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IRENE PÉREZ ÍÑIGUEZ
Travail nº1. Recherche sur une pathologie
PATHOLOGIE : LOMBALGIE
Une lombalgie est un état douloureux du rachis lombaire. Il s'agit du mal de
reins ou, quand l'affection résulte plus exactement d'un mouvement excessif,
du tour de reins. La lombalgie peut être aiguë (il est alors question de lumbago) ou
devenir chronique, invalidante.
La lombalgie chronique est une pathologie courante. Avec incidence comprise
entre 60% et 90% et une prévalence estimée à 26,9%, elle constitue le trouble
musculosquelettique le plus fréquent devant les scapulalgies et les cervicalgies.
LES FACTEURS DE RISQUES :
Personnels (Âge élevé, Antécédent de lombalgie, Sexe féminin )
Propres à la maladie
Professionnels : inadaptation physique et surtout insatisfaction
professionnelle
Socio-économiques : bas niveau d’ éducation et de ressources
Médico-légaux : prise en charge au titre accident du travail ou tout autre
litige médicolégal
Phycologiques : terrain dépressif, sensation d’être «toujours malade»
SYMPTÔMES
Douleur de la région lombaire, souvent en barre ;
survenue brutalement lors d'un effort ;
irradiation possible vers les fesses, les cuisses, les genoux ;
majoration des douleurs lors des mouvements et des efforts.
diminution des douleurs lors du ménagement ou du repos ;
accompagnée de radiculalgies ou sciatique ;
La durée des symptômes est variable, souvent quelques jours (lombalgie
aiguë), parfois plusieurs années (lombalgie chronique).
SIGNES CLINIQUES:
Sensation de craquement
Redressement impossible
Douleur lombo/ fessière
Exacerbée par toux, éternuements, défécation
Colonne enraidie + attitude antalgique
A la palpation, on note des points paraC4-C5 et C5-C6 à droite.
Tendomyose des trapèzes bilatéralement. ????
Au niveau lombaire : L’indice de Schöber est de 10 à 14 cm avec une distance
doigst-sol atteignant les chevilles. La rétropulsion ainsi que les latéroflexions son
doloureuses et réduites principalement à gauche.
Le Lasège est légèrement positif à gauche. Présence de points de Valleix à gauche.
Les reflexes ostéo-tendineux sont présents et symetriques.
EXAMEN NEUROLOGIQUE
- Déficit moteur exemple ?
- ROT
- Recherche d’un signe de LASSEGUE
LES DIFFÉRENTS TYPES DE LOMBALGIES
Ces lombalgies évoluent généralement vers une guérison rapide et ne nécessitent
pas d’explorations poussées. On parle de lombalgies chroniques lorsque l’évolution
se fait sur plus de trois mois. Si le lumbago est la plus fréquente des lombalgies
communes aiguës, on compte bien d’autres formes de lombalgies :
1.La lombalgie commune
La douleur est déclenchée par un long trajet en voiture, un effort ou un faux
mouvement. Elle s’installe d’une manière brutale ou progressive, elle peut être
exacerbée par la toux, l’éternuement ou la défécation. Elle ne réveille pas la
nuit sauf lors des changements de position et l’état général n’est pas altéré.
Il peut s’agir d’une protusion discale : un mouvement a trop sollicité le disque
intervertébral dont le noyau a migré vers l’arrière. Les muscles se contractent
pour l’empêcher d’aller plus loin mais souvent, c’est la douleur et le blocage.
Dans de nombreux cas on sait mal identifier l’élément anatomique en cause.
C’est pour cette raison que l’on parle de lombalgie commune.
Dans la discarthrose le disque est réduit à une lame de tissu fibreux fendillé
avec parfois un vide discal. Des ostéophytes apparaissent sur le pourtour du
disque. La disparition des douleurs coïncide avec la quasi-disparition du
disque et la stabilisation des ostéophytes.
Les arthroses discales provoquent une inflammation de voisinage expliquant
la raideur lombaire. L’inflammation et la douleur disparaissent en deux ou
trois semaines.
