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International Journal of Human Settlements Vol. 3 Nr. 2 2019 The Berber architecture at the time of Medieval empires

Souad DJEMAI, Hafidha DJELLAL, Ghania Aissaoui, Amal BIBI Received: 06 March 2018• Revised:24 April 2019 • Accepted: 17 June 2019

Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License (CC BY-NC-ND)

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THE BERBER ARCHITECTURE AT THE TIME OF MEDIEVAL EMPIRES

Souad DJEMAI

Phd student, Institute of Architecture and Urban Planning, University of Blida 1, E- mail : [email protected]

Hafidha DJELLAL

Phd student, Institute of Architecture and Urban Planning, University of Blida 1, e-mail : [email protected]

Ghania AISSAOUI

Phd student, Institute of Architecture and Urban Planning, University of Blida 1,e-mail : [email protected].

Amal BIBI

Phd student, Institute of Architecture and Urban Planning, University of Blida 1, e-mail : [email protected]

Abstract: Heritage is the set of material and immaterial goods that constitute the environment of man and testifies to a particular aspect and identity of an agglomeration and which is transmitted from one generation to another. Africa is the oldest and richest continent in its history or has marked the passage of several civilizations whose Amazigh were the first inhabitants who ruled North Africa, thus the spread of this Berber population in this territory has left an impressive heritage which is the Amazigh architecture which contributed to several Amazigh dynasties: (Almoravids, Almohades, Mérinides and Zeniths ....) and knew its rise Especially with the arrival of Islam in North Africa Since then, architecture has focused on the major and sacred element in the medieval Islamic city which is the mosque. The mosque is therefore the place of worship where the faithful can meet several times a day to fulfill their prayer, which is the second pillar of the five pillars of Islam. Mosques constitute the central core of the Islamic city and the most common element by Muslims, and therefore they must be protected and preserved as cultural and cultural elements because they reflect a way of thinking and to know how to live Berbers Key words: heritage, Berber architecture, medieval mosques. Introduction: Les berbères sont les membres d’un groupe ethnique autochtone d’Afrique du nord connus aussi par les « amazighes » qui signifie les hommes libres ou les hommes nobles ;La culture des berbères a englobé plusieurs population d’Afrique du nord : ‘Algérie/Maroc/ Tunisie/ Lybie/Mauritanie’.avec l’arrivé de l’islam Cette puissance a pu survivre passant par plusieurs empires tel ( Rustumides(144-296H/761-908/09AP-JC)/les Idrissides (789-926ap-jc)/les Fatimides(909-969 ap-jc)/les zirides (972-1148ap-jc)/les Hammadites(1007-1152 ap-jc)/les




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Almoravides 1056-1147ap-jc)/les Almohades(1147-1269ap-jc)/ les Hafsides (1229-1574ap-jc) et les Zianides(1235-1554ap-jc). La propagation des berbères dans le territoire d’Afrique du nord a apporté une riche diversité culturelle et architecturale, cela été traduite dans la façon de construire dans chaque région par les fractions berbères dont les mosquées étaient l’Architecture majeur dans la cité islamique et le lieu de culte le plus sacré dans la société islamique, Dans cet article on va mentionner quelques mosquées qui étaient construites durant ces empires en fessaient une étude comparative entre les différentes mosquées. Problematic: Les caractéristiques architectoniques des mosquées se déférent d’une région a une autre, on construit selon la culture et le savoir-faire local, il existe plusieurs types de mosquées qui datent de la période médiévale mais avec des aspects architectoniques différents d’où vienne la nécessité de faire une étude comparative entre les mosquées de cette époque. L’objectif de notre intervention est bien de resituer quelques mosquées médiévales les plus marquantes dans le territoire amazigh afin de les maîtres en valeurs et les protéger, cette description va être accompagnée par une étude comparative entre ces mosquées, en focalisant sur le rôle des habitants (berbères) dans la création et le développement de l’architecture des mosquées mauresques. Materials and methods: Définition de la mosquée : Le mot masdjid (pl. masâdjid), de l’arabe:’’ �� ’’ : mosquée, associe la racine Sadjada ‘’ :’’ se prosterner" au préfixe de lieu de l’action « m » ; il désigne donc avant tout le lieu où le س��fidèle se prosterne pendant les prières rituelles et ne suppose à première vue rien de plus qu’un espace rituellement pur. Au fil du temps, ce terme est cependant venu recouvrir une réalité d’une complexité grandissante, tant dans ses fonctions que dans son organisation et surtout dans ses formes architecturales. Genèse de la mosquée : Le Coran emploie également le terme de masdjid pour des sanctuaires préislamiques

