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Animation scientifique

Les cinq sens

Année 2013-2014

Isabelle Fabiano –L2 Biologie

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Sommaire I-Présentation……………………………………………………………3 II- Déroulement des séances…………………………………………..3-7 III-Bilan personnel………........................................................................7 Annexes……………………………………………………………...8-13

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I-Présentation A-Motivation J'ai choisi de prendre l'option animation scientifique en école car j'aime le contact avec les enfants et en général je m'entends bien avec eux. De plus, j'ai déjà fait plusieurs stages auparavant en école et cela m'avait beaucoup plu et intéressé. C'est pour cela que j'ai voulu renouveler l'expérience dans un cadre différent où je n'accompagne plus l'enseignant comme je l'ai fait dans mes précédents stages mais cette fois-ci c'est moi qui ai apporté mes connaissances aux enfants. D'autre part, j'aime la curiosité des enfants ainsi que leur spontanéité. J'ai donc trouvé bien de prendre cette option.

B-Établissement d'accueil J'ai choisi comme établissement, l'école primaire Sainte-Marie de Cambo-les-bains. J'ai voulu faire mon stage dans cette école car j'ai déjà fait précédemment un stage dans cette école il y a cinq ans où l'accueil avait été très agréable. J'ai été dans la classe de madame Añorga qui est directrice de l'école et enseignante dans une classe de CM1/CM2 composée de 23 élèves. Nous avons convenu ensemble du thème qui serait sur les cinq sens que j'ai traité dans le domaine de l'unité et la diversité du vivant. J'ai fait 5 séances du 6 mars au 3 avril où j'ai présenté un sens par semaine.

C-Le projet J'ai vu au préalable, avant de commencer mon stage, madame Añorga qui m'a guidé pour la première séance. Ensuite pour les autres séances je les ai préparé moi-même en envoyant à l'avance les objectifs et mes projets de la séance de la semaine à l'enseignante. D’autre part, j'ai traité mon thème sur les cinq sens dans le domaine de l'unité et la diversité du vivant où j'ai présenté l'unité du vivant en recherchant les points communs entre les espèces vivantes et fait la présentation de la biodiversité en recherchant des différences entre les espèces vivantes, en leur donnant des exemples et des définitions au cours des séances. J'ai utilisé pour chaque séance mon ordinateur pour présenter aux enfants, les différents schémas des organes des sens chez les divers animaux.

II- Déroulement des séances

• Séance 1 (1 heure)

Ma première séance a été sur la vue. Après m'être présentée aux enfants et leur expliquer ce qu'on allait faire dans les prochaines semaines, je leur ai demandé ce que signifiait pour eux les cinq sens et avant tout, quels étaient les cinq sens. Ils m'ont cité la vue, l'ouïe, l’odorat, le toucher et le goût. Ensuite je leur ai montré quelques diapositives comparant l'organe visuel humain à celui de différents animaux (oiseaux, poissons, reptiles, insectes) et ils ont fait comme activité le remplissage d’un schéma sur l'œil d'un oiseau en parallèle avec comme support l'œil humain pour

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les aider à remplir le schéma car l'œil humain et l'œil d'un oiseau se révèlent assez semblables (cf. Annexe 1). Je les ai laissé le compléter pendant environ 15 minutes et on a ensuite corrigé tous ensembles et on a observé avec d'autres animaux en regardant les schémas au tableau. De plus, je leur ai posé une autre question: pourquoi tous ces animaux ont-ils une anatomie de l'œil différent ? Certains m'ont répondu plus ou moins correctement je les ai alors guidé en leur donnant des exemples comme la différence entre une girafe et un poisson et ils m'ont alors dit que les animaux avaient une anatomie différente car ils ne vivent pas dans le même milieu, certains vivent dans l'eau et d'autres sur terre. Ensuite, je leur ai expliqué le fait que ces diverses physiologies ont pu se faire au cours du temps (en millions d'années) je leur ai donné l'exemple des vertébrés en leur montrant un schéma de l'évolution de l'œil des vertébrés. D'autres part, je leur ai posé une dernière question en leur demandant pourquoi et dans quel but les animaux se servent de leur vue ? Certains m'ont expliqué qu'ils l’utilisaient pour « plaire aux femelles », je leur ai dit que c'était juste mais qu'on appelait cela la reproduction pour attirer « l'attention » des femelles. Je leur ai cité d'autres types de comportements tel que la prédation et le camouflage en leur montrant le phénomène du mimétisme et leur décrivant le fait d'impressionner et « faire peur » à son adversaire lors de la chasse. Nous avons récapitulé tout ce qu'on a vu durant la séance et je leur ai donné un résumé reprenant tout (cf. Annexe 2).

