revue de presse saison 15-16...magazine févr./mars 2016 radio laser skolradio itw charles-edouard...
TRANSCRIPT
REVUE DE PRESSEsaison 15-16
SOMMAIRESAISON 15-16.................................................................................................. 4 Ouverture de saison 30 ans Programmation Les dimanches
SPECTACLES................................................................................................... 18 Mouvement de l’air / Festival Maintenant CONCRETE / Mettre en Scène Huynh-Keravec / Mettre en Scène Igen/Again In The Middle / Rencontres Trans Musicales TYJ Même pas peur Hippopotomonstrosesquippedaliophobie Flamenco a tres / RencontrAs FlamencAs Minkang Múa Pleurage & scintillement / Ay Roop Ballets Jazz de Montréal Lux Tenebrae Torch Song
AGITATO........................................................................................................ 62LITTÉRATURE................................................................................................. 90ACTIONS CULTURELLES.................................................................................... 101TRIANGLE ŒUVRE D’ART.................................................................................. 103
PARTENARIATS.............................................................................................. 107
SAISON 15-16
5
Ouest-France2 sept. 2015
OUVERTURE DE SAISON
Radio Rennes23 sept. 2015
6
Unidivers29 sept. 2015
7
8
Unidivers5 octobre 2015
9
JT TVR22 sept 2015
10
30 ans
Ouest-France3 octobre 2015
11
Yegg5 octobre 2015
12
Les RennaisNovembre 2015
13
Rennes Métropole Magazine
Févr./mars 2016
Radio LaserSkolradio
ITW Charles-Edouard Fichet
20 avril 2016
PROGRAMMATION
Rennes Métropole25 sept 2015
14
LES DIMANCHES
15
16
Ouest-France5 octobre 2015
Ouest-France3-4 octobre 2015
17
Les RennaisNovembre 2015
SPECTACLES
MCDMusique et culture
digitale2 sept 2015
19
MOUVEMENT DE L’AIRen partenariat avec le festival Maintenant
20
Unidivers9 octobre 2015
KonbiniOctobre 2015
21
LCI15 octobre 2015
alter1fo.com20 octobre 2015
22
23
Digitalarti22 octobre 2015
24
KostarOct./ Nov 2015
25
Ouest-France5 novembre 2015
26
CONCRETEen partenariat avec le festival
Mettre en scène
Ouest-France19 novembre 2015
27
HUYNH-KERAVECen partenariat avec le festival
Mettre en scène
Les Rennaisjanv./févr. 2016
28
IGEN/AGAIN
29
Tirage de Novembre-Decembre
BIKINI 04/11/2015 Mensuel - Grand Ouest Lifestyle
Ouest-France2 sept 2015
Bikini4 novembre 2015
IN THE MIDDLEen partenariat avec les rencontres
Trans Musicales
30
CANAL BCannibales
30 novembre 2015
Wik2-6 déc. 2015
Ouest-France4 décembre 2015
31
32
Yegg mag5 déc. 2015
33
34
35
36
RCRSur écoute
8 décembre 2015
TVRBest of Trans
Musicales8 décembre 2015
37
STYLISTDate : 24 DEC 15Pays : France
Périodicité : HebdomadaireOJD : 405994
Page de l'article : p.101
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TRANSMUSICALES 0017546400508Tous droits réservés à l'éditeur
C O V E R STG R V
w Dans une interview, Stromaea dit qu'il ne s'attendait pas à savoir
danser et que pour lui, la danse était de« mauvais goût », Pourtant, de Papaoutai àQuand c'est?, on a l'impression qu'il ne veutplus s'arrêter. Comment inculque-t-on à unparfait novice la passion de la danse?Avec Stromae, on a commencé par desateliers d'improvisation, tous les deux, dansune salle de danse. Je le filmais en train debouger, llajoué le jeu .alors que c'est vraimentdifficile de se laisser aller. Je suis partie de soncorps, en essayant de le reconnecter avecsa gestuelle à lui, comme dans un cours d'éveil.La beauté d'un mouvement, ce n'est passa forme mais son authenticité, et il l'a vitecompris. Pour créer une chorégraphie, ondiscute beaucoup du sens de la chanson etpuis je fais ce que j'appelle une «transpositionde corps», une mise en mouvements. Au filde nos échanges, les chorégraphies évoluent.G est la même chose avec Christine.Je la laisse faire, je donne une matière,un ensemble, mais ce que je veux, c'est voirsa personnalité. Qu'elle habite le pas.
