resumenes

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ReÂsumeÂs 1745 perte de ces roà les serait associe e aÁ une augmentation. Type d’e tude: une e tude prospective. Lieu: la province de Limburg, aux Pays-Bas. Participants: 1327 hommes et femmes aà ge s de 16 aÁ 69 ans au moment de la premieÁ re mesure. Mesures: la consommation hebdomadaire des unite s standards (10gr d’alcool) des boissons alcoolise es; la fre quence d’alcoolisation de six unite s ou plus; et le roà le social autoreporte . Re sultats: l’acquisition du roà le de conjoint(e) et du roà le parental, et non celle d’un emploi, e tait associe e aÁ une baisse de consommation ou de forte alcoolisation, et la perte du roà le d’e pouse e tait associe e aÁ une hausse de l’alcoolisation excessive. Sinon, le fait de perdre un roà le n’e tait pas en relation avec un changement de consommation ou de forte alcoolisation. Conclusions: les re sultats ne confortent pas l’ide e de de part selon laquelle les changements de roà le in¯uencent les comportements d’alcoolisation. Cette e tude suggeÁ re que d’autres the ories doivent eà tre e labore es pour expliquer les diffe rences sociales observe es au niveau de la consommation d’alcool. Les services de police sont-ils en bonne sante ? Une enqueà te sur les facteurs lie s au mode de vie Robyn L. Richmond, Alex Wodak, Linda Kehoe & Nick Heather Objectifs: e tudier la pre valence de cinq comportements concernant le mode de vie des policiers de la Nouvelle Galles du Sud. Type d’e tude: une enqueà te de type vertical utilisant un questionnaire auto-administre . Lieu et participants: un total de 852 policiers recruteÂs Sydney. Mesures: la preÂvalence, lieÂe l’aÃge et au sexe, de la consommation d’alcool et de cigarettes, du manque d’exercice, du sentiment de surpoids, et des symptoà mes de stress. Re sultats: un fort niveau de participation (89%) a e te obtenu dans cette enqueà te. Les re sultats sont les suivants: (1) pratiquement la moitie (48%) des hommes et plus du tiers des femmes (40%) consommaient de l’alcool de manieÁ re excessive, c’est-aÁ -dire une consommation re gulieÁ re dangereuse ou nocive, et une alcoolisation jusqu’aÁ l’ivresse; (2) l’alcoolisation excessive e tait plus fre quente chez les jeunes policiers; (3) 8% des hommes et 15% des femmes de claraient ne pas boire d’alcool; (4) plus d’un quart (27%) des hommes et un tiers des femmes (32%) fumaient; (5) preÁ s de la moitie des hommes (46%) et des femmes (47%) croyaient qu’ils e taient en surpoids; 21% des hommes et 24% des femmes ne faisaient pas d’exercice; et (6) 12% des hommes et 15% des femmes rapportaient avoir des symptoà mes de stress modeÂreÂs seÂveÁres. Conclusions: les services de police offrent une excellente opportunite d’observer un grand nombre d’individus en bonne sante , jeunes, et aÁ haut risque (notamment les hommes) qui sont habituellement dif® ciles atteindre dans d’autres cadres et qui consultent rarement leur me decin ge ne raliste. Une large majorite (83%) des policiers de la Nouvelle Galles du Sud avaient dans leur mode de vie au moins un comportement malsain et 19% en avaient de 3 aÁ 5. Une promotion de la sante plus active et la possibilite de be ne ® cier d’interventions breÁ ves peuvent re duire la morbidite et la mortalite associeÂesaÁ une mauvaise hygieÁ ne de vie. Resumenes MIGUEL CASAS Unidad de Toxicomanõ  as, Programa Sant Pau-CITRAN, Hospital de Santa Creu i Sant Pau, C. St. Antoni M. Claret, No. 167, 08025-Barcelona, Spain Desintoxicacio n ultra-ra pida de opia ceos Herbert D. Kleber Aunque la abstinencia de opia ceos es, habitualmente, so lo el primer paso de un largo proceso, se han ido realizando intentos, a lo largo de ma s de un siglo, para mejorar y acortar este perõ  odo. Muchos