• Séance 2 (45 minutes)

Ma deuxième séance a été sur l'ouïe. Je leur ai avant fait récapituler ce qu'on avait fait la semaine d'avant sur la vue. Ensuite, je leur ai demandé ce que signifiait pour eux l'ouïe, ils m'ont répondu que c'était entendre. De plus, je leur ai ajouté qu'on recevait les sons mais aussi qu'on les émettait. Nous avons après regardé au tableau les différents schémas des organes de l'ouïe (par exemple les oreilles des oiseaux, en leur montrant les oreilles de chouette, je leur ai expliqué qu'elles avaient les oreilles décalées à cause de la prédation leur permettant de savoir exactement où se situait leur proie car ce décalage permettait à l’oreille opposée de recevoir les sons quelques secondes après où l’animal sait à ce moment-là de quel côté vient le bruit,...). Ensuite on a vu les organes d'émissions du son et j’ai expliqué comment ils fonctionnaient : l'homme a les cordes vocales et chez les animaux (oiseau avec le syrinx, les insectes avec les élytres...). Après, je leur ai posé une question c'est-à-dire pourquoi les animaux ont-ils une anatomie auditive différente ou commune? Étant donné que certains principes ressemblaient à la semaine précédente ils m'ont répondu que c’était les milieux différents: terrestre et aquatique mais aussi ils se sont souvenus que l'évolution a joué un rôle sur l'organe auditif et (de l’émission) sonore. De plus, je les ai ensuite

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interrogé sur le rôle de ces de organes. Beaucoup m'ont dit que ça servait à entendre, je les ai alors guidé, sur le fait à quoi ça sert d'entendre ? Ayant compris ma question les élèves m'ont annoncé que les animaux l'utilisent pour la reproduction, je leur ai donné comme exemple le chant des oiseaux pour les parades nuptiales et d'autres m'ont trouvé la prédation, où la proie pouvait s'en servir pour faire peur au prédateur. Nous avons fait comme activité le remplissage d’un texte à trous (cf. Annexe 3) que je leur avais préparé, leur servant à la fois de résumé de fin de séance. Je les ai laissé quelques minutes remplir le document seul, je suis passée dans les rangs pour venir les aider avant la correction.

• Séance 3 (45 minutes)

Ma troisième séance a été sur le toucher. Comme la semaine d’avant, nous avons revu ce que nous avons fait à la séance sur l'ouïe. Après, nous avons démarré notre séance sur le toucher. Je leur ai expliqué la constitution de la peau chez l'homme (l’épiderme et les diverses couches de la peau) et chez les animaux en leur montrant les plumes chez les oiseaux, les écailles chez les poissons et les reptiles et les sensilles des insectes. Nous avons continué notre séance en se demandant pourquoi ces animaux avaient une peau différente et de plus, on s'est posé comme question à quels types de comportements et quels exemples pouvons-nous donner. J'ai donc proposé comme activité aux enfants de se mettre en divers petits groupes pour discuter de ces questions entre eux je suis ensuite passée dans les rangs et beaucoup d'entre eux m'ont posé des questions et ont demandé de l'aide, je les ai alors aidé. Enfin, nous avons corrigé ensemble au tableau, et les élèves ont répondu que les poissons vivaient dans l'eau et l'homme vit sur terre d'où le fait qu'ils n'ont pas la même peau, c'est pour cela qu'ils avaient une anatomie différente. D'autre part, en ce qui concerne les comportements certains m'ont cité comme exemple que les animaux se servaient de leur peau, leurs poils,... pour se protéger du froid et de la chaleur, mais aussi pour se cacher de leurs prédateurs et pour la reproduction pour attirer leur partenaire. Nous avons fait le récapitulatif en soulignant les mots essentiels et en intégrant du nouveau vocabulaire vu durant la séance (cf. Annexe 4).

