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Press Développement durable Environnement

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EEDDIITTEEUURR ::CANNES COMMUNICATION SASLe Majestic - 10, av. de Branly06400 CANNESTél. +33 (0)4 92 02 59 27Fax +33 (0)4 93 22 92 [email protected]

DDIIRREECCTTEEUURR DDEE LLAA PPUUBBLLIICCAATTIIOONN //DDIIRREECCTTEEUURR GGÉÉNNÉÉRRAALL ::Guy FIMA

DDIIRREECCTTEEUURR GGÉÉNNÉÉRRAALL AADDJJOOIINNTT ::Eric Roux

RRÉÉDDAACCTTEEUURR EENN CCHHEEFF ::Jean François Durand

RRÉÉDDAACCTTIIOONN ::Nelly Nussbaum

TTRRAADDUUCCTTIIOONN ::Irene Hobbs Suzanne Kobine

DDIIRREECCTTEEUURR AARRTTIISSTTIIQQUUEE ::Angélique Meunier

PPUUBBLLIICCIITTÉÉ ::Vicky Goldstein

DDIIRREECCTTEEUURR CCOOMMMMEERRCCIIAALL ::Thierry Frémont

SSEERRVVIICCEE CCOOMMMMEERRCCIIAALL ::Estelle Caron, Dominique Berdugot,Alexandre Guerin, Sébastien Claus

SSTTUUDDIIOO GGRRAAPPHHIIQQUUEE ::Angélique Création

PPHHOOTTOOSS ::Laurent Loiseau

IIMMPPRRIIMMEERRIIEE ::Zimmermann

CCRRÉÉDDIITTSS PPHHOOTTOOSS ::Edmiston / Sunseeker / Riva / Burgess/Yacht Club de Cannes© Tous droits réservés -Copyright international

PPUUBBLLIISSHHEERR ::CANNES COMMUNICATION SASLe Majestic - 10, av. de Branly06400 CANNESTél. +33 (0)4 92 02 59 27Fax +33 (0)4 93 22 92 [email protected]

DDIIRREECCTTOORR OOFF PPUUBBLLIICCAATTIIOONN //CCHHIIEEFF EEXXEECCUUTTIIVVEE::Guy FIMA

DDEEPPUUTTYY CCHHIIEEFF EEXXEECCUUTTIIVVEE::Eric Roux

EExxeeccuuttiivvee EEddiittoorr::Jean François Durand

EEDDIITTOORR ::Nelly Nussbaum

TTRRAANNSSLLAATTOORR ::Irene Hobbs Suzanne Kobine

AARRTTIISSTTIICC DDIIRREECCTTOORR ::Angélique Meunier

AADDVVEERRTTIISSIINNGG ::Vicky Goldstein

SSAALLEESS MMAANNAAGGEERR ::Thierry Frémont

SSAALLEESS SSTTAAFFFF ::Estelle Caron, Dominique Berdugot,Alexandre Guerin, Sébastien Claus

GGRRAAPPHHIICC DDEESSIIGGNN SSTTUUDDIIOO ::Angélique Création

PPHHOOTTOOGGRRAAPPHHYY ::Laurent Loiseau

PPRRIINNTTEERR ::Zimmermann

PPHHOOTTOO CCRREEDDIITTSS ::Edmiston / Sunseeker / Riva / Burgess/Yacht Club de Cannes© All rights reserved -International copyright

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Editorial de JJeeaann--LLoouuiiss BBOORRLLOOOO, Ministred’Etat, Ministre de l’écologie, de l’éner-gie, du développement durable et dela mer, en charge des technologies ver-tes et des négociations sur le climat.

A Copenhague, les Chefs d’Etat et de Gouvernement de193 pays ont tenté de trouver un accord sur le climat succédant au Protocole de Kyoto. L’objectif étant de limiter la hausse des températures à 2°C, seuil au-delàduquel le monde entrerait dans une période de très fortes incertitudes. Depuis le début du processus, la Francemilite pour la signature d’un accord politique, précis et engageant permettant d’inverser durablement latendance.

Au-delà des seuls enjeux politiques et diplomatiques, lalutte contre le changement climatique est sans nul doutele plus grand défi technique, économique et industriel denotre temps. Ainsi, depuis plus de deux ans et grâce auGrenelle Environnement, la France a décidé d’investirmassivement dans un nouveau modèle de croissanceessentiellement fondé sur la sobriété en carbone et enénergie. Il s’agit également de valoriser au maximum lesavoir-faire exceptionnel de notre pays dans tous les secteurs de la croissance verte : gestion des déchets,traitement des eaux, construction, rénovation thermique,transports propres,…

Mais au-delà et grâce à l’implication des élus locaux, leGrenelle Environnement se traduit déjà par des changements concrets dans la vie quotidienne de millions de nos concitoyens : accompagnement de plusde 160 éco-quartiers et de 19 éco-cités à la suite du lancement d’un premier appel à projets, construction de50 projets de transports collectifs dans 38 villes de Francegrâce à une aide de l’Etat de 800 mill ions d’euros, construction d’au moins une centrale solaire parrégion d’ici 2011,…Bref, nos atouts sont plus que jamaisdans nos intelligences et dans nos territoires !

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Editorial from JJeeaann--LLoouuiiss BBOORRLLOOOO,Minister of State, ecology, energy, sustainable development and the sea,in charge of green technologies andnegotiations on the climate.

In Copenhagen, the heads of State and government of193 countries were trying to reach an agreement on theclimate, further to the Kyoto Protocol. The objective wasto limit the increase in temperature to 2°C, a thresholdbeyond which the world will enter into a period of highuncertainties. Since the beginning of the process,France has been campaigning to sign a precise politicalagreement, enabling us to reverse this trend sustainably.

Beyond the political and diplomatic issues, the climatechange struggle is undoubtedly the biggest technical,economic and industrial challenge of our t ime.Therefore, over the last two years and thanks to theGrenelle Environment, France has decided to investmassively in a new growth model essentially based onreduction in carbon and energy. The idea is to make themost of the exceptional expertise of our country in allsectors of green growth: waste management, watertreatment, construction, thermal renovation, cleantransport,…

But, beyond this and thanks to the involvement of localrepresentatives, the Grenelle Environment has alreadyproduced changes in the daily life of millions of our citizens: accompanying more than 160 eco-districts and19 eco-cities further to the launch of a first bid for projects, construction of 50 public transport projects in38 cities in France thanks to a state aid of 800 millionEuros, construction of at least one solar plant by regionin 2011,…in fact our assets are increasingly in our intelligence and our territories !

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L’année de la biodiversité doit être l’occasion de rappeler une véritéessentielle : l’eau, c’est la vie et notre bien le plus précieux. Gaspillernotre eau, c’est gaspiller notre capital de vie et celui de l’ensembledu vivant. Même si la France a la chance de bénéficier d’importantes réserves sur son territoire, ses ressources sont soumises, comme dans tous les pays du monde, à des pressionscroissantes : augmentation de la population, densification urbaine,intensification agricole, développement industriel,… De plus, le changement climatique fait déjà sentir ses effets avec une multiplication de phénomènes extrêmes comme les sécheresses oules inondations.

Il est donc impératif de replacer l’eau au coeur des politiques publiques. Cela commence bien sûr au niveau national avec l’adoption des lois Grenelle, l’approbation des schémas directeursd’aménagement et de gestion des eaux sur l’ensemble du territoire et lamise en place d’une tarification sociale dans le domaine de l’eau.

La loi Grenelle 1, puis la loi Grenelle 2, constituent des étapes décisives dans la définition des objectifs de reconquête de la qualité de nos eaux et par la mise en oeuvre d’outils nécessaires poury parvenir : bon état écologique de 2/3 des masses d’eau à l’horizon2015, réduction de moitié des substances les plus préoccupantes au sens du règlement REACH, constitution d’une trameverte et bleue, acquisition de 20 000 hectares de zones humides particulièrement menacées, plan écophyto, généralisationdes bandes enherbées, définition des 500 captages prioritaires…

Mais au-delà, l’eau est également un enjeu majeur de solidarité internationale. Je rappelle que près d’un milliard d’êtres humains n’ontpas accès à l’eau potable et que plus de 2,5 milliards d’individus ne disposent d’aucun système d’assainissement. A l’heureactuelle, les maladies liées à la mauvaise qualité des eaux comme lecholéra, la typhoïde, le paludisme ou la dengue, tuent dix fois plus queles guerres ! Avec plus de 350 millions d’euros par an, notre pays est le4ème contributeur au monde en faveur de l’accès à l’eau. De plus, nosingénieurs et nos spécialistes sont présents sur de nombreux bassins partagés, que ce soit en Afrique (Congo, Niger, Volta, Nil, Sénégal) ou enAsie comme sur le Mékong, pour aider les pays riverains à gérer au mieuxleurs ressources. Au total, en 2008, la France a donné accès à l’eaupotable à environ 2,5 millions de personnes dans le monde, ce quiconstitue une grande fierté pour notre pays.

Que ce soit au sein de nos territoires ou à l’étranger, notre pays continuera de se battre, chaque jour, pour garantir au plus grandnombre un égal accès à une eau saine et de qualité. Plus qu’un simple devoir moral, il s’agit d’un véritable « Droit de l’Homme du21ème siècle » que la France défendra au prochain forum mondialde l’eau qui se tiendra à Marseille en mars 2012.

Tribune de Chantal JouannoSecrétaire d'État chargée de l'Écologie

Magazine Cannes Écologiedistribué lors du

12ème Symposium international de l'eau à Cannes.

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©G

ITAN

A S.

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BANQUE DE GESTIONEDMOND DE ROTHSCHILD - MONACO2, AV. DE MONTE-CARLO - 98000 MONACO T. (+377) 93 10 47 47

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Page 11: RIVIERA ECOLOGIE

Aujourd’hui, un milliard d’Hommes sont privés d’accès à une eau potable, et plus de deux milliards etdemi de personnes ne disposent d’aucun système d’assainissement.

Conséquence directe et dramatique de cette situation, la mauvaise qualité de l’eau est le premier facteur de mortalité dans le monde et cause chaque année le décès de plus de 8 millions d’individus,dont la moitié sont des enfants.

Si les problèmes liés à l’approvisionnement et à l’insalubrité touchent essentiellement les pays en voie dedéveloppement et nécessitent d’agir en urgence, la question de l’eau est tout aussi essentielle dans lespays développés, où le gaspillage et la pollution menacent la ressource.

Face au défi majeur de la gestion de nos ressources en eau, enjeu vital pour l’humanité, facteur de paix,et condition d’un développement économique et social durable, la communauté internationale se mobilise depuis quelques années.

La réunion du Forum mondial de l’eau,organisée tous les trois ans depuis 1997,témoigne de cette prise de conscienceet constitue l’occasion d’engager desréflexions et d’apporter des solutionsconcrètes au niveau mondial.

C’est dans le même esprit que se tientchaque année à Cannes le SymposiumInternational de l’Eau, qui réunit les meilleurs spécialistes nationaux et internationaux venus partager leursidées et leurs expériences.

Dans le département des Alpes-Maritimes, nous avons la chance de disposer d’une ressource en eau abondante et de qualité, que le Conseilgénéral contribue à préserver.

Suivi et protection des cours d’eau, luttecontre les pollutions marines, assistanceet soutien financier aux communes dansleurs efforts en matière de traitementdes eaux usées, sont parmi les actionsque nous avons mises en place, quivisent à protéger la santé de nos concitoyens et contribuent à offrir à nosmillions de visiteurs un environnementpréservé.

