resumenes

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78 2 Resumenes signi® cative les quantite s consomme es. Conclusions : les re sultats sont en accord avec un certain nombre de perspectives the oriques et avec un nombre de plus en plus grand de chercheurs qui suggeÁ rent que la publicite sur l’alcool a une certaine in¯ uence sur la consommation des jeunes. Evaluation de la perte de controÃle avec l’Impaired Control Scale (ICS): validation et relation avec le re sultat du traitement Nick Heather, Peter Booth & Anna Luce Buts : les trois objectifs de cette e tude e taient les suivants: (1) valider les re sultats australiens obtenus avec l’Impaired Control Scale (ICS), une e chelle mesurant l’alte ration du controà le, aÁ l’aide d’un e chantillon de buveurs anglais aÁ probleÁ mes (2) examiner une possible ame lioration de la notation de l’ICS; et (3) e tudier le lien entre l’ICS et le re sultat du traitement. Projet : des questionnaires et des entretiens ont e te effectue s par un personnel compe tent et entrai à ne , pendant le traitement et une nouvelle fois au cours du suivi, six mois plus tard. Lieu : deux centres de traitement des probleÁ mes d’alcool et de drogue, aÁ Newcastle et Liverpool (RU). Participants : l’e chantillon e tait compose de 229 buveursaÁ probleÁ mes soigne s en ambulatoire ou hospitalise s, avec des objectifs de traitement soit d’abstinence, soit de mode ration. Mesures : elles comprenaient les scores obtenus avec l’ICS, la consommation habituelle d’alcool par semaine (unite s 5 nombre de verres); le degre de probleÁ mes lieÂsaÁ l’alcool; la se ve rite de l’alcoolode pendance; et la classi® cation des re sultats par niveaux de consommation et de probleÁ mes actuels lie s aÁ l’alcool, avec en paralleÁ le, la con® rmation des rapports faits par les sujets. Re  sultats : la ® abilite et la validite de l’ICS ont e te con® rme es avec l’e chantillon de buveurs probleÁ mes anglais en traitement. Une meÂthode plus performante de notation a eÂte de veloppe e a® n de donner une mesure unique de l’alte ration du controà le pour tous les sujets, inde pendamment du degre de controà le recherche (abstinence ou mode ration). Les scores ICS e taient en corre lation signi® cative avec le re sultat du traitement, et parmi un sous-groupe de sujets qui visaient aÁ l’abstinence mais qui avaient e choue , ils pre disaient le type de re sultat apreÁ s que les effets lieÂsaudegre de de pendance aient e te eÂlimineÂs. Conclusions: l’alte ration du controà le de la consomma- tion d’alcool peut eà tre mesure e de manieÁ re ® able et valable par l’ICS. Cette e chelle se re veÁ le pertinente dans le domaine de la recherche sur la diminution du controà le et en tant qu’instrument d’e valuation clinique. Resumenes MIGUEL CASAS Unidad de Toxicomanias, Programa Sant Pau-CITRAN, Hospital de Santa Creu i Sant Pau, C. St. Antoni M. Claret, No. 167, 08025-Barcelona, Spain Editorial: El tratamiento de la dependencia de nicotina; justi® cacioÂn para las cli nicas especializadas en consumldores de tabaco Peter Hajek & Robert West Las cli  nicas especializadas en consumidores de tabaco aumentan las probabilidades de e xito al dejar de fumar los consumidores de tabaco que las utilizan, y constituyen un tratamiento preventivo coste-efectivo que en u ltima instancia puede salvar vidas entre estos individuos. Sin embargo, en la mayori  a de pai  ses estas cli  nicas no forman parte de los servicios cli  nicos de rutina. Este arti  culo utiliza la situacioÂn del Reino Unido como ejemplo, y enumera cinco argumentos principales

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Page 1: Resumenes

782 Resumenes

signi® cative les quantite s consomme es. Conclusions: les re sultats sont en accord avec un certain

nombre de perspectives the oriques et avec un nombre de plus en plus grand de chercheurs qui

suggeÁ rent que la publicite sur l’alcool a une certaine in¯ uence sur la consommation des jeunes.

