the opelousas courier (opelousas, la.) 1865-08-19 [p ] · 2017. 12. 14. · 1. uimuvmaunment de la...
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^.:a. Opelousas, 8t. Landry, Lne., 19 Aout 185. N 10
Sl28i MAyj^^r: :i 10 AOUT f
]pour tI Mioas t' otat. .^h sommes autors aunoncer le Maj
8. D. OLIVER om-me candidat pounr TrsorierbSat l'hVlectiuon de Novembre prochain.
'.Iurrlk58665. 46-
B|lI& usats autor i
s6 annonir que M:
dieller, le Greffier de botre Cour de District
administreh gseqnmnt d'pdunnstie ceux qui de-
sitrfl ei nett* eoTgn -re
4l4erit gheridaa a reB.odre du Se.lit'8 (Oire, de liceincier toutesa5 irih-
d olontaires laics, cavalerie, Infaiteri6 et
rtillaej ferTvadane le dparteanent du 'tZxaa,qu
y jpgera n'tre pas indispensables.
Le en. Debray.-Ce Gnral Confdi,conna intr'aitree choses pour an bon met pro-po d'a une ertaine Epouanate qui a e lieus surl'Atcliafaiya l'an dernier, est rentr dans ses
feos, -pe de Houston, Texas, o il vient d'trenodmm aent de la Comipagaie de l'EkreCoMtaeibct deotiston.
83'Voici encore de nouvelles nominations parle Goqemefs Wells. pour notre -paroisse:
Juges de Paee.-Theodose S. Robin. 3e Arron-dimenent; John J. Butler, 12e Arr.; Jean Bte.ThiboWean, 12e; H-sekia Hays, 1er.
Coastabilies:-Raymond Dehiotels, 3e Arroni.Adripn Saupier,7e. Alexandre Smithi, 19e.
N.isi Paicisr-Iiuia Stsggf Jdhn J. But-ler, Thodose 8. Robi; Jeht F. Sith, E. C.GaMdieer.-
Membres du CairseUilde ill de Washingtop:-F. U Pitr,E. Dubaisson, H1. La8traesa et Wm.A. obetwatou.-
Constate de ie-David Morgan.
ESrai( lie Reseasaane,deiaN. O. 3 Juiflet.REVUE DE LA SEMAINE.
Le movenent politique enmble s'tre arrtpuar aise place *i mniuvemeut soci'l. Le par-duait de l'amintie s'accorde ou se refuse plus oumoins letenment, les. Etats reprennent doucementkr >rl'Get.l'iordre<l<mcrasiqte rent.re commepar lore naturelle dans le lit dTe de la logique;ustda edet ptit y reneonitrer le conflit socialnu o y a couch. La race noire, exploite parla dahuteuse politique de la guerre, se voit au-
urmItli epousse cuninme an insttraumat inuttile-d.,daige6 dams la usocit qui lai a jet l'os de i
UAUriu hatger. Elle xiisste par soubresautsi'uelle a eoncaeneSde la force qe'oun lui asaise ea mains : celle des armes. Un touveau<oi uuiBre ltres et blanea vient d'avoir lieu Chaduton, mais u'ot me rasurre; es combat-sants m fbres, ils portent tutu l'uniforme mili-taire deFs EtsA Unid'tSi .Us asera pas longue.
