Il doit répondre à toutes demandes allant par exemple de la taille d’une plaque en Onyx au serti invisible… et il doit exceller en tout. Il reste très peu de lapidaires en France à ce jour. »
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© CCI de Maine-et-Loire
Le vendeur / conseil en bijouterie -horlogerie est un professionnel de la vente de bijoux et de montres en boutique ou au sein d’un rayon de grand magasin.
Il assure l’accueil et le conseil des clients, présente les produits et leurs spécificités et procède à l’encaissement tout en veillant à la sécurité du magasin et des marchandises.
Le sens de l’écoute est essentiel
Il est également chargé de l’entretien et de la présentation des produits en vitrine afin de les mettre en valeur, du Service Après-Vente et de certaines tâches administratives (suivi des commandes, réception et étiquetage des produits…).
C’est un métier polyvalent qui permet de travailler dans le commerce tout en exerçant sa passion pour les bijoux et les montres.
Le vendeur / conseil en bijouterie -horlogerie peut évoluer rapidement vers des postes à responsabilités tels qu’adjoint, responsable de magasin puis directeur de secteur.
Quellesformationsmènent à ce métier ?Gestionnaire d’Unité Commerciale spécialisée en bijouterie - horlogerie> voir page 21
Le métier de vendeur / conseil en bijouterie-horlogerie
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© CCI de Maine-et-Loire
Le métier de responsable de magasinen bijouterie-horlogerieLe responsable de magasin appelé aussi directeur de magasin maîtrise avant tout les techniques de vente et possède une parfaite connaissance des bijoux et des montres afin de répondre aux attentes de la clientèle.
Il exerce un métier qui requiert des compétences variées dans le domaine de la stratégie commerciale, de la gestion d’un centre de profit et de l’encadrement d’une équipe. Personne de terrain, le responsable de magasin possède un bon sens relationnel.
C’est également lui qui veille aux règles de sécurité et d’hygiène de l’établissement.
Le métier offre de belles perspectives d’évolution après quelques années d’expérience : responsable d’un point de vente plus important, responsable secteur, reprise d’un magasin à son compte pour devenir chef d’entreprise.Quelles
formationsmènent à ce
métier ?Gestionnaire d’Unité
Commerciale spécialisée en
bijouterie - horlogerie> voir page 21
Témoignage Coralie-Jasmine ROBIN, Responsable de magasin en bijouterie joaillerie
Le monde de la bijouterie et de l’horlogerie est fascinant. Evoluer au sein de cet univers procure chaque jour un réel épanouissement personnel! Ma passion pour ce métier et ma patience ont été la clé de la réussite de mes projets.Savoir appréhender les responsabilités d’une entreprise est un exercice qui s’enrichit au fil du temps et me permettra je l’espère de faire évoluer mon activité vers nouveaux objectifs.
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BAC
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Diplôme des Métiers d’Art Art du bijou et du joyau
Formation en 2 ans
niveau BTS ou BAC+2
3 CAP « métiers rares »- lapidaire
option « Pierres de couleur »- orfèvre
- bronzier- gravure
CAP Art et techniques de la bijouterie - joaillerie option bijouterie - joaillerie
Temps plein - Formation en 1 an
Brevet Professionnel GemmologueFormation en 2 ans
NEGOVENTISGestionnaire d’Unité Commerciale Spécialisée en bijouterie - horlogerie
Formation en 1 an
CAP Art et techniques de la bijouterie - joaillerie- option bijouterie - joaillerie
- option bijouterie - sertissage- option bijouterie - polissage
Formation en 2 ans + 1 an pour l’option sertissage
Brevet des Métiers d’Art du bijou - option bijouterie - joaillerie
- option bijouterie - sertissageFormation en 2 ans
Mention Complémentaire JoaillerieFormation en 1 an
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niveau BAC niveau BAC
niveau BTS ou BAC+2
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Jeunes issus de 3ème (collège) - de 2nde - de 1ère - de BAC et +
Témoignage Alexandre GAVAND, Lauréat aux épreuves internationales des Olympiades des métiers
« J’ai commencé à apprendre le métier de bijoutier-joaillier à l’âge de 15 ans en CAP en formation initiale. Je me suis ensuite dirigé vers l’alternance pour préparer le BMA. L’apprentissage est selon moi le meilleur moyen d’apprendre ce métier. Il rend les apprenants plus autonomes et polyvalents grâce à la diversité du travail effectué en entreprise et au CFA. Durant mes 5 années d’études, j’ai également pu participer à des concours nationaux et internationaux telles que les Olympiades des métiers. J’ai obtenu un médaillon d’excellence aux épreuves internationales des Olympiades des métiers en 2013 à Leipzig (Allemagne). Cette expérience m’a permis de progresser et de gagner en confiance en moi pour aujourd’hui être prêt à entrer dans la vie active. Après mes études, j’ai également participé au Prix Avenir Métier d’Art de l’INMA où j’ai remporté le premier prix national en mars 2015.»
