la forclusion generalisee clinique rennes

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  • Session 2010-2011

    La forclusion gnraliseson incidence dans les nvroses, les perversions,

    les psychoses ordinaires et extraordinaires

    LA SECTIONCLINIQUEDE RENNES

    Association UFORCA-RENNES

    I N S T I T U T D U C H AM P F R E U D I E N

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  • La section clinique de Rennes

    Du Sminaire de Jacques Lacan (1953-1980, en cours de publication), on peut dire quila assur lui seul la formation permanente de plusieurs gnrations de psychanalystes.

    Cet enseignement qui restitua et renouvela le sens de luvre de Freud, inspire denombreux groupes psychanalytiques. lorigine de la cration du Dpartement de psychanalyse,il continua dorienter son travail. LInstitut du Champ freudien se consacre son dveloppe-ment.

    Le dpartement de psychanalyse existe depuis 1968. Il fut rnov en 1974 par JacquesLacan qui resta son directeur scientifique jusqu sa mort en septembre 1981. Il fait aujourdhuipartie de lUniversit de Paris VIII. Ce mme enseignement inspire aujourdhui de nombreusescoles psychanalytiques dans le monde parmi lesquelles lcole de la Cause freudienne et l-cole europenne de psychanalyse. Il continue dorienter le Champ freudien.

    LInstitut du Champ freudien sinscrit dans le cadre associatif. Il a pris la suite, en 1987,du Cercle de clinique psychanalytique (1976).

    La Section Clinique de Rennes fait partie d'un rseau d'antennes et de sections ou col-lges cliniques rassembls dans l'UFORCA (Union pour la Formation Clinique Analytique) sousle nom d'UFORCA-RENNES.

    Elle ne se situe pas dans le cadre dun groupe psychanalytique mme si ses ensei-gnants sont dorientation lacanienne.

    Elle a pour but dassurer un enseignement fondamental de psychanalyse, tant thoriqueque clinique, qui sadresse aussi bien aux travailleurs de la sant mentale , psychiatres,mdecins, psychologues, orthophonistes, etc. quaux psychanalystes eux-mmes et aux univer-sitaires intresss par ce savoir particulier.

    Participer la Section Clinique nhabilite pas la pratique de la psychanalyse. Uneattestation dtudes cliniques sera remise aux participants la fin de chaque anne sils ont rem-pli les conditions de prsence et de participation active exiges.

    Lassociation UFORCA-Rennes pour la formation permanente assure la gestion de laSection clinique de Rennes.

    Nous publions, ci-aprs, un texte de Jacques-Alain Miller : le prologue de Guitrancourt ,crit lors de la fondation des sections cliniques de Bruxelles et de Barcelone.

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  • Prologue de Guitrancourtpar Jacques-Alain Miller

    Nulle part au monde il ny a de diplme de psychanalyste. Et non pas par hasard, ou parinadvertance, mais pour des raisons qui tiennent lessence de ce quest la psychanalyse.

    On ne voit pas ce que serait lpreuve de capacit qui dciderait du psychanalyste, alorsque lexercice de la psychanalyse est dordre priv, rserv la confidence que fait le patient un analyste du plus intime de sa cogitation.

    Admettons que lanalyse y rponde par une opration, qui est linterprtation, et qui portesur ce que lon appelle linconscient. Cette opration ne pourrait-elle faire la matire de lpreuve? dautant que linterprtation nest pas lapanage de la psychanalyse, que toute critique destextes, des documents, des inscriptions, lemploie aussi bien. Mais linconscient freudien nest consti-tu que dans la relation de parole que jai dite, ne peut tre homologu en dehors delle, et lin-terprtation psychanalytique nest pas probante en elle-mme, mais par les effets, imprvisibles,quelle suscite chez celui qui la reoit, et dans le cadre de cette relation mme. On nen sort pas.

    Il en rsulte que cest lanalysant qui, seul, devrait tre reu pour attester la capacit delanalyste, si son tmoignage ntait fauss par leffet de transfert, qui sinstalle aisment dem-ble. Cela fait dj voir que le seul tmoignage recevable, le seul donner quelque assuranceconcernant le travail qui sest fait, serait celui dun analysant aprs transfert, mais qui voudraitencore servir la cause de la psychanalyse.

    Ce que je dsigne l comme le tmoignage de lanalysant est le nucleus de lenseigne-ment de la psychanalyse, pour autant que celui-ci rponde la question de savoir ce qui peutse transmettre au public dune exprience essentiellement prive.

    Ce tmoignage, Jacques Lacan la tabli, sous le nom de la passe (1967) ; cet ensei-gnement, il a donn son idal, le mathme (1) (1974). De lune lautre, il y a toute une gradation :le tmoignage de la passe, encore tout grev de la particularit du sujet, est confin un cerclerestreint, interne au groupe analytique ; lenseignement du mathme, qui doit tre dmonstra-tif, est pour tous et cest l que la psychanalyse rencontre lUniversit.