Je souhaite la bienvenue dans les Alpes-Maritimes à l’ensemble des participantsdu 12ème Symposium International del’Eau.

Puissent ces trois jours d’échangescontribuer à l’émergence de solutionspermettant de garantir aux générationsfutures un accès équitable à une eausaine et de qualité.

E Ciotti Officielle mai2010 © Boizet Alpaca

Eric CIOTTIDéputé

Président du Conseil général des Alpes-Maritimes

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À travers cette manifestation, part icipent l ’UNESCO, lesUniversités des Nations Unieset de Nice Sophia Antipolis et laVille de Cannes, fondateurs du Réseau Méditerranéen UNITWINsur les ressources en eau, le développement durable et la paix.

Pour sa douzième édition, le Symposium International de l'Eaurevêtira un caractère exceptionnel à Cannes, CapitaleMondiale de l'Eau, du 30 juin au 2 juillet 2010.

Le Symposium de l'Eau 1999-2009, 11 ans d'expérience

Evénement annuel au Palais des Festivals de Cannes, le Symposium rassemble chaqueannée plus de 3 000 participants toutes actions confondues issus de 78 nationalités.

Depuis sa création en 1999, le Symposium International de l’Eau constitue unevéritable plate-forme de rencontres et d’échanges professionnels entre déci-deurs politiques, professionnels et scientifiques, spécialistes de l’eau et dudéveloppement durable.

The Water Symposium 1999-2009, 11 years experience.

The annual event held at the Palais des Festivals in Cannesbrings together each year more than 3000 participants fromall spheres representing 78 nationalities.

Since its creation in 1999, The International Water Symposium hasbecome a real base for meetings and professional discussionsamong decision-makers, politicians, scientists and professionals,and scientists specialized in water and sustainable development.

At this 12th event, the International Water Symposium will be exceptional in Cannes, WorldCapitol of Water from 30. June to 2. July 2010.

discussions, training courses, professional training, business meetings,exhibitions, visits on site andInvitations to the General Public in addition to the professional evenings.

Le Symposium International de l’Eau propose diverses prestations tellesque des ateliers de réflexion, des formations professionnelles, desBusiness Meeting, des expositions, des visites sur site et animationsGrand Public, ainsi que des soirées professionnelles.

The following entities participate in this event, UNESCO, the Universities of NiceSophia Antipolis and the city of Cannes, founders of the Mediterranean UNITWINon water resources, sustainable development and peace.

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Page 13: RIVIERA ECOLOGIE

Bienvenus au 12ème Symposium International de l’Eau.

L’eau devient un enjeu national et international prioritaire. Le développement irréversible des Nationsinflue sur la qualité et la quantité de cette ressourcevulnérable. La connaissance des ressources en eau etleur gestion technique, juridique et financière méritentainsi notre plus grande attention.

Depuis onze ans, le Symposium International de l’Eaus’affirme comme le rendez-vous incontournable desspécialistes nationaux et internationaux en matièred ’assainissement, d ’énergie, d ’aménagement du

Welcome to the 12th Cannes Water Symposium.

Water is becoming a national and international priority which must be taken into account. The irreversible development of countries has an impacton the quality and quantity of this vulnerableresource. Consequently, knowledge of water resources and their technical, legal and financial management deserve our attention.

The International Water SymposiumThe International Water Symposium has become amust for national and international specialists in

LLee mmoott ddee ll’’oorrggaanniissaatteeuurr :: PPrr.. RRaaoouull CCAARRUUBBAA

littoral, de r isques naturels, de nouvelles technologies, de santé et d'éducation.

Toute une gamme de services sera mise à votre disposition pour communiquer sur le thème de l’eau: atel iers pluridiscipl inaires et transectoriels, formations professionnelles, business meeting, showroom, soirées professionnelles, animations, etc.

Professionnels, Décideurs Politiques, Scientifiques,Citoyens du Monde : rejoignez-nous à Cannes,Capitale Mondiale de l'Eau du 22 au 24 juin 2010.

IInnttrroodduuccttiioonn bbyy tthhee oorrggaanniizzeerr:: PPrrooffeessssoorr RRaaoouull CCAARRUUBBAA

terms of resources, technical and legal management and subjects such as sanitation,energy, sea-coast interface, natural r isks, new technologies, health and education.

A range of services will be available to you on thesubject of water: workshops, professional meetings,muti-sectorial workshops, business meetings, showrooms, professional evenings, activities etc.

Professionals, decision-makers, scientists, citizens ofthe world: come and join us in Cannes - The WorldWater Capitol from 30. June to 2nd July 2010.

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Symposium International de l’Eau Cannes Water Symposium

30 juin – 2 juillet 2010 au Palais des Festivals de CannesBusiness Interface - Congrès International de l’Eau et du Développement Durable pour

des solutions d’avenirAvec le Parrainage de Monsieur le Ministre de la Défense Hervé MORIN

LL’’EEAAUU,, UUNN EENNJJEEUU NNAATTIIOONNAALL EETT IINNTTEERRNNAATTIIOONNAALL PPRRIIOORRIITTAAIIRREE ::Le développement irréversible des Nations influe sur la qualité et la quantité de cette ressource vulnérable. La connaissance des ressources en eau et leur gestion technique, juridique et financière méritent ainsi notre plus grande attention.

UUNN RREENNDDEEZZ--VVOOUUSS IINNCCOONNTTOOUURRNNAABBLLEE :: Depuis douze ans, le Symposium International de l’Eau s’affirme comme le rendez-vous incontournable des spécialistes nationaux et internationaux en matière d’assainissement, d’énergie, d’interaction mer littoral, de risques naturels, de nouvelles technologies, de santé, etc.

UUNNEE VVÉÉRRIITTAABBLLEE PPLLAATTEE--FFOORRMMEE DDEE RREENNCCOONNTTRREESS EETT DD’’ÉÉCCHHAANNGGEESSentre décideurs politiques, professionnels et scientifiques,spécialistes de l’eau et du développement durable :Le Symposium International de l’Eau propose diverses prestations telles qu’un salon d’exposition au cœur du Palaisdes Festivals, des ateliers scientifiques, des formations professionnelles, des Business Meeting, des conférencesGrand Public, ainsi que des soirées professionnelles.

LL’’OOBBJJEECCTTIIFF DDUU SSYYMMPPOOSSIIUUMM IINNTTEERRNNAATTIIOONNAALL DDEE LL’’EEAAUU ::Le but de ces rencontres est de projeter dans "l'espace public"les dernières mises au point de spécialistes des questions de l'eau douce d'une part et de la mer, d'autre part :

.. Comment garantir, compte tenu des variations climatiques, la qualité et la quantité de l 'eau destinées aux villes, dans les années à venir ;

.. Comment prévenir, surveiller et traiter les pollutionsmarines ;

.. Comment aménager et concevoir un nouveauparadigme du littoral et des ports du futur ;

.. Comment, grâce aux nouveaux satellites, prévenirle piratage et suivre la trajectoire des navires.

CCoonnfféérreennccee ggrraanndd ppuubblliicc ssppéécciiaallee 110000èèmmee aannnniivveerrssaaiirree dduuCCoommmmaannddaanntt CCoouusstteeaauu aavveecc pprroojjeeccttiioonn ddee ffiillmm..Le 11 Juin 1910, Jacques Yves Cousteau naissait à SaintAndré de Cubzac en Gironde. ?Cent an plus tard, nous célébrons l'anniversaire de celui qui a marqué pour toujoursnotre planète et ses océans.

MMeerrccrreeddii 3300 jjuuiinn -- ddee 1177hh3300 àà 1199hh0000

1100

Page 15: RIVIERA ECOLOGIE

LLEESS FFOORRMMAATTIIOONNSS PPRROOFFEESSSSIIOONNNNEELLLLEESS ::

.. TTrraannssppoorrttss mmaarriittiimmeess eett aarrttiiffiicciiaalliissaattiioonn dduu lliittttoorraall ::

ppoouurr uunnee mmeeiilllleeuurree ggoouuvveerrnnaannccee ddee llaa mmeerr ::

Transports maritimes, impacts écologiques et

solutions territoriales – Outils et appuis pour

combattre ces pollutions Artificialisation du littoral et

dégradation de l’environnement.

JJeeuuddii 11eerr jjuuiilllleett –– ddee 99hh0000 àà 1177hh0000

1111

CCAANNNNEESS,, CCAAPPIITTAALLEE MMOONNDDIIAALLEE DDEE LL’’EEAAUU,, DDUU 3300 JJUUIINN AAUU 22 JJUUIILLLLEETT 22001100 AAUU PPAALLAAIISS DDEESS FFEESSTTIIVVAALLSS DDEE CCAANNNNEESS..

FFOORRMMAATTIIOONN SSPPÉÉCCIIAALLEE EENNTTRREEPPRRIISSEE ::

.. IInnttééggrraattiioonn dd’’uunnee ppoolliittiiqquuee ddee DDéévveellooppppeemmeenntt

DDuurraabbllee aauu sseeiinn ddee ll’’eennttrreepprriissee ::

Afin intégrer dans l 'entreprise le concept de développement durable en proposant de nouveauxprocessus de gestion et de production ; sensibiliserleurs collaborateurs au concept de développementdurable afin de valoriser l'entreprise en créant unenouvelle dynamique, de nouveaux produits, une nouvelle stratégie marketing, etc. et donner à l'entreprise une image valorisante.

VVeennddrreeddii 22 jjuuiilllleett -- ddee 99hh0000 àà 1177hh0000

Page 16: RIVIERA ECOLOGIE

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LL’’EEAAUU EETT LLAA VVIILLLLEE ::

.. LLaa ggeessttiioonn dduu ggrraanndd ccyyccllee ddee ll ’’eeaauu :: ddee nnoouuvveeaauuxx eennjjeeuuxx ppoouurr lleess ccoolllleeccttiivviittééss tteerrrriittoorriiaalleess ::

Comment garantir la pérennité des ressources, comment utiliser l’eau le plus économiquement etle plus efficacement possible, comment développer les réseaux de distribution, etc.

MMeerrccrreeddii 3300 jjuuiinn -- ddee 1144hh0000 àà 1177hh0000 JJeeuuddii 11eerr jjuuiilllleett –– ddee 99hh0000 àà 1122hh0000

LLEESS AATTEELLIIEERRSS SSCCIIEENNTTIIFFIIQQUUEESS 22001100 ::

.. RRéécchhaauuffffeemmeenntt cclliimmaattiiqquuee :: aaccttiioonnss eett rrééaaccttiioonnss ::

Hydrogéologie, impact sur la santé, économie, aménagement du territoire. Autant de questionsposées et de solutions à imaginer.

VVeennddrreeddii 22 jjuuiilllleett –– ddee 99hh0000 àà 1122hh0000

Page 17: RIVIERA ECOLOGIE

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LL’’EEAAUU EETT LLAA MMEERR ::.. SSuurrvveeiillllaannccee mmaarriittiimmee ppaarr ssaatteelllliittee ::

Collisions, naufrages, immigration et exigent des solutions appropriées. Les risques environnementaux liésà la mer sont nombreux et nécessitent la plus grandedes attentions.