Evaluation de la perte de controà le avec l’Impaired Control Scale (ICS): validation et

relation avec le re sultat du traitem ent

Nick Heather, Peter Booth & Anna Luce

Buts: les trois objectifs de cette e tude e taient les suivants: (1) valider les re sultats australiens obtenus

avec l’ Impaired Control Scale (ICS), une e chelle mesurant l’ alte ration du controà le, aÁ l’ aide d’un

e chantillon de buveurs anglais aÁ probleÁ mes (2) examiner une possible ame lioration de la notation de

l’ ICS; et (3) e tudier le lien entre l’ ICS et le re sultat du traitement. Projet: des questionnaires et des

entretiens ont e te effectue s par un personnel compe tent et entraià ne , pendant le traitement et une

nouvelle fois au cours du suivi, six mois plus tard. Lieu: deux centres de traitement des probleÁ mes

d’ alcool et de drogue, aÁ Newcastle et Liverpool (RU). Participants: l’ e chantillon e tait compose de 229

buveurs aÁ probleÁ mes soigne s en ambulatoire ou hospitalise s, avec des objectifs de traitement soit

d’ abstinence, soit de mode ration. Mesures: elles comprenaient les scores obtenus avec l’ ICS, la

consommation habituelle d’ alcool par semaine (unite s 5 nombre de verres); le degre de probleÁ mes

lie s aÁ l’ alcool; la se ve rite de l’ alcoolode pendance; et la classi® cation des re sultats par niveaux de

consommation et de probleÁ mes actuels lie s aÁ l’ alcool, avec en paralleÁ le, la con® rmation des rapports

faits par les sujets. Re sultats : la ® abilite et la validite de l’ ICS ont e te con® rme es avec l’ e chantillon de

buveurs aÁ probleÁ mes anglais en traitement. Une me thode plus performante de notation a e teÂ

de veloppe e a® n de donner une mesure unique de l’ alte ration du controà le pour tous les sujets,

inde pendamment du degre de controà le recherche (abstinence ou mode ration). Les scores ICS e taient

en corre lation signi® cative avec le re sultat du traitement, et parmi un sous-groupe de sujets qui

visaient aÁ l’ abstinence mais qui avaient e choue , ils pre disaient le type de re sultat apreÁ s que les effets

lie s au degre de de pendance aient e te e limine s. Conclusions: l’ alte ration du controà le de la consomma-

tion d’ alcool peut eà tre mesure e de manieÁ re ® able et valable par l’ ICS. Cette e chelle se re veÁ le

pertinente dans le domaine de la recherche sur la diminution du controà le et en tant qu’ instrument

d’ e valuation clinique.

Resumenes

MIGUEL CASAS

Unidad de Toxicomanias, Programa Sant Pau-CITRAN, Hospital de Santa Creu i Sant Pau,

C. St. Antoni M. Claret, No. 167, 08025-Barcelona, Spain

Editorial: El tratamiento de la dependencia de nicotina; justi® cacio n para las cli nicas

especializadas en consum ldores de tabaco

Peter Hajek & Robert West

Las cli nicas especializadas en consumidores de tabaco aumentan las probabilidades de e xito al dejar

de fumar los consumidores de tabaco que las utilizan, y constituyen un tratamiento preventivo

coste-efectivo que en u ltima instancia puede salvar vidas entre estos individuos. Sin embargo, en la

mayori a de pai ses estas cli nicas no forman parte de los servicios cli nicos de rutina. Este arti culo

utiliza la situacio n del Reino Unido como ejemplo, y enumera cinco argumentos principales

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Resumenes 783

utilizados para justi® car la poli tica de no proporcionar ayuda especializada a fumadores dependien-

tes, que son; el intere s limitado de los fumadores en la ayuda especializada, las dudas acerca de la

e® cacia de las cli nicas, la preocupacio n de que las cli nicas pueden quitar me rito a los esfuerzos de

los propios individuos para dejar de fumar, la creencia de que si se requiere ayuda e sta puede ser

proporcionada por el personal de atencio n primaria, y las dudas respecto al coste-e® cacia de las

cli nicas para consumidores de tabaco. El arti culo contrarresta cada una de estas cuestiones, y

argumenta que la justi® cacio n para proporcionar una red de cli nicas especializadas en todo el pai s,

accesibles y libres de pago para consumidores de tabaco que quieran utilizarlas, es arrolladora.

