rÉbecca dautremer

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24 e festival Lettres d’Automne (17 novembre – 30 novembre 2014) / Programmation scolaire Association Confluences / www.confluences.org - 1 RÉBECCA DAUTREMER, auteur illustratrice 1. Présentation ..................................................................................... p. 1 2. Bibliographie ................................................................................... p. 2 3. Conseils de lecture .......................................................................... p. 3 Manifestations du festival Lettres d’Automne autour de Rébecca Dautremer 4. Rencontre ........................................................................................ p. 5 5. Participation à l‘exposition des élèves.............................................. p. 5 1. PRÉSENTATION Rébecca Dautremer a suivi les cours de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD). Ses professeurs ont tout de suite vu son talent et l’ont encouragée à faire de l’illustration jeunesse. Son premier livre, La chèvre au loup, a été publié en 1996 aux éditions Gautier- Languereau, suivi d’innombrables succès parmi lesquels : Le géant aux oiseaux, Les deux mamans de Petirou, Une lettre pour Lily la licorne, L’amoureux, Babayaga ou encore l’inoubliable Princesses oubliées ou inconnues. En plus de ses illustrations pour plusieurs maisons d’édition, Rébecca Dautremer travaille aussi pour la presse jeunesse. Elle a une passion pour la photographie. En quelques mots, quel est votre parcours ? Je suis née à Gap et j’ai fait mes études à Paris dans les années 1990 (atelier préparatoire puis Arts Déco, cursus graphisme...) Vous destiniez-vous déjà a l’illustration jeunesse ? Pas du tout, j’étais plutôt intéressée par le design, le graphisme, la photo surtout. La rencontre des éditions Gaultier Languereau est un coup de chance, je ne m’orientais pas à priori vers l’édition. Gaultier Languereau cherchait quelqu’un pour illustrer de l’imagerie, des coloriages, des décalcos ! Des choses simples... Nous nous sommes très bien entendues, la directrice artistique et moi-même, puisqu’elle m’a confié dès la sortie de l’école l’illustration d’un premier album, puis d’un second… D’autres éditeurs m’ont contacté en voyant mon travail, et les projets ont commencé à s’enchainer petit à petit... Pendant longtemps, j’avoue que j’ai eu le sentiment de pratiquer en touriste. Aujourd’hui j’assume pleinement mon statut d’illustrateur et j’y emploie tout mon temps. A partir de quand avez-vous trouvé votre style ? En 1996, j’ai illustré un texte de Maurice Genevois, La chèvre au loup, des illustrations très classiques mais cela m’a permis de voir comment ça marchait, ce fut une 1ère expérience. Au clair de la terre, mon second album était déjà une recherche un peu plus personnelle mais c’est vraiment à partir de L’amoureux, que j’ai commencé à me sentir à l’aise, à savoir ce que j’avais envie de faire… Avec Sentimento, je me suis sentie plus libre, la facture est plus spontanée... Avec Le grand courant d’air, j’ai eu envie de me renouveler, je voulais faire un dessin très jeté au départ, changer de technique, proposer autre chose. De toute façon on peut sans fin progresser et se remettre en question ! Quelles sont les rencontres qui vous ont marqué ? La première forcément, avec la DA de Gaultier Languereau. Elle a été très patiente avec moi et fidèle ! Aujourd’hui j’ai une très grande liberté de travail chez Gaultier Languereau... J’ai bien sûre eu envie parfois d’aller voir ailleurs, de connaître d’autres éditeurs et d’autres méthodes de travail, j’ai ainsi collaboré avec le Père Castor Flammarion pour Nasreddine avec Odile Weulersse... Un autre projet est en cours. J’ai également travaillé avec une plus petite maison d’édition, Bilboquet, pour Sentimento. L’aventure me tentait, je me suis beaucoup investie, l’expérience n’a pas été des plus faciles mais la porte n’est pas fermée... Il y a bien sûr les rencontres avec les autres illustrateurs, c’est toujours agréable de se retrouver. Dans ce milieu les égos ne sont pas surdimensionnés, ça fait du bien. Il y a aussi les auteurs avec lesquels je travaille. Philippe Lechermeier, c’est une belle rencontre pour l’album Princesses..., c’est la première fois où j’ai eu de véritables échanges avec un auteur. Il avait envoyé son texte chez Gaultier Languereau. On me l’a