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Page 1: Resumenes

Re sume s 1745

perte de ces roà les serait associe e aÁ une augmentation. Type d’ e tude: une e tude prospective. Lieu: la

province de Limburg, aux Pays-Bas. Participants: 1327 hommes et femmes aà ge s de 16 aÁ 69 ans au

moment de la premieÁ re mesure. M esures: la consommation hebdomadaire des unite s standards (10gr

d’ alcool) des boissons alcoolise es; la fre quence d’ alcoolisation de six unite s ou plus; et le roà le social

autoreporte . Re sultats: l’ acquisition du roà le de conjoint(e) et du roà le parental, et non celle d’un

emploi, e tait associe e aÁ une baisse de consommation ou de forte alcoolisation, et la perte du roà le

d’ e pouse e tait associe e aÁ une hausse de l’ alcoolisation excessive. Sinon, le fait de perdre un roà le

n’ e tait pas en relation avec un changement de consommation ou de forte alcoolisation. Conclusions:

les re sultats ne confortent pas l’ ide e de de part selon laquelle les changements de roà le in¯ uencent les

comportements d’ alcoolisation. Cette e tude suggeÁ re que d’ autres the ories doivent eà tre e labore es pour

expliquer les diffe rences sociales observe es au niveau de la consommation d’ alcool.

Les services de police sont-ils en bonne sante ? Une enqueà te sur les facteurs lie s au mode

de vie

Robyn L. Richmond, Alex Wodak, Linda Kehoe & Nick Heather

Objectifs: e tudier la pre valence de cinq comportements concernant le mode de vie des policiers de la

Nouvelle Galles du Sud. Type d’ e tude : une enqueà te de type vertical utilisant un questionnaire

auto-administre . Lieu et participants: un total de 852 policiers recrute s aÁ Sydney. M esures: la

pre valence, lie e aÁ l’ aà ge et au sexe, de la consommation d’alcool et de cigarettes, du manque

d’ exercice, du sentiment de surpoids, et des symptoà mes de stress. Re sultats: un fort niveau de

participation (89%) a e te obtenu dans cette enqueà te. Les re sultats sont les suivants: (1) pratiquement

la moitie (48%) des hommes et plus du tiers des femmes (40%) consommaient de l’ alcool de manieÁ re

excessive, c’ est-aÁ -dire une consommation re gulieÁ re dangereuse ou nocive, et une alcoolisation jusqu’ aÁ

l’ ivresse; (2) l’ alcoolisation excessive e tait plus fre quente chez les jeunes policiers; (3) 8% des

hommes et 15% des femmes de claraient ne pas boire d’ alcool; (4) plus d’ un quart (27%) des

hommes et un tiers des femmes (32%) fumaient; (5) preÁ s de la moitie des hommes (46%) et des

femmes (47%) croyaient qu’ ils e taient en surpoids; 21% des hommes et 24% des femmes ne faisaient

pas d’ exercice; et (6) 12% des hommes et 15% des femmes rapportaient avoir des symptoà mes de

stress mode re s aÁ se veÁ res. Conclusions: les services de police offrent une excellente opportuniteÂ

d’ observer un grand nombre d’ individus en bonne sante , jeunes, et aÁ haut risque (notamment les

hommes) qui sont habituellement dif® ciles aÁ atteindre dans d’ autres cadres et qui consultent

rarement leur me decin ge ne raliste. Une large majorite (83%) des policiers de la Nouvelle Galles du

Sud avaient dans leur mode de vie au moins un comportement malsain et 19% en avaient de 3 aÁ 5.

Une promotion de la sante plus active et la possibilite de be ne ® cier d’ interventions breÁ ves peuvent

re duire la morbidite et la mortalite associe es aÁ une mauvaise hygieÁ ne de vie.

Resumenes

MIGUEL CASAS

Unidad de ToxicomanõÂ as, Programa Sant Pau-CITRAN, Hospital de Santa Creu

i Sant Pau, C. St. Antoni M. Claret, No. 167, 08025-Barcelona, Spain

Desintoxicacio n ultra-ra pida de opia ceos

Herbert D. Kleber

Aunque la abstinencia de opia ceos es, habitualmente, so lo el primer paso de un largo proceso, se han

ido realizando intentos, a lo largo de ma s de un siglo, para mejorar y acortar este perõ odo. Muchos

Page 2: Resumenes

1746 Resumenes

de ellos han resultado inefectivos o, incluso, causantes de mayor morbilidad o mortalidad que la

abstinencia por si misma. El u ltimo intento, proclamado por algunos como ª cura milagrosaº , es la

desintoxicacio n ultra-ra pida asistida con anestesia. Se basa en trabajos anteriores realizados hace dos

de cadas utilizando antagonistas opia ceos (naloxona o naltrexona) para precipitar la abstinencia

inmediata, y sustancias tales como la clonidina o las benzodiacepinas para mejorar los sõÂ ntomas

resultantes. El factor limitante, en cuanto a velocidad, era la capacidad del paciente despierto de

tolerar el disconfort que se generaba. El avance encabezado por Loimer era llevar a cabo este

procedimiento con anestesia general o con una fuerte sedacio n con mizadolam. De este modo, el

procedimiento podõ a acortarse desde los 2± 3 dõ as de la desintoxicacio n ra pida a tan solo 4± 6 horas.

