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PARIS
Inventaire cinématographique
2006-2008
(Mise à jour 2009)
Parcours cinématographique à Paris Eté 2009 Analyse de l’état des ressources
Paris Macadam Ŕ Les Arcavals Tél. : 01 46 07 05 08 [email protected] page 2/68
PARCOURS CINEMATOGRAPHIQUES A PARIS
« Analyse de l’état des ressources »
Page
1. Les salles de cinéma actuelles 2
2. Les films et les lieux de tournage 20
3. Les festivals 41
4. Les formations et les enseignements 50
5. Le patrimoine, les équipements et les projets 55
6. Les structures professionnelles 60
7. Références bibliographiques 68
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DES SALLES DE CINÉMA ACTUELLES
Paris dispose aujourd’hui d'un patrimoine de salles de cinéma
exceptionnel. En 2006, il existait 88 établissements cinématographiques (376 écrans, dont 150 écrans indépendants et 89 classés Art et Essai) et
plus de 27 millions de spectateurs. Paris joue depuis toujours un rôle primordial dans la diffusion du cinéma: la qualité et la densité de son parc de salles, le nombre de films
offerts chaque semaine (en moyenne 500) à tous les types de public, font de Paris la capitale de tous les cinémas.
Parmi toutes ces salles, certaines sortent du lot par leur histoire, leur architecture ou encore leur fréquentation.
SALLES Arrondissement ECRAN(S) FAUTEUILS
Gaumont Champs-Elysées Marignan 8ème 13 3 184
L’archipel 10ème 2 211
L’entrepôt 14ème 3 264
L’épée de bois 5ème 2 120
L’escurial 13ème 2 329
La Géode 19ème 1 400
La Pagode 7ème 2 392
Le Cinéma des Cinéastes 17ème 3 479
Le Champo 5ème 2 250
Le Cinéma du Panthéon 5ème 1 300
Le Grand Action 5ème 2 321
Le Grand Rex 2ème 7 4 158
Le Louxor (en travaux) 10ème 3 600
Le Majestic Bastille 11ème 2 350
Le Nouveau Latina 4ème 2 240
Le Pasquier Saint-Lazare 8ème 3 331
Le studio des Ursulines 5ème 1 120
Les 7 parnassiens 14ème 7 825
Les cinq Caumartin 9ème 5 509
Les trois Luxembourg 6ème 3 320
Max Linder Panorama 9ème 1 700
MK2 Bibliothèque 13ème 14 2 712
MK2 Gambetta 20ème 6 1 141
MK2 Hautefeuille 6ème 4
MK2 Quai de Loire 19ème 6
2 076 MK2 Quai de Seine 19ème 6
Studio 28 18ème 1 170
UGC Ciné Cité Les Halles 1er 19 3 250
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Gaumont Champs-Elysées Marignan – Paris 8ème
Le Gaumont Champs Elysées, cinéma mythique des grandes avant-premières de film, propose
13 salles réparties sur deux sites se faisant face : - 6 salles se situent côté Marignan au 27
Champs-Elysées. - 7 salles se situent côté Ambassade au 50
Champs-Elysées.
Ces deux cinémas ont été rénovés récemment afin de garantir aux spectateurs un meilleur niveau de confort.
En bas des Champs-Elysées sur le trottoir calme de l'avenue, le Gaumont Marignan impose sa massive marquise. Sur les portes vitrées trônent encore des coqs dorés en guise de poignées, seuls souvenirs de son ancien propriétaire
Pathé. A l'intérieur de ce cinéma prestigieux, c'est le luxe moderne des marbres blancs, des miroirs et des dorures qui prévaut dans ses immenses espaces
d'accueil. Les larges escaliers ornés de rampes cuivrées nous mènent soit aux salles, soit au grand bar du sous-sol. Cet espace-bar, avec tables et chaises sous une coupole de verre, ne ménage pas ses efforts pour accentuer la convivialité
du lieu.
Le Marignan peut se vanter par ailleurs de renfermer le nombre le plus important de grandes salles sur les Champs-Elysées (trois salles de plus de 400 places), lesquelles portent toutes le label Gaumont Rama. Sa programmation est
composée de films grand public en exclusivité et en version originale, dont la majeure partie provient d'outre-Atlantique. Respectivement de 560, 520 et 400
places, les trois plus grandes salles du complexe sont aussi les plus performantes. Elles rassemblent des écrans de 13 mètres, le son digital et des fauteuils club (pour les salles 2 et 3). Avec une mention particulière pour la salle
3, un superbe amphithéâtre de velours rouge et de bois teinté gris qui assure une parfaite intimité avec l'écran. Les autres salles - avec 120, 100, et 70 places
- sont plus intimes mais néanmoins agréables. Informations pratiques
27, avenue des Champs Elysées 75008 Paris
Tel : 08 92 69 66 96
L’archipel – Paris 10ème
L’Archipel est la conjonction d’un lieu, le Paris Ciné et
de la volonté d’un homme, Pierre Dyens. En quête d’une salle propice à la production de musique vivante, sous l’angle de l’originalité et de la convivialité, Pierre
Dyens rénove le Paris Ciné en un lieu où la musique vivante, la musique de films et la musique enregistrée
sous le label Saphir pourront s’exprimer librement.
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L’Archipel a ouvert ses portes en septembre 2001 sous le parrainage de Jean-Claude Pennetier et Roland Pidoux pour la Musique et du compositeur Vladimir
Cosma pour le Cinéma. L’Archipel possède deux salles :
- une salle de 97 places au sous-sol dédiée essentiellement au cinéma avec
une décoration digne des salles du siècle dernier, avec son ambiance années 1950 et ses fauteuils de velours rouge ;
- une salle de 114 places au rez-de-chaussée équipée d’une scène, d’une régie son et lumière, et d’un bar intérieur à la salle qui permet d’accueillir des projections de films, des concerts, des débats, des enregistrements de
musique.
Informations pratiques 17 boulevard de Strasbourg 75010 Paris
Site http://www.larchipel.net Tel : 01 48 00 04 10
L’entrepôt – Paris 14ème
Le cinéma Art & Essai de l’Entrepôt, créé par Frédéric
Mitterrand en 1975, est un lieu de vibration historique. En 2003, l’Entrepôt se renouvelle en un lieu multiple de
rencontres et de dialogues entre les arts. Des débats, des concerts, ont lieu chaque jour. Avec ces trois salles rénovées (104, 80 et 80 places) l’Entrepôt offre une programmation de
films Art & Essai riche, orientée vers le documentaire et les premiers films. En plus des trois salles de cinéma, un bar, un
restaurant avec jardin et un espace concert occupent aujourd'hui le volume de ce lieu polyvalent.
Une façade à dominante noire ornée de caissons lumineux bleus et d'immenses kakémonos de couleur vive ponctuent la discrète rue Francis de Pressensé.
Dans la semaine, l'Entrepôt est régulièrement loué pour des manifestations
événementielles. Les vendredis et samedis soir swinguent au rythme des concerts de jazz dans une ambiance de lumières tamisées. Les samedis sont réservés aux noctambules de l'image avec des séances de minuit et les
dimanches aux lève-tôt avec des séances du matin. Quant aux problèmes de société, ils sont abordés avec les débats autour d'un film lors des Cafés Philo.
Informations pratiques
7 rue Francis de Préssensé 75014 Paris
Site
http://www.lentrepot.fr Tel : 01 45 40 07 50
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L’épée de bois – Paris 5ème
Créé en 1965, le lieu de rencontre L’Epée de Bois est d’abord
un théâtre. Après avoir été transformé en immeuble de sept
étages, la cinéaste Madeleine Hartman rachète en 1978 le sous-sol et le rez-de-chaussée pour y aménager deux salles
de cinéma Art & Essai, tout en conservant une politique de programmation assez large.
Au milieu des commerces animés de la rue Mouffetard, on peut découvrir la discrète façade en acier de l'Epée de Bois. Un étroit couloir où s'exposent dans un halo de lumière les
photos des films nous mène à la caisse dans une ambiance design métallisée.
L’Epée de Bois met à la disposition du public 2 salles de petite capacité (55 et 65 places) au rez-de-chaussée du cinéma permettant des projections dans un cadre
intimiste et chaleureux.
Informations pratiques 100 rue Mouffetard 75005 Paris
Site www.cinema-epee-de-bois.fr Tel : 01 43 37 54 59
L’escurial – Paris 13ème
L’Escurial Panorama est le seul cinéma d’Art & Essai du 13ème arrondissement. Comprenant
deux salles de 244 et 85 fauteuils, l’Escurial offre une programmation variée, avec des séances pour les groupes scolaires et des
associations locales.
Dans les années 1980, après avoir longtemps été la propriété du cinéaste Jean Gourguet, il est sauvé de la transformation en supermarché grâce à la volonté de
jeunes fous de cinéma. Cette équipe, qui ne connaît rien à l'exploitation mais tout sur les films, fait de cette salle le lieu du cinéma à la carte avec vingt films par
semaine et des nuits entières consacrées aux stars que sont Brigitte Bardot ou Marlon Brando. La fréquentation est multipliée par trois et le succès est si rapide qu'une deuxième salle est construite dans l'ancien balcon.
Depuis 2002, " les soirées courts-métrages " de l'Escurial permettent de voir des
chefs d'œuvre au format court, le dernier mardi de chaque mois. Deux fois par mois sont également organisées des projections de documentaires le dimanche matin, suivies de débats.
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Informations pratiques 11, Boulevard de Port-Royal
75013 Paris
Site http://www.lesecransdeparis.fr
La Géode - Parc de la Villette – Paris 19ème
Située Porte de La Villette à Paris, La Géode est une œuvre architecturale unique parmi les plus admirées à Paris et réputée dans le monde entier.
Cette sphère d'acier, conçue par l’architecte Adrien Fainsilber fut inaugurée le 6 mai 1985. C'est une salle de
spectacle exceptionnelle pour des films en très grand format.
Le dispositif de multi-projection numérique géante permet l’exploitation de films
en 3D-relief, de documentaires et de films en haute définition, de spectacles “musique et vidéo”. Une séance dure environ 60 minutes.
La Géode ouvre ses portes aux professionnels de l'image et met à disposition son impressionnant décor avant-gardiste pour devenir lieu de tournages et de prises
de vues. Par ailleurs, la Géode offre aussi un espace de réception de 1300 m2 qui permet
de recevoir jusqu'à 400 personnes pour un dîner assis et 800 pour un cocktail. Informations pratiques
La Géode 26, avenue Corentin Cariou
75019 Paris
Site
www.lageode.fr
Tel : 01 40 05 12 12
La pagode – Paris 7ème
Avec son jardin à l'orientale et son architecture digne des temples japonais, le cinéma La Pagode a de quoi étonner. Ce bâtiment hors normes a été
construit en 1895 par l'architecte Alexandre Marcel, sur les ordres d'un ancien directeur du
Bon Marché, Monsieur Morin, désireux d'en faire cadeau à sa femme.
Ancienne salle de bals et de fêtes, elle est devenue un cinéma en 1931 et a
fermé depuis à plusieurs reprises. C’est en 2000 qu’elle a réouvert ses portes. Il comprend deux salles : la principale est baptisée 'espace japonais' en raison de
ses murs et de son plafond richement décorés, la seconde, plus petite, a été construite en sous-sol, en 1973.
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Fermée à plusieurs reprises pour cause de travaux, La Pagode, qui est classée
aujourd'hui monument historique, attend d'être entièrement restaurée. Un temps géré par Gaumont, le cinéma avait été menacé de fermeture en raison
d'importants travaux à effectuer. Sauvegardé grâce à l'association "Sauvons la Pagode", il est désormais géré par l'équipe des cinémas Le Racine Odéon et le Saint-Germain-des-Près, la société Ciné-Classic, dirigée par Jean Henochsberg.
Informations pratiques
57 rue de Babylone 75007 Paris
Tel : 08 92 68 93 25
Le Champo – Paris 5ème
Le Champo, classé Art et Essai, est situé à l'angle de la rue Champollion (d'où son nom) et de la rue
des Ecoles. Avec sa façade si typique de l'âge d'or du cinéma et ses films intemporels, ce cinéma est
véritablement devenu incontournable dans la capitale.
Unique en Europe, la 'projection par périscope' de la salle principale, une
curiosité très appréciée des habitués, a survécu au temps grâce à la volonté de la propriétaire. Ce système doit son existence au fait que la cabine se situe dans un ancien appartement au-dessus de l'écran. Le faisceau de l'image emprunte
ainsi un périscope, atterrit sur un miroir surélevé (d'où la présence d'une petite lucarne) renvoyant vers un autre miroir en fond de salle et terminant
finalement... sur l'écran !
Lors de son cinquantenaire en 1988, le Champo a dédié son espace à Jacques Tati. Voilà pourquoi une ambiance autour de son monde y a été créée. Ainsi dans le hall d'accueil s'égrènent en noir et blanc des vues rétro-éclairées de ses films,
une affiche très rare de Jour de Fête, et une silhouette illuminée de Tati en fibres optiques tout droit sortie des Vacances de M. Hulot.
La salle 1 possède 130 fauteuils et des vagues de lumière tamisée d'un bleu profond modèlent ses formes. La salle 2, en plus de 120 fauteuils, voit son
plafond garni de 3 000 étoiles scintillantes en fibres optiques.
Le Champo propose de célèbres rétrospectives : Woody Allen (1 an et demi à l'affiche), David Lynch (1 an), mais aussi tous les films de Louis Jouvet, Jacques
Tati, Henri-Georges Clouzot, Sacha Guitry, Cary Grant...
Informations pratiques 51 rue des écoles 75005 Paris
Site http://www.lechampo.com/ Tel : 01 43 54 51 60
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Le Cinéma des Cinéastes – Paris 17ème
Créé par l’Association des Réalisateurs
Producteurs1 (ARP) en 1996, le Cinéma des
Cinéastes, lieu de rencontres, d’avant-premières et d’événements, s’est peu à peu développé
comme une vitrine parisienne du cinéma européen et mondial. Le Cinéma des Cinéastes
propose une programmation variée avec des festivals, rétrospectives, documentaires, rencontres et débats en présence de réalisateurs.
De nombreux films européens et mondiaux y sont présentés, par exemple durant
le Panorama du film grec en 2005 ou le Festival de films des pays de l'Est. Le Cinéma des cinéastes possède trois salles, de 315, 93 et 71 places, et une
décoration originale mêlant pierres et structures métalliques. Au premier étage, les amoureux de la pellicule, des vignobles et des territoires trouveront au bistrot
des Cinéastes une atmosphère chaleureuse et chargée d'histoire. Informations pratiques
7, Avenue Clichy 75017 Paris
Site
www.cinema-des-cineastes.fr Tel : 01 53 42 40 00
Le cinéma du Panthéon – Paris 5ème
Enraciné entre la Sorbonne et le Panthéon, dans la
rue du philosophe Victor Cousin, ce cinéma a le
mérite d'être l'une des plus anciennes salles encore en activité à Paris.
Vitrine du cinéma européen, cette salle indépendante est totalement consacrée aux films
du vieux continent en version originale.
Afin que le lieu soit à la hauteur de la programmation, la salle, tout en ayant conservé son style et son volume, a été rénovée de manière moderne. Sur la
façade, les lettres des films s'étalent sur une marquise à l'américaine et un faux projecteur, comme immobilisé par le temps, éclaire la mention 'art et essai'. A
l'intérieur, sa salle unique rassemble 300 fauteuils, dont 60 au balcon, qui ont troqué leur dureté d'antan pour un moelleux tout de bleu vêtu. L'écran incurvé
s'ouvre sur 9 mètres, et le son est Dolby. Sous la cantonnière noire des murs de la salle sont exposés des motifs de vieux projecteurs, suggérant que les destinées du cinématographe et du Panthéon (ils n'ont que douze années
d'écart!) sont liées.
1 L'ARP, fondée en 1987 par Claude Berri et d'autres réalisateurs, a pour mission de réguler au
mieux l'industrie cinématographique et d'en défendre l'indépendance et la diversité.
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Et comme pour rappeler que le véritable Panthéon est dédié aux grands
hommes, chacun des fauteuils porte le nom - gravé sur une plaque de cuivre - d'un réalisateur européen. Un intrus s'y est d'ailleurs glissé, à vous de le
retrouver... Quant aux couples, ils ont au balcon leurs banquettes doubles. Ayant survécu aux censures de la morale, ces banquettes ont été restaurées et sont les seules encore existantes à Paris. L'Europa Panthéon est un cinéma de caractère
pour des films européens à forte personnalité.
Le critique Jean Douchet y tient son ciné club "L’Art d’aimer", les mardis à 20h et les Cahiers du Cinéma une fois par mois, un mardi à 20h. Cette salle participe à
la programmation jeune public " L’Enfance de l’art". Informations pratiques
13 rue Victor Cousin 75005 Paris
Site
Tel : 01 40 46 01 21
Le Grand Action – Paris 5ème
Ancienne salle de cabaret devenu salle de
cinéma, les deux salles du Grand Action proposent habituellement une programmation des classiques hollywoodiens. Avant d'être
rattachée au réseau Action, la salle s'appelait le Mésange-cinéma, puis le Celtic et enfin le Studio
Jean Cocteau.
La salle Henri Langlois, avec son écran panoramique, est en hommage au fondateur de la Cinémathèque française. La seconde salle porte le nom de Salle
Henri Ginet, un des fondateurs du concept des salles Art et Essai.
Informations pratiques 5 rue des écoles 75005 Paris
Site http://www.legrandaction.com/ Tel : 01 43 54 47 62
Le Grand Rex – Paris 2ème
Le Grand Rex a ouvert ses portes en 1932 sous
l'égide de Jacques Haïk, un riche producteur français. Classée au titre des monuments historiques
depuis 1981, échappant alors de peu à la destruction, ce géant peut accueillir plus de
2 700 personnes dans sa configuration actuelle et affiche, encore aujourd'hui, une fréquentation de 1,25 million de visiteurs annuels.