    Lexprience se poursuit en France depuis quatorze ans ; elle sest fait dj connatre enBelgique par le Champ freudien ; elle prendra ds janvier prochain la forme de la SectionClinique .

    Il me faut dire clairement ce que cet enseignement est, et ce quil nest pas.

    Il est universitaire ; il est systmatique et gradu ; il est dispens par des responsablesqualifis ; il est sanctionn par des diplmes.

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    (1)Du grec mathema, ce qui sapprend.

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  • 4Il nest pas habilitant quant lexercice de la psychanalyse. Limpratif formul parFreud quun analyste soit analys, a t non seulement confirm par Lacan, mais radicalis parla thse selon laquelle une analyse na pas dautre fin que la production dun analyste. La trans-gression de cette thique se paie cher et tous les coups, du ct de celui qui la commet.

    Que ce soit Paris, Bruxelles ou Barcelone, que ses modalits soient tatiques ouprives, il est dorientation lacanienne. Ceux qui le reoivent sont dfinis comme des participants :ce terme est prfr celui dtudiant, pour souligner le haut degr dinitiative qui leur estdonn le travail fournir ne leur sera pas extorqu : il dpend deux ; il sera guid, et valu.

    Il ny a pas de paradoxe poser que les exigences les plus strictes portent sur ceux quisessaient une fonction enseignante dans le Champ freudien sans prcdent dans son genre :puisque le savoir, sil prend son autorit de sa cohrence, ne trouve sa vrit que dans lincons-cient, cest--dire dun savoir o il ny a personne pour dire je sais , ce qui se traduit par ceci,quon ne dispense un enseignement qu condition de le soutenir dune laboration indite, simodeste soit-elle.

    Il commence par la partie clinique de cet enseignement.

    La clinique nest pas une science, cest--dire un savoir qui se dmontre ; cest un savoirempirique, insparable de lhistoire des ides. En lenseignant, nous ne faisons pas que suppleraux dfaillances dune psychiatrie qui le progrs de la chimie fait souvent ngliger son trsorclassique ; nous y introduisons aussi un lment de certitude (le mathme de lhystrie).

    Les prsentations de malades viendront demain toffer cet enseignement. Conformment ce qui fut jadis sous la direction de Lacan, nous procderons pas pas.

    Jacques-Alain Miller15 aot 1988.

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  • La Section Clinique de Rennes2010-2011

    La forclusion gnralise,son incidence dans les nvroses, les perversions,

    les psychoses ordinaires et extraordinaires

    La thse de la Forclusion gnralise a t propose par Jacques-Alain Miller en 1985 son Sminaire de DEA o il procdait avec les participants une lecture approfondie du cas deFreud : lHomme aux Loups.(1)

    Freud est revenu de trs nombreuses fois sur le cas de ce patient dont le diagnostic pourFreud une nvrose obsessionnelle est rest pour le moins trs atypique. Le Sminaire de J-A Millerdevait la lumire de la lecture de Lacan permettre de considrer quil sagissait plutt dun cas de psy-chose (cest en tout cas le sens du travail trs prcis prsent par Agns Aflalo ce Sminaire).Nanmoins le commentaire de Jacques-Alain Miller reste trs nuanc et dailleurs trs prs deFreud . Cest en reconnaissant quil y a dans tous les cas quelque chose qui ne se rsorbe pas dansle symbolique, quil sagisse de nvrose ou de psychose, que Miller formule la thse de la forclusiongnralise. La mtaphore paternelle nest jamais parfaitement ralise car il y a le rel de la jouis-sance qui se met en travers de la mortification signifiante.

    Dans le Chapitre VII du cas de Freud, en effet, on trouve le terme de Forclusion dont Lacan feraun usage bien spcifique partir spcialement de la Question prliminaire, en lutilisant pour faire valoirquen labsence de la signification phallique apporte au sujet dans le Symbolique par le Nom du Pre ,il y a forclusion. Cest dire que ce qui est forclos du symbolique revient au sujet dans le rel sous forme dhallucinations, de phnomnes lmentaires, de mise mal de linterlocution et delimage du corps.

    En effectuant une relecture de Freud ligne ligne, Miller montre que Lacan ne sest pascontent de superposer le binaire (Nom du Pre/forclusion) au binaire du diagnostic psychiatrique(Nvrose/Psychose), selon une application mcanique.

    Si en premire instance, la distinction reste efficiente, elle est cependant dans la cliniquebeaucoup moins tranche, surtout ds quon aborde les rives de la schizophrnie.

    Le cas de lHomme aux Loups montrait lembrouille de faon vidente : Dun ct il y acastration, refoulement de lidentification la femme et phobie du loup. Dun autre ct, il ya forclusion de la castration qui a pour consquence le maintien de lidentification la femme.Cest prcisment l que vient la phrase disant que le refoulement est autre chose que laforclusion .(2)

    Il ne sagit pas de se contenter de ce que dans lIPA on appelle la clinique du borderline, soitdune indtermination du diagnostic.

