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Coordination CeGIDD Paca Corse Info CeGIDD n°10 16 Février 2017 1 1- RAPPORTS, ETUDES & PUBLICATIONS Délai de la réactivité des tests sérologiques après la contamination Time until emergence of HIV test reactivity following infection with HIV-1: Implications for interpreting test results and retesting after exposure. Le 10 janvier 2017. Source: Delaney KP et al. Rédigé par: Dr Laurence Morand-Joubert. Dépistage Primo infection Depuis leur introduction, les tests sérologiques ont montré une amélioration de leur performance, notamment dans la réduction de la fenêtre sérologique. Cet article a pour objectif de définir le délai entre l’exposition au VIH-1 et la réactivité d’un test sérologique. Cette donnée est essent ielle pour déterminer à partir de quel moment le diagnostic peut être affirmé ou à l’inverse écarté. Cette période appelée « fenêtre sérologique dépend du virus, du système immunitaire de l’hôte et bien sûr aussi des performances du test. Dans cette étude, la réactivité de 20 tests sérologiques a été évaluée chez 222 prélèvements issus de 25 patients en séroconversion (7 prélèvements par patient en médiane) et le délai de réactivité a été déterminé à partir de la détection de l’ARN viral par le test moléculaire Aptima. A partir du résultat de ces délais de réactivité (intervalle de réactivité inter-test (ITRI), les auteurs ont estimé la durée de la période de séroconversion selon les différentes catégories de tests sérologiques. Les ITRI estimés se raccourcissaient à chaque nouvelle classe de tests sérologiques, allant de 5,9 à 24,8 jours en médiane. Le western blot utilisant un lysat viral devenait positif en 25 jours en médiane après le test moléculaire ARN alors que le test antigène/anticorps était réactif en 6 jours. La durée de la fenêtre virologique entre la contamination et la réactivité du test moléculaire était de 11,5 jours en médiane et de 33 jours au 99 e percentile. Pour les tests de dépistage antigène/anticorps, cette durée était de 18 jours (jusqu’à 44 jours au 99 e percentile) et pour le western blot de 37 jours (65 jours). Ces données confirment que les tests antigène/anticorps détectent l’infection 1 à 3 semaines plus tôt que les tests sans antigène. En prenant une durée médiane de 11,5 jours de fenêtre virologique, les auteurs estiment que 99% des personnes infectées pourront être dépistées avec le test sérologique combiné (Ag/ac) dans les 45 jours après la contamination. Ces données sont essentielles pour interpréter les résultats négatifs des tests de dépistage et pour décider de la nécessité de répéter les tests Article anglais https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=Time+until+emergence+of+HIV+test+reactivity+fo llowing+infection+with+HIV- 1%3A+Implications+for+interpreting+test+results+and+retesting+after+exposure

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Info CeGIDD n°10 16 Février 2017

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1- RAPPORTS, ETUDES & PUBLICATIONS

Délai de la réactivité des tests sérologiques après la contamination

Time until emergence of HIV test reactivity following infection with HIV-1: Implications for interpreting

test results and retesting after exposure. Le 10 janvier 2017. Source: Delaney KP et al. Rédigé par: Dr

Laurence Morand-Joubert.

Dépistage

Primo infection

Depuis leur introduction, les tests sérologiques ont montré une amélioration de leur performance,

notamment dans la réduction de la fenêtre sérologique. Cet article a pour objectif de définir le délai entre

l’exposition au VIH-1 et la réactivité d’un test sérologique. Cette donnée est essentielle pour déterminer

à partir de quel moment le diagnostic peut être affirmé ou à l’inverse écarté. Cette période appelée

« fenêtre sérologique dépend du virus, du système immunitaire de l’hôte et bien sûr aussi

des performances du test. Dans cette étude, la réactivité de 20 tests sérologiques a été évaluée chez

222 prélèvements issus de 25 patients en séroconversion (7 prélèvements par patient en médiane) et

le délai de réactivité a été déterminé à partir de la détection de l’ARN viral par le test moléculaire Aptima.

A partir du résultat de ces délais de réactivité (intervalle de réactivité inter-test (ITRI), les auteurs ont

estimé la durée de la période de séroconversion selon les différentes catégories de tests sérologiques.