Perspectivas histo ricas de los cam bios en las delimitaciones del consumo de alcohol en la

juventud. El ejem plo de la Inglaterra preindustrial, 1350± 1750

Jessica W arner

Este estudio identi® ca algunos de los factores que explican por que a los hombres jo venes se les

permite consumir alcohol en algunas culturas y no en otras. El material principal consultado en este

estudio sugiere que en el caso de la Inglaterra preindustrial el acceso al alcohol tanto para los adultos

como para los jo venes a ® nales del medioevo se regi a por las mismas normas, y que no surgieron

pautas distintas para adultos y jo venes hasta despue s del 1500. Estos documentos tambie n sugieren

que las normas que regi an el acceso de los jo venes al alcohol eran ma s restrictivas cuando habi a poca

demanda de fuerza de trabajo tanto adulta como juvenil, y cuando la ninÄ ez era una etapa del

individuo que conclui a a una edad temprana y la edad adulta una etapa que se posponi a en una

proporcio n elevada de la poblacio n. Los cambios aparentes en las normas que regi an el acceso de los

jo venes al alcohol tambie n coincidi an con otros dos desarrollos en el inicio de la edad moderna. Estos

fueron: (1) la transformacio n gradual del consumo de alcohol en una actividad esencialmente

recreativa realizada fuera del hogar y entre grupos compuestos mayormente, o por completo, de

hombres; y (2) la introduccio n de bebidas nuevas y polencialmente mas intoxicantes, primero en

forma de cerveza y ma s tarde en forma de licores baratos destilados de cereales.

Li neas actuales en la investigacio n para la comprensio n y prevencio n de las agresiones en

estado de intoxicacio n

Kathryn Graham, Kenneth E. Leonard, Robin Room, T. Cameron Wild, Robert Pihl, Christine Bois & Eric

Single

El presente arti culo describe las prometedoras li neas de investigacio n que surgieron de una reciente

conferencia internacional sobre intoxicacio n y agresio n, y de la literatura cienti ® ca en general. En esta

revisio n global, se contempla la agresio n en estado de intoxicacio n como consecuencia de un proceso

interaccional al que contribuyen mu ltiples factores o causas. Este modelo ayuda a de® nir li neas de

investigacio n que pueden aumentar la comprensio n y prevencio n. Primero, el marco socio/cultural de

la intoxicacio n y la agresio n ejerce una poderosa in¯ uencia en la conducta de consumo de alcohol

y requiere una mejor comprensio n. Otra a rea importante para la investigacio n es el papel moderador

en las agresiones relacionadas con el alcohol de los factores personales, tales como la predisposicio n a

la agresio n y las diferencias individuales en cuanto a las expectativas frente al alcohol y las agresiones.

La investigacio n sobre los efectos farmacolo gicos ba sicos del alcohol en cuanto a incrementar las

probabilidades de conductas agresivas es tambie n un aspecto cri tico para la comprensio n de las

agresiones en estado de intoxicacio n. Los contextos y entornos del consumo de alcohol juegan un papel

considerable en la relacio n entre intoxicacio n y conductas agresivas y requieren una mayor compren-

sio n. Otra li nea importante para futuras investigaciones es el estudio de las agresiones en estado de

intoxicacio n como un proceso que implica la interaccio n de la persona, la situacio n, y los efectos del

alcohol en entornos naturales y experimentales. Finalmente, el arti culo subraya li neas prometedoras

para la investigacio n sobre intervenciones para prevenir las agresiones y la violencia en estado de

intoxicacio n.

Page 3: Resumenes

784 Resumenes

Culpa y castigo por las agresiones en estado de intoxicacio n: ¿Cua ndo es culpable el

agresor?