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• Séance 4 (45 minutes)

Ma quatrième séance a été sur l’odorat. Nous avons revu ce que nous avons étudié la semaine précédente sur le toucher. Ensuite nous avons commencé la séance sur l’odorat où je leur ai montré comment fonctionnait l’organe de l’odorat en particulier chez l’homme, ainsi que celui des poissons, des oiseaux, des serpents qui utilise l’organe de Jacobson, et les sensilles olfactives des insectes. Je leur ai demandé pourquoi ces derniers ont des appareils olfactifs différents pour voir s’ils avaient bien assimilé ce que je leur avais appris les semaines passées. Certains ayant bien compris le concept m’ont répondu comme d’habitude les divers milieux entre les espèces telles qu’entre les poissons et les serpents par exemple. De plus, je leur ai demandé quel rôle pouvait jouer l’odorat, dans quels buts les animaux se servaient de ce sens ? Les élèves m’ont dit qu’ils l’utilisaient pour la reproduction, je leur ai ajouté comment ils l’employaient pour la reproduction ? Les enfants m’ont annoncé qu’ils s’en servaient pour attirer la femelle c’est-à-dire leur partenaire sexuel, je leur ai donné l’exemple du scarabée mâle qui dégage une substance sur son dos attirant les femelles scarabées, je leur ai dit que c’était grâce à des phéromones qui est une nouvelle notion pour eux. De plus, je leur ai ajouté que les animaux avaient entre eux des relations de dominance et utilisent donc le marquage du territoire pour exprimer cette dominance je leur ai parlé du loup comme exemple, mais aussi ils se servent des marquages pour l’identification je leur ai cité l’exemple des abeilles qui ne voient rien dans la ruche et emploient ce marquage pour leur reconnaissance. J’ai demandé aux enfants s’ils connaissaient un autre comportement qui pourrait associer l’odorat, ces derniers m’ont annoncé la chasse c’est-à-dire la prédation, je leur ai expliqué que les araignées mettent sur leur toile une substance odorante attirant les papillons croyant que c’est l’odeur de leur partenaire et l’araignée mange ensuite sa proie. Enfin, nous avons terminé cette séance en faisant un résumé (en surlignant les mots principaux) et en ajoutant que les animaux utilisent ce sens pour communiquer et ils ont une constitution de cet organe plus ou moins différente selon les espèces.

• Séance 5 (1 heure)

Ma cinquième séance, a été sur le goût. Je leur ai montré comment était constituée la langue chez l’être humain et comment percevaient les autres animaux le goût, par exemple les chats perçoivent bien le salé mais pas le sucré. De plus, je leur ai demandé s’ils connaissaient d’autres

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exemples et ils ont pensé que le chien avait les mêmes caractéristiques que le chat : je leur ai dit que le chien avait aussi cette perception du salé mais il percevait le sucré aussi. Je leur ai parlé des insectes qui sentent le goût avec leurs pattes et leurs antennes. Et nous avons vu ensuite le rôle du goût et les enfants m’ont répondu bien entendu que c’était pour manger. Et de plus, je leur ai ajouté que le goût était lié à l’odorat chez certains animaux qu’on appelle des choanes. Nous avons fait le résumé sur le goût en surlignant les mots importants (cf. Annexe 6). Enfin, nous avons fait un bilan de ces 5 séances en disant que les animaux sont différents selon les organes des sens en fonction de leur environnement mais aussi selon leur évolution. De plus, les enfants ont retenu que ces sens étaient associés mis à part le goût aux comportements de prédation, de reproduction, mais aussi de défense, et de dominance comme cela a été vu avec l’odorat. Ceci avec des comportements différents selon le sens. Je leur ai expliqué que ces différences sont dues à notre biodiversité étant un nouveau mot de vocabulaire pour eux.

III-Bilan personnel

Cette expérience en école a été très intéressante car elle permet d’avoir un bon contact avec les enfants qui ont été très agréable et ont énormément participé. Ce stage m’a permis aussi, tout au long de mes séances de m’exprimer à l’oral, ceci m’ayant aidé pour mes exposés de ce semestre. De plus, ceci m’a appris à gérer une classe ce qui était différent de mes autres stages et beaucoup plus captivant car cette fois-ci j’étais actrice de ce que je faisais et non plus observatrice. Il faut savoir aussi, rester simple dans les mots en ne complexifiant pas trop les choses mais je n’ai pas trop simplifié non plus car ils sont en âge d’apprendre des nouveaux termes.