JJeeuuddii 11eerr jjuuiilllleett –– ddee 1144hh0000 àà 1177hh0000VVeennddrreeddii 22 jjuuiilllleett -- ddee 99hh0000 àà 1122hh0000

.. NNoouuvveeaauuxx eennjjeeuuxx ddeess ppoorrttss ddee ppllaaiissaannccee :: ppoouurr uunneeggeessttiioonnss ssééccuurriissééee eett dduurraabbllee dduu ttoouurriissmmee ::L'essor des échanges maritimes internationauxencourage la création de nouveaux ports et de navires plus économes, plus propres, plus intelligents,et plus sûrs.VVeennddrreeddii 22 jjuuiilllleett –– 1144hh0000 àà 1177hh0000

.. PPrréévveennttiioonn,, pprrootteeccttiioonn eett iinntteerrvveennttiioonn eenn mmeerr ::Présentation de la plongée industrielle de la coordination etdes moyens de lutte contre la pollution. Aperçu de la planification d’actions d’intervention suite à une pollution accidentelle du littoral.VVeennddrreeddii 22 jjuuiilllleett -- ddee 1144hh0000 àà 1166hh0000

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LLEESS PPEERRSSOONNNNAALLIITTÉÉSS 22001100 ::

Monsieur le Ministre de la Défense Hervé MORIN, Monsieur le Président du Parlementde la Méditerranée Rudy SALLES, Marine Nationale, Monsieur le Député-Maire deCannes Bernard BROCHAND, La Commission Européenne, Université des Nations Unis,Equipe Cousteau.

LLEESS PPAARRTTEENNAAIIRREESS DDUU SSYYMMPPOOSSIIUUMM 22001100 ::

Avec le partenariat de grandes sociétés de l’eau qui placent l'innovation au cœur de leur stratégie en matièred’assainissement et de distribution de l’eau telle que laLyonnaise des Eaux. L'innovation permet par exemple dedémultiplier les valeurs d'usage de l'eau : il y a ainsi de l'énergie dans l'eau et une innovation telle que Degré Bleupermet d'utiliser la capacité calorifique des eaux usées et decontribuer aux objectifs deréduction des émissions de gaz àeffet de serre d'une collectivité.

Le Pôle Mer PACA, pôle d’excellence pour les entreprises, centres de recherche et de formation serafortement présent pourconduire des actions concrètessur les thèmes « Sécurité etsûreté maritimes » ainsi que les« Ports et navires du futur ». LePôle Mer PACA et ses partenaires seront fortementappuyés par la Marine

Nationale, également présente au Symposium 2010.Thalès Alenia Space, leader mondial des hautes technologies sur les marchés de l’aéronautique et de lasécurité notamment, présentera ses innovations en matières de satellites. La sécurisation des accès aux portsdes installations sensibles comme les plates formes offshore, la lutte contre la piraterie et les trafics constituent

des objectifs majeurs du thème «Sécurité et sûreté maritimes ».

Le Symposium compte également de nombreux autrespartenaires tels que : Dzerelo-lux, EzWater, Gehygeo,Hamriyah Free Zone (EmiratsArabes Unis), ID Scope, IPGR,Lyonnaise des Eaux, Networkvisio,Office International de l’Eau, RovDéveloppement, Safege, SICASIL, Sofchem - Eaubiotech,Stoc Environnement, etc.

Page 19: RIVIERA ECOLOGIE

www.marineland.fr*

D i s p o n i b l e d a n s l e s p o i n t sd e v e n t e h a b i t u e l s

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Page 20: RIVIERA ECOLOGIE

1166

UUnnee éévviiddeennccee :: LLEE RREENNFFOORRCCEEMMEENNTT DDEESS CCOOMMPPEETTEENNCCEESS aauuxx mmééttiieerrss ddee ll’’eeaauu eett ddee ll ’’aassssaaiinniisssseemmeenntt eesstt iinnddiissppeennssaabbllee ppaarrttoouuttddaannss llee mmoonnddee !!

L’approvisionnement en eau pour la population, lasanté, l’hygiène, les usages domestiques et la production agricole, a toujours été un enjeu majeurpour l’humanité. Or, dans le monde, le constat estalarmant et en 2010, malgré les efforts consentisdans le cadre des objectifs du Millénaire:

- 1,0 milliards d’êtres humains ne disposent pasd’un accès à une eau saine,- 2,0 milliards d’êtres humains ne disposent pasd’un assainissement de base.

Aujourd’hui, plus que jamais, l’amélioration desservices d’eau potable et d’assainissement sontune des priorités majeures pour le développementet pour réduire la proportion de personnes n’ayantpas accès durable à l’eau saine et à l’assainissement.

TThhee ffaaccttss:: SSTTRREENNGGTTHHEENNIINNGG SSKKIILLLLSS IINN TTHHEE AARREEAAOOFF WWAATTEERR AANNDD SSAANNIITTAATTIIOONN IISS EESSSSEENNTTIIAALL EEVVEE--RRYYWWHHEERREE IINN TTHHEE WWOORRLLDD!!

The supply of water for population, health,hygiene, domestic uses and agricultural produc-tion has always been a major issue for mankind.However, throughout the world, the situation isalarming and in 2010, despite efforts made withinthe framework of the Millennium objectives.

- 1.0 billion people do not have access to cleanwater- 2.0 billion have no basic sanitation

Currently, more than ever, improvement of drin-king water and sanitation are major priorities fordevelopment and to reduce the proportion of per-sons not having sustainable access to clean waterand sanitation.

LLAA FFOORRMMAATTIIOONN PPRROOFFEESSSSIIOONNNNEELLLLEE EESSTT UUNN IINNVVEESSTTIISSSSEEMMEENNTT RREENNTTAABBLLEE !!PPRROOFFEESSSSIIOONNAALL TTRRAAIINNIINNGG IISS AA PPRROOFFIITTAABBLLEE IINNVVEESSTTMMEENNTT !!

Article de MM.. JJeeaann--FFrraannççooiiss DDoonnzziieerr,, Directeur Général de l’Office International de l’Eau (OIEau) / Director General of the International Water OfficeSecrétaire du Réseau International des Organismes de Bassin (RIOB). / Secretary of the International network (RIOB).

MM.. JJeeaann--FFrraannççooiiss DDoonnzziieerr,, Directeur Général de l’Office International de l’Eau

Page 21: RIVIERA ECOLOGIE

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Pour atteindre les objectifs du millénaire pour l’eau potable et l’assainissement il faut créer de nouvelles infrastructures et améliorer la qualité des services pourrépondre aux besoins des usagers. Ces objectifs passentpar une exploitation et maintenance plus efficaces, lerenouvellement des ouvrages, ainsi qu’une meilleure gouvernance des services et un renforcement des compétences et des ressources humaines.

Même s’ils sont encore insuffisants, de nombreux investissements se réalisent chaque année dans le secteur de l’eau. Souvent, ces investissements n’atteignent pas complètement leurs objectifs par suite dedéfauts de conception, mais aussi d’insuffisances multiples au niveau de leur gestion et de leur exploitation.Beaucoup d’infrastructures se dégradent trop rapidementet on assiste à un gaspillage important decrédits.

Les conséquences en sontgraves, car un gros retardest pris dans la solution et laprévention des crises etelles se traduisent par ungaspillage de créditsimportant ! Tous lesexperts insistent sur lanécessité de renforcer lescapacités de formation

In order to reach these millennium objectives fordrinking water and sanitation, we need tocreate new infrastructuresand improve the quality ofservices to meet the needsof users.

These objectives are subject to a more effective operation and maintenance, renewal of structures and abetter governance of services and strengthening of HRskills. But they are still insufficient, and numerous investments are made each year in the water sector.Often, these investments do not completely achieve theirobjectives due to design faults but there are also multipledeficiencies in terms of management and operation.Many infrastructures deteriorate too rapidly and we seean important waste of loans.

The consequences are serious as a major delay is taken inthe solution and prevention of crises and important loansare wasted!

des professionnels de l'eau et de développer l'échanged'information institutionnelle, économique et technique,afin de permettre une organisation plus efficace des usages et des services, ainsi que l'exploitation et la maintenance optimale des installations et réseaux d'eau municipale, industrielle et agricole...

La formation, initiale et surtout continue, n'a pas encoreatteint un niveau suffisant, quantitatif et qualitatif, pourrépondre aux besoins et elle a été trop souvent reléguée àun rang secondaire des préoccupations encore trop tournées vers la seule réalisation prioritaire d'équipements,sans un soucis suffisant de leurs conditions ultérieures degestion économiques, d'exploitation et de maintenance,ni de la prise en compte appropriée du « Grand cycle del’eau » dans sa globalité.

Les actions sont encoretrop tournées vers laseule réalisation prioritaired'équipements, sans unsouci suffisant de leursconditions ultérieures degestion économique,d'exploitation et de maintenance, ni de laprise en compte appropriée du « Grandcycle de l’eau » dans saglobalité.

All the experts insist onthe necessity to strengthen trainingcapacities for water professionals and develop an exchange of

institutional, economic and technical information inorder to enable a more effective use of services, andalso optimum operation and maintenance of municipal,industrial and agricultural facilities….

Initial and especially on-going training has not yet reached a sufficient level of terms of quantity and qualityto meet needs and it is often relegated to a secondaryrole of concerns too concentrated on the priority ofequipment, without concern for their ultimate economicmanagement, operations and maintenance, nor takinginto account the water cycle overall.

Actions are still too focused on the priority of equipment,without sufficient concern for subsequent economicmanagement and maintenance, nor the appropriationof the water cycle as the whole.

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1188

UUnn ccoonnssttaatt :: LLAA FFOORRMMAATTIIOONN PPRROOFFEESSSSIIOONNNNEELLLLEE,,iinniittiiaallee eett ccoonnttiinnuuee,, eesstt uunn oouuttiill eesssseennttiieell ppoouurrrreennffoorrcceerr ll’’eeffffiiccaacciittéé ddeess sseerrvviicceess dd’’eeaauu eett’’aassssaaiinniisssseemmeenntt……

Les compétences et capacités professionnelles tantaux niveaux des cadres, que des techniciens etouvriers sont encore insuffisamment développées. Ilest donc indispensable de renforcer les capacitésde formation institutionnelle, économique et technique des professionnels de l'eau afin de permettre une organisation plus efficace des usages et des services collectifs de l’eau.

Les personnels concernés sont très nombreux et lesbesoins importants : à titre d’exemple, pour un service urbain d ’Eau desservant 1.000.000 d’habitants, on estime entre 500 et 700 le nombred’employés nécessaires.

Les répartitions hiérarchiques de ces personnelssont variables selon les zones géographiques étudiées. Les ouvriers sont les plus nombreux mais,les taux de cadres et de techniciens tendent à s’accroître avec le niveau de développement desdifférents pays.

Cadres Techniciens Ouvrierset maîtrise

Pays en développement 1 - 5 % 10 - 15 % 80 - 89 %

Pays développés 5 - 15 % 25 - 30 % 55 - 70 %

Par ailleurs, les couts de main d’œuvre représentent jusqu’à un tiers du cout total du service de l’eau ; afind’optimiser ce poste important de dépense, il est indispensable de renforcer les compétences par la formation initiale et continue de ces professionnels.

Les frais d'exploitation et de maintenance (y compris la dotation aux amortissements) représentent de l'ordre3 fois le coût de la construction, et les salaires correspondent à la moitié des charges globales de fonctionnement des services.

Dans les pays industrialisés, comme la France, les entreprises et les régies du secteur de l’eau, consacrentenviron 5% de leur masse salariale à la formation professionnelle continue de leurs employés.

Les enjeux, en termes d'efficacité des services et pour l'économie, sont majeurs.