T. Cameron W ild, Kathryn Graham & JuÈ rgen Rehm

Objectivo : analizar sistema ticamente la hipo tesis de que los individuos intoxicados son vistos como

menos culpables que los individuos relativamente sobrios por implicarse en conductas agresivas.

DisenÄ o: una serie de esbozos experimentales representaban el consumo de alcohol en el contexto de

tocamientos no deseados, violacio n durante una cita, asalto y violacio n, vandalismo y asalto comu n.

Cada esbozo manipulaba el consumo de alcohol del agresor y seleccionaba variables contextuales

utilizando disenÄ os experimentales i nter sujetos. Localizacio n: una muestra aleatoria estrati® cada de

994 residentes de Ontario respondieron a estos escenarios en el transcurso de una entrevista

telefo nica. Mediciones: en este estudio se analizaron tres mediciones: (1) los juicios del papel causal

del consumo de alcohol del agresor en cada desenlace, (2) el grado de culpabilidad percibido por el

perpetrador, y (3) el castigo adecuado para el agresor. Hallazgos: se considero que el consumo de

alcohol jugaba un papel causal importante en cada desenlace cuando el agresor era descrito como

ª borrachoº en contraposicio n a simplemente ª sintiendo los efectosº . Sin embargo, la intoxicacio n no

atenuaba la culpabilidad percibido y so lo reduci a de forma inconsistente el castigo asignado a los

perpetradores. Por el contrario, la intoxicacio n interactuaba con la premeditacio n, los antecedentes

criminales y el sexo para determinar la culpabilidad percibida por el agresor. En algunos escenarios,

la intoxicacio n de la vi ctima reduci a la culpabilidad percibida por el agresor. Conclusiones:

das apreciaciones legales, antropolo gicas y atributivas pueden sobrestimar el grado en que la

intoxicacio n del agresorРen y por si mismaРdetermina la culpabilidad por agresiones relacionadas

con el alcohol.

El efecto de los distintos tipos de bebidas en los delitos violentos y el consum o de alcohol

en privado y en pu blico

Thor NoÈ rstroÈ m

Objetivo: el propo sito de este estudio es analizar la relacio n entre los õ ndices de homicidio y agresiones

por un lado, y diversos indicadores de consumo de alcohol por el otro. Esto u ltimo incluye el

consumo en privado y en pu blico con una separacõ on posterior segu n el tipo especõ ® co de bebida.

Mediciones: los datos comprenden series temporales conjuntas para Suecia durante el periodo de

1956± 1994. El õ ndice de agresiones se mide segu n el nu meros de agresiones comunicadas por la

policõÂ a (en todos los grados de agravio) por 100.000 habitantes (15 1 ). El õÂ ndice de homicidios se

mide segu n el nu mero de homicidios (en que la victima tenõ a al menos un anÄ o) por 100.000

habitantes (15 1 ). El consumo de alcohol en privado se calibra segu n las ventas de alcohol al

pormenor, y el consumo en pu blico segu n las ventas en lugares de consumo autorizados (100% litros

por habitante, 15 1 ). Estas dos mediciones se dividen posteriormente en ventas de bebidas

especõ ® cas (cerveza, licores y vino). Hallazgos: Segu n los hallazgos, existe una relacio n estadõ stica-

mente signi® cativa entre el õÂ ndice de agresiones y una medida combinada de ventas en lugares

autorizados de cerveza y licores. La relacio n estimada corresponde a una fraccio n atribuible de

aproximadamente un 40%. Los õÂ ndices de homicidio se relacionan signi® cativamente con la venta al

pormenor de licores: se estima que la fraccio n atribuible es aproximadamente de un 50%. La venta

de vino no se relaciona con ninguno de los dos indicadores de violencia. Conclusiones: Los hallazgos

sugieren que el õ ndice de agresiones esta relacionado con el consumo de cerveza y licores en bares

y restaurantes, mientras que el õ ndice de homicidios esta vinculado al consumo de licores en

contextos privados. Los hallazgos, notablemente especõÂ ® cos de Suecia durante un cierto periodo de

tiempo, pueden ser interpretados como el resultado de la interaccio n de una serie de factores

incluyendo la estructura de oportunidades, el control social y el contexto en el que se consume,

patrones de consumo relacionados con distintos tipos de bebidas, y las caracterõÂ sticas de los

consumidores.