w On a d'ailleurs vu Florence foresti singersa gestuelle dans des sketchs, Gad Elmalehs'y essayer. Ça vous amuse?(Elle rigole). Je pense que quand unmouvement est vécu et assumé, il n'est jamaisridicule. Un geste est beau quand il vientdes tripes. Line personne qui va lâcher prise,exécuter uniquement ce qu'elle veut faire,même si ça peut paraître grotesque, je trouve
mouvements parce qu'on pense que «ça ferabien», alors qu'en réalité, il suffit de laisserson corps faire ce dont il a envie pour que cesoit beau et que ce soit de la danse.
w Faire danser Stromae ou Christine &The Queens, c'est la même chose que defaire danser des danseurs professionnels ?Je travaille de la même manière. Je me sersénormément d'images du quotidien, quiparlent atout le monde. Par exemple, quandje dis « lève le menton comme si tu voulaisregarder le ciel», ou «lance une impulsioncomme un petit coup de vent », ce n'est pasde la technique, c'est de la sensation.D'ailleurs, c'est parfois plus facile de travailleravec un non-danseur. I ls ne sont pas formatés.Je sais que si je dis à un danseur «retourne-toi», il le fera avec un mouvement étudié,bien moins naturel qu'un novice.
V O U S N E L E S A V I E Z P E U T - Ê T R E PAS. M A I S E N T R EM I C H A E L J A C K S O N ET F R A N C E G A L L , •[•JIM
I ET C R O Y E Z - L E OU NON, M A I S M A R I O N M O T I NE S T A C H A Q U E FOIS D A N S LE COUP
Sa collab' rêvée Comme toutesles gammes qui ont un |our aspiré à
se produire devant des foules en transe.Marion a commencé par enfiler un tutu
qui rentre dans les fesses et des collantsqui grattent (à 3 ans) Sauf que au milieu
des années SO e est sur Wanna Be StartinSomethm et Smooth Criminal quelle
s éclate vraiment « Michael m a sauvéde mon côté autistique ll y a dans
ses musiques quelque chose qu me prendaux tripes Ça me rend dingue » Elle
commence les cours de bip hop intègredes compagnies En 2009 elle appelledes copines et des filles rencontrées
en battle et lance les Swaggers une troupede hip hop exclusivement féminineÀI époque on peut les croiser dans
La France a un incroyable talent (ou ellesont fait passer un « bon moment»
àDave tout de même) Début décembre,elles seront aux Transmusicales de
Rennes Manon travaille les mouvementsmaîs aussi I esthétique, les lumières
les costumes « C est du hip-hop à la sauceMarion explique Lydie LaPeste qui
a rejoint la troupe il y a un an et demi
On assume d avoir quelque chose de trèsféminin d arrondir les angles et de danseravec finesse A tel point que les gens ont
l'impression de voir de la dansecontemporaine »
Ils ont signé la chorégraphiede l'hologramme de Michael Jacksonlors des Billboard Music Awards 2014.La danseuse déchaînée à la longue tresseblonde et aux grosses creoles (perso ontrouve pas ça pratique pour les headspin
maîs passons) dans la premiere scènedeS(reetDance2(maisoui la série
de films ou les personnages principauxfinissent toujours par fricoter sur un ri ng
après I échauffement) e est elle«Çasestfaitnaturellement Cétaiten 2010 ie me suis inscrite pour des
auditions i ai exécuté un solo Et puis i aiété prise C'était une expérience hyper-