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Et, pour le Prophète (Qsssl), le masdjid principal reste celui – préislamique – de La Mecque. Le musulman, n’a pas besoin de sanctuaire pour accomplir les rites de sa religion. Selon un hadith , la terre entière est le masdjid d’Allah (par opposition aux juifs et aux chrétiens qui auraient besoin de synagogues et d’églises, Il n’est donc pas étonnant que le Coran ne contienne aucune précision en ce qui concerne la forme que doivent avoir les mosquées. Le sens étymologique du mot masdjid (qui a donné le terme français mosquée) renvoie au lieu où l'on se prosterne, c'est-à-dire à un temple d’adoration, ce qui explique son acceptation générique pour désigner tout lieu où s'accomplit la prière. La mosquée donc est le lieu de culte où les fidèles peuvent se réunir plusieurs fois par jour pour accomplir leur prière, qui est le second pilier des cinq piliers de l’islam. Institution




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primordiale en islam, la mosquée est le symbole même de la foi, de l'identité et de la civilisation islamique. Evolution de la mosquée médiévale en Algérie: La conquête par les Arabes de l'Algérie fait bloc avec celle de la Tunisie et du Maroc par Uqba Ibn Nafi. Les Arabes foncent vers l'Ouest, et le Maghreb entier est soumis dans les premières années du (VIII` siècle). Les Arabes doivent constamment lutter contre les révoltes berbères, le Maghreb se morcelle en émirats plus ou moins indépendants. Tahert (Tiaret), devient vers la fin du (VIII` siècle) la capitale de la dynastie des Rustumides qui règne sur les Hautes Plaines de l'Ouest Algérien et s'oppose à l'émirat Aghlabide par ses caractères ibadites (courant kharidjite modéré). Au début du X` siècle les Rustumides tombent sous les coups des Fatimides, dynastie chiite, fondée par Ubayd Allah qui succède aux Aghlabides en Ifriqiya. Après leur installation en Égypte (969 apjc), ils confient Ifriqiya à la dynastie berbère des Zirides. À l'Ouest, cependant, les succès de la dynastie berbère des Almoravides sont allés en se multipliant vers Tlemcen et Oran. Abd al- Mumin, successeur d'Ibn Tûmart et premier calife de la dynastie des Almohades. Les Rustumides (144-296 H/ 761-908/09 ap-jc) : Ce royaume était fondé par Ibn Rostom, un noble d'origine persane. Tahert était la capitale de ceroyaume, elle se situe à 10 Km de l'actuelle Tiaret. L'architecture Rustumide se caractérise par une sobriété et une absence de décoration, des structures étaient très simples cela est dû à l'austérité des imams Rustumides et à leur idéologie puritaine (dogme kharidjite ibadite), qui reprouve le luxe comme un péché.




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Caractéristiques Illustrations - La mosquée de Tahert possède une salle hypostyle, composée de quatre nefs transversales. Selon Marçais, il existe le même type de mosquée à Fès.

- Les ruines de Sedrata constituent le prolongement de l'art et de l'architecture des Rustumides. Une mosquée couverte de coupoles ovales juxtaposées et plusieurs ensembles résidentiels ont été découverts. L'art de Sedrata est caractérisé par sa décoration simple en plâtre ou des inscriptions en kufiquess.

- La Niche est de plan rectangulaire à fond arrondi sous forme de coquille ornée de nervures terminées par des alvéoles. La baie de façade, sculptée en faible relief, est ornée de festons, de losanges et de cercles, tandis que les écoinçons sont meublés de médaillons à rosaces cernés de part et d'autre par des feuilles stylisées. La baie s'inscrit dans un double encadrement : le premier formé d'une bande à treillis losangé, le second d'une étroite bande ajourée.

Les Idrissides (789-926 AP-JC) : Cette dynastie apparaît au Maghreb extrême, son fondateur est Chérif Idriss, un descendant du Prophète. Les Idrissides (du dogme chiite) qui sont des bâtisseurs de villes, ont laissé également quelques monuments phares.

Les Fatimides (909-969 ap-jc) : Les Fatimides ont gouverné sur l'Afrique du Nord, l'Egypte, la Syrie, l'Arabie à l'Ouest et au

Caractéristiques Illustrations - Les mosquées Idrissides possèdent une salle hypostyle

- Minaret massif à base carrée avec des coupoles surmontant le haut des tours.

- Construction des mausolées.

- Les mosquées Idrissides caractérisent par les toitures inclinées. -Utilisation de l’arc en pleine cintre.

- Utilisation de l’arc outre passé.

Photo de niche de Sedrata au Musée national des Antiquités et des Arts islamiques à Alger.

Photo de fragment de frise en timchent (plâtre local) sculpté à décors épigraphique, géométriqueet floral.

Photo de Ruines de la première mosquée Idrisside, à Tlemcen, la mosquée Agadir fondé en 790 JC par Idriss ier (Algérie).