Page 4: Resumenes

Resumenes 785

Experiencias no mortales de sobredosis entre consum idores de heroi na en Adelaide,

Australia: circunstancias y percepciones de riesgo

Catherine M cGregor, Shane Darke, Robert A li & Paul Christie

Objetivos: determinar la prevalencia y los factores de riesgo de sobredosis no mortales entre

consumidores de heroi na para contribuir al desarrollo de una intervencio n efectiva. DisenÄ o: Transver-

sal. Localizacio n: la comunidad, principalmente metropolitana de Adelaide. Participantes: actuales

consumidores de heroi na (que han utilizado heroi na en los u ltimos seis meses). M edicione s: un

cuestionario estructurado que incluye la Escala de Gravedad de la Dependencia (ª Severity Depen-

dence Scaleº ). Hallazgos: de 218 actuales consumidores de heroi na del sur de Australia entrevistados

en 1996, el 48% habi an experimentado al menos una sobredosis no mortal a lo largo de su vida

(mediana: 2 sobredosis), y el 11% se habi an sobredosi® cado en los u ltimos seis meses. El 70% habi an

presenciado alguna vez una sobredosis en otra persona (mediana: 3 sobredosis). En el momento de

su propia sobredosis ma s reciente, el 52% estaban consumiendo depresores del sistema nervioso

central adema s de heroi na, principalmente benzodiacepinas (33%) y/o alcohol (22%). La mayori a de

las sobredosis ocurri an en casas particulares (81%) y en presencia de otras personas (88%). Un

optimismo no real respecto al riesgo de sobredosis fue evidente en toda la muestra. A pesar de que

casi la mitad de la muestra expreso haber sufrido una sobredosis, y la creencia de los encuestados de

que una media del 50% de consumidores habituales de heroi na se sobredosi® cari an a lo largo de su

vida, el 73% ª nuncaº o ª rara vezº , durante los seis meses anteriores, se habi a preocupado de la

posibilidad de sobredosi® carse. El optimismo respecto a la posibilidad de una futura sobredosis era

menor en aquellos que habi an experimentado recientemente una sobredosis en comparacio n con el

resto de la muestra. Se describe una intervencio n dirigida a la reduccio n de las sobredosis entre los

consumidores de heroi na.

Tratam iento de la dependencia de cocai na y alcohol con psicoterapia y disul® ram

Kathleen M. Carroll, Charla Nich, Samuel A. Hall, Elinore McCance & Bruce J. Rounsaville

Objectivos: evaluar el disul® ram y tres formas de psicoterapia guiada por manuales para individuos

con dependencia de cocai na y abuso o dependencia concurrente de alcohol. DisenÄ o: ensayo aleatorio

controlado. Localizacio n: un centro urbano de tratamiento del abuso de sustancias psicoactivas.

Participantes: 122 consumidores de cocai na/alcohol (27% mujeres; 61% afroamericanos o hispanos).

Intervenciones: uno de cinco tratamientos administrados a lo largo de doce meses: Tratamiento

Cognitivo Conductual (CBT) ma s disul® ram; Facilitacio n en Doce Etapas (TSF) ma s disul® ram;

Manejo Cli nico (CM) maÈ s disul® ram; CBT sin medicacio n; TSF sin medicacio n. Medicione s:

duracio n de la abstinencia continuada de cocai na o alcohol; frecuencia y cantidad del consumo

semanal de cocai na y alcohol, veri® cado mediante ana lisis toxicolo gicos de orina y controles

alcoholime tricos. Hallazgos: el tratamiento con disul® ram se relacionaba con una continuacio n del

tratamiento signi® cativamente mayor, asi como una mayor duracio n de la abstinencia del consumo

de alcohol y cocai na. Las dos psicoterapias activas (CBT y TSF) se relacionaben con una

disminucio n del consumo de cocai na a lo largo del tiempo en comparacio n con la psicoterapia de