IJ a4ui s etardera )P , itre touf sepade,poilaoml .recotnai.sanIt. Du bouilloraaut
conflit s" M ai crime individuel, il n'y aqisg diWin ' Aussi 'fit'tend-osi parler par-
u m ae d'aftettats et de meurtres de toutes suor-
1. Uimuvmaunment de la force brutale arme,qu'elle *t inoire oui blance, qu'elle taille dansJe droit esi'humaut, commnie a Thibodaux. oudams la poelice qe'au lui oppose Charleston,clest etu l'aumguaL nesms det la soldatesque
Kte l ci4ui. .Les Etat$ visa ne aerap relifrmeit en paix
quie rqa'ils auet reitir6 leur deraire bayon-u"t1dqO. Il est pUdil de ,rCmg'Lr les ex-, Mf&m64r, its sont plus fidles lapai W i moinsdag"*eux pou l'Union que les fanatiques et lesesrrel& dont les habiles de Washaigtom foot
u .de epsume depais loi>gtmp&. Le peuple am-ricam te masseu edtrop pratique, trop calculateur
petr 'chauni.r ide viouei hunaaitaire dusunr. Quand oa voit le Prsident Johnon t>$bile 6ward .se placer du et conservateur,r, est almsis i lear uagemue qu' la paiMauce pope-lir 'ixntaUiiber ieurr,merve dlmocratique.Ce-Iri don i tort qu'eo cmiedrait e ceapriceur6ia wson la &velnt vacillante de l'zxeeutifSmuede lae stion qui aoua oeaupe. Quandus 8'aal&eiaB aions seiles onn politi-
py9s hlormisla numsie autocrati-que, a, Dieu ercu, voix populaire au cuhapitreJsu qua4 die .dise, u Ffeace plus peut-tre
m deairs 1'o m et piq ieea jisroaeprOoal;er la jran4e'aarqmie dn umo(rsafhJMfM cwniAjet> dau rxefreB
ue4utidelas6eunt l degueouveruans (se: fI lrti al puapeuabdituMdividoeUe,! q2ad Vlectivit nationale est am-3 fArte pearlm uonteoir do ee esuiea t doa pro-pir sgessd 2 -' *ut
*r-- ieMsu..es-.e les rfleaiss .antvsu duaJ..5.L des D ir f politique des Etate
Jmd du ksImee, de,
^*iktpwp.iieur flraebasidnr rideAleMiw- e et s plta rie ta qu'tills ule
'us'Bsidstnlru noBvelhl deaEtat ails, qate M. i witeadcid &kemahtor
in m r rift Aalterre. Leumso, mlueeudmpau.
.MsueMbk-.ddps4h4B, demande que lAngle.
e as ujia, sy -M nhi das{ya idnaunls
ls 8ewiMEi) wadelse de* M*rlΫ. a4l *D usg upepis, tu
flail, nll|itt aBsemeep atanit,
*ease di^ e^ te^ * ^ ^BisonI
de
45184dut geans
se l ens
SSaint-Ptersbonrg. Il serait iniqute et. lgalemenridicule qu' prsent le cabinet de Washingtous'en allt reprocher antrui des accommodement!avec les rebelles dont il a donn le premier exemple."
Autre Rapport sur le Meeting Jefferson Davis,d New York -New York, 1er aot.-Le Poscontient un rapport sur le meeting particulier desamis de Jeff Davis. tenu hier dans cette ville,#ur aviser aux moyens de la dfense du prison.uier et de ses consorts afin que, quoi qu'il arrive,justice puisse tre faite. Le meeting a en liendans le&appartements de M. Carlos Butterfield,qui tait prsent.
A la deminande de M. Potier Y. Cutler, un co-mit a t nomam ponur-lever des fonds, et pourconfrer avec Chbarles O'Connor, avlat, A arra-ter les nimesws ncessaires.
Le Main de New York, M. Gasther, tait ab-sen tiais Il a adress son regret de ne pouvoir yj aeUiest ainie que l'assurance de sa cooprationoordiale. M. Livingaton, de Mobile, MM. Cnt-l1er et Tocker ont U es principaux orateurs.Ils eit dit que l'ciece la rebellion n'tait quetemporaire; leaprit qui lui donna naissance vittoujours et, avec l'assistance do leurs amii duNord, le succs peut tre obteinu par une autrevoie.
M. Livingetrn a dit qie l'Alabanma ne seraitreprseint au Congrs que par des hommes ayantjur d'tre en favi-ur de fl'indpendance du bud.L'excution de Mme Surratu avait excit l'in-dignation do monde et le Gouvernement n'oseraitpas faire juger Davis. M. Liviington a dit quequiconque regarderait la conduite du Sud commeentache de trahison ne pourrait tre qu'un in-sense.
NUtivelle Speculation.-L hiver dernier, lalgislature du 3asachusetts a pass une loi fraplpart d'une aiieule de $59 tout mrutie d'htelreffiea;td'adtnettre des personnes de douleur table d'hite. Depais ce temps, plusieurs ngres,pronvant ainsi leur aptitude aux affaires, ont r-alis de petites fortnues en faisantit capituler leshteliers. Ils se prdaeutent pour s'asseoir A latable commune, et. comme ils ne s'adressent qu'bou escient, ils sont invariablement refuss. Ilsprennent texte de la loi, et consenti nt se retirermoyennant une transaction. Le restaurateurpay cinq, dix, et mme quinze dollars, s'eati-mant heureux d'en tre quitte ce compte, etle spculateur noir s'en vs dner ailleurs bonmarch. Le tour est assez joli, et peut donner rflchir aux lgislateurs.
