resumenes

7
1614 Resumenes Attitudes des me decins ge ne ralistes francË ais vis-aÁ -vis du traitement de maintenance des toxicomanes avec de la bupre norphine J. P. Moatti, M. Souville, N. Escaffre & Y. Obadia Objectifs: e valuer les attitudes des Me decins Ge ne ralistes (MG) vis-aÁ -vis du traitement de maintenance des toxicomanes avec de la bupre norphine juste apreÁ s son introduction dans les soins ambulatoires en fe vrier 1996. Type d’e tude: une enqueà te verticale a e te effectue e en avril 1996 par des entretiens teÂleÂphoniques sur un eÂchantillon national randomise de MG francËais (n 5 1,186; taux de reÂ- ponse 5 70,3%). Mesures: l’expe rience des MG avec les soins des patients UDI et de l’infection VIH au cours des douze derniers mois a e te analyse e, et les auteurs ont utilise lemodeÁ lede re gression logistique pour identi® er les caracte ristiques des MG associe es aÁ leur facilite prescrire de la bupre norphine pour le traitement de maintenance. Re sultats: une minorite (24,0%) de MG soignait les patients UDI et 30,8% d’entre eux e taient pre pare s aÁ la prescription de bupre norphine (contre seulement 7,5% dans le reste de l’e chantillon). Une attitude positive du MG vis-aÁ -vis de la bupre norphine e tait lie e au fait d’avoirdeÂjaÁ soigne des UDI et prescrit des opiace s pour soulager pour le traitement des douleurs et pour les soins palliatifs, aÁ la tole rance vis-aÁ -vis de l’usage de drogues et des caracte ristiques personnelles telles que l’usage et l’inte reà t pour la psychanalyse. Conclusions: donner une grande liberte de prescription de bupre norphine (plutoà t que de la me thadone) aÁ tous les MG ne conduit pas aÁ une plus grande acceptation de l’usage de drogues pour le traitement des UDI. Le de veloppement de re seaux organise s entre les diffe rents services de spe cialistes pour le traitement de la toxicomanie et les MG motive s s’aveÁ re ne cessaire pour maximiser des pratiques de prescriptions approprie es. ModeÁ les d’usage de drogue chez les colle giens au Mexique Jorge A. Villatoro Velazquez, Ma. Elena Medina-Mora Icaza, Francisco Jua rez Garcõ  a, Estela Rojas Guiot, Silvia CarrenÄ o Garcõ  a & Shoshana Berenzon Gorn Objectif: cetteeÂtudeaeÂte effectue e aupreÁ s de colle giens usagers de drogues dans des zones urbaines au Mexique a® n de de crire les modeÁ les d’usage de drogues et les comportements lie s aÁ la drogue chez des adolescents et de de velopper des modeÁ les de pre diction de sche mas applicables aÁ l’usage de drogue des mineurs. Type d’e tude: une enqueà te nationale dans les e coles a e te mene e parmi les e leÁ ves des colleÁ ges et les donne es ont e te fournies par l’Etat. Seuls les sites urbains ont e te pris en compte dans cette e tude (n 5 40,521). Les auteurs ont utilise un e chantillonnage strati® e deux niveaux; les e coles et les groupes au sein des e tablissements scolaires formaient les unite s d’e chantillonnage. Conclusions: les adolescents de sexe masculin qui avaient travaille l’anne e pre ce dente, qui vivaient dans une famille expose e, et qui avaient des camarades utilisant de la drogue, pre sentent un risque accru de devenir des usagers de drogues, et d’eà tre sujet aÁ la de pression et aÁ des ide es de suicide ainsi qu’ aÁ des probleÁ mes sociaux lie s aÁ la drogue. Resumenes MIGUEL CASAS Unidad de Toxicomanõ  as, Programa Sant Pau-CITRAN, Hospital de Santa Creu i Sant Pau, C. St. Antoni M. Claret, No. 167, 08025-Barcelona, Spain Editorial: Los riesgos respiratorios del consumo de canabis Wayne Hall El consumo de canabis ha sido descrito como ª relativamente no perjudicialº a pesar de los