Photo de Minaret de la mosquée d'Agadir




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Sud, la Palestine et la Sicile. Cette dynastie (du Dogme chiite) a marqué l'histoire architecturale et artistique de ces régions. Le grand nombre d’oeuvres d'art de la période fatimide qui nous est conservé permet d'apprécier la variété des techniques artistiques employées dans les arts décoratifs. Celles-ci utilisent essentiellement des supports bidimensionnels comme les textiles tissés et les céramiques peintes, et tridimensionnels tels l'ivoire, la pierre et le bois gravés et le métal coulé. Ces techniques paraissent rendre compte de la clientèle et des goûts des différentes classes sociales, et offrent une vision riche et inhabituelle des arts de cette époque.

Caractéristiques Illustrations - L'architecture fatimide a su intégrer ensemble des influences multiples aussi bien byzantines et antiques, qu'abbassides et andalouses... (Les niches utilisées comme élément décoratif dans la façade de la mosquée de Mahdia, existaient déjà dans le répertoire architectural Aghlabide et Abbasside)21.

- Construction d’entrée monumentale.

- Construction des mausolées.

- Utilisation des Muqarnas (technique persane).

- Utilisation du décor floral et de l’art du bois.

- Introduction de l’arc persan.

Les Zirides (972-1148 ap-jc) et les Hammadites (1007-1152 ap-jc) : Les modèles architecturaux fatimides furent largement repris par les Hammadites à la Qal`a. Cependant, des éléments d'origine sassanide et byzantine sont également présents dans les vestiges des palais. Ainsi, l'emploi des muqarnas, utilisés notamment pour décorer les coupoles et les entrées, y est attesté pour la première fois au Maghreb et en Andalous. Cet élément d'origine sassanide a pu y être introduit par l'intermédiaire de l'Égypte fatimide.

Caractéristiques Illustrations -Les chapiteaux Zirides et Hammadites peuvent se repartir en trois grandes catégories : Chapiteaux à peine épannelés, Chapiteaux a rangé de feuilles d'acanthe et Chapiteaux à deux rangées de feuilles d'acanthe.

- minaret parallélépipédique.

- Le décor : les zirides et les Hammadites ont utilisé pour leur décor le marbre, le bois, le plâtre, la pierre, la brique, le verre la céramique et les métaux.

- Les mihrabs zirides et hammadites, ont la partie supérieure en cul-de-four.

- Les niches semi-cylindriques.

Photo de la Porte de la mosquée Mahdia

Photos de la salle de prière et La mosquée Mahdia

Photo du minaret de la mosquée de la Qal'a des Baní H'ammâd (1007- 1008ap-jc) â M'sila.

Photo des Chapiteaux à deux rangées de feuilles d'acanthe, mosquée Sayyidî Abû Marwân à Annaba (Zirides).




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Les Almoravides (en arabe al-Murabitoun) (1056-1147 ap-jc) : Les Almoravides avaient le but, de rétablir la pureté de l'islam ; cette idéologie affecta le caractère des premiers édifices construit au Maghreb, l'architecture était d'une extrême simplicité, répondait au strict minimum. Il a fallu attendre environ une génération, pour que le Maghreb ouvre ces portes à la civilisation andalouse. Les Almoravides ont montré une grande Ingéniosité dans le décor, ils sont arrivés à créer un art raffiné. En effet, ils étaient plus Préoccupés par l'ornementation des édifices, que par leur plan ou leur structure.

Caractéristiques Illustrations - Les Almoravides se sont inspirés par l'art andalou ; ont doté l'Algérie de trois grandes mosquées : Tlemcen, Alger et Nèdroma qui sont influencées par la grande mosquée de Cordoue, les palais de Madinat al- Zahra et al-Jaféria de Saragosse.

- Les mosquées almoravides sont construites sur piliers et sont couvertes de toits en tuiles, à deux versants. A cette époque aucun minaret n'a été construit.

- Une salle de prière bien plus large que profonde et une cour bordée de galeries.

- L'originalité des almoravides se manifeste dans le décor de leurs coupoles, ils ont mis en honneur la coupole à stalactite.

- Les Almoravides ont été les premiers à orner l'intérieur de leur mihrab de claustra meublé de décor végétal25.

- Les mosquées almoravides sont ornées d'une frise d'acanthe ou une feuille étalée alterne avec deux groupes de feuilles pliées suivant la nervure médianes26.

- A l'époque almoravides sont apparus et se développe l'arc lobé tréflé, l'arc recti-curviligne et l'arc à lambrequin.

- Utilisation du marbre, plâtre et le bois.

Les Almohades (en arabe al-Muwahhidan) (1147-1269 ap-jc) : L'expression artistique est sans doute un vecteur privilégié de l'idéologie almohade (leur doctrine repose essentiellement sur le Tawhid ou Unicité d'Allah). Leur héritage dans le domaine de l'architecture religieuse est grandiose. Plusieurs grandes mosquées almohades sont de véritables chefs-d’oeuvre. Ces principales réalisations relèvent d'un programme architectural cohérent et raisonné.