Les ITRI estimés se raccourcissaient à chaque nouvelle classe de tests sérologiques, allant de 5,9 à

24,8 jours en médiane. Le western blot utilisant un lysat viral devenait positif en 25 jours en médiane

après le test moléculaire ARN alors que le test antigène/anticorps était réactif en 6 jours. La durée de

la fenêtre virologique entre la contamination et la réactivité du test moléculaire était de 11,5 jours en

médiane et de 33 jours au 99e percentile. Pour les tests de dépistage antigène/anticorps, cette durée

était de 18 jours (jusqu’à 44 jours au 99e percentile) et pour le western blot de 37 jours (65 jours). Ces

données confirment que les tests antigène/anticorps détectent l’infection 1 à 3 semaines plus tôt que

les tests sans antigène. En prenant une durée médiane de 11,5 jours de fenêtre virologique, les auteurs

estiment que 99% des personnes infectées pourront être dépistées avec le test sérologique combiné

(Ag/ac) dans les 45 jours après la contamination.

Ces données sont essentielles pour interpréter les résultats négatifs des tests de dépistage et pour

décider de la nécessité de répéter les tests

Article anglais

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=Time+until+emergence+of+HIV+test+reactivity+fo

llowing+infection+with+HIV-

1%3A+Implications+for+interpreting+test+results+and+retesting+after+exposure

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Parution des résultats de l’enquête HBSC sur la santé des collégiens

L'enquête Health Behaviour in School-aged Children (HBSC) vient de publier ses résultats relatifs aux

données de santé des jeunes collectées en 2014. L'enquête permet de mettre en lumière les évolutions

des déterminants de santé des collégiens.

Continuer la lecture >>>

Contraception : 4 ans de suivi régional sur les IVG en Ile-de-France

Sur la période 2014-2017, l’ARS Île-de-France a mis en place un projet

visant à favoriser la réduction des inégalités d’accès à l’avortement (projet

FRIDA). Dans ce contexte, et après la réalisation d’un premier état des lieux

régional de l’IVG par l’Observatoire régional de santé d’Île-de-France en

2014, il s’agit d’analyser les données quantitatives actuellement disponibles

afin d’améliorer les connaissances sur la pratique de l’IVG et le parcours

des femmes franciliennes.

Catherine Vincelet. Les interruptions de grossesse en Île-de-France, quatre

ans de suivi régional de 2012 à 2015, Observatoire régional de santé Île-de-

France, 2016-12, 61 p.

Téléchargez le document

Drogues, alcool et traitement de l'hépatite C

Brochure en Pièce jointe Etre hépatant 10 : Drogues, alcool et traitement de l'hépatite C SOS hépatites, mise à jour 2016

Téléchargez la brochure, toutes les brochures de la série « Etre hépatant » mises à

jour, sur le site de l’association http://www.soshepatites.org/

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Santé des femmes - Accès à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) Le Haut Conseil de l’Egalité (HCE) entre les femmes et les hommes vient de publier un rapport, qui, 42 ans après l’entrée en vigueur de la loi Veil, dresse un bilan des actions mises en œuvre ces dernières années pour faciliter l’accès à l’avortement. Le bilan du Haut Conseil est plutôt positif, bien qu’il identifie quelques obstacles pouvant être encore levés. Globalement, le Haut Conseil estime que deux tiers des recommandations qu’il avait formulées en 2013 ont été mises en œuvre. Le droit à l’avortement a été réaffirmé comme un droit à part entière. L’information sur l’IVG a été rendue plus accessible, et l’offre de soins a été développée pour faciliter en pratique l’accès à l’avortement. Les points sur lesquels les pouvoirs publics peuvent encore agir sont l’examen de la proposition relative à l’extension du délit d’entrave aux informations publiées sur « l’IVG internet », mais aussi la levée des derniers obstacles à l’avortement tels que la suppression de la double clause de conscience. Enfin, le Haut Conseil recommande à long terme des testings annuels pour contrôler les conditions d’accès à l’IVG partout sur le territoire. Rapport

Prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH - Recommandations

A la demande du CNS et de l’ANRS, le groupe d’experts pour la prise en charge médicale des personnes vivant avec le VIH en France, dirigé par le professeur Philippe Morlat, a procédé à l’actualisation des recommandations suivantes :

Initiation d'un premier traitement antirétroviral

Optimisation d'un traitement antirétroviral en situation de succès virologique

Prise en charge des situations d’échec virologique chez l’adulte

Primo-infection à VIH-1

Infection VIH-2 ; Diversité des VIH-1

Les recommandations sont désormais présentées sous forme de chapitres séparés permettant à l’avenir une actualisation distincte, si nécessaire. Au sein des textes figurent des liens permettant de renvoyer d'un chapitre à un autre ou d'un chapitre à une annexe.