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RÉBECCA DAUTREMER, auteur illustratrice

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24e festival Lettres d’Automne (17 novembre – 30 novembre 2014) / Programmation scolaire

Association Confluences / www.confluences.org - 1

RÉBECCA DAUTREMER, auteur illustratrice

1. Présentation ..................................................................................... p. 1 2. Bibliographie ................................................................................... p. 2 3. Conseils de lecture .......................................................................... p. 3

Manifestations du festival Lettres d’Automne autour de Rébecca Dautremer 4. Rencontre ........................................................................................ p. 5 5. Participation à l‘exposition des élèves .............................................. p. 5

1. PRÉSENTATION

Rébecca Dautremer a suivi les cours de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD). Ses professeurs ont tout de suite vu son talent et l’ont encouragée à faire de l’illustration jeunesse. Son premier livre, La chèvre au loup, a été publié en 1996 aux éditions Gautier-Languereau, suivi d’innombrables succès parmi lesquels : Le géant aux oiseaux, Les deux mamans de Petirou, Une lettre pour Lily la licorne, L’amoureux, Babayaga ou encore l’inoubliable Princesses oubliées ou inconnues. En plus de ses illustrations pour plusieurs maisons d’édition, Rébecca Dautremer travaille aussi pour la presse jeunesse. Elle a une passion pour la photographie.

En quelques mots, quel est votre parcours ? Je suis née à Gap et j’ai fait mes études à Paris dans les années 1990 (atelier préparatoire puis Arts Déco, cursus graphisme...) Vous destiniez-vous déjà a l’illustration jeunesse ? Pas du tout, j’étais plutôt intéressée par le design, le graphisme, la photo surtout. La rencontre des éditions Gaultier Languereau est un coup de chance, je ne m’orientais pas à priori vers l’édition. Gaultier Languereau cherchait quelqu’un pour illustrer de l’imagerie, des coloriages, des décalcos ! Des choses simples... Nous nous sommes très bien entendues, la directrice artistique et moi-même, puisqu’elle m’a confié dès la sortie de l’école l’illustration d’un premier album, puis d’un second… D’autres éditeurs m’ont contacté en voyant mon travail, et les projets ont commencé à s’enchainer petit à petit... Pendant longtemps, j’avoue que j’ai eu le sentiment de pratiquer en touriste. Aujourd’hui j’assume pleinement mon statut d’illustrateur et j’y emploie tout mon temps. A partir de quand avez-vous trouvé votre style ? En 1996, j’ai illustré un texte de Maurice Genevois, La chèvre au loup, des illustrations très classiques mais cela m’a permis de voir comment ça marchait, ce fut une 1ère expérience. Au clair de la terre, mon second album était déjà une recherche un peu plus personnelle mais c’est vraiment à partir de L’amoureux, que j’ai commencé à me sentir à l’aise, à savoir ce que j’avais envie de faire… Avec Sentimento, je me suis sentie plus libre, la facture est plus spontanée... Avec Le grand courant d’air, j’ai eu envie de me renouveler, je voulais faire un dessin très jeté au départ, changer de technique, proposer autre chose. De toute façon on peut sans fin progresser et se remettre en question ! Quelles sont les rencontres qui vous ont marqué ? La première forcément, avec la DA de Gaultier Languereau. Elle a été très patiente avec moi et fidèle ! Aujourd’hui j’ai une très grande liberté de travail chez Gaultier Languereau... J’ai bien sûre eu envie parfois d’aller voir ailleurs, de connaître d’autres éditeurs et d’autres méthodes de travail, j’ai ainsi collaboré avec le Père Castor Flammarion pour Nasreddine avec Odile Weulersse... Un autre projet est en cours. J’ai également travaillé avec une plus petite maison d’édition, Bilboquet, pour Sentimento. L’aventure me tentait, je me suis beaucoup investie, l’expérience n’a pas été des plus faciles mais la porte n’est pas fermée... Il y a bien sûr les rencontres avec les autres illustrateurs, c’est toujours agréable de se retrouver. Dans ce milieu les égos ne sont pas surdimensionnés, ça fait du bien. Il y a aussi les auteurs avec lesquels je travaille. Philippe Lechermeier, c’est une belle rencontre pour l’album Princesses..., c’est la première fois où j’ai eu de véritables échanges avec un auteur. Il avait envoyé son texte chez Gaultier Languereau. On me l’a

