planète barbare chapitre 18

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18) L’ASTRONAUTIQUE OU L’ARCHE DE NOE DU FUTUR Certains chercheurs humains se rendent bien compte que la planète Terre est à bout de souffle. Il s’agit surtout d’astrophysiciens, car ces derniers, en observant le ciel, ont fini pour avoir une vision de leur propre monde plus globale. Depuis déjà quelques décennies, plusieurs de ces astrophysiciens et les organismes dont ils dépendent cherchent des planètes proches de la Terre qui pourraient héberger quelques survivants. Ils viennent de découvrir que la lune, ressemblant pourtant à un gros caillou renfermerai néanmoins de l’eau, du C02, etc. La planète Mars se révèle plus vaste et offre plus de possibilités. Elle comporte surtout du dioxyde de carbone (95 %) et du diazote (N2 2,7 %) mais également un peu d’eau. Sa température maximum avoisine les – 3° C, tandis que sa température minimale est proche des 133° C. Inutile de préciser à mes Frères Centaures que de telles températures ne sont guère favorables à l’espèce humaine. D’autant plus qu’il leur faudrait actuellement un an pour arriver sur place à partir de la Terre. Le temps plus que suffisant pour que des humains en arrivent à s’entre tuer. NOTE COMPLEMENTAIRE DE L’AUTEUR DE CE LIVRE Tourbillon Magnétique m’a confié qu’il pensait que les humains n’auraient jamais le temps de coloniser ni la lune, ni Mars, vu la vitesse à laquelle ils étaient en train de dégrader leur environnement sur Terre. De toute façon, s’il était possible d’envoyer des humains sur ces planètes, ce ne pourrait être que quelques familles constituées certainement de chercheurs de haut niveau.

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The Ache of Noah of the futur…

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Page 1: Planète Barbare chapitre 18

18) L’ASTRONAUTIQUE OU L’ARCHE DE NOE DU FUTUR

Certains chercheurs humains se rendent bien compte que la planète Terre est à bout de

souffle. Il s’agit surtout d’astrophysiciens, car ces derniers, en observant le ciel, ont fini pour

avoir une vision de leur propre monde plus globale.

Depuis déjà quelques décennies, plusieurs de ces astrophysiciens et les organismes dont ils

dépendent cherchent des planètes proches de la Terre qui pourraient héberger quelques

survivants. Ils viennent de découvrir que la lune, ressemblant pourtant à un gros caillou

renfermerai néanmoins de l’eau, du C02, etc. La planète Mars se révèle plus vaste et offre

plus de possibilités. Elle comporte surtout du dioxyde de carbone (95 %) et du diazote (N2 –

2,7 %) mais également un peu d’eau. Sa température maximum avoisine les – 3° C, tandis que

sa température minimale est proche des – 133° C. Inutile de préciser à mes Frères Centaures

que de telles températures ne sont guère favorables à l’espèce humaine. D’autant plus qu’il

leur faudrait actuellement un an pour arriver sur place à partir de la Terre. Le temps plus que

suffisant pour que des humains en arrivent à s’entre tuer.

NOTE COMPLEMENTAIRE DE L’AUTEUR DE CE LIVRE

Tourbillon Magnétique m’a confié qu’il pensait que les humains n’auraient jamais le temps de

coloniser ni la lune, ni Mars, vu la vitesse à laquelle ils étaient en train de dégrader leur

environnement sur Terre. De toute façon, s’il était possible d’envoyer des humains sur ces

planètes, ce ne pourrait être que quelques familles constituées certainement de chercheurs de

haut niveau.