Retrouvez les chapitres actualisés des recommandations du groupe d’experts

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Politique de santé : L'Igas préconise la prise en charge systématique des détenus souffrant d'addictions en unité dédiée

Dans un récent rapport, l'Inspection générale des affaires sociales formule une dizaine de propositions pour la prise en charge des addictions des personnes sous-main de justice. Dont "l'intégration", même non volontaire, de détenus souffrant d'addictions dans des unités thérapeutiques ad hoc, sur la base de tests obligatoires de détection. L'Inspection générale des affaires sociales (Igas), coauteur du Rapport sur l'évaluation des politiques interministérielles d'insertion des personnes confiées à l'administration pénitentiaire par l'autorité judiciaire publié le 27 janvier, s'est penchée sur une vieille antienne : améliorer la prise en charge des addictions de la population placée sous-main de justice. Elle formule ainsi une dizaine de propositions concrètes pour renforcer la politique sanitaire à l'égard de ces personnes, dont les associations, notamment de professionnels de santé, les organisations non gouvernementales (ONG) nationales et internationales, ou encore certains parlementaires dénoncent régulièrement les insuffisances. Ce rapport vient compléter un précédent état des lieux, également réalisé par l'Igas et publié en juillet dernier, dans le cadre de l'évaluation du plan d'actions stratégiques 2010-2014 sur la politique de santé à l'égard de cette population (lire l’article). Et l'inspection de proposer, entre autres diverses mesures, une prise en charge systématique des addictions des détenus, qui ne reposerait pas sur leur volontariat. Visite médicale de sortie obligatoire En matière d'addictions, au moins trois actions doivent être engagées à court terme, selon l'Igas :

organiser des réunions régulières, "tous les six mois au moins", du comité interministériel santé-justice et un sous-groupe de travail à intervalles plus fréquents pour suivre le déploiement du système de veille sanitaire dans toutes les unités médico-psychologiques spécialisées (UMPS) ;

informer "systématiquement et régulièrement" le personnel soignant en détention du calendrier de sortie des détenus et intégrer la visite médicale comme étape obligatoire du parcours de sortie ; ceci "dans le cadre de la mise en place de quartiers sortants soumis à certification, sur le modèle de la prison de Manchester (Royaume-Uni)" ;

"lancer une mission conjointe IGSJ-IGF-Igas* de recensement, d'identification et d'analyse des modèles de traitements de la toxicomanie à l'étranger les plus efficaces" en fonction du rapport coût/efficacité.

À moyen terme, estime l'Igas, il faut prévoir une direction de projet rattachée au secrétariat général des ministères sociaux pour la santé de cette population afin de coordonner les interventions des administrations centrales — Direction générale de la santé (DGS), Direction générale de l'offre de soins (DGOS), Direction de la sécurité sociale (DSS) et ARS. En ce qui concerne les échanges d'informations, plusieurs évolutions sont préconisées. Tout d'abord, la liste des médecins coordinateurs des unités sanitaires (US) ainsi que la liste des centres de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie (Csapa) référents doivent être actualisées et communiquées systématiquement par la direction de projet à la Direction de l'administration pénitentiaire (Dap). "S'agissant d'informations administratives, non couvertes par le secret médical, les informations doivent impérativement être partagées" entre plusieurs administrations. Notamment, les rapports d'activité des Csapa doivent être "transmis sans délai" du ministère de la Santé à l'Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT) et copie à la Dap. Les ARS doivent en outre "prévoir un point systématique avec invitation de la Dap sur les sujets santé des détenus" lors de la réunion nationale des directions d'ARS, ainsi que des dispositifs locaux d'information entre les institutions concernées. Patients "intégrés" en unités sur la base de tests obligatoires L'Igas rappelle également la nécessité de "lever les obstacles à une participation systématique" du personnel médical et soignant à la commission pluridisciplinaire unique (CPU), notamment pour toutes les personnes souffrant de troubles psychiatriques et/ou d'addictions.

