A43

A46A432

LGV

A46

A42

A42

A6

A7

D383

D307

D307

D342

D302

D317

D306

N346

0 1 2 km

Sa

ôn

e

Rhône

AéroportLyon-

St-Exupéry

Vénissieux

Saint-Fons

Rillieux-la-Pape

Caluire-et-Cuire

Craponne

Jonage

Valeur sûre

En vogue

Lyon

Stable

En devenir

Tête-d’Or,Saxe, Vitton

Brotteaux

Point-du-Jour

Saint-Just

Saint-Just

Montchat

Monplaisir

Gerland,Guillotière

Vaise

PréfectureLa Part-Dieu

Vieux-Lyon

Croix-Rousse

5e arrondissement

Confluence 2

Charlemagne

Villeurbanne

Tassin

Ecully

Bron

Chassieu,Genas

Décines

MeyzieuVaulx-en-Velin

Pierre-Bénite

Oullins

Bellecour, AinayPoint-du-

Jour

Tête-d’Or,Saxe, Vitton

Brotteaux

Montchat

Monplaisir

Gerland,Guillotière

Vaise

PréfectureLa Part-Dieu

Vieux-Lyon

Croix-Rousse

5e arrondissement

Confluence 2

Charlemagne

Villeurbanne

Tassin

Ecully

Monts-d’OrMonts-d’Or

Bron

Chassieu,Genas

Décines

MeyzieuVaulx-en-Velin

Pierre-Bénite

Oullins

Bellecour, Ainay

III

Le Nouvel Observateur

LYON SPÉCIAL IMMOBILIER

LYON PAR QUARTIERS

Où acheter selon son budgetDES PENTES DE LA CROIX-ROUSSE À CONFLUENCE, DES QUAIS DE LA SAÔNE ET DU RHÔNE À GERLAND, LYON OFFRE UNE BELLE QUALITÉ DE VIE, MAIS DES PRIX TRÈS VARIABLES. TOUR D’HORIZON

p"VALEURS SÛRES

TÊTE-D’OR, SAXE, BROTTEAUX, VITTONAncien : 3 500-5 200 €/m2

Neuf : 7 000-8 000 €/m2

Le 6e arrondissement reste l’un des

secteurs les plus prisés de Lyon, et

sans doute l’un des plus chers, diffi -

cilement abordable s’il n’y a pas eu

revente ou donation. Si les notaires

donnent un prix moyen au mètre

carré de 3 500 euros en 2010, cer-

tains biens se vendent à des prix net-

tement plus élevés dans le triangle

d’or composé du boulevard des

Belges, du cours Franklin-Roosevelt

et de l’avenue de Saxe. Ils peuvent

alors atteindre voire dépasser les

5 000 euros/m2. Quai du Général-

Sarrail, un appartement de 135 m 2

s’est vendu 680 000 euros, soit

5 000 euros/m2. A l’inverse, rue

Tronchet, un 53-m 2 s’est vendu

180 200 euros, soit 3 400 euros/m2.

« L’écart de prix va presque du simple

au double dans cet arrondissement,

de Tête-d’Or à Bellecombe. Et le

manque de biens à vendre devient

préoccupant », constate Gilles Vau-

dois, à la tête de trois agences du

réseau Laforêt. A défaut de loge-

ments anciens, les acquéreurs fortu-

nés peuvent s’intéresser au seul pro-

gramme neuf du quartier, à

200 mètres du parc, rue du Lieute-

nant-Colonel-Prévost : un immeuble

de 37 appartements, réalisé par Les

Nouveaux Constructeurs. A empla-

cement exceptionnel, prix tout

aussi exceptionnel : 7 500 euros/m2

en moyenne. Pour un 4-pièces

de 105 m2, il faut débourser – au

moins – 787 500 euros.