Photo sur la couverture en tuiles de la grande mosquée de Tlemcen.

photo de coupole de la

grande mosquée de Tlemcen.

photo des arc de la grande mosquée de Tlemcen




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Caractéristiques Illustrations - Ils ont construit des mosquées avec des salles de prière plus larges que longues. Et des nefs perpendiculaires au mur de la qibla.

- Les Almohades ont surtout utilisé les arcs brisés outrepassés, appareils en brique, les arcs à lambrequins et les arcs lobés sous formes brisées et outrepassées parfois tréflées ou moulurées27.

- La plupart des minarets ressemblent à ceux de la mosquée de Cordoue. Les tours sont de forme carrée, la partie supérieure présente des merlons à dents et se termine par des lanternons.

- Les chapiteaux almohades s'inspirent des chapiteaux de type composite des grandes mosquées de Cordoue et de Tlemcen. Ils ont créé un nouveau type de chapiteau, communément appelé "hispano-mauresque".

- Les Almohades n'ont pas employé de colonnes isolées mais des colonnes à demi-engagées dans les murs.

- Les Almohades ont utilisé des portes monumentales comme celle de la mosquée Fatimides de Mahdia.

Les Hafsides (1229-1574 ap-jc) : Les Hafsides (du Dogme Malikite) dans leur première période de règne qui était marquée par la prolifération de l'art hispano-maghrébin et par la construction de plusieurs édifices administratifs et religieux, comme les medersas, les mosquées et les zaouïas.

Plan de la mosquée de Tinmal au Maroc.

Photo du minaret de la Mosquée de Cordoue.

Photo du chapiteau de la mosquée de Tinmel à deux rangées d'acanthes et à grande feuilles de caulicoles.




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Caractéristiques Illustrations - Les Hafsides furent des bâtisseurs, ils trouvèrent dans les villes de nombreux souvenirs de l'architecture Aghlabides et Çanhajiennes, en plus des influences orientales qu'elles leur rappelaient. Ils se soumirent aux leçons des artistes Andalous29. - La mosquée possède une salle de prière rectangulaire plus profonde que large.

- Les salles de prière dont les nefs sont couvertes par des voûtes d'arêtes. La construction en pierre et voutes en berceau sur des colonnes.

- Utilisation des arcs brisés outrepassés, délimitant des voûtes d'arêtes, reposent par l'intermédiaire d'impostes sur des colonnes en marbre surmontées de chapiteaux hafsides.

- Le mihrab, revêtu de panneaux de marbre, se présente sous la forme d'une niche surmontée d'une coupole à stalactites en stuc, flanquée de colonnettes à chapiteaux.

Les Zianides (les Abd-Al-Wadides) (1235-1554) : Les Abd-al-wadides (sunnisme) gouvernèrent le royaume de Tlemcen d'abord pour le compte des Almohades puis pour leur propre compte. Ils ont édifié de nombreux monuments, dans le domaine de l'architecture civile, des constructions militaires. Mais c'est dans le domaine religieux que les Abd-al-wadides se sont rendus les plus célèbres, ils ont, en outre doté de minarets un certain nombre de mosquées construites par des dynasties antérieures ; les grandes mosquées d'Alger, Tlemcen et Nèdroma.

Caractéristiques Illustrations

- Les constructions religieuses zianides de petites et moyennes dimensions, ont un minaret situé à l'un des angles de la mosquée.

- Leurs minarets étaient décorés de toutes les faces comme ceux édifiés par les Almohades. Sous les Zianides, retour à la simplicité des monuments magrébins pré-almoravides (absence de l'arc lobé).

- Sous les Zianides, les claustras occupaient une place

Plan de la mosquée de la

Qassaba à Tunis.

Photo du minaret de la mosquée de

la Qassaba à Tunis.

Plan de la mosquée Sayyidi Ibrahim à Tlemcen.




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plus grande dans le décor que sous les Almoravides. L'art des Zianides a été influencé à la fois par la grande mosquée de Tlemcen et par les édifices almohades qu'ils connaissaient.

- Les Zianides ont adopté la coupole à stalactite des mihrabs de la Kutubiyya et de Tinmal délissant la coupole à cannelures du mihrab de la grande mosquée de Tlemcen mais en compensation, ils ont édifié une coupole sur nervures dans la même mosquée.

- les artistes Zianides ont utilisé l'arc plein cintre, l'arc plein cintre outrepassé, l'arc brisé outrepassé à deux centres et l'arc festonné.

Comparaison entre la mosquée Qarwiyyin au Maroc et la mosquée sidi Maiza en Algérie :

Cette étude comparative est effectuée vu que ces deux mosquées étaient construites par les Idrissides, et afin d’extraire la différence et les points communs entre ces deux mosquées en matière d’architecture et patrimoine matériel et immatériel.