Jeunes titulaires d’un CAP ou BAC et +
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Mention Complémentaire de JoaillerieCAP Art et techniques de la bijouterie - joaillerie
Option bijouterie-joaillerie• Réaliser une pièce de bijouterie faisant
appel à des techniques d’assemblage simples
• Lire un dessin en 3D / Utiliser les diverses représentations graphiques
• Connaître les spécificités desmétaux, des gemmes et des perles
Option bijouterie-polissage• Effectuer la finition et le polissage de
pièces de bijouterie - joaillerie• Lire un dessin en 3D / Utiliser les
diverses représentations graphiques• Connaître les spécificités des métaux,
des gemmes et des perleOption bijouterie-sertissage• Ajuster et enchâsser les pierres sur des
métaux précieux • Réaliser un sertissage de base
(sertis clos, griffe, à grain)
Conditions requises• Trouver une entreprise qui accepte de
signer un contrat d’alternance pour vous accompagner durant votre formation
Contenu de la formation• Enseignement professionnel :
- 6 Réalisations techniques bijouterie/ polissage ou sertissage - Volume technique - modelage
- Arts appliqués - Histoire de l’art et du bijou - Gemmologie - Technologie et Dessin technique (sauf année d’option sertissage)
• Enseignement général : - Français - Histoire - Géographie - Mathématiques - Sciences - Anglais - Education Physique et Sportive - Prévention Santé Environnement
Durée de la formation• options joaillerie et polissage : 2 ans ,
avec chaque année 455 h en centre de formation soit 13 sessions
• option sertissage : 1 an après l’obtention d’un CAP Bijouterie-joaillerie. 455 h en centre de formation soit 13 sessions
Types d’entreprise• Entreprises artisanales• Entreprises industrielles• Artisans en chambre• Commerces de bijouterie - joaillerie avec
un atelierStatut• Apprenti(e) en contrat d’apprentissage
ou salarié(e) en contrat de professionnalisation
Objectifs• Préparer la monture des pierres
précieuses ou des perles pour les mettre en valeur
• Connaître les contraintes liées au sertissage des pierres
• Réaliser, monter et réparer un bijou empierré
Conditions requises• Etre titulaire d’un CAP du champ
d’activité professionnelle de la bijouterie
• Trouver une entreprise qui accepte de signer un contrat d’alternance pour vous accompagner durant votre formation
Contenu de la formation• Enseignement professionnel :
- Réalisations techniques joaillerie - Volume technique-modelage - Arts appliqués - Histoire de l’art et du bijou - Technologie - Gemmologie
Durée de la formation• 1 an dont 420 h de cours en centre de
formation soit 12 sessionsTypes d’entreprise• Entreprises artisanales
• Entreprises industrielles• Artisans en chambre• Commerces de bijouterie - joaillerie
avec un atelierStatut• Apprenti(e) en contrat d’apprentissage
ou salarié(e) en contrat de professionnalisation
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NiveauV
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Postes de travail individualisé en atelier Apprentissage sur binoculaire et
trinoculaire en sertissage
Ateliers de bijouterie - joaillerie équipés de 12 postes de travail individualisé
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Brevet des Métiers d’Art (BMA) du bijou
Option bijouterie-joaillerie• Concevoir, réaliser, transformer ou réparer des
produits de bijouterie-joaillerie en autonomie• Assurer les relations avec la clientèle, proposer
et conseiller une solution artistiqueOption bijouterie-sertissage • Concevoir, réaliser, transformer ou réparer des
produits de bijouterie-joaillerie en autonomie• Choisir, préparer, réaliser, adapter et contrôler
les différents types de sertissage en adéquation avec les pièces de joaillerie
• Assurer les relations avec la clientèle, proposer et conseiller une solution artistique
Conditions requises• Etre titulaire d’un diplôme de niveau V (CAP/
MC) du champ d’activité professionnelle de la bijouterie
• Trouver une entreprise qui accepte de signer un contrat d’alternance pour vous accompagner durant votre formation
Contenu de la formation• Enseignement professionnel :
- Réalisations techniques en bijouterie-joaillerie - 2ème année d’option Sertissage: réalisations techniques en sertissage - Volume technique-modelage - Arts appliqués - Histoire de l’art et du bijou - Dessin technique - Technologie / Gemmologie - Gestion - connaissance de l’entreprise
- Mathématiques - Sciences physiques• Enseignement général :
(dispense si titulaire d’un BAC) : - Français - Histoire - Géographie - Anglais - Education Physique et Sportive
Durée de la formation• 2 ans dont 675 h de cours en centre de
formation par année scolaire soit 19 sessions • Les apprentis ou salariés titulaires d’un
baccalauréat sont dispensés des cours d’enseignement général. Ils suivent 490 h de cours en centre de formation par année scolaire soit 14 sessions.