Upload: miguel-casas

Post on 06-Jul-2016

212 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: Resumenes

1614 Resumenes

Attitudes des me decins ge ne ralistes francË ais vis-aÁ -vis du traitement de m aintenance des

toxicom anes avec de la bupre norphine

J. P. M oatti, M . Souville, N. Escaffre & Y. Obadia

Objectifs: e valuer les attitudes des Me decins Ge ne ralistes (MG) vis-aÁ -vis du traitement de maintenance

des toxicomanes avec de la bupre norphine juste apreÁ s son introduction dans les soins ambulatoires en

fe vrier 1996. Type d’ e tude: une enqueà te verticale a e te effectue e en avril 1996 par des entretiens

te le phoniques sur un e chantillon national randomise de MG francË ais (n 5 1,186; taux de re -

ponse 5 70,3%). Mesures: l’ expe rience des MG avec les soins des patients UDI et de l’ infection VIH au

cours des douze derniers mois a e te analyse e, et les auteurs ont utilise le modeÁ le de re gression logistique

pour identi® er les caracte ristiques des MG associe es aÁ leur facilite aÁ prescrire de la bupre norphine pour

le traitement de maintenance. Re sultats: une minorite (24,0%) de MG soignait les patients UDI et

30,8% d’entre eux e taient pre pare s aÁ la prescription de bupre norphine (contre seulement 7,5% dans le

reste de l’e chantillon). Une attitude positive du MG vis-aÁ -vis de la bupre norphine e tait lie e au fait

d’ avoir de jaÁ soigne des UDI et prescrit des opiace s pour soulager pour le traitement des douleurs et

pour les soins palliatifs, aÁ la tole rance vis-aÁ -vis de l’ usage de drogues et aÁ des caracte ristiques

personnelles telles que l’ usage et l’ inte reà t pour la psychanalyse. Conclusions: donner une grande liberteÂ

de prescription de bupre norphine (plutoà t que de la me thadone) aÁ tous les MG ne conduit pas aÁ une

plus grande acceptation de l’ usage de drogues pour le traitement des UDI. Le de veloppement de

re seaux organise s entre les diffe rents services de spe cialistes pour le traitement de la toxicomanie et les

MG motive s s’ aveÁ re ne cessaire pour maximiser des pratiques de prescriptions approprie es.

M odeÁ les d’usage de drogue chez les colle giens au M exique

Jorge A. Villatoro Velazquez, Ma. Elena Medina-Mora Icaza, Francisco Jua rez Garcõ a, Estela Rojas

Guiot, Silvia CarrenÄ o GarcõÂ a & Shoshana Berenzon Gorn

Objectif: cette e tude a e te effectue e aupreÁ s de colle giens usagers de drogues dans des zones urbaines

au Mexique a® n de de crire les modeÁ les d’usage de drogues et les comportements lie s aÁ la drogue chez

des adolescents et de de velopper des modeÁ les de pre diction de sche mas applicables aÁ l’ usage de

drogue des mineurs. Type d’ e tude: une enqueà te nationale dans les e coles a e te mene e parmi les e leÁ ves

des colleÁ ges et les donne es ont e te fournies par l’Etat. Seuls les sites urbains ont e te pris en compte

dans cette e tude (n 5 40,521). Les auteurs ont utilise un e chantillonnage strati® e aÁ deux niveaux; les

e coles et les groupes au sein des e tablissements scolaires formaient les unite s d’ e chantillonnage.

Conclusions: les adolescents de sexe masculin qui avaient travaille l’ anne e pre ce dente, qui vivaient

dans une famille expose e, et qui avaient des camarades utilisant de la drogue, pre sentent un risque

accru de devenir des usagers de drogues, et d’ eà tre sujet aÁ la de pression et aÁ des ide es de suicide ainsi

qu’ aÁ des probleÁ mes sociaux lie s aÁ la drogue.

Resumenes

MIGUEL CASAS

Unidad de ToxicomanõÂ as, Programa Sant Pau-CITRAN, Hospital de Santa Creu i Sant

Pau, C. St. Antoni M. Claret, No. 167, 08025-Barcelona, Spain

Editorial: Los riesgos respiratorios del consum o de canabis

Wayne Hall

El consumo de canabis ha sido descrito como ª relativamente no perjudicialº a pesar de los

Page 2: Resumenes

Resumenes 1615

carcino genos contenidos en el humo del canabis y las evidencias de que el canabis deteriora la

respuesta inmunolo gica y produce bronquitis y cambios patolo gicos en los tejidos pulmonares. Desde

la perspectiva de la salud pu blica, los riesgos respiratorios del consumo de canabis son muy inferiores

a los producidos por el consumo de tabaco, debido a que en las sociedades occidentales hay muchos

ma s consumidores diarios de tabaco que de canabis, y la mayorõ a de estos u ltimos dejan el consumo

en la medianõÂ a de los veinte. Sin embargo, existe un riesgo para aquellos que consumen canabis