La mosquée Qarwiyyin au Maroc : La mosquée El Qarawiyyin tire son nom de Kairouan, car elle fut construite par d’anciens Habitants de cette ville qui s’établirent à Fès au neuvième siècle. La construction de cette mosquée fut entreprise en 857 à titre privé par la fille d’un riche Arabe originaire de Kairouan. La salle de prière comprenait originairement les quatre nefs, parallèles à la qibla, qui est dans l’édifice actuel, sont comprises entre la quatrième et la septième nef à partir du sahn. En largeur, elle comportait douze travées, les six travées situées à gauche de la nef du mihrab étaient légèrement resserrées par souci de symétries. Des arcades perpendiculaires à la qibla marquent l’emplacement de l’ancienne enceinte extérieure, d’autres bordent la nef du mihrab. On ne sait rien de la nature des supports et de la forme des arcs originels, mais un minaret se dressait face à la nef du mihrab, comme à Kairouan.

photo du minaret Sayyidi Ibrahim à

Tlemcen.




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En 919 ou en 933, sous la domination des fatimides, le bâtiment devint une mosquée du Vendredi. Lorsque fez revint aux sunnites sous les émirs berbères Zenata, clients des omeyyades d’Espagne. Le développent du commerce et la paix retrouvé favorisèrent l’accroissement de la population et l’agrandissement de la mosquée fut décidé par « Abd al-Rahman III ». L’actuel minaret –de style cordouan, exception faite du parapet et du dôme qui rappellent le ribat de Sousse- fut achevé en 965, selon une inscription aujourd’hui disparue. Les autres adjonctions datent probablement aussi de même époque. Sans modifier l’emplacement de la qibla, la salle de prière fut agrandie vers l’est et vers l’ouest jusqu'à ses dimensions présentes, et prolongée au nord par trois travées occupant l’ancien sahn. Le nouveau sahn fut sans doute axé sur le minaret situé à l’ouest, mais on n’en connait pas L’aspect, car cette section du bâtiment a été, depuis lors, maintes fois remaniée. Toutes les Sections additionnelles de l’édifice utilisaient la brique pour les piliers et pour les arcs, une Variété de ciment pour les murs extérieurs et la pierre pour le minaret aujourd’hui recouvert de stuc. Les arcs étaient cintrés en fer à cheval, à la mode cordouane, comme devaient l’être aussi les arcs du IX’ siècle. En 1134, le sultan Ali ibn Yusuf entreprit les derniers travaux d’agrandissement de la mosquée, en y ajoutant trois nefs d’une largeur égale à celle de l’ancien bâtiment, au sud de l’anciennes qibla, et en enrichissant la nef du mihrab de la splendide voute à muqarnas que l’on y découvre aujourd’hui. La voute de ce nouveau mihrab, et la voute rectangulaire qui couvre les deux premières travées de l’extension des Almoravides, sont datées de 1136. Le travail de construction fut achevé en 1143 et le nouveau minbar est daté de l’année suivante. Les dernières additions d’importance ont été les deux pavillons qui s’avancent dans le sahn,

Plan de la mosquée el Qarawiyyin




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Construits par le sultan Saadien Abdallah Ibn al-Shaykh (1613-1624). Ils contiennent des Fontaines mais, manifestement reproduits sur le modèle de ceux que l’on découvre dans la cour de lions de l’Alhambra de Grenade, ils détonnent dans une mosquée.

D’après les exemples qu’on a vu, on a pu ressortir les éléments caractérisant les mosquées Médiévales, et on a abordé l’exemple d’El Qarawiyyin, pour connaitre les caractéristiques de la Dynastie Idrisside précisément. Cela va nous permettre de savoir à travers l’analyse qui va suivre Comment se positionner notre mosquée par rapport aux caractéristiques des mosquées médiévales.

La mosquée sidi Maiza a Ténès en Algérie : La ville de Ténès, anciennement Carténna, comme l’ensemble des villes du Maghreb ancien Connut différentes civilisations ; Phénicienne, Romaines, berbère, médiévale, Turque et

Vue de la ville de Fès et de la mosquée Qarawiyyine édifiée par les Almoravides à partir de 1135.

La cour de la mosquée Qarawiyyine.