Le BMA option sertissage peut se préparer en un an après l’obtention d’un BMA du bijou Option bijouterie-joaillerie
Types d’entreprise• Entreprises artisanales• Entreprises industrielles• Artisans en chambre• Commerces de bijouterie - joaillerie avec un
atelierStatut• Apprenti(e) en contrat d’apprentissage ou
salarié(e) en contrat de professionnalisation
NiveauIV
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CAP Lapidaire option « Pierres de couleur »
Objectifs• Tailler et polir tous les types de
gemmes • Mettre en valeur les qualités
naturelles des gemmes
Conditions requises• Trouver une entreprise qui accepte
de signer un contrat d’apprentissage pour vous accompagner durant votre formation
Contenu de la formation• Enseignement professionnel :
- Volume technique - modelage - Dessin d’art - Dessin technique - Technologie
• Enseignement général : - Français - Histoire - Géographie - Mathématiques - Sciences - Anglais - Education Physique et Sportive - Prévention Santé Environnement
• La formation pratique de la taille et du polissage de la pierre est abordée essentiellement en entreprise.
Durée de la formation• 3 ans dont 455 h de cours en centre
de formation par année scolaire soit 13 sessions
Types d’entreprise• Entreprises artisanales• Entreprises industriellesStatut• Apprenti(e) en contrat
d’apprentissage ou salarié(e) en contrat de professionnalisation
NiveauV
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ObjectifsLes orfèvres réalisent des objets liés à l’art de la table dans différents métaux.• Monteur : connaître les techniques
d’assemblage de différentes pièces• Tourneur : maîtriser les techniques
de tournage et repoussage• Polisseur : maîtriser les techniques
de polissage / évaluer la qualité des pièces à polir / présenter un travail prêt à être commercialisé
• Planeur : connaître les techniques de planage au marteau
Conditions requises• Trouver une entreprise qui accepte
de signer un contrat d’alternance pour vous accompagner durant votre formation
Contenu de la formation• Enseignement professionnel :
- Volume technique - modelage - Dessin d’art - Dessin technique - Technologie
• Enseignement général : - Français - Histoire - Géographie - Mathématiques - Sciences - Anglais - Education Physique et Sportive - Prévention Santé Environnement
• La formation pratique en orfèvrerie est abordée essentiellement en entreprise.