Sin embargo, hasta el momento la relacio n riesgo/bene® cio de este procedimiento no esta clara. Es

caro ($2500 ± $7500 o ma s); los datos sobre su seguridad son inadecuados y no esta clara la

morbilidad o mortalidad tras el tratamiento, que podrõ a empeo rar si el procedimiento se extiende a

pacientes graves o con doble dependencia. Adema s, no hay datos sobre sus bene® cios a largo plazo.

En el lado positivo, podrõ a ser u til para adictos con miedo a padecer el sõ ndrome de abstinencia,

podrõ a aumentar los e xitos terape uticos despue s del mantenimiento con metadona y, ® nalmente,

mejorar la fase de induccio n en los tratamientos con naltrexona. Sin embargo, hasta que no se

realicen ma s estudios controlados sobre esos tratamientos, el procedimiento debe considerarse

experimental.

Conversaciones con Howard Blane

Gerard J. Connors

En estas series extraordinarias plasmamos los puntos de vista y experiencias personales de profesionales

que han contribuõ do especialmente a la evolucio n de las ideas en el campo de intere s de esta Revista.

Howard T. Blane Ph D., antiguo Director del ª Research Institute on Addictionsº de Bufalo, Nueva

York, es Catedra tico de Investigacio n en Psicologõ a, Psiquiatrõ a y Medicina Social en Bufalo. Es un

psico logo que ha efectuado contribuciones fundamentales en el campo de la investigacio n de los

trastornos inducidos por el alcohol.

Infecciones virales de transm isio n sangu õ nea en consum idores de drogas intravenosas en

Irlanda

Bobby P. Smyth, Eamon Keenan & John O’ Connor

Objetivos: Las estrategias para reducir los danÄ os causados por el consumo de drogas en DublõÂ n han

proliferado mucho desde 1990. Intentamos determinar la prevalencia y los factores de riesgo asociados

con las infecciones por hepatitis C (HCV), hepatitis B (HBV) y VIH, entre los consumidores de drogas

inyectadas (IDU) frente a estos antecedentes. DisenÄ o: Estudio prospectivo transversal. Localizacio n:

Una clõ nica de tratamiento de drogodependencias. Participantes: 735 IDUs con ana lisis de anticuerpos

de HCV (anti-HCV) entre septiembre de 1992 y septiembre de 1997. M edicione s: CaracterõÂ sticas

sociodemogra ® cas y de consumo de drogas. Ana lisis serolo gicos de anti-HCV, antõ geno de super® cie

de HBV (HBsAg) y VIH. Hallazgos: La gran mayorõÂ a (89%) iniciaron el consumo inyectado a partir

de 1990. La prevalencia de anti-HCV fue del 61.8% (453/733), la de HBsAg fue del 1.0% (7/729),

y la de VIH fue del 1.2% (7/600). Los ana lisis de regresio n logõ stica indicaron que las u nicas variables

independientes relacionadas signi® cativamente con un aumento del riesgo de HCV eran: antecedentes

ma s prolongados de consumo inyectado y mayor gasto diario en drogas. La u nica caracterõ stica

relacionada con una mayor prevalencia de HBsAg fue los antecedentes de consumo inyectado anteriores

a 1990 (3.8%, 3/80). La prevalencia de VIH fue signi® cativamente ma s elevada en edades mayores

de 24 anÄ os (3.7%, 6/162), cuando el inicio del consumo inyectado era anterior a 1990 (6,3%, 4/64)

y cuando el tiempo del consumo inyectado superaba los 5 anÄ os (6,5%, 4/62). Conclusiones: La prevalencia

de VIH se ha mantenido en un nivel bajo en esta poblacio n. Las intervenciones dirigidas a frenar la

transmisio n de HCV son necesarias y requerira n el abordaje precoz de los IDUs en sus trayectorias

de consumo inyectado, asõ como de la poblacio n con riesgo de iniciar esta forma de consumo.