Vue sur la salle de prière Vue sur le sahn




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Française. En effet, les Idrissides seraient les premiers fondateurs de la ville, comme toute ville islamique la ville de Ténès a cet époque était entouré par des murailles en pierre pesés par des porte dont la mosquée était le lie le plus fréquenté et atours de laque s’organise les habitations. la mosquée de Sidi Maïza est la troisième, pour d’aucuns la deuxième, du pays du point de vue ancienneté après celle de Sidi Okba à Biskra et Sidi Boumediene à Tlemcen. Fiche technique sur la mosquée :

Nom Mosquée de Ténès Lahdhar (vieux ténès) lieu Algérie, Wilaya de Chlef, Ténès Lahdhar (à 1 km de la ville

actuelle de Ténès Date de construction IX°_XI siècle Nature du monument médiéval

Nature juridique habous, Wakf (en arabe �� def : la constitution d’un ا �,+ او س اbien de mainmorte « wakf » est le gel de propriété d’un bien au profit de toute personne à perpétuité et sa donation)

Matériaux de construction

Grès, calcaire, tuile, mortier de plâtre, mortier de chaux, brique, pierre de taille antique, décore en marbre

Dimension 18,60 x 34,50 m ; salle de prière : 32 x 15 m ; minaret : H. 15,40 m Date de classement 9 mai 1905 ( a l’échelle national).

Localisation de la mosquée : La mosquée sidi Maiza constitue un lieu d’intersection de parcours d’implantation et le 3ème

parcours de consolidation. Elle est entourée par des habitations. Sa localisation nous permettrons de la repéré même si on est loin de la ville.

Plan de situation de la mosquée Sidi Maiza

Plan de masse de la mosquée




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Transformation de la mosquée Sidi Maiza : � La mosquée avant 1954 : En 1954, après un séisme, la mosquée subit d’importants travaux qui modifient le plan original et le volume initial. Après le séisme de 1980, une étude de protection provisoire est menée. En 1996, opération de mise en valeur (nettoyage et décrépissage des chapiteaux) par l’Agence Nationale d’Archéologie.




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À l’origine, cette salle était couverte de terrasses, mode de couverture que certains auteurs renvoient à l’époque romaine, alors que d’autres y voient que la toiture de la mosquée Sidi Maiza est de même style que la toiture de la mosquée de Omar Ibn El Khatab à Ténès. La toiture a subi plusieurs modifications et restaurations depuis l’occupation de la ville apr les français en 1843. En effet, dès la moitié du XIX siècle, la mosquée a vue sa première restauration, cependant les sources n’indiquent pas sur quelles parties de l’édifice les interventions ont été effectuées. L’étude de 1924 indiquait que la toiture était en tuile et en forme pyramidale et suite au séisme du 9 septembre 1954, elle fut détruite et remplacée par couverture plane lors des restaurations. Il apparait donc que la toiture a perdue de son authenticité et des éléments constitutifs nouveaux Datant du XX siècle altèrent la lecture historique et archéologique.




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L’enveloppe extérieure de la mosquée : La mosquée est de forme rectangulaire, brisé par la forme de sa cour de son coté Nord. Elle se dresse dans un lieu surélevé. L’entrée principale est située dans la façade ouest, des escaliers ont été construits pour rattraper le niveau de la pente du terrain ou on trouve 2 canons ottomans planté. Deux autres entrées ont été aménagées dans la façade sud : la première sur le coté occidental du mihrab et la seconde, destinée aux femmes, est sur le coté oriental du mihrab. On trouve une autre entrée à l’angle nord-ouest qui mène directement à la cour. Observant les façades, nous constatons que les ouvertures sont à un nombre réduit, les murs sont presque aveugles, les façades de la mosquée contiennent plus de plein que de vide. La salle de prière s’ouvre sur l’extérieur par des petites fenêtres avec arc outrepassé, sept Fenêtres qui donnent sur la cour et par cinq autres sur la façade ouest. La toiture actuelle est une dalle en béton.




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L’enveloppe intérieure de la mosquée ;( l’organisation spatiale) :

1. La salle de prière : La salle des prières de type hypostyle comme les mosquées de Damas, de Cordoue, de Kairouan et de la mosquée al-Hasan à Rabat.

Nous distinguons deux espaces dans la salle de prière: Le premier espace concerne le grand espace que l’on trouve juste à l’entrée est dévolue aux hommes et la deuxième partie pour les femmes est située dans la dernière travée près de la façade est, des obstacles en poutrelles de bois couvertes de tissus font office de séparation entre le monde des hommes et celui des femmes. Cinq nefs parallèles au mur de la qibla et traversées par onze travées à é gales distance constituent la division interne de la salle des prières. Les mesures internes de cette salle sont comme suit : longueur : 29,60 ; largeur : 13,20 ; superficie : 390,72 mètre carré.La salle de prière de 29.60x13.20 m est composée de 11 travées perpendiculaires au mur de qibla, et 5 nefs parallèles à celui-ci, donc l’ensemble de la salle est réparti en 54 unité (module=2.55 X 2.22).