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    (1)La transcription de ce Sminaire est disponible dans les numros 72 et 73 de la revue La Cause freudienne .(2)La Cause Freudienne N 73, p. 103..

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  • Plusieurs journes des Sections Cliniques, effectues dans le cadre de lUFORCA, ont montrquen effet il y avait des cas inclassables dans lesquels on ne parvenait pas rendre raison de cequi ressemblait pourtant une psychose, faute de voir luvre les mcanismes daltration du sym-bolique et de limaginaire tmoignant franchement de la psychose ( en particulier , paroles imposes,dlire, hallucination verbale, perscution franche etc). Et prcisment ces journes aujourdhuirunies en volumes ont tabli ce quoi on avait affaire et ce qui ntait pas prsent. Le terme de dbranchements par exemple prcise certains phnomnes observables et qui tmoignent cliniquementde ce que J-A Miller a appel Psychose ordinaire , pour souligner que latteinte au lien social, carac-tristique de la psychose dans la conception en vigueur dans la Question Prliminaire ntait pasobservable ou pas franchement observable.

    Mais peut-tre par une certaine paresse, sans doute aussi parce que les formes de la nvrosebougent avec lesprit de lpoque, et certainement enfin parce que le rapport au pre est moins ins-crit aujourdhui dans la culture, la psychose ordinaire a fini par connatre une extension excessive etquelquefois tenir lieu de diagnostic tout faire.

    Cest pourquoi Miller, dans une intervention trs importante, intitule Effet retour sur lapsychose ordinaire (3) a jug utile de reprciser le concept. Il ne sagit pas, dit-il, de revenir la rigi-dit dune clinique binaire nvrose/psychose , nanmoins le concept de psychose ordinaire ne sau-rait tre un fourre-tout.

    Nous allons cette anne nous appuyer sur cet article pour examiner de nouveau nvrose et psy-chose et spcialement en reprenant les Conversations cliniques de lUFORCA.

    Miller par exemple, dans son retour insiste sur le fait que la psychose ordinaire, mme silny a pas de dclenchement est une psychose : Quand cest de la nvrose vous devez savoir ! dit-il.

    Ou encore : Quessaie-t-on d pingler en parlant de la psychose ordinaire ? Cest--direquand la psychose ne va pas de soi, quand a na ni la signature de la nvrose, ni la stabi-lit, ni la constance, ni la rptition de la nvrose. Une nvrose est quelque chose de stable,une formation stable

    Le thme choisi cette anne par la section clinique suppose donc que nous affinions nos cat-gories que nous repassions dans les pas des avances des Sections Cliniques Vous ne devez passimplement dire que cest une psychose ordinaire, vous devez aller plus loin et retrouver la cli-nique psychiatrique et psychanalytique classique. Si vous ne faites pas cela et cest le dan-ger du concept de psychose ordinaire cest ce quon appelle un asile de lignorance. Cela devientalors un refuge pour ne pas savoir .

    Cette anne la Section Clinique de Rennes, nous allons faire de ces indications programme.

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    (3)Quarto 94-95, Retour sur la psychose ordinaire, p. 40-51.

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  • ISminaire thoriqueCommentaire de textes

    Le vendredi soir de 21h15 23h15

    Dr Roger Cassin, Nathalie Charraud, Pierre-Gilles Guguen, Anne-Marie Lemercier,

    Jean-Luc Monnier, Pr Laurent Ottavi, Pr Franois Sauvagnat

    Choisir de traiter cette anne de la forclusion gnralise, cest entreprendre de relire la cli-nique avec lclairage du dernier enseignement de Jacques Lacan. Les dix premires annes de sonenseignement nous avaient propos une clinique diffrentielle marque par lalternative psy-chose/nvrose : Nom-du-Pre forclos ou non.

    Lenseignement des annes soixante-dix, dj annonc ds la leon du sminaire interrompu Les Noms du Pre , lamne cette prise de position apparemment paradoxale de 1978: Commentfaire pour enseigner ce qui ne s'enseigne pas ? Voil ce dans quoi Freud a chemin. Il a considr querien n'est que rve, et que tout le monde (si l'on peut dire une pareille expression), tout le monde estfou, c'est--dire dlirant. (4)

    La notion de forclusion gnralise est introduite par Jacques Alain Miller lors de son coursdu 27 mai 1987(5) , peu prs au moment des leons du sminaire de DEA consacres lhomme auxloups (6): Disons que Lacan a abord lUn par le pre en tant quil civilise la jouissance. () Et si lasignification du phallus en est le rsultat, cest exactement de traduire llaboration de la jouissanceque permet le Nom-du-Pre. () Cest dans ce contexte que Lacan a pu exposer la structure de la for-clusion. Je voudrais gnraliser cette structure. Cest dire - aussi surprenant que cela puisse paratre,en tout cas pour moi - opposer communication et forclusion. Et considrer que Lacan, certes, la miseen uvre propos de la psychose et du Nom-du-Pre mais que ce nest l quune doctrine de la for-clusion restreinte et quil y a place pour une doctrine de la forclusion gnralise. (7)

    Le rel est pour tous forclos. Le rapport sexuel est forclos.Le Nom-du-Pre, parce que lAutre nexiste pas, nest pas une garantie, cest un prdicat (8).

