resumenes

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Resumenes 1287 probleÁ mes de type 1. Conclusions: la typologie de Cloninger n’a pas re ussi aÁ classer deux types de buveursaÁ probleÁ mes et elle n’a pas pre dit les diffe rences lie es au sexe dans les symptoà mes de de pendance alcoolique, l’histoire familiale ou la personnalite . L’hypotheÁ se de Schuckit, Irwin et Mahler selon laquelle les buveurs aÁ probleÁ mes de type 2 ont plus de risques d’avoir aÁ la base une personnalite antisociale (ASPD) s’est ve ri® e e. L’e volution du tabagisme pre coce: une e tude de population avec un suivi de trois ans G. C. Patton, J. B. Carlin, C. Coffey, R. Wolfe, M. Hibbert & G. Bowes Objectifs: examiner le de but et la poursuite du tabagisme dans un groupe repre sentatif d’adolescents. Projet: il s’agit d’une e tude de groupe aÁ six niveaux. Participants: des e leÁ ves du secondaire initialement aà ge s de 14 et 15 ans dans 44 e coles de l’Etat de Victoria en Australie. Mesures: un questionnaire informatise comprenant le souvenir re trospectif sur sept jours de l’usage de tabac. Re sultats: les taux de pre valence pour le tabagisme au cours du dernier mois allaient de 24% aÁ 30% et le tabagisme quotidien de 8% aÁ 16% pendant les trois anne es de suivi. 45% de l’e chantillon fumait aÁ un certain moment du suivi mais seulement 16% fumaient tous les jours re gulieÁ rement au dernier pointage. Des taux e leve s d’arreà t aÁ court terme ont e te observe s pour les fumeurs expe rimentaux et les fumeurs quotidiens, mais 70% de ces derniers rechutaient au cours de l’anneÂe suivante. Le tabagisme occasionnel observe au de but s’est re ve le eà tre le facteur de pre diction le plus fort du tabagisme quotidien ulte rieur et eà tre aussi pre dictif de plus faibles taux d’arreà t du tabac et de plus forts taux de rechutes. Le divorce et le tabagisme quotidien des parents e taient associe s au tabagisme au de part et le tabagisme des parents e tait fortement pre dictif de la poursuite du tabagisme ou de l’e volution vers un tabagisme re gulier. Au contraire, les taux de pre valence du tabagisme dans une e cole ne pre disaient pas de manieÁ re signi® cative ni l’initiation au tabac ni sa poursuite ulte rieure. Les femmes qui fumaient tous les jours avaient deux fois moins de chances de s’arreà ter, ce re sultat rendant compte des diffe rences lie es au sexe dans la pre valence du tabagisme pour cet e chantillon. Conclu- sions: la force du lien entre le tabagisme occasionnel et le tabagisme quotidien ulte rieur met en e vidence l’importance de la pre vention primaire, mais la variabilite de l’initiation au tabagisme indique que l’accent devrait eà tre davantage mis sur la promotion d’actions visant aÁ encourager les adolescents aÁ s’arreà ter. La faible probabilite d’arreà t du tabac chez les jeunes femmes et les in¯ uences parentales sur la poursuite du tabagisme me ritent d’eà tre examine es dans de nouveaux travaux de recherche. Resumenes MIGUEL CASAS Unidad de Toxicomanõ  as, Programa Sant Pau-CITRAN, Hospital de Santa Creu i Sant Pau, C. St. Antoni M. Claret, No. 167, 08025-Barcelona, Spain Dependencia y abuso yatroge nico de sedantes. ¿Han aprendido los me dicos ha ser cautos? Malcolm Lader El uso de sedantes es un claro ejemplo de los problemas que pueden surgir con la prescripcio n de drogas lõ  citas. Es conveniente dividir los problemas entre aquellos relacionados con la dependencia

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Resumenes 1287

probleÁ mes de type 1. Conclusions: la typologie de Cloninger n’ a pas re ussi aÁ classer deux types de

buveurs aÁ probleÁ mes et elle n’ a pas pre dit les diffe rences lie es au sexe dans les symptoà mes de

de pendance alcoolique, l’ histoire familiale ou la personnalite . L’ hypotheÁ se de Schuckit, Irwin et

Mahler selon laquelle les buveurs aÁ probleÁ mes de type 2 ont plus de risques d’ avoir aÁ la base une

personnalite antisociale (ASPD) s’ est ve ri® e e.

L’e volution du tabagism e pre coce: une e tude de population avec un suivi de trois ans

G. C. Patton, J. B. Carlin, C. Coffey, R. W olfe, M. Hibbert & G. Bowes

Objectifs: examiner le de but et la poursuite du tabagisme dans un groupe repre sentatif d’ adolescents.