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Elle préconise par ailleurs, "à l'instar des programmes existant à l'étranger, [de] prévoir des unités thérapeutiques en détention dédiées à la lutte contre les addictions". Ces unités devront proposer "toute la palette d'offres possibles, y compris des groupes de paroles et des lieux d'abstinence totale et leur intégration devra être basée sur une évaluation de la personne et non sur le volontariat". Les personnes devront être "soumises à ces programmes sur la base de tests obligatoires de détection des addictions", précise l'inspection. Enfin, pour toute personne détenue présentant des addictions, il faudra "proposer systématiquement un programme de traitement et de suivi à l'issue de la période de détention", sur la base de programmes impliquant les référents pénitentiaires dans les Csapa.

Vie affective et sexuelle

Article DEBAUCHE Alice, LEBUGLE Amandine, BROWN Elizabeth (et al.)

Enquête Violences et Rapports de genre (Virage) : présentation de l'enquête

Virage et premiers résultats sur les violences sexuelles. Dossier Référence :

Document de travail, n° 229, 2017-01, 65 p. L'enquête Violences et rapports de genre

(Virage) a été réalisée par téléphone en 2015, auprès d'un échantillon de 27000

femmes et hommes, représentatif de la population âgée de 20 à 69 ans, vivant en

ménage ordinaire, en France métropolitaine. Sont exposées ici les premières

analyses concernant les violences sexuelles subies dans tous les cadres de vie

(études, travail, vie conjugale, relation post-conjugale, famille et proches, espaces publics) pendant les

douze derniers mois ou depuis l'enfance. Dans tous les contextes et à tous les âges, les taux de

violences sexuelles sont beaucoup plus élevés pour les femmes que pour les hommes.

Les femmes sont atteintes tout au long de la vie, dans tous les espaces, alors que les hommes le sont

principalement dans le cadre de la famille pendant l'enfance et l'adolescence, mais rarement dans le

cadre conjugal. Les femmes déclarent plus souvent des violences répétées et qu'elles jugent graves

ou très graves.

http://www.ined.fr/fichier/s_rubrique/26153/doc.travail_2017_229_violences.sexuelles_enquete.

virage_1.fr.pdf

Article MANSOUR Zeina, BILLAUD Éric

Santé sexuelle : définitions, concepts, droits fondamentaux Référence : La Santé en action, n°

438, 2016-12, pp. 14-17

http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-438.pdf

Article AMSELLEM-MAINGUY Yaëlle, CHEYNEL Constance, FOUET Anthony

Entrer dans la sexualité à l'adolescence : le consentement en question

Référence : La Santé en action, n° 438, 2016-12, pp. 38-40

http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-438.pdf

Article RAHIB Delphine

Santé sexuelle : travailler en réseau, au plus près des populations.

Dossier Référence : La Santé en action, n° 438, 2016-12, pp. 12-37

http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-438.pdf

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Hépatites B, C, D – actes de biologie médicale dans le diagnostic et le suivi : Actualisation des actes de biologie médicale relatifs au diagnostic et à la prise en charge des hépatites B, C et D HAS, 2017 L’objectif de ce travail est d’évaluer la pertinence de l’actualisation de la liste des actes de biologie médicale, pris en charge par l’assurance maladie en France, et de recenser les indications des actes indiqués dans le diagnostic et le suivi des hépatites virales B, C et D.

http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2653624/fr/actualisation-des-actes-de-biologie-medicale-

relatifs-au-diagnostic-et-a-la-prise-en-charge-des-hepatites-b-c-et-d

Rapport Accès à l'avortement : Bilan de la mise en œuvre des recommandations formulées par le Haut Conseil à l'Egalité depuis 2013, réalisé à l'occasion du 42ème anniversaire de la loi Veil

D’importants progrès réalisés, un accès réel qui peut encore être conforté. Référence : Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes, 2017-01-17, 17 p. A l'occasion des 42 ans de la loi Veil, le Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes (HCE) dresse un bilan positif des actions mises en œuvre ces dernières années pour faciliter l'accès à l'avortement et identifie quelques obstacles pouvant encore être levés. http://www.haut-conseil-egalite.gouv.fr/IMG/pdf/hce_bilan_mise_en_oeuvre_recos_ivg_2017_01_17_vf.pdf Retrouvez l’Avis suivi de recommandations sur la prévention et la prise en charge des IST chez les adolescents et les jeunes adultes