Page 3: Resumenes

Resumenes 1747

Patrones de conductas sexuales y de riesgo en consum idores de drogas por võÂ a intravenosa

franceses que no inform aron de seropositividad al VIH y al virus de la hepatitis C

Gwenaelle Vidal-Trecan, Joel Coste, Isabelle Varescon-Pousson, Jeanne Reboul-M arty, Boyan Christoforov

& Alain Boissonnas

Objetivos: caracterizar e identi® car los factores que determinan los patrones de las conductas de riesgo

de los consumidores; de drogas inyectadas (IDUs), independientemente de los cambios a raiz del

conocimiento de seropositividad al VIH y al virus de la hepatitis C (HCV). DisenÄ o: estudio

prospectivo transversal utilizando un cuestionario estructurado sobre pra cticas sexuales y de control

analõ tico de anticuerpos del VIH y del VHC. Localizacio n: los IDUs fueron entrevistados en la regio n

de ParõÂ s en 10 centros de tratamiento o psicosociales. Participantes: 612 IDUs consecutivos a lo largo

de 18 anÄ os, sexualmente activos y capaces de contestar el cuestionario. M edicione s: 595 IDUs

contestaron el cuestionario. Los patrones de las conductas de riesgo de los 328 IDUs que no

informaron de seropositividad al VIH y al HCV fueron analizados con una correlacio n phi. Los

factores de riesgo para cada conducta de riesgo fueron determinados mediante modelos de regresio n

logõ stica y calculando la relacio n de probabilidades (`odds ratios’ OR) y sus inte rvalos de con® anza

del 95% (IC 95%). Hallazgos: se sugirieron varios patrones de conductas de riesgo: 1. Prestar y tomar

prestado el material de inyeccio n; 2. La no realizacio n o realizacio n inconsistente de ana lisis

serolo gicos de VIH y HCV, y la no utilizacio n o utilizacio n inconsistene de preservativos; 3. Tener

mu ltiples parejas y la prostitucio n; 4. No utilizar material de inyeccio n higie nico. El abuso de alcohol

estaba independiente y especõÂ ® camente relacionado con el prestar (OR 5 3.8; IC 95% ; 2.1± 7.0) y

tomar prestado (OR 5 3.3; IC 95% ; 1.8 ± 6.1); el no tener hogar con las conductas de inyeccio n de

riesgo y con la prostitucio n (OR 5 2.7; IC 95% ; 1.2± 6.1); un nivel educativo bajo y el tener hijos con

la no utilizacio n o utilizacio n inconsistente de preservativos y de ana lisis serolo gicos; y el consumo

de cocaõ na con la no utilizacio n o utilizacio n inconsistente de preservativos (OR 5 0.4; IC 95% ; 0.3±

0.7) y con los ana lisis serolo gicos y la no utilizacio n de material de inyeccio n higie nico (OR 5 0.4;

IC 95% ; 0.2 ± 0.8). El tener mu ltiples parejas y la prostitucio n no tenõ an factores de riesgo comunes.

Conclusiones: la identi® cacio n de factores de riesgo especõ ® cos podrõ a ayudar a dirigir programas de

reduccio n de danÄ os para cada patro n de conducta de riesgo de los IDUs que no informan de

seropositividad al VIH y el HCV.

Com paracio n de la frecuencia y el disfrute de acontecimientos agradables entre consum i-

dores y no consum idores de cocaõÂ na utilizando un inventario de conducta estandarizado

Michelle L. van Etten, Stephen T. Higgins, A lan J. Budney & Gary J. Badger

Objetivos: analizar si los consumidores de cocaõÂ na di® eren de los no consumidores en cuanto a la

frecuencia y disfrute de su implicacio n en diversos ª acontecimientos agradablesº , con el ® n de

conocer el nivel de refuerzo positivo que experimentan en su entorno natural. DisenÄ o: comparaciones

de consumidores de abuso de cocaõ na con datos normativos y controles equivalentes. Localizacio n:

un centro de tratamiento ambulatorio del abuso de sustancias psicoactivas en Burlington, Vermont.

Participantes: se incluyeron 100 individuos en tratamiento ambulatorio por abuso o dependencia de

cocaõÂ na, y 50 voluntarios de la comunidad sin antecedentes de abuso de drogas u otros trastornos

psiquia tricos de edades, sexo y SES equivalentes a los de los pacientes dependientes de cocaõ na.