2. La cour : La cour est du plan irrégulier. On y accède soit par une issue externe ou des marches dans L’angle nord-ouest qui mène directement vers le petit mausolée, soit grâce à l’ouverture Sur la façade nord de la mosquée. Près du minaret est implanté un tombeau coiffé d’une coupole octogonale. Il a une forme Carré, sa porte est surélevée d’un arc semi-circulaire d’une hauteur de 1,40 m. Il serait Selon la légende la demeure du saint homme, Sidi Maamar. A l’opposé de ce tombeau, un puits servait pour les ablutions des fidèles et pour les gens de la cité médiévale. On trouve aussi un palmier qui est planté par le saint Sidi Maiza, ainsi des toilettes et une Salle des ablutions qu’est accolée à la façade nord de la mosquée.

3. Le mihrab : La mosquée possède deux mihrabs dont le plus grand et le plus ancien au plan polygonal à niche Octogonale. Il offre l’aspect de trois arcs surhaussés dont la niche pénètre dans le mur de la Façade sud de 2 mètres. Ce mihrab est précédé d’une part d’une coupole, et d’autre part il est décalé d’une nef vers l’est, ce qui est inhabituel dans l’architecture religieuse islamique. Ceci s’explique selon Bourouiba par la tradition médinoise car les véritables bâtisseurs de cette Mosquée dérivent de la lignée du prophète et par conséquent se sont inspirés du plan de la Mosquée de Médine.

4. Le minbar : Ce minbar est une chaire mobile à 8 marches, il est placer dans le 2ème mihrab.

5. Le minaret : Le minaret est situé dans l’angle nord ouest de la mosquée, il culmine à une hauteur de 15,40 m et il est composé de deux niveaux : Le premier niveau représente le tronc du minaret d’une hauteur de 12,60 m Le deuxième niveau est le chœur recouvert d’une coupole.




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6. Les tombeaux : Plus le tombeau qui se trouve au niveau de la cour, on trouve deux tombeaux à l’intérieur de la Mosquée, le premier faute de pierre tombale est anonyme d’après Mr Marwan Zerrouki ; il s’agit De Sidi Maiza, le second par contre sa pierre tombale révèle qu’il s’agit de la femme de Sidi Maiza. Le texte en arabe est comme suit :

�- ام 6&�5م (.4 س��ي ا 0و(� زو�- س��ي �1�0ة س.- � 1117ھ7ا ,� ا Ténès Lahdar est la ville des Awliya el salihin ou on trouve 99 wali salih et Lala azziza qui est la 100ème. Selon Mr Marwan Zerrouki, ils ont trouvé plusieurs tombes quand ils ont refait la Citadelle de la cour. Marçais et Dessus Lamare signalaient dans leur plan de la mosquée la présence de 12 tombes Près du minaret, le long de la nef attenante à la façade nord.




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Results and discussions: (Etude comparative)

La mosquée El Qarawiyyin La mosquée Sidi Maiza Observation

1) Simple oratoire d'une centaine de mètres. 2) La mosquée d'origine était composée de quatre nefs parallèles au mur de qibla, traversé par douze travées. 3) La mosquée contient une petite cour. 4) La mosquée contient un seul mihrab. 5) La mosquée contient un seul minaret à base carrée. 6) La couverture construite en tuile. 7) Utilisation de l’arc en pleine cintre et de l’arc outrepassé brisé au sommet. 8) Matériaux de construction : pierre, pisé, brique de terre cuite, mortier de chaux (la construction initiale, a été bâtie en pierre de taille, puis recouvert ultérieurement de plâtre et de chaux soigneusement polis). 9) La mosquée est passée d’un simple oratoire à une des grandes mosquées universitaires au monde. 10) La mosquée a subit une véritable transformation (sous les ommayedes, les almoravides, les almoahads, les mérinides et les saadiens) jusqu’à la superficie attaint 3668.60 m

1) Simple mosquée avec superficie : 390,72 mètre carré. 2) La mosquée est composée de cinq nefs parallèles au mur de la qibla traversée par onze travées. 3) La mosquée contient une petite cour. 4) La mosquée contient un seul mihrab. 5) La mosquée contient un seul minaret à base carrée. 6) A l’origine la couverture était construite en tuile. 7) Utilisation de l’arc en pleine cintre (pour les portes seulement) et de l’arc outrepassé brisé au sommet. 8) Matériaux de construction : pierre de taille antique, Grès, calcaire, tuile, mortier de plâtre, mortier de chaux, brique, décore en marbre. 9) La mosquée était considérée comme une université pour les fidèles vu le grand nombre des Awliyas à Ténès Lahdhar, mais maintenant elle est qu’une mosquée pour faire la prière seulement 10) La mosquée a subit de transformation seulement au niveau de la toiture, le plan reste le même

-Puisque Ces deux mosquées appartiennent à la même dynastie « Idrisside », on remarque qu’il y a une ressemblance entre eux au niveau de : • Superficie. • L’organisation des nefs par rapport au mur de la qibla. • Type des arcs. • Utilisation de la pierre. - Et on voit une ressemblance entre l’ancienne couverture de Sidi Maiza et celle d’El qarawiyyin, - Aujourd’hui la mosquée El Qarawiyyin est plus grande que celle de Sidi Maiza car elle est le résultat de stratification de plusieurs périodes, par contre La mosquée Sidi Maiza garde le même plan de puis sa construction.