Communiqué de presse La prévention et la prise en charge des IST (infection par le VIH incluse) chez les adolescents et les jeunes adultes fait l’objet d’un Avis suivi de recommandations du Conseil national du sida et des hépatites virales (CNS), à la demande conjointe de madame Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé et de madame Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale et l’Enseignement supérieur. Cet Avis répond à la préoccupation des pouvoirs publics face à l’augmentation de la fréquence des IST dans la population, et plus particulièrement chez les jeunes : ces infections représentent, en effet, une lourde menace pour la santé de ceux qui en sont atteints. Ainsi appelé à se prononcer, le CNS recommande de faire de la lutte contre les IST chez les jeunes une priorité des politiques publiques de promotion de la santé, notamment à travers la Stratégie nationale de santé sexuelle en cours d’élaboration. Le Conseil insiste sur le fait que cette politique ne peut réussir sans l’implication coordonnée de tous les acteurs concernés, à tous les niveaux et, en particulier, celui des relais régionaux (ARS et rectorats) : leurs missions de pilotage, de coordination et de financement de la lutte contre les IST chez les jeunes devraient être systématiquement inscrites dans les Programmes régionaux de santé et les Projets académiques, et mieux adaptées aux réalités territoriales.

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Ces conditions sont indispensables pour rendre plus efficaces les actions à entreprendre localement, notamment dans les systèmes éducatif et de santé :

au sein du système éducatif, le CNS propose d’améliorer les conditions actuelles d’enseignement de l’éducation à la sexualité, et d’affirmer le rôle de l’école et des professionnels de santé (médecins et infirmières scolaires) qui y travaillent, à l’égard des vaccinations des adolescents comme de l’accès aux préservatifs et aux dépistages ;

dans le domaine de la santé, les jeunes doivent accéder plus facilement aux opérateurs publics (CeGIDD et CPEF) dont ils ignorent souvent les actions et les outils ; par ailleurs, l’activité des médecins généralistes dans ce domaine doit être mieux suscitée, reconnue, valorisée (aussi bien par les ARS que par la CNAMTS) et coordonnée à l’échelon des territoires : ils sont, en effet, un des acteurs privilégiés de la politique publique de lutte contre les IST chez les jeunes ; enfin, l’offre dématérialisée de prévention et de dépistage, dont l’auto-prélèvement pour le dépistage des IST, doit être développée ;

au-delà de ces deux secteurs-clés, le CNS souligne l’importance de renforcer le rôle de différents dispositifs en direction des jeunes dans les domaines des addictions, des problèmes psycho-sociaux, des questions relatives à l’insertion socio-professionnelle, et de l’accompagnement des jeunes sous-mains de justice. Ces dispositifs permettent d’atteindre des jeunes souvent exposés à un risque accru d’IST et représentent des opportunités de repérage et d’accompagnement vers des actions spécifiques de prévention ou de dépistage en coordination avec le système de soins.

En outre, le CNS recommande que l’offre vaccinale contre les IST soit renforcée : rattrapage de la vaccination anti-VHB systématiquement proposée aux jeunes qui n’en ont pas bénéficié dans la petite enfance, renouvellement de la stratégie de promotion de la vaccination anti-HPV, en considérant son extension aux jeunes garçons. Enfin, l’efficacité des actions décrites impose de porter une attention toute particulière à la formation des professionnels de santé et de l’éducation à la lutte contre les IST et à la santé sexuelle, notamment dans le cadre du développement professionnel continu, couvrant plus largement les domaines des sexualités des jeunes et des outils numériques qu’ils utilisent.

Enquête Virage et premiers résultats sur les violences sexuelles

Les premières analyses de l’enquête Violences et rapports de genre (Virage) réalisée en 2015 sont exposées dans ce document. Elles concernent les violences sexuelles subies dans tous les cadres de vie (études, travail, vie conjugale, relation post-conjugale, famille et proches, espaces publics) pendant les douze derniers mois ou depuis l’enfance.

Documents de travail n° 229, 2017, 67 p.