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proposé. On a retravaillé ensemble sur le rythme du livre, sur certains personnages dont j’avais envie de faire le portrait aussi. C’est quelqu’un qui est très à l’écoute... Je travaille également avec Taï Marc Le Thanh dans des conditions d’échange tout aussi bonnes. Avec lui, nous concevons ensemble la totalité de l’album, du texte à la composition des images. Ce n’est pas toujours évident de travailler avec un auteur ? Pas toujours en effet, cela dépend de la personnalité de chacun. Certains n’acceptent pas d’avoir de retour sur leurs textes, ne sont pas prêts à les faire évoluer, d’autres sont plus à l’écoute... Certains ont un avis très précis sur l’illustration de leur texte, d’autres vous font entièrement confiance. (…) Quelle est votre technique de prédilection ? Je travaille essentiellement à la gouache, par petites touches, sur du papier aquarelle, j’huile un peu le papier pour densifier au mieux la couleur. Je suis plutôt grand format (110 ou 120%). Vos sources d’inspirations ? Je regarde beaucoup moins qu’avant ce que font les autres illustrateurs. Par contre je m’inspire beaucoup de la photo, j’ai des tonnes de livres de photographie, je regarde les cadrages, les couleurs, les lumières, le cinéma aussi m’inspire, j’essaie de travailler comme un photographe, en réfléchissant à la composition, à la profondeur de champ, en utilisant le flou... J’aime vraiment la photographie, j’ai des carnets de croquis, j’y colle mes polaroids, je feuillette mes piles de bouquins, une image me saute aux yeux et hop... mais au final je réussis mieux mes images avec un pinceau qu’un appareil photo... Vos illustrateurs jeunesse préférés ? J’admire certains illustrateurs qui ont des styles très éloignés du mien, comme André Bouchard ou Quentin Blacke évidemment. En vrac je pourrais citer Lisbeth Zwerger, Pierre Mornet, Elodie Nouhen, Emmanuelle Houdard ... Etes-vous adepte des interventions en milieu scolaire ? L’an dernier je suis souvent allée sur le terrain, toujours à la demande d’un(e) instit(e). Volontairement il s’agit toujours d’interventions courtes, je parle surtout technique : comment faire un livre ? Je montre des originaux, je fais toucher le papier, sentir la peinture, j’essaie de montrer le cheminement de l’idée au bouquin en librairie. En général, les instits ont fait un beau boulot avant, les enfants sont déjà conquis... Qui sont vos plus fidèles lecteurs ? D’abord les enfants, bien sûr. Leurs réactions sont souvent très sincères. L’amoureux a été monté deux fois en pièce de théâtre par des classes, j’ai assisté une fois à une représentation, ils sont allés beaucoup plus loin que le livre. C’était très touchant. Une autre fois, j’ai rencontré une petite fille de 8 ans qui connaissait tout le livre des princesses par cœur, les renvois, les vignettes, la pagination. C’était son livre préféré. J’ai souvent des petits mots qu’on me glisse dans mon carton à dessin que je découvre en rentrant chez moi, une fois «tu dessines aussi bien que Clémence » ou celui d’un petit garçon que je garde précieusement : « Je t’aime Rebecca. Tu es la plus belle illustratrice... », etc. ça fait toujours du bien ! Mais sur les salons, plus de la moitié des personnes qui viennent me rencontrer sont aussi des adultes et pas forcément des parents. Ils sont nombreux à collectionner les livres jeunesse... Quand je fais un livre, j’essaie toujours de proposer plusieurs degrés de lecture, des petits clins d’œil aux parents, Je pense à moi quand je lis des livres à mes enfants et que je m’ennuie, ça arrive souvent ! Je crois que mes images sont claires et lisibles par les grands comme les petits de toute façon... Ricochet/2006 À consulter : http://www.rebeccadautremer.com/ Contact : Vous pouvez contacter Rébecca Dautremer par mail en amont du festival : si vous le souhaitez, demandez ses coordonnées à Confluences.