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1199

CCUURRRREENNTT SSIITTUUAATTIIOONN:: IINNIITTIIAALL AANNDD CCOONNTTIINNUUOOUUSSPPRROOFFEESSSSIIOONNAALL TTRRAAIINNIINNGG IISS AANN EESSSSEENNTTIIAALL TTOOOOLLTTOO SSTTRREENNGGTTHHEENN EEFFFFEECCTTIIVVEENNEESSSS OOFF WWAATTEERR SSEERR--VVIICCEESS AANNDD SSAANNIITTAATTIIOONN..

The skills and professional capacities both amongthe executives, technicians and workers are insufficiently developed. It is therefore essential tostrengthen institutional, economic and technicaltraining of water professionals in order to enable amore effective organization of uses and collectivewater services.

The personnel concerned are numerous and therequirements are high: for example, an urbanwater department serving 1.000.000 inhabitants,we estimate between 500 and 700 the number ofemployees required. Hierarchical distribution ofthese personnel is variable according to geographical zones studied. The workers are mostnumerous, but the number of executives and technicians tends to increase with the developmentof different countries.

Managers Technicians Workers

Developing countries 1 - 5 % 10 - 15 % 80 - 89 %

Developed country 5 - 15 % 25 - 30 % 55 - 70 %

Furthermore, labour costs represent up to one third of the total water service; in order to optimize this highcost, it is essential to strengthen skills by initial on-going training of these professionals.

Operating and maintenance costs (including allocation to amortization) represent around 3 times the cost ofconstruction and salaries which represent 50% overall.

In industrial countries such as France, the companies and management in the sector devote 5% of salary toprofessional ongoing training for their employees.

The issues in terms of effectiveness of service and economy are major.

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2200

LLeess bbeessooiinnss ddee ffoorrmmaattiioonn àà ssaattiissffaaiirree SSOONNTT EENNOORRMMEESS ::

Il faut prendre en compte à la fois les besoins en formation initiale diplômante, pour fournir au secteurles jeunes professionnels compétents dont il a grandbesoin, et les besoins en formation permanente etcontinue des personnels en place, afin de permettreune réelle qualification professionnelle, qui reste engénérale insuffisante - voire inexistante - recycler lesagents et les adapter aux modes de gestion économique moderne, aux nouvelles technologies,aux relations avec les usagers..., et faciliter les évolutions de carrière.

En effectif, les besoins en personnel des administrations nationales ou locales et des servicespublics et privés des eaux municipales, industrielles etagricoles sont considérables.

C'est donc des centaines de milliers d'agents, de tousniveaux, mais majoritairement de faible niveau hiérarchique, qui doivent être mis au service de lagestion de l'eau dans le monde et dont il faut assurerl'efficacité du travail par un effort considérable deµformation professionnelle initiale et continue.

Il faut répondre aux besoins dans différents domaines :

- de la conception et de l'étude des investissements,de la programmation et du suivi de la réalisation destravaux et de leur réception,

- de l'exploitation et de la maintenance des ouvragesde production, des réseaux, des installations de traitement,

- de l'administration, en général, et de l'organisationdes services, de la gestion industrielle et commerciale,de la comptabilité, de la direction des ressourceshumaines, des relations avec les usagers et abonnés,ainsi que de la maitrise des ressources en eau, tant enquantité qu’en qualité.

Il faut, en outre, développer une expertise de hautniveau pour répondre à des besoins spécifiques tellesque l'hydrométéorologie, le dessalement de l’eau demer, la réutil isation des eaux usées épurées, larecharge de nappes, l'utilisation de technologies nonconventionnelles ou adaptées aux contextes locauxainsi que la prévention des pathologies d'origines hydriques, etc …

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TTHHEE NNEEEEDD FFOORR TTRRAAIINNIINNGG IISS EENNOORRMMOOUUSS ::

We have to take into account the training needssanctioned by a diploma to provide the sector withyoung skilled professionals they need and ongoingtraining of personnel on the job in order to have areal professional qualification, which generallyremains insufficient or non-existent- recycle agentsand adapt them to modern economic managementmethods, new technologies, relations with users…and facilitate career development in order to obtaina real professional qualification which is generallyinsufficient – or non- existent- recycle agents andadapt them to modern economic management ofnew technologies, relations with users…and facilitatecareer developments sanctioned by a diploma.

Thus, there are several thousand agents at all levelsbut mainly in a lower hierarchy who are to work inwater management in the world and ensure professional and ongoing training.

We need to deal with the different areas :

- From design to study of investments, scheduling andmonitoring of works and their acceptance.

- Operation and maintenance of production structures,networks, treatment facilities in general and organization of services, industrial and commercialmanagement, accounting, Human ResourcesDepartment, relations with users and subscribers pluscontrol of water resources in terms of quantity andquality. Furthermore, we need to develop high levelexpertise to meet specific requirements such as hydrometeorology, desalination of sea water, re-use ofpurified water, use of non-conventional technologies oradapted to local context such as prevention of pathologies from hydric origins, etc.

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LLEESS SSOOLLUUTTIIOONNSS NNEE PPEEUUVVEENNTT EETTRREE QQUUEE LLooccaalleess ::

Si les solutions de formation expatriée d'ingénieursdans les pays les plus développés restent utiles, aumoins pour certaines spécialités encore rappelées ci-dessus et pour lesquelles les capacités d’accueildoivent être renforcées, elles ne concerne qu’uneinfime minorité des besoins à satisfaire et c'est donc,sur place, dans chaque pays, qu'il faut créer ou renforcer, à court terme, les capacités locales de formation professionnelle, pour pouvoir faire face auxbesoins, notamment en termes quantitatifs, comptetenu des effectifs en cause, de façon appropriée etadaptée à la diversité des situations, ainsi que dansla langue des agents concernés et à un prix derevient compatible avec l’économie locale .

Cela signifie que la formation professionnelle doit êtreassurée par des établissements locaux ou régionauxet avec des équipes de formateurs du pays, lui-même.

TTHHEE SSOOLLUUTTIIOONNSS CCAANN OONNLLYY BBEE LLOOCCAALL ::

Although expatriate solutions of engineers in developed countries are useful, at least for certainspecialties above and for which the capacitiesneed to be strengthened, they only concern an infinite minority of needs and it is in each countrythat we need to create or strengthen short termthe local capacities for professional training inorder to deal with requirements, particularly interms of quantity and quality.

Furthermore, labour costs represent up to a third ofthe total cost of the water service; in order to optimize this expensive item, it is essential to strengthen skills by an initial ongoing training bythese professionals.

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LLAA FFRRAANNCCEE DDIISSPPOOSSEE DD’’UUNNEE EEXXPPEERRIIEENNCCEE RREECCOONNNNUUEE DDEE LLAA FFOORRMMAATTIIOONN PPRROOFFEESSSSIIOONNNNEELLLLEE DDAANNSS LLEE SSEECCTTEEUURR DDEE LL’’EEAAUU..

Il est inutile de revenir sur le rôle d’accueil en France d’étudiantsétrangers, en formation initiale, de nos universités et grandes écoles d’ingénieurs, qui doit être encore développé, notammentpour offrir aussi des formations de haut niveau international à desétudiants non francophones...

L’importance des écoles inter Etats de Ouagadougou, 2IE, largement soutenues par la Coopération française, est primordialeen Afrique de l’Ouest.

Dans le domaine de la formation professionnelle continue, onrécence plus de 200 stages "EAU", dans toutes les disciplines, inscrits aux catalogues propres d’une vingtaine d’établissementsd’enseignement supérieur français actifs dans ce domaine.

L’Office International de l’Eau est le pivot de la formation professionnelle continue du secteur de l’eau en France :

En 2009, il a accueilli plus de 7.000 stagiaires dans les deux établissements de son Centre National de Formation aux Métiersde l’Eau (CNFME) de Limoges et de La Souterraine.

Pour 2010 le CNFME propose au total 275 stages, répartis sur 419sessions de formation professionnelle continue tout au long de l’année !

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Le catalogue recouvre toutes les thématiques nécessaires: la découverte du métier, l'analyse etla qualité de l'eau, la production d'eau potable, la distribution d'eau potable, la construction etla réhabilitation des réseaux, les réseaux d'assainissement, Les eaux pluviales, l'épuration deseaux usées urbaines, le traitement des boues, l'assainissement non collectif, le forage, le pompage, la maintenance et l'électrotechnique, l'automatisme, la télégestion et les capteurs,la gestion des services d'eau potable et d'assainissement, la réglementation et les responsabilitésdes collectivités, la prévention et la sécurité des personnels, les milieux aquatiques, le management environnemental, les contrôles dans l'industrie, les eaux propres industrielles, le traitement des rejets, la détoxication en traitement de surface.

L'Office dispose pour accomplir sa mission d'une équipe permanente de 25 formateurs épauléspar des conférenciers pour des domaines très spécialisés.

Il offre un équipement exceptionnel spécialement conçu pour la formation technologique auxmétiers de l'eau, constituant un ensemble unique en Europe à cette échelle :

- à Limoges où l'Office dispose d'un vaste hall technique où les équipements installés sur le banchydraulique et les divers matériels utilisés (automates programmables, débitmètres, pompes, etc...) permettent aux stagiaires de se familiariser avec les développements récents des techniquesavancées dans ces divers domaines ainsi qu'avec l'informatique d'exploitation,

- à La Souterraine où le CNFME propose un ensemble de plates-formes d'installations techniquespour l'apprentissage des techniques de traitement des eaux potables et des eaux usées domestiques ou industrielles ou des boues, une plate-forme "réseaux" de distribution d'eau et d'assainissement permettant la réalisation d'essais hydrauliques et la recherche de fuites en situation réelle, une plate-forme "technologies appropriées" qui permet d'étudier les matérielsadaptés aux pays en développement (pompe solaire, éolienne, pompes à motricité humaine,...), un atelier d'entretien électromécanique permettant d'appliquer en vraie grandeur lesconcepts de maintenance, un laboratoire d'analyses des eaux...

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Dans le cadre de la coopération internationale, l 'Office accueille évidementdes stagiaires étrangers ou organise des formations dans les pays qui le demandent,mais surtout i l apporte son appui à des organismes homologues pour qu'i ls développent eux-mêmes des compétenceslocales efficaces dans le cadre d'une relationpermanente fondée sur un réel partenariat.

L’OIEau peut alors intervenir pour l’ingénierie decréation ou de renforcement de centres deformation locaux ou régionaux aux métiers del'eau, pour la formation de formateurs et pourfourniture d'une documentation pédagogique.

L’Office International de l’eau est ainsi déjàintervenu depuis 19 ans dans des Pays,comme l’Arabie Saoudite, le Kenya, le Maroc,le Nigéria, la Tunisie, par exemple, pour renfor-cer des établissements spécialisés préexis-tants, mais aussi en Afrique du Sud, en Algérie,au Liban, au Laos, au Mexique, en Pologne enRoumanie ou au Viet Nam, pour la créationde toutes pièces de nouveaux centres de for-mation s’inspirant de ses propres principespédagogiques.

Ces centres associés forment maintenantchaque année plusieurs milliers de profession-nels de tous les niveaux dans leur pays res-pectif. Il faut aider impérativement ces éta-blissements à se développer.

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2266

LLAA FFOORRMMAATTIIOONN PPRROOFFEESSSSIIOONNNNEELLLLEE DDOOIITT DDEEVVEENNIIRR UUNNEE PPRRIIOORRIITTEE DDEE LL’’AAIIDDEE PPUUBBLLIIQQUUEE AAUUDDEEVVEELLOOPPPPEEMMEENNTT..

