septembre 2010
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BASES DE MICROBIOLOGIE. Anie RAOULT Biologiste Centre Hospitalier D’HYERES. Septembre 2010. IFSI Toulon Hyères. 1. La qualité du résultat est directement proportionnelle à la qualité du prélèvement. Septembre 2010 Anie RAOULT CH Hyères. IFSI Toulon Hyères. 2. - PowerPoint PPT PresentationTRANSCRIPT
Septembre 2010 IFSI Toulon Hyères 1
BASES DE MICROBIOLOGIE
Anie RAOULTBiologiste
Centre Hospitalier D’HYERES
Septembre 2010Anie RAOULT
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La qualité du résultat est directement
proportionnelle à la qualité du prélèvement
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Un bon prélèvement microbiologique est toujours Correctement prescrit !!
Correctement identifié
Accompagné de renseignements cliniques
Apporté rapidement au laboratoire
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Identifier les microorganismes
Prélèvements modes opératoires précis renseignements indispensables
Examens des prélèvements directe au microscope cultures
Tests de sensibilité aux antibiotiques antibiogramme
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Sensibilité d’un ATB ( 1 )
BUT = classement en catégorie clinique au nombre de trois
1/ SENSIBLE 2/ RESISTANT3/ INTERMEDIAIRE
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Sensibilité d’un ATB ( 2 )
1/ SENSIBLE:Les souches S sont celles pour lesquelles la
probabilité de succès thérapeutique est acceptable. On doit s'attendre à un effet thérapeutique dans le cas d'un traitement à dose habituelle par voie générale.
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Sensibilité d’un ATB ( 3 )
2/ RESISTANT: Les souches R sont celles pour lesquelles il existe une
forte probabilité d'échec thérapeutique. On ne peut s'attendre à un effet thérapeutique quel que soit le traitement.
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Sensibilité d’un ATB ( 4 )
3/ INTERMEDIAIRE:
Les souches I sont celles pour lesquelles le succès thérapeutique est imprévisible. Elles forment un ensemble hétérogène pour lequel la seule valeur de la CMI n'est pas prédictive.
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AntibiogrammeRésistant
Sensible
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Sensibilité d’un ATB ( 5 )
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Sensibilité d’un ATB ( 6 )
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Sensibilité d’un ATB ( 7 )
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Sensibilité d’un ATB ( 8 )
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GENETIQUE BACTERIENNE ( 1 )
A partir d’une culture PURE, on peut obtenir un mélange de bactéries :
• Variation PHENOTYPIQUE, adaptation aux conditions extérieures
• REVERSIBLE, INSTABLE, NON HEREDITAIRE
• Variation GENOTYPIQUE = MUTANT• IRREVERSIBLE, STABLE, TRANSMISE à la
DESCENDANCE
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GENETIQUE BACTERIENNE ( 2 )
A partir de bactéries DIFFERENTES de génotype différents, des TRANSFERTS GENETIQUES entre une bactérie DONATRICE et une RECEPTRICE par 3 mécanismes :
•Transformation : transfert d’ADN
•Transduction : transfert par un bactériophage• Conjugaison : union entre une bactérie mâle et
une femelle, transmettre soit :• Fraction de chromosome• Plasmides, éléments génétiques autonomes.