AINAY, BELLECOUR,Ancien : 3 800-5 200 €/m2

L’un des micromarchés les plus chics

de Lyon est concentré à Ainay,

quartier du 2e arrondissement. Les

transactions y sont rares, et le parc

immobilier de grande qualité fait

grimper les prix dans la fourchette

haute. Le contexte est le même pour

les quais de Saône, Tilsitt et Céles-

tins, avec en prime la vue sur Four-

vière. Le déplacement de l’univer-

sité catholique sur le site des

anciennes prisons Saint-Paul va

libérer l’immeuble de la place Belle-

cour. « Le bâtiment, dont une partie

date des XVIIe et XVIIIe siècles, sera

restructuré et transformé en

Le 6e

arrondissement,

toujours l’un des

plus chers de Lyon

664N[QPa2230kpff00kpff"""5 3712:133"""34<42

IV

Le Nouvel Observateur

SPÉCIAL IMMOBILIER LYON

appartements », explique

Gilles Bayon de La Tour, directeur

général du groupe Ogic. Il faudra être

patient et attendre 2014 pour ache-

ter. Autour de la place Bellecour, et

dans ce quartier bourgeois mais

animé que beaucoup de Lyonnais

refusent de quitter, les biens de qua-

lité se négocient autour de 4 500

euros/m2. Rue du Plat, un 57-m2 s’est

vendu 265 000 euros (soit 4 650

euros/m2). Rue Auguste-Comte, un

72-m2 a été acquis 313 200 euros,

soit 4 350 euros/m2.

CROIX-ROUSSE, VIEUX-LYONAncien : 3 200-4 000 €/m2

Ces deux secteurs, l’un dans le 4 e,

l’autre dans le 5e, ont pour points

communs le charme des rues en

pente, les marchés, les immeubles

aux pierres dorées et ocres… et des

prix élevés. A la Croix-Rousse, la

« colline où l’on travaille » (selon le

dicton lyonnais qui fait allusion aux

canuts qui tissaient la soie au

XIXe siècle), les ateliers occupés

autrefois par les tisserands sont pra-

tiquement introuvables. « La

demande pour ce type de biens est

moins forte qu’avant, les prix ayant

trop augmenté. Même les petites sur-

faces sont trop chères pour les primo-

accédants », note Yves Mallecourt,

de l’agence Laforêt Croix-Rousse. Les

acquéreurs se reportent alors sur

d’autres logements, moins aty -

piques, comme ce rez-de-jardin de

47 m2 vendu en une semaine 170 000

euros, soit 3 600 euros/m2. Ou encore

ce 3-pièces de 57 m2, près du parc

Francis-Popy, acquis pour 212 000

euros, soit 3 700 euros/m2. Dans le

Vieux-Lyon aux façades colorées, la

demande ralentit également. Les

jeunes couples, attirés par la vie

artistique et nocturne du quartier,

ont de plus en plus de mal à trouver

un 50-m2 à moins de 170 000 euros.

Rue du Doyenné, un 45-m2 avec

travaux attend un acheteur pour

171 000 euros (soit 3 800

euros/m2).

PART-DIEU, PRÉFECTUREAncien : 2 800-3 700 €/m2

Neuf : 3 800-4 300 €/m2

Malgré son coté « minéral » qui

reflète mal la ville, le quartier Part-

Dieu attire les Lyonnais et ceux qui

souhaitent s’installer à Lyon. Sa

plate-forme multimodale avec train,

métro, tramway et bus, son dyna-

misme – avec le centre commercial,

ses bureaux, son bassin d’emploi –

et son habitat font oublier le

manque de verdure. Prochainement,

la Mairie envisage une action de

rénovation de l’espace public, la

création d’espaces verts et celle

d’une autre gare en prolongement de

la première, saturée. Le côté pratique

du quartier suscite l’intérêt des

familles mais aussi des célibataires

et des investisseurs. Faute de neuf, si

ce n’est un programme signé Bouw-

fonds Marignan, près du parc de la

Buire, vendu au prix moyen de 4 100

euros/m2, les acheteurs doivent se

replier sur l’ancien. Ce marché a

connu des excès, notamment dans

l’est, qui souffre de la concurrence de

Villeurbanne. Désormais, les biens

surévalués ne se vendent pas. Le sec-

teur Préfecture, où il y a moins de

biens à vendre, ne connaît pas la

même situation, et quelques très

beaux appartements sur l’avenue de

Saxe ou le cours Gambetta dépassent

les 4 000 euros/m2. Côté gare, les

prix moyens tournent autour de

3 500 euros/m2 : un 3-pièces de

68 m2, rue d’Aubigny, a été vendu

224 400 euros (soit 3 300 euros/m2).