Mediciones: las evaluaciones disgno sticas se basaron en entrevistas clõ nicas utilizando la lista de

criterios del DSM-III-R. El enfoque principal de este estudio fue el ª Pleasant Events Schedule

(PES)º (Lista de Acontecimientos Agradables), un inventario de conducta auto-evaluado de la

frecuencia y disfrute de la implicacio n en actividades ª agradablesº . Tambie n se evaluaron los

antecedentes de consumo de cocaõÂ na, los resultados del tratamiento y otras variables relevantes.

Hallazgos: los consumidores de cocaõÂ na comunicaron de forma veraz una menor frecuencia que los

controles de actividades no sociales, de introversio n, pasivas al aire libre, y relacionadas con el estado

de a nimo. Estas diferencias se mantuvieron tras controlar las diferencias demogra ® cas y de estilo de

vida entre grupos, exceptuando las actividades relacionadas con el estado de a nimo. El nivel de

disfrute de las actividades no fue distinto entre los grupos. El consumo intravenoso de cocaõÂ na y

Page 4: Resumenes

1748 Resumenes

un anterior tratamiento del abuso de cocaõÂ na predijeron una frecuencia particularmente baja de

actividades placenteras. Una mayor frecuencia de actividades no sociales predijo un mejor resultado

del tratamiento. Conclusiones: el abuso de drogas esta relacionado con un nivel bajo de ciertos tipos

de refuerzo no asociados con las drogas. El aumento sistema tico de estas actividades podrõ a mejorar

los resultados de los tratamientos.

La eleccio n de un nivel de corte para la dependencia del canabis

Wendy Swift, Jan Copeland & Wayne Hall

Objetivos: mientras que cada vez se reconoce ma s la dependencia del canabis, existe poca investiga-

cio n sobre las mediciones implicadas en clasi® car el s õ ndrome de dependencia de esta droga. El

objetivo de este artõ culo era investigar la utilidad diagno stica y los niveles de corte disgno ticos

adecuados de tres mediciones breves de dependencia entre consumidores de canabis con una larga

trayectoria de consumo. Localizacio n y Participantes: se reclutaron y entrevistaron 200 consumidores

de canabis habituales con una larga trayectoria de consumo en Sydney, Australia. M edicione s: con

ana lisis de ª Receiver Operating Characteristicº se comparo la capacidad diagno stica del CIDI

abreviado de la Universidad de Michigan, una medida de dependencia del ICD-10 y la Escala de

Gravedad de la Dependencia, frente al ª esta ndar de oroº de dependencia del canabis moderada o

ma s grave del DSM-III-R, segu n el diagno stico del Mo dulo de Abuso de Sustancias del CIDI.

Hallazgos: las mediciones fueron de igual utilidad por lo menos para el diagno stico de dependencia

moderada de canabis del DSM-III-R. Mientras que los niveles de corte diagno sticos o ptimos para el

CIDI abreviado de la Universidad de Michigan y la medida de dependencia del ICD-10 no variarion

de los aplicados convencionalmente, para la Escala de Gravedad de la Dependencia se hallo un nivel

de corte o ptimo ma s ¯ exible. La prevalencia de la dependencia de canabis enmendad fue del 77%

utilizando el CIDI abreviado de la Universidad de Michigan, del 72% segu n la medida del ICD-10

y del 62% segu n la Escala de Gravedad de la Dependencia. Conclusiones: los tres instrumentos fueron

capaces de diagnosticar la dependencia de canabis a niveles sustancialmente mejores que el azar. En

general mostraron robustez en cuanto a los niveles de corte diagno sticos en una poblacio n de

consumidores de canabis con una larga trayectoria de consumo. Este artõÂ culo proporciona directrices

para la eleccio n de niveles de corte o ptimos en distintos contextos.