2.La lombalgie par arthrose interapophysaire postérieure
Cette lombalgie touche surtout les femmes obèses présentant une
hyperlordose (reins trop cambrés) vers la soixantaine. La douleur est
accentuée par la position penchée en avant.
3.Le canal lombaire rétréci
La partie basse de la colonne vertébrale et les passages de nerfs sont trop
étroits. Des phénomènes de tassement, de comblement et un écrasement des
racines nerveuses apparaissent avec l’âge.
4.La sciatique ou la cruralgie
L’arthrose lombaire peut se compliquer par la compression de la moelle ou
des nerfs sciatiques ou cruraux. Le noyau du disque pousse et fait hernie ou
bien il y a hypertrophie osseuse. La douleur de la sciatique commence au bas
du dos, descend vers la fesse chemine à l’arrière de la cuisse pour atteindre la
jambe puis le pied. La cruralgie suit le trajet du nerf crural : la douleur débute
au bas du dos et chemine vers l’avant de la cuisse.
ETIOLOGIE
- Hernie discale
- Inflammation radiculaire pure
- Compression musculaire (syndrome du pyramidal)
- Inflammation discale
- Inflammation articulaire postérieure
- DIM L4-L5, L5-S1, sacro-iliaque
LE TRAITEMENT
Le traitement de la lombalgie commune fait appel à des antalgiques (paracétamol,
paracétamol codéiné), des anti-inflammatoires, des myorelaxants et parfois des
infiltrations de dérivés cortisoniques. Un arrêt de travail peut être prescrit en
fonction de l’intensité des douleurs mais doit rester très limité dans le temps car la
mise au repos de façon trop prolongée compromet les chances de retour à la « vie
normale ».
La rééducation par kinésithérapie est surtout utile à distance de l’épisode aigu
pour renforcer la musculature abdominale et dorsale pour prévenir les récidives.
Enfin, dans de très rares cas, le traitement de la lombalgie mécanique nécessite un
geste chirurgical comme par exemple lors d’une lombosciatique paralysante avec
perte de la force musculaire ou en cas de hernie discale entrainant une
compression d’une racine nerveuse et des douleurs résistantes au traitement
médical bien conduit.
-AINS / corticoïdes / Antalgiques/ TENS / Fango
-Repos
-Mésothérapie
-Infiltration +/- guidée
-Proprioception
- AVJ
-Ou chirurgie
EXAMENS COMPLÉMENTAIRES
Des examens complémentaires d’imagerie sont le plus souvent inutiles.
Des radiographies standards peuvent être prescrites si on suspecte un autre
diagnostic qu’une pathologie mécanique.
Un scanner ou une IRM ne seront en général prescrits qu’en cas de paralysie, qui
est une urgence thérapeutique, en cas de suspicion de tumeur ou d’infection ou si
les douleurs évoluent depuis plus de 7 semaines.
Anamnèse du patient
Consultation du dossier médical:
Nom : C
Prénom: FM
Âge: 50 ans.
Taille: 1,50
Poids: 67
BMI : 29.7 kilos/m2
Profession: Maîtresse
Médicale:
Diagnostic:
Douleurs lombo-sciatalgie gauche
Histoire:
Cette patiente, âgée de 50, institutrice martenelle en incapacité depuis deux mois,
consulte pour deux problèmes :
D’ une part, elle se plaint de scapulalgies droites s’accompagnant d’une
réduction des amplitudes ainsi que de cervicalgies.
Elle avait présenté une tendinite à l’épaule droite en Juin 2012 qui avait très bien
répondu à un traitement infiltratif mais de façon très temporaire.
Est apparue progressivement une ankylose de l’épaule droite avec des
répercussions dans les gestes de la vie de tous les jours. Elle ne sait pas, par
exemple, se laver les cheveux avec le membre supérieur droit.
Le bilan radiologique réalisé en 2013 montrait une tendinopathie du sous-
scapulaire et surtout du supra-épineux (amas calcaire de plus de 24mm de grand
axe). À noter également une légère dégénérescence graisseuse du muscle supra-
épineux.
D’autre part, elle se plaint d’une lombo-sciatalgie gauche pour laquelle elle
avait bénéficié d’une infiltration péridurale L5-S1 le 27 Janvier 2014.