Projet: il s’agit d’une e tude de groupe aÁ six niveaux. Participants: des e leÁ ves du secondaire initialement

aà ge s de 14 et 15 ans dans 44 e coles de l’Etat de Victoria en Australie. M esures: un questionnaire

informatise comprenant le souvenir re trospectif sur sept jours de l’ usage de tabac. Re sultats: les taux

de pre valence pour le tabagisme au cours du dernier mois allaient de 24% aÁ 30% et le tabagisme

quotidien de 8% aÁ 16% pendant les trois anne es de suivi. 45% de l’ e chantillon fumait aÁ un certain

moment du suivi mais seulement 16% fumaient tous les jours re gulieÁ rement au dernier pointage. Des

taux e leve s d’ arreà t aÁ court terme ont e te observe s pour les fumeurs expe rimentaux et les fumeurs

quotidiens, mais 70% de ces derniers rechutaient au cours de l’ anne e suivante. Le tabagisme

occasionnel observe au de but s’ est re ve le eà tre le facteur de pre diction le plus fort du tabagisme

quotidien ulte rieur et eà tre aussi pre dictif de plus faibles taux d’ arreà t du tabac et de plus forts taux

de rechutes. Le divorce et le tabagisme quotidien des parents e taient associe s au tabagisme au de part

et le tabagisme des parents e tait fortement pre dictif de la poursuite du tabagisme ou de l’ e volution

vers un tabagisme re gulier. Au contraire, les taux de pre valence du tabagisme dans une e cole ne

pre disaient pas de manieÁ re signi® cative ni l’ initiation au tabac ni sa poursuite ulte rieure. Les femmes

qui fumaient tous les jours avaient deux fois moins de chances de s’ arreà ter, ce re sultat rendant

compte des diffe rences lie es au sexe dans la pre valence du tabagisme pour cet e chantillon. Conclu-

sions: la force du lien entre le tabagisme occasionnel et le tabagisme quotidien ulte rieur met en

e vidence l’ importance de la pre vention primaire, mais la variabilite de l’ initiation au tabagisme

indique que l’ accent devrait eà tre davantage mis sur la promotion d’ actions visant aÁ encourager les

adolescents aÁ s’arreà ter. La faible probabilite d’ arreà t du tabac chez les jeunes femmes et les in¯ uences

parentales sur la poursuite du tabagisme me ritent d’ eà tre examine es dans de nouveaux travaux de

recherche.

Resumenes

MIGUEL CASAS

Unidad de ToxicomanõÂ as, Programa Sant Pau-CITRAN, Hospital de Santa Creu i Sant

Pau, C. St. Antoni M. Claret, No. 167, 08025-Barcelona, Spain

Dependencia y abuso yatroge nico de sedantes. ¿Han aprendido los m e dicos ha ser cautos?

M alcolm Lader

El uso de sedantes es un claro ejemplo de los problemas que pueden surgir con la prescripcio n de

drogas lõÂ citas. Es conveniente dividir los problemas entre aquellos relacionados con la dependencia

1288 Resumenes

que surgen con una prescripcio n de uso legõ tima y aquellos que surgen del mal uso de estas

sustancias, a veces inicia ndose con prescripciones pero normalmente consumidas de forma ilõ cita. Las

sustancias sobre las que se discute son los tranquilizantes y los hipno ticos, aunque mayormente

pertenecen al mismo grupo quõÂ mico, las benzodiacepinas. En muchos paises las prescripciones de

tranquilizantes han descendido pero no las de hipno ticos. El riesgo de dependencia fõ sica con el

consumo prolongado de estas sustancias es bien conocido tanto por los me dicos como por los

pacientes. En consecuencia, se recomiendan dosis moderadas y prescripciones de corta duracio n. Sin

embargo, esta cautela en las prescripciones no se ha tenido en cuenta con el uso de fa rmacos

hipno ticos que son extensamente prescritos, especialmente para la gente mayor, aunque ha habido

una marcada tendencia en algunos paises a optar por los que actuan a corto plazo en vez de los que

tienen actividad a largo plazo. Adema s de los problemas de dependencia con todas estas sustancias,

se ha dado un importante abuso de ¯ unitrazepam y, por lo menos en el Reino Unido, de temazepam.

Estas sustancias pueden administrarse oralmente, por võ a nasal o por inyeccio n intravenosa. Se

sugieren estrategias para limitar el uso de hipno ticos, que incluyen el consumo intermitente segu n las

necesidades en vez de cada noche.

¿DeberõÂ an ajustarse las m ediciones de consumo de alcohol a las diferencias de sexo?

Kathryn Graham, Richard W ilsnack, Deborah Dawson & Nancy Vogeltanz

Debido a diferencias biolo gicas entre hombres y mujeres, la misma cantidad de alcohol consumida

a lo largo del mismo periodo de tiempo produce niveles de alcohol en sangre (BALs) ma s elevados

en las mujeres que en los hombres. Algunos investigadores han propuesto que las medidas de

cantidad y volumen del consumo de alcohol (p.ej. nu mero habitual de bebidas por dõ a de consumo

y cantidad global de alcohol consumido) deberõÂ an ser ajustadas para re¯ ejar estas diferencias

biolo gicas. Hasta el momento, no se ha adoptado ningu n ajuste esta ndar para las diferencias de sexo.