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Aujourd'hui une des rares salles de l'époque à être encore en activité, le Rex est
un lieu exceptionnel, où tout semble démesuré. Avec sa surface de 2 000 m², les 2 800 spectateurs - répartis sur 3 niveaux - évoluent dans un décor unique, dont
le point d'orgue est la superbe voûte étoilée (le plafond culmine à plus de 30 mètres). Ses concepteurs en sont, l'architecte Auguste Bluysen et l'ingénieur John Emerson. Malgré son immense succès public, Jacques Haïk déposera le
bilan. Puis vient la guerre : les Allemands investissent la salle, le Rex devient momentanément un outil de propagande nazie.
Après la Libération, Jean Hellmann, nouveau propriétaire de l'établissement, entend faire revivre ce lieu magique en privilégiant les exclusivités américaines :
avant-premières, inaugurations en présence d'invités d'exception... Alors que la plupart des cinémas d'époque disparaissent tour à tour, le Grand Rex demeure le
dernier rendez-vous populaire des cinéphiles. En 1974, Philippe Hellmann (directeur depuis 1967) décide d'aménager de nouvelles salles en sous-sol, plus petites, pour répondre à une distribution sans cesse grandissante. La
discothèque Rex Club ouvre également ses portes.
Aujourd'hui, outre la projection de films, le Rex propose également de nombreux concerts et des soirées exceptionnelles (la fameuse Nuit des publivores). Soucieux de préserver la singularité de ce lieu, Philippe Hellmann n'a eu de cesse
de le diversifier : l'exposition 'Les Etoiles du Rex' permet de visiter les coulisses de ce cinéma et de mieux comprendre les rouages du 7e art.
Informations pratiques
1 boulevard Poissonnière 75002 Paris
Site
http://www.legrandrex.com/ Tel : 08 92 68 05 96
Le Louxor – Paris 10ème
Le Louxor est une salle de cinéma créée en 1921 par Henri Zipcy et située dans le 10ème
arrondissement de Paris. Cette salle de cinéma fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 5 octobre 1981.
Il a malheureusement fermé ses portes le 23 novembre 1983.
Mythique cinéma du Barbès, le Louxor est un remarquable exemple de l'architecture cinématographique égyptisante des années 1920 :
mosaïques multicolores sur la façade (bleu cobalt, noir, ors), les motifs floraux auxquels s’ajoutent
disques ailés, scarabées et cobras.
Longtemps un cinéma populaire qui passe aussi bien les succès français grand public que les films américains, il choisit, dans les années 1970 et au début des années 1980, de projeter des films « exotiques » (indien, égyptiens, etc.) en
version originale, susceptibles d’attirer une population immigrée en nombre croissant dans le nord-est de Paris.
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En 1983, le Louxor est racheté par la société Tati et reste inutilisé à l’exception de deux brèves tentatives d’exploitation de boîtes de nuit au milieu des années
80. À partir de 2001, les associations d’habitants du quartier Barbès se mobilisent pour sauver ce patrimoine de la ruine. Leur revendication est double : que la Ville rachète le Louxor et le rende à sa vocation culturelle.
La Ville de Paris a conclu le 25 juillet 2003 avec la société COFITED, l'acquisition
de l'ancien cinéma Le Louxor. Cette acquisition va permettre à la Ville de Paris d'assurer la sauvegarde de ce monument et d'accélérer, en lien avec les élus et les associations des trois arrondissements concernés (9e, 10e et 18e) la mise au
point du projet figurant au programme de mandature visant à réaliser sur le site une Maison des Cultures Méditerranéennes.
Cette réalisation permettra, autour de ce thème, de proposer diverses activités culturelles, en tenant compte de la vocation cinématographique du site. Pour ce faire, un complexe de 3 salles va être mis en place pouvant accueillir 600
spectateurs au total.
Informations pratiques 170 boulevard Magenta 75010 Paris
Site
Le Majestic Bastille – Paris 11ème
Anciennement spécialisé dans les films de genre, le
Majestic Bastille se consacre dorénavant au cinéma d’auteur, à la version originale et à l’Art & Essai. Composé
de deux salles de 250 et 100 fauteuils, le cinéma organise régulièrement des festivals, débats et autres rétrospectives.
Le Majestic Bastille a conservé, avec ses imposantes lettres rouges illuminées de néons, sa majestueuse façade. A
l'intérieur, au sol, s'étale un marbre noir constellé d'éclats de miroir. Sur les murs s'affiche une imitation de marbre stuco-florentin. Dans les courbes du grand escalier se
déversent des marches de marbre et de chêne traversées de fibres optiques lumineuses.
La salle Panorama est la plus spacieuse du quartier. Il s'agit en effet d'un superbe volume comprenant 260 fauteuils en gradins devant un écran incurvé de
13 mètres. L'acoustique, spécialement soignée, a été réglée par l'acousticien de l'Opéra de Paris. Le son est Dolby. L'entrée dans la salle s'effectue de manière
amusante sous l'écran. Quant à la deuxième salle, plus intime, elle rassemble 100 fauteuils et le son Dolby.
Informations pratiques 2-4 boulevard Richard Lenoir
75011 Paris
Site http://www.lesecransdeparis.fr
Tel : 01 47 00 02 48
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Le Nouveau Latina – Paris 4ème
Situé au coeur de Paris, à deux pas du Centre Georges
Pompidou et de l'Hôtel de Ville, Le Nouveau Latina est un
endroit chaleureux consacré aux cultures latines. Ce cinéma est spécialisé dans la diffusion de films d'expression
latine (en espagnol, français, italien, portugais et roumain) en version originale sous-titrée en français. Y sont
présentés des films en sortie nationale et des cycles cinématographiques accompagnés de rencontres avec les réalisateurs et les acteurs.
En plus de ses deux salles de cinéma, le Nouveau Latina possède un bistrot latin
(avec par exemple du vin argentin, un cocktail brésilien ou des tapas espagnoles), une salle de danse pour du tango ou de la salsa et une galerie Renoir avec des expositions. Construit sur l'emplacement d'un ancien bureau de
la Gabelle datant du XVIIe siècle, ce lieu est parmi les plus anciens cinémas de Paris. Rénové en 1995, le Nouveau Latina arbore une façade moderne toute en
transparence avec des tons de vieil ocre et de rouge, couleurs de la latinité. En hommage au cinéaste espagnol, la salle Buñuel, équipée de 180 fauteuils ainsi que du son Dolby, est située au rez-de-chaussée. Quant à la salle Rossellini,
plus modeste avec ses 60 fauteuils et située à l'étage, elle est consacrée aux reprises et continuations.
Informations pratiques 20 rue du Temple
75004 Paris
Site http://www.lenouveaulatina.com/
Tel : 01 42 78 47 86
Le Pasquier Saint-Lazare – Paris 8ème
Le Saint-Lazare Pasquier a vu sa programmation chamboulée en 2000 lors de
sa reprise par Galeshka Moravioff, exploitant et directeur-fondateur de la société de distribution Films Sans Frontières, qui a
introduit, dans ce cinéma de quartier et de proximité, les films en version originale
systématique, mêlant les œuvres classiques du patrimoine cinématographique aux œuvres modernes d’aujourd’hui.
L'entrée est à peine visible, seulement une petite cabine éclairée dans laquelle
une guichetière traditionnelle donne les billets d’entrée. Concernant la salle, elle semble ne pas avoir changé d'un poil depuis sa date de création velours rouge et atmosphère détériorée. Les spectateurs s’enfoncent dans d'immenses fauteuils
en cuir et peuvent étendre leurs jambes tellement les espaces sont larges.
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Informations pratiques 44 rue Pasquier
75008 Paris
Site http://www.cinemetroart.com
Tel : 01 43 87 35 43
Le studio des ursulines – Paris 5ème
En 1925, les comédiens Armand Tallier et Laurence Myrga choisissent la petite rue des Ursulines pour installer un nouveau type de
cinéma, destiné à projeter des films d'avant-garde, à un public éveillé et cultivé : c'est ainsi
que naît le cinéma d'avant-garde en France, et qu'apparaît la première salle de cinéma 'spécialisée', précurseur des salles art & essai.
Le Studio des Ursulines présente sa première séance le 21 janvier 1926 ; dans le
public on reconnaît entre autres André Breton, Man Ray, Fernand Léger, René Clair, Robert Desnos...
Armand Tallier représente alors le cinéma du coeur et de l'esprit plus que le cinéma de l'argent. Il est d'ailleurs associé, dans les années 1950, à la création du mouvement Art & Essai, avec la naissance de l'AFCAE (Association française
des cinémas d'art & d'essai) en 1955. Le Studio des Ursulines devient la première salle art & essai de France.
Aujourd'hui, le Studio des Ursulines reste un des cinémas les plus prestigieux de Paris, pourvu d'un riche passé cinématographique. Il est toujours resté fidèle aux
orientations soutenues par Armand Tallier, au mouvement Art & Essai et à son héritage d'indépendance. Depuis mars 2003, il a pour vocation d'offrir au jeune
public parisien un lieu de découverte du cinéma dans toute sa diversité, à travers une programmation exigeante et des rencontres régulières avec celles et ceux qui font le cinéma.
Informations pratiques
10, rue des ursulines 75005 Paris
Site
http://www.studiodesursulines.com/ Tel : 01 56 81 15 20
Les 7 parnassiens – Paris 14ème
La véritable entrée des 7 Parnassiens se trouve au fond de la petite galerie commerciale 'Les
Parnassiens'. Ce passage permet d'ailleurs un accès de l'autre côté du pâté de maison, rue
Delambre. Ce complexe est resté fidèle à ses principes et continue, en tant que salle art et essai, à ne programmer que des films d'auteur
dans leur version originale.
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Le hall est convivial, avec sa caisse ronde centrale, son comptoir confiserie et ses
petites tables et chaises. Des travaux de rénovation ayant eu lieu pendant l'été 1995, les salles possèdent une capacité moyenne toutes de rouge revêtues. Au
nombre de sept, elles comprennent 260, 245, 120, 70, 55, 45, et 30 fauteuils. Elles sont par ailleurs presque toutes équipées du son Dolby, la salle 1 comportant en plus le son Digital.
Informations pratiques
98 boulevard Montparnasse 75014 Paris
Site
http://www.parnassiens.com/ Tel : 08 36 68 81 07 (0,34 €/min)
Les cinq Caumartin - Paris 9ème
Renfermant cinq salles, les Cinq Caumartin est un
petit complexe art et essai face à la gare Saint-
Lazare. Il s'y dresse depuis 1939 et a profité du renouveau du quartier pour se refaire une
jeunesse. En mai 1939 est inauguré, avec à l'affiche La Femme du boulanger de Marcel Pagnol, le Cinévog.
Construit sur l'emplacement d'un restaurant près de la gare Saint-Lazare, c'est alors une salle unique de 440 places avec balcon. En 1966, il devient l'un des premiers multisalles de Paris. Le concept est un tel succès qu'il est repris par les
grands circuits de cinémas. En 1971, le cinéma décide d'aller encore plus loin. Ce sont cette fois quatre salles qui sortent de terre dans le volume de l'ancienne
salle unique. Puis dans la foulée deux autres petites salles sont rajoutées. En 1997, une nouvelle ère débute et le Cinévog devient sous le nom de Cinq Caumartin un cinéma art et essai.
Aujourd'hui, une décoration élégante tout en rouge et blanc, quelques petites tables et chaises, et un comptoir confiserie accueillent le public. A l'affiche, des
films plutôt art et essai en version originale. Informations pratiques
101 rue Saint-Lazare 75009 Paris
Site
http://www.cinqcaumartin.com/ Tel : 08 92 68 81 07
Les trois Luxembourg – Paris 6ème
Inauguré le 16 décembre 1966, le cinéma « Les 3 Luxembourg » a été le premier complexe
cinématographique parisien et, par voie de conséquence, tout à la fois le premier complexe Art et Essai… du Quartier Latin. Il a joué un rôle phare
dans l’activisme cinéphilique parisien, y trouvant son apogée en 1968 lorsqu’il abrita la quasi-totalité des
« travaux » des Etats Généraux du cinéma.
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Après des années difficiles, Les 3 Luxembourg a retrouvé sa vocation initiale et présente désormais à ses spectateurs les films les plus représentatifs des
tendances actuelles du cinéma d’auteur contemporain, sans distinction de genres (le documentaire y occupe une place non négligeable), ni de styles, ni d’origines géographiques. Cycles, rétrospectives, débats et rencontres y sont régulièrement
organisés.
A mi-chemin entre le jardin du Luxembourg et le boulevard Saint-Michel, « Les Trois Luxembourg » programme des films d'auteur art et essai en version originale. En 1986, le cinéma a connu une transformation radicale. S'offrant à la
rue Monsieur-le-Prince, la façade cerclée de néons rouges fait aujourd'hui la part belle aux films à l'affiche. D'une capacité respective de 130, 110 et 80 places, les
trois salles récemment rénovées sont toujours un peu petites mais ont gagné en confort et en technique.
Informations pratiques 67, rue Monsieur le Prince
75006 Paris
Site http://www.lestroisluxembourg.com/
Tel : 01 46 33 97 77
Max Linder Panorama – Paris 9ème
C'est pour réaliser son rêve d'ouvrir un cinéma que l'acteur burlesque Max Linder achète une salle en 1914, à son retour des Etats-Unis. Le Kosmorama devient alors le
Ciné Max Linder. Mais mener de front le métier de comédien et celui d'exploitant n'est pas aisé, et Max
Linder revend son cinéma peu de temps après. Le cinéma est repris par Pathé en 1932, puis rénové en 1957, mais la société
Parafrance qui l'exploite fait faillite en 1984. Le renouveau du lieu est assuré par une équipe passionnée, qui détruit l'ancienne salle pour en faire une nouvelle,
plus belle, plus moderne avec écran panoramique, conçue par Georges Peynet (architecte décorateur).
Le Max Linder Panorama est né, doté d'un bar, d'une salle en trois niveaux (orchestre, mezzanine et balcon pour un total de 616 places) où se mêlent passé
(les volumes du hall et de la salle évoquent les années 30) et futur. L'écran, lui, garantit l'effet spectacle, avec ses 18 mètres de large et son ouverture panoramique. Les films d'auteurs grand spectacle, en version originale, sont ainsi
projetés dans les meilleures conditions. Mais le Panorama fait aussi le pari de films plus intimistes, d'avant-premières, d'événements de tous genres qui font
du Max Linder un lieu de rencontre perpétuellement en effervescence.
Lors de la réouverture, au dos de chaque siège figurait un titre de film, gravé sur une petite plaque. Ces plaques ont depuis été volées, devenues de véritables trophées, le succès du lieu aidant. La première séance a lieu en décembre 1987
avec Le Dernier Empereur présenté en 70mm.
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Informations pratiques
24, Boulevard Poissonnière 75009 Paris
Tel : 01 48 24 00 47
MK2 Bibliothèque – Paris 13ème
Dernier-né de l'imagination de Marin Karmitz, le MK2 Bibliothèque, plus qu'un cinéma, est un véritable centre dédié à la culture : 14 salles, 4
restaurants et 3 magasins (Mk2 dvd, MK2images et Mk2livres).
Associant aux projections cinématographiques des restaurants (en l'espèce,
quatre lieux différents) mais également une librairie spécialisée, une boutique de DVD contenant plus de 5 000 titres ainsi qu'un magasin de disques de l'élégant label Harmonia mundi, le tout dans un lieu clair à l'architecture moderne et
exaltante.
Côté innovation, le MK2 Bibliothèque propose aux amoureux, des banquettes 2 places. Il suffit pour cela de relever les accoudoirs à l’aide d’une ingénieuse manipulation pensée par le designer Martin Szekely.
Informations pratiques
128/162 av. de France 75013 Paris
Site
Tel : 0892 69 84 84 (0.34€ /min)
MK2 Gambetta – Paris 20ème
Ancien café concert construit au début du siècle dernier, ce
cinéma appartient au groupe MK2, il propose à la fois des films en version française et en version originale dans ses sept salles.
A noter la salle toute en bois, spéciale VIP pour les spectateurs avides de tranquillité (50 places).
Le cinéma construit en 1920 par l’architecte Henri Sauvage, (1873-1932), figurant parmi les créateurs importants de la villa Majorelle, était richement
décoré pour l’époque. Les salles du bâtiment disposaient également d’une estrade aménagée pour les artistes de music hall. Modernisé après la guerre, le
cinéma a appartenu à Gaumont de 1928 à 1985. Racheté par un exploitant indépendant en 1985, il évite de peu la destruction.
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Informations pratiques 6 rue Belgrand
75020 Paris
Site : www.mk2.com
Tél : 08 92 69 84 84
MK2 Hautefeuille – Paris 6ème
Avec sa façade de château fort, ses fenêtres en trompe-l'oeil et son enseigne moyenâgeuse, le MK2 Hautefeuille trouve pleinement sa place au coeur du quartier latin.
Inauguré en 1972, le cinéma du 7 rue Hautefeuille
changera plusieurs fois de propriétaire : racheté par Pathé en 1980 puis par Gaumont qui le rénovera entièrement en 1992, c'est en 1994 que le groupe MK2 reprend cette
salle.
Cinéma d'art et essai, il propose surtout des films à l'affiche depuis quelques mois déjà - toujours en version originale, mais aussi par l'intermédiaire de ses
séances matinales, de nombreuses oeuvres plus anciennes ainsi que des rétrospectives.
Informations pratiques 113, Boulevard Saint-Germain
75006 Paris
Site http://www.mk2.com/
Tel : 08 92 68 68 12
MK2 Quai de Loire – Paris 19ème
L’accès aux salles se fait au niveau inférieur pour les
deux grandes, et aux niveaux supérieurs pour les autres. Toutes les salles sont disposées en gradins et accessibles aux personnes à mobilité réduite. Les
écrans sont au format panoramique. Le cinéma comprend six salles.