cool, un mois de tournage à Londres avecdes potes danseurs Bon le resultat est
à chier Tony et Richmond Talauegales chorégraphes ont fait des visuels
incroyables organiques maîs au montageils prennent un bout ici un bout là
et au final on perd complètement ^I essence de la chorégraphie » C
STYLIST24 déc. 2015
Ouest-France30 mars 2016
PataquesNovembre 2015
38
TYJ
Wik2-6 déc. 2015
Unidivers11 décembre 2015
39
Ouest-France2 sept 2015
40
WikJanvier 2016
MÊME PAS PEUR
41
RCF ALPHAL’invité du midi
14 janvier 2016
Unidivers22 janvier 2016
42
HIPPOPOTOMONSTRO-SESQUIPPEDALIOPHOBIE
43
Ouest-France23 janvier 2016
44
RCFL’invité du midi
28 janvier 2016
TVRTemps forts LSF25 au 30 janv. 2016
Radio Campus Rennes
27 janvier 2016
L’agenda des sorties
Février 2016
45
FLAMENCO A TRESen partenariat avec lesRencontrAs FlamencAs
Unidivers14 février 2016
46
Ligne sinueuseMatthieu Mevel
2 sept 2015
47
MINKANG
La totalité de l’article sur :http://www.lignesinueuse.net/2016/03/minkang-de-x-trem-fusion-le-hip-hop-en.html
48
Mag TNBFévrier 2016
RCFRegards culture
18 février 2016
RCRSur écoute
22 février 2016
RCRLes voix du monde
7 février 2016
49
Unidivers25 février 2016
L’imprimerienocturne
26 février 2016
50
51
France 3 Bretagne
Itinéraire culture
26 février 2016
WikFévrier 2016
Ouest-France26 février 2016
BikiniJanv./Févr. 2016
52
MUA
RCFRegards culture
25 février 2016
53
Unidivers3 mars 2016
L’imprimerie nocturne11 mars 2016
54
TVR8 mars 2016
55
WikMars 2016
RCFL’invité du midi
23 mars 2016
PLEURAGE & SCINTILLEMENTen partenariat avec Ay-Roop
56
L’imprimerie nocturne
28 mars 2016
57
Rennes Métropole Magazine
Févr./Mars 2016
L’agenda de Rennes Métropole
Mars 2016
58
BALLETS JAZZ DE MONTRÉAL
WikMars 2016
Newsletter Wik
Mars 2016
Unidivers27 avril 2016
59
LUX TENEBRAE
60
WikAvril 2016
61
TORCH SONG
Unidivers19 avril 2016
AGITATO
63
BikiniAvr./mai 2016
ANNONCESImprimerie nocturne3 mai 2016
TVR3 mai 2016
Kidiklic3 mai 2016
64
Unidivers14 mai 2016
65
66
Imprimerie nocturne17 mai 2016
67
Ciné & Scènes
18 au 31 mai 2016
68
ContactMai 2016
Radio CarolineEcoutez voir
Mai 2016
FIPRadio France
24 mai 2016
Radio LaserAgenda vendredi
AGITATO27 mai 2016
69
Unidivers27 mai 2016
70
WikMai 2016
71
72
Yegg MagMai 2016
73
RETOURSOuest-France
27 mai 2016
RCRSur écoute30 mai 2016
Yegg Mag31 mai 2016
74
75
RCFRegards Culture
2 juin 2016
RCRSur écoute1 juin 2016
76
Blog Zones3 juin 2016
77
Blog Zones3 juin 2016
Imprimerie nocturne3 juin 2016
78
Ouest-France3 juin 2016
79
Ouest-France3 juin 2016
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France 35 juin 2016
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Canal B6 juin 2016
Imprimerie nocturne6 juin 2016
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Unidivers6 juin 2016
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85
Imprimerie nocturne7 juin 2016
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Yegg Mag9 juin 2016
88
Ligne sinueuse14 juin 2016
La totalité de l’article sur : http://www.lignesinueuse.net/2016/06/strange-fruit-de-emmanuel-eggermont-la.html
89
Le mensuel de Rennes
Juillet-août 2016
L’agenda des sortiesJuin 2016