Mais, dans une majorité de pays, il n’existe pas de moyens réels de formation continue etsouvent initiale appropriée des professionnels de l’eau. Dans ces pays, il est indispensable decréer des établissements spécialisés (centres de formation professionnelle) pouvant répondreà tous les besoins énormes du secteur, notamment en effectifs de tous les niveaux hierarchiques, et en priorité des services de l’eau potable et de l’assainissement et pour l’irrigation collective.

En soutien à des appuis directs aux projets de création et de renforcement des centres deformation dans les pays prioritaires, il apparaitrait utile de conditionner les aides des donneursinternationaux, dans le cadre des financements des infrastructures du secteur de l’eau, à desgaranties plus fortes sur la gestion, l’exploitation et la maintenance des installations financées.

Le Réseau International des Centres de Formation aux Métiers de l’Eau (RICFME), créé entreles établissements existant dans le Monde entier en Novembre 2008 à Paris, recommandenotamment :

- une obligation pour les organismes bénéficiaires de l’aide internationale de consacrer unbudget minimum d'au moins 1 % de leur masse salariale, ou si possible plus, pour des formations s’adressant à tous les niveaux hiérarchiques concernés et fondées sur un apprentissage pratique au poste de travail et autant que possible sur site,

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- la présentation de plans de formation, à moyen et long terme, par ces organismeset institutions travaillant dans le domaine de l'eau, afin de leur permettre de définirles besoins et les priorités et de programmer les formations, de façon adaptée àl'importance des enjeux.

Le RICFME suggère qu'une composante de formations, correspondant à un pourcentage suffisant des investissements, soit incluse dès la conception dans lesprojets d'infrastructures, afin d'assurer la formation des personnels nécessaires à leurexploitation et à leur administration par des services gestionnaires.

Là où il n'en existe pas, la création de centres techniques de formation professionnelle, orientés notamment vers la formation continue des personnels,devrait être une condition préalable des aides aux infrastructures.

LLAA FFOORRMMAATTIIOONN PPRROOFFEESSSSIIOONNNNEELLLLEE EESSTT UUNN IINNVVEESSTTIISSSSEEMMEENNTT RREENNTTAABBLLEE

Partout ou la formation des personnels des services des eaux a été suffisammentdeveloppée, on observe des progrès rapides dans l’amélioration de la qualité desservices fournis à la population : il faut absolument poursuivre dans cette voie.

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(Copenhague, 19 décembre 2009). La Conférencedes Nations Unies sur les changements climatiques apris fin aujourd’hui à Copenhague. Les pays ont signéun accord dans lequel ils s’engagent à réduire sensiblement leurs émissions en vue de limiter lahausse des températures du globe et à accroître lefinancement nécessaire pour lutter contre les changements climatiques dans les pays en développement.L’« Accord de Copenhague » entériné par les leadersmondiaux a reçu l’appui d’une majorité de pays, dontle plus grand et le plus riche et le plus petit et le plusvulnérable.« Nous sommes parvenus à un accord », a déclaré leSecrétaire général des Nations Unies,M. Ban Ki-moon. « L’entente n’est peut-être pas ce quechacun avait espéré, mais il s’agit d’un début essentiel», a-t-il ajouté.L’Accord de Copenhague prend acte des avis scientifiques selon lesquels il est indispensable de

maintenir l’élévation des températures à moins de 2degrés Celsius si l’on veut éviter les effets les plus graves des changements climatiques.Pour cela, le texte stipule que les pays industrialiséss’engageront à respecter à partir de 2020, séparément ou de manière collective, des objectifschiffrés de réduction des émissions dans l’ ensemblede leur économie, qui seront inscrits dans l’accordd.ici au 31 janvier 2010.Un certain nombre de pays en développement, ycompris de grandes économies émergentes, ontaccepté de communiquer tous les deux ans les effortsdéployés en vue de limiter les émissions de gaz à effetde serre et feront eux aussi connaître leurs engagements avant cette date.Les mesures d’atténuation pour lesquelles les pays endéveloppement désirent obtenir une aide internationale seront consignées dans un registre,avec toutes les informations nécessaires concernantla technologie, le financement et le renforcement descapacités que devraient procurer les nations industrialisées.« Nous devons être lucides », a déclaré le Secrétaireexécutif de la CCNUCC, M. Yvo de Boer. « La réunionde Copenhague a certes accouché d’un accord,mais il est clair qu.il faudra élever nos ambitions enmatière de réduction des émissions si nous voulonsmaintenir le réchauffement de la planète à 2 degrés», a-t-il précisé.

LLAA CCOONNFFÉÉRREENNCCEE DDEESS NNAATTIIOONNSS UUNNIIEESS SSUURR LLEESS CCHHAANNGGEEMMEENNTTSS CCLLIIMMAATTIIQQUUEESS SSEE CCLLÔÔTT ÀÀCCOOPPEENNHHAAGGUUEE PPAARR UUNN AACCCCOORRDD PPOOLLIITTIIQQUUEE SSUURR LLEE PPLLAAFFOONNNNEEMMEENNTT DDUU RRÉÉCCHHAAUUFFFFEEMMEENNTT,, LLAABBAAIISSSSEE DDEESS ÉÉMMIISSSSIIOONNSS EETT LL’’AAUUGGMMEENNTTAATTIIOONN DDUU FFIINNAANNCCEEMMEENNTT..

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Comme les engagements prévus par les pays industrialisés et les pays en développement pourraient,selon les scientifiques, être insuffisants pour maintenir lahausse des températures à moins de 2 degrés, les dirigeants ont appelé à revoir l’accord d’ici à 2015.On envisagerait, lors de cette révision, d’abaisser à 1,5degré l’objectif à long terme de limitation du réchauffement de la planète.Les chefs d’État et de gouvernement ont l’intention deprendre rapidement des mesures en matière d’atténuation, d’adaptation, de financement, de technologie, de réduction des émissions attribuablesau déboisement dans les pays en développement etde renforcement des capacités.Ils ont décidé de créer le « Fonds vert de Copenhaguepour le climat » afin de soutenir une action immédiate.Le financement promis par les pays développés aucours des trois prochaines années atteindra près de 30milliards de dollars É.-U.À plus long terme, les pays industrialisés ont décidé demobiliser conjointement 100 milliards de dollars É.-U.par année d’ici à 2020 pour répondre aux besoins desnations en développement.

(Copenhagen, 19 December 2009) The United NationsClimate Change Conference in Copenhagen endedtoday with an agreement by countries to cap the glo-bal temperature rise by committing to significantemission reductions and to raise finance to kickstartaction in the developing world to deal with climatechange. At the meeting, world leaders agreed theCopenhagen Accord, which was supported by amajority of countries, including amongst them the big-gest and the richest, and the smallest and most vulne-rable. We have sealed the deal, said UN Secretary-General Ban Ki-moon said. This accord cannot beeverything that everyone hoped for, but it is an essen-tial beginning, he said. The Copenhagen Accord

CCOOPPEENNHHAAGGEENN UUNNIITTEEDD NNAATTIIOONNSS CCLLIIMMAATTEE CCHHAANNGGEE CCOONNFFEERREENNCCEE EENNDDSS WWIITTHH PPOOLLIITTIICCAALL AAGGRREEEE--MMEENNTT TTOO CCAAPP TTEEMMPPEERRAATTUURREE RRIISSEE,, RREEDDUUCCEE EEMMIISSSSIIOONNSS AANNDD RRAAIISSEE FFIINNAANNCCEE..

recognizes the scientific view that an increase in glo-bal temperature below 2 degrees is required to staveoff the worst effects of climate change. In order toachieve this goal, the accord specifies that industriali-sed countries will commit to implement, individually orjointly, quantified economy-wide emissions targetsfrom 2020, to be listed in the accord before 31January 2010. A number of developing countries,including major emerging economies, agreed tocommunicate their efforts to limit greenhouse gasemissions every two years, also listing their voluntarypledges before the 31 January 2010. Nationally appropriate mitigation actions seekinginternational support are to be recorded in a registry

Afin d’accélérer le développement et le transfert detechnologie au service de l’adaptation et de l’atténuation, les gouvernements ont l’intention de mettre sur pied un nouveau mécanisme d’appui technologique.Cent dix-neuf dirigeants ont assisté à la réunion, soit leplus grand rassemblement de chefs d’État et de gouvernement dans l’histoire des Nations Unies. «L’évolution du climat est le grand enjeu politique denotre temps », a affirmé M. Ban Ki-moon. « J’exhortesolennellement les dirigeants mondiaux à tenir leursengagements ».« Nous disposons maintenant d’un document qui nouspermet de passer immédiatement àL’action », a déclaré M. Yvo de Boer. « Mais nous nedevons pas perdre de vue qu’il s’agit d’une lettre d’intention qui ne précise pas ce qui doit être fait sur leplan juridique. Il faut maintenant traduire l’accord politique de Copenhague en un texte renfermant desobjectifs réels, mesurables et vérifiables », a-t-il conclu.La prochaine Conférence annuelle aura lieu vers la finde 2010 à Mexico, après un important cycle de négociation de deux semaines prévu à Bonn,Allemagne, du 31 mai au 11 juin.

LLAA CCCCNNUUCCCC

Avec 194 Parties, la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques regroupe pratiquement tous les pays de la planète. Le Protocole de Kyoto, qui en est issu en 1997, compteaujourd.hui 190 Etats membres. En vertu de ce dernier instrument, 37 États formés de pays hautement industrialisés et de pays en transition vers une économie de marché sont légalement tenusde limiter et de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Le but ultime des deux traités est de stabiliser les concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre à un niveau qui n’interfère pas demanière dangereuse avec le système climatique.

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along with relevant technology, finance and capacitybuilding support from industrialised nations. We mustbe honest about what we have got, said UNFCCCExecutive Secretary Yvo de Boer. The world walks awayfrom Copenhagen with a deal. But clearly ambitions toreduce emissions must be raised significantly if we areto hold the world to 2 degrees, he added.Because the pledges listed by developed and develo-ping countries may, according to science, be foundinsufficient to keep the global temperature rise below2 degrees or less, leaders called for a review of theaccord, to be completed by 2015. The review would include a consideration of the long-term goal to limit the global average temperature riseto 1.5 degrees. Heads of state and government also intend to unleashprompt action on mitigation, adaptation, finance,technology, reducing emissions from deforestation indeveloping countries and capacity-building. To this effect, they intend to establish the .Copenhagen

Green Climate Fund. to support immediate action onclimate change. The collective commitment towardsthe fund by developed countries over the next threeyears will approach 30 billion US dollars. For long-term finance, developed countries agreedto support a goal of jointly mobilizing 100 billion dol-lars a year by 2020 to address the needs of develo-ping countries. In order to step up action on the development andtransfer of technology, governments intend to esta-blish a new technology mechanism to acceleratedevelopment and transfer in support of action onadaptation and mitigation. 119 world leaders attended the meeting, the largestgathering of heads of state and government in thehistory of the UN. .Climate change is the permanentleadership challenge of our time, said UN Secretary-General Ban Ki-moon. .I therefore urge world leadersto remain engaged, he said. We now have a package to work with and begin

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immediate action, saidUNFCCC Executive SecretaryYvo de Boer. However, weneed to be clear that it is a letter of intent and is not precise about what needs tobe done in legal terms. So the challenge is now to turn whatwe have agreed politically inCopenhagen into somethingreal, measurable and verifiable, he added. The next annual UN ClimateChange Conference will takeplace towards the end of 2010in Mexico City, preceded by amajor two week negotiatingsession in Bonn, Germany,scheduled 31 May to 11 June.