Le Ct-scan de la colonne lombaire réalisé le 26 novembre 2013 montre en L5-S1
une sténose foraminale dégénérative multifactorielle pour la racine L5 gauche
(grosse arthrose postérieure gauche et étalement circonférentiel du disque
prédominant à gauche entraînant une mise à l’étroit de la racine S1 gauche dans
son trajet foraminal).
Médicaments :
Dolzam Retard 75mg 2x1 comprimé par jour
Familiale :
Situation : Elle est mariée
Antécédents
Elle présente en effet, une hypothyroïdie disgnostiquée il y a cinq ans, traitée par
Elthyroxine 50 gamma.
Elle signale des ongles cassants, une tendance à la perte des cheveux et une prise
de poids de 9kg en un an, sans modification des ses habitudes alimentaires.
Elle est suivie par la diététicienne, Madame Minet (el )elle a perdu 1.5 kg en huit
semaines.
Elle se dit plus nerveuse, plus fatiguée et elle décrit une sensation de boule dans la
gorge.
DANS SES ANTÉCÉDENTS HÉRÉDITAIRES, on note un problème thyroïdien chez la
mère, un diabète de type II chez une tante et un excès pondéral chez la mère et les
deux grands-mères.
DANS SES ANTÉCÉDENTS PERSONNELS, on note une gastrite, une tendance à
l’hypotension.
Socio-professionnelle
BIBLIOGRAFIA
http://www.medico-sport.com/fileadmin/user_upload/ Contenuscientifique/Lombalgies___Lombosciatalgies.pdf
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lombalgie
http://www.chu-toulouse.fr/-la-lombalgie-ou-mal-au-bas-du-dos-
Travail 2 : Bilans de prise en charge et objectifs de traitement.
L'EVALUATION DE LA POSTURE
Fond de panier :
Penchée sur le côté droit
Épaule droite vers le bas, pas de niveau
Commune apparemment droite vertébrale, avec une inclinaison vers la
droite.
Double ligne poplitée droite
Chevilles alignées
Je peux observer les genoux varus
Côté latéral : (masculino)
Lordose cervicale
Éminent col de l'utérus 7
Abdomen proéminent
Lordose lombaire
Genoux au point mort
BILAN DOULOUREUX (masculino)(échelle du 0-10)
Jour Nuit Seánce MarcheFesse 4 10 10 8Coccyx 4 10 10 10Inferiur Gauche
3 4 4 6
BILAN MUSCULAIRE
HANCHE GAUCHE DROITEFlexion L4 L4Extensión L3 L3Abduction L3 L4Adduction L4 L4Rot. Interne L3 L4Rot. externe L3 L4
GENOUX GAUCHE DROIT(masculino)Flexion L5 L5
Extension L5 L5
BILAN ARTICULAIRE
MOBILISATION DE LA COMLUMNA LOMBAIRE
DEGRÉS
Latéralisation du tronc D Gamme normal de mouvementLatéralisation du tronc G 15Flexion lomboire du tronc Gamme normal de mouvementExtension lomboire du tronc 5
HANCHE GAUCHE DROITEFlexion A: 110 P:135 A:120 P:145Extension A:10 P:15 A:10 P:15Abducion A:40 A:45Adduccion A:30 A:30
GENOUX GAUCHE DROIT(masculino)Fexion Gamme normal Gamma normalExtension Gamma normal Gamma normal
BILAN PALPATOIRE ET VISUAL
Contracture au bas du dos
Contracture gluteusmedius ?????? gauche
Contracture MI gauche
Sacrés horizontales
Varices jambe droite
Shortening : Quadriceps, ilio-psoas, pyramidales, plus contractée dans le
gauche.
Contracture du muscle droit fémoral (psoas): genou en position couchée
conduit à la poitrine, et laisse tomber l'autre jambe étendue. Il y a une plus
grande tension côté gauche.
Mise en tension ligamentaire sacro-iliaqueessai ??????