Factores asociados al consum o de marihuana entre los Indios Americanos adolescentes

Douglas K. Novins & Christina M . M itchell

Objetivo: examinar las caracterõÂ sticas de los consumidores de marihuana en una amplia muestra de

Indios Americanos estudiantes de secundaria. DisenÄ o: estudio prospectivo de escuelas de educacio n

secundaria. Localizacio n: siete escuelas de secundaria con predominio de Indios Americanos en

cuatro comunidades al oeste del Mississippi. Participantes: 1,464 adolescentes Indios que: (1) habõÂ an

completado una encuesta en noviembre de 1993, (2) estaban en los grados noveno al doceavo, (3)

eran miembros de uno de cuatro grupos de tribus Indias, y (4) tenõÂ an un conjunto de datos completo

para estos ana lisis. M edicione s: se desarrollaron modelos de regresio n logõ stica para predecir la

probabilidad de una frecuencia baja (una a tres veces en el u ltimo mes) y una frecuencia elevada

(once o ma s veces) de consumo de marihuana. Las variables independientes incluyeron medidas

sociodemogra ® cas, acontecimientos vitales estresantes, caracterõ sticas y creencias personales, sin-

tomatologõ a psiquia trica, y el consumo de otras sustancias. Hallazgos: el cuarenta por ciento de estos

Indios Americanos adolescentes habõ an consumido marihuana al menos una vez en el u ltimo mes.

La prevalencia del consumo de marihuana fue distinta en las cuatro tribus. Los hombres no

mostraron una mayor probabilidad que las mujeres de consumir marihuana con poca frecuencia,

pero si de consumir con mucha frecuencia. Los factores asociados al consumo de marihuana variaban

segu n la frecuencia del consumo y el sexo. En los modelos multivariantes ® nales, la poca frecuencia

de consumo entre las mujeres se relacionaba con informes de que el grupo fomentaba el consumo

de alcohol asõÂ como el consumo de alcohol y estimulantes. Entre los hombres, la poca frecuencia de

Page 5: Resumenes

Resumenes 1749

consumo se relacionaba con mayores expectativas positivas hacia el alcohol, con estar en grados

inferiores en la escuela, y con el consumo de alcohol. Mientras que el consumo elevado de marihuana

en las mujeres se asociaba con el consumo de alcohol, estimulantes y cocaõÂ na, dicho consumo se

relacionaba con puntuaciones ma s altas en las escalas de conductas antisociales asõ como de consumo

de alcohol, estimulantes y cocaõ na. Globalmente, las relaciones ma s fuertes se dieron con el consumo

de alcohol y otras sustancias ilõÂ citas. Conclusiones: la frecuencia baja y elevada de consumo de

marihuana son patrones distintos de consumo y tienen distintas correlaciones segu n el sexo. El

consumo de marihuana entre los Indios Americanos adolescentes es un feno meno complejo que se

comprende mejor en el contexto del consumo de otras sustancias.

Un m odelo de `m arketing’ social para divulgar tratamientos basados en la investigacio n

entre los proveedores de tratam ientos de drogodependencias

G. W. M artin, M . A. Herie, B. J. Turner & J. A. Cunningham

Objetivos: los investigadores deben desarrollar estrategias efectivas para la divulgacio n de tratamientos

basados en la investigacio n. Este estudio evalua la aplicacio n de un modelo de divulgacio n basado

en principios de `marketing’ social y la teorõ a de la difusio n. DisenÄ o: un estudio de caso describe como

se implemento el modelo. Se utilizo un disenÄ o cualitativo para examinar los õ ndices de adopcio n y

adaptacio n de un programa de intervencio n precoz por un sistema seleccionado de entidades de

tratamiento de drogodependencias. Localizacio n: las intervenciones se desarrollaron en la ª Addiction

Research Foundationº (Fundacio n de Investigacio n de Drogodependencias) de Toronto, y se

divulgaron a Centros de Evaluacio n y Derivatio n (A/R) de Ontario, Canada . Participantes: los

participantes en el estudio incluyeron a los gerentes y un terapeuta designado de 33 centros A/R

participantes. M ediciones: a los gerentes se les hicieron principalmente preguntas abiertas respecto a

si sus centros habõ an tomado la decisio n formal de adoptar la intervencio n y si los terapeutas en su

centro estaban utilizando el programa de intervencio n precoz. Se clasi® co como ª adopcio nº el

ofrecer la intervencio n completa de 4 sesiones a por lo menos un paciente. Hallazgos: doce meses

despue s de ® nalizados los talleres de preparacio n, el 68% de las 34 entidades del sistema selec-

cionado habõÂ an adoptado el programa, mientras que el 85% de estas entidades estaban utilizando

algunos componentes de la intervencio n con los pacientes. Conclusiones: el modelo divulgado mostroÂ

ser efectivo aunque su aplicacio n exigõ a mucho tiempo y un trabajo intensivo. El `ana lisis de

mercado’ , enfoque de sistemas y componentes de test de campo del modelo contribuyeron a su e xito.