LITTÉRATURE
91
ERIC PESSAN
CANAL BCannibales
14 octobre 2015
RCF ALPHA15 octobre 2015
92
ALEXIS FICHET
Unidivers28 octobre 2015
93
94
RCRLes voix du monde
7 février 2016
DEKLAMO
MATHIEU LARNAUDIE
Alter1fo1er février 2016
Ouest-France3 février 2016
95
Canal BLe plan B
2 février 2016
RCR
3 février 2016
Ouest-France8 février 2016
96
97
Alter1fo9 février 2016
Unidivers7 mars 2016
98
99
100
RCFRegards Culture
7 février 2016
ACTIONS CULTURELLES
Ouest-France11 avril 2016
102
TRIANGLE ŒUVRE D’ART
Rennes Métropole21 janvier 2016
104
Les RennaisMars 2016
105
Canal BCannibales
18 février 2016
Rennes Métropole Magazine
Avril/mai 2016
106
PARTENARIATS
L’agenda des sorties
Février 2016
108
SCÈNES D’HIVER
L’agenda des sorties
Février 2016
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URBAINES
WikFévrier 2016
110
Imprimerie nocturne
4 février 2016
111
112
Le mensuel de Rennes2 février 2016
113
BikiniJanv./mars 2016
114
Mardi 9 février 2016Ouest-FranceRennes
Francis Cabrel et les allumeurs d’imagespage Cultures-Magazine
Madonna : un film noir et émouvantTravelling. Madonna, de la réalisatrice sud-coréenne Shin Su-wonest diffusé pour la 2e fois aujourd’hui dans le cadre du festival.
En dépit de son titre, dans ce film, pasune image de la reine de la pop, Ma-donna. Le long-métrage éponyme dela réalisatrice coréenne Shin Su-wonétait diffusé en avant-première, ven-dredi, dans le cadre du festival Tra-velling. Une 2e projection est prévueaujourd’hui, à 13 h 45, au Gaumont.
Hye-rim débute un emploi d’aide-soignante dans l’aile VIP d’un hôpi-tal de Séoul. Elle prend en charge M.Kim père. Propriétaire de l’hôpital, cepatient est dans un état végétatif. Sonfils Sang-woo fait tout pour le main-tenir en vie. L’action n’est pas ininté-ressée : à la mort du père, toute lafortune ira à des œuvres caritatives.Pour survivre, le malade doit subirune greffe du cœur. Toute désignée,Mina, alias Madonna, enceinte etdans le coma arrive à l’hôpital…
Hye-rim part sur les traces de lajeune femme. Misère, violence, pros-titution : rien ne lui est épargné dansun monde sexiste où l’extrême pau-vreté côtoie les désirs de richesse.Féministe, la réalisatrice a voulufaire un film sur les femmes : « Unjuste milieu entre la Madone et sonimage sacrée, et la Madonna, icônecapitaliste. »
Le destin de ces deux êtres secroise. Si Madonna souhaite garderl’enfant du viol qu’elle a subi, Hye-rim choisit l’infanticide. Dans le film,
comme c’est le cas souvent dans lecinéma coréen, on n’esquive rien.Les détails terribles pourront cho-quer le spectateur. Malgré tout, le filmmarque par son empathie et sa des-cription d’une société sud-coréenne,bien loin des Samsung et autres bi-joux technologiques. Noir, captivantet poétique, le film trouvera une issueémouvante, qui redonne foi en l’hu-manité.
Marine LATHUILLIÈRE.
Mardi 9 février, à 13 h 45, au Gau-mont.
De l’ombre il y a : une immersion cambodgienneDimanche à l’Arvor, le réalisateur Ni-colas Nicholovitch et son acteur prin-cipal David d’Ingéo ont rassemblé lepublic autour d’un second long-mé-trage sans concession, traitant de laprostitution au Cambodge.