    Il ny a pas dAutre de lAutre. Le symbolique est trou. Le S1 est pluriel. Cest un essaim de S1. Cestune fonction de nomination, ou de nommer , qui permet le nouage du rel, du symbolique et delimaginaire par le symptme. Il y a donc quivalence entre un nom du pre et un symptme.Lenseignement des sminaires RSI et Le sinthome montre quil y a diverses faons de nouer borro-mennement ou non ces trois instances par une quatrime. Il y a des nominations symboliques, ima-ginaires et relles. Il y a des supplances non borromennes qui peuvent tre stables. La sparation

    7

    (4) Jacques Lacan pour Vincennes 1978 Ornicar 17/18(5) Jacques - Alain Miller, Lorientation lacanienne, cours du 27 mai 1987, Ce qui fait insigne Universit Paris VIII, en

    partie publi dans Cahier N1 ACF-VLB, 1993(6) Jacques-Alain Miller, sminaire de DEA 1987-1988, transcription. Revue de La Cause freudienne N 72 et 73.(7) J.-A. Miller signale quric Laurent a, prcdemment, distingu une doctrine de la castration restreinte et une doctrine

    de la castration gnralise.(8) Jacques-Alain Miller, Retour sur la psychose ordinaire. Quarto N 94-95

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  • des psychoses et des nvroses sen est trouve dplace. La solution symptomatique des nvroses per-met de limiter la jouissance de manire ce quelle assure le maintien dun lien social. Une solutionsinthomatique vient rparer les erreurs de nouage. Le dernier enseignement de Lacan consiste sinstaller dans une perspective o le clivage de la nvrose et de la psychose cesse dtre pertinent,o nvrose, psychose et perversion apparaissent dans cette perspective comme autant de dispositifsde dfense contre le rel. (9)

    Les colloques des Sections cliniques de 1996 Angers, 1997 Arcachon et 1998 Antibes(10)

    ont pris acte de ce dplacement de la clinique. La convention dAntibes voit prciser par Jacques AlainMiller la notion de psychose ordinaire, psychoses du type roseau , avec des dbranchements et desrebranchements, les psychoses extraordinaires tant du type chne, avec un dclenchement quiest patent.

    La trop grande extension de cette catgorie dans notre champ amena une intervention nettede J.A. Miller en juillet 2008 lors du sminaire anglophone.(11) Revenant sur la raison pour laquelle ilavait senti la ncessit, lpoque dinventer ce syntagme psychose ordinaire , il prcise que ctait pour esquiver la rigidit dune clinique binaire - nvrose ou psychose.

    La psychose ordinaire est une notion qui permet dindiquer que, quand on ne reconnat ni unenvrose, ni une perversion, ni une psychose dclenche, il doit tre possible de reprer des signesdiscrets de lexistence dun dsordre au joint le plus intime du sentiment de la vie pour le sujet .Le tout dernier enseignement de Lacan doit nous amener considrer le pas-tout dans la cliniquedes nvroses ou des perversions : toute la jouissance ny est pas soumise la castration. Il y a un restede jouissance qui y chappe.

    Nous commenterons divers textes choisis dans les ouvrages de la bibliographie.

    Bibliographie :- Le conciliabule dAngers, Irma, Le Paon, Agalma diteur, diffus par Le Seuil, 1996- La Convention dArcachon, Irma, Le Paon, Agalma diteur, diffus par Le Seuil, 1997- La psychose ordinaire, la convention dAntibes, Irma, Le Paon, Agalma diteur,diffus par Le Seuil, 1998

    - Jacques-Alain Miller, Retour sur la psychose ordinaire. Quarto N 94-95- Jacques-Alain Miller, Sminaire de DEA 1987-1988, transcription. Revue La Cause freudienneN 72 et 73

    - Jacques-Alain Miller, Forclusion gnralise, transcription dune partie du cours de Paris VIIIdu 27 mai 1987, Lorientation lacanienne, Ce qui fait insigne , Cahier de LACF-VLB N 1.