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Résistance ( 1 )Résistance ( 1 )
NaturelleNaturelle•Phénotype « sauvage » ou sensible Phénotype « sauvage » ou sensible •Propre à une espèce bactérienne Propre à une espèce bactérienne •Support chromosomiqueSupport chromosomique•Définit le spectre d'activité d'unDéfinit le spectre d'activité d'un
antibiotique antibiotique
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Résistance ( 2 )Résistance ( 2 )
AcquiseAcquiseApparaît dans population sensibleApparaît dans population sensiblePhénotypes « résistants »Phénotypes « résistants »Support chromosomique ou Support chromosomique ou
plasmidiqueplasmidiqueFréquence variable (date, lieu, type de Fréquence variable (date, lieu, type de
service)service)Justifie antibiogramme systématiqueJustifie antibiogramme systématique
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Résistance ( 3 )Résistance ( 3 )Mécanismes de résistance Mécanismes de résistance
• Dégradation enzymatique des antibiotiquesDégradation enzymatique des antibiotiques• Altération des protéines ciblesAltération des protéines cibles• Modification de la perméabilité Modification de la perméabilité
membranairemembranaire• "By pass""By pass"• Efflux actifEfflux actif
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Résistance ( 4 )Résistance ( 4 )Support génétique de la résistance
•Chromosomique• Mutation
(spontanée, rare, transmission verticale)
•Extra-chromosomique• Echange de matériel génétique
(plasmide,transposon)
(fréquente, transmission verticale et horizontale)
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Résistance aux Beta-lactaminesPrincipaux mécanismes
Antibiotiques et résistanceAntibiotiques et résistance
Résistance aux bêta-Résistance aux bêta-lactamineslactaminesPrincipaux mécanismesPrincipaux mécanismes
MécanismesMécanismes EspècesEspèces
GramGram positif positif GramGram négatif négatifBêta-Bêta-lactamaseslactamases S.S. aureus aureus Neisseria Neisseria spsp.,., H.H. influenzae influenzae,, M.M. catarrhalis catarrhalis,, entérobactéries,entérobactéries, P.P. aeruginosa aeruginosa
ImperméabilitéImperméabilité P.P. aeruginosa aeruginosa ((porinesporines)) - - entérobactériesentérobactéries
Modification cibleModification cible S.S. aureus aureus méti méti-R-R N.N. gonorrhoeae gonorrhoeae (PLP)(PLP) E.E. faecalis faecalis H.H. influenzae influenzae E.E. faecium faecium P.P. aeruginosa aeruginosa S.S. pneumoniae pneumoniae
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Résistances
aux bêta-lactaminesEvolution des bêta-lactamases
1940 1950 1960 1970 1980 1990 2000
Bêta-lactamases à spectre étendu K. pneumoniae, P. mirabilis, E. coli
Céphasloporinases déréprimées P. aeruginosa, Enterobacter sp., Serratia sp., Citrobacter freundii
Pénicillases des BGN N. gonorrhoeae, B. catarrhalis, H. influenzae
P. aeruginosa, entérobactéries
Céphalosporinase inductible entérobactéries
Pénicillinase S. aureus
Céphalosporinases plasmidiquesP. aeruginosa,
méropénèmasesB. fragilis
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Résistance aux aminosidesPrincipaux mécanismes
Inactivation enzymatique +++• Support plasmidique• S. aureus, entérobactéries
Modification de la perméabilité• Altération du transport• Support chromosomique• Résistance croisée à tous les aminosides• P. aeruginosa, E. coli
Modification de la cible• Chromosomique, rare
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Résistance aux aminosidesEnzymes modificatrices des aminosidesSupport plasmidique3 classes d'enzymes :
• acétyltransférase (AAC)• phosphotransférase (APH)• nucléotidyltransférase (ANT)
Chaque enzyme inactive un sous-groupe d'aminosidesChaque souche peut produire 1 ou plusieurs enzymes
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Résistance aux quinolonesCaractéristiques :
Chromosomique Polymorphe
• Modification de cible et de perméabilité
• Efflux
Endémique Infections nosocomiales +++
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S. aureus et bêta-lactamines
Péni-S - Méti-S :• Sensible à toutes les bêta-lactamines
Péni-R - Méti-S : (bêta-lactamases)• Résistant aux pénicillines G, V et A• Sensible aux pénicillines M• Sensible aux inhibiteurs des bêta-lactamases
Péni-R - Méti-R : (bêta-lactamases, PLP2a)
• Résistant à toutes les bêta-lactamines• Peu sensible aux inhibiteurs des bêta-
lactamases
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Phénotype de K. pneumoniae et bêta-lactamines
Sauvage (pénicillinase bas niveau)• Résistant aux :
• pénicilline G et V• amino- et carboxypénicillines
Pénicillinase haut niveau Résistant aux :• amino- et carboxypénicillines• uréidopénicillines• C1G• inhibiteurs des BL
Bêta-lactamases à spectre étendu (BLSE)
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K. pneumoniae et bêta-lactamasesà spectre étendu (BLSE)
Dérivés par mutation des bêta-lactamases type TEM, SHV
Support plasmidique
Spectre• résistant à toutes les bêta-lactamines• sauf imipénème, céphamycines (céfotétan
essentiellement) et inhibiteurs BL
Fréquence• variable
en moyenne 10 % souches hospitalières (100 % dans certaines unités)
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FACTEURS favorisant la SELECTION de bactéries résistantes
Bactérie Antibiotique Foyer infectieux
- Mécanisme de résistance entraînant S devient R,
en une seule étape mutationnelle.