D’autre part, je voudrais remercier madame Añorga pour m’avoir reçu dans son école et m’avoir donné des conseils avant de commencer mon stage. Et je remercie les enfants qui ont été intéressé et agréable durant ce stage. De plus, je trouve vraiment bien que l’université propose cette option qui apporte beaucoup et que je conseille à tous.

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Annexes Annexe 1 : Schéma de l’œil d’un oiseau de la séance sur la vue

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Annexe 2 : Résumé de la séance sur la vue

La vue

Malgré, la possession de cinq sens, les animaux n’ont pas la même anatomie, comme cela

se remarque avec la vue.

En effet, ceci peut être dû, à une évolution au cours du temps comme chez les vertébrés

par exemple, mais aussi cela dépend de la classe auxquels ils appartiennent (vertébrés et inverté-

brés). De plus, les milieux de vie jouent un rôle sur l’anatomie de l’œil, tel que les poissons qui ont

une cornée et un cristallin beaucoup plus épais que l’homme et n’ont donc pas la même percep-

tion visuelle.

Par ailleurs, les animaux ont aussi des points communs, comme on l’observe dans certains

comportements. C’est le cas, lors de la reproduction, où certains animaux utilisent des parades

nuptiales pour se reproduire. Il en est de même, avec la prédation où par exemple, certains in-

sectes se servent du mimétisme pour se cacher des prédateurs. On distingue aussi au niveau du

comportement, l’intimidation, pour impressionner soit le prédateur, ou soit son adversaire lors de

la reproduction. D’un point de vu anatomique, la position des yeux dépend si l’animal est le préda-

teur ou la proie.

Par conséquent, la vue se révèle un sens indispensable pour les animaux.

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Annexe 3 : Texte à trous servant de récapitulatif de la séance

L’ouïe

Notre environnement est entouré par des sons, que ce soit lorsque les animaux communiquent

entre eux, ou un autre bruit extérieur. De plus, comme avec la vue, les animaux n’ont pas la même ana-

tomie au niveau de leur appareil ………………………. et.......................... .

En effet, l’………………………. au cours du temps en fonction des ……………………… (………………..

et…......................................). et pour certains animaux le passage de l’eau à l’air ont modifié les systèmes

auditifs et vocaux, ayant un effet sur leur ………………………………. .. Par exemple les baleines n’ont la même

…………………………… que les humai ns, où l’…………………....... ……………………………..étant spécifique des mam-

mifères. Sur certains animaux, la disposition de l’appareil auditif est différente de chaque côté de la tête,

tel que la chouette. Par ailleurs, les insectes par rapport aux autres animaux n’ont pas leur système auditif

au niveau de la tête, mais ils l’ont au niveau des pattes ainsi que du thorax.

Pour des raisons identiques que pour l’appareil auditif, le système de production sonore est diffé-

rent et fonctionne différemment selon les ……………………………., l’être humain possédant des ………………………

……………………...... .. et les oiseaux ayant un syrinx et les insectes utilisant leurs élytres et leurs pattes pour

produire du son, par exemple.

Le système vocal et auditif, sont utilisés pour divers ………………............. tels que la ………………………..

pour qu’un prédateur puisse détecter le moindre mouvement de sa proie, mais pour que la proie remarque

les signaux d’alarme et d’avertissement d’un éventuel prédateur. De plus, au niveau de la

……………………………......... certains animaux se servent de leur faculté vocale pour attirer leur partenaire,

mais aussi pour intimider leur éventuel adversaire. D’autre part, certains animaux comme les chauves-

souris se servent des sons pour estimer l’…………….................... et les obstacles qu’elles ont autour d’elles.

Par conséquent, l'aptitude à percevoir les sons et de les produire permet aux animaux d'explorer

leur …………………………………............ : la fonction auditive a un caractère adaptatif évident et est nécessaire à

leur ………………………………. .

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Annexe 4 : Résumé et vocabulaire de la séance sur le toucher

Le toucher

Le toucher nous permet d’explorer notre environnement et c’est un sens que nous utilisons tout

autour de nous.