Cambios en los papeles sociales com o predictores de cam bios en la conducta de consum o

de alcohol

Klass-Jan Hajema & Ronald A. Knibbe

Objetivo: evaluar los posibles efectos de cambios en el estado civil, la situacio n de empleo, y el tener

hijos en casa, en el consumo y la frecuencia de un consumo importante de alcohol. Con la teorõÂ a de

rol como punto de partida se esperaba que un cambio hacia papeles ma s sociales disminuirõ a el

consumo y el consumo importante, mientras que un alejamiento de papeles sociales se asociarõÂ a a un

aumento en dicho consumo. DisenÄ o: estudio prospectivo de un cohorte. Localizacio n: la provincia de

Limburg, Holanda (1980 ± 1989). Participantes: 1327 hombres y mujere, de edades comprendidas

entre 16 y 69 anÄ os en la primera medicio n. Mediciones: consumo semanal de unidades esta ndar (10

g de etanol) de bebidas alcoho licas; frecuencia del consumo de seis unidades o ma s; informes de los

sujetos de su papel social. Hallazgos: la adquisicio n de un papel de casado o de padre, pero no un

papel laboral se asociaron con una disminucio n en el consumo importante de alcohol. La pe rdida del

papel de casada en las mujeres, se asocio con un aumento del consumo importante. Por lo dema s,

la pe rdida de un papel no estaba ligada a un cambio en el consumo o el consumo importante.

Conclusiones: se hallo un apoyo limitado a la expectativa de que los cambios de rol in¯ uyen en la

conducta de consumo de alcohol. Nuestro estudio sugiere que deben buscarse otras teorõÂ as para

explicar las diferencias sociales en la conducta de consumo de alcohol.

Page 6: Resumenes

1750 Resumenes

Cua n saludable es el cuerpo de la polic õ a? Un estudio prospectivo de factores del estilo de

vida

Robyn L. Richmond, Alex Wodak, Linda Kehoe & Nick Heather

Objetivos: examinar la prevalencia de cinco conductas de estilo de vida en la policia de Nueva Gales

del Sur. DisenÄ o: un estudio prospectivo transversal utilizando cuestionarios auto-cumplimentados.

Localizacio n, participantes: un total de 852 policõ as fueron reclutados del a rea metropolitana de

Sydney. M ediciones: la prevalencia, en relacio n a la edad y el sexo, del consumo de alcohol, cigarrillos,

ejercicio inadecuado, percepcio n de sobrepeso, y sõ ntomas de estre s, descrito por los propios sujetos.

Resultados: se alcanzo un nivel alto (89%) de participacio n en el estudio. Casi la mitad (48%) de los

hombres y ma s de dos quintas partes (40%) de las mujeres consum õ an excesivo alcohol, incluyendo

un consumo pellgroso o perjudicial y borrracheras. El consumo excesivo de alcohol era ma s frecuente

entre los policõ as ma s jo venes. Hubo un 8% de hombres y un 15% de mujeres policõ as que

informaron que no consumõ an alcohol. Ma s de la cuarta parte (27%) de hombres y un tercio (32%)

de las mujeres que respondieron consum õÂ an tabaco. Casi la mitad (46%) de hombres y mujeres

(47%) creõ an tener sobrepeso. Ma s de una quinta parte (21%) de los hombres y menos de una cuarta

parte (24%) de las mujeres informaron que realizaban ejercicio. Finalmente, el 12% de los hombre,

y el 15% de las mujeres expresaron sentir s õ ntomas de moderados a severos de estre s. Conclusiones:

la fuerzas policiales ofrecen una oportunidad de evaluar un gran nu mero de individuos sanos, jo venes

y de alto riesgo (especialmente los hombres), que son difõÂ ciles de abordar en otros contextos y que

raramente visitan a su me dico de cabecera. Una mayorõ a considerable (83%) de la policõ a de Nueva

Gales del Sur mostro al menos una conduct:a de estilo de vida no saludable, con un 19% informando

de 3 a 5 factores no saludables. Es especialmente preocupante la elevada prevalencia del consumo

excesivo de alcohol entre la policõ a. Una promocio n ma s activa de la salud y la provisio n de

intervenciones breves entre la policõÂ a podrõÂ an reducir la morbilidad y mortalidad asociada a estilos

de vida poco saludables.