diariamente durante de cadas. Por otro lado, la di® cultad de diferenciar los riesgos del consumo de

canabis y de tabaco no exculpa al canabis como causa de enfermedades respiratorias. Las personas

que so lo han fumado canabis tienen õ ndices ma s elevados de signos y sõ ntomas adversos que los no

fumadores, y los consumidores de canabis que tambie n fuman tabaco tienen mas efectos respiratorios

adversos que aquellos que so lo fuman canabis o tabaco. Los riesgos respiratorios de fumar canabis

podrõ an eliminarse si se utilizara la võ a oral, pero esto es inprobable ya que es ma s fa cil valorar la dosis

de THC fumando. Los me dicos deberõ an advertir a los consumidores habituales de canabis acerca

de los riesgos respiratorios que conlleva el fumar canabis, especialmente aquellos que fuman tabaco

y que presentan sõÂ ntomas respiratorios.

La ciencia y las polõ ticas sobre el alcohol a nivel local: una asociacio n respetable

Harold D. Holder & Robert Reynold s

Este artõÂ culo describe el intercambio de trabajo entre los cientõÂ ® cos que disenÄ aron un ensayo de

prevencio n en tres comunidades de Estados Unidos (1990 ± 1995) para reducir las lesiones rela-

cionadas con el alcohol a nivel comunitario, y los organizadores comunitarios y polõÂ ticos de dichas

comunidades experimentales. Hallamos que los investigadores aportaron conocimientos cientõÂ ® cos

de polõÂ ticas sobre alcohol potencialmente efectivas, pero no tenõÂ an ninguna experiencia con la

cultura, prioridades o procesos locales; de forma inversa, los organizadores comunitarios entendõÂ an

la situacio n local pero no tenõ an conocimientos acerca de estrategias de prevencio n que, en base a

evidencias anteriores, podrõ an funcionar. Tambie n hallamos que las comunidades esta n interesadas

en la aportacio n de la ciencia para seleccionar polõ ticas locales sobre el alcohol, pero los cientõ ® cos

no entienden las dina micas locales lo su® cientemente bien como para dirigir la implementacio n de

estas polõ ticas. Este estudio de caso mostro que ambos grupos deben respetarse y buscar formas de

trabajar juntos para alcanzar los resultados mutuamente deseados de prevencio n local electiva.

La educacio n de la gente joven sobre las drogas: una revisio n sistema tica

David W hite & M arian Pitts

Objetivos: evaluar la efectividad de las intervenciones dirigidas a la prevencio n o reduccio n del

consumo de sustancias ilõ citas por la gente joven o aquellas dirigidas a la reduccio n de los perjuicios

que causa su uso continuado. DisenÄ o: se llevo a cabo una revisio n sistema tica. La bu squeda de

informes se realizo con medios electro nicos y manuales y a trave s del contacto con trabajadores

conocidos en el campo. Los estudios fueron seleccionados si incluõÂ an evaluaciones de intervenciones

dirigidas al consumo de drogas ilõ citas y aportaban los su® cientes detalles de la intervencio n y disenÄ o

de la evaluacio n como para poder juzgar su solidez metodolo gica. Se realizaron meta-ana lisis

combinando los datos de los estudios metodolo gicamente so lidos. Participantes y localizaciones de las

intervenciones: Se incluyeron evaluaciones de intervenciones dirigidas a una poblacio n que incluõ a

gente joven de edad entre 8 y 25 anÄ os. Las evaluaciones identi® cadas se realizaron en diversos lugares

incluyendo: escuelas y universidades; lugares comunitarios, la familia; lugares me dico/terape uticos;

medios de comunicacio n. M edicione s: los datos extraidos de cada informe inclu õ an detalles del disenÄ o,

el contenido y la orientacio n teo rica de la intervencio n, el lugar de la intervencio n, la poblacio n diana,

los me todos, el tamanÄ o de la poblacio n, los õ ndices de rechazo de los sujetos, los õ ndices de desgaste,

las mediciones de los resultados, la duracio n del seguimiento y los hallazgos, incluyendo el poder

estadõÂ stico. Hallazgos: la mayorõÂ a de estudios identi® cados eran evaluaciones de intervenciones

introducidas en escuelas dirigidas simulta neamente al consumo de alcohol, tabaco y marihuana.

Estos estudios eran metodolo gicamente ma s so lidos que las intervenciones dirigidas a otras sustancias

e implementadas fuera de la escuela. Los meta-ana lisis mostraron que el impacto de las interven-

ciones evaluadas era pequenÄ o y se disipaban los bene® cios del programa a lo largo del tiempo. Las

Page 3: Resumenes

1616 Resumenes

intervenciones dirigidas a grupos a los que es difõÂ cil acceder no han sido evaluadas adecuadamente.