En effet, comme la vue et l’ouïe que nous avons vu précédemment, le toucher fait partie de l’un

des cinq sens. Il est aussi comme pour les 2 autres sens cités précédemment, une anatomie différente selon

les espèces, en fonction du milieu dans lequel ils vivent, ainsi qu’à leur évolution au cours du temps avec le

passage de l’eau à l’air tel que chez les amphibiens (grenouille, rainette,…) et une adaptation à la vie ter-

restre chez les reptiles. De plus, ces changements et ces différences selon les écosystèmes permettent une

protection du tégument et des échanges comme la respiration (ex : les amphibiens).

D’autre part, le toucher à différents rôles : il permet la communication, par exemple chez les arai-

gnées lors de la reproduction, le mâle utilise un « code » en faisant vibrer la toile de la femelle pour que

cette dernière le reconnaisse et ne le mélange pas avec une proie. Les changements de couleurs sur la

peau, permettent d’attirer l’attention du partenaire lors de la reproduction ou de se cacher d’un préda-

teur. Mais aussi, la perception tactile nous fait ressentir la pression (légère ou forte), l’air, la température,

ainsi que les vibrations comme avec les félins avec leurs vibrisses qui détectent les obstacles la nuit, éva-

luent la largeur des passages,…

Par conséquent, est un sens nécessaire pour exploiter notre environnement.

Vocabulaire

• Ecosystème= Ensemble des êtres vivants (animaux, végétaux, micro-organisme) et d’un milieu.

• Tégument= Enveloppe, ensemble des tissus (peau, poils, plumes...) qui recouvrent le corps des

animaux.

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Annexe 5 : Résumé et vocabulaire de la séance sur l’odorat

L’odorat

L’odorat est l’un de nos cinq sens, mais qui n’est pas le plus utilisé principalement par l’homme par

rapport au toucher.

En effet, les cinq sens n’ont pas tous la même importance selon les animaux, certains l’ont plus

développé que d’autres, et n’ont donc pas la même anatomie selon leur classe (vertébrés comme les

mammifères et les invertébrés c’est-à-dire les insectes). Leurs milieux de vie favorisent ces différences et

l’évolution modifiant la physiologie de l’appareil olfactif au cours du temps (des millions d’années).

Le rôle de l’odorat, est utilisé, pour la reproduction pour attirer leur partenaire (avec des « subs-

tances » chimiques) ainsi que l’identifier (mâle ou femelle), mais aussi pour délimiter le territoire (les chiens

urinent dans certains endroits pour délimiter leur territoire), pour la prédation (= « la chasse ») pour repé-

rer leur proie, ou inversement pour les proies remarquer leur prédateur, nous avons là aussi un rôle

d’identification (comme on l’a vu pour la reproduction précédemment).

Par conséquent, l’odorat et l’organe olfactif (exemple le nez) se révèlent donc nécessaire

car ce sens sert à plusieurs fonctions. L’odorat par rapport aux autres a les mêmes rôles mais il est expri-

mé par des comportements différents.

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Annexe 6 : Résumé et vocabulaire de la séance sur le goût

Le goût

Le goût est l’un de nos cinq sens qui est essentiel à notre survie.

Le goût et l’organe du goût sont présents chez l’homme comme chez les animaux. Ils sont consti-

tués différemment selon les espèces. En effet, l’organe du goût n’est pas forcément identique entre les

vertébrés et invertébrés, les mammifères, les reptiles, les oiseaux qui sont les vertébrés ayant comme or-

gane du goût la bouche et de plus, les insectes qui sont les invertébrés où les organes du goût sont associés

à la bouche et à certaines zones des antennes, mais souvent, c’est avec leurs pattes que les insectes goû-

tent.

Ces différences peuvent être dues à une évolution au cours du temps, mais aussi selon le milieu où

ils vivent (aquatique ou terrestre). La classe à laquelle ils appartiennent c’est-à-dire vertébrés ou inverté-

brés (comme on l’a vu précédemment) joue sur ces changements.

Le goût et l’organe du goût servent à l’alimentation et à sentir les diverses saveurs. Il est en lien

avec l’odorat.

Par conséquent, le goût et l’organe du goût comme tous les autres sens (et leurs organes) que nous

avons vu se révèlent importants pour notre vie et tous les comportements associés contribuent à notre

biodiversité.

Vocabulaire

Biodiversité= diversité des espèces vivantes et de leurs caractères génétiques.