AABBOOUUTT TTHHEE UUNNFFCCCCCC

With 194 Parties, the UnitedNations FrameworkConvention on ClimateChange (UNFCCC) has nearuniversal membership and isthe parent treaty of the 1997Kyoto Protocol. The KyotoProtocol has been ratified by190 of the UNFCCC Parties.Under the Protocol, 37 States,consisting of highly industrialized countries andcountries undergoing the process of transition to a market economy, have legally binding emission limitation andreduction commitments. Theultimate objective of bothtreaties is to stabilize greenhouse gas concentra-tions in the atmosphere at alevel that will prevent dangerous human interference with the climatesystem.

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LLEE PPAARRCC PPHHOOEENNIIXX DDEE LLAA VVIILLLLEE DDEE NNIICCEE

L’Organisation des Nations unies a proclamé 2010, Annéeinternationale de la biodiversité pour alerter l’opinion publi-que sur l’état et les conséquences du déclin de la biodiversité dans le monde. Le Parc Phoenix de la ville deNice avec ses 7 hectares de pleine nature, a pour préoc-cupation principale de préserver les cycles naturels. Sesobjectifs résident en :

-- rreennffoorrcceerr llaa pprriissee ddee ccoonnsscciieennccee des visiteurs surl’importance de sauvegarder la biodiversité ainsi que surles menaces qui pèsent sur elle ;

-- sseennssiibbiilliisseerr ll’’ooppiinniioonn – par le biais d’expositionspédagogiques et environnementales - à propos desréalisations déjà menées à bien par les collectivitéspour sauvegarder la biodiversité ;

-- eennccoouurraaggeerr lleess ppeerrssoonnnneess,, les organisations etles collectivités à prendre les mesures immédiates nécessaires pour stopper la perte de biodiversité ;

-- pprroommoouuvvooiirr ddeess ssoolluuttiioonnss innovantes pourréduire les menaces envers la biodiversité ;

LLee PPaarrcc PPhhooeenniixx ddee llaa vviillllee ddee NNiiccee rrééppoonndd àà cceett aappppeelleenn ddééccllaarraanntt llaa bbiiooddiivveerrssiittéé,, ccaauussee mmaajjeeuurree ppoouurr 22001100 !!

UUNN OOAASSIISS DDEE VVEERRDDUURREE AAUU CCŒŒUURR DDEE LLAA VVIILLLLEE

Plus de 2500 espèces végétales sont présentes dans leparc dont certaines sont réputées très rares sur une surface de 7 hectares. Le Parc Phoenix comprend unevingtaine de jardins à thèmes où sont représentées desplantes méditerranéennes, les plantes succulentes, lesplantes aromatiques et les plantes tropicales ou subtro-picales présentes dans la serre. Cette dernière appelée

le « diamant vert » mesure 7000 m2 au sol pour undiamètre de 100 mètres. C’est la plus grande d’Europe d’un seul tenant.Au gré de la visite du parc,le visiteur pourra découvrir la bambouseraie, d’un jardin de cucurbitacées, devégétaux survivants depuis plus de huit mill ions d’années, d’une serre à orchidées, d’un potagerabondant, des biotopes typiques de la flore méditerranéenne.

3322

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UUNN EESSPPAACCEE AANNIIMMAALLIIEERR ÀÀ DDÉÉCCOOUUVVRRIIRR

De nombreuses espèces d’animaux peuplent le parc.Evoluant en liberté ou dans leur enclos, ces animauxsauvages font le bonheur des petits comme desgrands.Une diversité d’espèces animales très attractive. Plusde 405 espèces sont décomptées à ce jour que l’onpeut classer en deux catégories :

LLeess iinnvveerrttéébbrrééss ::TTeerrrreessttrreess :: arachnides, coléoptères, phasmesAAqquuaattiiqquueess :: coraux, échinodermes, molluquesLLeess vveerrttéébbrrééss ::Les Oiseaux : rapaces nocturnes, palmipèdes,oiseaux d’ornements etc…LLeess ppooiissssoonnss :: locaux et tropicaux, d’eaux douces etd’eaux de merLLeess rreeppttiilleess :: tortues du Sahel et tortues de Floride,Iguanes, Caméléons, CaïmansLLeess mmaammmmiiffèèrreess :: loutres, porcs-épics, chiens deprairies.

LLee rreeccuueeiill dd’’aanniimmaauuxx :: de l’éducation à la préventionUne partie des animaux hébergés sur le parc est issuede dons de particuliers qui souhaitent se séparer deleurs animaux,. C’est le cas en particulier de reptilestels que les tortues de Floride et les Iguanes.

Le Parc Phoenix recueille également les espècesinvasives c'est-à-dire les espèces exotiques qui n’exis-tent pas à l’état naturel sur notre territoire mais qui ontété introduites par l’homme et ont proliféré, mettantainsi en danger la sauvegarde des espèces locales.Le parc contribue ainsi à la sensibilisation sur lesquestions environnementales et le respect de la bio-diversité.

D’autres animaux proviennent de saisie de douane.C’est le cas par exemple de tortues grecques et descaméléons qui proviennent d’Afrique du Nord quisont des animaux protégés par la convention sur lecommerce international des espèces de faune et deflores sauvages menacées d’extinction ( Conventionde Washington).

PPOOUURRQQUUOOII PPRRÉÉSSEERRVVEERR LLAA BBIIOODDIIVVEERRSSIITTÉÉLLEESS MMOOTTIIFFSS ÉÉCCOOLLOOGGIIQQUUEESS

-- PPoouurr llee mmaaiinnttiieenn de processus d’évolution dumonde vivant.

-- PPoouurr ssoonn rrôôllee dans la régulation des équilibres phy-sico-chimiques de la biosphère (cycle du carbone,de l’oxygène, de l’eau…)

-- PPoouurr lleess ccaappaacciittééss des êtres vivants dans l’absorp-tion et la décomposition de polluants organiques etminéraux dans l’air, le sol et les eaux.

LLee PPaarrcc PPhhooeenniixx eenn cchhiiffffrreess ((ddoonnnnééeess aannnnuueelllleess)) ::- 1 tonne d’engrais- 40 m3 de terreaux et de tourbe- 2000 heures de désherbage manuel- 714 h de tonte de pelouse- 55 000 plantes à massif plantées- 50 000 bulbes plantés

LLuuttttee bbiioollooggiiqquuee ::- 3L d’insecticides biologiques- 20m3 de sphaigne du Chili- 15 m3 de mulching ou paillis (écorces de pin,coques de cacao, fibres de coco, etc)- 35 lots d’individus adultes ou de larves d’auxiliairesde lutte bio coccinelles etc…)

MMaarriiee--CChhrriissttiinnee GGIIRROONNEE

3333

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LLEE PPAARRCC PPHHOOEENNIIXX DDEE LLAA VVIILLLLEE DDEE NNIICCEE

L’Organisation des Nations unies a proclamé 2010, Annéeinternationale de la biodiversité pour alerter l’opinionpublique sur l’état et les conséquences du déclin de la biodiversité dans le monde. Le Parc Phoenix de la ville deNice avec ses 7 hectares de pleine nature, a pour préoc-cupation principale de préserver les cycles naturels. Sesobjectifs résident en :

-- rreennffoorrcceerr llaa pprriissee ddee ccoonnsscciieennccee des visiteurs surl’importance de sauvegarder la biodiversité ainsi que surles menaces qui pèsent sur elle ;

-- sseennssiibbiilliisseerr ll’’ooppiinniioonn – par le biais d’expositionspédagogiques et environnementales - à propos desréalisations déjà menées à bien par les collectivitéspour sauvegarder la biodiversité ;

-- eennccoouurraaggeerr lleess ppeerrssoonnnneess,, les organisations etles collectivités à prendre les mesures immédiates nécessaires pour stopper la perte de biodiversité ;

-- pprroommoouuvvooiirr ddeess ssoolluuttiioonnss innovantes pourréduire les menaces envers la biodiversité ;

LLee PPaarrcc PPhhooeenniixx ddee llaa vviillllee ddee NNiiccee rrééppoonndd àà cceett aappppeelleenn ddééccllaarraanntt llaa bbiiooddiivveerrssiittéé,, ccaauussee mmaajjeeuurree ppoouurr 22001100 !!

UUNN OOAASSIISS DDEE VVEERRDDUURREE AAUU CCŒŒUURR DDEE LLAA VVIILLLLEE

Plus de 2500 espèces végétales sont présentes dans leparc dont certaines sont réputées très rares sur une surface de 7 hectares. Le Parc Phoenix comprend unevingtaine de jardins à thèmes où sont représentées desplantes méditerranéennes, les plantes succulentes, lesplantes aromatiques et les plantes tropicales ou subtro-picales présentes dans la serre. Cette dernière appeléele « diamant vert » mesure 7000 m2 au sol pour undiamètre de 100 mètres. C’est la plus grande d’Europe d’un seul tenant.

Au gré de la visite du parc,le visiteur pourra découvrir la bambouseraie, d’un jardin de cucurbitacées, devégétaux survivants depuis plus de huit millions d’années, d’une serre à orchidées, d’un potagerabondant, des biotopes typiques de la flore méditerranéenne.

PPOOUURRQQUUOOII PPRRÉÉSSEERRVVEERR LLAA BBIIOODDIIVVEERRSSIITTÉÉLLEESS MMOOTTIIFFSS ÉÉCCOOLLOOGGIIQQUUEESS

-- PPoouurr llee mmaaiinnttiieenn de processusd’évolution du monde vivant.

-- PPoouurr ssoonn rrôôllee dans la régulationdes équilibres physico-chimiques de labiosphère (cycle du carbone, de l’oxygène, de l’eau…)

-- PPoouurr lleess ccaappaacciittééss des êtresvivants dans l’absorption et la décomposition de polluants organiqueset minéraux dans l’air, le sol et les eaux.

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UUNN EESSPPAACCEE AANNIIMMAALLIIEERR ÀÀ DDÉÉCCOOUUVVRRIIRR

De nombreuses espèces d’animaux peuplent le parc.Evoluant en liberté ou dans leur enclos, ces animauxsauvages font le bonheur des petits comme desgrands.Une diversité d’espèces animales très attractive. Plusde 405 espèces sont décomptées à ce jour que l’onpeut classer en deux catégories :

LLeess iinnvveerrttéébbrrééss ::TTeerrrreessttrreess :: arachnides, coléoptères, phasmesAAqquuaattiiqquueess :: coraux, échinodermes, molluquesLLeess vveerrttéébbrrééss ::Les Oiseaux : rapaces nocturnes, palmipèdes, oiseauxd’ornements etc…LLeess ppooiissssoonnss :: locaux et tropicaux, d’eaux douces etd’eaux de mer

LLeess rreeppttiilleess :: tortues du Sahel et tortues de Floride,Iguanes, Caméléons, CaïmansLLeess mmaammmmiiffèèrreess :: loutres, porcs-épics, chiens deprairies.LLee rreeccuueeiill dd’’aanniimmaauuxx :: de l’éducation à la préventionUne partie des animaux hébergés sur le parc est issuede dons de particuliers qui souhaitent se séparer deleurs animaux,. C’est le cas en particulier de reptilestels que les tortues de Floride et les Iguanes.

Le Parc Phoenix recueille également les espèces inva-sives c'est-à-dire les espèces exotiques qui n’existentpas à l’état naturel sur notre territoire mais qui ont étéintroduites par l’homme et ont proliféré, mettant ainsien danger la sauvegarde des espèces locales.Le parc contribue ainsi à la sensibilisation sur les ques-tions environnementales et le respect de la biodiver-sité. D’autres animaux proviennent de saisie dedouane. C’est le cas par exemple de tortues grec-ques et des caméléons qui proviennent d’Afrique duNord qui sont des animaux protégés par la conventionsur le commerce international des espèces de fauneet de flores sauvages menacées d’extinction (Convention de Washington).