Cette avant-première a probable-ment la saveur d’une dernière lignedroite pour les deux co-écrivains decette œuvre hors-norme. En effet,on se rend bien compte que le filmprésent à l’écran est le résultat d’uneexpérience humaine aussi passion-nante qu’éreintante. Huit mois d’ex-cursion dans les contrées cambod-giennes, deux mois de tournage eten somme deux ans de travail ont éténécessaires.
Au sein de ce pays encore ravagépar soixante ans de conflits, un tra-vesti français vend son corps pourgagner sa vie. Par le hasard descirconstances, il a désormais à sacharge une fillette issue du trafic deprostitution. De par l’histoire qu’il ra-
conte, De l’ombre il y a est une sym-biose intense entre le conte et l’ima-gerie documentaire.
À la façon d’un Kechiche (réalisa-teur notamment de La vie d’Adèle),Nicolas Nicholovitch traque l’émotionau plus près des corps et propose uncinéma organique ainsi qu’une pein-ture juste d’une réalité sociale crue.
Par ses choix de montage elliptiques,cette cartographie d’un territoire plusvrai que nature n’abuse pas de la vio-lence outrancière et se permet desinstants de douceur. « Je demandaisà mon chef-opérateur que ça soitbeau mais que ça ne se voit pas »,confie le cinéaste aux spectateurs àla fin de la séance.
Le comédien David d’Ingéo et le réalisateur Nicolas Nicholovitch à la rencontredes spectateurs de l’Arvor.
La culture urbaine aux quatre coins de la villePour sa 7e édition, le festival Urbaines est de retour, du 11 février au 6 mars.Battle de beatbox ou de hip-hop, concerts, expositions, il y en a pour tous les goûts.
Le Triangle mis à l’honneurCette année, c’est le centre cultu-rel qui accueille l’inauguration, maisaussi la clôture d’Urbaines. Le vernis-sage du projet Triangle œuvre d’art2016 ouvre le bal : ce projet d’artsplastiques, sur lequel ont travaillécinq artistes, est en fait un musée àciel ouvert qui investit plusieurs lieuxdu Triangle. C’est aussi l’occasiond’assister à des démonstrations dehip-hop mêlées à la danse africaineavec la compagnie camerounaiseX-Trem Fusion, qui dansera le 19 fé-vrier au Triangle.
Pour achever les festivités en beau-té, le 6 mars, de jeunes talents s’af-fronteront dans une battle de hip-hop. L’objectif ? Se qualifier pour lafinale nationale qui se tiendra à Pa-ris. Le Triangle ouvre également sesportes à une braderie consacrée à laculture urbaine pour clôturer le festi-val.
Des concerts aux sonoritésurbainesLe festival reçoit des artistes d’ho-rizons variés. Le 27 février, les rap-peurs français Demi-Portion, A2H,Simba et Enerku se produisent àl’Antipode. Le même soir, à l’Espacejeunesse du Rheu, ce sont Mekah& Ticoq et Casta, accompagnés deDJ Sauza, qui présentent leur universmusical, entre le hip-hop et le rap.
Le 4 mars, la deuxième édition deSabotage s’installe à l’Antipode etaccueille Vald, rappeur qui s’est faitconnaître avec ses titres Bonjour ouSelfie, le collectif rennais Columbineet la rappeuse parisienne LaGo. Ur-baines s’achève en beauté en rece-
vant Anthony Parasole, Kobosil etThéo Muller, le 5 mars à l’Antipode,pour une soirée techno.
Pratiques urbainesC’est l’occasion de tester des activi-tés dans une ambiance fluo, à l’aided’un éclairage ultra-violet et de maté-riel phosphorescent. Une soirée estorganisée le 18 février à Brécé, maisles curieux pourront aussi expéri-menter un tournoi de football dansl’obscurité au Rheu.