Les architectes sont Véronique Kirchner et Serge Barbet. Véronique Kirchner travaille régulièrement avec MK2. Elle avait été architecte d’exécution pour le
MK2 Bibliothèque. De forme rectangulaire, le bâtiment du MK2 Quai de Loire est parallèle au canal.
Sa façade entièrement recouverte de vitrages réfléchit les mouvements et les couleurs de l’eau. En entrant, le spectateur est accueilli par les caisses de Martin
Szekely. Sur la droite se situent le M Café et sa terrasse couverte. Cet espace et ses accessoires ont été imaginés par le scénographe Philippe Kauffmann. Sur la
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gauche du bâtiment, la boutique MK2. Le design de cette partie du bâtiment a
été entièrement conçu par les Tsé & Tsé.
Informations pratiques MK2 Quai de Loire 7, Quai de Loire
75019 Paris
Site http://www.mk2.com/sallescinema-16-mk2quaideloire.html
MK2 Quai de Seine – Paris 19ème
Le cinéma MK2 Quai de Seine possède également
six salles. MK2 Quai de Loire/Quai de Seine : au total, cela représente 12 salles et 2 076 fauteuils.
Politique des publics
Outre sa programmation d’exclusivités, le MK2 Quai de Seine a accueilli de nombreux festivals, des rétrospectives. Des films en reprise sont projetés le
week-end, en matinée. Les liens avec le court métrage et le jeune public ont également été développés.
Enfants et scolaires Outre les nombreuses séances organisées tout au long de l’année avec le milieu
scolaire, les centres aérés, les crèches et la mairie d’arrondissement, leur action Jeunes publics a proposé :
Festival MK2 Junior (depuis 1998)
Festival : Halloween en matinées (novembre 1999)
Informations pratiques MK2 Quai de Seine 14, Quai de Seine
75019 Paris
Site : http://www.mk2.com/sallescinema-5-
mk2quaideseine.html
STUDIO 28 – Paris 18ème
Le Studio 28 fait partie de la légende du cinéma. Jean-Placide Mauclaire inaugure la première salle de
cinéma d’avant garde, située en plein cœur de Montmartre en 1928, avec la projection du Napoléon d’Abel Gance. Elle devient vite une véritable salle du
cinéma indépendant se consacrant uniquement à la recherche et à la découverte d’œuvres d’art
cinématographiques. Cinéma classé Art et Essai.
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En 1930, la projection de L’Age d’Or de Buñuel entraîne le saccage de la salle par
un commando d’extrême droite, entraînant la destruction de l’écran et des toiles des maîtres surréalistes décorant les murs.
En 1932, le Studio 28 repris par Edouard Gross remporte un énorme succès en se spécialisant dans les grandes comédies américaines en version originale, comme celles de Franck Capra, des Marx Brothers et de Fields.
En 1948, grâce aux frères Roulleau, ce lieu de rencontre et d’animation atteint son apogée. Il organise également des expositions de peintures, de photos ou de
concerts de jazz.
Jean Cocteau et Abel Gance deviennent les parrains de la salle en 1950, les lustres dessinés par Jean Cocteau sont toujours accrochés.
1959 : le Studio 28 est le premier cinéma en France à instaurer un système de carte de fidélité.
1993 : la salle acquière le son Dolby Stéréo et un grand écran. Informations pratiques
Studio 28 10 rue Tholozé
75018 Paris
Site : http://www.cinemastudio28.com/ Tel : 01.46.06.36.07
UGC Ciné Cité Les Halles – Paris 1er
L'UGC Ciné-Cité ouvre le 21 juin 1995 sur les ruines d'un ancien cinéma et du Parc Océanique Cousteau, parc où les mondes sous-marins étaient
présentés sous forme d'attractions au travers de reconstitutions. Il comprend à ses débuts 15 salles
après un an de chantier et 140 millions d'investissement. C'est à la fois premier multiplexe de Paris mais
aussi le premier Ciné-Cité ouvert par UGC.
Aujourd'hui avec 19 salles, 3 250 fauteuils, 10 000 m² de surface, 2 millions d'entrées par an et plus de 120 séances par jour, cet UGC ciné cité est et reste à ce jour à Paris, le plus grand en nombre de salles et le premier en termes de
fréquentation.
Il s'inscrit ainsi dans un environnement particulièrement riche puisque le Forum
des Halles comprend en effet 260 boutiques réparties sur cinq niveaux, 23 restaurants, 24 escalators et... 35 salles de cinéma.
Au pied de l'église Saint-Eustache, l'UGC se tient sur une vaste place en forme de Rotonde dédiée au cinéma, une baie vitrée laissant découvrir l'intérieur du
lieu. Des affichettes de films sagement alignées et sept caisses accueillent les 40 000 spectateurs qui s'y déplacent chaque semaine.
Informations pratiques
Les Halles - 7, place de la Rotonde 75001 Paris
Site
http://www.ugc.fr/ Tel : 08 92 70 00 00
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LES FILMS ET LES LIEUX DE TOURNAGE
Des films très importants, cultes ou grand public, ont été réalisés à Paris. Voici un échantillon de ces films répartis par arrondissement et
par lieu.
Paris 1er
Forum des Halles (1 rue Pierre Lescot) : - Alice et Martin (1998) de André Téchiné - Les Amants du Pont neuf (1991) de Leos Carax (12 rue Pierre Lescot)
- La Haine (1995) de Mathieu KASSOVITZ
Lorsque Les Halles sont détruites, un western spaghetti loufoque au cœur du chantier : Touche pas à la femme blanche! de Marco Ferreri (1974) avec Michel Piccoli, Catherine Deneuve, Serge Reggiani et Marcello Mastroiani.
Le Louvre :
- Da Vinci Code (2006) de Ron Howard - Belphégor (2001) de Jean-Paul Salomé - La Reine Margot (1994) de Patrice Chéreau
- Les Amants du Pont neuf (1991) de Leos Carax - Le palais du Louvre (1971) de Jack Sanger
- Dialogue avec mon jardinier (2007) de Jean Becker : à 1h20min, scènes de visite du musée par le peintre (Daniel AUTEUIL) et le jardinier (Jean-Pierre DARROUSSIN)
- L’inspecteur la bavure (1980) de Claude Zidi : à 24min et 31min, scènes dans la boutique de l'antiquaire (Dany SAVAL) : Galerie "Le Louvre des Antiquaires",
place du Palais Royal - Mort d’un pourri (1977) de Georges Lautner : jardins du Palais Royal.
- Les vacances de Mr Bean (2007) de Steve Bendelack Place Vendôme :
- Le Cercle Rouge (1970) de Jean-Pierre Melville. - Place Vendôme (1998) de Nicole Garcia : Catherine Deneuve dans le rôle d’une
joaillière. - Cliente (2008) de Josianne Balasko : scène de Patrick (Eric Caravaca) et une cliente.
- Da Vinci Code (2006) de Ron Howard. - La mémoire dans la peau (2002) de Doug Liman.
Le jardin des Tuileries : - Archimède le clochard (1959) de Gilles Grangier : grand bassin du jardin des
Tuileries. - Le boulet (2002) de Alain Berberian : scène de la poursuite de Moltès (Gérard
LANVIN), de 20min à 23min. - La mémoire dans la peau (2002) de Doug Liman.
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Le pont des arts : - La mémoire dans la peau (2002) de Doug Liman.
- Les plages d’Agnès (2008) de Agnès Varda Le pont Neuf :
- Le début de la construction du Pont-Neuf date de 1578. Jack Sanger revient sur l'histoire du plus vieux pont de Paris dans Autour du Pont-Neuf (1965).
- La mémoire dans la peau (2002) de Doug Liman. - Ne le dis personne (2007) de Guillaume Canet : rue du Pont neuf
Paris IIème
Le Grand Rex (1 boulevard Poissonnière) - La Bonne année (1973) de Claude Lelouch
- Le cinéma de papa (1970) de Claude Berri
Paris IIIème
Quartier du Marais - Le Bossu (1997) de Philippe de Broca
- Trois hommes et un couffin (1985) de Coline Serreau (1985)
Musée Carnavalet - Comment voler un million de dollars (1966) de William Wyler : scènes extérieures du musée cambriolé
A la sortie d'un amphithéâtre du Conservatoire National des Arts et
Métiers (CNAM) : 292 rue Saint-Martin - La mémoire dans la peau (2002) de Doug Liman : scène où Jason Bourne (Matt Damon) sort de la morgue et monte des escaliers
La place des Vosges
- Henri IV conçoit l'architecture comme une parure, symbole de sa puissance. Différentes places sont construites sous son règne, notamment la place Royale, appelée aujourd'hui place des Vosges : La place des Vosges (1965).
- Passage de Pars vite et reviens tard (2007) de Wargnier : 22min50sec. - Tout peut arriver (2003) de Nancy Meyers.
Eglise Saint-Nicolas-des-champs (254 rue Saint-Martin) - Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky
Radio Ciné Rire (11 boulevard Saint-Martin)
- Le fabuleux destin d’Amélie Poulain (2001) de Jean-Pierre Jeunet : scène où Amélie (Audrey Tautou) se rend dans une boutique de "farces, attrapes et déguisements" pour louer le costume de Zorro.
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Paris IVème
Square Henri Galli (quai des Célestins) - Le cœur des hommes (2003) de Marc Esposito : à 1h18min, scène de la discussion d'Antoine (Bernard Campan) et sa femme
Beaubourg
- Nombreux passages de Pars vite et reviens tard (2007) de Wargnier : début du film, 17 min… - L’Etudiante (1988) de Claude Pinoteau : place Georges Pompidou
- La séparation (1994) de Christian Vincent : Centre Georges Pompidou
Place de l’Hôtel de Ville - Laisse tes mains sur mes hanches (2003) de Chantal Lauby : scènes d'Odile
(Chantal Lauby) qui rentre de son théâtre. - Paris brûle t-il ? (1966) de René Clément
- Prête-moi ta main (2006) d’Eric Lartigau : quelques scènes. - Les sous-doués (1980) de Claude Zidi : quai de l’Hôtel de Ville
Place de la Bastille - Le Magnifique (2004) de Philippe de Broca : à 25min, scène où François Merlin
(Jean-Paul Belmondo) est pris dans un embouteillage. - Le petit lieutenant (2005) de Xavier Beauvois : à 22min, scène où Antoine (Jalil
Lespert) sort du métro. - Les Ripoux 3 (2003) de Claude Zidi : plusieurs scènes de passages des véhicules de François (Thierry Lhermitte) et Chen (Reinaldo Wong).
- Le viager (1972) de Pierre Tchernia : Colonne de Juillet, place de la Bastille : une scène, lors de la visite à Paris de Martinet (Michel Serrault).
Pont de Sully - On connaît la chanson (1997) d’Alain Resnais : près du pont de Sully et
Bibliothèque de l'Arsenal (1 rue de Sully). - La traversée de Paris (1956) de Claude Antant-Lara : à 38min, scènes où
Grandgil (Jean Gabin) et Martin (Bourvil) marchent dans les rues de Paris.
Paris Vème
Le Panthéon - La banquière (1980) de Francis Girod : Rue Soufflot, avec vue sur le Panthéon : générique du début, une première scène en noir et blanc.
- La boum (1980) de Claude Pinoteau : Dans un angle du Panthéon, rue de la Place Sainte-Geneviève : scènes des adolescents qui accostent en motos les
deux adolescentes qui discutent. - Le corniaud (1964) de Gérard Oury : dans un angle du Panthéon, rue de la Montagne Sainte-Geneviève : première scène, célèbre "rencontre" entre Saroyan
(Louis de Funès) avec sa Rolls et Marechal (Bourvil) avec sa 2CV. - La Dilettante (1999) de Pascal Thomas : Dans un angle du Panthéon et de la
rue de la montagne Sainte-Geneviève.
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Square Saint-Médard
- Le cerveau (1969) de Gérard Oury : devant le square Saint-Médard, rue de Bazelles : à 21min, scène où Arthur (Jean-Paul BELMONDO) tombe du camion de déménagement (et rue du Mouffetard).
Jardin des Plantes (57 rue Cuvier)
- Le Magnifique (1973) de Philippe de Broca. Charcuterie du Panthéon (200 rue Saint-Jacques)
- Le Père Noël est une ordure (1982) de Jean-Marie Poiré : scène de Félix (Gérard Jugnot) dans une charcuterie qui demande de cette chose "longue et
molle". Eglise orthodoxe roumaine (9Bis rue Jean de Beauvais)
- Le Petit lieutenant (2005) de Xavier Beauvois : à 1h35min, scènes où la police recherche des renseignements sur le russe.
Eglise Saint-Médard (141 rue Mouffetard) - Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky
Eglise Saint-Etienne-du-Mont (1 rue Saint-Etienne-du-Mont)
- Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky : quelques scènes extérieures seulement.
Paris VIème
Rue de Furstenberg et son square
- L’appartement (1996) de Gilles Mimouni : scène où Max (Vincent CASSEL) attend Lisa (Monical BELLUCCI) en vain - Gigi (1958) de Vicente Minnelli : place Furstenberg
- Le temps de l’innocence (1993) de Martin Scorsese
Ponts des Arts - Belphégor – Le fantôme du Louvre (2001) de Jean-Paul Salomé : à 1h00min, scène entre Martin (Frédéric DIEFENTHAL) et Lisa (Sophie MARCEAU).
Jardin du Luxembourg
- Charlotte et véronique, ou Tous les garçons s’appellent Patrick (1959) de Jean-Luc Godard - Cliente (2008) de Josianne Balasko
- La dilettante (1999) de Pascal Thomas : scène des balançoires - Gigi (1958) de Vicente Minnelli
- Landru (1963) de Claude Chabrol - La princesse de Clèves (1999) de Manoel de Oliveira
Quartier de Saint-Germain-des-prés - Les Dragueurs (1959) de Jean-Pierre Mocky
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Ancienne école nationale de Photographie et de Cinématographie (Ecole
de Vaugirard) (85 rue de Vaugirard) - Les plages d’Agnès (2008) d’Agnès Varda
Café de flore (172 boulevard Saint Germain) - Le temps de l’innocence (1993) de Martin Scorsese
Place Saint-Sulpice
- Une époque formidable (1991) de Gérard Jugnot : vers 56min, scène avec les éboueurs
Paris VIIème
Tour Eiffel et champ de mars - A bout de souffle (1960) de Jean-Luc Godard : première scène
- L’aile ou la cuisse (1976) de Claude Zidi : après le générique - Angel-A (2005) de Luc Besson
- Ceux qui restent (2007) d’Anne Le Ny - Dangereusement vôtre (1985) de John Glen : les escaliers et le restaurant de la Tour Eiffel
- Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause! (1970) de Michel Audiard : scènes en une vue lointaine avec une femme et un homme qui
se baladent - Les Plages d’Agnès (2008) d’Agnès Verda
- La Tour Eiffel vue du Trocadéro (1900) des Frères Lumière - Zazie dans le métro (1960) de Louis Malle : dans les étages supérieurs de la Tour Eiffel : scène de la descente des escaliers de la Tour Eiffel
Pont Alexandre III
- Angel-A (2005) de Luc Besson - Les aventures de Rabbi Jacob (1973) de Gérard Oury : vers la fin, scène de la DS noire avec le bateau sur le toit, escortée par des motards et une cavalerie de
chevaux, qui foncent vers l'Hôtel des Invalides - La Carapate (1978) de Gérard Oury : scène de la Rolls-Royce en train de suivre
2 voitures DS noires - Rush Hour 3 (2007) de Brett Ratner - Les sous-doués (1980) de Claude Zidi : Pont Alexandre III, depuis l'angle de la
Place de la Concorde et du Cours la Reine
Place des Invalides - Les aventures de Rabbi Jacob (1973) de Gérard Oury : scène finale avec l'hélicoptère : départ de Slimane (Claude Giraud) avec Antoinette (Miou-Miou), la
fille de Pivert (Louis de Funès) - Le cerveau (1969) de Gérard Oury : devant l'Hôtel des Invalides, avenue de
Tourville : scène de la poursuite de la voiture de Sofia (Silvia Monti) - La confiance règne (2004) d’Etienne Chatiliez : boulevard des Invalides - Ensemble c’est tout (2007) de Claude Berri : esplanade des Invalides
- Le guignolo (1980) de Gérard Lautner : esplanade Hôtel National des Invalides : avant le générique de fin, scène avec des militaires à chevaux et un
homme politique qui décore Alexandre (Jean-Paul Belmondo)
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- Monsieur N (2003) d’Antoine de Caunes : aux Invalides, 129 rue Grenelle
- Vidocq (2001) de Pitof : Hôtel des Invalides : à 31min, scène de la foudre qui tombe sur Lafitte (Gilles Arbona)
Pont de la Concorde - La Carapate (1978) de Gérard Oury : scène de la Rolls-Royce en train de suivre
2 voitures DS noires : scène du retour dans la Rolls-Royce de l'avocat Jean-Philippe Duroc (Pierre Richard), de son père et du prisonnier évadé Martial
Gaulard (Victor Lanoux) Palais Bourbon
- La Carapate (1978) de Gérard Oury : scène du retour dans la Rolls-Royce de l'avocat Jean-Philippe Duroc (Pierre Richard), de son père et du prisonnier évadé
Martial Gaulard (Victor Lanoux) Pont d’Iéna avec vue sur la passerelle Debilly et la Seine
- Le Corniaud (1964) de Gérard Oury : générique de début de 1min09s à 1min13s
Musée d’Auguste Rodin (77 rue Varenne) - Les deux anglaises et le continent (1971) de François Truffaut
Ambassade de Roumanie (5 rue de l’exposition)
- Marie-Antoinette (2006) de Sofia Coppola : scènes dans l'antichambre de la Reine
Boulevard Saint-Germain - Monsieur Batignole (2002) de Gérard Jugnot : à 57min, scène où Monsieur
Batignole (Gérard Jugnot) sort du métro Solferino pour aller chez le revendeur de tableaux
- Peur sur la ville (1975) d’Henri Verneuil : à 1h20min, scènes où le commissaire Letellier (Jean-Paul Belmondo) et l'inspecteur Moissac (Charles Denner) poursuivent Minos (Adalberto Maria Merli) jusqu'à une cabine téléphonique
Ancienne gare d’Orsay (62 rue de Lille) - Le procès (1962) d’Orson Welles : toutes les scènes qui ont lieu au tribunal et
dans ses annexes. Inaugurée le 14 juillet 1900 à l'occasion de l'Exposition universelle, cette gare était désaffectée pendant le tournage. Elle a été transformée en musée en 1986.