2. BIBLIOGRAPHIE (Extraits) Histoires de princesse, texte de Christine Palluy, 2012 Alice au Pays des Merveilles, texte de Lewis Carroll, Gautier-Languereau, 2010 Journal secret du petit Poucet, texte de Philippe Lechermeier, Gautier-Languereau, 2009 Artbook monographie/carnet de route annoté par Rébecca Dautremer, Éditions du Chêne, 2009 Swing Café, texte de Carl Norac, Didier Jeunesse, 2009 Kérity, la maison des contes, texte de Anik Le Ray, Père Castor Flammarion, 2009 Cyrano, texte de Taï Marc Le Thanh, Gautier-Languereau, 2005 - 2009 Babayaga, texte de Taï Marc Le Thanh, Gautier-Languereau, 2003-2008 Elvis, texte de Taï Marc Le Thanh, Gautier-Languereau, 2003-2008 Le loup de la 135e, Seuil Jeunesse, 2008-2014

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Séraphin Mouton, Série d’albums de Taï Marc Le Thanh, Gautier-Languereau, 2007-2008 La tortue géante des Galapagos, tragédie en cinq actes pour une coccinelle, un moustique et 8 animaux de ferme, Gautier Languereau, 2006 Le grand courant d’air, texte de Taï Marc Le Thanh, Gautier-Languereau, 2006 Nasreddine, textes d’Odile Weulersse, Père Castor Flammarion, 2005 - 2013 Sentimento, texte de Carl Norac, Bilboquet, 2005 – Tom’poche, 2013 Avalanche le terrible, Gautier-Languereau, 2005 Princesses oubliées ou inconnues, texte de Philippe Lechermeier, Gautier-Languereau, 2004 L’amoureux, Gautier Languereau, 2003 Le livre qui vole, texte de Pierre Laury, Bilboquet, 2003 Je suis petite, mais… mon arbre est grand !, Gautier Languereau, 2003 Les fables de la Fontaine, Magnard Jeunesse, 2001 Le géant aux oiseaux, Texte de Ghislaine Biondi, Gautier Languereau, 2001 3. CONSEILS DE LECTURE

Alice au Pays des Merveilles Texte Lewis Carroll, Gautier Languereau, 2010 Présentation de l’éditeur : Assise dans l'herbe un jour d'été, la jeune Alice rêve quand soudain un lapin blanc pressé passe devant elle. Brûlante de curiosité, Alice s'engouffre derrière lui dans son terrier et se retrouve plongée au pays des merveilles. Rébecca Dautremer revisite le texte intégral du chef-d'œuvre de Lewis Carroll.

POUR ALLER PLUS LOIN : Texte de Lewis Carroll : http://www.ebooksgratuits.com/pdf/carroll_alice_aux_pays_des_merveilles.pdf Livre audio : http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/carroll-lewis-les-aventures-dalice-au-pays-des-merveilles.html Le dessin animé de Disney : http://personnages-disney.com/Page%20Alice.html Critique et analyse : http://lewis-carroll-and-alice.blogspot.fr/ Transpositions cinématographiques ; http://dumas.ccsd.cnrs.fr/docs/00/73/51/36/PDF/bourgain_antoine.pdf Fiche pédagogique : http://www.cercle-enseignement.com/College/Sixieme/Sequences/Les-Aventures-d-Alice-au-pays-des-merveilles

Journal secret du petit Poucet Texte Philippe Lechermeier, Gautier-Languereau, 2009 Présentation de l’éditeur : "Je m'appelle Poucet, Petit Poucet, j'aime écrire et dessiner les choses qui me sont arrivés. Voici mon histoire vous ne l'oublierez jamais..." Philippe Lechermeier et Rébecca Dautremer revisitent le conte du Petit Poucet et font œuvre de re-création dans ce volume foisonnant. Ils épaississent l’histoire originelle et approchent de très près un personnage très connu, malin et débrouillard, inventif et sensible. Ricochet