p"EN VOGUE

POINT-DU-JOUR, SAINT-JUSTAncien : 2 300-3 500 €/m2

Le quartier Point-du-Jour, dans le

5e arrondissement, est récent, les

immeubles ayant été construits dans

les années 1980, mais aujourd’hui il

vit bel et bien. Comme l’explique

Pierre Guilloteau, de l’agence Sol -

vimo, « il est habité par des cadres

supérieurs qui recherchent un lieu de

vie agréable, aéré, de bonnes écoles et

des commerces de qualité ». Côté

écoles en effet, l’inscription se fait

aux Minimes et à la Favorite. Côté

provisions de bouche, un saut à la

boulangerie Henri Gay et un autre à

la boucherie Vessière… Côté loge-

ment, les appartements récents avec

balcon, terrasse et parking se ven-

dent entre 3 200 et 3 500 euros/m2.

Pour trouver plus abordable, il

Une maison de 150 m2 à la Croix-RoussePierre, entrepreneur

« Nous n’avions jamais vécu dans le 4e arrondissement

avant de quitter Lyon. Quand nous sommes revenus

dans la ville l’an dernier, nous avons loué dans cet

arrondissement un appartement dans le secteur

de la Croix-Rousse et nous avons beaucoup apprécié

ce quartier qui est un vrai village dans la ville, avec

son marché, son théâtre, son cinéma associatif… Puis,

en fréquentant les agences, nous avons été séduits par

cette maison de ville en pierre dorée, son atelier

attenant et sa petite cour dont on peut profiter pour

dîner. Au total, 150 m2 au calme, dans un secteur où

il existe une vraie qualité de vie. »

A la Croix-Rousse,

les anciens ateliers

de canuts sont

quasi introuvables

Point-du-Jour

DR

664N[QPa2230kpff00kpff"""6 3712:133"""34<43

VI

Le Nouvel Observateur

SPÉCIAL IMMOBILIER LYON

faut miser sur de l’habitat plus

ancien, des années 1970. Rue Joliot-

Curie, un 77-m2 s’est vendu 215 000

euros (2 800 euros/m2) et un 94-m2,

256 000 euros (2 700 euros/m2). A

prospecter avec patience : rue

Witkowski, quelques maisons avec

jardin des années 1960 ou 1970. Pour

80 m2 habitables et 250 m2 de jardin,

il faut compter 350 000 euros. Dans

le secteur Saint-Just, les prix sont

sensiblement identiques à ceux du

Point-du-Jour. Autrement, il faut se

diriger vers le quartier Ménival,

moins onéreux et plus populaire, où

il faut compter entre 145 000 et

160 000 euros pour 65 à 75 m2.

MONTCHAT, MONPLAISIRAncien : 2 500-3 800 €/m2

Neuf : 4 200-4 800 €/m2

Ce sont deux micromarchés au

caractère villageois, à l’animation

culturelle et associative recherchée.