- Proportion élevée de mutants.
- Bas niveau de résistance naturelle ou
acquise.
- Concentration locale comprise
entre CMI / S et CMI / R.
- Bactéricidie sur les souches sensibles.
- Inoculum bactérien important.
- Site empêchant le drainage
- Corps étranger
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Prévention de la sélection des bactéries résistantes
Identifier les situations à risque• Bactéries, antibiotiques, foyer infectieux
Diminution de l’inoculum bactérien• Drainage, choix d’un antibiotique non mutagène
( Oxacilline et S.aureus)
Posologie suffisante• Concentration locale supérieure à la CMI bactérienne
Association d’antibiotiques• Actif sur la population sensible• De pharmacocinétique proche• Pas de résistance croisée entre les ATB associés• A la phase initiale pour réduire rapidement l’inoculum.
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RÔLE DU LABORATOIRE MISE EN EVIDENCE DES BMR
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QUELQUES VIRUS
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VIRUS ( 1 )
Virus à ADN• Adénovirus : gastro-entérites, infec.respiratoires
• Cytomégalovirus : CMV
• Epstein-Barr virus : EBV
• Herpes virus : Herpès et varicelle
• Hépatite B• Papillonavirus : verrues
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VIRUS ( 2 ) Virus à ARN
• Myxovirus : grippe, oreillons, rougeole
• Rage• VRS : Virus Respiratoire Syncitial
• Entérovirus : ECHOvirus et Coxsackie
• Arbovirus : fièvre jaune et fièvres hémorragiques
• Rotavirus : responsables de diarrhées• Hépatites A et C
Rétrovirus• HIV : virus de l’immunodéficience acquise
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HABITAT des BACTERIES
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Bactéries Environnement Réservoir humain
Mode de transmission
Résistance particulière
COCCI GRAM Positif STAPHYLOCOQUE
DORE Staphylococcus
aureus
Très répandu dans
l’environnement Air, eau, sol, poussières
(milieux secs) ;
Matériels, mobiliers, vêtements, literies ;
Aliments, (salaisons, crème).
Porteur sain Nez, gorge (30 à 50 %
de porteurs à l’hôpital) ;
Peau, mains,
intestins (20 %).
Directe Contact avec :
lésions, flux nasal,
salive, mains ;
I ndirecte Contact avec instruments,
air, literie,
aliments.
Résistant +++ dans
l’environnement, à la dessiccation,
à la chaleur ;
Peut subsister 10 jours après le
départ du patient.
STAPHYLOCOQUE BLANC
Staphylococcus epidermidis
Partout, Germe le plus
rencontré.
Porteur sain Peau,
Muqueuses.
Peut s’implanter après chirurgie sur du matériel
étranger
(prothèses).
Devient
Résistant aux ATB
Bactérie
Pathogène Opportuniste
(BPO) Secrète une substance
polysaccharidique, le slime.
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Bactéries Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
COCCI GRAM PositifSTREPTOCOQUE
du groupe ANON
Strictementhumain.
Porteur sain Amygdales,Pharynx,I ntestins,
Vagin.
Directe I nter- humaine
Pas trèsrésistant
dansl’environnement.
STREPTOCOQUEdu groupe D
Enterococcus sp.
Très répandu,
Indicateur decontamination
fécale de l’eau.
Porteur sain Rhino-pharynx,
Peau,I ntestins,
Voies génito-urinaires.
Directe et
Indirecte Eau,
Aliments.