- Un long dimanche de fiançailles (2004) de Jean-Pierre Jeunet : musée d’Orsay
Ambassade de Pologne (1 rue Talleyrand) - Le souper (1992) d’Edouard Molinaro - La vérité si je mens 2 (2001) de Thomas Gilou : scènes intérieures et
extérieures de Serge (José Garcia) qui vient livrer un cadeau au mariage de la soeur de Chochana Boutboul (Elisa Tovati)
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Paris VIIIème
Les Champs Elysées
- Max mon amour (1985) de Nagisa Oshima : Charlotte Rampling disant à son chimpanzé Max mon amour. - A bout de souffle (1960) de Jean-Luc Godard : Jean Seberg en tee-shirt suivie
de Jean-Paul Belmondo en chapeau. - Ascenseur pour l’échafaud (1958) de Louis Malle : Jeanne Moreau cherche par
une nuit pluvieuse son amant dans les bars alors qu’il est bloqué dans l’Ascenseur. - Les chevaliers du ciel (2005) de Gérard Pires : vue aérienne, séquence tournée
pendant la cérémonie officielle du 14 juillet 2004. - Eden à l’Ouest (2009) de Costa-Gavras : Cabaret Le Lido, 116bis Avenue des
Champs-Elysées - Meilleur espoir féminin (2000) de Gérard Jugnot : scène de l'arrivée des Rance à Paris
- Inspecteur la bavure (1980) de Claude Zidi : de 4min à 5min et de 7min à 8min, scènes au restaurant où travaille Marthe Clément (Marthe Villalonga), la
mère de Michel (Coluche) Eglise de la Madeleine
- Anna M. (2007) de Michel Spinosa : devant l'Eglise de la Madeleine, place de la Madeleine : scène quand Anna (Isabelle Carré) se rend pour le première
fois à l'hôtel - Le solitaire (1987) de Jacques Deray : Eglise de la Madeleine, place de la
Madeleine : deux scènes avec une vue lointaine Studios Gabriel (9 avenue Gabriel)
- L’antidote (2005) de Vincent de Brus : scènes sur le plateau de "Vivement Dimanche" avec Michel Drucker
Flamme de la liberté, Pont de l’Alma - Chouchou (2005) de Gad Elmaleh : à 1h05min, scènes entre Chouchou (Gad
Elmaleh) et Stanislas (Alain Chabat)
Palais de la Découverte, avenue Franklin-Delano-Roosevelt - Cliente (2008) de Josianne Balasko
Place de la Concorde - Les femmes de l’ombre (2008) de Jean-Paul Salomé : à 1h12min, scène où les
nazis amènent Gaëlle (Déborah FRANCOIS) à la station de métro "Concorde" Immeuble haussmannien, 1 place de Rio-de-Janeiro
- Innocents – The dreamers (2003) de Bernardo Bertolucci : scènes chez les parents : On trouvera au bas de cet immeuble le "Valois" (Brasserie de Viandes)
dans lequel se trouve un poster du film. Parc Monceau
- Monsieur Batignole (2002) de Gérard Jugnot : scène où Monsieur Batignole (Gérard JUGNOT) a donné rendez-vous à sa fille
- Ne le dis à personne (2007) de Guillaume Canet : quelques scènes
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Place Beauveau - San Antonio (2004) de Frédéric Auburtin et Laurent Touil-Tartour : à 13min,
scène où San-Antonio (Gérard LANVIN) se rend au Palais de l'Elysée Musée Jacquemart-André (158 boulevard Hausmann)
- La vengeance de Monte Cristo (2002) de Kevin Reynolds : scène de la dispute entre Mercedes et Fernand Mondego, scène de la soirée d'anniversaire du fils
Mondego Palais de l’Elysée (55 rue Faubourg Saint-Honoré)
- Le bon plaisir (1984) de Francis Girod - L’Homme pressé (1977) d’Edouard Molinaro
Musée Nissim de Camando (63 rue de Monceau) - Valmont (1989) de Milos Forman
Paris IXème Opéra National de Paris - Palais Garnier (8 rue Scribe)
- La banquière (1980) de Francis Girod : générique du début, scène en noir et blanc
- Eden à l’ouest (2009) de Costa-Gavras : scènes extérieures - Marie-Antoinette (2006) de Sofia Coppola
- Peur sur la ville (1975) de Henri Verneuil : place de l’Opéra et nombreuses rues dans le 9ème (boulevards, galeries la Fayette…)
Théâtre Saint Georges (51 rue Saint-Georges) - Le dernier métro (1980) de François Truffaut
Olympia (28 boulevard des capucines) - La Môme (2007) d’Oliver Dahan
- La vérité si je mens 2 (2001) de Thomas Gilou : à 32min, scène où Chochana Boutboul (Elisa TovatiI) et Serge (José Garcia) sortent de "L'Olympia".
Cabaret « Les folies Bergère » (32 rue Richer) - La Totale (1991) de Claude Zidi : une des dernières scènes
Paris Xème Le Palais de Justice (quai de Jemmapes)
- L’amour en fuite (1979) de François Truffaut : devant le Palais. - Le cousin (1998) d’Alain Corneau : dernières scènes du film.
- Comme les autres (2008) de Vincent Garenq - Le clan des siciliens (1969) de Henri Verneuil
Cour de la Grâce de Dieu - Comme les autres (2008) de Vincent Garenq
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Canal Saint-Martin
- Le dernier tango à Paris (1972) de Bernardo Bertolucci : scène où Tom (Jean-Pierre Leaud) annonce à Jeanne (Maria Schneider) qu'il veut l'épouser.
- Two days in Paris (2007) de Julie Delpy - Le fabuleux destin d’Amélie Poulain (2001) de Jean-Pierre Jeunet : scène où Amélie (Audrey Tautou) fait des ricochets et scène où elle va lâcher son poisson
rouge appelé le Cachalot
Théâtre des Bouffes du Nord (37bis boulevard de la Chapelle) - Diva (1981) de Jean-Jacques Beineix
Devant l'église Saint-Vincent-de-Paul, Place Franz Liszt - Hibernatus (1969) d’Edouard Molinaro : vers la fin, scène du mariage du grand-
père Paul Fournier (Bernard Alane) - Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky - Une époque formidable… (1991) de Gérard Jugnot : à 43min, scène de Michel
(Gérard Jugnot) et ses copains dans la voiture
Monument de la République, place de la République - Le péril jeune (1994) de Cédric Klapisch
Quai de Valmy - Le petit lieutenant (2005) de Xavier Beauvois : à 29min, scènes où les policiers
se rendent sur les bords du canal où a été découvert un noyé et à 57min, scènes où Caro (Nathalie Baye) et Antoine (Jalil Lespert) conversent le long du canal
- Ripoux 3 (2003) de Claude Zidi : première minute, pendant le générique Boulevard de la Villette
- Ripoux 3 (2003) de Claude Zidi : première minute, pendant le générique et à 44min, scène du métro aérien
Paris XI
Eglise Notre-Dame-d'Espérance (47 rue Roquette)
- Chacun cherche son chat (1996) de Cédric Klapisch : et nombreux endroits dans le 11ème.
Partie souterraine du Canal Saint-Martin, sous le boulevard Lenoir - Le magnifique (1973) de Philippe de Broca : à 5min, scène où le colonel (Hans
Meyer) navigue en bateau dans un canal souterrain et rencontre le général Pontaubert (Raymond Gerome)
Place de la Bastille (devant un café) - Tchao Pantin (1983) de Claude Berri : et discothèque "Le Gibus" (18 rue
Faubourg du Temple) : scène où Lambert (Coluche) va à la rencontre de Lola (Agnès Soral)
Eglise Saint-Ambroise (71bis boulevard Voltaire) - Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky
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Paris XII
Ministère de l'Economie et des Finances, quai de Bercy (139 rue de Bercy) - L’auberge espagnole (2002) de Cédric Klaspisch : au début, jusqu'à 4min, candidature de Xavier (Romain DURIS) à un premier emploi
- Le dîner de con (1998) de Francis Veber : premier plan après le générique - Je préfère qu’on reste amis (2005) d’Olivier Nakache : début du film, près du
ministère - L’empire des loups (2005) de Chris Nahon : scène d'un agent de police qui se rend au Ministère pour examiner quelque chose
- Les parrains (2005) de Frédéric Forestier
Place de la Nation - Ceux qui restent (2007) de Anne Le Ny : station Nation également. - Le Placard (2001) de Francis Veber : place et ses alentours : scène où Pignon
(Daniel Auteuil) va parler à son fils à l'entrée du lycée
Bastille - Chacun cherche son chat (1996) de Cédric Klapisch
Place des Anciens Combattants d'Afrique du Nord - L’homme de Rio (1964) de Philippe de Broca : à 10min, scène où Adrien (Jean-
Paul Belmondo) se change en civil : aussi Place Louis Armand
Cartoucherie de Vincennes, Route du champ de Manœuvres - Molière (1978) d’Ariane Mnouchkine
Studio Emet Films (59 rue Claude Decaen) - Oui mais… (2001) de Yves Lavandier
Port de Bercy aval, quai de Bercy - Le petit lieutenant (2005) de Xavier Beauvois : à 45min, scène où les policiers
vont interroger le sauveteur d'un noyé
Mur de Charenton et Chais de Bercy - Pinot simple flic (1984) de Gérard Jugnot : pour le Chais de Bercy, scènes à la maison de Tony (Patrick Fierry)
Boulevard de la Bastille, sur les quais du port de plaisance
- Ripoux 3 (2003) de Claude Zidi : première minute, pendant le générique. Et plusieurs endroits du 12ème.
Cinéma UGC Ciné Cité Bercy (2 cours Saint-Emilion) - Tais-toi ! (2003) de Francis Veber : à 3min, scène de Quentin (Gérard
Depardieu) qui se réfugie dans le complexe puis se fait arrêter par la police dans la salle.
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Paris XIII
La dalle des Olympiades - Les anges gardiens (1995) de Jean-marie Poire : de 1h36min à 1h39min
Studios Jenner (rue Jenner) - Bob le flambeur (1955) de Jean-Pierre Melville : Ces studios ont été
partiellement détruits par un incendie en 1967. Ils furent abandonnés en 1971. - Le doulos (1962) de Jean-Pierre Melville - Le deuxième souffle (1966) de Jean-Pierre Melville
- Le samouraï (1967) de Jean-Pierre Melville
Hôpital de la Pitié Salpêtrière (47-83 boulevard de l'Hôpital) - Les deux papas et la maman (1996) de Smaïn et Jean-Marc Longval - Du soleil plein les yeux (1969) de Michel Boisrond
- Le jaguar (1996) de Francis Veber - Pinot simple flic (1984) de Gérard Jugnot : Pavillon Marguerite Bottard de
l'Hôpital de la Pitié Salpêtrière - Tanguy (2001) d’Etienne Chatiliez
Quartier de la Bibliothèque Nationale de France (BNF) - L’empreinte de l’ange (2008) de Safy Nebbou : au début, scène de l'incendie
Place d’Italie
- Peur sur la ville (1975) de Henri Verneuil : à 1h20min, scènes où le commissaire Letellier (Jean-Paul Belmondo) et l'inspecteur Moissac (Charles Denner) poursuivent Minos (Adalberto Maria Merli) jusqu'à une cabine
téléphonique
Place Mallarmé - Peur sur la ville (1975) de Henri Verneuil : à 1h20min, scènes où le commissaire Letellier (Jean-Paul Belmondo) et l'inspecteur Moissac (Charles
Denner) poursuivent Minos (Adalberto Maria Merli) jusqu'à une cabine téléphonique : Cette place n'existe plus aujourd'hui (avant 2008), elle a été
remplacée par le square "Square Louis Say". Quai d’Austerlitz, sur les bords de Seine
- Le solitaire (1987) de Jacques Deray : à 52min, scène de la rencontre entre Stan Jalard (Jean-Paul Belmondo) et René (François Dunoyer)
Eglise Notre-Dame de la Gare (8 rue Xaintrailles) - Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky
Paris XIVème Square de Montsouris
- Cléo de 5 à 7 (1962) d’Agnès Varda : quartier de Montparnasse également.
Collège franco-Britannique (9b boulevard de Jourdan)
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- Les femmes de l’ombre (2008) de Jean-Paul Salomé : à 8min et 1h38min,
scènes au quartier général des SOE de Londres
Parc Montsouris - Le garde du corps (1984) de François Leterrier : scène où Barbara (Jane BIRKIN) avoue à Paul (Gérard JUGNOT) qu'elle va se marier
- Trois amis (2007) de Pascal Elbé et Michel Boujenah : scène du pique-nique
Maison des Etudiants de l'Asie du Sud-Est, Cité Internationale Universitaire de Paris (CIUP) (57 boulevard Jourdan) - Indochine (1992) de Régis Wargnier
Maternité de l'Hôpital Cochin (123 boulevard Port Royal)
- On connaît la chanson (1997) d’Alain Resnais Ossuaire municipal, catacombes de Paris (1 avenue du Colonel Henri Rol-
Tanguy) - Paris (2008) de Cédric Klapisch
Cimetière de Montparnasse (3 boulevard Edgar Quinet) - Les parrains (2005) de Frédéric Forestier
Place Denfert-Rochereau
- Pas de scandale (1999) de Benoît Jacquot : à 5min, scène du rendez-vous de Grégoire (Fabrice Luchini) avec Agnès (Isabelle Huppert)
Prison de la Santé (42 rue de la Santé) - Roman de gare (2007) de Claude Lelouch
Eglise Saint-Dominique (18 rue Tombe Issoire)
- L’union sacrée (1989) d’Alexandre Arcady : scènes des obsèques de Lisa (Corinne Dacla), la femme de Simon (Patrick Bruel)
Paris XVème
Pont Bir-Hakem (sur XVIème aussi) - Angel-A (2005) de Luc Besson
- Ascenseur pour l’échafaud (1958) de Louis Malle - Flic story (1975) de Jacques Deray : à 16min, scène de la poursuite du gang
d'Emile (Jean-Louis TRINTIGNANT) par des motards de la police - Le mariage du siècle (1985) de Philippe Galand : scène de nuit claire - Munich (2005) de Steven Spielberg : quelques scènes entre Avner (Eric Bana)
et Louis (Mathieu Almaric) sur un marché - Taxi 2 (2000) de Gérard Krawczyc : à 1h13
- Un fils unique (1969) de Michel Polac - Un indien dans la ville (1994) de Hervé Palud : scène avec une vue lointaine sur le pont
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Ancienne Caserne Dupleix
- Baisers volés (1968) de François Truffaut : scène au début du film où Antoine Doinel (Jean-Pierre Leaud) est emprisonné. Aujourd'hui détruite (vers 1987)
mais l'entrée a été conservée, ouvrant sur des résidences. Tour Montparnasse (33 avenue Maine)
- Ceux qui restent (2007) d’Anne Le Ny : une scène en vue lointaine - Paris (2008) de Cédric Klapisch
- Le solitaire (1987) de Jacques Deray : deux scènes avec une vue lointaine - La tour Montparnasse infernale (2001) de Charles Nemes
Quai André Citroën, dans un immeuble en construction, - Le chat et la souris (1975) de Claude Lelouch
Cinéma "Saint-Lambert" (6 rue Péclet) - Comme ton père (2007) de Marco Carmel : à 23min, scène où Félix (Gad
ELMALEH) emmène ses fils au cinéma
Clinique Alleray-Labrouste (64 rue Labrouste) - Le dîner de cons (1998) de Francis Veber : à 1h12min, scène d'hospitalisation de Christine Brochant (Alexandra VANDERNOOT), la femme de Pierre
Statue de la Liberté, Pont de Grenelle
- Frantic (1988) de Roman Polanski
Marches de la Paroisse Saint-Lambert-de-Vaugirard (2 rue Gerbert) - La mariée était en noir (1968) de François Truffaut : scène où le mari de Julie Kohler (Jeanne Moreau) se fait assassiner
Champ de mars - Le miraculé (1987) de Jean-Pierre Mocky
- Taxi 2 (2000) de Gérard Krawczyc : à 1h13 Toit de l'Ambassade d'Australie (4 rue Jean Rey)
- Ocean’s Twelve (2004) de Steven Soderbergh : scène de Danny Ocean (George Clooney) et Rusty Ryan (Brad Pitt) qui discutent avec Gaspar LeMarque (Albert
Finney) Hôpital Vaugirard (10 rue Vaugelas)
- Pédale douce (1996) de Gabriel Aghion
Monument des Victimes du Vel'd'Hiv', Quai de Grenelle, Place des martyrs Juifs du Vel'd'Hiv' - Le promeneur du champ de mars (2005) de Robert Guédiguian
Eglise Saint-Lambert-de-Vaugirard (2 rue Gerber)
- Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky (et square Adlophe Chérioux)
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Paris XVIème
Proche du cinéma Majestic Passy (18 rue de Passy)
- Agathe Cléry (2008) d’Etienne Chatiliez Jardins du Trocadéro
- L’aile ou la cuisse (1976) de Claude Zidi : après le générique
Hôtel particulier de Gustave Eiffel au 3 place d'Iéna (passer le porche) - L’aile ou la cuisse (1976) de Claude Zidi : scènes extérieures et intérieures du siège du "Guide Duchemin"
Place du Trocadéro
- La bourse ou la vie (1966) de Jean-Pierre Mocky : scène où des hommes observent les chiffres des voitures qui passent - Le cave se rebiffe (1961) de Gilles Grangier : à 1h25min (et Statue du
Maréchal Foch, esplanade du Trocadéro) - Le cerveau (1969) de Gérard Oury
- Classe tous risques (1960) de Claude Sautet : scènes où Abel (Lino Ventura) rencontre Chapuis (René Genin) au Musée de la Marine et lui confie ses enfants - La doublure (2006) de Francis Veber : Esplanade du Trocadéro, au bas des
marches : scènes au restaurant où François Pignon (Gad ELMALEH) et Richard (Dany BOON) sont voituriers
- Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause! (1970) de Michel Audiard : jardins de la place : scène où Liethard (Bernard Blier) attend
l'arrivée de Francine (Mireille Darc) dans une voiture blanche - Nuit d’ivresse (1986) de Bernard Nauer : sur l’esplanade : dernière scène - Peur sur la ville (1975) de Henri Verneuil : scènes de poursuite de Marcucci
(Giovanni Cianfriglia) par la police - Un indien dans la ville (1994) de Hervé Palud : une scène en vue aérienne où
Mimi-Siku (Ludwig BRIAND) observe les environs de la grande ville Musée Galliera (10 avenue Pierre-1er de Serbie)
- Les brigades du tigre (2006) de Jérôme Cornuau - Le Diable s’habille en Prada (2006) de David Frankel
- Monsieur Batignole (2002) de Gérard Jugnot : à 10min et 20min, plusieurs scènes devant la kommandantur - Papy fait de la résistance (1983) de Jean-Michel Poiré
Devant le bâtiment de l'Otan (avenue de Pologne)
- Le cerveau (1969) de Gérard Oury : à 28min, scène où Arthur (Jean-Paul Belmondo) et Anatole (Bourvil) élaborent les plans de leur vol. Ce bâtiment est devenu l'université de Paris-Dauphine en 1971.