Conclusiones: deben realizarse esfuerzos para el desarrollo de soluciones de evaluacio n mejores de los

problemas que plantean estos grupos. Las evidencias son au n insu® cientes para evaluar la efectividad

de los diversos enfoques de la educacio n sobre drogas; se requieren ma s evaluaciones metodolo gica-

mente so lidas. Tambie n existe la necesidad de dirigir intervenciones que re¯ ejen las necesidades y

experiencias de los receptores.

Los servicios sociales complem entarios mejoran los resultados de los tratam ientos de

drogodependencias pu blicos

A. Thomas M cLellan, Teresa A. Hagan, Marvin Levine, Frank Gould, Kathleen M eyers, Mark

Bencivengo & Jack Durell

Objetivos: evaluar la efectividad y el valor de los servicios sociales anÄ adidos a la rehabilitacio n esta ndar

de drogodependencias. DisenÄ o: estudio de campo controlado, casi experimental, con medidas

repetidas. Localizacio n: dos grupos de programas de tratamiento ambulatorio de drogodependencias

pu blicamente subvencionados. Programas Control Рproporcionaban asistencia ambulatoria sociopsi-

colo gica grupal esta ndar, dos veces por semana. Programas ª ampliadosº Ð proporcionaban asistencia

sociopsicolo gica esta ndar pero tambie n directores de caso para coordinar y facilitar el uso de

exploraciones me dicas precontratadas, ayudas a la vivienda, clases de convivencia familiar y servicios

de bu squeda de empleo. M edicione s: Se utilizo el ª Addiction Severity Indexº (Indice de Gravedad de

la Dependencia) para evaluar la naturaleza y gravedad de los problemas de los pacientes en siete a reas

al inicio del tratamiento y en el seguimiento a los seis meses. Los servicios proporcionados durante

el tratamiento fueron medidos con el ª Treatment Services Reviewº (Revisio n de Servicios de

Tratamiento). Se realizaron mediciones en muestras consecutivas de pacientes admitidos en todos los

programasÐ antes de las ampliaciones (Onda 1, N 5 431)Ð a los doce meses (Onda 2, N 5 710); y

veintisesis meses despue s de las ampliaciones (Onda 3, N 5 187). Hallazgos: No hubo diferencias

signi® cativas en las caracterõÂ sticas de los pacientes, servicios de tratamiento o resultados a los seis

meses en los dos grupos de programas en la Onda 1. Los programas Ampliados de la Onda 2 y

especialmente la Onda 3 proporcionaron signi® cativamente ma s servicios sociales y me dicos que los

programas Control. Los pacientes tratados en los programas Ampliados mostraron signi® cativamente

un menor consumo de sustancias, menos problemas fõÂ sicos y mentales, y un mejor funcionamiento

social a los seis meses que los Controles. Conclusiones: el anÄ adir servicios sociales a los programas del

sector pu blico mejoro sustancialmente los resultados del tratamiento de drogodependencias. Los

cambios en los sistemas de ª mundo realº requieren tiempo para implementarse; las evaluaciones

precoces pueden no captar el impacto total de estos cambios.

DanÄ os relacionados con el alcohol y consum o de alcohol en Moscu antes, durante y despue s

de una im portante cam panÄ a antialcoho lica

A. V. Nemtsov

Objetivos: examinar los õ ndices de los danÄ os relacionados con el alcohol en relacio n con los niveles

de consumo de alcohol antes, durante y despue s de una importante campanÄ a antialcoho lica en

Moscu . DisenÄ o: Se observaron los cambios en las ventas de alcohol del Estado, el consumo de alcohol

y ciertas formas de perjuicios relacionados con el alcohol en funcio n del tiempo. Hallazgos: tras la

campanÄ a antialcoho lica de 1985, las ventas estatales de alcohol disminuyeron en un 38.0% en 1.5

anÄ os en Moscu , y el consumo total descendio un 28.6%. Al mismo tiempo, las admisiones por

trastornos mentales y conductuales relacionados con el alcohol, las muertes por cirrosis hepa tica, la

intoxicacio n etõ lica y otras muertes violentas con alcoholemias positivas, disminuyeron en 63.3%,