Justice Angaie.-John Stuart est amendevant le magistrat de la cour de police de SouthLambeth, pour avoir vol une charrette bras,appartenant un sieur Stevens.
Le magistrat.-Prisonnier, qu'avez-vous direpour votre dfense 1
Le prisonnir.-Je n'ai eu aucune mauvaiseintention en prenant cette charrette. C'tait toutbonnement une plaisanterie!
-O l'avez-vous prise cette charrette 7-Dans Old Kent road.-Et jusqu'o l'avez-vous pousse ?-Jusque prs de Lewisham.-Cela fait peu prs deux milles de distance ?-Oui, Votre Honneur.-Eh bien! comme je trouve que vous avezs
pouss la plaisanterie trop loin, je vous condamne& dex idois de prison !
M. l'ditear du Courrier des Opeleass.Permettez moi, je vous prie, d'user des colon.
nes de votre feuille pour rpondre succintementet en peu de mots un seul paragraphe que j'ailu dans la Renalesancc Louisianaise du 23 juillet1865, tir d'une polmnique qui semblerait exiiterSentre le Gn. de Poligunac. de l'ex-armie Conf-dre, et un crivain qui a une attention toutepurticulire taire son nom afio qu'il n'arrive pasa la postrit. Je crois qu'il a t vraiment trsmodeste, car des sonoren luenbrations de cettenature devraient passer la postrit. La gn-ration prsente ai ingrate ne leur accordera certespas tout lSur mrite. Voici le paragraphe:
*l suffira de lui nommer (au Gin. Polignac)un des champs de bataille nsur lesquels ses Conf-drs ont t battus: c'est celui de 'hoanneur etde la politique rationnelle."
Certes, si ce qui manque un homme de res-pect, de raison, d setitiments gnreux et C3;lgement, pouvait &re compens par une vilediatribe, linjure et une ignominieuse dbaintra-tion,je crois . l'Editeur qu'aprs tout le peupledu 8ud en gnral et celai d'Opelousas en par.ticulier, pourrait conclure que cet crivain a dehauts titres quelque respectabilit car assur.ment la violence de ses dnonciations, insultantjusqu'au malheur, est aussi remarquable que lafaiblesse, l'inexactitude et l'obscurit de sa logi-que. Et, certes, c'est aujoard'hui ou jamais quele peuple du Sud peut ustewit dire: "Tout eptperdu fors l'honneur.' Hureusement que lepeuple du Sud qunt, au dire do cet crivain, n'apoint d'aonneur, n peut ire frapp par les traits(ri lsi senit d6coebi du fond d'an ceur qui est
dla couleur de l'encre qni vient lui faire cottetrange et sardomique rvlation, et eneoro moinspeut-il tre atteinspar le torrent dbordant de sesdgRadanta inuvetives: ce pemple est uasi lol-gnu de leur fongueuse rage qu'il est lui-minmeloign d prendre sea essor vers les rgions c-lestes. F.
UNE EXCELLENTE AFFAIRE.A VNDIE.--Une lbtblWtion tout tablie:s806 .arents de terr, 14,000 pieux, dont
12,000 net; bonne maison de rsidence, ctu e,peiMel,hageatil, mwoulia coton; 65 ttes'de
btes doque, 7 beu4 de ire, 5 mulets atiri.ceaini. & oehanx et i 'enta Farouches, marque,100 Wchons, 1,400 barils d mats, patates, fouir-
t rage, d , ette, iutrumentssaratoir &cSdriA. l 81tSbi -Cbule< Cro ci,
8 milles dsOii and i C t19.Aottt1866. 10-3t
Au Pubicb.-"9TE SSIGNI pr*era une prompte atten-
.Jion tous les as caofias sessoins commeMdecin et Chirurgien. Iaresu l'offe deDr. James Ray , L
Sr GEQeE Iu LLM. D.OpftA.19 Aots 18851 10--4t.