apoyo (CM). El consumo de cocai na y alcohol estaba fuertemente relacionado a lo largo de todo el

tratamiento, en especial para los sujetos tratados con disul® ram. Conclusiones: para la gran proporcio n

de individuos dependientes de cocai na que tambien abusan del alcohol el disul® ram en combinacio n

con psicoterapia ambulatoria puede ser una estrategia de tratamiento prometedora. Este estudio

subraya (a) la signi® cacio n del consumo de alcohol entre consumidores de cocai na que buscan

tratamiento, (b) lo prometedora que es la estrategia para tratar trastornos como rbidos en individuos

dependientes de sustancias psicoactivas, y (c) la importancia de combinar psicoterapia con farma-

coterapia en el tratamiento de los trastornos del consumo de drogas.

Perspectivas acortadas en el tiem po e insensibilidad a las consecuencias futuras en los

adictos a la heroi na

Nancy M . Petry, W arren K. Bickel & Martha Arnett

Objetivos: investigar si los adictos a la heroi na muestran unas perspectivas acortadas en el tiempo y

Page 5: Resumenes

786 Resumenes

una sensibilidad disminuida a las consecuencias futuras de su comportamiento en comparacio n con

no consumidores de sustancias psicoactivas. Dise ®  o Localizacio n y Participantes: 34 adictos a la

heroi na reclutados en una cli nica de tratamiento con buprenor® na y 59 no consumidores de

sustancias psicoactivas como controles completaron un cuestionario y dos tareas de laboratorio.

Mediciones: el cuestionario de personalidad ª Stanford Time Perception Inventory (STPI)º (Inven-

tario de Percepcio n Temporal de Stanford) evaluo la orientacio n hacia el futuro, y la tarea ª Future

Time Perspective (FTP)º (Perspectiva de Tiempo Futuro) origino predicciones del tiempo y el orden

de futuros acontecimientos. La tarea de las cartas Bechara midio las preferencias por barajas que

abarcaban magnitudes y probabilidades de recompensas y castigos retardados e inmediatos. Hal-

lazgos: los adictos a la heroi na puntuaron signi® cativamente ma s bajo que los controles en la escala

STPI indicativa de orientacio n hacia el futuro. En la tarea FTP, los adictos a la heroi na teni an menos

probabilidades tanto de predecir acontecimientos en un futuro lejano, como de organizar sistema tica-

mente acontecimientos futuros. En la tarea con cartas, los adictos a la heroi na teni an menos

probabilidades de ganar dinero que los controles. Era ma s probable que jugaran con barajas que

conteni an ma s ganancias inmediatas pero que conduci an a castigos mayores y retardados y a pe rdidas

netas globales. Tambie n hicieron menos selecciones de barajas que proporcionaban ganancias netas

globales a trave s de relativamente pocas recompensas inmediatas y frecuentes pequenÄ os castigos.

Conclusiones: el acortamiento de las perspectivas temporales y la disminucio n de la sensibilidad a las

consecuencias retardadas podri an explicar el consumo persistente de drogas de los consumidores de

abuso, a pesar de las consecuencias negativas a largo plazo relacionadas con el consumo de e stas.

Un ensayo aleatorio de la incorporacio n de ¯ uoxetina a un program a de tratamiento con

naltrexona para adictos a la heroi na

M. A. Landabaso, I. Iraurgi, J. M. Jimenez-Lerma, J. Sanz, B. Fernandez de Corres, K. Araluce, R.

Calle & M. Gutierrez-Fraile

Objetivos: el objetivo del estudio era evaluar si la ¯ uoxetina aumentari a el seguimiento en un

programa de tratamiento con naltrexone (NTX). DisenÄ o: ensayo cli nico aleatorizado. Localizacio n: el

ensayo cli nico se llevo a cabo en dos Centros de Drogodependencias (DCs) del pai s Vasco en

EspanÄ a, durante un periodo de un anÄ o. Estos DCs utilizaban rutinariamente naltrexona como parte

de su programa de tratamiento. Participantes: un total de 112 adictos a la heroi na incluidos en un

programa de tratamiento con naltrexona fueron divididos aleatoriamente en dos grupos de 56

pacientes. Intervencio n: un grupo recibio 20 mg/24 h de ¯ uoxetina durante los 6 primeros meses,

mientras que los restantes 56 pacientes se utilizaron como controles. No se utilizo placebo.