Montchat, dans le 3e arrondisse-

ment, est plébiscité par les familles,

qui profitent des écoles réputées et

d’une vraie vie de quartier. L’adresse

la plus prisée et la plus onéreuse est

le cours du Docteur-Long. Quelques

maisons des années 1920 flirtent

avec le million d’euros pour 200 m2

habitables avec un jardin. En s’éloi-

gnant de cette adresse mythique, les

prix s’allègent. Rue de l’Amiral-Cour-

bet, un 75-m2 s’est vendu 260 000

euros, soit 3 460 euros/m2. Dans le

neuf, quelques programmes signés

Promogim présentent des 4-pièces

de 372 000 à 490 000 euros. Mon-

plaisir, dans le 8e, abrite également

des maisons à prix d’or, autour de

4 000 euros/m2, et des appartements

à des tarifs légèrement inférieurs,

autour de 3 400 euros/m2. Ces deux

secteurs attirent aussi les inves -

tisseurs en raison de la proximité de

l’hôpital Edouard-Herriot et des

facultés de médecine et de pharma-

cie de Lyon-I.

VAISEAncien : 2 500-3 400 €/m2

« On ne dit désormais plus Vaise mais

Lyon 9e », remarque Yves Tomc, du

réseau Guy Hoquet l’Immobilier. Et

les mauvaises langues disent que les

habitants de Gerland cherchent à

habiter Vaise, notamment dans le

quartier de l’Industrie réputé pour

ses cinémas, ses restaurants – dont

une antenne de Bocuse… « Le quar-

tier, poursuit l’agent immobilier,

bénéficie d’atouts pratiques avec ses

trois stations de métro, la proximité

du périphérique et de l’autoroute en

direction de Paris. Il a une âme, grâce

aux commerces, aux cafés, aux berges

de la Saône, ce qui en fait un quartier

recherché par les jeunes cadres et les

étudiants de l’université privée ou de

l’école d’infirmières. » Les apparte-

ments récents, dans de petits

immeubles collectifs, se vendent

parfois plus de 3 200 euros/m2.

Pour un 3-pièces récent, il faut comp-

ter, selon la surface et l’orientation,

entre 220 000 et 250 000 euros. Avec

moins de confort, sans ascenseur,

mais en bon état, un 60-m 2 s’est

vendu dans le secteur Valmy 185 000

(près de 3 100 euros/m2). Plus inté-

ressant encore, dans ce même sec-

teur, rue Marietton, un 30-m 2 a

été acquis pour 80 000 euros

(2 600 euros/m2).

p"STABLES

GERLAND, GUILLOTIÈREAncien : 2 500-3 100 €/m2

Neuf : 3 900-4 300 €/m2

Ces quartiers se développent peu à

peu, mais les vrais Lyonnais

Montchat est très

recherché pour son

esprit villageois

Vaise

bénéficie de trois

stations de métro

Dîner en admirant les Monts-d’OrCécile, consultante en informatique

Cécile loue un appartement sur le plateau de la

Croix-Rousse qui lui « change la vie ». Elle était

auparavant locataire d’un 2-pièces à Monplaisir : « A

la Croix Rousse, j’ai trouvé en quelques jours, dans un

immeuble des années 1980, un 37-m2 au 7e étage, très

lumineux, avec un grand balcon : je peux dîner en

admirant les Monts-d’Or ! Je m’y suis tout de suite

sentie bien. Tout comme dans ce secteur, où il y a tout

ce que j’aime : les librairies, le marché, restos et bars

sympas à tout juste cinq minutes à pied. Une vraie

qualité de vie que je ne trouvais pas à Monplaisir. Pour

un loyer mensuel de 580 euros, soit 20 euros de plus

qu’avant, sans parking mais avec balcon ! »

664N[QPa2230kpff00kpff"""8 3712:133"""34<43

VIII

Le Nouvel Observateur

SPÉCIAL IMMOBILIER LYON

DR

rechignent toujours à aller

« au-delà des voûtes », même si le

quai Claude-Bernard est aménagé

en promenade le long du Rhône et

ponctué d’espaces ludiques. Le neuf

s’y est considérablement assagi,

mais un programme des Nouveaux

Constructeurs propose, rue Yves-

Farge, 160 logements au prix moyen

de 4 200 euros/m2. L’ancien offre

beaucoup de petites surfaces, que

lorgnent étudiants et investisseurs

– avec des prix variables selon les

secteurs, puisqu’un 40-m2 se trouve

entre 155 000 et 160 000 euros.