En este art õ culo, revisamos las publicaciones sobre diferencias biolo gicas y conductuales relacionadas

con el consumo y los efectos del alcohol, y se discuten las implicaciones de estas diferencias en

cuanto al ajuste de las medidas de consumo. Nuestra revisio n sugiere que el ajustar las medidas de

consumo de alcohol para compensar las diferencias de sexo biolo gicas es del todo apropiado para la

investigacio n y la aplicacio n de polõ ticas que implican a los efectos ® siolo gicos del alcohol en

contextos en que las diferencias de sexo, en cuanto a la forma de consumir alcohol, pueden

considerarse mõ nimas. En otras circunstancias, las diferencias de sexo no biolo gicas relacionadas con

el consumo de alcohol, como la velocidad de consumo, pueden moderar la relacio n entre el consumo

de alcohol y las diferencias de sexo biolo gicas, lo que harõ a menos defendible el ajuste. A su vez,

identi® camos a reas en que se requieren mayores conocimientos no so lo para abordar la cuestio n de

ajustar las medidas de consumo de alcohol a las diferencias de sexo, sino tambie n para entender

mejor la relacio n entre el consumo de alcohol y sus efectos.

Patrones y correlaciones de la dependencia del canabis en consumidores con una larga

trayectoria de consum o en una zona rural de Australia

W endy Swift, W ayne Hall, Peter Didcott & David Reilly

Objetivo: examinar la prevalencia y las correlaciones de la dependencia del canabis en consumidores

con una larga trayectoria de consumo. DisenÄ o: un estudio prospectivo transversal de patrones y

experiencias de consumo y dependencia del canabis. Localizacio n y participantes: Una muestra

ª snowballº de 243 consumidores de canabis con una larga trayectoria de consumo, que actualmente

fumaban de 3 a 4 veces por semana, fueron reclutados de la costa norte NSW, una zona asociada

desde hace tiempo con el cultivo y consumo de canabis. M edicione s: se realizo una entrevista

estructurada que incorporaba las siguientes mediciones de dependencia: una aproximacio n a un

dia gnostico DSM-III-R del consumo a lo largo de toda la vida, una aproximacio n a un diagnostico

ICD-10 de 12 meses, y una escala de gravedad de la dependencia (SDS). Hallazgos: la prevalencia

de un diagno stico DSM-III-R de dependencia del canabis de toda la vida fue de un 57%, mientras

que un 57% fueron asignados un diagnostico ICD-10 de dependencia en el u ltimo anÄ o. Una

Resumenes 1289

proporcio n sustancialmento menor (15%) de la muestra fue diagnosticada como dependiente segu n

la escala de gravedad de la dependencia (SDS). So lo un 26% creõ an tener un problema, por lo menos

en algunas ocasiones, con el canabis. Se dio una concordancia global entre las mediciones del

DSM-III-R y del ICD-10, pero no entre e stas y la SDS. Los diagno sticos ICD-10 y DEM-III-R de

dependencia se correlacionaban moderadamente con la edad, el consumo ilõÂ cito de drogas a lo largo

de la vida y la cantidad de canabis consumido. Los ana lisis de componentes principales de las

medidas de dependencia aportaron pocas evidencias de un sõ ndrome unidimensional segu n los

criterios del ICD-10 y el DSM-III-R. La escala SDS proporciono un apoyo importante a la

unidimensionalidad. Conclusiones: los sõÂ ntomas de dependencia del canabis fueron frecuentes entre

estos consumidores con una larga trayectoria de consumo, pero so lo una cuarta parte percibõ a que

tenõÂ a un problema con el canabis. No hubieron evidencias importantes de un sõÂ ndrome de

dependencia unidimensional del canabis.

Tratamiento de m antenim iento para adictos a los opia ceos en Alem ania con m edicaciones

que contienen code õÂ na Ð resultados de un estudio de seguimiento

M ichael Krausz, Uwe Verthein, Peter Degkwitz, Christian Haasen & Peter Raschke

Objetivos: el tratamiento ambulatorio de adictos a los opia ceos con codeõ na/dihidrocodeõ na es un

enfoque frecuente en el tratamiento de estos pacientes en Alemania. Este estudio se llevo a cabo para

evaluar los posibles bene® cios del mantenimiento con codeõ na en te rminos de restablecimiento de la

salud del paciente, de su rehabilitacio n social y de su consumo de drogas. DisenÄ o: estudio de

seguimiento de 3 anÄ os. Localizacio n: tres pra cticas de sustitucio n en grandes areas urbanas de