L4 ligaments ilio-lombaire droite et gauche
Ligaments sacro-iliaque postérieur gauche
Ligament sacrotubéral gauche
Test de diagnostic
1. Lassegue :Test de Lassègue révèle l'existence d'une radiculopathie
lombaire cause mécanique. (-)
2. Manœuvre Vasalva :Cette manœuvre mécanique cel détecte l'atteinte du
nerf sciatique. (-)
3. Test stress sacro-iliaque: Ce test montre non spécifique pathologie d ela
région sacro-iliaque. Résultat positif: la présence d'une douleur irradiant
vers les fesses et le dos de la jambe. (+)
4. Test de Gaeslen: évalue la dysfonction sacro-iliaque. (+)
5. Test de Yeoman: ligaments sacro-iliaques étude fonctionnalités. (+)
6. Test de Gillet: Pour détecter une éventuelle limitation de la mobilité sacro-
iliaque. (+)
7. Test de Ober: Pour évaluer la contracture de la bandelette de Maissiat. Les
résultats sont relativement plus élevés dans la gauche.
La tension est de 10/6, le pouls était régulier à 80 /min.
L’auscultation cardiopulmonaire était banale.
Les pouls périphériques étaient palpés.
Il n’avait pas d’œdème des membres inférieurs.
L’abdomen était sensible de façon diffuse.
La thyroïde était palpée, légèrement indurée, sensible à la palpation.
Elle ne semblait pas augmentée de volume.
On remarquait une petite adénopathie latéro-cervicale droite.
BILAN PSICHOLOGIQUE
La patiente dit de ne pas développer une dépression par la maladie. Je pense
qu'elle est dans une dépression, parce que parfois les cris et les plaintes visées par
la terrible douleur qui se produit pendant les nuits. La patiente se plaint d'être
fatiguée. En outre, la patiente ne doit pas exécuter ses activités normales de la vie
quotidienne et non plus se présenter au travail.
Note: Je conseille à la patiente de recourir à la néphrologue pour exclure toute
pathologie des reins, car la patiente signale des infections urinaires fréquentes.
DIAGNOSTIC KINÉ
Compte tenu de tous les éléments (que) nous pouvons conclure que nous avons
une lésionnelle ???chaîne latérale plus prononcée gauche, qui (est la) déclenche le
problème au niveau lombaire:
Comme le principal problème, il y a ??? une participation conjointe Sacro-
iliaque droite, ce qui pourrait être la cause de l'irradiation à l'élément
inférieur, ainsi que responsable de l'apparition de points déclencheurs dans
fessier, psoas et carré des lombes.
Il est ??? l'implication de la colonne lombaire, celle-ci étant plus marquée
charnière lombo- sacrée niveau. Où nous trouver une hypertonie conjointe
de la masse musculaire lombo-sacrée, et muscles fessiers sont fiables.
Apparaît une restriction de la mobilité niveau de la hanche gauche, avec
considérables adducteurs niveau de stress, psoas-iliaque et droit antérieur.
Il y a un niveau de tension importante abdominale.
OBJECTIFS THÉRAPEUTIQUES
1. Objectifs à court terme :
- Réduire la douleur des structures anatomiques touchées: le bas du dos, la
zone pelvia et la jambe gauche.
- Diminution de spasmes musculaires.
- Réduire la composante inflammatoire.
- Inhiber les points de douleur maximale: les points de déclenchement carré
des lombes, psoas-iliaque, ischio-jambiers.
- Réduire le niveau de préoccupation du patient à la douleur perçue.
- Améliorer les habitudes de posture.
- Améliorer la mobilisation des sacro-iliaques.
- Améliorer la circulation sanguine.
- Améliorer la stabilité dorso-lombaire et lombo-sacrée.
2. Objectifs à long terme :
- Ce qui précède, et ce que décrit ci-dessous :
- Stabilisation multifidus, transversus de l’abdomen, interne oblique et fessier
medius.
- Tonus: le grand fessier, psoas et carré des lombes.
- Augmenter la force musculaire: ischio-jambiers, droit de l'abdomen,
obliques externes adducteurs de la hanche, et pyramidales.
- Augmenter la résistance. L'inactivité entraîne une perte musculaire continue
de fitness.
- Renforcer les capacités physique et fonctionnelle pour le travail comme
infirmière.