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Accès à l'avortement : d'importants progrès réalisés, un accès réel qui peut encore être conforté

42 ans de la loi Veil : le haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCE)

dresse un bilan positif des actions mises en œuvre ces dernières années pour

faciliter l’accès à l’avortement et identifie quelques obstacles pouvant encore être

levés.

HCE, 2017-01-17, 17 p.

Voir le bilan

2- ACTUALITES

Vigilance sur le dispositif de contraception Essure

L'association R.E.S.I.S.T. appelle toutes les femmes en interrogation sur le choix de la méthode

Essure® comme moyen de contraception définitif, à appliquer elles-

mêmes le principe de précaution en attendant que les résultats

d'études soient rendus publics. L’ANSM, pour répondre à ces

préoccupations majeures, propose la mise en place d’un CSST

(Comité Scientifique Spécialisé Temporaire).

Consultez les informations de l'association R.E.S.I.S.T.

Voir le communiqué du Ministère de la santé le 9 décembre 2016

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Vaccination antiméningococcique C

La stratégie française recommandée en 2010 – vaccination systématique des nourrissons âgés de 12

mois à 24 mois avec une seule dose de vaccin méningococcique et vaccination des sujets âgés de 2

ans à 24 ans – repose sur la mise en place d’une immunité collective forte à l’instar de celle obtenue

au Royaume-Uni et aux Pays-Bas. L’échec de cette stratégie est lié à l’absence de couverture vaccinale

suffisante, notamment chez les adolescents et les adultes jeunes et de ce fait, à l’absence d’installation

d’une immunité de groupe.

L’enjeu actuel est d’obtenir une immunité de groupe apte à protéger les nourrissons de moins de 1 an.

Pour cela, le HCSP recommande l’application des recommandations vaccinales en vigueur et insiste

sur l’importance de la vaccination des adolescents (11-13 ans) et des jeunes adultes (14-24 ans). Ces

tranches d’âge sont par ailleurs à risque élevé d’infection à méningocoque C.

Le HCSP recommande la mise en place par les autorités de santé d’une campagne nationale active de

vaccination de rattrapage et de profiter de toute occasion pour mettre à jour le calendrier vaccinal (les

rendez-vous vaccinaux à 6 ans, à 11-13 ans, les demandes de certificats médicaux…).

En attendant l’installation d’une immunité de groupe, le HCSP recommande de façon transitoire la

vaccination des nourrissons dès la première année de vie selon un schéma à une seule dose de

primovaccination à 5 mois avec le vaccin MenCC-TT (NeisVacÒ) suivi d’un rappel à l’âge de 12 mois.

Lire aussi : Vaccination par le vaccin méningococcique conjugué de sérogroupe C des 24 avril et

26 juin 2009.

Kétamine : Inscription sur la liste des stupéfiants des préparations injectables à base de kétamine à compter du 24 avril 2017 – Point d’information

(ANSM, 26 janvier 2017) L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) souhaite informer les professionnels de santé de l’inscription des préparations injectables de kétamine sur la liste des stupéfiants. Ceci fait suite à une augmentation de son usage à des fins récréatives et du nombre de cas d’abus. Les signalements de trafic de kétamine sont également en hausse. Par conséquent, ces médicaments suivront la réglementation applicable aux stupéfiants à compter du 24 avril 2017. La kétamine est utilisée comme anesthésique et est disponible sous forme de médicaments à usage humain et à usage vétérinaire. Les spécialités à usage humain sont réservées à l’usage hospitalier ou à l’utilisation dans des situations d’urgence.