Très résistantdans
l’environnement,
BactériePathogène
Opportuniste
(BPO)PNEUMOCOQUEStreptococcus
pneumoniae
NON
Strictementhumain.
Porteur sain Rhino-pharynx.
Directe I nter- humaine
Très fragiledans
l’environnement
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Bactéries Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
COCCI GRAM NégatifGONOCOQUE
Neisseriagonorrhoeae
NON
Strictementhumain.
Porteurasymptomatique,
Dissémination+++++.
Directe Voie sexuelle
Très fragiledans
l’environnement,
Pathogèneobligatoirement
humain.MENI NGOCOQUE
Neisseriameningitidis
NON
Strictementhumain.
Porteur sain Rhino-pharynx.
Directe Gouttelettes de
Pflügge.
Ne survit pasdans le milieu
extérieur.
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Bactéries Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
BACI LLES GRAM NégatifCOLI BACI LLEEscherichia coli
Milieux humidesde
l’environnementaliments, eaux,(indicateur decontamination
fécale).
Flore normaleintestinale
(80% de la floreaérobie)
I ndirecte Mains
Résistant
aux antibiotiques,certains colissecrètent une
toxineentéropathogène.
CI TROBACTER Milieu humide,eau, aliments.
Commensal del’intestin.
I ndirecte Ne survit pasdans le milieu
extérieur.
PROTEUSPROVI DENCI A
Proteus sp.Providencia sp.
Eaux, sols, eauxd’égouts ;
Germes deputréf action.
Porteur sain
Gorge,Peau,
I ntestins,Orifices naturels.
I ndirecte
Mains.
Résistant +++dans
l’environnement,
Alcalinisent lesurines
(f ormation decertains calculs).
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Bactéries Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
BACI LLES GRAM NégatifSALMONELLESSalmonella sp.
Eaux, eaux usées,
I ndicateur decontamination
fécale de l’eau.
Alimentscontaminés pardes porteurs,
œufs.
Porteur sain
et
Maladeasymptomatique,
Selles
Mains.
I ndirecte manuportée
Aliments(pâtés, viandes),
coquillages,crustacés, eaux,préparations àbase d’œufs
(crème,mayonnaise)
Résistantes,se multiplient àtempératureambiante ;
Toxi- infectionsalimentairescollectives
(signes cliniques,6 à 72 h après
ingestion).YERSI NI A
Yersiniaenterocolitica
Très répandu,
Indicateur decontamination
fécale de l’eau.
Porteur sain :Rhino-pharynx,
Peau,I ntestins,
Voies génito-urinaires.
Directe et
Indirecte
eau,aliments.
Très résistantdans
l’environnement,
BactériePathogène
Opportuniste
(BPO)HEMOPHI LUSHaemophilusinfluenzae
NON
Strictementhumain.
Porteur sain Commensal des
voies respiratoiresde l’enf ant +++( 25 à 30 %) ;Le portage a
diminué depuisl’introduction de la
vaccination.
Directe
Gouttelettes dePflügge.
Résistant àcertains ATB.
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Bactéries Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
BACI LLES GRAM NégatifACI NETOBACTER Eau et sol
A l’hôpital lavabo
matérielsdivers, savon
liquide.
Commensal del’homme : peau,
gorge, tubedigestif, voies
génitales.
Directe et
IndirecteMatériel, mains.
Résistant,pathogène
opportuniste,écologie voisinedu pyocyanique.
PYOCYANI QUEPseudomonasaeruginosa
Air, eau, solshumides ;
A l’hôpital
Eaux stagnantes,lavabos, fleurs.
Antiseptiquesaqueux,
pommades, Savon liquide.
Porteur sain
CommensalPeau,
Tube digestif(20 % deporteurs).
I ndirecte
Manuportée.
Résistant ;Peut subsister
dans l’eaudistillée ;
Peut dégrader lesammoniums
quaternaires.
BactériePathogène
Opportuniste
(BPO) LEGI ONELLA
Legionellapneumophila
Réservoirsd’eau douce :
chauff e eau,robinets, douche,
climatisation,piscines d’eau
chaude, aérosolsd’eau.