Durée de la formation• 3 ans dont 455 h de cours en centre
de formation par année scolaire soit 13 sessions
Emplois visés• Ouvrier ou chef d’atelier salarié
dans une entrepriseTypes d’entreprise• Entreprises artisanales• Entreprises industriellesStatut• Apprenti(e) en contrat
d’apprentissage ou salarié(e) en contrat de professionnalisation
NiveauV
CAP Orfèvre option A « Monteur en orfèvrerie » option B « Tourneur - Repousseur en orfèvrerie » option C « Polisseur - Aviveur en orfèvrerie » option D « Planeur en orfèvrerie »
© CCI de Maine-et-Loire
CAP Bronzier option A « Monteur en bronze » option B « Ciseleur sur bronze » option C « Tourneur sur bronze »
ObjectifsLes bronziers réalisent des pièces en bronze de luminaire, statuaires, d’ameublement ou de décoration• Monteur : connaître les techniques
d’assemblage de différentes pièces• Tourneur : maîtriser les techniques
de tournage et repoussage• Ciseleur : maîtriser les techniques
de ciselure main sur les pièces d’art ou d’ornement
Conditions requises• Trouver une entreprise qui accepte
de signer un contrat d’alternance pour vous accompagner durant votre formation
Contenu de la formation• Enseignement professionnel :
- Volume technique - modelage - Dessin d’art - Dessin technique - Technologie - Histoire des Styles
• Enseignement général : - Français - Histoire - Géographie - Mathématiques - Sciences - Anglais - Education Physique et Sportive - Prévention Santé Environnement
• La formation pratique en bronzerie est abordée essentiellement en entreprise
Durée de la formation• 3 ans dont 455 h de cours en centre
de formation par année scolaire soit 13 sessions
Types d’entreprise• Entreprises artisanales• Entreprises industriellesStatut• Apprenti(e) en contrat d’apprentissage
ou salarié(e) en contrat de professionnalisation
NiveauV
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Objectifs• Connaître et identifier l’ensemble
des gemmes• Cerner les imitations, les synthèses
et les traitements• Soumettre à l’examen approfondi
d’un laboratoire les échantillons aux caractéristiques inhabituelles
Conditions requises• Etre titulaire d’un diplôme de niveau V
du champ d’activités professionnelles de la bijouterie ou d’un diplôme en vente
• Trouver une entreprise qui accepte de signer un contrat d’alternance pour vous accompagner durant votre formation
Contenu de la formation• Enseignement professionnel :
- Identification des gemmes en laboratoire - Gemmologie et sciences appliquées - Gestion commerciale, financière et comptable - Dessin - Histoire des gemmes - Droit
• Enseignement général : - Français (dispense si diplôme de niveau IV) - Mathématiques
Durée de la formation• 2 ans dont 455 h de cours en centre
de formation par année scolaire soit 13 sessions
Types d’entreprise• Entreprises artisanales• Commerces de bijouterie - joaillerie,
de minérauxStatut• Apprenti(e) en contrat d’apprentissage
ou salarié(e) en contrat de professionnalisation
Le Brevet Professionnel Gemmologue peut se préparer
en Formation Continue. Pour toute information,
nous contacter au 02 41 83 53 93 ou sur www.institudebijouterie.fr
NiveauIV
Salle de gemmologie équipée de 12 postes de travail individualisé pour l’identification des gemmes et la
microphotographie
en partenariat avec
Brevet Professionnel Gemmologue
Form
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Gestionnaire d’Unité Commerciale Spécialisée en bijouterie - horlogerieNiveau
III
Secteur PorteurL’Institut de Bijouterie de Saumur ne peut satisfaire tous les besoins exprimés par les entreprises du secteur d’activité puisque nous recevons 2 à 3 fois plus d’offres d’emploi que de stagiaires formés (35 postes à pourvoir en moyenne) sans compter les offres d’emploi que nous recensons dans la presse professionnelle.
Objectifs de la formationAu quotidien, le Gestionnaire d’Unité Commerciale spécialisée en bijouterie-horlogerie :• anime et gère l’activité commerciale d’un centre
de profit,• assure la commercialisation des biens et/ou
services,• veille à la gestion des flux et à la qualité du
service client,• peut être amené à manager une équipe et à créer
ou développer un centre de profit.
Conditions requises• Vous êtes étudiant sortant d’un diplôme Bac+2
dans les métiers du commerce (ex : BTS MUC ou NRC / DUT techniques de commercialisation)
• Forte motivation pour la bijouterie-horlogerie et mobilité géographique
Contenu de la formation3 pôles de compétences indispensables à l’exercice d’une future responsabilité :• Gérer et commercialiser des produits de
bijouterie - horlogerie : vendre des bijoux et des montres, promouvoir, mettre en valeur les produits en vitrines, animer un site internet…
• Contribuer à la gestion et au développement d’un centre de profit : conduire un projet de création, élaborer un plan de marketing stratégique, exploiter les données comptables, élaborer 1 plan d’action commerciale…
• Encadrer et gérer du personnel : recruter, piloter une équipe, animer des réunions…
• Le programme recouvre également la connaissance des produits de la filière bijouterie - horlogerie (Connaissance des produits de bijouterie, d’horlogerie / gemmologie / histoire du bijou…)
• Le contenu de la formation est avant tout pratique, basé sur des études de cas et sur l’interaction entre les périodes de stage en entreprise et les périodes en centre de formation.