Devant le palais de Chaillot (avenue Albert 1er de Monaco)
- Le cerveau (1969) de Gérard Oury : à 31min, scène du rendez-vous du Colonel Carol Matthews (David Niven) avec Sofia (Silvia Monti) - L’homme de Rio (1964) de Philippe de Broca : à 9min, scène de la conversation
entre Catalan (Jean Servais) et Agnès (Françoise Dorleac) puis scène de l'enlèvement du professeur. Musée de l’Homme : à 4min, scène du vol de la
statuette et de l'enquête policière
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Lycée Janson-de-Sailly (106 rue de la Pompe) - Clara et les chics types (1981) de Jacques Monnet
- Papy fait de la résistance (1983) de Jean-Michel Poiré - Un fils unique (1969) de Michel Polac
Pont Mirabeau - Classe tous risques (1960) de Claude Sautet : à 53min, scènes où Eric (Jean-
Paul Belmondo) arrive avec son ambulance par un pont puis s'arrête sur un quai - Pas de scandale (1999) de Benoît Jacquot : à 50min, scène de Louis (Vincent Lindon) qui se rend à son bureau (et nombreux endroits dans le 16ème)
Devant le musée (avenue Paul Doumer)
- Classe tous risques (1960) de Claude Sautet : scènes extérieures de l'hôtel de Raoul Fargier (Claude Cerval)
Stade du Parc des Princes (24 rue du Commandant du Guilbaud) - Didier (1997) d’Alain Chabat : à la fin
- Moi y’en a vouloir des sous (1973) de Jean Yann : scène où une personne roule en vélo sur une route - Monique (2002) de Valérie Guignabodet : à 1h18min, scène où Alex (Albert
Dupontel) emmène les anciens footballeurs au parc - Paparazzi (1996) d’Alain Barbérian : de 5min à 6min
- Trois zéros (2002) de Fabien Onteniente
Théâtre Le Ranelagh (5 rue des Vignes) - La dilettante (1999) de Pascal Thomas
Cinémathèque française - Musée du Cinéma, Palais de Chaillot (7 avenue Albert de Mun)
- Innocents – The dreamers (2003) de Bernardo Bertolucci : scènes à la Cinémathèque avec le frère, la soeur et leur ami américain et scènes de la manifestation en faveur de Henri Langlois, le directeur de la Cinémathèque
évincé
Esplanade de Chaillot - Les plages d’Agnès (2008) d’Agnès Varda
Allée des Cygnes, au pied du pont de Bir-Hakeim - Le professionnel (1981) de Georges Lautner
Maison de la Radio (116 avenue du Président Kennedy) - Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil (1972) de Jean Yanne
Cimetière de Passy (2 rue du Commandant Schloesing) - L’union sacrée (1989) d’Alexandre Arcady
Poney-Club, jardin d'acclimatation, route de Neuilly à la Muette, bois de Boulogne
- La vérité si je mens 2 (2001) de Thomas Gilou : à 1h12min, scène de la fille de Dov (Gad Elmaleh) qui fait du poney
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Paris XVIIème
Square des Batignolles - Demain la veille (2005) de Julien Lecat et Sylvain Pioutaz - Laisse béton (1984) de Serge le Peron
Cimetière des Batignolles
- Hommes, femmes, mode d’emploi (1996) de Claude Lelouch : au début Devant le cinéma Mac-Mahon (5 avenue Mac-Mahon)
- Marche à l’ombre (1984) de Michel Blanc
Hôtel Splendid Etoile (1Bis avenue Carnot) - Prêt-à-porter (1994) de Robert Altman - Un flic (1972) de Jean-Pierre Melville : à 94min, scènes de l'arrestation de
Simon (Richard Crenna)
Paris XVIIIème
Quartier Montmartre - Angel-A (2005) de Luc Besson
- Paris (2008) de Cédric Klapisch - Ripoux contre ripoux (1990) de Claude Zidi : à 1min, pendant le générique de
début - Les Ripoux (1984) de Claude Zidi
Hôpital Bichat Claude Bernard (46 rue Henri Huchard) - Les deux mondes (2007) de Daniel Cohen : à 1h31min, scènes d'hospitalisation
de Rémy (Benoît Poelvoorde) Funiculaire de Montmartre
- El Tourbini (2005) de Youssef Chahine
Cinéma "Studio 28" (10 rue Tholoze) - Le fabuleux destin d’Amélie Poulain (2001) de Jean-Pierre Jeunet : à 11min
Basilique du Sacré-Cœur (35 rue Chevalier de La Barre) - Le fabuleux destin d’Amélie Poulain (2001) de Jean-Pierre Jeunet : de 1h10min
à 1h14min - Moi César, 10 ans ½, 1m39 (2003) de Richard Berry : une scène - Paris (2008) de Cédric Klapisch
- Tout le monde dit I love you (1996) de Woody Allen - Banzaï (1983) de Claude Zidi : vue lointaine
- Itinéraire d’un enfant gâté (1988) de Claude Lelouch : premières scènes - Opération Lady Marlène (1975) de Robert Lamoureux : deux scènes en vue lointaine
- La grande lessive (1968) de Jean-Pierre Mocky : scène en vue lointaine - Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky
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Grand Escalier de Montmartre
- Le fabuleux destin d’Amélie Poulain (2001) de Jean-Pierre Jeunet : à 1h44min - Petit à petit (1971) de Jean Rouch
Butte de Montmartre - Le fabuleux destin d’Amélie Poulain (2001) de Jean-Pierre Jeunet : de 1h10min
à 1h14min
Place du tertre - La grande vie (2001) de Philippe Dajoux - Ripoux contre ripoux (1990) de Claude Zidi : à 1min, pendant le générique de
début
Marché aux puces - Ne le dis à personne (2006) de Guillaume Canet
Le Moulin Rouge (82 boulevard Clichy) - Paris (2008) de Cédric Klapisch
Eglise Saint-Bernard de la Chapelle (6 rue Saint-Luc) - Les rois mages (2001) de Didier Bourdon et Bernard Campan
- Le gang (1977) de Jacques Deray : Quartier de la Goutte d'Or, autour de l'église Saint-Bernard : scène de la fuite de Robert le dingue (Alain Delon), scène
de la prostituée et scène de l'arrestation de Robert par la police pour contrôle à 45min.
A 44min, scène où Robert (Alain Delon) sort des égouts, puis rejoint le quartier de la Goutte d'Or par le passage Léon : devenu aujourd'hui (avant 2008) le square Léon.
- Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky
Mur de graffiti (rue Ordener) - Skate or die (2008) de Miguel Courtois : au début
En bas de l'escalier de la rue de la Fontaine, quartier Montmartre - L’appartement (1996) de Gilles Mimouni
Théâtre "Le Trianon" (80 boulevard Rochechouart) - Augustin, roi du Kung-fu (1999) d’Anne Fontaine
Restaurant panoramique du funiculaire
- Les randonneurs (1997) de Philippe Harel Rue du chevalier de la Barre
- Ripoux contre ripoux (1990) de Claude Zidi : à 13min, scène de René (Philippe Noiret) et François (Thierry Lhermitte) qui descendent les escaliers de la rue du
chevalier puis discutent dans leur voiture rue Lamarck Place Emile Goudeau
- Ripoux contre ripoux (1990) de Claude Zidi : à 18min, scène de poursuite d'un voleur
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Rue des martyrs
- Ripoux contre ripoux (1990) de Claude Zidi : à 19min, scènes de fuite du voleur (Michel Cremades). Cette rue est mentionnée dans le film de Sacha
Guitry, Le Roman d'un tricheur, où le narrateur décrit une soirée "dans un petit café de la rue des Martyrs au nom prédestiné."
Place du Parvis du Sacré-Cœur - Ripoux contre ripoux (1990) de Claude Zidi : à 31min, scènes d'adieu entre
René (Philippe Noiret) et François (Thierry Lhermitte), après leur éviction de la police - L’animal (1977) de Claude Zidi : à 8 min, scène où Michel (Jean-Paul
Belmondo) et Jane (Raquel Welch) viennent faire les cascades d'un film
Théâtre de Montmartre-Galabru (4 rue de l'Armée-d'Orient) - Le dernier métro (1980) de François Truffaut
Théâtre de l'Atelier (1 place Charles-Dullin) - Le dernier métro (1980) de François Truffaut
- La chamade (1968) d’Alain Cavalier Cimetière de Montmartre
- Parking (1985) de Jacques Demy - L’amour en fuite (1979) de François Truffaut
Rue foyatier
- Les ripoux (1984) de Claude Zidi Moulin Blute-fin (moulin de la Galette) - rue Girardon
- L’animal (1977) de Claude Zidi : à 37 min, scènes où les enfants jouent au pied du moulin Blute-fin et partent chercher Michel (Jean-Paul Belmondo). Ce moulin
était en réhabilitation au moment du tournage. Epicerie "Au Marché de la Butte" - 56 rue des Trois Frères (angle avec la rue
Androuet) - Le fabuleux destin d’Amélie Poulain (2001) de Jean-Pierre Jeunet : scènes à
l'épicerie de Collignon (Urbain Cancelier)
Paris XIXème
Parc des Buttes-Chaumont - Après vous (2003) de Pierre Salvadori : scène dans laquelle Louis (José Garcia) tente de se suicider
- La confiance règne (2004) d’Etienne Chatiliez - L’ennui (1998) de Cédric Kahn (et aussi en bas du Parc)
- Ne réveillez pas un flic qui dort (1988) de José Pinheiro : scène de rendez-vous de Grindel (Alain Delon) avec le "Stéphanois" (Serge Reggiani) et entre 48min et 54min, scène de l'assassinat du "Stéphanois"
- La vérité si je mens 2 (2001) de Thomas Gilou : à 1h16min, scène d'Eddie (Richard Anconina) et Serge (José Garcia) qui échangent sur leur future affaire
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Grande Halle de la Villette
- Aurais dû faire gaffe…le choc est terrible (1977) de Jean-Henri Meunier
Studios Gaumont des Buttes-Chaumont - Le bateau à soupe (1946) de Maurice Gleize - Plusieurs films tournés dans les années 20
Jardin Pixerécourt
- La confiance règne (2004) d’Etienne Chatiliez Lycée Henri Bergson (27 rue Edouard Pailleron)
- Les enfants (2005) de Christian Vincent : plusieurs scènes dont Pierre (Gérard Lanvin) qui va chercher Tom (Nicolas Jouxtel) à l'école
Dans l'ancienne station de métro "Porte des Lilas Cinéma" (lignes 3bis et 7bis)
- Le fabuleux destin d’Amélie poulain (2001) de Jean-Pierre Jeunet : scène de l'abri des clochards dans le métro et de la première rencontre entre Amélie
(Audrey Tautou) et Nino (Mathieu Kassovitz) cherchant des photos sous un photomaton. La station de métro "Porte des Lilas" a été fermée en 1939 et est régulièrement utilisée pour des tournages de films.
- Les femmes de l’ombre (2008) de Jean-Paul Salomé : scènes de l'attentat manqué contre le SS Heindrich (Moritz Bleibtreu).
- Les rois mages (2001) de Didier Bourdon et Bernard Campan - Une époque formidable (1991) de Gérard Jugnot
Le Zénith de Paris (211 avenue Jean Jaurès) - Les jolies choses (2001) de Gilles Paquet-Brenner : scène au Zénith en concert
live avec Patrick Bruel - Parking (1985) de Jacques Demy : scènes dans la salle du concert d'Orphée
- Ronin (1998) de John Frankenheimer : de 1h32min à 1h46min Quai du Canal Saint-Denis
- Le marginal (1983) de Jacques Deray : scène de la poursuite avec la Ford Mustang
Sur le pont des Suicidés du Parc des Buttes-Chaumont - On connaît la chanson (1997) d’Alain Resnais : une scène et quelques autres
dans le Parc
Terrain vague entre la Porte des Lilas et le Pré Saint-Gervais - Le Père Noël est une ordure (1982) de Jean-Marie Poiré : scènes sur le terrain vague où habitent Félix (Gérard Jugnot) et Zézette (Marie-Anne Chazel). Terrain
occupé par l'hôpital Robert Debré depuis 1988.
Rue de l’Ourcq - Le péril jeune (1994) de Cédric Klaspisch : scènes sur le pont vert qui enjambe le canal de l'Ourcq
Canal de l’Ourcq
- Le pont du Nord (1982) de Jacques Rivette
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Devant l'église Saint Jean-Baptiste (139 rue de Belleville) - Le samouraï (1967) de Jean-Pierre Melville : à 1h24min, scène de l'arrivée de
la police afin de traquer Jef Costello (Alain Delon)
Paris XXème
Cimetière du Père Lachaise (16 rue repos) - Aurais dû faire gaffe…le choc est terrible (1977) de Jean-Henri Meunier - Belphégor – Le fantôme du Louvre (2001) de Jean-Paul Salomé
- Faut que ça donne (2007) de Noémie Lvovsky - Jules et Jim (1962) de François Truffaut : à la fin
- Le navire night (1979) de Marguerite Duras - Ne réveillez pas un flic qui dort (1988) de José Pinheiro : entre 38min et 40min, scène de filature et d'arrestation de Stoedler (Féodor Atkine) par le
groupe "Fidélité Police" - On connaît la chanson (1997) d’Alain Resnais
- Ripoux 3 (2003) de Claude Zidi : à 40min, scène de l'enterrement du faux René. (Et nombreux endroits du 20ème). - Le solitaire (1987) de Jacques Deray : à 1h04min, scène du rendez-vous entre
Stan Jalard (Jean-Paul Belmondo) et René (François Dunoyer) - Two days (2007) de Julie Delpy
- Vidocq (2001) de Pitof : à 1h28min, scène de l'enterrement de Nimier (Moussa Maaskri)
Crématorium du Père Lachaise (71 rue des Rondeaux) - Comme une étoile dans la nuit (2008) de René Feret : dernières scènes
Quartier Belleville
- Dernier domicile connu (1970) de José Giovanni - Comme les autres (2008) de Vincent Garenq - Tchao Pantin (1983) de Claude Berri
- Un divan à New-York (1996) de Chantal Akerman
Eglise Notre-Dame de Lacroix (rue Julien Lacroix) - Femme fatale (2002) de Brian de Palma : quelques scènes dont celle du photographe qui attend son rayon de soleil sur le parvis de l'église
Chemin du parc de Charonne
- Flic story (1975) de Jacques Deray : à 56min, scène de Mario (Renato Salvatori) reconduit Emile (Jean-Louis Trintignant) à sa planque
Rue des Rondeaux - Le petit lieutenant (2005) de Xavier Beauvois : à 85 min, scènes de filature de
Piotr Panfilev (Elie Dasan), le complice du russe, par les équipes de police. (Et nombreux endroits du 20ème).
Eglise Saint-Germain-de-Charonne (rue Stendhal) - Les tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner : dernière scène
- Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky
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Eglise Notre-Dame-de-la-Croix (2 rue Julien Lacroix) - Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky
Eglise Saint-Jean-Bosco (75 rue Alexandre Dumas) - Un drôle de paroissien (1963) de Jean-Pierre Mocky
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LES FESTIVALS
Nom du festival Lieu Edition Commentaires
Chéries-Chéris, le festival du film gay, lesbiens & +++ de Paris (1)
Forum des images Ŕ Paris 1er
15ème édition : du 16/11 au 22/11/2009
Le festival est organisé par l’association FFGLP.
Cinéma au clair de lune (2) Quartiers de Paris 9ème édition : du 5/08 au 23/08/2009
Festival soutenu par la Mairie de Paris
Cinéma du réel (3) Différents lieux à Paris
32ème édition : du 18/03 au 28/03/2010
Nombreux partenaires pour ce festival.
Cinéma en plein air (4) Parc de la Villette Ŕ Paris 19ème
19ème édition : du 15/07 au 16/08/2009
Festival gratuit, organisé par le Parc de la Villette.