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Conclusion: L’architecture religieuse subi les contraintes imposées par la tradition islamique, mais elle marque son originalité dans des formes très particulières, Cet art ne se manifeste pas par des monuments prestigieux aux imposantes dimensions et au décor somptueux. Il n’utilise pas de matériaux nobles tels que le marbre, la pierre de taille… etc. On utilise le matériau trouvé sur place tels que la terre, la pierre, le bois, la chaux…etc. References: Archive : 1- Procès verbal de la séance du 23 Avril 1947 du Conseil Général d’Alger, Dossier n° 268, Archives de l’OGEBC. 2- Barbier (J), Itinéraire historique et descriptif de l’Algérie, Paris, 1855 3- Rapport de l’architecte des Monuments Historiques sur la mosquée du vieux Ténès, 02/12/1970. Réf DACA 2 N°652/Mts.H. Archives de l’OGEBC. Les ouvrages : 1- Hassan Fathy, architecture of mosque, (http://www. 4shared. com/ document/7RiY4y3h/Mosque_Architecture_by_Hassan_.html) 2- Rachid Bourouiba, Apports de l'Algérie à l'architecture religieuse Arabo-islamique, op.cit. 3- Boussora/Chikh Kenza, « Histoire de l’architecture en pays islamiques », Edition Casbah, Alger, 2004. 4- CH-André Julien, « Histoire de l’Afrique du nord, Tunisie- Algérie- Maroc », Payot, Paris, 2e édition, 1961. 5- Ibn Hawqal, configuration de la terre (Kitab Surat El Ardh),Introduction et traduction,avec index, J.H.Kramers et G .Wiet, Tome I, Ed G- Wiet,Maisonneuve et la Larose,Paris,1964. 6- El Bekri (Abou - Obeïd), Description de l’Afrique septentrionale, traduction, Slane, Paris, 1965. 7- Code de la famille, code de la nationalité et de l’état civil. Livre quatrième, chapitre III : des biens de mainmorte ‘el wakf’, article 213, p 51. 8- Marcais (G), L’architecture musulmane d’occident, Tunisie, Algérie, Maroc, Espagne et Sicile, Paris, 1954 16- ) -��دة ا ��6راه، �1� اE;�ر، 19-9ه/ 13-3(� :1��ن إس��'�A، ��.- !.). دراس- !�ر�=�- و أ;�- و '�ا:F A�. - 2006م)، أطو#- 2007 Les documents d’administrations: 1- Plan permanent de sauvegarde et de mise en valeur du secteur sauvegarde La vieille ville de tenes, phase III-edition finale cabinet d’etudes « monart » / année 2014 Article : 1- Bahnassi Afif , « L'Architecture islamique et ses spécificités dans les programmes d'enseignement », publication de l’organisation islamique pour l’Education, les sciences et la culture-ISESCO, in site web : http://www.fichier-pdf.fr/2011/12/01/architecture-islamique-et- ses-specificites-dans-l-enseignement-1/. 2- Dessus Lamare (A)., Marcais (G), « La mosquée du vieux Ténès », R.Afr, 1924. Revue : 1- Abdelkhah Fariba et Moussaoui d’Abderrahmane, « Les mosquées espaces, institutions et pratiques », 125, 2009-1, in Revue : des mondes musulmans et de la méditerranée, Massignon Louis, in «En Islam jardins et mosquées, Imprimerie Roland Dubroca, Paris, le 02 octobre 1981(exemplaire n°481). 2- Ben El Khaznadji (M), « La mosquée de Sidi Maiza dans le vieux Ténès », revue Athar, bulletin N°2, Alger, 1990, pp.7-8. Encyclopédie : 1- Marianne BARRUCAND, Encyclopædia Universalis © 2000




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Les thèses : 1- Thèse de Mlle Menhour Asma : Evolution de la mosquée en tant que patrimoine architectural religieux

« Cas de la mosquée ottomane à Constantine » Les sites : 1- http://whc.unesco.org/fr/list/313 2- http://www.discoverislamicart.org/ 3- http://www.larousse.fr/encyclopedie/ 4- http://www.quickiwiki.corn/fr/Rost%C3%A9mides 5- http://wvew.qaantara-med.org 6- http://www.castellum-tingitanum.org/ Les discours verbaux avec: 1- Mr. Marouan Zarouki : président de l'association de défense du patrimoine de Ténès.

the berber architecture at the time of medieval empires · les fractions berbères dont les...

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