% g esign-k reptie son mtier de charpein-l tier a sa rskidec, l'extetft Sud de la
rue de la Cour, $ Opelouo , et iloere, on cons-quepcesaasservica la oei.
*i ei WSSl K . MWWiLET.QpplH Aeit 1865. 10 {i6t
S cl ftoh Thomas -J. Jones.dint des ch)at eisscniela se-.
dw t S Sn *on. doeemSORespsMJP bost 1985. 10 -nSucodiad; ' McCrory.1 Salesssuc ouests d. feue
e-lisetpr A ma
MEDICAMENTS FRAIS.g j LEONCE HEBRAR1 vient de recevoi. a. a l'Emporiuam de Mdecines des Ope'ni.sas un assortiment bien choisi de mdi"am ntifrais. Pilules de toutes ortes; Vermifuges; Huile de Palmachristi &c. &c.
Etant dtermin vouer tout son temps exclusivement sa profession le soussign sera di-navant trouv son poste toute he#re du jourou de la nuit.
Les prescriptions seront remplies avec sn*n etexactitude. P. L. HEB3RAlD.
19 Aot 1868. 10-31.
PAQUEBOTentre les Opelousas et la Nl1e. Orleans.
L Le Bateau vapeur PAULINE,Caes itatne Worley,fea lea voyages r-
|lier@ entre ln Nile. Orlans et Wathington.-Le public peut tre assur qu'il demeurera dans
cette navigation pendant toute la saison des eauxhautes, et la baisse des eaux il sera remplacpar un bateau d'un plus faible tirant d'eau. Uneattention particulire sera donne au fret pris oudpos en route.
J. WORI.EY, Capitaine.N. B. Tout le Coton ou le Sucre qui devra tre
expdi par ce bateau -t qui sera envoy an Ma-gasin de Dpot le O. ltilickley & fils, sera reuren d(>ot et expdi sans fiaisPour les particularits. s'aildrsser i
O. HINCKLEY & FILS.fT-Le PAULIx partira de Washliington tous
les Samedis 5 heures de l'aprs-midi, et de laNouvelle Orlans le Mercredi 5 b. 1. M.
Washington 15 Aont 1865. 10-6t
VENTE PUBLIQUE.iSU'CCESSION PHILIPPE P FONTENOT.E N vertu d'un orJre de l'Honorable la Cour
Sdu HuitimeDistrict Jud.ciairede cet Etat,; sigeant dans et pour la Paroisse St. Landry, leSpubliec est par le prsent averti qu'il sera vendu
i envente pablique, au plus offrant et dernier en-Schlrissenr, par le soussign Administrateur, ladernire rsidence du dfunt, la Pointe des Ma-nuel, dans la Paroisse St. Landry, le
Mardi 12 Septembre prochain1865, les proprite ci-dessois dcrites, dpendantdle la succession de feu Philippe Paul Fontenot,dcd, dernirement de la Parisse SCLandry,savoir:
UNE HABITATION,situe a la Pointe des Manuels, la Prairie Chataigner, ParoisseSt. Landry, mesurant cent qua-
rante arpents de terre, de superficie, borne anNord par Simon Manuel, au Sud et l'Est parHenry Fontenot, et l'Ouest par Marcelin Des.hotels, ensemble avec toutes les btisses et am-liorations qui y sont situes et qui en dpendent,tant la dernire rsidence dudit dfunt
Un morceau deTERRE BOISEE,
situ au Bayou des Cannes, dans lamnime Paroisse. mesurant sept ar-
pents de face audit Bajou, sur quarante arpentsde profondeur, born an Nord par Simon Manu-el, an Sud par Louis Baptiste Guil'ory, l'Estpar Valery Guillory, et a l'Ouest par les terresrserves an chemin de fer des Opelousas.
60 ttes de btes cornes douces.G ttes de btes cornes farouches;
3 chevaux croles doux:11 ttes de betes chevalines;
Un troupeau de montons;Un lot de cochons;
Une marque marqu' r;Une charrette beufs;
Meubles de maison:Ustensiles de cuisine;
La recolte pendante de coton:Un lot de coton en grain;
Un fusil de chasse, double;et infinit d'autres articles.