Cycle vengeance (5) Forum des images Ŕ Paris 1er
Du 17/06 au 2/08/2009
Festival des Très Courts (6)
100 villes dans une vingtaine de pays
12ème édition : du 7/05 au 9/05/2010
Festival du cinéma brésilien (7)
Le Latina Ŕ Paris 4ème
11ème édition : du 29/04 au 12/05/2009
Festival Pocket films (8) Forum des images Ŕ Paris 1er
5ème édition : du 11/06 au 14/06/2009
Festival Prototype vidéo (9)
La Péniche Cinéma Ŕ Paris 19ème
8ème édition : 03/04 et 4/04/2009
Festival Silhouette (10)
Parc des Buttes Chaumont Ŕ Paris 19ème
8ème édition ; du 29/08 au 6/09/2009
Mon premier festival (11) 10 salles d’Art et Essai à Paris
5ème édition : du 28/10 au 3/11/2009
Edition organisée conjointement par la Mission Cinéma de la Mairie de Paris et l’association Enfances au Cinéma.
Paris Cinéma (12) Différents lieux de Paris
7ème édition : du 3/07 au 14/07/2009
Festival organisé par la ville de Paris.
3 7-9 6 5-7-8 4-5-12 2-4-5-10 10 11 1-11
Jan. Fév. Mars Avril Mai Juin Juillet Août Sept. Octobre Nov. Déc.
Voir les numéros des festivals sur le tableau ci-dessus.
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Chéries-Chéris, le festival du film gay, lesbiens & +++ de Paris
Chéries-Chéris, le festival de films gays, lesbiens, trans & +++ de Paris, (FFGLP) désigne un festival
français annuel de cinéma homosexuel qui se déroule à Paris au mois de novembre depuis sa
création en 1994. Accueilli en 1994 par l'American Center, le Festival de films gays et lesbiens de
Paris répondait au manque d'images et des représentations des gays en France, dans le cinéma et les média.
Lieu : le forum des images 15ème édition : du 16 au 22 novembre 2009
Après la fermeture de l'American Center et une édition au cinéma l'Entrepôt, le festival s'est installé de 1998 à 2005 dans l'un des lieux phares du cinéma à
Paris : le Forum des Images, à l'intérieur du Forum des Halles, consacrant ainsi le caractère culturel de cet événement. Pour les éditions 2006, 2007 et 2008 en
raison des travaux de réorganisation du Forum des Images, le FFGLP s'est tenu au Grand Rex.
Pour l'édition 2009, le sigle FFGLP étant jugé par les administrateurs trop représentatif de la communauté homosexuelle et n'intégrant pas les
transsexuel/les, le nom "Chéries-Chéris, le festival de films gays, lesbiens, trans & +++ de Paris" est adopté. Chéries-Chéris est choisi en hommage à la célèbre expression "Chéri, chéri", souvent dite par la comédienne Alice Sapritch,
immortalisée par le sketch "Alice Sapritch, mon chéri-chéri" de Thierry Le Luron en 1980 et plus tard par la chanson "Slowez-moi" d'Alice Sapritch en 1986. Le Festival fera en 2009 aussi la part belle aux nouvelles technologies, du web aux images numériques, et organisera des rencontres pluridisciplinaires avec des
expositions, des spectacles cabaret et des shows musicaux. Durant cette semaine, d’autres lieux partenaires accueilleront également les événements
culturels et les activités festives permettant ainsi au festival une visibilité dans différents lieux de la capitale.
Informations pratiques 61/63 rue Beaubourg
75003 Paris
Site http://www.ffglp.net/
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Cinéma au claire de lune
Cinéma au Clair de Lune parcourt les quartiers et installe écran géant, chaises et projecteur en différents lieux de Paris, pour une séance à la belle
étoile...L’entrée est libre et les projections sont prévues à 21h30.
Lieu : dans les quartiers de Paris 9ème édition : du mercredi 5 au dimanche 23
août 2009 Cette 9ème édition s’autorise, comme elle change chaque soir de quartier, à passer,
de film en film, d’une époque à une autre, conjuguant ainsi, sous le ciel étoilé, déplacements géographiques et projections… dans le temps.
Informations pratiques Forum des images / Porte Saint-
Eustache - Forum des Halles 75001 Paris
Site rencontres.forumdesimages.fr/
Tel : 01 44 76 63 00
Cinéma du réel
Depuis sa création en 1978, le festival international de
films documentaires Cinéma du Réel s’est imposé comme le festival de référence du cinéma documentaire en France où public et professionnels découvrent films
d’auteurs confirmés ou films de nouveaux talents, l’histoire du cinéma documentaire comme les propositions
contemporaines. Lieu : plusieurs endroits de Paris et même d’Ile-de-
France 32ème édition : du 18 au 28 mars 2010
A l’écoute de la diversité des écritures, des formes et des idées, il rassemble aujourd’hui un public large, fidèle, attentif et curieux.
Le festival programme une centaine de films dans ses différentes sections. Les
lieux de projection sont multiples : le Centre Pompidou, le Centre Wallonie-Bruxelles, le cinéma MK2 Beaubourg, l’Hôtel de Ville de Paris et plusieurs salles de la région Ile-de-France.
Pour le festival 2010, les inscriptions des films se font à partir de septembre
2009.
Informations pratiques
25, rue du Renard 75197 Paris cedex 04
Site
http://www.cinereel.org/ Tel : 01 44 78 45 16
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Cinéma en plein air - Parc de la Villette
Le thème choisit cette année est celui des traversées. De la découverte du « Nouveau monde » à la
découverte de soi, du voyage métaphorique au parcours initiatique.
L'année dernière, le Cinéma en plein air a été Ŕ pour la première fois en 18 ans Ŕ payant. Ce bouleversement,
qui a suscité de très vives réactions du public et ému fortement la presse, avait été imposé au Parc de la Villette par une nouvelle règlementation du Centre
national de la cinématographie (CNC). Lieu : Parc de la Villette
19ème édition : du 15 juillet au 16 août 2009
En 2008, la fréquentation avait connu son plus bas niveau depuis la création du festival et le profil du public s'est sensiblement modifié. Le tarif très bas de 2 euros, ainsi que les actions multiples que nous avons conduites en direction des
personnes socialement défavorisées, n'ont pas été suffisants pour maintenir ce qui faisait la spécificité - l'exception culturelle - et le succès de cette
manifestation, à savoir sa mixité sociale et sa convivialité festive. Le Cinéma en plein air ne constitue pas une concurrence pour les exploitants, y
compris ceux de la proximité la plus immédiate (quai de Seine et quai de Loire) car la programmation exclut les films en exploitation et privilégie des films
ressortissant du patrimoine cinématographique, des films d'auteurs, des films étrangers peu distribués...
Informations pratiques Prairie du Triangle
211 avenue Jean Jaurès 75019 Paris
Site http://www.villette.com/fr/
Tel : 01 40 03 75 75
Cycle vengeance
Le Forum des images s’intéresse à ce qui est souvent considéré comme mesquinerie,
malveillance, méchanceté. Vengeance ! tel est le thème qui illustre ces histoires de représailles et de
châtiment. Lieu : Forum des images Du 17 juin au 2 août 2009
Une sélection de 100 films embrasse toute la mécanique du désir de revanche et ses rouages inévitables, de l’affront initial au duel mortel, de la haine aveuglante
au difficile repentir.
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La vengeance constitue le ressort de nombreuses oeuvres littéraires auxquelles
elle donne, tout comme aux films, unité et puissance dramatique. L’archétype de l’histoire de vengeance est certainement « Le Comte de Monte Cristo »
d’Alexandre Dumas qui a fait l’objet de nombreuses versions cinématographiques dont celle d’Henri Fescourt réalisé en 1928.
Règlements de compte entre malfrats (La Loi du milieu de Mike Hodges, Le Point de non retour de John Boorman) ou revanches diaboliques d’amoureux jaloux ou
trahis (La Vengeance d’une femme de Jacques Doillon, Les Dames du Bois de Boulogne de Robert Bresson) nourrissent un nombre important de films à toutes les époques. Revenge movie continue d’inspirer les cinéastes contemporains
notamment Quentin Tarantino, avec Kill Bill.
Informations pratiques Forum des images / Porte Saint-Eustache - Forum des Halles
75001 Paris
Site
Tel : 01 44 76 62 00
Festival des Très Courts
Le Festival des Très Courts est un festival international de courts-métrages créé en
1999 et se tenant chaque année dans plusieurs dizaines de villes simultanément. Ce
festival entend promouvoir les films au format Très Court (3 minutes maximum, hors titre et générique).
Lieu : 100 villes d’une vingtaine de pays 12ème édition : du 7 au 9 mai 2010
Les productions proviennent du monde entier, réalisées avec ou sans budget. Cette Sélection Internationale est diffusée en simultané dans toutes les villes
participantes. La coordination internationale du festival est gérée à Paris par l'association Très d'Esprit pour la programmation et Nanosphère Productions pour
la diffusion. Dans chaque ville, des associations locales et municipales se font le relais du festival.
Chaque année, environ 50 très courts-métrages sont sélectionnés, parmi plus de 1000 visionnés en provenance de tous les continents. Ensuite ces films sont
soumis à un jury chargé de délivrer trois récompenses : le Grand Prix, le prix de l'animation 2D/3D et le prix de l'originalité. Un quatrième, le prix du public, est décerné sur Internet par le public.
Informations pratiques
Association Très d’Esprit 34 rue Piat 75020 Paris
Site
http://www.trescourt.com/ Tel : 01 43 49 62 46
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Festival du cinéma brésilien
La 11ème édition a proposé 2 semaines de festival du cinéma brésilien du 29 avril au 12 mai 2009. La
première semaine, du 29 avril au 5 mai, les films de fiction. La seconde semaine, du 6 au 12 mai, les films
documentaires. L’année 2009 étant celle du cinquantenaire de la
naissance de la Bossa Nova, le Festival du Cinéma Brésilien de Paris en a profité pour célébrer l’événement. A la programmation documentaire se
sont ajoutés trois films retraçant l’histoire de la Bossa Nova et ses plus grands représentants : Coisa mais
linda de Paulo Thiago, Vinícius de Miguel Faria et A Casa de Tom d’Ana Jobim. Lieu : cinéma le Latina
11ème édition : du 29 avril au 12 mai 2009
Informations pratiques Association Jangada, 182 rue du Faubourg Saint-Denis
75010 Paris
Site http://www.festivaldecinemabresilienparis.com/
Tel : 01 55 26 98 50
Festival Pocket films
Il s’agit d’un festival international de films réalisés avec un téléphone portable. La dernière édition
était placée sous le signe de la musique live et de la création numérique. Elle est le théâtre de performances artistiques inédites et de débats sur
les nouveaux modes de diffusion pour les images cinématographiques et audiovisuelles.
Lieu : Forum des images 5ème édition : du 11 au 14 juin 2009
Pocket films c’est aussi une réflexion sur l’impact au quotidien des nouvelles technologies. Serge Tisseron, psychanalyste, et Bernard Stiegler, philosophe, en
éclairent les conséquences : éclatement de la sphère privée, banalisation de l’image violente, mais aussi construction d’un nouveau rapport au monde et de nouveaux pouvoirs, liés à la production d’images par tous.
Informations pratiques
Forum des Halles 75001 Paris
Site
http://www.festivalpocketfilms.fr/ Tel : 01 44 76 63 00
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Festival Prototype vidéo
Le Festival Prototype vidéo se caractérise comme le festival du film bricolé et de la bidouille. Le Festival
Prototype vidéo renaît chaque printemps à Paris pour présenter au public des films bricolés, des films
bidouillés, des films faits avec les moyens du bord par de jeunes réalisateurs dits « amateurs » et que
le festival préfère appeler "Protomen" rendant ainsi hommage à leur sens aigu de la débrouille. Lieu : Péniche Cinéma
8ème édition : vendredi 3 et samedi 4 avril 2009
Le Festival de déroule toujours aux alentours de la fin du premiers trimestre de
l'année et se fait un point d'honneur de recevoir les films jusqu'à la fin janvier. Le Festival Prototype Vidéo est né dans le lycée Paul Valéry en 2002. Au hasard
d'une balade dans le lycée ses créateurs ont trouvés une salle remplie de vieux films U-Matic réalisés par l'option Audiovisuelle du Lycée.
La première édition du festival a donc été localisée au niveau d'une fête de lycée pour ensuite sortir des murs de l'établissement scolaire dès l'édition suivante. Le festival projette tout les styles de films, de la fiction au film d'animation
pourvu que les spécificités techniques au règlement soient respectées, à savoir un film de 13 minutes maximum et fais par un étudiant ou un lycéen au moment
de la réalisation.
Informations pratiques 84, avenue Claude Decaen 75012 Paris
Site http://www.festival-prototype.com/
Festival Silhouette
Le Festival Silhouette est un festival de courts
métrages gratuit, organisé depuis 2002 par l'Association Silhouette en plein air au Parc des Buttes Chaumont à Paris, entre la fin août et le début
septembre. Pendant plus d'une semaine, chaque soirée au parc débute par 1h de concert, suivi
d'environ 2h de projection de courts métrages sur un écran gonflable géant. Au programme : une compétition de courts métrages français, une sélection
de courts métrages internationaux et des soirées hors compétitions.
Lieu : Parc des Buttes Chaumont
8ème édition : du 29 août au 6 septembre 2009
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Le Festival Silhouette continue également en salle et en journée avec des programmations de courts métrages expérimentaux, clips, jeune public...
Organisé par les bénévoles de l'Association Silhouette, le Festival Silhouette permet l'accès gratuit et en plein air à une centaine de courts métrages,
répondant ainsi à l'action de promotion et de diffusion du court métrage menée par l'Association Silhouette. Le Festival Silhouette réunit chaque année près de
20 000 personnes. Le Festival Silhouette se positionne aujourd'hui comme le premier festival de
court métrage à Paris en termes de fréquentation et de couverture presse. Cet événement est le seul festival parisien de court métrage en plein air et en accès
libre, et l'un des trois principaux festivals de cinéma de la capitale. Informations pratiques
34 rue Trevet 93300 Aubervilliers
Site
http://www.association-silhouette.com/ Tel : 09 53 94 75 67
Mon premier festival
La programmation de cette année s’est faite autour
du thème "Coucou, fais-moi peur !". Le programme sera varié avec entre autres de nombreuses avant-premières, des films inédits, des débats et des
présentations et des ciné-goûters.
Lieu: dans 10 salles "Art et essai" parisiennes 5ème édition : du 28 octobre au 3 novembre 2009
Ce festival s’adresse aux enfants entre 2 et 12 ans.
Les salles de Mon 1er Festival 10 salles réparties dans la capitale : Le Nouveau Latina, le Grand Action, le
Studio des Ursulines, le Lincoln, l’Archipel, l’Escurial, l’Entrepôt, le Denfert, le Cinéma des Cinéastes et le MK2 Quai de Seine.
Une nouvelle coordination L’édition de Mon 1er Festival 2009 est organisée conjointement par la Mission
Cinéma de la Mairie de Paris et l’association Enfances au Cinéma. Enfances au Cinéma coordonne depuis 2005 à Paris le dispositif national d’éducation à l’image "Ecole et Cinéma" à destination des écoles élémentaires et
le projet "Mon 1er Cinéma", destiné aux écoles maternelles.
Informations pratiques Mission cinéma
4, rue François Miron 75004 Paris
Site http://www.monpremierfestival.org/
Tel : 01 44 54 19 60
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Paris cinéma
La Turquie était à l’honneur. 11 longs métrages et 25 courts métrages inédits accompagnés par leurs auteurs
offrent un panorama inédit de la création indépendante contemporaine et internationale.
Le festival est aussi l’occasion de découvrir, avant leur sortie en salles, les meilleurs films de l’année à venir, en
présence des équipes de films. Des événements uniques et originaux ponctuent chaque jour le festival : Brocante Cinéma, ciné-concerts,
expositions, ateliers, bal populaire…
Lieu : différents lieux sur Paris 7ème édition : du 3 juillet au 14 juillet 2009
Informations pratiques
Espace Paris Cinéma au MK2 Bibliothèque 128-162 avenue de France
75013 Paris
Site
http://www.pariscinema.org/ Tel : 01 44 06 43 06
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LES FORMATIONS ET LES ENSEIGNEMENTS
Compte tenu du nombre importants de structures, nous avons essayé de sélectionner les principaux centres de formation, notamment en fonction
de leur réputation dans le monde professionnels et de leur(s) spécialisation(s) dans le domaine du cinéma et/ou audiovisuel.
Liste des centres d’enseignements et/ou de formation audiovisuels :
- Les Ateliers Varan (Paris 11ème)
- L’Esec (Paris 12ème)
- Gobelins (Paris 13ème)
- L’Esra (Paris 15ème)
- La Femis (Paris 18ème)
- La Maison du Film Court (Paris 19ème)
- Le Conservatoire libre du cinéma français (Paris 19ème)
Ateliers Varan Paris 11e
Les Ateliers Varan ne se définit pas comme une école au
sens classique et académique du terme : les méthodes de travail y poussent à l’extrême le principe de l’enseignement
par la pratique. Tout s’articule, pour chaque étudiant, autour de la fabrication de films « en grandeur réelle ».
En 1978, les autorités de la jeune république mozambicaine demandent à des cinéastes connus de filmer les mutations du pays. Jean Rouch et Jacques
d’Arthuys, attaché culturel de l’Ambassade de France, constituent un atelier de formation au cinéma documentaire à la pédagogie toujours actuelle :
l’enseignement par la pratique. Après cette expérience, seront créés en 1981, les Ateliers Varan à Paris.