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L’administration des spécialités à usage vétérinaire est réservée exclusivement aux vétérinaires pour leur usage professionnel et la délivrance de ces spécialités est interdite au public. Depuis plusieurs années, l’Organe International de Contrôle des Stupéfiants (OICS) attire l’attention des Etats sur l’abus et le trafic international de kétamine et l’Organisation des Nations Unies (ONU) a voté plusieurs résolutions pour renforcer son contrôle de cette substance. En France, les premiers cas d’abus de kétamine ont été signalés en 1992. Depuis, elle fait l’objet d’une surveillance ayant conduit en 1997 à l’inscription sur la liste des stupéfiants de la kétamine et de ses sels, en tant que substance, les préparations injectables de kétamine restant inscrites sur la liste I des substances vénéneuses. Les préparations injectables ont ensuite été soumises à une partie de la réglementation des stupéfiants, impliquant dans un premier temps en 2001, l’obligation de déclaration de vol, puis, en 2003, l’obligation de stockage dans des armoires ou des locaux fermés à clef. Le dernier bilan d’addictovigilance a montré une augmentation du nombre de cas d’abus recueillis par le réseau des CEIP [2] depuis 2002. L’abus de kétamine est responsable de signes cliniques parfois graves (convulsions, hypertension artérielle sévère, troubles du rythme cardiaque, dépression respiratoire, arrêt respiratoire, perte de connaissance, akinésie transitoire, hallucinations, agitation, désorientation, confusion mentale, distorsion sensorielle, attaques de panique,) pouvant conduite à une hospitalisation et au décès. Chez des consommateurs chroniques, des complications urologiques sont d’autre part décrites dans la littérature.

Par ailleurs, le trafic de kétamine est en hausse avec une augmentation du nombre de saisies et d’interventions des services répressifs. Compte-tenu du potentiel d’abus et de dépendance de la kétamine et des données du dernier bilan d’addictovigilance, le Ministère des Affaires sociales et de la Santé a décidé d’inscrire les préparations injectables de kétamine sur la liste des substances classées comme stupéfiants par arrêté en date du 19 janvier 2017[3], applicable le 24 avril 2017.

Par conséquent, il est important de sensibiliser les professionnels de santé sur le fait qu’à compter du 24 avril 2017, les préparations injectables de kétamine suivront la réglementation applicable aux stupéfiants, à savoir, en plus des parties déjà appliquées, la prescription sur ordonnance sécurisée et la traçabilité des entrées et sorties sur un registre spécial.

L’ANSM rappelle que les professionnels de santé doivent déclarer immédiatement tout effet indésirable suspecté d’être dû à un médicament dont ils ont connaissance au Centre régional de Pharmacovigilance (CRPV) dont ils dépendent géographiquement. Les patients et les associations agréées de patients peuvent également signaler tout effet indésirable à leur centre régional de pharmacovigilance. Pour plus d’information : Déclarer un effet indésirable Tout cas d’abus ou de pharmacodépendance grave doit, d’autre, part être signalé au Centre d’évaluation et d’information sur la pharmacodépendance (CEIP) dont les professionnels de santé dépendent. [1] Arrêté du 19 janvier 2017 modifiant l'arrêté du 22 février 1990 fixant la liste des substances classées comme stupéfiants, publié au JORF n°0022 du 26

janvier 2017 et qui entre en vigueur le 24 avril 2017. [2] Centres d’évaluation et d’information sur la pharmacodépendance. [3] Après proposition du Directeur général de l’ANSM suite aux avis de la Commission des stupéfiants et psychotropes et de l’Agence nationale de sécurité

sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES).

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3. FORMATIONS / COLLOQUES / CONFERENCES

Le Corevih PACA Ouest Corse organise une session de formation intitulée « Approche de la santé sexuelle » en CeGIDD. Cette formation aborde la notion de santé sexuelle, spécifiquement dédiée aux nouvelles activités des CeGIDD. Celle-ci se déroule sur 4 jours et développe une approche globale et positive de la Santé sexuelle, telle que définie par l’OMS. Les différentes facettes de la sexualité humaine dans ses différentes dimensions, biologiques, affectives, relationnelles et sociales, seront également approchées. Cette formation se déroulera à l’Hôpital Sainte Marguerite - 13009 Marseille. Vous trouverez en PJ le préprogramme de la formation et ci-dessous le lien vous permettant une pré- inscription. Inscriptions en ligne : « Approche de la santé sexuelle » - les 3/4 et 25/26 Avril 2017 https://www.inscription-facile.com/form/tkqSjXyH2C8OtGr0Rxpt Le nombre de participants est limité à 20 personnes. La Coordination se tient à votre disposition pour toute information complémentaire.