Conditions:-Toutes sommes de dix piastres etau-dessous, payables le lr Avril 1867, et toutessommes an-dessus de dix piastres, payables unemoiti le 1er Avril 1867. et l'autre moiti le 1erAvril sauivant, 1868;-Les acqureaure ournissantleurs obligations aveu deux cautions solidaires lasatisfaction de l'Admiuistrateur; lesquelles obli-gations serout payables on oron eau argent, entreles mains dt Dorcin P. Lafleur, sont domicile,Chataigner, et porteront huit pour cent d'int-rt par an', compter de 'cbance de chaqueterme. Et en outre, la terre demeurant spcia-lement hypothque la succession jusqu'anpaiement rel et effectif tant du principal que desintrts qui auront pu s'accrotre.
PHILIPPE PAUL FONTENOT fils,Administrateur.
Opelonaas 12 Aot 1865.
EXPRESET LIGNE DB DILIGBNCE3.
Entre la NUle. Orleais et Washington.
TLES soussigns ayant pris des arrangomente. avec la Compagnie Express de la Nouvelle-
Orlans, ont tabli une ligne de diligences e'trcWashington et la Nouvelle Ibrie. rencontrant lle Baieau & vapeur Ituby, qui va jusqu' la sta-tion du chemin de fer des Opelousas.
Une de ces voitures partira de Washington leMardi et Jeudi de chaque semaine, 5 heures dumatin, et de retour, partira de la Nouvelle Ibriele Mercredi et Vendredi l'arrive du Lateau.
Les voitures prendront en outre des passagers,une malle indpendantei l es lettresjonrnanx, pa-quets &c.
'Joh Macsonald, agent & Opeloeas.BALDWIl' FBERES.
Washington 12 Ao4 1806. 9tf
COTON,COTONIL E soussign ayant t autoris acheter duooton, prvient ceux qui. en ont vndre
qu'il e a sur livraibon, suit en espces soioupeu
A, fi. GRADENIGO.1Aot 18& 9tf
Succession John H. Maggee,L ES ACQUEREURS la vente de la sue
cession de feu John l. Maggee sont pritdevenit payer sans dlai entre les mains de ilnoussi;gne Administratrice, Wile he veulent pasencoorir des frais. Les obligtions, qui a*"ent gares, sont maintpat trotes et entreles mains de la soussigne
ANASTASIE SAVOIE,AdminUistrtrice
Parolse St. Landry 9 juillet 1865. 7-5t
NOUVEULLE. -t I) lClRI,MsL ES sousigns ontIhannear d'annoncer at:J eies dOpeleaass at de ses environ
q'ils owm vert une Becherle l'eteoignnrdestm -Bel'evseetde le Cour, OpAloueas, o01
ils d6biteront de la viandede Beof, do vsahe "de e, tonle atinas, 4 an prix au-deseous deelai. eotte viande aat Tvedmdue sqrt' pr&ssno ds e - s'] espeetsemet an
4Bplonep 192ML180- -k
Yenxa Cau 5 ,bre T Ecte itflevendre au burean de cette fenille.
AVIS.OTOUTES LES PERSONNES qui, dans la
j. Paroisse St. Landry, poursuivent une pro-fession, un mtier ou une occupation quelconquesont par le present avertis d'avoir se pr.senter immdiatement mon Bu.an, la Mai-son de Cour. Opelousas, et retirer leur Licencede Paroisse et d'Etat, autrement il en sera dispo-s selon ja loi.
J. J. BEAUCHIAMP, Sherif.Buirean du Sirif. Paroisse St. Landry,
Opelousas 5 Aout 1865. 8-3t
PITRE & CARRIERE,MAGASIN DE DEPOT ET AGENTS DE
DATEAUX-A.VAPEUR,Washington, Lune.
M ESSES. PITRE & CARRIERE infor-ment leurs amis qu'ils ont recommenc
leur afncien genre d'affaires, et qu'ils sont prts expdier et a recevoir les marchandises et pro-duitse confis leurs soins. Ils esprent que meurlongue exprience dans les affaires sera une ga-rautie de satisfaction pour ceux qui voudrontbien les honorer de leur confiance.