Aujourd’hui, « Les Ateliers Varan » sont donc une école française de cinéma reconnue à l’échelon international, association loi 1901 et ONG sont membres du
CILECT (Centre International de Liaison des Ecoles de Cinéma et de Télévision). Ils bénéficient du statut consultatif auprès de l’UNESCO et travaillent régulièrement avec la Direction de la Communication du Ministère des Affaires
Etrangères. Actuellement, une trentaine de professionnels du cinéma (réalisateurs, chef-
monteurs, producteurs, ingénieurs du son, chef-opérateurs…) constitue l’équipe des ateliers et transmettent leur expérience et leurs pratiques professionnelles dans les stages et les ateliers qu’ils organisent.
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Informations pratiques 6 impasse Mont-Louis
75011 Paris
Site http://www.ateliersvaran.com/
Tel : 01 43 56 64 04
L’ESEC Paris 12e
Ouverte en 1973, l’ESEC reçoit des étudiants de plus de 70
nationalités différentes. Aux côtés des grandes écoles audiovisuelles publiques réputées, l’ESEC est une des écoles privées les plus reconnues et est désignée comme
« une référence internationale ».
L’ESEC (École supérieure libre d’études cinématographiques) forme a plusieurs spécialités : département cinéma (réalisation, production), département
télévision (réalisation documentaire, programmes télévisuels), département montage (montage et effets spéciaux numériques). L'ESEC est la première école
à introduire l'étude de l'économie du cinéma et des structures professionnelles dans des enseignements techniques et de création. Les diplômes de l’école permettent des équivalences avec toutes les Universités et Grandes Ecoles
internationales, en particulier aux Etats-Unis (University of Southern California, University of California Los Angeles et New York University) et en Asie (Japon,
Corée, Taiwan…). Parmi les anciens élèves de l’école, plusieurs poursuivent leurs études en intégrant la prestigieuse FEMIS ou démarrent une carrière internationale
importante (à l’exemple de Bruno Delbonnel, directeur de la photo, primé aux César et aux Oscar, qui a notamment mis en lumière les films de Jean-Pierre
Jeunet et le dernier Harry Potter (et le Prince de sang-mêlé)). Informations pratiques
21, rue de Cîteaux 75012 Paris
Site
http://www.esec.edu Tel : 01 43 42 43 22
GOBELINS : l’école de l’image Paris 13e
Acteur de référence dans les formations aux métiers de l’image, GOBELINS, l’école de l’image forme, depuis plus de
quarante ans, aux métiers de la photographie (1963), de la communication et des industries graphiques (1969), du
cinéma d’animation (1975), de la vidéo (1984) et du multimédia (1991).
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« La marque de fabrique » GOBELINS est basée sur un enseignement intégrant une triple dimension créative, technique et professionnelle et les travaux se
concrétisent par des réalisations d’une qualité reconnue au niveau professionnel : courts-métrages d’ouverture du Festival International du Film d’Animation d’Annecy, réalisation d’objets communicants interactifs, création d’identités
visuelles… Les Gobelins ont ainsi acquis une grande réputation dans le cinéma d’animation
grâce aux postes occupés par ses anciens étudiants et aux prix internationaux obtenus (Grand Prix de l’Europrix Top Talent Awards, le prix « Jeune Talent » de la SACD, courts-métrages d’animation primés chaque année dans les festivals
internationaux de renommée, au SIGGRAPH à Los Angeles…).
Informations pratiques 73, boulevard Saint-Marcel 75013 Paris
Site http://www.gobelins.fr Tel : 01 40 79 92 79
L’ESRA Paris 15e
Créée à Paris en 1972, l’Ecole Supérieure de Réalisation
Audiovisuelle s’est imposée comme l’une des principales formations en France aux métiers du cinéma et de l’audiovisuel et la première dans l’enseignement privé.
Les enseignements techniques et artistiques sont à la fois théoriques et pratiques.
La pluridisciplinarité de la formation à l'ESRA permet de s'orienter vers les différents secteurs professionnels du cinéma et de l'audiovisuel. Les étudiants se
dirigent ensuite vers certains métiers comme : Réalisateur, assistant réalisateur, directeur de la photo, assistant caméra, script, monteur, régisseur, cadreur pour le cinéma, la télévision ou les films de communication, ou encore producteur
exécutif, etc. Le groupe ESRA regroupe aussi d’autres écoles dont l’ISTS (Institut Supérieurs
des Techniques du Son) qui permet de se former aux métiers du son audiovisuel (prise de son et post-production), du son musical (enregistrement musical en studio ou en live) et de la sonorisation des spectacles.
Parmi les anciens élèves, on retrouve des réalisateurs de films à succès comme Mesrine (J-F Richet à la réalisation, promo 1990), Erreur de la banque en votre
faveur (M. Guerou à la réalisation, promo 1999), Banlieue 13 (P. Morel à la réalisation, promo 1986 ; D. Roques pour la musique originale, promo 2002), La Marche de l’Empereur (produit par Bonne Pioche, société notamment composée
de Y. Darrondeau, C. Lioud et E. Priou, tous trois de la promo 1987)…
Informations pratiques 135 avenue Félix Faure
Site http://www.esra.edu/esra/
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75015 Paris Tel : 01 44 24 24 24
LA FEMIS Paris 18e
Héritière de l’IDHEC, la FEMIS est créée en 1984. L’école nationale supérieure des métiers de l'image et du son
(accessible sur concours à bac+2), dispense un enseignement technique, artistique et culturel consacré aux métiers du cinéma et de l'audiovisuel, très élitiste.
Elle est célèbre pour avoir formé Arnaud Desplechin, François Ozon… D’autres réalisateurs reconnus, comme Luc Besson ou Cédric Klapish, n’ont pu y accéder. Depuis deux ans elle assure une formation particulière aux futurs exploitants de
salles.
Les locaux de l’école L’école occupe les locaux des anciens studios Pathé acquis en 1926 par la société Rapid-Films, dirigée par Mr Natan pour les utiliser comme laboratoire de
traitement de la pellicule, puis comme plateau de tournage de films publicitaires. C’est en 1929 que la société Natan fusionne avec Pathé.
Les films tournés dans ces studios sont : Les Enfants du paradis de Marcel Carné (1944), Les Parents terribles de Jean Cocteau (1948), Les Misérables de Jean-Paul Le Chanois (1958) ou encore L’Amant de Jean-Jacques Annaud (1992). Les
studios ont cessé leur activité au milieu des années 90.
Informations pratiques 6, rue Francoeur 75018 Paris
Site http://www.lafemis.fr/ Tel : 01 53 41 21 00
La Maison du Film Court Paris 19e
Créée en 1987 par un réalisateur et une comédienne, Aubert Allal et Magali Noaro, la Maison du Film Court (ex-Coopérative du Court Métrage) est une association loi
1901; agréée jeunesse et sports, organisme de formation depuis 1998, elle a pour but d'aider à la création de films
courts. Elle est un lieu d'intercession, d'échanges et de formation. Elle accueille tous les
désirs de cinéma (désirs d'auteurs, de techniciens, de producteurs, de comédiens), à tous les stades de leur maturité (désir fantasmé du débutant,
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désir identifié de la personne confirmée), et de toutes natures (désir d'insertion
professionnelle, de création artistique). Elle a donc des missions très variées : l’aide à la création de films courts grâce à
un département réalisation, un département scénario et un de production. Mais aussi l’aide à l’insertion professionnelle des adhérents grâce à des stages (qui peuvent être financés par l’AFDAS) pour les adhérents, professionnels comme
néophytes. Elle possède par ailleurs une maison d’édition (manuels d’initiation et de
sensibilisation), une salle de projection, un centre de ressources et un centre de documentation (vidéothèque et scénarithèque).
Informations pratiques 10, passage de Flandre
75019 Paris
Site http://www.maisonfc.org/
Tel : 01 40 34 32 44
CLCF Paris 19e
Le Conservatoire libre du cinéma français (CLCF) est le plus ancien établissement privé d'enseignement supérieur des
métiers du cinéma et de l'audiovisuel. Il a été fondé en 1963, parrainé par Marcel Carné, et dispose d'un rayonnement international.
Le CLCF s’est spécialisé dans la formation cinéma et fiction télévision à travers trois spécialisations : assistant réalisateur, scripte et monteur. En 2003, par son admission au CILECT, il a rejoint aux côtés de la Femis le cercle
des grandes écoles de cinéma du monde. Son rayonnement international est important : depuis sa création, l’école a formé des élèves issus de 104 pays
différents. Le CLCF a été choisi par EDUFRANCE pour représenter dans le monde
l’enseignement du cinéma en France (cf. www.campusfrance.org). Le 1er septembre 2005, le CLCF a par ailleurs ouvert à Pékin une école préparatoire à
ses formations. Depuis 1993, le CLCF a installé ses locaux dans l'atmosphère du « Quai des
Brumes », du « Jour se lève », d' « Hôtel du Nord », sur les bords du Canal de l'Ourcq immortalisé par Marcel Carné, Louis Jouvet et Arletty.
Informations pratiques 9, quai de L’Oise
75019 Paris
Site http://www.clcf.com/fr/
Tel : 01 40 36 19 19
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LE PATRIMOINE, LES EQUIPEMENTS ET LES PROJETS
Les ressources culturelles, les équipements et les projets d’envergure
présentent un réel intérêt pour les touristes, c’est pourquoi il est important en les étudiants de voir s’ils peuvent être intégrés dans des parcours.
Certains lieux sont adjoints de salles de cinéma, d’autres ont pu faire l’objet de tournage. Concernant le patrimoine, une grande partie fait
régulièrement office de tournages de films. Ces monuments sont indiqués dans la partie sur les lieux de tournages (cf. ci-dessus).
Les équipements à Paris :
- Bibliothèque François Truffaut à Paris 1er - Fondation Jérôme Seydoux-Pathé à Paris 8ème - Forum des images – Paris 1er
- La Cinémathèque Française – Paris 12ème - La péniche cinéma – Paris 19ème
- Mission Cinéma
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Bibliothèque François Truffaut – Paris 1er
Située à côté du forum des images, c'est le même architecte, Anouk Legendre qui a conçu
le double projet, dans un souci d'harmonisation de ces deux structures complémentaires. D'une
superficie totale de 1 200m², l'espace public se déploie sur un plateau unique de 580 m²
proposant les espaces de consultation et un pôle multimédia.
Ouverte depuis le 5 décembre 2008, cette bibliothèque prend le relais des collections d’ouvrages auparavant situées à la bibliothèque André-Malraux (Paris
6ème), dans le cadre du projet la "Rue du Cinéma".
17 000 livres, 2 500 musiques de films, 6 200 revues de presse et 7 500 DVD y sont en prêt ainsi que 2 000 autres DVD y sont consultables. Elle est la seule bibliothèque parisienne à proposer le prêt à domicile de documents consacrés à
la télévision et au cinéma. Elle offre également une salle de projection de 30 places.
Côté conservation, l’établissement hérite des collections de la bibliothèque André-Malraux, mais aussi des fonds de la bibliothèque de la défunte Société
française de production (SFP), des archives Jean-Gruault (scénariste et collaborateur de François Truffaut, Alain Resnais et Jacques Rivette, entre
autres), complétés par le don de Paul-Auguste Harlé, qui fût le premier président de la Cinémathèque française.
La bibliothèque possède notamment la plus forte amplitude dans le réseau des bibliothèques de Paris après la bibliothèque Marguerite-Yourcenar (Paris 15ème),
soit 42 heures hebdomadaires et une ouverture le dimanche. De plus, elle est entièrement accessible aux personnes handicapées motrices, dans le cadre de la Charte d’accueil et qualité des services publics.
Informations pratiques
4, rue du cinéma 75001 Paris
Tel : 01 40 26 29 33
Fondation Jérôme Seydoux-Pathé – Paris 8ème
Reconnue d’utilité publique le 9 mai 2006, la fondation Jérôme Seydoux-Pathé œuvre à la conservation, à la restauration et à
la mise à disposition du public du patrimoine historique de Pathé.
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La base de données de la Fondation qui compte plus de 25 000 références
(affiches, photos, ouvrages périodiques, appareils et accessoires, archives administratives et juridiques…), depuis sa création en 1896.
La Fondation est un centre de recherche destiné aux historiens, aux étudiants, ainsi qu’à tous ceux qu’intéresse le cinéma. La mise en ligne de la filmographie de la société Pathé est actuellement en chantier.
Le nouveau siège social de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé pourrait voir le
jour à l'été 2011. Une équipe de Renzo Piano, dirigée par Thorsten Sahlmann, commence à travailler sur l'avant-projet définitif : transformer l'ancien cinéma "Le Gaumont-Gobelins Rodin" (13ème arrondissement) en un espace d'exposition,
un dépôt d'archives, une petite salle de projection, des bureaux. Pour Thorsten Sahlmann, le « projet conserve la façade du cinéma, un ancien music-hall,
inscrite à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques. Sculptée par Auguste Rodin, elle est devenue emblématique de l'avenue des Gobelins ».
Informations pratiques 2 rue Lamennais
75008 Paris
Site http://www.fondation-jeromeseydoux-pathe.com/
Tel : 01 71 72 31 26
Forum des images – Paris 1er
Situé dans le Forum des halles, au pied de l'église Saint-Eustache, le Forum des images a été imaginé en 1988 par le poète Pierre
Emmanuel dans l’objectif de construire une mémoire audiovisuelle de la ville de Paris. Sa
vocation ? Rendre hommage aux multiples facettes filmiques de Paris. Une ville qui représente l'arrière-plan commun à une
collection unique de 6 600 films allant de l'invention du cinéma par les frères Lumière
en 1895 jusqu'à nos jours.
Des films qui retracent la mémoire audiovisuelle de cette capitale des arts dans
différents genres. Au Forum des images, on trouve aussi bien des fictions que des documentaires, des émissions d'actualité, des publicités, des courts et des longs métrages, des émissions de télévision et même des films amateurs.
Un éclectisme qui semble être le maître mot de ce lieu polymorphe : non content de ce formidable fonds en libre accès dédié à Paris, l'établissement propose aussi des cycles thématiques permettant de découvrir le cinéma du monde entier sur
grand écran à raison de quatre projections par jour, ainsi qu'un espace multimédia baptisé 'cyberport'. Sans oublier un rôle d'aide à la création et à la
diffusion puisque, producteur de films documentaires de télévision, le Forum organise en parallèle les Rencontres internationales de cinéma à Paris ainsi que le Festival Nouvelles Images du Japon.
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Présidé de 1993 à 2008 par Pierre Tchernia, le Forum devient bientôt un lieu de
référence en terme d’équipement culturel local, régional et national. Avec une fréquentation croissante, surtout depuis les années 2000, il a accueilli, juste
avant sa fermeture pour travaux (travaux financés entièrement par la ville de Paris) en 2005, jusqu’à 340 000 visiteurs par an. Après trois ans de travaux et de programmation hors les murs, il ouvre de nouveau ses portes le 5 décembre
2008 après avoir été inauguré par Bertrand Delanoë, maire de Paris, le 2 décembre.
Informations pratiques Forum des Halles Ŕ 2 rue du cinéma
75001 Paris
Site http://www.forumdesimages.net/
La Cinémathèque Française – Paris 12ème
Fondée en 1936 par Henri Langlois, Georges Franju, Pau-Auguste Harlé et Jean Mitry, la
Cinémathèque Française est une association dont la mission consiste à conserver et à montrer au public le patrimoine
cinématographique français et étranger sous toutes ses formes - films, scénarios,
maquettes, décors, costumes, affiches, photographies - à la lumière des contextes intellectuels et historiques.
Au début des années 1960, le ministre de la Culture André Malraux offre à Henri
Langlois la salle du Palais de Chaillot, dans laquelle se succéderont par la suite les grandes figures du cinéma mondial, d'Alfred Hitchcock à Orson Welles en passant par Akira Kurosawa et Charlie Chaplin. Temple de la cinéphilie, lieu
incontournable, la Cinémathèque quitte pourtant la salle du Palais de Chaillot pour investir Bercy en 2005. Le bâtiment conçu par l’architecte Franck O. Gehry
est vaste et à l'image des ambitions de la Cinémathèque Française. La Cinémathèque propose désormais une programmation cinématographique
diversifiée dans quatre salles modernes à dimension humaine, plusieurs grandes expositions temporaires relient le cinéma aux autres arts, et une exposition
permanente sur 1.100 m2. « Passion Cinéma » est conçue à partir des plus belles pièces des collections de la Cinémathèque française et de la Bibliothèque du Film. Enfin, la Cinémathèque entend rester un lieu vivant en proposant des ateliers
pédagogiques ouverts à tous et des rencontres et colloques sur le cinéma.
Informations pratiques Cinémathèque française 51 rue de Bercy
75012 Paris
Site http://www.cinematheque.fr/fr/la-cinematheque-francaise.html
Tel : 01 71 19 33 33
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La péniche cinéma – Paris 19ème
La péniche peut recevoir jusqu'à 200 personnes. Lorsque le temps le permet, une terrasse de 40 m² est
aussi à disposition. Le Baruda, nom de la péniche, a été pensé comme un
décor de cinéma et peut accueillir séminaires, projections, spectacles,
soirées, débats, meeting, tournages, etc.
L'intérieur de la Péniche Cinéma - Bateau le Baruda accueille régulièrement des expositions d'artistes peintres, de sculpteurs ou de photographes.
La Péniche Cinéma, amarrée dans le parc de la Villette à Paris, ouvre sa fabrique de films aux plus jeunes. Tous les mercredis, l'atelier Premier reportage propose
aux enfants âgés de 7 à 14 ans de réaliser un documentaire sur l'une des activités ou l'un des évènements du Parc.
Le samedi, en plus du reportage, un atelier Première scène accueille les 6-12 ans. Comédien, réalisateur, ingénieur du son, costumier ou maquilleur, les enfants s'essayent à toutes les disciplines. Leur séquence ou leur mini reportage
sont ensuite montés et gravés sur DVD.