Mediciones: se estimaron los i ndices de continuidad y las funcionco de riesgo. Las diferencias de

riesgo y el riesgo relativo tambie n se calcularon a los 6 y 12 meses. Hallazgos: las funciones de

supervivencia mostraron unos i ndices de continuidad signi® cativamente ma s altos en el grupo de

¯ uoxetina que en el grupo control. Las diferencias de riesgo tanto a los 6 meses (RD6 5 0.23, CI

95% 5 0.06 a 0.42) como a los 12 meses (RD12 5 0.21, CI 95% 5 0.09 a 0.39) favorecieron al grupo

de ¯ uoxetina, con un mayor riesgo de interrupcio n en los dos tiempos evaluados para el grupo

control (RD6 5 1.81, CI 95% 5 1.11 a 2.94; RD17 5 1.46, CI 95% 5 1.04 a 2.04). Conclusiones: el

estudio mostro que la combinacio n de ¯ uoxetina y naltrexona causo una continuacio n del

tratamiento signi® cativamente mayor que en los pacientes que so lo recibieron naltrexona. Se

requieren ensayos controlados con placebo para evaluar hasta que punto esto re® eja un efecto

farmacolo gico especi ® co.

Una relacio n entre el consumo habitual de 3,4 Metilenodioxom etam fetam ina (Extasis) y un

excesivo desgaste dental

P. J. Redfearn, N. Agrawal & L. H. M air

Objetivos: este estudio se realizo para determinar si los consumidores de e xtasis teni an un mayor

desgaste dental que un grupo de no consumidores. DisenÄ o: el estudio implico una comparacio n

directa entre dos grupos de gente joven reunidos por una red de informacio n compartida y divididos

Page 6: Resumenes

Resumenes 787

por la respuesta a la pregunta ª ¿Consume e xtasis?º . Localizacio n: la red de informacio n se establecioÂ

en el Centro Maryland de Liverpool (Reino Unido). Adema s de ofrecer asesoramiento sobre

problemas de drogas y sexo este centro distribuye preservativos gratuitamente, y por tanto, es visitado

por mucha gente joven que no consideran que tienen estos problemas. Participantes: hubo 30

consumidores y 28 no consumidores sin diferencias signi® cativas en cuanto a la proporcio n por

sexos. No se registro la edad para mantener una con® dencialidad absoluta; pero todos los participan-

tes estaban en edad de estudiar. M ediciones: se midio el desgaste dental utilizando el i ndice de Smith

y Knight. El per® l del consumo de drogas de ambos grupos se determino mediante un cuestionario.

Hallazgos: se encontro que la media ( 1 DE) de la puntuacio n de desgaste dental para las muelas fue

de 0.96 6 0.16 en los consumidores comparado con 0.12 6 0.08 para los no consumidores. Estos

valores fueron signi® cativamente diferentes (p , 0.001). Los valores para los dientes frontales no

fueron signi® cativamente diferentes. Muchos consumidores eran conscientes de apretar los dientes

12 o hasta 24 horas despue s de haber consumido la sustancia. Conclusio n: el consumo de e xtasis

produce un aumento en las probabilidades de desgaste de las muelas. Es muy posible que esto sea

el resultado de apretar los dientes en un medio a cido causado por las bebidas carbonatadas.