LLee PPaarrcc PPhhooeenniixx eenn cchhiiffffrreess ((ddoonnnnééeess aannnnuueelllleess))

- 1 tonne d’engrais- 40 m3 de terreaux et de tourbe- 2000 heures de désherbage manuel- 714 h de tonte de pelouse- 55 000 plantes à massif plantées- 50 000 bulbes plantés

LLuuttttee bbiioollooggiiqquuee ::

- 3L d’insecticides biologiques- 20m3 de sphaigne du Chili- 15 m3 de mulching ou paillis (écorces de pin,coques de cacao, fibres de coco, etc)- 35 lots d’individus adultes ou de larves d’auxiliaires de lutte bio coccinelles etc…)

MMaarriiee--CChhrriissttiinnee GGIIRROONNEE

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Par amour...pour la nature, ses couleurs,le calme, la conversation, lesimple, l'âme, le développe-ment personnel et celui denotre société...

est né un lieu avec des maisons dans les arbresautour d'une baignade naturelle qui accueille lesâmes enfants...... et d'où on revient un peuchangé.

OOrriioonn...... uunn ééttaatt dd''eesspprriitt lliibbrree

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BBAAIIGGNNAADDEE NNAATTUURREELLLLEELe plan d'eau est entouré par desgalets, plantes et autres libellules, unevie dansante et parfois chantante.Le regard se repose sur la couleurverte et sur la brillance du soleil dansl'eau cristall ine. L'oreil le jouit du murmure de la cascade.Aperçue entre les feuilles autour descabanes, elle se vit de près dans lespetits coins, terrasses, hamacs...

OORRIIOONN :: LLEE DDOOMMAAIINNEESur le flanc d’une vallée, aux abordsd’une zone verte protégée, nousavons une vue imprenable sur le village perchée de Saint-Paul deVence et la forêt vierge de toutehabitation et de bruit. Les 7000 m2en restanques sont pleins de petitscoins pour se dépayser et choisird’être au soleil ou à l’ombre deschênes, pins, oliviers ou palmiers.

CCAABBAANNEESS PPEERRCCHHEEEESS

Vivre dans une cabane perchée dansles arbres, proche des oiseaux et rencontrer un écureuil au réveil, c'estvoir le monde d'un autre angle.Une envie née du besoin de prendreson temps, de se ressourcer, de revenir vers soi... On commence parvouloir faire plaisir à l'enfant et puisresurgit l'enfant oublié en soi-même.

MMAAIISSOONNEETTTTEE

Près de la baignade et dans l'ombrede deux palmiers majestueux, sesgros murs la gardent au frais.La maisonnette contient deux chambres avec chacune sa salle debain. Une petite cuisine, un coin pourmanger, deux belles terrasses et lavue sur le beau jardin et ses palmiers.

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EENNTTII EETT LL’’AAPPPPRROOCCHHEE EENNTTII

Enti est le nom, ancien de milliers d”années, que les Mayas utilisaient pourdécrire le Dieu Soleil. Le Dieu Soleil symbolise la conscience de soi,l”amour, l’existence, ego, paix et harmonie. (Ego est utilisé ici dans le sensoriginal, dérivé du Latin, et signifie moi, différent de “personne”.)

Le but de l’approche-Enti est de maximaliser le potentiel inné de l’ êtrevivant. D’abord on analyse non-causalement le système complexe et dyna-mique de l’organisme. En se basant sur cette analyse on définie une action.

Cette action ne peut s’expliquer en des termes de cause et effet.

Mais on peut le comprendre de cette manière:Le système énergétique-dynamique peut être changé par de l’information.Plus spéfiquement, l’information- perturbation, peut être changée et mêmeneutralisée. Quand on administre “l’information-Enti”, l’information - pertur-bation est neutralisée et de cette façon désactivée.

Cette action-Enti ne se montre pas, initialement, au niveau physique, elleest de nature“informative” sur le plan dynamique de l’organisme.La transformation qui se fait, se traduit ultérieurement sur le plan physique.

La neutralisation de la perturbation par le biais de l’information-Enti, a uneffet double: la dysharmonie est réduite, et l’harmonie est augmentée.Le résultat est que l'entièreté complexe et dynamique de l’organismeatteint son potentiel optimal.

EENNTTII AANNDD TTHHEE EENNTTII--AAPPPPRROOAACCHH

‘Enti’ is the name that was used since thousands of years by the Mayas to des-cribe the Sun God. The Sun God symbolises self-consciousness, love, existence,ego, peace and harmony. (Ego here is meant in its original sense, which is deri-ved from the Latin term ‘ego’, meaning ‘I’. ‘Ego’ is different from ‘person’)

The aim of the Enti-approach is to maximize the innate potential of a livingorganism. It works by first conducting a non-causal analysis of an organism’scomplex dynamic system. Based on this analysis, a course of action is devised.

This action cannot be explained in terms of cause and effect.

It can, however, be understood as follows:Changes are made to an organism’s energetic-dynamic whole by meansof ‘information’.Specifically, information that produces disturbances can be changed andeven neutralised. When ‘Enti-information’ is administered, the ‘disturbance-information’ is neutralised and thus deactivated.

As such the Enti-action does not initially occur on a physical level but is‘informative-dynamic’ by nature. However, the transformation that occurswill eventually translate into physical change.

The neutralisation of the disturbances that the Enti-information brings abouthas a dual effect: disharmony is reduced and harmony is increased.The result is that an organism’s complex and dynamic whole achieves itsoptimal potential.

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DDrr JJaann LLaauurreennss

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AAÉÉRROOPPOORRTT CCAANNNNEESS--MMAANNDDEELLIIEEUU

LL’’AACCNNUUSSAA ddééssiiggnnééee ppoouurr ggaarraannttiirr llaa ffiinnaalliissaattiioonn eett llee ccoonnttrrôôllee ddeellaa DDéémmaarrcchhee EEnnvviirroonnnneemmeenntt ddee ll’’AAéérrooppoorrtt CCaannnneess--MMaannddeelliieeuu eettllaa mmiissee eenn ppllaaccee dd’’uunn iinnddiiccee ssppéécciiffiiqquuee àà CCaannnneess qquuii éévvaalluueerraa llaannuuiissaannccee ssoonnoorree..

La participation des élus de la région cannoise, des associations de rive-rains , le soutien de la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile), et «Aéroports de la Côte d’Azur », a permis une avancée dans la démarcheenvironnementale de l’Aéroport Cannes-Mandelieu.

5 décisions fondamentales obtenues auprés duMinistre en 2009

- La sensibilisation des pilotes pour éviter le survol deszones habitées.

- La mise en place d’un système de mesures de bruit et desuivi des trajectoires des différents trafics. Dans le but d’établirles tableaux de bord environnementaux et de contrôler l’ac-tivité aéronautique, un système de suivi des trajectoires asso-cié à un système de mesures de bruit sera mis en place. Ungroupe de travail est prévu avec les collectivités locales etl’ACNUSA pour définir les sites d’installation des systèmes demesure de bruit par commune concernée. Ce systèmetemps réel permettra au service environnement de l’AéroportCannes-Mandelieu de répondre à toute demande de rive-rain et d’agir immédiatement auprès des pilotes en casd’anomalie.

- L’arrêté spécifique à l’Aéroport Cannes-Mandelieupour l’activité hélicoptère

- Le classement de l’aéroport en catégorie B pour infor-mer les pilotes sur les procédures de moindre nuisance.

- L’implication de l’ACNUSA dans le contrôle de l’activitéde l’aéroport et la mise en place d’un indicateur d’éner-gie sonore spécifique à l’aéroport Cannes-Mandelieu.

« Aéroports de la Côte d’Azur », gestionnaire del’Aéroport Cannes-Mandelieu, considère ces propositionscomme extrêmement positives et à même de consoliderla mise en place de la nouvelle Charte del’Environnement (40 actions) qui a été validée enCommission Consultative Environnement.

L’objectif de cette nouvelle Charte est de rechercher dessolutions concrètes et mesurables permettant uunnee ddiimmiinnuu--ttiioonn eeffffeeccttiivvee ddeess nnuuiissaanncceess ssoonnoorreess ggéénnéérrééeess ppaarr ll’’aaccttii--vviittéé aaéérroonnaauuttiiqquuee..

Le gestionnaire de l’aéroport insiste sur la nécessité demaîtriser les nuisances sonores par courant de trafic (avia-tion légère, aviation d’affaires, hélicoptères) en recher-chant des réponses techniques et règlementaires appro-priées.

4400

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Signature d’un protocole avec l’ACNUSA

(Autorité de Contrôle des Nuisances sonoresAéroportuaires)

LL’’iinntteerrvveennttiioonn ddee LL’’AACCNNUUSSAA ffaaiitt ll’’oobbjjeett dd’’uunn pprroottooccoollee ppoouurrllee ccoonnttrrôôllee ddee ll’’eeffffiiccaacciittéé ddee llaa cchhaarrttee eennvviirroonnnneemmeenntt..

Ce protocole a pour objet de fixer les modalités de suivide la Charte et de contrôle de l’activité aéronautique, dedéfinir le tableau de bord environnemental ainsi que lesconditions de mise en œuvre des mesures correctivesnécessaires.

Deux rôles essentiels lui sont confiés :

-- UUnn rrôôllee dd’’eexxppeerrttiissee et de pertinence sur la charte et son suivi

-- UUnn rrôôllee dd’’aauuddiitt ssuurr lleess rrééssuullttaattss et le contrôle de l’appli-cation de la charte portant sur :

<Les modalités de suivi de la Charte pourl’Environnement

<Le contrôle de l’activité aéronautique <Le tableau de bord environnemental <Le système de mesures de bruit<Les actions correctives et sanctions

L’objectif de ce protocole est de vérifier, sous le contrôlede l’ACNUSA et de la Commission Consultative del’Environnement, l’efficacité des actions mises en œuvreet, en cas d’échec, de prendre des mesures correctiveset si nécessaire de nnoouuvveelllleess rreessttrriiccttiioonnss dd’’eexxppllooiittaattiioonn..Celles-ci pourront être décidées dans le cadre des dispo-sitions de l’article R 227-8 du Code de l'Aviation Civile,après consultation de la CCE et de l’ACNUSA si :

- l’ensemble des actions de la charte ne permettentpas d’atteindre les objectifs environnementaux y figurant

- en cas de non respect des dispositions des différentsarrêtés réglementant l’activité aéronautique.

L’efficacité de cette charte sera appréciée notammentau travers d’un IInnddiiccaatteeuurr dd''éénneerrggiiee ssoonnoorree ssppéécciiffiiqquuee àCannes. Cet indicateur sera calculé à partir de mesureseffectuées à l'aide de deux stations déployées de part etd'autre de la piste. L'ACNUSA apportera son expertisetechnique pour déterminer l'emplacement des stations.

Cet indicateur qui est une grande première, défini d’ici lafin de l’année 2010, fera partie intégrante du tableau debord environnemental.

Ce protocole a été signé le 14 juin entre la Préfecture desAlpes-Maritimes, la DGAC, l’ACNUSA, « Aéroports de laCôte d’Azur » lors de la Commission Consultative del’Environnement en présence des représentants du col-lège des associations de Riverains, du collège desCollectivités Locales et du collège des Professionnels del’Aéronautique.