33.0%, 50.8% y 50.9%, respectivamente. Se hallo una correlacio n lineal entre las variables me dicas

y el consumo de alcohol durante su descenso en 1985 ± 1986. Las muertes violentas con alcoholemias

positivas comenzaron a aumentar en 1987, antes del aumento de otras variables. El crecimiento del

consumo total de alcohol se inicio en 1987, y continuo a lo largo de todos los anÄ os siguientes, aunque

fue especialmente elevado en 1992± 1993 en el momento de la introduccio n de reformas en el

mercado en Rusia. Los trastornos mentales y conductuales relacionados con el alcohol y la

mortalidad por cirrosis hepa tica aumentaron tras un inte rvalo despue s de la elevacio n del consumo

Page 4: Resumenes

Resumenes 1617

de alcohol. Conclusiones: los hallazgos proporcionan una total evidencia del impacto potencial de

medidas polõÂ ticas aplicadas al consumo general de alcohol sobre los danÄ os relacionados con el

mismo.

Evaluacio n de las m ediciones de los antecedentes fam iliares de alcoholism o: densidad

versus dicotom õÂ a

Scott F. Stoltenberg, Sharon A. Mudd, Frederic C. Blow & Elizabeth M . Hill

Objetivos: los estudios han utilizado una mirõÂ ada de mediciones de antecedentes familiares de

alcoholismo (FH) haciendo difõ cil el compararlos directamente. Las mediciones de FH comu nmente

utilizadas separan las muestras en la bien conocida dicotom õÂ a de positivas (FH 1 ) y negativas

(FH 2 ), aunque las mediciones cuantitativas de densidad proporcionan potencialmente ma s infor-

macio n. Una medida de FH esta ndar facilitarõ a la comparacio n entre estudios. El propo sito de este

estudio es evaluar una medida cuantitativa de FH, llamada ª Family History Density (FHD)º

(Densidad de los Antecedentes Familiares), que tiene ventajas teo ricas y pra cticas frente a las

mediciones habitualmente utilizadas. DisenÄ o: se estimaron ecuaciones de regresio n logõ stica para

FHD y seis medidas de FH comu nmente utilizadas en el diagno stico de dependencia alcoho lica, y

dos medidas de gravedad de alcoholismo (es decir, abstinencia y tolerancia). Participantes: los sujetos

reclutados para el estudio (254 hombres y 97 mujeres) completaron una evaluacio n clõ nica estruc-

turada. M ediciones: el diagno stico de alcoholismo y la con® rmacio n de sõ ntomas de tolerancia o

abstinencia se obtuvieron utilizando el mo dulo sobre alcohol del ª NIMH Diagnostic Interview

Schedule III-R (DIS-III-R)º (Esquema de Entrevista Diagno stica III-R NIMH). Los antecedentes

familiares de alcoholismo fueron codi® cados utilizando los criterios del ª Family Informant Schedule

and Criteria (FISC)º (Esquema y Criterios del Informante Familiar). Hallazgos: todas las medidas

de FH se asociaban al diagno stico de dependencia alcoho lica, el desarrollo de tolerancia y el

experimentar sõ ntomas de abstinencia en los hombres. En las mujeres, so lo el FHD y el Progenitor

se asociaban signi® cativamente con los tres resultados. Conclusiones: el FHD es un buen candidato

para ser una medida FH esta ndar porque es cuantitativa, basada en el parentesco familiar y capaz de

explicar variaciones signi® cativas en el diagno stico de alcoholismo y dos õ ndices de gravedad del

alcoholismo en hombres y mujeres.

Evaluacio n de las expectativas de los ninÄ os pequenÄ os frente al alcohol versus una sustancia

control

Lisa R. Query, Harold Rosenberg & M atie S. Tisak

Objetivos: el principal propo sito del presente estudio era evaluar si los ninÄ os pequenÄ os tienen

espectativas especõÂ ® cas frente al alcohol. DisenÄ o: Para alcanzar este objetivo, un disenÄ o de 2 (sexo del

ninÄ o) por 2 (sexo del adulto bebedor) por 2 (nivel de grado escolar) por 2 (tipo de bebida) de

medidas repetidas fue utilizado con el tipo de bebida como medida repetida. Localizacio n: los datos

fueron recogidos en escuelas primarias localizadas en dos estados del medio oeste. Participantes:

ciento veinticuatro ninÄ os de segundo y tercer grado (42% hombres) participaron en entrevistas

individuales estructuradas. M ediciones: la entrevista sobre expectativas se baso en el ª Children’ s