    - Jacques Lacan, crits, Question prliminaire tout traitement possible de la psychose.Le Seuil, Paris 1966

    - Jacques Lacan, Autres crits, Prface ldition anglaise du Sminaire XI, p. 571,Le Seuil, Paris, 2001

    - Jacques Lacan, Le Sminaire, Livre III, Les psychoses, Texte tabli par Jacques-Alain Miller,Le Seuil, Paris, 1982

    - Jacques Lacan, Le Sminaire, Livre XXIII, Le sinthome, Texte tabli par Jacques-Alain Miller,Le Seuil, Paris, 2005

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    (9) Jacques-Alain Miller, Lorientation lacanienne, cours du 13 novembre 2002, Un effort de posie. Paris VIII, indit.(10) Le conciliabule dAngers, La conversation dArcachon, La convention dAntibes, publies par Agalma, Diffusion Le Seuil(11) Jacques-Alain Miller, Retour sur la psychose ordinaire. Quarto N 94-95

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  • IICas cliniques

    Le samedi de 8h30 10h15

    Discussion clinique sur une prsentation de malade.

    III

    Les sminaires pratiquesLa clinique du cas

    Quatre ateliersLe samedi de 10h15 12h15,

    Pour quil y ait chance que la psychanalyse se transmette, il est ncessaire quelexprience des cliniciens puisse se formaliser. cet gard le bien dire est essentielet la construction du cas se fait dans une perspective troitement lie lthique de lapsychanalyse. Lacan, sil na pas donn beaucoup de cas de sa pratique dune maniredveloppe, a su cependant chaque fois cerner ce qui de sa pratique tait paradig-matique, presque toujours sous une forme ramasse en trs peu de mots. Par ailleursil sest largement appuy dans son enseignement sur les cas de Freud ou de nom-breux autres psychanalystes dhorizons varis (Ernst Kris, Ella Sharpe, Ruth Leboviciet bien dautres...) tandis quil poursuivait en dpit des modes sa prsentation demalades.

    Dans nombre des exemples quil discute, linterprtation du psychanalyste joueun rle essentiel. Tantt elle est lvitatoire, cest le cas de celles de Freud commentesdans lintervention sur le transfert, tantt elle enferme le sujet dans une impasse, cestle cas par exemple de celle de Kris, dans le cas de lhomme aux cervelles fraches .Le sminaire pratique vise cerner ce qui, dans chaque cas prsent, soit par les ensei-gnants, soit par les participants, constitue un moment tournant et consiste dgagercomment dans le cas sarticulent la structure du sujet et linterprtation ventuelle, etquels effets peuvent en tre attendus. Il sera dans ce sminaire, fait appel des cas denvroses aussi bien que de psychoses chez des sujets enfants ou adultes, la questiondu diagnostic diffrentiel demeurant toutefois ouvert.

    Le sminaire est organis en quatre ateliers.

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  • 10

    IV

    Les sminaires de textesCommentaire suivi de textes

    Deux ateliersLe samedi de 14h 15h30

    Dans une srie dinterventions dbutant avec la notion de forclusion gnralise,Jacques-Alain Miller a accentu des aspects essentiels de luvre de Jacques Lacan, dontle retentissement sur la clinique sest avr particulirement crucial. Cette accentuation amodifi la notion couramment admise selon laquelle pour Lacan, lAutre, lieu du code, trou-verait avec un Nom-du-pre unique sa seule garantie, diffrenciant la situation du nvrosde celle du psychotique par une marque typique.

    Paralllement, le paradigme de la psychose restait celui de la paranoa en dpitdailleurs des difficults propres cette catgorie. Jacques-Alain Miller a mis en videncetoute une srie de notations, commenant par la mise en cause de ldipe comme identi-fication rsolutive telle quelle avait t propose par Freud, et culminant avec la mise envidence de linexistence de la jouissance de lAutre et le dgagement de la notion de sin-thome. Ce mouvement, ce dplacement vers une particularisation toujours plus fine deleffet de sujet, ne modifie toutefois pas la tripartition freudienne classique entre nvrose,psychose et perversion : nous montrerons au contraire quelle contribue la clarifier.

    Un des aspects les plus frappants de ce dplacement a bien entendu t, concernantles psychoses, de ne plus privilgier ltude des mcanismes paranoaques et les circons-tances de dclenchement, pour se concentrer sur la varit des modes de supplance et dedbranchements, les plus discrets soient-ils ( psychoses ordinaires ), en sappuyant surla clinique ironique de la schizophrnie, inspiratrice fondamentale du modle RSI.

    Mais il serait injuste de vouloir considrer que les choses sarrtent l. Du ct desnvroses, plusieurs notations de Jacques Lacan insistaient par exemple sur le caractre aty-pique de la rsolution du cas du petit Hans et sur limpossibilit de lassomption de la fmi-nit dans le cas Dora en parallle du cas Schreber, signe que si Jacques Lacan lesenvisageait en rfrence la problmatique du pre, celle du pire ntait pas trangre ses proccupations. Mais tout autant la question doit tre pose du ct des perversions ;la faon dont Jacques Lacan discute, propos de Sade, des particularits tonnantes du noir ftiche et du report des limites de laphanisis, ou encore, propos de Gide, des formessymptomatiques qui ont maill son existence et des paradoxes de la signification phallique,sont autant dencouragements en explorer les singularits.