Washington 5 Aout 18G5. 8tf
jM ADAME MACDONALD rouvrira son E.. colo, pour les enfans des deux sexes, le
priemier Lundi de Septembre prochain, 1865.CONDITIONS5
Le Franais et l'Anglais, $3 par mois.La musique, (piano) 5 "Heures d'tude, de 8 lh. A. M. 2 P. M. 1Opelousas 5 Aout 1865. 8-3t
J. L. COURET,Marchand CommissionnaireRUE CONTI, 1o. 13, entre Chartres et Le.
ve, Nouvelle-Orlans, se chargera de lavente de tons les produits qui lui seront, consi-gns, et fera des avances de corde et toile d'em-ballage sur le coton qui devra lui tre expdi.
22juillet 1865. 6
A VIS.-Les soussigns ont l'horneur d'an-Snoncer au public de la Paroisse St. Landry
et des Paroisses avoisinantes qu'i's achtent lecoton anx prix les pluits levs du March. Ilsferont galement des avances de toile et corded'emballage et de marchaudisos sur les cotonsqui leur seront venidue ou qui seront expdis parleur intermdiaire.
J. BLOt'Il & Co.
Opelouses 22 Jdillet 1865. Of f
AVIS.L E soussignu Informe respectneuasement leSpublic en gnral et ses anids en particulif-er
qu'il tient une Boulangerie o ils purrant seprocurer en to'it tempe du bon pain. Mais pourleur commodit le pain sera port leur domicile.
Ayant rsist a la tourmente politique quivient de jeter en vue du port son vaisseau bris,il espre recevoir utebpartde l'onconrakemient dupublic. F. FERAY.
Opelousas 15 Juillet 1865. btf
Restaurant Fran9a&s,TENU PAR PHILIPPE FORGET, No. 72
Rue de Chartres, entre Conti et Bienville,Nouvelle Orlans. lyChambres garnies.
Les prix sont les mmes qu'anciennement.29juillet lr165. 3m
Le Dr. Wm. A. Robertson,ETANT de retou- St Landry, a repris l'ex-
ercice de sa profeasion. Son bureau est la rsidence de Madame Frank C. Robertson, aWashington. [1er Juillet.-3
ORDONNANCEPOUR POURVOIR A UN REVENU POUR
LA PAROISSE ST. LANDRY.ARTICLE 1er. Il est ordonn par le Jsry de
Polic de ela Paroisse St. Landry, Qu'unetaxe on licesce annuelle de Paroisse, de soixanLe-quinze pifir cent sur le montant de la taxe onliccuce d'Eiat, elra leve et collecte de chaquepersonne poursuivant aucun des mtiers, protes-sions et occupations taxs par l'Etat.
Ordonn le 17 Juillet 1865,ELBERT GANTT,
President die Jury de Police.JOs. D. RICAnRD, Greffier.22 Juillet 1865,-6tf
=. LE BATEAtt-A-VAPBURH ki lu. REIF,
Capitaine C. C. PICKEIT,ERA dornavant un voyage par semaine en-tre Washington et la Nouvelle Orl6gus.-
Le prix du fret et du passage sera le mme quecelui les autres bateaux dans la mime naviga-tior.
Washington 1er Juillet 1865. 3tf
AVIS AU PUBLIC.-Le public est par lept6sent averti de ne pas ngocier tiile cer-
taine obligation de la somme de cent cinquantepiastres, tire dares la Paroisse Calcasieu on 1859,et souscrite solidairement par C. Singleton, F.Farves e' John Iles, et endosse yar M. A. Var-nell, attnuda que cette obligation a t pefdue ougare.
J. LEVY.Paroisse St. Landry 12 aot 1865. 9tf
A VENDRE,U N DIALE avec sa vis, toat neut et en par-
fait tai de service, vendre bon miarehpour du cotmpitant. S'adresser
ONEZ. A. GiDRY.Opelousas29!ftdflet 1865. 7tf
Dissolution de Socitd.A so6it de commerce de 8. O. NELSON& Co. est dissoute par la mort de M. Hen-
ry C. Walker, l'un de ses membres, qui est mortle 3 Octobre dernier.
S. O. NELSON.T. A. NELSON.
XowteDe Orlans 10 Juillet 1865.
ittE. ORLUANi. 10 Jnillet 1865.L ou4ssign6s continueront les affaires dePactours de Coton et Marchiands-
Comnattaotmaies sons la raison contmercalede 8. O. & '. A. NELSON & Co. Letur bu-reau est mne Gravier, No. 135, o ils ont fait leursaffaire pendant les 12 on 15 dernires annes.