Alemania. Participantes: de una muestra aleatoria de 297 personas que acudõÂ an a tratamientos

ambulatorios para la dependencia de opia ceos en 1993, se pudo realizar con e xito un seguimiento de

199, M edicione s: se recogieron datos sobre salud, condiciones de vida, empleo, actividades delictivas

y consumo de drogas a nivel basal y en el seguimiento. Estos datos se basaron en entrevistas

estandarizadas y exploraciones me dicas realizadas por los me dicos que los atendõ an, asõ como en

cuestionarios cumplimentados por los pacientes. Hallazgos: en base a un õÂ ndice de seguimiento del

67%, despue s de tres anÄ os de mantenimiento con codeõ na hubo una mejorõ a en cuanto a salud y

problemas psõ quicos. Las condiciones de vida y la situacio n laboral se mantuvieron ma s o menos

invariables y se estabilizaron en un nivel satisfactorio. Lo mismo sucedio con el consumo de drogas.

Conclusiones: el progreso de los pacientes observado en este estudio fue comparable al alcanzado con

un mantenimiento con metadona en zonas geogra ® cas similares. La codeõ na tiene un menor efecto

farmacolo gico y nuestros resultados sugieren que el tratamiento de mantenimiento con codeõ na

merece una mayor atencio n, asõ como ensayos controlados para evaluar los bene® cios en compara-

cio n con la metadona (u otros opia ceos).

El consum o de drogas y el consum o inyectado de riesgo entre pacientes en m antenim iento

con m etadona en las prisiones

Shane Darke, Sharlene Kaye & Robert Finlay-Jones

Objectivos: examinar el consumo de drogas y el consumo inyectado de riesgo en pacientes encarce-

lados en tratamiento de mantenimiento con metadona (MM); para determinar el impacto de un

diagno stico de ASPD en base a tratamiento MM en prisio n; para comparar pacientes encarcelados

con pacientes en la comunidad. DisenÄ o: Entrevista estructurada. Localizacio n: prisones de NSW y

unidades de mantenimiento con metadona (MM) en la comunidad. Participantes: 100 pacientes MM

encarcelados y 183 pacientes MM de la comunidad. M ediciones: los sujetos fueron entrevistados

acerca de su consumo de drogas y los riesgos a la hora de inyectarse en los u ltimos seis meses, y se

valoro un diagno stico de trastorno de personalidad antisocial (ASPD). Hallazgos: un 38% de los

pacientes MM en prisio n consumieron heroõ na en los seis meses anteriores a la entrevista, con una

mediana de 4.5 dõ as. Cuarenta y cuatro por ciento de pacientes en prisio n se habõ an inyectado drogas

en los seis meses anteriores. Un tercio (32%) de los sujetos encarcelados habõÂ an tomado prestado

material de inyeccio n en los seis meses anteriores, y un 35% habõ an prestado material de inyeccio n

1290 Resumenes

usado a otros. Los pacientes en la comunidad mostraron una mayor probabilidad de haberse

inyectado drogas en los u ltimos sels meses (84% vs 44%), de haber consumido heroõ na (72% vs

38%) y de haberlo hecho con ma s frecuencia (20 vs 4.5 dõ as). Sin embargo, los prisioneros tenõ an

ma s probabilidades de haber tomado prestado (32% vs 15%) o de haber dejado (35% vs 21%) el

material de inyeccio n durante ese periodo. Aunque se inyectaban con menos frecuencia que sus

homo logos en la comunidad, las pra cticas de inyeccio n de los sujetos en prisio n tenõ an un nivel de

riesgo mucho ma s elevado. Los diagno sticos de ASPD no estaban relacionados con el consumo de

drogas ni con los riesgos al inyectarse. Conclusiones: los pacientes encarcelados se inyectaban con

menos frecuencia que los pacientes en la comunidad pero el nivel de riesgo al inyectarse era ma s

elevado.

Los efectos de la predisposicio n al tratamiento para el abuso de sustancias en la con-

tinuidad de los pacientes y la evaluacio n del proceso

George W . Joe, D. Dwayne Simpson & Kirk M . Broome

Objetivos: este estudio examino las motivaciones de los pacientes en cuanto a su continuidad e

implicacio n con el tratamiento en los tres tipos principales de centros de tratamiento representados

en el tercer estudio nacional sobre tratamiento del abuso de sustancias (DATOS) llevado a cabo en

EE.UU. DisenÄ o: la secuencia de admisiones a 37 programas durante 1991 ± 1993 proporcionoÂ

muestras representativas de poblacio n en tratamiento a nivel de la comunidad. En base a este disenÄ o

de evaluacio n naturalista no experimental, se utilizo un ana lisis de modelo jera rquico lineal (HLM)

para datos anidados para controlar las variaciones sistema ticas en los õ ndices de continuidad y los

atributos de los pacientes entre los programas segun modalidades. Localizacio n: los datos se

recogieron de programas a largo plazo residenciales (LTR), de tratamiento con metadona ambulato-

rios (OMT), y de tratamiento ambulatorio libre de fa rmacos (ODF) en 11 grandes ciudades.