    - Freud Sigmund : Cinq psychanalyses, Paris, PUF- Freud Sigmund : Sur la psychogense dun cas dhomosexualit fminine, in Nvrose, psychose etperversion, Paris, PUF.

    - Lacan Jacques : Le sminaire IV : La relation dobjet, texte tabli par Jacques-Alain Miller, Paris,Seuil

    - Lacan Jacques : La jeunesse dAndr Gide, in Ecrits, Seuil, Paris, 1966- Lacan Jacques : Kant avec Sade, in Ecrits, Seuil, Paris, 1966- Lacan Jacques : Le sminaire XXIII : Le sinthome, texte tabli par Jacques-AlainMiller, Paris, Seuil

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  • 11

    V

    Confrences invitsDu nouveau dans la psychanalyse

    Le samedi 15h30

    LUforca de Rennes fait partie dun rseau national Uforca, qui regroupe les Sections Cliniquesde lINSTITUT DU CHAMP FREUDIEN. Ces organismes visent promouvoir lenseignement de la psy-chanalyse applique la clinique et aussi la recherche dans ce domaine, et plus spcialement danslorientation lacanienne. Tous les collgues invits dans cette squence du Samedi font tat de leursdernires recherches en lien avec le sujet choisi pour lanne. Ces exposs teneur principalementclinique sont offerts la discussion et aux questions aussi bien des participants que des enseignantsde la Section Clinique.

    13 novembre 2010 .....................Dominique Laurent

    11 dcembre 2010..................... Alexandre Stevens

    15 janvier 2011..................... Valrie Pra-Guillot

    12 fvrier 2011..................... Martine Coussot

    19 mars 2011..................... Jean-Pierre Deffieux

    14 mai 2011..................... Jean-Daniel Matet

    18 juin 2011..................... Bernard Seynhaeve (journe du CERCLE)

    VI

    La prsentation de malades

    Elle a lieu dans le Service du Dr Jolle Aquizrate, au Centre Hospitalier Guillaume Rgnier, Rennes.

    Elle est assure par le Dr Roger Cassin, Pierre-Gilles Guguen, le Pr Jean-Claude Maleval etJean Luc Monnier.

    Les dates seront communiques ultrieurement. Les inscriptions sont rserves.

    - Miller Jacques-Alain : La clinique ironique, La Cause freudienne n 23, 1993.- Miller Jacques-Alain : Forclusion gnralise . Cahier de l'Association de la Cause freudienne -Valde Loire & Bretagne, 1993, 1

    - Miller Jacques-Alain : Sur le Gide de Lacan : quatre sances du sminaire d'tudes approfondies :Cours de l'orientation lacanienne (fin 1989), La Cause freudienne no. 25 (Septembre): 7-38.1993.

    - Miller Jacques-Alain : Le sinthome, un mixte de symptme et fantasme: Lorientation lacanienne :treizime leon du cours "Ce qui fait insigne", La Cause freudienne no. 39 (Mai)

    - Miller Jacques-Alain : La psychose ordinaire, Ed Agalma 1999.- Miller Jacques-Alain : Effet retour sur la psychose ordinaire, Quarto no. 94/95 (Janvier)

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  • 12

    VII

    Le sminaire dtude et de recherchede la Section Clinique de Rennes :

    le Cercle

    Le sminaire du Cercle sera orient cette anne par le thme dtude de la Section Cliniquede Rennes : La forclusion gnralise.

    On retrouve la trace de la forclusion gnralise concept mis au point par Jacques-AlainMiller partir de sa lecture minutieuse de Lacan dans lenseignement de Freud. En effet le refou-lement originaire que ce dernier formalise trs tt peut tre considr par extension comme un autrenom de la forclusion gnralise.

    Ainsi voquant la nvrose dans la troisime partie de son texte de 1937 intitul Constructiondans lanalyse , Freud prcise que la construction propose et communique par les analystes leurs patients entrane un phnomne surprenant : ils retrouvaient non pas lvnement mme quitait le contenu de la construction, mais des dtails voisins de ce contenu.

    De mme le dlire, quivalent de la construction dans la psychose, emporte avec lui seule-ment une part de ce que Freud appelle la vrit historique. (12)

    Il y a donc un surplus et ce, quelle que soit la structure. Freud rassemble ainsi sous unemme perspective psychose et nvrose. La construction propose par lanalyste dans la nvrose et laconstitution du dlire dans la psychose laissent un reste.

    Quelque chose reste dans tous les cas toujours hors de la porte du patient, inaccessible.Lacan, dans son retour Freud, aborde les catgories cliniques freudiennes partir de la pr-

    valence du symbolique et de laction civilisatrice du Nom-du-Pre, signifiant particulier qui vientsignifier et apprivoiser, dans la nvrose, par le biais de son corrlat le phallus, la jouissance de la mre.Lacan dmontre aussi que dans la psychose, labsence de ce signifiant particulier laisse cette jouis-sance affranchie du symbolique et libre de faire retour sur le sujet dune manire incontrle et mor-tifre. Lacan sappuie ainsi sur lhallucination du doigt coup de lhomme aux loups pour dmontrerde quel faon ce qui n'est pas venu au jour du symbolique, apparat dans le rel (13).