L’Aéroport Cannes-Mandelieu, 2ème aéroport français detourisme d’affaires après Paris-Le Bourget, est la plate-forme privilégiée pour l’aviation d’affaires qui désire sebaser sur la Côte d’Azur et disposer d’infrastructures adé-quates pour la gestion au sol de ses appareils.

wwwwww..ccaannnneess..aaeerrooppoorrtt..ffrr

4411

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LLEE SSIIVVAADDEESS,, UUNNEE ““VVIITTRRIINNEE DD’’EEXXCCEELLLLEENNCCEE””

QQuueellllee eesstt ll’’aammbbiittiioonn dduu SSIIVVAADDEESS ??

Le SIVADES est né en 1994 dans le but de fédérer les moyens de 12 communes* afin de mettre en place une filière globale de traitement et de valorisation des déchets dans l’Ouestdu département des Alpes-Maritimes.

Celui-ci est depuis devenu un établissement public connu de toute la population pour sonaction en faveur de l’environnement, et des Elus du département et des associations environnementales pour la réalisation d’équipements, faisant tous référence au plan national,ainsi qu’au plan départemental d’élimination des déchets ménagers assimilés.

La philosophie du syndicat est de traiter efficacement la problématique des déchets du bas-sin Cannes-Grasse et de privilégier les solutions les plus écologiques en favorisant la valorisation et le recyclage.

Dans cet esprit et en prémisse de sa démarche volontariste, l’instauration du tri multi-matériaux en 2002, a constitué une étape incontournable. Après ce premier succès,s’est orchestrée la dotation du territoire en équipements environnementaux.

4422

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4433

CCoommmmeenntt ss’’eesstt ooppéérrééee cceettttee ddoottaattiioonn ??

Premièrement, le SIVADES a équipé ses communesd’un véritable maillage de déchetteries afin d’éliminerles dépôts sauvages. Au nombre de huit, elles sontréparties rationnellement à moins de dix minutes dechaque foyer et accueillent une liste exhaustive dedéchets des 43 715 particuliers et professionnels enregistrés à ce jour.

Avec plus de 38 850 tonnes de déchets valorisés en2009 sur ce type de structures, le SIVADES réalise des performances qui le placent à hauteur de 30 % audessus de la moyenne nationale (213 kg/habitant/an),reflétant parfaitement le degré d’implication des habitants dans la protection de leur environnement.

Moderne, pratique et intégralement outillé pour assurer la sécurité des usagers, le réseau a récemment servi d’exemple au Conseil Général, pourla rédaction d’une charte d’harmonisation des conditions d’accès aux déchetteries, destinée aux 44déchetteries du département des Alpes-Maritimes.

Par ailleurs, avec près de 280 kg d’ampoules etnéons collectés en 2009, la déchetterie de Cannesvient de recevoir de Recyclum, éco-organisme encharge de l'enlèvement et du recyclage des lampes usagées, le titre de « point de collecte del’année 2009 » pour la région PACA.

L’entité la plus célèbre à l’échelle du SIVADESdemeure celle du Centre de Tri de Cannes.Véritable architecture hi-tech, l’installation combineun procédé de tri performant, un rendement qualitatif et une parfaite intégration dans son environnement.

D’une capacité d’accueil de 28 000 tonnes/an, ilconstitue le point de convergence des collectessélectives de l’ensemble des Collectivités duDépartement. Depuis sa création en 2002, plus de133 180 tonnes d’emballages ménagers y ont transité à destination des filières de valorisation, cequi en fait une référence sur le plan national.

Maxime COULLET Président du SIVADES - Conseiller Général

Maire de Saint-Cézaire sur Siagne

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Avec pour principe l’amélioration continue de la qualité du service rendu, le syndicat s’est doté début 2009, des dernières innovations existantes en intégrant àson process les technologies de tri optique et de séparateur à courant de Foucault.

A la pointe de la modernité, le SIVADES bénéficie désormais d’un rendement optimisé de son tri, d’une plus grande précision dans la maîtrise de ses coûts etd’une optimisation des conditions de travail de ses agents.

Depuis sa mise en fonctionnement, les performances du Centre de tri n’ont cesséde croître, avec une hausse des tonnages du sélectif de 58 %, accompagnée conjointement d’une diminution de 7 % des ordures ménagères. L’investissement technologique qui vient d’être réalisé devrait donner de l’ampleur à ces chiffres,tout cela au bénéfice de la protection de notre environnement exceptionnel.

LL’’ééqquuiippeemmeenntt eesstt ddeevveennuu eenn 22000099 uunn ““cceennttrree ddee ttrrii nnoouuvveellllee ggéénnéérraattiioonn””.. PPoouuvveezz--vvoouussnnoouuss eenn ddiirree pplluuss ??

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La rareté du foncier libre dans l’ouest du départementnous amène à trouver une solution autre que la création d’un nouveau centre d’enfouissement technique. Le SIVADES, pour ce faire, a tenu à menerune réflexion en y joignant les associations de défensede l’environnement du bassin Cannes-Grasse, afin deprendre en compte leurs attentes.

C’est ainsi que la collectivité a envisagé la construction de deux nouveaux équipements : uncentre de valorisation organique accompagné d’uncentre de valorisation énergétique. Ce premier équipement produira un compost normé avec un tricomplémentaire de produits valorisables secs, noncaptés dans les collectes sélectives réalisées enamont. Ce procédé naturel et biologique - transformant par com-

postage accéléré la partie fermentescible desdéchets - valorisera en plus le gisement sous la formede combustible de substitution, propre à alimenter lecentre de valorisation énergétique. Ce dernier, quiprend place dans une optique d’incinération, varecourir à des techniques innovantes telle infra lagazéification aux alentours de 1 600 degrés. Ellesévitent la production de gaz si décriés, quand bienmême ils se trouvent maintenant en traçabilité infinitésimale dans la combustion générée à 600 ou700 degrés.

Ces deux futures infrastructures seront à HauteQualité Environnementale et s’inscriront ainsi dans lepérimètre de la certification ISO 14001, dont jouit leSIVADES pour ses activités de réception, traitement etvalorisation des déchets.

CCoommmmeenntt aavveezz--vvoouuss ccoonnttrreeccaarrrréé llaa ffeerrmmeettuurree ddee ll’’uunniiqquuee cceennttrree dd’’eennffoouuiisssseemmeenntt tteecchhnniiqquueeddee llaa GGllaacciièèrree àà VViilllleenneeuuvvee--LLoouubbeett ??

"Afin d'appréhender les enjeux du recyclage, le SIVADES propose aux scolaires des visitespédagogiques de ses équipements."

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Opérée et déclinée telle de véritables évènementiels sur chacune des communesmembres, la communication est la condition sinequa non à l’atteinte des performances du SIVADES.

En premier lieu, le SIVADES réalise des campagnesde sensibilisation, relayées par des consolidationsen guise de piqûres de rappel. Un gros effort estfourni en supports, voués à rendre le geste de tripratique et compréhensible par tous. Un guideéco-citoyen, un guide des déchetteries, une

LLaa ccoommmmuunniiccaattiioonn jjoouuee tt--eellllee uunn rrôôllee iimmppoorrttaanntt ddaannss ll’’aatttteeiinnttee ddee vvooss rrééssuullttaattss ??

réglette mémo-tri, une boîte à piles, un bon decommande pour un composteur et un sac depré-collecte font partie du vaste panel dontbénéficient les habitants.

Futurs citoyens, l’implication des jeunes générations fait également l’objet d’une attention particulière du SIVADES. Depuis 2002,un partenariat entretenu avec une association environnementale de Cannes a permis de sensibiliser plus de 30 000 enfants aux enjeux durecyclage et de la consommation responsable.

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C’est ainsi que les résultats du tri n’ont cessé de croître en 8 ans, sur l’ensemble du territoire.Toutefois, l’ampleur de la communication globale n’explique pas à elle seule un tel succès.En effet, un travail de fond minutieux est parallèlement mené par une équipe de douzeambassadeurs du tri. Ces jeunes thuriféraires del’environnement veillent à sensibiliser toute l’année aux enjeux de la gestion des déchets,une population demandeuse d’information.

"Le SIVADES a doté en 2007 l'ensemble des établissements scolaires et des points municipaux des 12 communes en bornes à piles."

Grâce à des actions en porte à porte, des tenuesde stands, des contrôles des points de collecteet de la qualité des déchets déposés, ils inculquent les bons réflexes et consolident l’optimisation des dispositifs existants.

Porte-parole du SIVADES, l’équipe assure laremontée des réclamations des habitants, qu’ilsorientent dès que possible sur le Numéro Vert duSIVADES, mis spécifiquement à leur disposition.

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"Grâce aux animations et au concours des Trophées du tri, le SIVADES sensibilise chaque année près de 3 000 élève à l'éco-citoyenneté."

Ce travail de proximité est devenu désormaisincontournable…

Afin de compléter ce dispositif, un site Internet, unblog et un logiciel de cartographie via GoogleMapest accessible à tous pour répondre aux mieux àl’ensemble des demandes en matière de gestiondes déchets.Pour la pertinence de la communication qu’ildécline et la gestion exemplaire de son centre detri, le SIVADES a reçu en 2006 le statut de « Site

Vitrine national » par Eco-Emballages, titre dontne jouissent que treize collectivité en France pourdes actions fructueuses menées en matière degestion des déchets.

* Le SIVADES regroupe la Ville de Cannes, laCommunauté d’Agglomération Pôle Azur Provence :Auribeau, La Roquette, Grasse, Mouans-Sartoux etPégomas, la Communauté de Communes des Terresde Siagne : Cabris, Le Tignet, Peymeinade, Saint-Cézaire, Saint-Vallier et Spéracèdes.

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Israel's president, Shimon Peres, inaugurated the 275,000 m³/d Haderadesalination plant, the largest reverse-osmosis plant in the world at present, on 16 May 2010.

The plant was built by H2ID, which is jointlyowned by IDE Technologies and Shikun U'Binui (Housing & Construction), and willsupply about 20% of Israel's annualdomestic consumption.

Shmulik Shai, CEO of H2ID, said the plantwill supply water at the cost of US$0.57/m³ and will demand 450 GW ofelectricity each year. "As we take pride inthe results of the Hadera plant, we rededicate ourselves to reach for newhorizons in the Soreq plant we are nowconstructing," he added.

The investment in the construction project, which totalled approximately NIS1.6 billion (US$ 463 million) was funded bya consortium of international banks,including the European Investment Bank;Calyon, the French investment bank; andEsperito Santo (BES), the Portugueseinvestment bank.

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Le président israélien, Shimon Peres, ainauguré le 16 mai 2010 l'usine de dessalement de Hadera d'une capacitéde 275 000 m³ / j, la plus grande usined'osmose inverse dans le monde à l'heureactuelle.

L'usine fournira environ 20% de la consommation intérieure annuelle enIsraël. Elle fournira l'eau au prix de 0,57 dollar/ m³ et nécessitera 450 GW d'électricité par an.

Le consortium industriel a déclaré que"nous sommes fiers des résultats de l'usineHadera, nous renouvelons notre engagement pour atteindre de nouveauxhorizons dans l'usine Soreq que nousconstruisons actuellement".

L'investissement d'un budget d'environ 1,6milliard de NIS (463 millions de dollars) aété financé par un consortium de banquesinternationales, dont la BanqueEuropéenne d'Investissement ; Calyon, laBanque d'Investissement Française, etEsperito Santo (BES), la banque d'investissement Portugaise.

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