Participantes: un total de 2,265 pacientes en 18 programas LTR, 981 pacientes en 13 programas

OMT, y 1,791 pacientes en 6 programas ODF fueron estudiados. M ediciones: las variables pre-

tratamiento incluyeron el reconocimiento del problema y la predisposicio n al tratamiento (dos etapas

de motivacio n), indicadores sociodemogra ® cos, antecedentes de consumo de drogas y dependencia,

actividades delictivas, diagno sticos psiquia tricos como rbidos, y tratamientos previos. La continuidad

y la implicacio n (en base a valoraciones de las relaciones entre paciente y asesor) sirvieron como

criterios de resultado. Hallazgos: la motivacio n pretratamiento se relacionaba con la continuidad en

el tratamiento en las tres modalidades, y la escala de predisposicio n al tratamiento fue el mayor

predictor en los programas LTR y OMT. Una mayor predisposicio n al tratamiento tambie n se

relacionaba signi® cativamente con una pronta implicacio n terape utica en todas las modalidades.

Conclusiones: los indicadores de motivacio n intrõ nsecaÐ especialmente la predisposicio n al

tratamientoРno so lo fueron predictores de implicacio n y continuidad, sino que fueron ma s impor-

tantes que las variables sociodemogra ® cas, de consumo de drogas, y de otros antecedentes. Mejora

evaluaciones y la plani® cacio n de intervenciones que se centren en las etapas de predisposcio n al

cambio y la recuperacio n deberõ an contribuir a mejorar los sistemas de tratamiento.

La tendencia a respuestas socialm ente deseables en correlacio n con la precisio n de los

inform es de consumidores de drogas i.v. seropositivos acerca de su estado de afectacio n

por el VIH

Carl A. Latkin & David Vlahov

Objetivos: este estudio examino la precisio n de los informes sobre su estado de afectacio n por el VIH

de consumidores de drogas i.v. y la validez predictiva de una medida de deseabilidad social para

detectar informes poco precisos. DisenÄ o: se proporciono ana lisis de anticuerpos del VIH y aseso-

ramiento cada sels meses a los participantes en el estudio ALIVE (Superviviencia). En el estudio

SAFE (Seguridad) llevado a cabo por separado, los mismos voluntarios fueron preguntados acerca

de su affectacio n por el VIH. Participantes: los 348 consumidores activos de drogas i.v. reclutados

del estudio ALIVE, un estudio longitudinal de la historia natural del VIH en con-

Resumenes 1291

sumidores de drogas i.v., fueron voluntarios para el estudio de prevencio n del VIH (estudio SAFE).

M ediciones: la entrevista basal del estudio ALIVE incluyo una escala para medir ª autoenganÄ oº , una

dimensio n de respuestas socialmente deseables. Hallazgos: de 104 participantes VIH seropositivos,

71 (68%) informaron con precisio n acerca de su estado de afectacio n por el VIH, 28 (27%)

informaron con poca precisio n, y 5 (5%) informaron que no sabõ an o no estaban seguros de su estado

de afectacio n por el VIH. De 242 participantes seronegativos, 239 (98%) informaron correctamente

acerca de su estado de afectacio n por el VIH. Asõ pue s, la sensibilidad de los informes fue del 72%,

la especi® cidad fue del 99%, el valor predictivo positive fue del 97%, y el valor predictivo negativo

fue del 90%. Para los individuos que puntuaron a nivel de la mediana o por debajo en cuanto a

autoenganÄ o, la sensibilidad de los informes de su estado de afectacion por el VIH fue del 81%.

Conclusiones: los resultados sugieren que las puntuaciones elevadas en algunas mediciones de

deseabilidad social podrõÂ an indicar una validez cuestionable de los informes de los sujetos acerca de

su afectacio n por el VIH.

Patrones de consumo de alcohol, tabaco y drogas ilõ Â citas en adolescentes ingleses

Ian Sutherland & Paul W illner

Objetivos: el objetivo de este estudio era describir associaciones entre el alcohol, el tabaco y las drogas

ilõ citas en adolescentes y factores demogra ® cos relacionados con el consumo de sustancias. DisenÄ o,

localizacio n, sujetos: estudio prospectivo en las aulas de la poblacio n total de estudiantes (n 5 5383,

edad 11± 16) en seis escuelas seleccionadas en distintos lugares de Inglaterra. Mediciones: los

encuestados fueron preguntados con® dencialmente acerca de su consumo y nivel de consumo de

alcohol, tabaco y drogas ilegales. Hallazgos: la prevalencia del consumo habitual de sustancias en la

muestra aumento de un 30.4% a la edad de 11 anÄ os a un 83.9% a los 16. La prevelancia del

consumo de alcohol no fue distinta entre chicas y chicos, pero el consumo de tabaco era ma s