    Le terme de forclusion traduit le concept freudien de Verwerfung, qui veut dire expulsion,rejet, c'est exactement ce qui s'oppose la Bejahung primaire et constitue comme tel ce qui estexpuls. (14) Ce qui est expuls, vient constituer la jouissance comme rel.

    Lacan poursuivant sa lecture de Freud, ajoute que chez lui, la Verwerfung met en jeu uneautre dimension, celle du savoir : ainsi, citant ce dernier dans son commentaire sur Lhomme auxloups, Lacan rappelle que ce qui est verworfen, rejet, le sujet n'en voudra rien savoir au sensdu refoulement (15).

    (12) S. Freud, Construction dans lanalyse , PUF, Paris, 1985, p.279.(13) Ibid. p. 388(14) J. Lacan, rponse au commentaire de Jean Hyppolite, Les Ecrits, Seuil, Paris, 1966, p. 387.(15) J. Lacan, ibid, p. 388.

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    La forclusion est galement une opration, diffrente du refoulement certes, mais qui portesur le savoir. De la mme faon que le refoulement, la forclusion est la trace dune limite du savoir.Bien sr cest mme une des cls majeures de la dcouverte freudienne contrairement ce quiest forclos, le refoulement est susceptible dtre lev, mais dans son article de 1915 sur le refoulement(16),Freud relve tout de mme que nous sommes donc fonds admettre un refoulement originaire,une premire phase du refoulement, qui consiste en ceci que le reprsentant psychique (reprsen-tant-reprsentation) de la pulsion se voit refuser la prise en charge dans le conscient.

    Le refoulement originaire est l ombilic de linconscient, en aucune faon il ne saurait trelev : il sanctionne donc, comme la forclusion, la limite du savoir. Le rejet de la fminit, die Ablehnungder Weiblichkeit(17), que Freud cerne dans un autre de ses derniers textes dont les clats imagi-naires sont le penis-neid et la protestation virile confirme dans la clinique de la nvrose ce reste for-clos.

    Cest ainsi que Jacques-Alain Miller dans son cours(18), prenant acte des dernires avancesfreudiennes et de la lecture quen a fait Lacan, franchit la frontire structurale nvrose/psychose etavance que considrer que Lacan la mise en uvre [la structure de la forclusion] propos de lapsychose et du Nom-du-Pre[] nest l quune doctrine de la forclusion restreinte, [] il y a placepour une doctrine de la forclusion gnralise. [] Il y a pour le sujet, non seulement dans la psy-chose mais dans tous les cas, un sans-nom, un indicible .

    A quelle condition peut-on soutenir avec Jacques-Alain Miller ce passage du champ de ce quilnomme la forclusion restreinte la forclusion gnralise (19) ? Quels sont les consquencesde cette lecture trans-structurale de la limite faite au savoir par le rel dans la clinique ? De quellefaon la fonction du Nom-du-Pre se trouve-t-elle repense et replace dans le champ plus large dusymptme dabord et du sinthome ensuite comme enchssement de la jouissance ?

    Le sminaire mensuel du CERCLE, anim par Roger Cassin et Jean Luc Monnierabordera ces questions partir des prsentations cliniques soumises la discussion parles participants.

    Il est ouvert aux membres du CERCLE de la Section Clinique de Rennes qui le sou-haitent. Ltude et la construction de cas cliniques, soumis par les participants du smi-naire, auront pour but dclairer un ou plusieurs points de la doctrine psychanalytiqueen lien avec le thme de lanne. Les cas travaills pendant les sances seront adresss tous les participants dans les jours prcdant le sminaire.

    Six cas seront retenus, prsents et discuts lors de la journe exceptionnelle dela Section Clinique de Rennes qui se droulera le 18 juin 2011.

    Dates du sminaire du Cercle

    Jeudi 26 novembre 2009, Jeudi 17 dcembre 2009,

    Jeudi 14 janvier 2010, Jeudi 11 fvrier 2010,

    Jeudi 11 mars 2010, Jeudi 29 avril 2010, Jeudi 20 mai 2010

    (16) S. Freud, Le refoulement , in Mtapsychologie, Paris, Gallimard, 1978, p. 48.(17) S. Freud, Lanalyse avec fin et lanalyse sans fin , Paris, PUF, 1992, p. 268.(18) J. A. Miller, ce qui fait insigne , cours donn dans le cadre de lUniversit de Paris VIII, le 27 mai 1987,

    dont Cahier publie un extrait dans son premier numro doctobre 1993.(19) J.A. Miller, Ce qui fait insigne in Cahier, op. cit. p. 5.