Dans ces quartiers, les grands appar-

tements sont rares : leurs prix grim-

pent, et la barre de 3 000 euros/m2

peut être dépassée pour 100 m2.

Ce qui repousse les familles en

périphérie.

p"EN DEVENIR

HÔPITAL DEBROUSSENeuf : 6 500 euros/m2 en moyenneLa rénovation du bâtiment principal

de l’hôpital Debrousse – qui date de

1907, et la construction de divers

immeubles résidentiels, dans un

parc de 4 hectares en pleine ville et

classé « espace boisé », ne peuvent

se comparer à une opération comme

Confluence. Mais cet emplacement

exceptionnel, qui domine Lyon et

notamment Confluence, est parti-

culièrement cher au cœur des

Lyonnais, puisque entre 1920 et 2006

cet hôpital spécialisé dans la pédia-

trie a vu passer presque toutes les

familles lyonnaises. Aujourd’hui,

l’un des bâtiments va donc être

réhabilité : on ignore encore ce qu’il

deviendra (habitat, hôtellerie ou

résidence pour personnes âgées).

« Les barres des années 1960 vont

être démolies pour laisser la place

à 5 immeubles BBC et 128 logements

avec vue à tous les étages, des appar-

tements de belle surface, des duplex,

des penthouses, des bow-windows,

des balcons de 2,70 mètres de pro-

fondeur, des terrasses… des biens

recherchés par des Lyonnais qui

revendent une maison ou par des

acquéreurs qui veulent un joli pied-à-

terre, sachant que même si ces der-

niers ne l’occupent pas toute l’année,

la valeur patrimoniale est assurée »,

constate Stéphane Reymond, direc-

teur régional de Vinci Immobilier,

lauréat du concours en 2006 avec les

cabinets d’architecture Dumetier

Design et Gauthier-Conquet. C’est

seulement en juin 2011 qu’a

démarré la commercialisation, au

prix moyen de 6 500 euros/m2. L’opé-

ration tire vers le haut les secteurs

limitrophes, dont celui de Saint-Iré-

née, déjà réputé, où le prix avoisine

2 800 euros/m2.

CONFLUENCE 2, CHARLEMAGNEAncien : 2 200-2 900 €/m2

La seconde phase de Confluence –

dite Confluence 2 –, conduite par

les architectes suisses Herzog et

Meuron, devrait, par rapport à

Confluence 1, apporter un plus en

matière de développement durable,

tant dans la conception des loge -

ments qu’en matière de circulation

et de végétation : la Ville veut être un

modèle sur ce plan. Le réaménage-

ment des prisons va occasionner

le lancement de 90 logements en

accession, une opération mise

en place l’an prochain par Ogic à

des prix au mètre carré situés

entre 4 500 et 5 000 euros. Entre

la gare de Perrache et Confluence,

le quartier Charlemagne bénéfi -

cie d’un regain d’intérêt, les prix –

aujourd’hui à 2 900 euros/m2 – y ont

augmenté de 16,3% en un an, selon

les notaires. Il s’agit de la plus forte

hausse intra-muros. E. L.

Retour au pays natalMarie, architecte

« Lyonnaise de souche, j’ai fait quelques incursions

à Paris et à Montréal pour revenir dans ma ville natale,

dont je ne partage pas toujours les grandes lignes de

l’architecture, mais que je respecte. Je collabore avec

Madec, Wilmotte ou Dumontier et ne veux pas me

restreindre à l’architecture dans son extérieur. Aussi,

je m’associe à des rénovations d’intérieurs, comme

celle de la Maison des familles sur le site de l’hôpital

Debrousse ou celle de la boutique Nagabbo,

rue Emile-Zola, dans le 2e arrondissement. »

Confluence 2

se veut un modèle

en matière de

développement

durable

L’hôpital

Debrousse

en rénovation

664N[QPa2230kpff00kpff""": 4412:133"""33<52