prevalente en las chicas y el consumo de drogas ilegales en los chicos. El alcohol se consumõÂ a con

ma s frecuencia que ninguna otra sustancia, o combinacio n de sustancias, y el consumo de alcohol

se acompanÄ aba casi invariablemente con el consumo de otras sustancias: el consumo exclusivo de

tabaco o drogas ilegales era insigni® cante. Los niveles elevados de consumo de drogas estaban

habitualmente acompanÄ ados de niveles elevados de intoxicacio n alcoho lica y se relacionaban con un

aumento del consumo de drogas ilegales y de tabaco. Globalmente, cerca de la mitad de los

bebedores (46.8%) preferõ an los ª alco-popsº (bebidas gasi® cadas) a otros tipos de bebidas alcoho li-

cas: esta cifra fue mayor en las chicas (56.4%) que en los chicos (37.1%), pero descendio de manera

pronunciada con la edad (62.9% a los 11 anÄ os; 37.7% a los 16 anÄ os), especialmente en los chicos.

La preferencia por los licores aumento con la edad, siendo particularmente marcada en las chicas

(28.4% en las chicas vs 18.5% en los chicos a los 16 anÄ os). Los consumidores de licores tenõ an ma s

probabilidades de consumir tabaco y drogas, y se habõ an emborrachado con ma s frecuencia que los

consumidores de vino/cerveza o ª alco-popsº (bebidas gas® cadas); estas medidas tambie n tendõ an a

ser ma s elevadas en los consumidores de ª alco-popsº que en los consumidores de vino/cerveza,

especialmente entre las ninÄ as de 11 a 13 anÄ os de edad. Conclusiones: el consumo tanto de tabaco

como de drogas ilõÂ citas esta fuertemente relacionado con el consumo de alcohol, que tiene una mayor

prevalencia, y el riesgo de consumo de tabaco y drogas ilõÂ citas es particularmente alto en adolescentes

que muestran niveles elevados de embriaguez. Nuestros resultados son consistentes con un modelo

simple del umbral del abuso de sustancias, en el que el alcohol ocupa un nivel de umbral bajo en

relacio n al umbral ma s elevado del consumo de cigarrillos y drogas ilõ citas. El consumo de tabaco,

drogas y el embriagarse fueron menores en los consumidores de cerveza/vino, seguidos de los

consumidores de ª alco popsº , siendo ma s elevados en los consumidores de licores.

El impacto del gusto por los anuncios y la ® delidad a las marcas que se consumen y las

agresiones relacionadas con el alcohol: un estudio longitudinal

Sally Casswell & Jia-fang Zhang

Objetivo: analizar un modelo hipote tico del efecto de los anuncios de alcohol televisados y la ® delidad

a marcas especõÂ ® cas de cerveza, en el subsiguiente consumo de cerveza y los informes de los sujetos

1292 Resumenes

sobre conductas agresivas relacionadas con el consumo de alcohol. DisenÄ o: se utilizo un modelaje de

ecuaciones estructurales para evaluar el ajuste de los datos recogidos como parte de un estudio

longitudinal de la salud y el desarrollo en la gente joven y un modelo hipote tico basado en

perspectivas teo ricas e investigaciones anteriores. Localizacio n: una cohorte de natalidad ha sido

evaluado cada pocos anÄ os, la mayorõÂ a en su ciudad de residencia, Dunedin, Nueva Zelanda. Las

preguntas sobre el alcohol se formulan como parte de la evaluacio n de todo un dõ a. Participantes:

miembros de una cohorte de un estudio prospectivo a la edad de 18 y 21 anÄ os. En este estudio se

analizaron datos de 630 participantes consumidores de cerveza. Medicione s: respuestas a preguntas

sobre consumo de cerveza, gusto por los anuncios, marcas preferidas de cerveza, e informes de los

sujetos sobre conductas agresivas relacionadas con el alcohol. Hallazgos: nuesto modelo hipote tico

partõÂ a del supuesto de que el gusto por los anuncios de alcohol y la ® delidad a las marcas tenõÂ an un

impacto positivo a la edad de 18 anÄ os que se re¯ ejaba en la cantidad de cerveza consumida a los 21

anÄ os y los informes de los sujetos sobre conductas agresivas relacionadas con el alcohol. Se hallo que

esto se ajustaba bien a los datos del estudio longitudinal. Conclusiones: Esta posibilidad de medir el

impacto de los anuncios de alcohol se dio en un momento de descenso del consumo global de alcohol

en Nueva Zelanda. Aunque este efecto no fue su® ciente para frenar el descenso en el consumo global

de alcohol, s õ indica un impacto medible y especõ ® co de la difusio n de anuncios sobre consumo de

alcohol y conductas relacionadas que concierne a las polõÂ ticas de salud publica.