Durée de la formation• 10 mois de septembre à juin, soit 560 h
de formation en centre soit 16 sessions.Types d’entreprise• Tous types de commerce de détail spécialisé
en bijouterie - horlogerieStatut• Apprenti(e) en contrat d’apprentissage / Salarié(e)
en contrat ou période de professionnalisationValidation• A l’issue de la formation, l’apprenti ayant
passé les évaluations avec succès (Contrôles continus en centre / Evaluation des acquis en entreprise / Rapport professionnel et soutenance devant un jury composé de professionnels) reçoit le diplôme niveau III code NSF 312p de « Gestionnaire d’Unité Commerciale Spécialisée » enregistré au Répertoire National de la Certification Professionnelle (par arrêté publié au J.O. du 7/09/2016).
• Le titre est accessible via la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE).
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Brevet Professionnel Gemmologue
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Diplôme des Métiers d’Art Art du bijou et du joyau / Statuts mixtes
Objectifs •Etre en capacité de réaliser un bijou avec une
maîtrise complète de la chaîne de valeur, de la conception à la fabrication.
• Assurer la conception d’un bijou, par la rédaction d’un cahier des charges et d’une étude de fai-sabilité et la réalisation de représentations gra-phiques et/ou de maquettes.
• Réaliser, seul ou en équipe, la fabrication d’un bijou.
• Collaborer à la commercialisation et à sa promotion.
• Connaître et savoir utiliser les outils de gestion économique, comptable et de ressources hu-maines.
Conditions requises• Etre titulaire d’un BMA du bijou ou Bac STD2A
ou d’un Bac général + CAP art et techniques bijouterie-joaillerie ou BTS Design de produit ou Etre issu d’une MANAA
Statut• Apprenti(e) en contrat d’apprentissage ou sala-
rié(e) en Contrat de professionnalisation• EtudiantSélection• Etude d’un dossier de candidature précisant les
motivations et le projet professionnel du candidat
Durée de la formation2 ans • par apprentissage : 700 heures de cours
en centre de formation par année scolaire soit 20 sessions
• par la voie scolaire : 1680 heures. La formation comprend une période de formation en milieu professionnel d’une durée de 6 semaines.
Contenu de la formationAu cours des deux années, les enseignements sont abordés de manière transversale selon une démarche de projetEnseignement professionnel• Atelier de création et de réalisation• Technologie• Projet professionnelEnseignement artistique • Expression plastique• Arts appliqués• Art, techniques et civilisationsEnseignement général• Français• Anglais• Sciences appliquées• Economie et gestion
Types d’entreprises • Entreprises industrielles • Entreprises artisanales Conditions financièresPour le statut « étudiant » frais pédagogiques :
nous consulter
En partenariat avec L’Ecole de Design Nantes Atlantique
NiveauIII
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Dossier à télécharger sur www.institutdebijouterie.fr
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CAP Art et techniques de la bijouterie - joaillerie option bijouterie - joaillerie - Formation scolaire à temps plein
Objectifs• Connaître l’environnement professionnel des
métiers et activités de la bijouterie - joaillerie• Connaître et utiliser l’outillage propre au métier• Lire un dessin en 3D (forme et volume)• Utiliser les diverses représentations graphiques • Connaître les spécificités des métaux, des
gemmes et des perles• Réaliser une pièce de bijouterie -joaillerie fai-
sant appel à des techniques d’assemblages simples.
Conditions requises• Posséder un CAP ou un BEP de l’Education Na-
tionale, maritime ou agricole (CAPA et BEPA) ou un Diplôme d’Accès aux Etudes Universitaires (DAEU) ou un diplôme classé au moins au ni-veau IV
• Une forte motivation pour la bijouterie et une mobilité géographique sont nécessaires pour tous les candidats.
• La formation s’adresse à toute personne mo-tivée pour s’investir dans une formation artis-tique et technique accélérée.
Modalités de recrutement• Adresser un curriculum vitae et une lettre
de motivation à l’organisme de formation• Compléter un dossier de candidature précisant
notamment le projet professionnel du candidat. • Participer à une journée de recrutement avec
tests d’habileté manuelle et un entretien indivi-duel de motivation.
Contenu de la formation• Enseignement professionnel :
- Réalisations techniques en bijouterie - Volume technique - modelage - Arts appliqués - Histoire de l’art et du bijou - Dessin technique - Technologie - Gemmologie - Prévention Santé Environnement
Durée de la formation• 9 mois à temps plein de septembre à mai,
dont 280 h de stage en entrepriseEmplois visés• Après avoir obtenu le CAP art et techniques de
la bijouterie - joaillerie, il est recommandé de développer ses compétences professionnelles par des années de formation complémentaires telles que la Mention Complémentaire de joail-lerie, le BMA…
Validation de la formation• Certificat d’Aptitude Professionnelle (CAP) Art
et techniques de la bijouterie joaillerie op-tion bijouterie-joaillerie délivré aux stagiaires bénéficiant d’une dispense des domaines généraux et ayant obtenu un minimum de 10/20 à l’ensemble des épreuves des domaines pro-fessionnels.