Au skate park de l’Arsenal, le 28 fé-vrier, les amateurs peuvent s’initier et
s’exercer au roller, à la trottinette ouau skate. Le même après-midi, l’asso-ciation Dooinnit propose une scènepour que les passionnés de freestylepuissent se livrer à des battles.
Art et photographiesUrbaines propose huit expositionsgratuites. À la caravane MJC, le pu-blic pourra contempler les graffitis deTom Nelson, qui ont quitté les murspour arriver sur les toiles, ou le graffi-ti végétal du collectif Les Freemouss,exposé à l’Antipode. Mathieu Grac,avec Boyz and Girlz du Net, présenté
à l’Espace jeunesse du Rheu, s’inté-resse et rejoue les autoportraits queles jeunes réalisent pour se mettre enscène sur les réseaux sociaux.
Le studio rennais EYK France par-tage quant à lui, à l’Antipode, saconception de la culture et de l’art àtravers une série de photographiesissues de l’univers urbain.
Du 11 février au 6 mars. Le pro-gramme complet et les informationspratiques sont disponibles sur www.urbaines.fr
La battle de hip-hop des jeunes talents clôturera Urbaines. Le collectif Frimouss est spécialiste de l’art végétal.La compagnie de danse camerounaise X-Trem Fusion présente son hip-hop explosif.
DR
/P
ompo
n
Marie et les naufragés, un trio amoureux hyper attachant tourné à GroixTravelling. Marie et les naufragés,c’est l’histoire d’un trio, Siméon,jeune homme rêveur, au chômage,papa d’une petite fille, qui partageson appartement avec un ami mu-sicien et somnambule, Marie, qui aquitté Antoine, plus âgé qu’elle, écri-vain en panne d’inspiration… C’estaussi une histoire d’amour et d’ami-tié, de quête de soi-même et d’équi-libre. « J’ai d’abord écrit la biogra-phie des personnages. Ce sont euxqui influent sur le temps présent »,explique le réalisateur Sébastien Bet-beder (2 automnes, 3 hivers, déjàl’histoire d’un trio), grand admirateurd’Alain Resnais, qui présentait sonfilm dimanche en avant-première.
Un Bill Murray à l’accentmarseillais
L’originalité du film tient en grandepartie à sa construction, très libre.« C’est un pari, je voulais commedans un roman, pouvoir quitter
le récit et proposer des arbores-cences, avec une voix off ».
Des personnages attachants etsubtils, une sensibilité, un ton décalé,une atmosphère dans l’air du temps,composent ce film construit commeun voyage et une poursuite qui mè-nent les protagonistes de Paris pouréchouer sur l’île de Groix. « Je vou-lais un film simple où les séquencess’enchaînent dans un tourbillon ro-manesque, avec une question :qu’est-ce qui se passe après ? »
Pierre Rochefort est Siméon, Vima-la Pons est Marie, Antoine est inter-prété par Éric Cantona, « quand j’aivieilli le personnage initial et que j’aivu un film avec Éric comme comé-dien, j’ai eu le déclic, cette idée deBill Murray à l’accent marseillais ! »
Sébastien Betbeder a choisicomme lieu de tournage la Bre-tagne et l’île de Groix avec sa plageconvexe, son trou de l’enfer, « j’yvais souvent, j’aime cette idée de
voyage, de traversée de quaranteminutes », avec la musique de Sé-bastien Tellier qui ajoute une touchepoétique.
Agnès LE MORVAN.
Sortie en salle le 13 avril.
Sébastien Betbeder.
On a vu
Infolocale Annoncez vos événements sur : www.infolocale.fr
Spectacles, concertsAfter TravellingElectro. Le public pourra guincher avectoute l’équipe du festival pour clorecette édition 2016 en beauté.Mardi 9 février, 23 h, 1988 Live club,27, place du Colombier. Tarif : 7 €.