Informations pratiques Entrée piéton : 59 bd Mac Donald 63, quai de Seine
75019 Paris
Site http://penichecinema.net/
Tel : 01 48 03 10 30 / 06 75 59 13 19
Mission Cinéma
La Mission cinéma a été créée par Bertrand Delanoë en janvier 2002. Paris est une ville unique par la diversité de son offre
cinématographique. L’objectif de la Mission Cinéma : préserver cette richesse, mais aussi impulser une politique cohérente de soutien en faveur du cinéma...
En créant la Mission Cinéma, le Maire de Paris a voulu affirmer son attachement au cinéma et sa volonté de préserver
l’exception culturelle parisienne en ce domaine. L’objectif de la Mission Cinéma : impulser une politique cohérente de soutien en
faveur du cinéma, autour de six axes : - Les salles art et essai et indépendantes
- L’éducation au cinéma - Les festivals et événements - Le Forum des Images
- La production de court métrages - 750 tournages
Le budget annuel de la Mission Cinéma est 10,5 millions €.
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LES STRUCTURES PROFESSIONNELLES Voici quelques entités, qu’elles figurent au secteur marchand ou non
marchand, identifiées comme méritant un approfondissement, pour des raisons soit :
- de vocation publique ou d’intérêt général, - de vocation privée et susceptibles d’avoir des retombées sur Paris.
Liste des structures professionnelles :
- Belleville en vue(s) à Paris 20ème - Film France à Paris 2ème - La Mission Cinéma et Paris France à Paris 4ème
- L’Agence du Court métrage à Paris 8ème - Le Groupement National des Cinémas de Recherche (GNCR) à Paris
9ème - L'Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion (l’ACID) à
Paris 10ème
- Association des cinéastes documentaristes (ADDOC) à Paris 10ème - Les enfants du cinéma à Paris 11ème
- L’Association Française des Cinémas d’Art & d’Essai (l’AFCAE) à Paris 18ème
- L’Association française du cinéma d’animation (Afca) à Paris 19ème
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Belleville en vue(s) Paris 20e
Depuis 2004, l’association loi 1901 « Belleville en vue(s) », organise des projections de films dans
l’objectif de créer un cinéma de quartier sur Belleville. L’association organise régulièrement des projections
et diverses actions dans plusieurs lieux du quartier (des Buttes Chaumont au Père Lachaise et de la place
des Fêtes à la rue Saint Maur), grâce à une équipe de 2 salariées et de bénévoles.
« Belleville en vue(s) » souhaite également créer une salle de cinéma, un nouvel espace culturel proche des lieux de vie des habitants et une structure de
l’économie sociale.
L’association s’inscrit dans le secteur non-commercial du cinéma, ce qui implique la gratuité pour les publics. Elle s’acquitte des droits de diffusion auprès des ayant-droits et de la redevance de la Sacem.
Informations pratiques
10-12 allée du Père Julien Dhuit 75020 Paris
Site
www.bellevilleenvues.net Tel : 01 40 33 94 15
Film France Paris 2e
Film France réunit le réseau des commissions du film et a pour mission de promouvoir les tournages et la
post-production en France. Le réseau de 40 commissions locales (ou bureaux d'accueil des
tournages) assure l'accueil de tournage et un meilleur recours aux ressources locales: techniciens et artistes, lieux de tournage, prestataire…
Film France conseille les sociétés de production françaises et étrangères à la
recherche de lieux de tournage, de soutiens logistiques locaux et d'aides financières des collectivités territoriales. Pour les productions étrangères, Film France est souvent la première source
d'information lors de la préparation d'un tournage. Le budget de Film France provient principalement du CNC et est complété par
des ressources propres (cotisations des membres adhérents, partenariats,...).
Pour tous les projets de tournage (courts métrages, longs métrages, téléfilms, films publicitaires, films documentaires), chaque commission du film locale
(également appelée Bureau d’accueil de tournage), membre du réseau de la Commission Nationale du Film France, offre une assistance gratuite portant sur
différents types de services : - renseignements sur les sites de tournage et pré-repérages (constitution d’une
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base de données, photos numérisées) ;
- recherche de techniciens, de comédiens et de figurants (dans la plupart des bureaux d’accueil : possibilité de casting) ;
- démarches administratives, aide aux autorisations de tournage ; - logistique et informations diverses (location de véhicule, hébergement, etc.) - mise à disposition de bureaux de production, de documentation ;
- relations avec la presse et les autorités locales.
Par ailleurs, France Film, avec MuseumsExperts, organise depuis maintenant deux ans, les Trophées Atalante, qui récompensent les partenariats exemplaires entre les équipes de cinéma et de télévision et les lieux qui ont accueilli leurs
tournages.
Informations pratiques 33 rue des Jeûneurs 75002 Paris
Site http://www.filmfrance.net Tel : 01 53 83 98 98
La Mission Cinéma et Paris Film Paris 4e
Paris est un lieu privilégié pour les tournages français
comme internationaux. Créée en 2002 par Bertrand Delanoë, la Mission Cinéma a pour objectif d’impulser
une politique cohérente de soutien en faveur du cinéma. Paris Film accompagne les tournages : des conseils aux autorisations de tournage dans les rues parisiennes.
L’objectif de la Mission Cinéma s’articule autour de 6 axes, avec un budget annuel de 10,5 millions d’euros :
- Les salles art et essai et indépendantes - L’éducation au cinéma - Les festivals et événements
- Le Forum des Images - La production de court métrages
- 750 tournages Au sein de la Mission Cinéma de la Ville de Paris, Paris Film :
- accueille et conseille les équipes, - coordonne et délivre les autorisations de tournages dans les rues de Paris, sur
la voie publique et dans les lieux dépendants de la municipalité (parcs et jardins, cimetières, ponts, bâtiments publics ou culturels…), - gère les demandes d'interventions techniques (démontage de panneaux de
signalisation, de mobilier urbain, modification de l'éclairage public, transformations pour des besoins de reconstitution historique..),
- informe les régisseurs des autorisations demandées sur les sites privés ou dépendant de l'Etat et de l'acquittement des éventuels droits à l'image.
Informations pratiques 4 rue François Miron
75004 Paris
Site http://www.parisfilm.fr/
Tel : 01 44 54 19 60
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L’Agence du Court Métrage Paris 8e
L’Agence du court métrage est une association régie par la loi de 1901, créée en 1983 par un groupe de
professionnels du cinéma (auteurs, réalisateurs, producteurs et distributeurs) dans le but de promouvoir
et favoriser la diffusion du court métrage en France. Elle permet donc, depuis près de vingt ans, de faire le lien
entre ceux qui font les films courts et ceux qui les montrent.
Depuis sa création, l’Agence permet à tout film court d’être proposé et éventuellement programmé en salles. L’agence n’achète pas les droits de
diffusion. Elle intervient au nom de l’ayant droit pour la location de son film suivant des modalités définies dans une convention. Le service programmation assiste également les diffuseurs dans leur recherche.
En créant ainsi une diffusion en creux du système commercial de distribution le pôle de diffusion permet aux films courts de s’inscrire dans la régularité d’une
politique culturelle, éducative et sociale en faveur des œuvres et des publics. Indépendamment de ce rôle l’Agence du court métrage développe également des actions spécifiques en vue d’une diffusion toujours plus accrue des films courts
auprès de nouveaux publics, notamment par l’élaboration d’initiatives d’information, de programmes de films, d’actions de formation et d’animation.
Depuis 2000, les membres de l’Afca peuvent adhérer à l’Association internationale du film d’animation (Asifa) par le biais de l’Afca. Ils forment ainsi
le groupe « Afca-Asifa France ». L’Association internationale du film d’animation a été fondée en 1960 à Annecy, par un groupe de cinéastes d’animation, parmi
lesquels Norman McLaren (Canada), John Hubley (États-Unis), Ivan Ivanov-Vano (URSS) et Paul Grimault (France). Aujourd’hui, l’Asifa compte environ 2000 membres dans 50 pays différents.
Ses objectifs sont de :
promouvoir l’art de l’animation ; défendre les intérêts des cinéastes d’animation ; coordonner les activités des groupes régionaux ;
coopérer avec les principaux festivals internationaux de cinéma d’animation.
Informations pratiques (accueil du public) 74 rue du Rocher
75008 Paris
Site www.agencecm.com/
Tel : 01 44 69 26 60
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GNCR Paris 9e
Avec le soutien du CNC, le Groupement National des Cinémas de Recherche, est né en 1991 du désir de différents lieux cinématographiques de se regrouper pour
soutenir des films novateurs et singuliers.
Le GNCR réunit, à ce jour, 250 établissements cinématographiques, et 8
associations régionales. Ce réseau de salles constitue un maillage entre les professionnels et permet aux films soutenus par le Groupement de rencontrer
leur public et il constitue aussi pour ses membres un espace permanent d’échanges et de réflexion sur les pratiques et expériences professionnelles de chacun.
Le Groupement a apporté depuis sa création son soutien à plus de 400 films, soit une moyenne de 25 à 30 films par an :
- plus de 135 longs métrages français dont la moitié sont des premiers ou de seconds films, - plus de 165 longs métrages européens, asiatiques et de cinématographies peu
diffusées, - plus de 100 documentaires (films ou rétro) courts et moyens-métrages.
Informations pratiques 57 rue de Châteaudun
75009 Paris
Site www.cinemas-de-recherche.com
Tel : 01 42 82 94 06
L’ACID Paris 10e
L'Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion a été créée en 1992 par des cinéastes qui refusaient la perspective d'un cinéma régi par un modèle unique,
excluant progressivement toute expression et toute diffusion cinématographique indépendante.
La force du travail de l’ACID est avant tout son idée fondatrice unique: le soutien
par des cinéastes de films d’autres cinéastes, français ou étrangers. L’association promeut ainsi depuis quinze ans la diversité de la création
cinématographique et œuvre à la rencontre entre les œuvres, leurs auteurs et le public. Ce soutien se traduit par différentes actions : soutiens aux films avec ou sans
distributeurs, actions en région (en Ile de France, à Cannes pendant le festival, à l’étranger…) auprès de salles de cinémas indépendantes, organisation de
débats… Informations pratiques
14 rue Alexandre Parodi 75010 Paris
Site
http://www.lacid.org Tel : 01 44 89 99 74
Parcours cinématographique à Paris Eté 2009 Analyse de l’état des ressources
Paris Macadam Ŕ Les Arcavals Tél. : 01 46 07 05 08 [email protected] page 66/68
L’ADDOC Paris 10e
Addoc : Association des cinéastes documentaristes. Fondée en 1992, Addoc est un espace de rencontre et de réflexion ouvert aux cinéastes, aux techniciens et plus
largement à toute personne impliquée dans la création documentaire.
L’association s'est développée autour d'une double vocation. D’une part, elle
mène un travail de défense du documentaire de création, de l’idée à la diffusion de l’œuvre. D’autre part, elle cherche à construire une pensée vivante du cinéma documentaire en permettant la réflexion et l’échange à partir de la pratique.
Les activités de l’association sont diverses, à l'image des questionnements qui l’animent : organisation de débats dans les festivals, ateliers publics autour de
projections, publication d’ouvrages ou encore actions de sensibilisation au documentaire.
Informations pratiques 14 rue Alexandre Parodi
75010 Paris
Site http://www.addoc.net
Tel : 01 44 89 99 88
Les enfants de cinéma Paris 11e
Créée en 1994, l’association Les enfants de cinéma mène, depuis son origine, une réflexion sur le cinéma et le jeune public. C’est un lieu associatif de réflexion et de débat
sur les images, les enfants et le cinéma.
Les objectifs de l’association sont donc : - de mettre en œuvre et coordonner le dispositif national « École et cinéma » (dont elle est à l'origine) qui permet aux enfants et aux enseignants de l’école
élémentaire et pré-élémentaire d’aborder ou d’approfondir un travail sur le cinéma,
- de poursuivre un travail de réflexion, d’action et d’échanges en direction du jeune public dans le domaine du cinéma.
L’association Les enfants de cinéma a ainsi l’ambition de faire découvrir aux enfants de beaux films classiques mais également des œuvres contemporaines projetés en copies-cinéma 35 mm, dans une vraie salle de cinéma.
Par ailleurs, Les enfants de cinéma conçoit et édite des ouvrages autour du
cinéma et du jeune public. Informations pratiques
36, rue Godefroy Cavaignac 75011 Paris
Site
www.enfants-de-cinema.com Tel : 01 40 29 09 79
Parcours cinématographique à Paris Eté 2009 Analyse de l’état des ressources
Paris Macadam Ŕ Les Arcavals Tél. : 01 46 07 05 08 [email protected] page 67/68
L’AFCAE Paris 18e
L’Association Française des Cinémas d’Art & d’Essai rassemble aujourd’hui dans sa diversité l’ensemble du mouvement Art & Essai. Elle regroupe 1000 cinémas, avec
plus de 2000 salles, réparties sur l’ensemble du territoire français et dans toutes les zones géographiques.
L’Association remplit un certain nombre de missions et met en place diverses actions au service du mouvement et de ses engagements. Elle est aussi
l’interlocutrice des pouvoirs publics, des partenaires professionnels et des autres organismes professionnels. Par exemple, l’AFCAE participe aux Commissions régionales puis à la Commission
Nationale du Centre national de la cinématographie qui établit le classement des cinémas. Elle est aussi mandatée par le CNC pour gérer un Collège de
recommandation des films, qui, deux fois par mois, vote sur tous les films sortis (exclusivités et reprises). L’AFCAE mène une politique active d’accompagnement de films d’auteur à
travers ses 3 groupes : actions/promotion (sorties d’actualité), jeune public et répertoire.
Sur les 600 sorties annuelles, une quarantaine de films bénéficient ainsi chaque année d’un éclairage qualitatif tant auprès des salles que du public et d’un soutien particulier pour aider les salles à leur offrir des conditions d’exposition
favorables.
L’AFCAE est également membre fondateur de la CICAE, Confédération Internationale des Cinémas d’Art & d’Essai, réseau international qui rassemble aujourd’hui 3000 écrans dans 28 pays.
Informations pratiques 12 rue Vauvenargues
75018 Paris
Site http://www.art-et-essai.org
Tel : 01 46 33 13 20
L’AFCA Paris 19e
L’Association française du cinéma d’animation (Afca) œuvre
depuis 1971 à promouvoir et à diffuser le film d’animation auprès du public le plus large, en France et à l’étranger.
À cette fin, elle organise des projections régulières de films d’animation à Paris (« l’Animathèque »), le Festival national du film d’animation (Biennale) et elle coordonne la Fête du
cinéma d’animation.
Œuvrant pour la promotion du cinéma d’animation, l’activité de l’Afca peut se résumer en deux axes principaux :
- la diffusion grâce à des projections et des évènements organisés par l’Afca,
notamment l’Animathèque.
Parcours cinématographique à Paris Eté 2009 Analyse de l’état des ressources
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L’Animathèque a été créé par l’Afca en 1975 dans le but de présenter
régulièrement des films d’animation. Ces séances régulières sont structurées autour d’un pays, un réalisateur, un producteur, un thème particulier, une
technique d’animation, un hommage, une carte blanche... et proposent des courts métrages comme des longs métrages, récents comme anciens. Des débats-rencontres s’animent souvent après les projections, entre le public et les
professionnels présents. L’Animathèque est bimestrielle et a lieu au Forum des Images. La diffusion se fait aussi à l’occasion du festival national du film
d’animation ou de la fête du cinéma d’animation qui a lieu chaque année dans toute la France au mois d’octobre.
- l’information avec un centre de ressources, essentiellement consacré au cinéma d’animation français et qui dispose de documentation également sur l’animation
internationale. Lieu de référence unique, ce Centre est à la fois un lieu de conservation de tout un patrimoine, une plate-forme pour le milieu professionnel et un lieu de diffusion.
L’information est aussi dirigée vers les professionnels grâce à des conseils pratiques pour mener à bien un projet de film d’animation, des contacts
professionnels (producteurs et studios, écoles, festivals...), des prestations et des rencontres professionnelles proposées... L’Afca compte aujourd’hui près de 250 membres (professionnels, étudiants et
amateurs de cinéma d’animation, structures et individuels) et elle représente également l’Association internationale du film d’animation (Asifa) en France, par
le biais du groupe « Afca-Asifa France ».
Informations pratiques 53bis rue Rodier 75009 Paris
Site http://www.afca.asso.fr/ Tel : 01 40 23 08 13
Parcours cinématographique à Paris Eté 2009 Analyse de l’état des ressources
Paris Macadam Ŕ Les Arcavals Tél. : 01 46 07 05 08 [email protected] page 69/68
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Ouvrages de références
- Paris, histoire d'une ville, XIXe et XXe siècles, Bernard Marchand, Seuil, Points
Histoire, 1993 - Paris, histoire d'une ville, Jean-Robert Pitte, Hachette, 1993 - Histoire et dictionnaire de Paris, Alfred Fierro, Robert Laffont, Bouquins, 1996
- Architecture, décor et cinéma, Guy Hennebelle (dir.), in CinémAction, Corlet/Télérama, 1995
- La ville au cinéma, Thierry Paquot (dir.), in Urbanisme, 2003
Les sites Internet
- http://www.allocine.fr/ - http://www.art-et-essai.org/ - http://www.analysefilmique.free.fr/
- http://www.biosstars.com/ - http://www.cinema.actep.fr/
- http://cineressources.bifi.fr/ - http://www.cnc.fr/ - http://www.cinema.encyclopedie.personnalites.bifi/
- http://www.cinematheque.fr/ - http://www.commeaucinema.com/
- http://www.evene.fr/ - http://www.fr.wikipedia.org/
- http://www.pathebaby.free.fr/ - Etc.
Guides et dictionnaires Annuaire du Cinéma et de l’Audiovisuel, Bellafaye 2007, cité films production Dictionnaire du Cinéma, 2005, éditions Larousse
Guide du cinéma : les films Guide du cinéma : les réalisateurs
Les lieux cultes du cinéma en France, Marc Lemonnier 2005, éditions Horay Etc.