Conditions financières• Frais pédagogiques : nous consulter.• Eléments non compris dans le coût de la forma-
tion : les frais d’hébergement, de restauration et de transport ainsi que la valise-outils.
• Le statut particulier de cette formation ne per-met pas d’obtenir de bourse départementale ou régionale
Prise en charge de la formation• Pour les candidats inscrits en tant que deman-
deur d’emploi, possibilité de prise en charge partielle ou totale du coût de la formation : se renseigner auprès du Pôle Emploi ou du conseil régional de son lieu de résidence
• Pour les candidats qui souhaitent bénéficier d’un Congé Individuel de Formation, le délai moyen de montage et d’instruction d’un dossier est de 4 à 6 mois, s’adresser au FONGECIF de la région de résidence
Statut• Scolaire
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© CCI de Maine-et-Loire
Atelier de bijouterie - joaillerie équipé de 12 postes de travail individualisé
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Dossier à télécharger sur www.institutdebijouterie.fr
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Nos formations techniquesBijouterie - Joaillerie• Initiation aux techniques de réparation de bijoux - SAV • Initiation à la fabrication de bijoux • Création de votre projet bijou• Expertise en bijouterie - Initiation• Expertise en bijouterie Perfectionnement niveau 1 • Expertise en bijouterie
Perfectionnement niveau 2• Initiation à l’enfilage de perles• Conception de bijoux avec Rhinocéros 3D et
Rhinogold • Préparation à 3 Unités de valeur de la Chambre
Nationale des ExpertsGemmologie• Pratique de la gemmologie - Initiation• Pratique de la gemmologie -Perfectionnement• Critères d’évaluation des pierres précieuses• Parcours certifiant: Brevet Professionnel Gemmologue en Formation continueSertissage• Pratique du sertissage - Initiation• Pratique du sertissage
Perfectionnement - niveau 1• Pratique du sertissage
Perfectionnement - niveau 2
Nos formations en commercialisation• Renforcer votre performance commerciale grâce
au langage des couleurs• Initiation à l’étalage : les fondamentaux du merchandising visuel• Vendre en sécurité• Fidéliser et conquérir sa clientèle sur le Web• Vers un marketing digital• Parcours certifiant: la formation de responsable de magasin spécialisé en bijouterie-horlogerie
Plus de 35 ans d’expérience au service des entreprises de la filière bijouterie
Recrutements et formations s’inscrivent aujourd’hui dans les réflexions stratégiques globales de l’entreprise, quelle que soit sa taille, quels que soient ses marchés.Nos formations sont adaptées aux exigences, aux contraintes et au secteur d’activité des entreprises. Elles se déroulent sur le site de l’entreprise, ou dans les locaux de l’Institut de Bijouterie de Saumur.Des formations sur-mesure sont également développées pour des entreprises commerciales, artisanales ou industrielles.
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Votre parcours vers l’apprentissage
Déposez votre candidature en ligne sur le site www.cciformation49.fr
Vous recevrez par mail vos identifiants vous permet-tant d’accéder à votre espace personnel dédié à votre candidature et à la constitution de votre dossier en ligne.
Vous bénéficierez d’un accompagnement dans votre recherche d’entreprise afin de conclure un contrat d’apprentissage.
Recherchez activement votre futur employeur !
Rendez votre démarche efficace
Définissez votre projet professionnel à court et à moyen terme.
Ciblez vos entreprises (taille, zone géographique, secteur d’activités…).
Utilisez votre entourage et votre réseau de connais-sances.
Consultez régulièrement les offres d’emploi (Pôle emploi, Sites professionnels, CFA, Mission locale…)
Quelques conseils pratiques…
Professionnalisez la messagerie de votre téléphone portable ainsi que votre adresse mail.Soyez disponible et facilement joignable par les em-ployeurs.Déplacez-vous dans les entreprises pour déposer ma candidature et/ou contactez-les
Statut de l’apprenant
Qu’est-ce qu’on contrat d’apprentissage ?