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  • Dates des Sessionsde la Section Clinique de Rennes

    2010-2011 :

    12-13 novembre 2010

    10-11 dcembre 2010

    14-15 janvier 2011

    11-12 fvrier 2011

    18-19 mars 2011

    13-14 mai 2011

    17-18 juin 2011

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  • Comit de coordinationRoger Cassin

    Pierre-Gilles Guguen

    Jean Luc Monnier

    EnseignementsEmmanuelle Borgnis-Desbordes

    Dominique Carpentier

    Philippe Carpentier

    Dr Josiane Cassin

    Dr Roger Cassin

    Nathalie Charraud

    Anne Combot

    Dr Jean-Charles Douchet

    Marcel Eydoux

    Michel Grollier

    Pierre-Gilles Guguen

    Jeanne Joucla

    Anne-Marie Lemercier

    Pr Jean-Claude Maleval

    Pr Sophie Marret-Maleval

    Jean Luc Monnier

    Dr Danielle Olive

    Pr Laurent Ottavi

    Pr Franois Sauvagnat

    DirectionJacques-Alain Miller

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    LE SECRTARIATLes inscriptions et les demandes de renseignements, concernant aussi bien

    lorganisation pdagogique quadministrative, doivent tre adresses :

    Section clinique de Rennes2, rue Victor Hugo

    35000 RennesTl. : 0299797236

    Ml : [email protected]

    CONDITIONS GNRALES DADMISSIONET DINSCRIPTION LA SECTION

    Pour tre admis comme participant de la Section Clinique, il nest exig aucunecondition dge.

    Il est, par contre, recommand dtre au moins du niveau de la troisime annedtudes suprieures aprs la fin des tudes secondaires. Des demandes de droga-tion peuvent cependant tre faites auprs du Secrtariat.

    Les admissions ne sont prononces quaprs au moins un entretien du candi-dat avec un enseignant.

    Le nombre de places tant limit, les inscriptions se feront dans lordre darri-ve des demandes.

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    Sections cliniques de lInstitutAntennes et Collges

    Section clinique dAthnesSection clinique de BarceloneSection clinique de Bruxelles

    Section clinique de Buenos-AiresSection clinique de MadridSection clinique de MilanSection clinique de Rome

    Section clinique de Tel-Aviv

    Section clinique dAix-MarseilleSection clinique de Bordeaux

    Section clinique de Clermont-FerrandSection clinique de Lyon-Grenoble

    Section clinique de NantesSection clinique de Paris-le-de-FranceSection clinique de Paris-Saint-Denis

    Section clinique de Rennes

    Antenne clinique de BrestAntenne de Chauny-Prmontr

    Antenne de DijonAntenne de LilleAntenne de Nice

    Antenne de RouenAntenne de Strasbourg

    Collge clinique de MontpellierCollge clinique de Toulouse

    Programme d'tudes cliniques d'Angers

    INSTITUT DU CHAMP FREUDIEN74 rue dAssas 75006 Paris

    UFORCASecrtariat

    82 Cours Aristide Briand 33000 Bordeaux

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    NOTES

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    Fournir 2 photosdidentit couleurBULLETIN DINSCRIPTION

    Session 2010-2011 RETOURNER

    Secrtariat de la Section clinique de RennesUforca-Rennes

    2, rue Victor Hugo 35000 Rennes Tl. : [email protected] - www.sectionclinique-rennes.fr

    crire en lettres majuscules

    Nom ... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Prnom ... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Date et lieu de naissance .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Profession .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Diplmes .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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    Lieu(x) de travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Adresse personnelle.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    N .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Rue .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Code Postal .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Localit .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Tlphone .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ml .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    VOTRE INSCRIPTION EST-ELLE?Personnelle OUI NONPrise en charge par une institution OUI NON(joindre une lettre de celle-ci attestant son accord)

    Annes de prsence : / / / /

    SI VOTRE INSCRIPTION EST PRISE EN CHARGE PAR UNE INSTITUTION :Un chque de caution de 320 vous est demand. Il sera restitu au paiement de la priseen charge par votre institution.

    Lentreprise est-elle soumise au 1 % OUI NON

    Quelle est sa raison sociale.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Adresse .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Tlphone .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Quel est le nom du responsable de la formation permanente .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Une convention sera envoye directement votre institution.

    COT DE LINSCRIPTION : Au titre de la formation permanente : .. . . . . . 560 titre individuel : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 320 Pour les tudiants de moins de 27 ans (sur justificatifs)et les personnes en recherche demploi. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180

    Cette session est organise dans le cadre des activits de lAssociation Uforca-Rennes pour laformation permanente.

    Le . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . signature

    N.B. : Fournir 2 photos didentit couleur

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  • Section clinique de Rennes2, rue Victor Hugo

    35000 RennesTl. : 0299797236

    Ml : [email protected]

    Achev dimprimer en aot 2010par les Compagnons du Sagittaire, Rennes.

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