Alcohol-Related Expectancy Questionnaireº (Cuestionario de Expectativas de los NinÄ os relacionadas

con el Alcohol), y evaluo las creencias de cada ninÄ o sobre las consecuencias deseables e indeseables

que pueden experimentar los hombres y mujeres despue s de consumir alcohol (cerveza) y una bebida

control (te helado). Hallazgos: los resultados indicaron que los ninÄ os tenõ an signi® cativamente ma s

espectativas indeseables frente al alcohol que frente al te helado, y ma s espectativas deseables para

el te helado que para la cerveza. Adicionalmente, las espectativas de los ninÄ os variaban segu n el sexo

del consumidor. Concretamente, tanto los ninÄ os de segundo como de tercer grado esperaban ma s

resultados indeseables en las mujeres que en los hombres, y los de segundo grado esperaban menos

resultados deseables en las mujeres que en los hombres, sin considerar el tipo de bebida. Conclusiones:

antes de tener una experiencia sustancial del consumo de alcohol, los ninÄ os ya han desarrollado

expectativas respecto al mismo. Concretamente, los ninÄ os pequenÄ os de primaria tienen espectativas

predominantemente indeseables frente a la cerveza.

Page 5: Resumenes

1618 Resumenes

Estim acio n de los cambios en el consumo de alcohol no registrado en Noruega utilizando

indicadores de perjuicios

Thor NorstroÈ m

Objetivo: evaluar el valor de la utilizacio n de indicadores de perjuicios relacionados con el alcohol

para estimar los cambios en el consumo de alcohol per ca pita no registrado. DisenÄ o: se estimo el

consumo no registrado a partir de la discrepancia entre los cambios observados en una serie de

indicadores de perjuicios relacionados con el alcohol, y los cambios que se esperarõÂ an de los cambios

en el consumo registrado. Los resultados se compararon con estimaciones de consumo no registrado

de datos prospectivos. M ediciones: se utilizaron cuatro indicadores de perjuicios relacioandos con el

alcohol: mortalidad asociada al alcohol, agresiones, conduccio n en estado ebrio, y suicidio. Las

estimaciones del consumo no registrado de datos prospectivos de cinco anÄ os distintos fueron

utilizados como cota. Hallazgos: los indicadores que mejor funcionaron fueron la mortalidad

relacionada con el alcohol, el suicidio y las agresiones, por este orden. La combinacio n de estos

indicadores dio un error de prediccio n de un 12% como te rmino medio en comparacio n con la cota.

Conclusiones: el me todo parece ser va lido para otras aplicaciones, pero deberõ a ser considerado como

un complemento ma s que un sustituto de otros enfoques.

Palabras relacionadas con el alcohol se distraen a los dos abusadores y no abusadores de

alcohol en el ª Stroop Colour-Nam ing Taskº

Daliah Bauer & W . M iles Cox

Objetivo: comparar la distraccio n que producen las palabras relacionadas con el alcohol y palabras

emocionales en abusadores y no abusadores de alcohol, controlando el valor emocional de estas

palabras. DisenÄ o y me todo: el experimento comparo 20 abusadores cle alcohol y 20 no abusadores en

te rminos de su ejecucio n en el ª Stroop Colour-Naming Testº computerizado, utilizando palabras

relacionadas y no relacionadas con el alcohol. Hallazgos: los abusadores cali® caron ma s alto los

est õ mulos alcoho licos en valor emocional que los estimulos emocionales. Asõ pues, las diferencias en

las cali® caciones de valor emocional entre los dos grupos fueron estadisticamente controladas. En

contra de lo esperado, tanto los abusadores como los no abusadores de alcohol se distraõ an ma s con

los estõ mulos alcoho licos que con los estõ mulos emocionales negativos y positivos. Conclusiones: los

resultados indican que las palabras relacionadas con el alcohol distraen a los bebedores en general,

y esto puede indicar un elevado nivel de silencio para este tipo de estõÂ mulos.

La ingesta de alcohol y la gravedad de las lesiones producidas en accidentes de autopista

en M e jico: un ana lisis com parativo

M. Hõ jar, M. Flores, M . V. Lo pez & H. Rosovsky

Objetivos: analizar la relacio n entre la ingesta de alcohol y la gravedad de lesiones ocasionadas en

accidentes en una autopista mejicana. DisenÄ o: una unidad de observacio n evaluo a los conductores

implicados en accidentes de coche. Localizacio n: autopista de Me jico-Cuernavaca, Me jico. Una

carretera de 60 Km con muchos cambios de altitud y curvas cerradas. Participantes: 386 conductores

implicados en accidentes de tra ® co entre marzo y septiembre de 1994. M ediciones: se administro un

cuestionario al conductor, un ocupante o un tesigo en el lugar del accidente para recoger informacio n