Le contrat d’apprentissage est un contrat de travail écrit de type particulier. C’est un CDD de 1 à 2 ans, renouvelable en cas d’échec à l’examen et compor-tant une période d’essai de 2 mois. Il est établi sur un formulaire type signé par l’employeur, l’apprenti et son représentant légal si l’apprenti est mineur.
En signant un contrat d’apprentissage, l’appren-ti devient salarié de l’entreprise (Art.L 117 bis-2 du code du travail) il n’est, en aucun cas, un stagiaire de l’Education Nationale.
Tout jeune âgé de 16 à 25 ans peut entrer en ap-prentissage ainsi que les jeunes de 15 à 16 ans ayant effectué la scolarité jusqu’à la 3e.
Pour préparer un métier par la voie de l’apprentis-sage, le jeune partage, en alternance, la formation entre une entreprise et le CFA. Le planning remis en début d’année indique les périodes en entreprise et au CFA.
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s Quelles sont les obligations de l’apprenti ?
L’apprenti est lié à son employeur par un contrat d’apprentissage. Il est tenu de travailler pour l’em-ployeur pendant la durée du contrat et de suivre la formation dispensée en Centre de Formation d’Ap-prentis (CFA) et en entreprise (Art.L117 bis-2 du Code du travail).
Il est également tenu de se présenter aux épreuves du diplôme prévu par le contrat d’apprentissage (Art.L 117 bis-5 du Code du travail).
Quels sont les droits de l’apprenti ?
D’une manière générale, l’apprenti(e) a un contrat de travail lui permettant :• de se former et de préparer un diplôme délivré par
l’Education nationale,• de bénéficier de la sécurité sociale et de la légis-
lation sur les accidents de travail et les maladies professionnelles, que ce soit en entreprise ou au CFA (Art.L 117 bis7).
• d’obtenir les mêmes congés accordés aux autres salariés.
• d’être rémunéré
âge / ancienneté 1e année16-17 ans 25% du SMIC18-20 ans 41% du SMIC21 ans et + 53% du SMIC
âge / ancienneté 2e année16-17 ans 37% du SMIC18-20 ans 49% du SMIC21 ans et + 61% du SMIC
âge / ancienneté 3e année16-17 ans 53% du SMIC18-20 ans 65% du SMIC21 ans et + 78% du SMIC
Qui peut être Maître d’Apprentissage ?Le jeune est obligatoirement suivi par un Maître d’Ap-prentissage. Ce dernier est soit le chef d’entreprise, soit l’un de ses salariés.
Pour remplir les fonctions de Maître d’Apprentissage, celui qui possède :• soit un titre ou diplôme au moins égal à celui pré-
paré par l’apprenti, ainsi qu’une expérience profes-sionnelle de 2 ans dans le métier préparé,
• soit une expérience professionnelle de 3 ans dans le métier préparé.
Qu’est-ce qu’un contrat de professionnalisation ?Il permet aux jeunes et aux demandeurs d’emploi de bénéficier d’une formation et d’une expérience pro-fessionnelle leur permettant d’acquérir une qualifi-cation professionnelle.
Il s’adresse à tous les jeunes âgés de 16 à 25 ans révolus et aux demandeurs d’emploi âgés de 26 ans et plus.
Les bénéficiaires âgés de 16 à 25 ans révolus sont rémunérés en fonction de leur âge et de leur niveau de formation.
Les salariés âgés de 26 ans et plus perçoivent une rémunération qui ne peut être inférieure ni au SMIC ni à 85 % du salaire minimum conventionnel. (Nous contacter pour plus d’informations)
Aides à l’apprentissageLes manuelsLe Conseil Régional des Pays de la Loire a décidé la mise en place de la gratuité des manuels scolaires
pour l’ensemble des apprentis. En conséquence, les livres sont fournis par le CFA en début d’année sco-laire et doivent être rendus en fin d’année scolaire.
L’équipementLors de l’inscription au CFA, une liste de matériel et fournitures est remise à l’apprenti qui doit les ache-ter afin de s’équiper en fonction de son métier.
Le Conseil Régional des Pays de la Loire a décidé de verser une « dotation d’aide à l’acquisition du pre-mier équipement professionnel ». Ce montant varie en fonction des diplômes préparés. Elle est attribuée au CFA qui la reverse aux familles.
Les AidesAvec le «Pass apprenti», la Région des Pays de la Loire participe au financement des frais de transport et d’hébergement liés au contrat d’apprentissage. Le «Pass apprenti » contribue ainsi à l’égalité d’accès à la formation des 15-30 ans qui ont fait le choix d’une formation en alternance et à la sécurisation de leur parcours de formation.