POUR ALLER PLUS LOIN : Texte : http://www.alyon.org/litterature/livres/XVIII/esprit_salon/perrault/le_petit_poucet.html Fiche pédagogique : lewebpedagogique.com/disdonc/files/2011/04/ici2.pdf Lecture suivie : http://kalolanea.hautetfort.com/media/00/00/1052856169.pdf Questionnaire : data0.ek.la/zoutils/perso/lire/le%20petit%20poucet%20simplifie.pdf 9 contes de Charles Perrault : http://www.cndp.fr/fileadmin/user_upload/CNDP/catalogues/perrault/files/contes_perrault.pdf

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Kérity, la maison aux contes Texte Anik Le Ray, Père Castor Flammarion, 2009 Présentation de l’éditeur : Natanaël a bientôt 7 ans mais il ne sait toujours pas lire... Lorsque sa tante Eléonore lui lègue sa bibliothèque contenant des centaines de livres, Natanaël est très déçu ! Pourtant chacun de ces contes va livrer un merveilleux secret : à la nuit tombée les petits héros, la délicieuse Alice, la méchante Fée Carabosse, le terrible Capitaine Crochet sortent des livres... Ils doivent prévenir Natanaël qu’ils courent un grand danger et risquent de disparaître à jamais. Pour sauver ses minuscules amis et leurs histoires, Natanaël, rétréci par la Fée Carabosse, se lance dans l’aventure ! Il affrontera vaillamment le très fourbe Pictou, le crabe géant et l’Ogre affamé... Arrivera-t-il à temps à lire la formule magique qui les sauvera tous ?

Film d’animation de Dominique Monféry (2009)

POUR ALLER PLUS LOIN : Dossier pédagogique : http://www.institutfrancais.de/cinefete/IMG/pdf/CINEFETE13_Dossier_Kerity-la-maison-des-contes.pdf http://www.atmospheres53.org/docs/kerity.pdf

Babayaga Texte Taï-Marc Le Thanh, Gautier-Languereau, 2003-2008 Présentation de l’éditeur : Babayaga n’avait qu’une seule dent. Et c’est probablement ça qui l’a rendu si méchante. Ogresse par vocation, elle n‘a qu’une passion : manger, et de préférence les enfants bien dodus et bien gras. Alors, comment s’en sortir quand on est une fillette haute comme trois pommes et qu’on se retrouve coincée dans l’antre de Babayaga ? Un conte drôle, savoureux, servi par de magnifiques illustrations.

POUR ALLER PLUS LOIN : http://www.iletaitunehistoire.com/genres/contes-legendes/lire/baba-yaga-biblidcon_057 http://blog.crdp-versailles.fr/espacedocumentationweb/index.php/post/29/01/2009/Etude-du-conte-:-Baba-Yaga http://www.ac-grenoble.fr/savoie/pedagogie/docs_pedas/russie_decouverte/litterature_babayaga.pdf?PHPSESSID=3bbe47d5bfb2321599899c815481538f www.enseignons.be/upload/fondamental/francais/Textes-Babayaga.pdf

Cyrano Texte Taï-Marc Le Thanh d’après Edmond Rostand, Gautier-Languereau, 2005 - 2009 Présentation de l’éditeur : Cyrano avait un gros nez. Cyrano était amoureux de sa cousine Roxanne. Mais il n'osait le lui dire (à cause de son gros nez). Heureusement, Cyrano était poète. Voici les aventures tumultueuses de Cyrano racontées très librement (et même d'une façon un peu cavalière*), d'après Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand. *Une façon cavalière est une façon de cheval. Une façon un peu cavalière est une façon un peu de cheval.