L’Heure Musicale : Noga - PatrickBebeyEnsemble, la chanteuse Noga et le pia-niste Patrick Bebey creusent la matièreartistique, dans un télescopage d’in-fluences, entre formation classique,jazz, racines africaines et tradition juive.Un propos qui dépasse l’âge, la cou-leur et le genre, pour tout simplementfaire sens.Mercredi 10 février, 12 h 30, lesChamps Libres, salle de conférences,10, cours des Alliés. Gratuit. Contactet réservation : 02 23 40 66 00, http://www.leschampslibres.fr
Voir, visiterCinémaCiné Tambour : Human frames. 18 h :Écrans variables-Lowave - Humanframes. Programme construit à partirde la collection Human frames, éditéeen 2012 par le distributeur Lowave.Sélection de films d’artistes autour dedix états psychologiques humains.20 h 30 : Dark water d’Hideo Nakata(Jap./35 mm/2001/97mn).Mercredi 10 février, 18 h et 20 h 30,
le Tambour, université Rennes 2. Tarif :adhésion ciné-club, 5 €. Contact :02 99 14 15 36, [email protected], www.univ-rennes2.fr
Conférence Université du tempslibreConférence. « L’Ille-et-Vilaine vu parFlaubert et Du Camp dans «Par leschamps et par les grèves»» par AlbertFoulon, professeur des Universités. Ré-servée aux adhérents de l’UTL.Mardi 9 février, 14 h 30, cinéma leMauclerc, 9 rue Anne-de-Bretagne,Saint-Aubin-du-Cormier. Contact :02 99 35 04 24.
Conférence Université du tempslibreConférence. « Gustave Eiffel, un savantuniversel » par Alain Junchat, ingénieuraéronautique. Portes ouvertes.Mardi 9 février, 14 h 30, Centred’animation de La Forge, rue de laDuchesse-Anne, Saint-Grégoire.Contact : 02 99 35 04 24.
La Bretagne en 10 objetsUne sélection de 10 objets embléma-tiques des collections, exposées pourmieux appréhender l’histoire de ceuxet celles qui ont fait la Bretagne d’hieret d’aujourd’hui. Une visite en forme dedéambulation dans le parcours perma-nent à travers les âges.Mardi 9, jeudi 11 février, 15 h, Musée
de Bretagne, Les Champs Libres, 10,cours des Alliés. Payant.
Musée des Beaux-ArtsMusée. Animation Momie bien conser-vée, approche des rites funéraires desanciens Égyptiens. À partir de 5 ans,gratuit pour les moins de 18 ans. Sansréservation (en cas de forte affluence,une autre séance sera proposée à15 h 30). Durée 1 h.Mercredi 10 février, 14 h 30, muséedes Beaux-arts, 20, quai Emile-Zola.
Poterie du néolithique (atelierde 7 à 10 ans)C’était quoi la vaisselle du temps de lapréhistoire ? Observations des cérami-ques préhistoriques et réalisation dedécors de récipient en argile commeles premiers hommes. Les enfants doi-vent se munir d’une boîte pour le trans-port de leur réalisation.Mercredi 10, mercredi 17 février, 11 h,Musée de Bretagne, les Champslibres, 10, cours des Alliés. Payant.
Street artExposition. Sun7, de son vrai nom Jo-nas Bournat, se joue de l’écriture etplus précisément des mots, pour créerses œuvres d’art. De simples mots leplus souvent incompréhensibles maisqui toutefois donnent vie à des por-traits d’hommes ou de femmes célè-
bres (Nelson Mandela, Steve Jobs enpassant par Einstein).Jusqu’au jeudi 31 mars, 8 h 45 à12 h 30 et 13 h 45 à 17 h 45, agenceLCL Rennes, 4, rue de la Monnaie.Gratuit.