'Tonite epdition de coton on autfrs produitsnotti maison, recevra notre ahettention particu-lire et immdite.
8 0. NELSON.jnl29-Im] T . A. NELSON.
to Wf9as 4 WeMarchande Comn.ilslonnair.aETrGROOERIE EN GtOs,
No 69 Vieile Leve, Ni1 Orlans. pjuMit
BEEDI7.- ana la vtlle des Opelotai, l 3du, urant, un 46e deDame, es or. No. 7.
ne reomsepus Sdla d alear approximative deay icelu qdi rappetera ce
aOpelonas 12 as 18T6. 91fOpeleasas IS aBot 1885. 9tf
CrROCERIE.OIS VATTER a l'honneur d'annoncer
Sses amis et an public en gnral qu'il vientSd'arriver de la Nouvelle Orlans avec un grandassortiment de Grocerie, consistant principale-ment en FARINE, JAMBON, WHISKY, VINSde tonte sorte, &c. &c. qu'il vendra des prixaussi modrs que possible, selon son habitude,
1Il s'est galement assur les services d'un ex-cellent ouvrier menuisier, ce qui lut permet dsaujourd'hui de rparer Jes meubles qu'on voudrabien Ini confier.
Opelousas 8 Juillet 1865. 4tf
MARCHANDISES NOUVELLESA MEILLEU MARCHE.
L E qoussign a l'tonneur d'informer la publiequ'il tient de recevoir un assortiment de
marchandises de tous genres, qu'il vendra meil-leur march qu il n'a pu le faire jusqu' prsent.
II sollicite un examen de ses marchandises etde ses prix, avec la certitude que le public serasatisfait des unes et des autres.
JOS. BLOCH.Opelh'isas 24 juin 1865. 2
Charles Potier,CiOLLECTEUR ET CRIEL'R D'ENCANS, Ope1cosas, se chargera diligemment des coilections
qui pou:ront lui tre contfiees dans la Paliois'e St.Landry et celles avoisiiiaites., ainsi que commeCi ieur.
Opelousae, 8 Juillet, 16,5. 4-6rn
J. W. ButBRIDUEk. Titos. 1). MLLu
J. W. BURBRIDGE a CO.No. 190, rue Gravier, NOUVELLE OILEANS.
N OUS continoiis les affaires de commissionret sollicitone de nos anciens amis la conti-
nuation de leur piconragempnt.J. W. BUBRIDGE & Co.
Nlle. Orlans 22 Juillet 1865. lin
Auguste Broue,HOTEL.
RESTAURANT DU PELLERIN.AMI DES PECHEURS,
;seChambres garnies.Rue Madison, No, 15, face la Halle la viai.dei
Jul, 8] NI.LE-OOLENS.
A. DESMARE,MARCHAND GOMMISSIONAIRE
ET
FACTEUR EN COTON.No. 33. rue Front Levpe, entre les rues Bie-n-
ville etdela bonsane.July 1--3] NOUVELLE ORLEANS.
Bellocq, Noblom & Co.,MARCHANDS COMMISSIONAIRES,
No. 61, RUE CARONDELET,Y<OUVELLE ORLEANS.
WDies avances de toile et corde d'emballageseront faites comme par le pass aux planteurs etaut.es dtentears de coton. (24 inin.
s. .H t. f IIN DY & Co. lIfAtCtIANDS COMMISSIONNAIRES GE-
TERAUX ET FACTEURS DE COTON,tue Poydras, 55 et 57. NLLE, ORLEANS.
Le nussignd, ci-devant intress dans la mai-ion de Richard Nagent & Co. de cette ville, asurta charge excinsive des affaires du coton de lariaison ci-dessus, et rclame l'encon.ement dems amis. RICHARD J. N UGENT,
Nouvelle Orlans 15 Juillet 1865 3m
O. Hinckley & Fils,gommisrionnaires, Expeditionnaires et
Agents de Bateaux-a-vapeur.WASHINGTON, Lue.NOUS sommes aujourd'hui prts recevoir,
nos magasins d'entrept, Washington,le Coton. le Sucre, les produits de tous genres.marchandises &. que le public jugera convetna-ble de confier nos soins.
Conditions.-Comptant.O. HINCKLEY & FILS.
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