sobre el conductor, las caracteristicas del vehõ culo, el tipo de accidente, si sucedio de dõ a o de noche,

el sector de la carretera (Me jico-Cuernavaca o Cuernavaca-Me jico) y las condiciones clima ticas. Se

llevo a cabo una exploracio n fõ sica para determinar la presencia y gravedad de lesiones. Hallazgos:

hubo 177 personas heridas, incluyendo 12 muertes, con un õÂ ndice de 67.5 lesiones y 4.58 muertes

por 10,000 kilo metros recorridos. Las variables relacionadas con la ingesta de alcohol (p , 0.05)

incluyeron: Gravedad de las lesiones, no utilizacio n del cinturo n de seguridad, tamanÄ o del vehõ culo

y que sucediera de noche. Los factores de riesgo de lesiones graves fueron: la ingesta de alcohol (OR

ajustado 6.1, IC 95% 1.6± 24.0); la no utilizacio n del cinturo n de seguridad (OR 4.9, IC 2.2± 10.8),

edad , 25 anÄ os (OR 3.6, IC 1.0 ± 12.7), edad . 54 anÄ os (OR 6.0, IC 1.4 ± 25.0), velocidad . 90

Km/h (OR 2.6, IC 1.1 ± 6.3) y que sucediera de noche (OR 2.6, IC 1.3± 5.3). Conclusiones: la ingesta

de alcohol es un factor principal de riesgo de lesiones graves en accidentes de tra ® co en las autopistas.

Page 6: Resumenes

Resumenes 1619

Su asociacio n con otros factores de riesgo como la no utilizacio n del cinturo n de seguridad y la

excesiva velocidad, sugieren la importancia de disenÄ ar intervenciones dirigidas a la reduccio n de la

ingesta de alcohol entre conductores de automoviles.

Evaluacion de la relacio n entre consumo de opia ceos materno y hemorragias pre parto

G. K. Hulse, E. Milne, D. R. English & C. D. J. Holman

Objetivos/DisenÄ o: la evaluacio n de la relacio n entre el consumo habitual de opia ceos por mujeres

durante el embarazo y las hemorragias pre parto ha sido difõÂ cil debido a la baja prevalencia de estas

condiciones observadas en los servicios clõÂ nicos. Como consecuencia, la mayorõÂ de estudios publi-

cados carecen de poder estadõ stico debido al pequenÄ o nu mero de casos. Combinamos todos los datos

adecuados publicados en un metana lisis para evaluar la relacio n con mayor precisio n. Hallazgos: el

metana lisis produjo una estimacio n conjunta de probabilidades brutas (crude odds ratio?) de

hemorragia pre parto en relacio n al consumo de opia ceos materno de 2.33 (IC 95% 1.32± 4.30).

Conclusiones: esta estimacio n de probabilidad es consistente con una relacio n moderadamente fuerte.

Los estudios incluidos no ajustaron los posibles factores de confusio n (p.ej. cuidados prenatales,

cocaõ na o tabaco), por lo que es probable que e stos factores expliquen al menos parte del efecto

observado. La consistencia relativa de los resultados de los estudios incluidos en el metana lisis

realizados en distintos paõ ses y en distintos momentos anÄ ade fuerza a las evidencias de una relacio n

entre consumo de opia ceos y hemorragias pre parto. Se requieren con urgencia estudios bien

disenÄ ados para evaluar los efectos independientes de distintos tipos y patrones de consumo materno

de opia ceos y factores de confusio n, como el consumo de tabaco, y el consumo ilõ cito de cocaõ na y

los cuidados prenatales, en las hemorragias pre parto.

Sobredosis aguda de opia ceos: caracterõ  sticas de 190 casos consecutivos

Stephane Cook, Olivier M oeschler, Katarzyna M ichaud & Bertrand Yersin

Objetivos: caracterizar la poblacio n de consumidores de drogas que acuden al servicio de urgencias

de un hospital universitario con una sobredosis aguda de opia ceos (AOO), y evaluar el õ ndice de

derivaciones a programas de tratamiento especializado. DisenÄ o: estudio prospectivo de una muestra

de pacientes AOO a lo largo de 12 meses. M ediciones: Caracterõ sticas me dicas y psicolo gicas de los

consumidores de drogas, detalles del tratamiento de urgencias y la derivacio n por un equipo de

resucitacio n mo bil (SMUR) y el servicio de urgencia de nuestro hospital (CHUV-Lausanne, Swiza).