NON I ndirecte Développementfavorisé à35° - 45°C,inf ections
nosocomiales chezimmunodéprimés
et greff és.
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Bactéries Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
BACI LLES GRAM PositifBACI LLUSCEREUS
Sol et air. Porteur sain
peau
I ndirecte +++ Résistantà l’extérieurSPOROGENE
LI STERI A Eau, sol,végétation, lait,f romage, viande
crue, salade.
Porteur sain
I ntestin, vagin.
DirecteMère enf ant
I ndirecte
Résistant
se multiplie à 4°.
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Bactéries Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
BACI LLE ACI DO ALCOOLO RESI STANTBACI LLE DE KOCH
Mycobacteriumtuberculosis
Dansl’environnement
immédiat dumalade
bacillaire.
Pathogèneobligatoire.
Directe Résistantau f roid, à ladessiccation,
résiste plusieursjours dansproduits
contaminés.
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Bactéries Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
BACTERI ES ANAEROBI ES STRI CTES SPOROGENESCLOSTRI DI UMPERFRI NGENS
Terre,poussières.
Commensal tubedigestif
peau saine,périnée.
I ndirecte Résistant+++++
à la chaleurSPOROGENE
gangrène gazeusepost-traumatiqueou après chirurgie
digestive ouvasculaire.
CLOSTRI DI UMTETANI
Tube digestif deschevaux, f ècesdans la terre.
Rarement dansl’intestin humain.
I ndirecte
par plaie mêmeminime.
Résistant+++++
SPOROGENE
La spore n’est pasdétruite par l’eau
oxygénée. CLOSTRI DI UM
BOTULI NUMAliments malstérilisés,mauvaisessalaisons
asperges,conserves
artisanales,saumure
insuffi sante.
NON I ndirecte
par les aliments.
Résistant+++++
SPOROGENE
C’est la toxinesecrétée en phasede multiplicationde la bactérie qui
donne lapathologie.
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Bactéries Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
CHAMPI GNONSCANDI DAALBI CANS
Commensal de lacavité buccale,
du tubedigestif, voies
génitales, peau.
Indirecte (sonde KT)
contaminationendogène.
Directemère enfant.
Résistant
ASPERGI LLUS Nature ++++
Plus concentré siair chaud et
humide.
I noff ensif pourl’individu normal.
I ndirecte
par inhalation del’air.
Résistant ++++SPOROGENE
Pathogène chezimmunodéprimés.
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Virus Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
VI RUSHEPATI TE A
(H.A.V.)aliments, eau,f ruits de mer,
glaçonscontaminés parsujet inf ecté.
Eliminé parles selles, la bile.
Transmis parvoie manuportée.
Oro- fécaleindirecte
par aliments etmouches sur les
aliments,manuportée.
Résistant +++milieu extérieur.
Donne desépidémies danscollectivités à
l’hygiène précaire.
HEPATI TE B(H.B.V.)
NON Strictementhumain(malades
convalescentschroniques)
Virus dans le sang,sperme, salive,
bile, urines, selles.
DirecteSalive, sperme
I ndirecteMatériel souillé
de sang,transfusion de
sang et sesdérivés,
exposition dupersonnel
hospitalier.
Résistant
dans le milieuextérieur siprotégé par
matièresorganiques.
HEPATI TE C NON Strictementhumain(malades
convalescentschroniques)
Virus dans le sang,sperme, salive,
bile, urines, selles.
DirecteSalive, sperme
I ndirecteMatériel souillé
de sang,transfusion de
sang et sesdérivés,
exposition dupersonnel
hospitalier.
Résistant
dans le milieuextérieur siprotégé par
matièresorganiques.
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Virus Environnement Réservoirhumain
Mode detransmission
Résistanceparticulière
VI RUSH.I .V. NON Strictement
humain
Virus dans le sang,sécrétions
vaginales, spermeet autres liquides
corporels.
DirecteSexuelle, mère
enfant.
I ndirectePartage dematériel
contaminé,transfusion desang et dérivés,exposition du
personnelhospitalier.
Survit mal et peude temps hors de
l’organisme.
Détruit à 56°Cpendant 30’.