Studio GGSV, designConférence. Le studio GGSV a étéfondé en 2011 par Gaëlle Gabillet etStéphane Villard. Ils sont lauréats dela Carte Blanche du VIA 2011 avec leprojet Objet Trou Noir. Leur associa-tion produit une approche atypiquequi va du commissariat au design derecherche.Mardi 16 février, 18 h, EESAB,site de Rennes, 34, rue Hoche.Gratuit. Contact et réservation :02 23 62 22 60, [email protected],www.eesab.fr/rennes
Visite commentée pendantles vacances scolairesUne visite commentée des expositionsdu Frac Bretagne est proposée tous lesjours à 16 h. À découvrir : Peter Hut-chinson, figure majeur du Land-art etVallée des Merveilles 2 de Philippe Du-rand.Du mardi 9 au vendredi 19 février,16 h, 19, avenue André-Mussat. Tarifs :3 €, réduit 2 €, gratuit pour les moinsde 26 ans. Contact : 02 99 37 93 93,[email protected], www.fracbretagne.fr
Visite de l’usine de valorisationénergétiqueQue deviennent les ordures ména-gères mises dans le bac poubelle ? Vi-site organisée par Rennes métropolepour les particuliers. Inscription obli-gatoire au n? vert 0 800 01 14 31, aumoins 48 heures avant.Mardi 16 février, 14 h, avenue Charles-Tillon. Gratuit.
Visite du Relais BretagneQue devient le linge qui est déposédans les conteneurs du Relais ? Visiteorganisée par Rennes Métropole et leRelais Bretagne, pour les particuliers.Inscription obligatoire au N? vert 0 80001 14 31, au moins 3 jours avant.Mardi 16 février, 14 h à 16 h, le Relais,ZI Joval, Acigné. Gratuit. Contact etréservation : 08 00 01 14 31.
Vie quotidienneJardin du cheminotPermanence. Livraison de fournitures.Jeudi 11 février, 9 h 30 à 11 h 30,cour Saint-Hélier, allée Saint-Hélier.
Keditu : association des devenussourds et malentendantsPermanence. « Kestions d’audition »pour toutes les personnes concernéespar une perte d’audition, quel qu’ensoit le niveau, ainsi qu’à leurs proches.Ces permanences sont assurées par
des personnes elles-mêmes malenten-dantes. Gratuit.Mardi 9 février, 18 h 30 à 20 h,maison des associations, 6, coursdes Alliés. Contact : 06 58 71 94 60,[email protected], www.keditu.org
Rencontres laitièresDans une conjoncture laitière dégra-dée, la Chambre d’agriculture organiseune rencontre pour les éleveurs afind’échanger, d’appréhender les évolu-tions du marché, de cerner les dyna-miques dans les autres bassins laitiers.Des pistes pour s’ajuster sans compro-mettre l’avenir seront présentées.Mardi 9 février, 13 h 45 à 16 h,maison de l’Agriculture, rue Maurice-le-Lannou. Gratuit. Contact :02 23 48 26 80, [email protected], www.agriculteurs35.com
UFC Que Choisir de Rennes, unionfédérale des consommateursPermanence. Sans rendez-vous, béné-voles et des juristes aident à résoudreles problèmes de consommation : lo-gement, banque, surendettement, as-surance, santé, Internet, eau, énergie.Contact : www.ufcquechoisir-rennes.org. Permanence téléphonique le mar-di de 9 h à 12 h : 02 99 85 94 23.Mercredi 10 février, 14 h à 18 h, 8,place du Colombier.
Ouest-France9 février 2016
Unidivers10 février 2016
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Ouest-France11 février 2016
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Imprimerie nocturne
12 février 2016
TVR12 février 2016
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FR3 Bretagne
12 février 2016
Ouest-France12 février 2016
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Rennes Métropole12 février 2016
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20 minutes4 mars 2016
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Ouest-France5-6 mars 2016
TVR8 mars 2016
Canal BLe Plan B
7 mars 2016
Ouest-France7 mars 2016
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Chargée de la communication : Gaëlle [email protected]
LE TRIANGLE, cité de la danse // Scène conventionnée danseboulevard de Yougoslavie BP 90 160 - 35201 RENNES cedex 2www.letriangle.org