Codes 83 : Offre de formation : FORMADDIC’TEEN « Repérer tôt-Agir vite

3 journées d'échanges et de formation aux conduites addictives " Repérer tôt-Agir vite " les 7,21 mars et 4 avril 2017. Le projet Form'addicteen proposé par le CODES 83 vise à favoriser l’implication des professionnels de santé et du social pour le repérage, l’orientation et le conseil auprès des jeunes usagers de drogue ayant des usages illicites ou licites problématiques dommageables à leur santé, leur formation scolaire et leur sécurité. Objectifs d'apprentissage: Axe 1 : 3 journées d’échanges et de formation aux conduites addictives « repérer tôt-agir vite » les 7,21 mars et 4 avril 2017 de 9h00-12h30 et 14h00-17h00 au CODES 83. - 1er jour : « Les définitions et les concepts actuelles de consommation ? Connaissance de l’adolescence. » - 2ème jour : « Les produits et les pratiques de consommation chez les

jeunes et l’évolution des prises en charge ? »

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- 3ème jour : « Comment aborder les questions des addictions et dépendances (consommateur ou pas) ? Techniques d’entretien. »

Public: Professionnels de La PJJ et de l’ASE, animateurs de prévention ou acteurs au contact des jeunes, acteurs de prévention et de prise en charge des addictions, acteurs du milieu socio-éducatif, travailleurs sociaux, relais de proximité du territoire du Var … équipes éducatives et de soins des établissements scolaires du Var. Partenaires sur les formations: - CODES 83 : Mylène BAUDRY – Formatrice - Professionnels des CSAPA du Var : Toulon (ANPAA 83), La Seyne-sur-Mer (AVASTOFA) - C.H.I.T.S Service Tabacologie Inscriptions: Avant le 1 mars 2017 (voir le bulletin d'inscription ci-dessous) Nombre de places limité à 15 participants. Coût pédagogique: gratuit pour les participants. Contact : Martyna ZIOLKOWSKA 04 94 89 47 98 [email protected] Bulletin d'inscription Diaporama de présentation Form'addicteen

Cycle de conférences intitulé « la santé sexuelle pour tous »

Ces conférences sont gratuites et ouvertes à tout public. La fondation universitaire Paris Diderot en partenariat avec La Chaire Santé Sexuelle & Droits Humains de l’UNESCO organise ce cycle de 7 conférences qui auront lieu entre le 27 janvier et le 30 juin 2017. La première conférence « La Santé Sexuelle pour Tous » qui s’est déroulée vendredi 27 janvier à la faculté de médecine Paris Diderot est déjà disponible en intégralité sur la chaîne You tube. « La santé Sexuelle, de quel Droit ? » avec le Pr Thierry Troussier et Maître Ingrid Geray https://www.youtube.com/channel/UCVQ22WvF8uBYZiR-xu16gYg Prochain rendez-vous le 24 février avec le Pr Willy ROZENBAUM : « Diversité culturelle : qu’apporte la Santé sexuelle dans la lutte contre le VIH ? » Elles se dérouleront à la faculté de médecine Paris Diderot site Villemin 10, avenue de Verdun 75010 Paris. Inscriptions obligatoires, nombre de places limitées : www.santesexuelle-droitshumains.org En pièce jointe le programme de l’année.

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Rencontres professionnelles : Les actualités de la recherche en addictologie Les réunions du Graap 27 avril 2017 Marseille

Voir le préprogramme et s’inscrire : http://www.graap.fr/

Société Française de Lutte contre le SIDA *Mise en œuvre pratique de la PrEP en France 30 mars 2017 de 13h30 à 18h30 Paris Cette demi-journée est réservée aux prescripteurs de PrEP et aux personnes directement concernées par la mise en œuvre de la PrEP. Le nombre d’inscriptions est limité à 50 et le tarif d’inscription est de 50 euros *Fonctionnement des CeGIDD 31 mars 2017 Le nombre d’inscriptions est limité à 160 et le tarif d’inscription est de 100 euros (déjeuner compris). Société Française de Lutte contre le Sida Hôpital du Tondu - Groupe Hospitalier Pellegrin 33076 BORDEAUX Tél. 05.56.96.47.91 Fax : 05.56.79.60.87

[email protected] - www.sfls.aei.fr

Colloque : Les médecins face à la crise vaccinale en France et en PACA : quels constats, que faire ?

13 mai 2017

Marseille

Ce colloque présentera les résultats d’un projet de recherche Inserm sur les pratiques et les perceptions

des médecins vis-à-vis de la vaccination et discutera les solutions à mettre en œuvre pour leur apporter

un soutien.

Consultez l'annonce

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