POUR ALLER PLUS LOIN : http://www.cyranodebergerac.fr/ Texte : http://lirenligne.net/livre/Edmond%20ROSTAND/Cyrano%20de%20Bergerac/683 La tirade des nez : http://dardel.info/Textes/Cyrano.html Étude : http://lettres-lp.ac-dijon.fr/IMG/pdf/cyrano_de_bergerac.pdf Sites autour des contes : http://www.iletaitunehistoire.com http://www.lepointdufle.net/contes_et_histoires.htm

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4. RENCONTRE Niveau : CE1-CM2 Durée : 1h Participation financière : gratuit Nombre de classes par rencontre : 1 classe

« Il paraît vain de vouloir parachuter un écrivain dont les élèves n’ont jamais entendu parler si cette visite n’est pas sérieusement préparée. Les parachutages d’auteur dans des classes mal préparées à leur venue, sans lien avec un projet dûment élaboré conduisent à l’échec et génèrent déception et frustration pour chacun des acteurs. Il est évident que chaque rencontre est unique et tire sa magie de son vécu même. Cependant, toute intervention, même ponctuelle, exige une préparation. Plus on l’aura pensée, mieux elle aura été préparée avec les élèves, plus elle sera fructueuse. Un auteur doit être attendu, seule condition d’ailleurs pour qu’il puisse apporter de l’inattendu... » Extrait de « l’Ami littéraire », un programme d’interventions d’écrivains dans les écoles de la Maison des écrivains (Mel) Le déroulement d’une rencontre La rencontre avec un écrivain ou un illustrateur est un moment fort dans la vie d’une classe : soudain, le livre devient vivant, son auteur est là, qui se raconte, confie ses réflexions, explique comment il travaille et répond volontiers à toutes les questions des élèves... Pour que cet échange, rare, soit profitable pour chacun, il est évidemment indispensable que les élèves soient bien préparés, qu’ils se soient familiarisés avec l’univers et les livres de l’auteur, qu’ils aient préparé des questions, etc. Rébecca Dautremer parlera de son travail d’auteur et échangera de façon spontanée avec les élèves, répondant aux questions que ceux-ci poseront. Les élèves peuvent également prévoir de raconter ou montrer, brièvement, le travail qu’ils auront réalisé en amont autour de ses livres.

POUR ALLER PLUS LOIN : Conseils pour préparer une rencontre : http://www.salondulivrebeyrouth.org/assets/pedagogie/Comment-preparer-la-rencontre-avec-les-auteurs.pdf http://www.salon-livre-presse-jeunesse.net/pdf/fiche_rencontre.pdf http://www.cndp.fr/crdp-reims/fileadmin/documents/cddp51/conseils_rencontrer_auteur.pdf http://www4.ac-nancy-metz.fr/ia54-gtd/arts-et-culture/sites/arts-et-culture/IMG/pdf/Preparer_sa_rencontre.pdf http://tice33.ac-bordeaux.fr/Ecolien/LinkClick.aspx?fileticket=a5VM9l%2Bh%2FaU%3D&tabid=3668&mid=8238&language=en-US Blog de littérature jeunesse sur les rencontres d’auteurs : http://litterature.jeunesse.over-blog.com/ 5. PARTICIPATION À L’EXPOSITION DES ÉLÈVES Cette année, nous incitons chaque classe inscrite à une rencontre, un atelier et/ou un spectacle à participer à l’exposition des élèves en produisant une réalisation écrite ou plastique. Ces productions peuvent prendre toutes sortes de formes : dessins, peintures, textes, enregistrements sonores ou vidéo, etc. Elles sont le reflet du travail en classe qui accompagne la préparation d’une manifestation. - Remise des travaux à Confluences au plus tard le vendredi 14 novembre - Présentation de l’exposition des élèves à l’Ancien Collège du 17 au 29 novembre 2014, à l’intention du public,

des intervenants, des élèves et de leurs parents. - Remise des coups de cœur du jury lors de la « Matinée autour de la littérature jeunesse »

le samedi 22 novembre à partir de 10h à L’Ancien Collège : • 10h à 12h : Livres et dédicaces avec Rébecca Dautremer, Taï-Marc Le Thanh, Anne Letuffe,

Damien Laverdunt et Hélène Rajcak • 10h : Rencontre tout public avec Rébecca Dautremer et Taï-Marc Le Thanh • 10h et 10h30 : Visites de l’exposition « Le tout petit jeu » avec Anne Letuffe • 11h30 : Présentation de l’exposition des élèves et remise des coups de cœur du jury

Pour tout renseignement, vous pouvez contacter l’équipe de Confluences au 05 63 63 57 62 ou par mail : [email protected]