Respuestas positivas a los anuncios de cerveza televisivos en relacio n al consumo de alcohol

y sus problemas segu n jo venes de 18 a 29 anÄ os de edad

Allan Wyllie, Jia Fang Zhang & Sally Casswell

Objetivos: examinar la naturaleza de la relacion entre las respuestas a los anuncios de bebidas

alcoho licas y las conductas de consumo de alcohol y problemas relacionados. Examinar el papel de

las creenci as positivas y negativas respecto al consumo de alcohol como variables intermedias. DisenÄ o:

estudio prospectivo utilizando un sistema CATI (entrevista telefo nica asistida por ordenador), que

inclui a entrevistas a 1012 encuestados seleccionados aleatoriamente. Localizacio n: los encuestados

fueron seleccionados aleatoriamente de toda Nueva Zelanda. Participantes: neocelandeses de diecio-

cho a veintinueve anÄ os de edad. Medicione s: la respuesta a anuncios de alcohol especi ® cos fue medida

segu n las veces que recordaban haber visto el anuncio y el hecho de que les gustase (medida de

respuesta positiva). Hallazgos: un modelo de ecuacio n estructural exploratorio no repetido, basado en

791 consumidores de alcohol, parece apoyar la hipo tesis de que las respuestas positivas a los anuncios

televisivos de cerveza (medidas segu n si e stos gustaban) contribuyen en la cantidad de alcohol

consumido en cada ocasio n, lo que a su vez contribuye al nivel de problemas relacionados con dicho

consumo. El modelo, que se ajusto bien a los datos, fue consistente con la hipo tesis de que el hecho

de que gustasen los anuncios de cerveza teni a tanto una in¯ uencia directa en la cantidad de alcohol

consumido como una in¯ uencia indirecta, a trave s de su in¯ uencia en las creencias positivas. Estos

efectos segui an presentes despue s de controlar los efectos reci procos, no siendo ninguno signi® cativo.

Los datos no apoyaron la hipotesis de que las cantidades de alcohol consumido in¯ ui an en el hecho

de que a los encuestados les gustasen los anuncios de cerveza. La veces que recordaban haber visto

los anuncios no in¯ ui a signi® cativamento en las cantidades consumidas. Conclusiones: los resultados

son consistentes con una serie de enfoques teo ricos y con un creciente volumen de investigaciones

que sugieren que los anuncios de alcohol tienen alguna in¯ uencia en el consumo de la gente joven.

Escala de deterioro del control: Validacio n y relaciones con los resultados del tratam iento

Nick Heather, Peter Booth & Anna Luce

Objetivos: (1) Validar los hallazgos australianos de la Escala de Deterioro del Control (ICS) en una

muestra inglesa de consumidores del alcohol problema ticos; (2) examinar una posible mejora en las

puntuaciones de la ICS; (3) explorar las relaciones de la ICS con los resultados del tratamiento.

DisenÄ o: en un disenÄ o de medidas repetidas, personal entrenado realizo cuestionarios y entrevistas

durante el tratamiento y en el seguimiento a los 6 meses. Localizacio n: dos servicios de tratamiento

de drogodependencias y alcoholismo en Newcastle y Liverpool (Reino Unido). Participantes: 229

consumidores de alcohol problema ticos que eran atendidos como pacientes ambulatorios o ingre-

sados, en tratamiento con objetivos de abstinencia o consumo moderado. Mediciones: puntuaciones

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en la ICS, consumo de alcohol semanal ti pico (unidades); grado de los problemas relacionados con

el alcohol; gravedad de la dependencia alcoho lica; y clasi® cacio n del resultado utilizando niveles de

consumo y problemas actuales relacionados con el alcohol, con con® rmacio n colateral por los

propios pacientes. Hallazgos: se con® rmo una ® abilidad y validez satisfactorias de la ICS en una

muestra inglesa de consumidores de alcohol problema ticos en tratamiento. Se desarrollo un ª me todo

de sustitucio nº para la puntuacio n mejorado, para dar una sola medida de deterioro del control para

todos los sujetos, independientemente del nivel de Control intentado. Las puntuaciones de la ICS se

correlacionahan signi® cativamente con el resultado del tratamiento y, entre un subgrupo de sujetos

cuyo objetivo era la abstinencia pero que habi an fracasado, se extrajo el resultado predecido despue s

de los efectos del grado de dependencia. Conclusiones: el deterioro en el control sobre el consumo de

alcohol puede ser medido de forma ® able y va lida por la ICS. La ICS tiene utilidades potenciales en

la investigacio n sobre el deterioro del control como herramienta de evaluacio n cli nica.