Adicionalmente, los casos de AOO mortales fueron recogidos por el Instituto de Medicina Forense

(IFM) durante el mismo periodo. Hallazgos: fueron tratados 184 casos de AOO (134 pacientes). Los

archivos del IFM detallaron otros seis casos fallecidos. Esta poblacio n de consumidores de drogas se

caracterizaba por una sobre representacio n de hombres (73%), una edad joven (27.4 anÄ os), un õ ndice

elevado de consumidores de mu ltiples drogas (90%) y un õ ndice elevado de mu ltiples sobredosis

anteriores (2.6). La media del tiempo de permanencia fue de 20.1 horas pero un 41% de casos

permanecieron menos de 8 horas. So lo un paciente fue readmitido dentro de un periodo de 8 horas.

Cuando se les dio el alta el 78% volvieron a casa. Inesperadamente, el 67% de los pacientes no

fueron derivados a un programa terape utico para drogodependencias. Conclusio n: el estudio muestra

la baja mortalidad de los AOO cuando son tratados, pero tambie n demuestra la necesidad de mejorar

la evaluacio n psicolo gica y la derivacio n de drogodependientes atendidos por AOO.

Las actitudes de los m e dicos generales franceses hacia el tratamiento del abuso de drogas

mediante mantenimiento con buprenor ® na

J. P. M oatti, M . Souville, N. Escaffre & Y. Obadia

Objetivos: evaluar las actitudes de los Me dicos Generales (GPs) hacia el tratamiento de manten-

imiento con buprenor® na para el abuso de drogas justo despue s de ser introducido en los cuidados

ambulatorios franceses (febrero de 1996. DisenÄ o: estudio prospectivo transversal por medio de

entrevistas telefo nicas en una muestra aleatoria a nivel nacional de GPs franceses (n 5 1,186; õ ndice

de respuesta 5 70.3%) realizado en abril de 1996. M edicione s: la experiencia de los GPs en el cuidado

de pacientes consumidores de drogas inyectadas (IDUs) e infecciones por VIH durante los u ltimos

doce meses. Un modelo de regresio n logõ stica para identi® car las caracterõ sticas de los GPs

Page 7: Resumenes

1620 Resumenes

relacionadas con la disposicio n a recetar buprenor® na como tratamiento de mantenimiento. Hal-

lazgos: una minorõ a de GPs (20.0%) se cuidaban de pacientes IDUs y el 30.8% de e stos estaban

dispuestos a recetar buprenor® na (versus so lo un 7.5% en el resto de la muestra). Una actitud

positiva hacia la buprenor® na se relacionaba con la experiencia de los GPs en el cuidado de IDUs,

la prescripcio n de opia ceos para manejar cuadros de dolor y cuidados paliativos, la tolerancia hacia

el consumo de drogas y caracterõ sticas personales como el consumo de tabaco y el intere s en el

psicoana lisis. Conclusiones: el dar libertad general para prescribir buprenor® na (en vez de metadona)

a todos los GPs no condujo a la extensa aceptacio n del uso de la droga para tratar IDUs. Puede ser

necesario el desarrollo de redes organizadas entre servicios especializados en el tratamiento del abuso

de drogas y GPs motivados para potenciar pra cticas de prescripcio n apropiadas.

Võ as de consumo de drogas entre estudiantes de secundaria de M e jico

Jorge A. Villatoro Velazquez, Ma. Elena Medina-Mora Icaza, Francisco Jua rez Garcõ a, Estela Rojas

Guiot, Silvia CarrenÄ o GarcõÂ a & Shoshana Berenzon Gorn

Objetivo: este estudio evaluo a estudiantes de secundaria consumidores de drogas en zonas urbanas

de Me jico para describir patrones de consumo y conductas relacionadas entre adolescentes, y para

desarrollar modelos de prediccio n de võ as de consumo de menores de edad. Sujetos/DisenÄ o: se realizoÂ

un estudio prospectivo nacional de escuelas entre estudiantes de secundaria en el que los datos son

proporcionados por el Estado. En este estudio so lo se consideraron las zonas urbanas (n 5 40,521).

Se utilizo un muestreo estrati® cado de clusters en dos etapas; las escuelas y los grupos dentro de las

escuelas eran las unidades de muestreo. Conclusiones: los adolescentes hombres que han trabajado el

anÄ o anterior, con exposicio n elevada en la familia y a® liados a grupos paritarios consumidores de

drogas, tienen un mayor riesgo de convertirse en consumidores de drogas y son propensos a la

depresio n y a la ideacio n suicida asõ como a los problemas sociales relacionados con las drogas.