El consum o de alcohol de los hombres checoslovacos en un clim a de cam bios polõÂ ticos

1983± 1993: un estudio longitudinal

LudeÏ k KubicÏ ka, Ladislav Cse my, Josef Duplinsky & JirÏ õ KozÏ enyÂ

Objetivos: analizar las relaciones entre los desarrollos polõ ticos en la Repu blica Checa y las conductas

de consumo de alcohol de los hombres checoslovacos. Diseno: un disenÄ o longitudinal proporcionoÂ

datos de una cohorte de 586 hombres checoslovacos en tres climas polõÂ ticos distintos; en 1983, 1988

y 1993. Localizacio n: en 1986 ± 1988 el partido comunista gobernante intento reducir el consumo de

alcohol en el paõ s a trave s de una campanÄ a antialcohol inspirada en Gorbachev; despue s de 1989 el

restablecimiento de la democracia y una econom õ a de mercado abolio todo control polõ tico sobre el

consumo de alcohol y desregularizo los precios de las bebidas alcoho licas. Participantes: una cohorte

representativa de los hombres de Praga nacidos entre 1950 y 1961. Mediciones: informes mediante

entrevista especõÂ ® ca sobre consumo de alcohol y conductas relacionadas y un cuestionario de datos

sobre actitudes frente al consumo de alcohol. Hallazgos: durante este seguimiento el consumo de

alcohol de los hombres disminuyo entre 1983 y 1988 en un 26% y volvio a aumentar en un 16%

entre 1988 y 1993, re¯ ejando el consumo per ca pita en la Repu blica Checa. La misma tendencia en

el tiempo fue observada en todos los niveles educativos y tambie n entre los hombres registrados por

abuso de alcohol. Las actitudes de los hombres frente al consumo de alcohol a penas cambiaron a

lo largo del periodo de seguimiento de diez anÄ os. Las actitudes individuales frente al consumo de

alcohol interaccionaban con los efectos del periodo: los hombres con fuertes actitudes positivas hacia

el consumo de alcohol disminuyeron su consumo menos que otros durante la campanÄ a antialcohol,

y dichos hombres aumentaron su consumo ma s que la media durante el periodo de liberalizacio n.

Conclusiones: la bajadas y posterior subida en el consumo de alcohol medio de los hombres durante

los 10 anÄ os de seguimiento puede interpretarse como efecto tanto de los cambios en los precios como

de los cambios en el control polõÂ tico sobre el consumo de alcohol.

La prevalencia de problem as relacionados con el alcohol en pacientes de servicios de

urgencias en Tailandia

Sandra C. Lapham, Betty J. Skipper, Pamela Brown, Wittaya Chadbunchachai, Paibul Suriyawongpaisal

& Suparb Paisarnsilp

Objetivos: determinar los õÂ ndices de prevalencia de problemas relacionados con el alcohol en pacientes

de servicios de urgencias. DisenÄ o: un estudio prospectivo transversal que incluõÂ a entrevistas a los

pacientes y revisiones de los archivos. El cuestionario incluyo el ª Alcohol Use Disorders

Resumenes 1293

Identi® cation Testº (Identi® cacio n de Trastornos por Consumo de Alcohol) para identi® car el

consumo peligroso o perjudicial de alcohol (problemas alcoho licos). A su vez contenõ a preguntas

respecto a la dolencia principal y los factores que causaron la admisio n. Localizacio n: servicios de

urgencias de tres hospitales regionales de Tailandia. Participantes: admisiones consecutivas a servicios

de urgencias de 14 anÄ os de edad o ma s, admitidos desde las 18 ; 00 a las 02 ; 00 horas. Hallazgos: los

factores de riesgo de problemas relacionados con el alcohol incluyeron el ser de sexo maculino, de

edad entre 20 y 49 anÄ os, tener unos ingresos econo micos ma s elevados, un nivel educativo inferior

a graduado universitario, y las admisiones a servicios de urgencia regionales del noreste. Entre los

pacientes no traumatolo gicos, aquellos con diagno sticos relacionados con el alcohol y ciertos

trastornos gastrointestinales mostraron los indices ma s elevados de problemas con el alcohol. La

probabilidad de pacientes con lesiones relacionadas con el transporte era dos veces mayor, y aquellos

con lesiones relacionadas con agresiones, caõ das o quemaduras eran al menos tres vaces ma s

propensos a dar resultados positivos en la deteccio n de alcohol en comparacio n con el grupo de no

lesionados. La estimacio n del õ ndice global de prevalencia de problemas con el alcohol en esta

poblacio n, ajustado para edad y clasi® cacio n diagno stica, fue de 0.39 para los hombres y de 0.08 para

las mujeres. Conclusiones: especialmente en pacientes con diagno sticos especõ fõ cos, el servicio de

urgencias es un lugar ideal para implementar programas de deteccio n e intervencio n de problemas

con el alcohol en Tailandia.