Pour améliorer les conditions de vie et l’insertion des jeunes ligériens dans la société et dans le monde du travail et pour réduire les inégalités d’accès au loge-ment, à la santé, au transport, à la culture et au sport, la Région des Pays de la Loire a également créé le « Pack 15-30 ». Pour plus d’informations : http://jeu-nesse.paysdelaloire.fr
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L’Espace Formation du Saumurois
Un espace de formation de qualité et un envi-ronnement privilégiéL’Institut de Bijouterie de Saumur est installé au sein de l’Espace Formation du Saumurois, princi-pal centre de formation professionnelle du bassin saumurois.
Labellisée Ville d’Art et d’Histoire depuis 2007, Saumur est une ville de 30 000 habitants possé-dant un patrimoine naturel et culturel exception-nel au cœur des vignobles et au fil de la Loire. La Ville accueille plus de mille étudiants chaque année, bénéficiant d’un cadre de vie de qualité, rythmé par de nombreuses animations culturelles et événementiel. plus d’informations sur www.ot-saumur.fr
Idéalement situé près du centre ville et de la gare routière scolaire, il regroupe un espace de for-mation continue et un Centre de Formation d’Ap-prentis spécialisé dans les métiers de la bijoute-rie, coiffure, hôtellerie - restauration, logistique vente - commerce.
Cet espace de formation, implanté depuis juil-let 2000, occupe une surface totale de 4500 m². Il compte : 54 salles de formation dont 28 salles spécialisées, 20 salles polyvalentes et 6 salles techniques, un amphithéâtre de 200 places - un centre de ressources avec documentation spécia-lisée en Bijouterie - Horlogerie (publications en série, ouvrages, annuaires, catalogues…).
Nos moyens pédagogiquesLes locaux dédiés aux activités de formation en
bijouterie comprennent notamment :• salles informatiques multimédia dont une salle
équipée de logiciels professionnels de bijouterie de CAO/DAO tels que 3Design, Rhinogold, Solid-works et d’un logiciel de gestion commerciale Bijou 3
• 6 ateliers de bijouterie équipés de 12 à 16 postes de travail individualisé soit un total de 74 places d’établis équipés
• 1 atelier de sertissage équipé de 12 postes de travail individualisé avec travail sur binoculaire et trinoculaire
• une salle de gemmologie de 12 à 14 places équipée de : - télévision, caméra sur binoculaire, immer-sionscope, laboratoire portable - réfractomètres, binoculaires, testeurs, spec-troscopes, balance hydrostatique
• 3 salles de dessin d’art et modelage • un atelier de fonte• une salle de vente-étalage équipée de vitrines
pour la présentation marchande des bijoux et montres.
• Une salle technique : impression 3D, gravure, laser,
galvanoplastie, PUK
L’équipe pédagogiqueL’équipe pédagogique est composée de 20 forma-teurs :• Formateurs permanents de l’IBS intervenant en
enseignement général, technique et profession-nel
• Professionnels experts dans leurs domaines d’intervention tels que le sertissage, la gravure, la gemmologie, la joaillerie…
Chaque formateur professionnel possède une ex-périence significative en entreprise.
Vie pratiqueLa restaurationUn self service cafétéria est à disposition le midi au sein de l’Espace Formation du Saumurois
L’hébergementLe centre de formation oriente les apprentis et stagiaires vers différentes structures d’héberge-ment.
- Foyer des Jeunes Travailleurs (FJT) - 3 rue Fourrier 49400 Saumur - Tél : 02 41 51 05 53
- Chez l’habitant: mise en relation entre demandeurs et familles d’accueil ([email protected])
- Résidence étudiante Rabelais (Saumur Habitat Tel: 02.41.83.48.10)
Plus d’infowww.agglo-saumur.fr/logement_jeunes.cfm
Chaque apprenti ou stagiaire doit contacter direc-tement la structure afin d’effectuer sa réservation selon les modalités proposées par chaque éta-blissement.
Info
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Saumur
Formationsdu CAP
à BAC +2
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www.institutdebijouterie.fr
Espace Formation du SaumuroisSquare Balzac • 49412 Saumur cedex
Tél : 02 41 83 53 93 • Fax : 02 41 83 53 84 facebook.com/InstitutdebijouteriedeSaumur
www.institutdebijouterie.fr
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