- Modification des conditions de travail et l'environnement social.Améliorer
l’hygiène posturale au ping-pong.
- Traiter les aspects psychologiques du problème.
- Rééducation pour eviterle position lordotique.
Travail 3 : Élaboration de la prise en charge du patient.
TRAITEMENT KINÉ (effectué) :
Les deux premières semaines
1. Diminué seuil de la douleur. Il met les TENS patient dans les deux lombaires
et le sacrum-coccygien, en cherchant à réduire l'hyperalgésie région
lombaire.
2. Thermothérapie en lombaires et sacrées.
3. Massothérapie: le bas du dos, les fesses et jambe gauche.
4. Approche, point de déclenchement (point trigger) : carré lombaire,
pyramidale et ischio-jambiers.
Je décide de réaliser ce traitement pendant les premiers jours car la patiente a une
grande irritabilité et douleur.
Semaine 3-4 :
1. Tout cela ????
2. Massage descontracturant : pyramidal, ischio-jambiers, fesses.
3. Déverrouillage de l'articulation sacro-iliaque
- L'étirement des pelvitrocantéreos région
- La manipulation de l'articulation sacro-iliaque en décubitus
controlatéral,cherche à ouvrir l'articulation et de donner de la mobilité.
- Diminuer la tension des ligaments sacro-iliaques postérieurs,(masculino)
sacrotubéral et ilio-lombaire, par la technique de friction transversale.
4. Amélioration de la mobilité de la hanche. Longitudinale détendre en massant
les bandes tendues: rectusfemoris, adducteurs et du psoas. ??????
5. Streching : psoas, fesses, pyramidal, ischio-jambiers.
- Des exercices d'étirement:
A) Psoas-iliaque : Patient en décubitus dorsal avec la hanche et du genou ??
fléchi. Physiothérapeute dans le côté ???? ipsilatéral, à la hauteur de
l’hanche. Main proximale sensibilisée du thérapeute est ???z one
lombaire à côté de l'insertion du psoas. Main distale du thérapeute est
placée(femenino) sur la cheville (cheville)(realizanco) ??? en réalisant
rotation externe conjointe et de la hanche précédemment. Ensuite, nous
demandons à la patiente d'étendre la jambe lentement. Par la suite, la
patiente va fléchir pour atteindre la position de départ. Elle-même, mais
avec une rotation interne.
B) Pyramidal :
6. Renforcement :
A) Droit Abdominale. La abdominale doit toujours être réalisé ??? en évitant
la compression du sacrum. Donc, pour éviter couchée extension ???? des
membres inférieurs.
B) Ischio-jambiers,obliques externes et pyramidales (couché).
C) Adducteurs de la hanche : quatre pattes.
7. L'activation
A) Transversu abdominale ???. Abdominalehypopresivo. ????????
B) L'exercice devrait être effectué (dans des positions couche) en position
couchée. Cette position permet que les mouvements compensatoires
volonté évités bassin ??? . Il prend en charge le poids du corps. La
patiente peut faire l’exercice (, car elle ne présente pas de difficultés à
respirer.) Avec le dos un peu arrondi inspirer , nous bloquons la
respiration et faire une forte contraction de l'abdomen et tenir quelques
secondes ??????? .Expirer doucement et revenir à la position de départ
pour effectuer le plus souvent réalisé ?????. Si nous faisons debout l´
exercice on peut incliner le tronc et courber le dos, tout en appuyant les
mains sur les cuisses, les genoux pliés et les pieds soutenir légèrement
vers l'avant.
C) Multifidus.
-Variante bilatérale: l'espace pouces vertébrale ????? entre transversale et
épineux, douce pression médiatique. Slogan verbal: «(poussé) poussez mon
doigt vers le haut" vos muscles renflement.
- Variante unilatérale: les deux pouces appuyant sur un épineux vers la table.
Slogan: "ne laissez pas les déplacer"
D) L'activation des muscles extenseurs de la hanche.
Permanent et par des manuels de référence, nous allons essayer de faire
la patiente consciente de la nécessité d'activer les muscles, pour puis
transfert ??? à utiliser le haut.