Evaluacio n de la tipologõ a de Cloninger de abuso de alcohol

Claudia Sannibale & W ayne Hall

Objetivo: evaluar la tipologõÂ a de Cloninger de ª alcoholismoº utilizando la ª Alcohol Symptom Scaleº

(Escala de Sõ ntomas Alcoho licos) (Gilligan y cols., 1987). Participantes: una muestra de 300 hombres

y mujeres australianos con un diagno stico DSM-III-R de toda la vida de abuso/

dependencia del alcohol. M ediciones: ª Alcohol Dependence Scaleº , ª Short Alcoholism Screening

Testº , ª Composite International Diagnostic Interview (CIDI) Substance Abuse Moduleº , ª Brief

Symptom Inventoryº , ª CIDI core modulesº , ª Family History Questionnaireº y ª Sensation Seeking

Scaleº . Hallazgos: la escala de sõ ntomas alcoho licos so lo clasi® co un 18% de la muestra en tipo 1 o

tipo 2. Los resultados apoyaron de forma diversi® cada las diferencias hipote ticas entre los consumi-

dores de alcohol problema ticos de tipo 1 y tipo 2 en los patrones de abuso de alcohol, el sexo, las

caracterõ sticas de personalidad, y la agregacio n familiar en el abuso de alcohol. Ma s mujeres que

hombres fueron clasi® cadas de tipo 1 (19% vs 6%), pero, en contra de lo esperado, un nu mero

similar fue clasi® cado de consumidores de alcohol problema ticos de tipo 2 (7% vs 4%). Tal como

se habõ a predecido, los consumidores de tipo 2 mostraron ma s s õ ntomas de trastorno de personalidad

antisocial, ma s consecuencias sociales del consumo de alcohol, y unas puntuaciones ma s elevadas de

bu squeda de sensaciones que los consumidores de tipo 1. Conclusiones: la tipologõ a de Cloninger no

logro clasi® car dos tipos de consumidores de alcohol problema ticos y no predijo diferencias de sexo

en los sõÂ ntomas de dependencia del alcohol, en los antecedentes familiares ni en la personalidad. La

hipo tesis de Schuckit, Irwin y Mahler (1990) de que los consumidores problema ticos de tipo 2 tienen

mas probabilidades de presentar ASPD primario obtuvo apoyo.

El curso del consumo de tabaco precoz: un estudio basado en un cohorte poblacional a lo

largo de tres anÄ os

G. C. Patton, J. B. Carlin, C. Coffey, R. W olfe, M. Hibbert & G. Bowes

Objetivos: examinar el inicio y el curso del consumo de tabaco en un cohorte representativo de

adolescentes. DisenÄ o: estudio de cohorte. Participantes: estudiantes de secundaria con una edad inicial

de 14 a 15 anÄ os en 44 escuelas del estado de Victoria, Australia. M ediciones: cuestionario computer-

izado que incluõÂ a el recuerdo retrospectivo al cabo de 7 dõÂ as del consumo de tabaco. Hallagos: los

õ ndices de prevalencia de consumo de tabaco en el u ltimo mes aumentaron de un 24% a un 30% y

el consumo diario de un 8% a un 16% a lo largo del seguimiento de 3 anÄ os. El 45% de la muestra

habõ a consumido tabaco en algu n momento pero so lo el 16% mostraron ser consumidores habituales.

1294 Resumenes

Se observaron õÂ ndices elevados de abstinencia a corto plazo tanto para fumadores puntuales como

diarios, pero el 70% de los fumadores diarios recaõÂ an en los siguientes 12 meses. El consumo

ocasional al principio era el predictor ma s importante del posterior consumo a diario y, a su vez,

predecõÂ a õÂ ndices menores de abstõÂ nencia y mayores de recaõÂ da. El divorcio de los padres y el consumo

de tabaco diario de e stos estaba relacionado con el inicio del consumo, y el consumo de tabaco de

los padres era fuertemente predictor de un curso de consumo diario. En contraste, los õÂ ndices de

prevalencia del consumo de tabaco en la escuela de un sujeto no predecõÂ an de forma signi® cativa ni

el inicio del consumo de tabaco ni el subsiguiente curso de dicho consumo. Las mujeres que

consumõÂ an tabaco a diario tenõÂ an la mitad de probabilidades que los hombres de dejar de consumir

tabaco, un hallazgo que explica las diferencias de sexo en la prevalencia del consumo de tabaco en

esta muestra. Conclusiones: la fuerza de la relacio n entre el consumo ocasional y el posterior consumo

a diario indican la importancia de la prevencio n primaria, pero la variabilidad en el curso inicial del

consumo indica que deberõÂ a haber muchas posibilidades de premiar de los esfuerzos de los

adolescentes para dejar el consumo de tabaco. Tanto las menores probabilidades de dejar el consumo

de las mujeres jo venes como las in¯ uencias de los padres en el curso del consumo de tabaco merecen

ser ma s exploradas.