8.Une fois que nous avons atteint la position neutre, nous allons commencer à
travailler chaîne cinétique fermée, de sorte que la patiente continue à assurer le
contrôle du rachis lombaire-sacré (masculino) :
A) Lunge B) Squat C) Squat : surfaces
instable
8. Exercices de stabilisation lombo-pelvienne en chaîne cinétique
ouverte : Contractions isotoniques: concentrique et excentrique. Avec ces
exercices nous poursuivons les objectifs suivants.
- Diminution des compensations région lombo-pelvienne au cours de la
hanche
- Réduire l'hypertonie dans la mobilisation.
- Augmenter la force musculaire et l'endurance du tronc.
- Note:Les stabilisants primaires luttent (plural) contre la lordose. L'exercice
devrait être fait en ouvrant les jambes jusqu'à ce qu'elles perdent la neutralité
du bassin.
Quatre pattes :
A) Flexion du membre supérieur et (d')extension des membres inférieurs.
B) Enlèvement de jambe à quatre pattes : Pas ouvrir plus de 45º. Evitez
rotation du bassin. ?????????
Note : Vous devez prendre deux fois plus de temps à descendre que vers le haut.
Plus de temps excentrique que concentrique.
Debout
C) Flexion de hanche. D) Séparation de hanche.
9. Cryothérapie dans zone sacrée pendant dix minutes.
10. Correction de la posture par des exercices pédagogiques pour effectuer à la
maison.
DISCUSSION
Pendant les deux premières semaines de traitement proposé par le médecin, la
patiente n'a pas eu d'amélioration, en termes de douleurs du sacrum. Le bas du dos
si elle est déposée, il y a moins de contractures.
J'ai décidé de réaliser les tests décrits ci-dessus parce que j'ai senti une sacro-iliite
possible. En effet, les tests sont positifs pour les sacro-iliite. Alors que les tests de
maux de dos musculaire ou nerveuse lumbago négative ????? . En outre, la patiente
hernie si la douleur peut résulter de cette condition ?????? . Moi-même j'ai conseillé
à la patiente de consulter un néphrologue pour exclure d'autres pathologies. Elle
est allée vers un néphrologue privé le 29 Mars. En effet, la patiente reçoit des
nouvelles qu´elle a un kyste de deux ??????? dans le rein gauche, excroissance
rénale gauche.
Ainsi, cette nouvelle constatation qui justifie LBP n'est pas la priorité de la maladie
de la patiente et que par conséquent, toute thérapie physique qui a été faite était
insuffisante.
Lorsque nous avons une lombalgie d'origine viscérale, le traitement de première
ligne doit viser à l'action sur les viscères et le viscéral commun, il est avec les
autres viscères, mesos, l'épiploon, etc… ainsi, la manipulation viscérale sera
technique de choix. Je suggère (à )la visite de la patiente chez le spécialiste
ostéopathe viscéral, avec des rapports médicaux correspondants.
Ces exercices proposés doivent être effectués à quatre pattes ou debout pour éviter
la compression du sacrum pendant les exercices. Évitez les exercices en position
assise ou couchée. Les exercices doivent être changés à:
- - Encourager la patiente
- - Parce qu'il y a un logement au même stimulus et une réponse unique
Références :
1. Lumbalgia y lumbociatalgia /Barcelona [etc.] : Masson, 2001-2002
2. El paciente con lumbalgia / por Joan G. LaFreniere. LaFreniere, Joan G. Barcelona : Toray-Masson, 1981.
3. Dolorlumbar [Recursoelectrónico] / Enrique Chicharro Serra. Chicharro Serra, Enrique. México D.F. : Editorial Alfil, 2006
4. Contribution to the study of the strain-inducedlumbalgic syndrome]. [Italian] Rassegna di MedicinaIndustriale e di IgienedelLavoro. 29:99-106, 1960 Mar-Apr.Rass Med IndIg Lav. 29:99-106, 1960 Mar-Apr
5. Lumbalgicdisability and its compensation in workpathology]. [French] L'invalidite lombalgique et sa reparation en pathologie due travail. Revue du Rhumatisme et des Maladies Osteo-Articulaires. 45(3):supp 22-7, 1978 Mar.